Accueil couverture
Categorie:

couverture

Il y a un peu plus d’un an, elle nous avait parlé de “Casa”, un titre coup de cœur devenu tube. Depuis, Ouidad n’a pas cessé de tracer son chemin. Authentique, solaire, entre deux mondes qu’elle ne veut jamais opposer, la France et le Maroc, la pharmacie et la musique, la chanteuse franco-marocaine revient aujourd’hui avec “La Fame”, un morceau pop et vintage, à son image : libre, coloré, assumé. À l’aube d’une tournée au Maroc, où elle retrouvera ce public qui la soutient depuis le début, Hola! MAROC est allé prendre de ses nouvelles… et un peu de son énergie contagieuse aussi !

SCOPITONE (MEDIA)
  • Ouidad tu seras en tournée au Maroc du 17 au 21 juin, ton pays d’origine. Une première tournée, chargée d’émotions et de symboles. Comment vis-tu cette perspective ? As-tu hâte de retrouver le public marocain sur scène  ?

Ce n’est pas mon tout premier concert au Maroc, mais c’est bien ma première tournée, oui. Et franchement, je suis ravie. Heureuse de rentrer à la maison, de retrouver mon public marocain qui me soutient énormément. C’est un vrai bonheur. En plus, c’est aussi l’occasion pour mes proches sur place de venir me voir sur scène, donc forcément, c’est très spécial.

SCOPITONE (MEDIA)
  • La version arabe de ton titre “Casa” a rencontré un grand succès. Comment est née cette idée ?

C’est venu tout naturellement. Dès le départ, on s’est dit que c’était une évidence. Le morceau parle à un public qui parle arabe, alors c’était important pour moi que le message soit compris de tous. C’était aussi une manière de rendre hommage aux gens qui m’ont vue grandir, à ceux qui m’ont façonnée.

  • Tu t’attendais à un tel accueil pour cette version ?

Honnêtement, parfois on le sent. Quand quelque chose part du cœur, il y a une énergie particulière qui l’accompagne. Chaque fois que j’ai vécu un vrai succès, je l’ai pressenti un peu avant, au fond de moi.

SCOPITONE (MEDIA)
  • Tu viens de dévoiler La Fame, un morceau intense, différent de Casa mais tout aussi prenant, où tu explores les coulisses de la célébrité. Quel message as-tu voulu faire passer à travers ce titre ? Que dit-il de ta propre expérience ?

Je crois qu’on est beaucoup à se perdre dans cette quête de “fame”. Sur les réseaux, on passe notre temps à se comparer, à regarder des vies idéalisées. Mais quand tu rencontres ces mêmes personnes dans la vraie vie, tu te rends compte que c’est souvent très différent. Les réseaux, ce n’est pas la réalité. Et parfois, on cherche la “fame” sans même s’en rendre compte. Moi aussi, je suis tombée dans ce piège-là. Aujourd’hui, j’essaie de faire les choses pour moi, avec plus de conscience. Je veux que les jeunes comprennent ça : ne croyez pas tout ce que vous voyez.

  • Le clip de La Fame se distingue par son esthétique forte, ses couleurs vibrantes et son univers visuel soigné. Est-ce une nouvelle direction artistique que tu explores avec ce projet ?

Oui, totalement ! Cette direction artistique, je l’avais en tête depuis un moment. J’adore le vintage, les couleurs franches, les looks un peu décalés… Et surtout, je voulais montrer une autre facette de moi. Jusqu’ici, on me voyait souvent sérieuse, concentrée. Mais dans la vie, je suis un vrai clown. Mon entourage me pousse à le montrer davantage, et je crois que j’y suis enfin arrivée avec ce clip.

  • Tu es très présente sur TikTok. Tu l’utilises comme un terrain de jeu ou c’est devenu un outil stratégique ?

Au départ, c’était juste pour le fun. Pendant le Covid, je bossais à la pharmacie, et le soir je scrollais comme tout le monde. J’ai commencé à poster des trucs pour rigoler, sans trop réfléchir. Aujourd’hui encore, j’essaie de garder cette spontanéité. Sur TikTok, tu peux tester, être toi-même. Il y a moins de codes, moins de pression qu’ailleurs. Et j’adore ça !

SCOPITONE (MEDIA)
  • Tu vis une forme de double vie : pharmacienne d’un côté, artiste de l’autre. Comment fais-tu pour gérer ça ?

