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Ce mardi, la place du Dam à Amsterdam s’est transformée en théâtre de prestige à l’occasion de la visite d’État du sultan Haïtham ben Tariq d’Oman, reçu avec tous les honneurs par le roi Willem-Alexander et la reine Máxima des Pays-Bas. Si les discours officiels et les hymnes ont rythmé la cérémonie, deux figures ont particulièrement captivé l’attention : le souverain omanais par sa prestance discrète, et Máxima, éblouissante de raffinement.


Le roi d’Oman, entre tradition et modernité

Première visite officielle depuis son accession au trône en 2020, la venue du roi d’Oman a marqué un tournant diplomatique fort dans les relations entre Mascate et La Haye. D’une élégance sobre dans son habit traditionnel impeccablement porté, le sultan Haïtham a incarné la sagesse de sa fonction, tout en manifestant une ouverture chaleureuse, saluée par les autorités néerlandaises.

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Sa présence a été accueillie avec solennité, mais aussi avec une sincère curiosité : peu connu du grand public européen, le roi d’Oman a su séduire par son calme, son charisme discret et son regard bienveillant, témoins d’une stature monarchique assumée.

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Máxima, icône de style et de fidélité

Toujours attendue pour ses choix vestimentaires audacieux, la reine Máxima a surpris cette fois-ci par une allure très classique et résolument chic. Dans un élégant duo noir et blanc évoquant l’âge d’or hollywoodien, la souveraine a rappelé l’élégance iconique d’une Grace Kelly. Jupe évasée, capeline en raphia noire, escarpins Gianvito Rossi… chaque détail semblait minutieusement pensé.

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Mais le véritable clin d’œil mode se cachait dans la veste blanche signée Dior, que la reine avait déjà portée… en 2004, lors du mariage de son beau-frère, le prince Friso. Un choix plein de sens, à la fois durable, sentimental et parfaitement assumé.

Le sens du détail au service du protocole

Pour compléter son look, la reine arborait des gants de cuir noir et de grandes boucles d’oreilles en perles, ajoutant une touche théâtrale à son apparence raffinée. Ce style à la fois sobre et percutant tranchait avec ses looks habituellement plus colorés, mais traduisait un profond respect du protocole et de la solennité de l’événement.

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Un moment d’élégance et de diplomatie

Entre la noblesse tranquille du roi d’Oman et le classicisme revisité de la reine des Pays-Bas, cette journée d’accueil a offert un spectacle de grâce et de respect mutuel. Au-delà de la mode et des apparats, c’est bien l’alliance de la tradition et de la modernité que les deux monarchies ont célébrée ensemble, dans une harmonie parfaitement incarnée.

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Lors d’une brève visite en Italie ce mercredi, Sa Majesté la Reine Rania de Jordanie a été reçue par la Première ministre Giorgia Meloni à la Villa Doria Pamphili à Rome.

Office of Her Majesty Queen Rania Al Abdullah | Royal Hashemite Court

Au cours de cet échange, les deux dirigeantes ont abordé la situation humanitaire actuelle dans la bande de Gaza. La Reine Rania a exprimé sa gratitude pour le soutien humanitaire de l’Italie et ses efforts en faveur de la population civile.

Office of Her Majesty Queen Rania Al Abdullah | Royal Hashemite Court

La rencontre a également été l’occasion de souligner l’importance des relations bilatérales entre la Jordanie et l’Italie, notamment à travers les initiatives soutenues par la Coopération italienne au développement dans les domaines de l’éducation et de la protection de l’enfance et de la famille.

Office of Her Majesty Queen Rania Al Abdullah | Royal Hashemite Court

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Derrière son nom à rallonge — Alexandra Charlotte Ulrica Maryam Virginia de Hanovre — se cache une jeune femme bien ancrée dans son époque. Fille unique de la princesse Caroline de Monaco et du prince Ernst August de Hanovre, Alexandra de Hanovre cultive un équilibre subtil entre tradition aristocratique et aspirations modernes.