J’ai trouvé un bon équilibre avec mon patron. On s’est mis d’accord sur des jours fixes, ce qui me permet de garder une forme de stabilité. Ça me rassure aussi, de rester ancrée dans une routine plus “normale”.

  • Côté style, tu nous avais parlé de ton amour pour les vêtements oversize. Tu restes fidèle à ce look ?

Oui, même si j’évolue un peu. Ce que je cherche, avant tout, c’est le confort. Même dans des pièces un peu plus ajustées, je veux pouvoir bouger, respirer. J’apprends à assumer ma silhouette, à explorer d’autres coupes, sans jamais aller trop loin. C’est une question d’équilibre.

  • Et côté mise en beauté ? Tu sembles toujours très à l’aise avec ton image.

Je crois que c’est une question de connaissance de soi. Avec le temps, j’ai compris ce qui me va, ce que j’aime. Travailler avec des maquilleurs m’a aussi permis d’apprendre plein de choses. Mais je reste fidèle à une beauté assez naturelle. Ma petite sœur par exemple adore les maquillages très marqués ; moi, je trouve que ça me va moins.

  • Parlons musique : tu prépares un projet en ce moment ?

Oui, il y a quelque chose qui se construit. J’espère sortir un album d’ici fin 2025 ou début 2026. D’ici là, deux ou trois morceaux devraient voir le jour. Ce ne sera pas exactement dans la même direction artistique que “La Fame”. Il y aura un peu de tout, en arabe, en français… Je veux que ça me ressemble.

  • Tu es plus exigeante aujourd’hui dans ta façon de créer ?

Oui, je suis très minutieuse. Mais en même temps, je veux préserver une forme de liberté. Pour moi, l’exigence, c’est ça : rester sincère, ne pas se brider.

SCOPITONE (MEDIA)
  • Si tu pouvais parler à la Ouidad d’il y a cinq ans, que lui dirais-tu ?

Je lui dirais : T’inquiète pas, ton téléphone va sonner. Tu vas avoir des opportunités, partir en tournée, bosser avec des marques, rencontrer ton public… Tu vas kiffer. Et tu vas faire kiffer. Continue.

  • Tes chansons s’inspirent de ton vécu ?

Oui, complètement. Parfois c’est ce que je vis, parfois ce sont des histoires de mes proches. Par exemple, “Je Reste”  est directement inspiré du vécu de ma meilleure amie.

  • Tu as l’impression de vivre entre deux mondes : France/Maroc, pharmacie/musique. Est-ce parfois un tiraillement ?

Pas du tout. Je n’ai pas à choisir. Je suis tout ça à la fois : franco-marocaine, pharmacienne, artiste. Et je n’ai pas à m’excuser pour ça. J’aimerais être un exemple pour celles et ceux qui pensent qu’on ne peut pas tout faire. Si, on peut. Il faut juste s’en donner les moyens. Et même si ça ne fonctionne pas toujours, au moins tu auras essayé.

SCOPITONE (MEDIA)
  • Quelle est ta devise dans la vie ?

Il y en a une que j’aime particulièrement, une citation d’Oscar Wilde : “Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait.” Je m’y retrouve complètement. Si j’avais su à quel point les études de pharmacie étaient dures, je ne les aurais peut-être jamais commencées. Mais je ne savais pas. Alors je l’ai fait. Et c’est pareil pour la musique. Je me suis lancée sans vraiment mesurer la complexité du métier, mais c’est ce qui m’a permis d’oser. J’ai un tempérament de fonceuse. Si je réfléchissais trop, je ne ferais rien. Même dans ma vie de tous les jours, je fonctionne comme ça. Par exemple, quand j’ai voulu faire du snowboard, on m’a dit que c’était difficile. J’ai répondu : “Je vais essayer quand même.” J’ai besoin de vivre les choses par moi-même. J’aime aller au bout, quitte à me tromper. C’est comme ça que je construis mon parcours !

  • Un dernier mot pour ton public marocain que tu retrouves très bientôt ?

Merci. Pour votre amour, pour votre soutien. J’ai tellement hâte de vous retrouver. Soyez fiers de vous, et surtout : n’ayez jamais à vous excuser d’être qui vous êtes.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Deux ans après avoir uni leurs destins au cœur d’Amman, le prince héritier Hussein et la princesse Rajwa de Jordanie ont célébré leur anniversaire de mariage dans l’intimité du palais royal. Le couple a partagé deux nouveaux portraits empreints de complicité et de douceur, pris dans les jardins qui avaient accueilli leur somptueuse cérémonie.

© Royal Hashemite Court

Le 1er juin 2023, le prince Hussein de Jordanie épousait Rajwa Al-Saif, jeune architecte saoudienne, lors d’un mariage majestueux célébré au palais de Zahran. Devant les regards du monde entier, la nouvelle princesse brillait ce jour-là dans une robe Elie Saab, marquant le début d’un chapitre prometteur dans l’histoire de la dynastie hachémite. Moins d’un an et demi plus tard, le couple accueillait une petite fille, prénommée Iman, première petite-fille du roi Abdallah II et de la reine Rania.

Une parenthèse à deux

Pour marquer leurs noces de cuir, le prince héritier et son épouse ont choisi de s’offrir une parenthèse à deux, loin du tumulte et même… de leur adorable fille, qui attire si souvent l’attention. Deux clichés inédits ont été publiés pour l’occasion. Sur le premier, Hussein et Rajwa échangent un regard complice ponctué d’un rire partagé. La princesse y apparaît rayonnante dans une robe fluide signée Petar Petrov, ceinturée par une élégante pièce de chez Schiaparelli. Sur le second, le couple s’enlace tendrement sous les arbres du jardin royal, dans une atmosphère à la fois simple et profondément touchante. Ces images ont été capturées lors du mariage de la cousine du prince, la princesse Aisha, célébré début mai.

©Royal Hashemite Court

Une princesse pleinement engagée

En deux années de vie conjugale, Rajwa de Jordanie s’est installée avec élégance dans son rôle de future reine. Son retour sur la scène publique après son congé maternité a été marqué par une présence affirmée aux côtés du prince héritier, que ce soit lors de l’ouverture du parlement ou d’événements plus symboliques comme la rupture du jeûne avec des enfants orphelins pendant le ramadan. Sa popularité ne cesse de croître, portée par sa discrétion, son style et son engagement.

© Royal Hashemite Court

Et maintenant ?

Alors que leur fille Iman grandit loin des projecteurs, une question commence à se poser dans les cercles royaux comme chez les observateurs : le couple envisage-t-il déjà d’agrandir la famille ? Dans une monarchie où la succession demeure masculine, l’arrivée d’un fils permettrait d’assurer une transition dynastique directe. Pour l’heure, le prince Hashem, frère cadet de Hussein, reste le deuxième dans l’ordre de succession.

© Royal Hashemite Court

Mais au-delà des enjeux institutionnels, ce deuxième anniversaire vient surtout rappeler que la modernité et la tradition peuvent cohabiter harmonieusement dans la monarchie jordanienne, et que l’amour, même royal, peut se vivre avec naturel et simplicité.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Le mois de mai souffle sur le Royaume comme un parfum de renouveau. C’est le temps des fleurs, des cœurs tendres et des célébrations… Une princesse née au printemps, mariée un 14 février, ne pouvait qu’embrasser la vie avec poésie et douceur. Ce 33e anniversaire de Lalla Nouhaila, fille de SAR la Princesse Lalla Asmaa, résonne comme un hymne à l’amour et à la tradition dans une famille royale qui compte quatorze enfants et petit-enfants du Roi et de sa fratrie.

Lalla Nouhaila a cette grâce innée et cette élégance princière

Chaque printemps, une offrande précieuse

Chaque année, à l’approche de son anniversaire, nous avons le grand bonheur à la rédaction de HOLA ! MAROC de dévoiler un cliché rare de Chrifa Lalla Nouhaila : un instant de vie capturé dans la grâce, révélant une part d’elle, intime et délicate. C’est un geste peu commun dans l’univers feutré de la famille royale, empreint de tendresse et d’élégance, que ses proches et les Marocains accueillent avec émotion et reconnaissance. Ce partage discret mais sincère témoigne de son sens profond du lien et de son amour pour les traditions, à l’image du mariage qu’elle a célébré, un certain 14 février, jour de la Saint-Valentin.

Un mariage princier dans l’intimité, scellé par l’amour et la tradition

Le 14 février 2021, c’est dans une ambiance intime, chaleureuse et profondément marocaine que Lalla Nouhaila Bouchentouf s’est unie à Ali El Hajji. Une cérémonie célébrée en pleine pandémie, dans le respect des règles sanitaires, mais sublimée par l’empreinte du patrimoine. La mariée avait ébloui par son caftan vert émeraude, brodé de fils d’or, tandis que le marié, en djellaba blanche et fez, incarnait l’élégance sobre de l’homme marocain. Ce mariage fut le reflet de son attachement sincère aux coutumes, tout en insufflant une modernité pleine de douceur.

Lalla Nouhaila et Ali Hajji lors de leur union sacrée un 14 février 2021

Une princesse née au printemps, une mère comblée

Née un mois de mai, Lalla Nouhaila est la fille de SAR la Princesse Lalla Asmaa et nièce de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Elle appartient à cette nouvelle génération de femmes royales, raffinées, discrètes et profondément enracinées dans la culture marocaine. Maman comblée de deux petites filles, elle a donné naissance à Lalla Mayssae le 2 décembre 2021, puis à Lalla Marjana, accueillie un soir d’été du 15 août 2023, dans une atmosphère poudrée, douce comme une berceuse.

La princesse Lalla Nouhaila, fille de Lalla Asmae, avec sa petite fille Lalla Mayssae, née le 2 décembre 2021, de son mariage avec Ali Al Hajji un fameux 14 février 2021

C’est en cette belle soirée du 15 août, que l’annonce d’une naissance royale a été faite. Chrifa Lalla Nouhaila accueillait une petite fille prénommée Lalla Marjana, donnant ainsi une petite soeur à Lalla Mayssae. Une tendre photo, teintée d’un rose poudré, de fleurs délicates et du visage rayonnant de la maman contemplant sa petite princesse, est venue animer cette soirée d’été. Maman et bébé portent la même tenue, un caftan craquant, rose vanillé à la broderie marocaine, blanc fumé. Chrifa, impeccablement coiffée d’une demi queue de cheval, laissant tomber de part et d’autre sur ses épaules, de jolies boucles chatoyantes, apparait comblée, souriant de joie et de bonheur de porter dans ses bras une seconde fois, un petit bout d’elle et de son mari Ali Hajji.

Lalla Nouhaila accueille sa deuxième fille prénommée Lalla Marjana, petite soeur de Lalla Mayssae, née le 15 août 2023

Avec Moulay Abdeslam, né le 1er juin 2022, le plus jeune fils de SAR le Prince Moulay Rachid, Lalla Mayssae et Lalla Marjana incarnent les trois derniers-nés de la famille royale, ces petits joyaux qui prolongent l’histoire et enchantent l’avenir de la dynastie Alaouite. Ce sont quatorze enfants et petits-enfants que compte la fratrie royale — une nouvelle génération pleine de promesses, de sourires et d’histoires à écrire.

Les quatorze joyaux de la fratrie royale

Aujourd’hui, Sa Majesté le Roi Mohammed VI veille avec fierté et affection sur ses deux enfants : le Prince Héritier Moulay El Hassan, jeune homme déjà très investi dans les affaires du Royaume, symbole de continuité et d’avenir, et la Princesse Lalla Khadija, qui vient de franchir le cap de la majorité. À 18 ans, elle incarne avec grâce une nouvelle génération de la dynastie Alaouite, empreinte de douceur, d’élégance et d’une conscience lucide de son époque. Autour de lui, le Souverain est entouré d’une fratrie unie : SAR la Princesse Lalla Meryem, mère de Lalla Soukaina — elle-même maman des jumeaux Hassan et Aya — et de Moulay Driss ; SAR la Princesse Lalla Asmaa, mère de Lalla Nouhaila – maman de Lalla Mayssae et Lalla Marjana – et de Moulay Yazid ; SAR la Princesse Lalla Hasnaa, mère de Lalla Oumaima et de Lalla Oulaya ; et SAR le Prince Moulay Rachid, père de Moulay Ahmed et de Moulay Abdeslam. Une constellation familiale qui continue de s’épanouir au fil des naissances, entre héritage et modernité, dans l’amour, la continuité et l’inspiration.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Avec grâce et discrétion, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Meryem a présidé à Rabat la cérémonie marquant le 30e anniversaire de l’Observatoire National des Droits de l’Enfant. Une apparition aussi marquante par son engagement que par l’élégance sobre et intemporelle de son style, mêlant douceur et autorité.

Avec sa silhouette chic et intemporelle, la Princesse Lalla Meryem réinvente l’office wear royal lors de la célébration des 30 ans de l’ONDE à Rabat. Une élégance tranquille au service d’une cause essentielle : les droits de l’enfant. (Photo MAP)

Un vestiaire de bureau tout en finesse

Pour cette occasion dédiée à l’enfance, Lalla Meryem a choisi une silhouette d’une élégance tranquille, fidèle à l’esprit du quiet luxury et aux codes d’un vestiaire office wear pensé pour les femmes de conviction. Un look rétro à la féminité subtile : jupe midi évasée marine, chemisier à fines rayures bleu ciel et cardigan immaculé, composent une tenue à la fois classique et actuelle. Le confort rencontre la sophistication dans cet ensemble à l’ADN casual chic, où chaque pièce incarne un basique maîtrisé.

Aux pieds, des babies sages à talon modéré viennent souligner le raffinement naturel de la silhouette. Au cou, un pendentif délicat en or blanc et diamants, en forme d’œil stylisé, distille une note précieuse et symbolique. Une montre au design affirmé et des lunettes working girl ajoutent une touche de modernité à cet hommage vestimentaire à l’enfance marocaine, tout en affirmant une féminité ancrée dans l’action et la responsabilité.

Avec sa silhouette chic et intemporelle, la Princesse Lalla Meryem réinvente l’office wear royal lors de la célébration des 30 ans de l’ONDE à Rabat. Une élégance tranquille au service d’une cause essentielle : les droits de l’enfant. (Photo MAP)

Un engagement renouvelé pour les droits de l’enfant

La Princesse Lalla Meryem, présidente de l’ONDE, a présidé une cérémonie riche en émotion et en symboles, marquant trois décennies d’engagement en faveur de l’enfance marocaine. Un spectacle de danse contemporaine, des capsules audiovisuelles illustrant les avancées réalisées, le lancement d’une application novatrice pour le suivi de la santé de l’enfant, et la signature de trois conventions stratégiques ont rythmé cette journée. Entourée de jeunes parlementaires et de nombreuses personnalités nationales, Son Altesse Royale a rappelé avec force que la protection de l’enfance est l’affaire de tous – et un pilier fondamental du développement durable du Royaume.

Avec sa silhouette chic et intemporelle, la Princesse Lalla Meryem réinvente l’office wear royal lors de la célébration des 30 ans de l’ONDE à Rabat. Une élégance tranquille au service d’une cause essentielle : les droits de l’enfant. (Photo MAP)

0 commentaires
0 PinterestEmail

À Prague, les Journées du patrimoine culturel marocain ont mis à l’honneur un Royaume pluriel. Parmi les instants forts de cet événement, le défilé de caftans signé Samira Haddouchi s’est imposé comme une ode à l’élégance marocaine. Une célébration portée par l’ambassadrice Hanane Saadi et soutenue par Chrifa Lalla Fatim-Zahra Alaoui Azizi en collaboration avec l’Association Joussour.

La styliste Samira Haddouchi, l’Ambassadrice du Maroc en République tchèque, Hanane Saadi et Chrifa Lalla Fatim-Zahra Alaoui Azizi, aux journées du patrimoine du Maroc à Prague

Sous les dorures baroques du palais de Troja à Prague, un joyau de l’architecture tchèque, les Journées du patrimoine culturel marocain ont pris vie avec éclat. Initiée par l’Ambassade du Maroc à Prague, en étroite collaboration avec l’Association Joussour pour les arts et la créativité, cette célébration a offert une plongée poétique dans la richesse du patrimoine marocain.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

Parmi les moments les plus applaudis : un défilé de caftans majestueux, imaginé par la styliste Samira Haddouchi, figure de proue de la création marocaine contemporaine. Dans un jeu subtil de broderies traditionnelles et de coupes audacieuses, ses silhouettes ont raconté un Maroc intemporel et résolument raffiné. « À travers mes créations, je veux que l’âme du Maroc touche les cœurs du monde », a-t-elle confié.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

L’événement, porté avec conviction par l’ambassadrice du Maroc en République tchèque, Hanane Saadi, a rassemblé un parterre de personnalités politiques, diplomatiques et culturelles, venues saluer l’esprit d’ouverture et la diversité du Royaume. La présence de Chrifa Lalla Fatim-Zahra Alaoui Azizi, engagée à travers l’Association Joussour, a souligné la volonté de mettre l’art et la culture au service du dialogue entre les peuples.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

Entre musique andalouse, danses folkloriques, artisanat vivant et gastronomie envoûtante, le programme a peint un tableau vibrant de la mémoire et de l’identité marocaine. Et au cœur de cette fresque, le caftan s’est imposé comme un symbole fort : celui d’un patrimoine qui se réinvente sans jamais perdre son âme.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

0 commentaires
0 PinterestEmail

Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a présidé ce jeudi soir, à la Place emblématique « Bab Al Makina », la cérémonie d’ouverture de la 28e édition du Festival de Fès des musiques sacrées du monde.

Organisé du 16 au 24 mai 2025, le Festival se tient cette année sous le thème évocateur de « Renaissances », offrant un hommage vibrant aux cultures du monde et à leur pouvoir de résilience, d’élévation et de dialogue.

Dans une atmosphère chargée d’émotion et de spiritualité, la cérémonie d’ouverture a rassemblé un public venu de divers horizons, au cœur de l’une des villes les plus symboliques du patrimoine spirituel marocain. La présence de Son Altesse Royale a conféré à l’événement un éclat particulier, réaffirmant l’engagement constant de la Princesse Lalla Hasnaa en faveur de la culture, du dialogue interculturel et de la valorisation du patrimoine immatériel.

Le Festival de Fès, reconnu à l’international comme un carrefour des traditions spirituelles, réunit cette année encore des artistes et ensembles venus des cinq continents, dans un esprit d’universalité et de paix. Concerts, conférences, rencontres et moments de méditation musicale composeront cette semaine dédiée à la beauté des sons sacrés et au renouveau des liens humains.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Fille du prince Fayçal bin Hussein et nièce du roi Abdallah II de Jordanie, la princesse Aisha bint Fayçal a récemment célébré son mariage avec Karim Yazid Al Mufti, dans un cadre intime et empreint de tradition. Descendante directe de la dynastie hachémite, la princesse Aisha incarne une génération de femmes royales à la fois discrètes, éduquées et engagées dans la vie civile.

Une robe empreinte d’histoire et un diadème symbolique

Pour cette journée mémorable, la princesse Aisha a fait le choix d’une robe alliant modernité et héritage : une jupe longue en satin ivoire et un corsage de dentelle finement travaillé. Mais c’est le diadème qui a capté les regards : une pièce florale délicate, déjà portée par sa sœur aînée, la princesse Ayah, lors de son mariage en 2014.

© Royal Hashemite Court

Ce bijou pourrait être un héritage transmis par leur mère, la princesse Alia Tabbaa, première épouse du prince Fayçal bin Hussein. Ce geste, hautement symbolique, perpétue une tradition familiale et pourrait prochainement se répéter si la princesse Sara, sœur jumelle d’Aisha, venait à se marier.

Une union entre excellence académique et enracinement royal

La princesse Aisha est diplômée d’un master en droit, spécialisé en législation religieuse et société, et d’un baccalauréat en criminologie. Elle exerce dans le domaine de la communication et mène parallèlement des travaux de recherche, notamment sur la sécurité dans le sport.

© Royal Hashemite Court

Son époux, Karim Yazid Al Mufti, 31 ans, est diplômé de la King’s School de Londres, avant d’obtenir un master en gestion du sport à l’université Georgetown de Washington. Titulaire également d’un baccalauréat en administration des affaires, il œuvre aujourd’hui comme directeur du développement commercial pour plusieurs entreprises familiales opérant dans les secteurs de l’hôtellerie et de la restauration.

Une famille royale en mouvement

Le prince Fayçal, frère du roi Abdallah II, est une figure active de la monarchie hachémite. Marié à la princesse Alia Tabbaa de 1987 à 2008, il est le père de quatre enfants : Ayah, Omar et les jumelles Aisha et Sara. Après deux autres unions, il est aujourd’hui marié à Zeina Lubbadeh, avec qui il a deux fils.

© Royal Hashemite Court

Le mariage de la princesse Aisha illustre le positionnement discret mais influent de la jeune génération royale jordanienne : une jeunesse cultivée, engagée, et ancrée dans des valeurs de continuité familiale. Un événement chargé de grâce, à l’image de la mariée elle-même.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Formé à l’École Duperré et passé par les ateliers de Castelbajac ou Stella Cadente, Christophe Guillarmé a tracé sa voie avec exigence et audace. Depuis ses débuts à 21 ans, il impose un style unique, entre Glam’Rock, couture et féminité affirmée. Présent sur les plus grands tapis rouges – Cannes, Venise, Marrakech – le créateur habille aussi bien Paris Hilton que Julie Gayet, Lindsay Lohan, Haïfa Wehbe, Blanca Blanco ou Nora Arnezede…

À la veille de son envol pour Cannes, il ous reçoit dans son show-room niché sur les Champs-Élysées et nous dévoile ses robes les plus audacieuses, ses coups de cœur glamour et son irrésistible envie de fouler à nouveau le tapis rouge du Festival de Marrakech.

Depuis son showroom parisien, Christophe Guillarmé nous reçoit à la veille de son départ pour le festival du cinéma de Cannes
  • Quelles folies couture avez-vous glissées dans vos valises pour Cannes cette année ? Un scoop sur les célébrités que vous habillerez ?

Chaque année, je glisse dans mes valises quelques pièces inédites de la collection suivante — cette fois, été 2026. Parmi elles, une robe sirène en tulle crème rebrodée, à encolure bateau, avec des manchons surdimensionnés… une création que j’imagine déjà sur Victoria Silvstedt.
Je prépare aussi une robe hommage pour Hayley, la fille de David Hasselhoff — une silhouette forte, en clin d’œil à la robe rouge emblématique portée aux Golden Globes par sa maman récemment disparue. Ce sera un moment chargé d’émotion.

  • Votre style glamour a conquis les tapis rouges du monde entier. Qu’est-ce qui vous fait encore vibrer à Cannes après toutes ces années ?

L’adrénaline est toujours là, intacte. Le stress de proposer la bonne tenue au bon talent, de soigner chaque accessoire, chaque détail… Rien ne change. Et au-delà de la robe, il faut accompagner, rassurer, orchestrer l’entrée sur le tapis rouge. C’est un moment éphémère mais si intense.

Lors de la projection de Marriage Story au Festival International du Film de Marrakech
Delphine Wespiser, animatrice et Miss France dans une longue robe étages Christophe Guillarmé en tulle beige rebrodée de cristaux parée par Helena Joy, pochette Carmen Steffens
  • Si le tapis rouge était une scène de film, vous seriez… le héros, le scénariste ou le metteur en scène ?

Sans hésiter : scénariste, pour construire chaque silhouette au millimètre, et metteur en scène pour capter la lumière, guider les poses, attirer les photographes… Créer un moment de grâce.

77e Festival de Cannes – Montée des marches pour la CÉRÉMONIE D’OUVERTURE et la projection du film LE DEUXIÈME ACTE de QUENTIN DUPIEUX. L’actrice et mannequin Agatha Maksimova dans une longue robe sirène ivoire Christophe Guillarmé parée par Uchéal Paris, pochette De Marquet, Coiffure Eros Giuliani, maquillage F.A.M Fashion MakeUp & School
  • Après Cannes, mettrez-vous le cap sur le Festival International du Film de Marrakech ? Quels souvenirs gardez-vous des éditions précédentes ? Le Maroc vous inspire-t-il ?

Oh, Marrakech me manque ! J’y suis allé pendant dix éditions consécutives, mais depuis 2019, je n’ai pas pu y retourner. J’ai eu la chance d’habiller Asmaa Khamlichi, puis Leila Hadioui à ses débuts sur les réseaux sociaux. L’accueil du public marocain, la ferveur sur le tapis rouge… c’est unique.
Côté inspiration, les caftans sont une mine d’or. La broderie main, les finitions, les jeux de transparence… tout est d’une richesse inouïe. Et le cinéma marocain, à travers des réalisateurs comme Nour-Eddine Lakhmari que j’admire beaucoup, m’apporte aussi beaucoup de matière créative.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Dans le cadre de sa visite officielle en Azerbaïdjan, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, Présidente de la Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, s’est rendue ce lundi à l’Allée d’Honneur de Bakou pour y déposer une gerbe de fleurs sur la tombe du leader national Heydar Aliyev, figure emblématique de l’histoire moderne du pays.

Credit Photo : Map

Accueillie à son arrivée par M. Mohamed Orkhan, Grand Conseiller auprès du cabinet du Président de la République d’Azerbaïdjan, Son Excellence M. Ilham Aliyev, Son Altesse Royale a salué la mémoire de l’ancien président, père de l’indépendance contemporaine de l’AzerbaïdjanPoursuivant sa visite commémorative, la Princesse Lalla Hasnaa s’est également rendue à l’Allée des Martyrs, lieu hautement symbolique dédié aux hommes et femmes ayant donné leur vie pour la souveraineté du pays. Elle y a déposé des œillets rouges sur quatre tombes de martyrs, avant de fleurir la flamme éternelle, en hommage au sacrifice et à la bravoure de ces héros nationaux.

Credit Photo : Map

Cette visite officielle s’est déroulée en présence de plusieurs hauts responsables marocains : le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, M. Mohammed Mehdi Bensaid, l’ambassadeur de Sa Majesté le Roi à Bakou, M. Mohamed Adil Embarch, la Secrétaire générale de la Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, Lalla Nouzha Alaoui, ainsi que le Directeur général de la Maison de l’Artisan, M. Tarik Sadik.

Credit Photo : Map

Ce moment de recueillement illustre la profondeur des liens d’amitié et de respect mutuel entre le Royaume du Maroc et la République d’Azerbaïdjan, et témoigne de l’engagement de Son Altesse Royale en faveur de la mémoire, de l’histoire et du dialogue interculturel.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Invitée d’honneur du Festival international du tapis d’Azerbaïdjan, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a honoré de sa présence un événement célébrant un artisanat séculaire et identitaire. Une visite qui s’inscrit dans la continuité de son engagement constant en faveur de la préservation du patrimoine, de la valorisation des arts et de la promotion de la culture marocaine dans toute sa splendeur.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa visite à Bakou le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan (Photo Abdellah Lmidmani)

Une présence royale au cœur des traditions d’Orient

C’est dans le cadre historique de la vieille ville d’Icherisheher, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, que Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a visité, ce dimanche 4 mai à Bakou, le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan. En sa qualité de Présidente de la Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, elle a été chaleureusement accueillie par les autorités azerbaïdjanaises. SAR a parcouru les pavillons mettant à l’honneur les savoir-faire de plusieurs pays d’Asie centrale et assisté aux démonstrations de tissage, découvrant la richesse des motifs, la subtilité des couleurs et la précision des gestes qui caractérisent cet art ancestral. Elle a également visité le Centre des Arts Traditionnels et exploré l’exposition immersive « Zaman », véritable ode numérique à la culture et à l’histoire de l’Azerbaïdjan. Cette immersion dans les héritages tissés d’Orient s’inscrit dans le sillage de sa mission : celle d’honorer et de transmettre les cultures du monde, dans un esprit de respect mutuel et de mise en valeur des patrimoines vivants.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa visite à Bakou le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan (Photo Abdellah Lmidmani)

Un engagement culturel inscrit dans la durée

Figure de l’élégance et ambassadrice naturelle du raffinement marocain, la Princesse Lalla Hasnaa incarne une vision humaniste et engagée de la culture. Chaque année, elle préside la cérémonie d’ouverture du prestigieux Festival des musiques sacrées de Fès, symbole d’un dialogue spirituel et artistique entre les peuples. En 2023, elle avait déjà été l’invitée d’honneur du Fashion Trust Arabia à Marrakech, clôturant une année de mise en lumière du Maroc au Qatar. Elle y avait, avec sa grâce coutumière, célébré la créativité marocaine contemporaine dans le décor majestueux du Palais El Badii. Fine connaisseuse de la couture et porteuse fière du caftan marocain, SAR n’hésite pas à promouvoir les artisans et stylistes du Royaume à travers ses apparitions, alliant modernité, héritage et élégance. À chaque occasion, son engagement pour l’artisanat, la transmission des savoirs et la diplomatie culturelle témoigne d’une vision éclairée, où l’esthétique devient un langage universel et la culture un trait d’union entre les nations.

La Princesse Lalla Hasnaa et Cheikha Al Mayassa du Qatar, lors des festivités de clôture de l’année du Maroc au Qatar (Photo MAP)
0 commentaires
0 PinterestEmail
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter Lire Plus

Politique de confidentialité & de cookies
-
00:00
00:00
Update Required Flash plugin
-
00:00
00:00