Alexandra de Hanovre
La princesse Alexandra de Hanovre lors de la Fête nationale monégasque, le 19 novembre 2023 à Monaco. (Getty Images)

Une naissance au carrefour des monarchies

Née le 20 juillet 1999 à Vöcklabruck, en Autriche, Alexandra est la seule descendante du couple princier uni en 1999. Son père descend de la maison de Hanovre, ancienne lignée régnante allemande, tandis que sa mère appartient à la célèbre famille Grimaldi. Si ses parents sont séparés depuis 2009 sans avoir officialisé leur divorce, Alexandra garde des liens forts avec ses deux héritages culturels. « Il y a des périodes où je me sens très monégasque, et d’autres où mon côté germanique prend le dessus », confiait-elle récemment dans une interview.

La princesse Caroline de Hanovre et sa fille
La princesse Caroline de Hanovre et sa fille, la princesse Alexandra de Hanovre, assistant ensemble au défilé Haute Couture printemps-été 2020 de Chanel, dans le cadre de la Fashion Week parisienne.
(Getty Images)

Une fratrie recomposée et soudée

Alexandra est la benjamine d’une grande fratrie issue des unions précédentes de ses parents. Côté paternel, elle a deux demi-frères, Ernst August Jr. et Christian, nés du premier mariage de son père avec Chantal Hochuli. Côté maternel, elle partage des liens solides avec Andrea, Pierre et Charlotte Casiraghi, enfants de Stefano Casiraghi, tragiquement disparu en 1990. Malgré leurs origines diverses, les membres de cette fratrie cosmopolite forment un clan uni, présent lors des grands événements du Rocher.

La princesse Alexandra de Hanovre (à gauche), Charlotte Casiraghi
La princesse Alexandra de Hanovre (à gauche), Charlotte Casiraghi (au centre) et la princesse Caroline de Hanovre (à droite) lors du Jumping International de Monte-Carlo en 2010.
(Getty Images)

Une étudiante curieuse, une lectrice passionnée

Si son éducation s’est déroulée loin des projecteurs, Alexandra a fait preuve d’une grande curiosité intellectuelle. D’abord attirée par les sciences politiques et la philosophie, elle a finalement trouvé sa voie dans la littérature. « À travers la fiction, on comprend souvent mieux la réalité », expliquait-elle avec sincérité.

La princesse Alexandra de Hanovre
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Une histoire d’amour discrète mais solide

Depuis 2016, Alexandra partage sa vie avec Ben Sylvester Strautmann, un entrepreneur allemand d’1,96 m au parcours étonnant. Ancien basketteur professionnel, diplômé en gestion d’entreprise à Londres, il a fondé une société de solutions digitales à Monaco, où le couple réside discrètement. Très complice, le duo partage aussi l’amour des animaux — leur mini-teckel au nom princier, Eloise Von Lexington, a même posé pour une ligne d’accessoires chic signée Céline !

La princesse Alexandra de Hanovre et son compagnon Ben Sylvester Strautmann
La princesse Alexandra de Hanovre et son compagnon Ben Sylvester Strautmann assistent au Bal de la Rose 2025, l’un des événements mondains les plus emblématiques de la principauté.
(Getty Images)

Une royauté moderne et en retrait

Alexandra de Hanovre, qui reste officiellement la seule descendante de la maison de Hanovre à posséder un titre royal, s’est toujours tenue à l’écart du tumulte médiatique. Préférant les bancs de l’université aux tapis rouges, elle incarne une génération de jeunes têtes couronnées à la fois ancrées dans leur époque et conscientes de leurs racines. Et si elle continue à évoluer dans l’ombre, c’est sans doute parce qu’elle a su trouver l’équilibre parfait entre destin royal et liberté personnelle.

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À 63 ans, George Clooney, star planétaire du grand écran, fait ses débuts à Broadway. Icône du cinéma, séducteur assumé puis mari et père comblé, il n’a cessé de se réinventer. Retour sur 12 dates qui racontent le parcours unique d’un homme passé de sex-symbol à légende vivante.

De la blouse blanche du docteur Ross aux rôles engagés derrière la caméra, George Clooney a tout incarné. Aujourd’hui, l’acteur oscarisé ajoute une nouvelle corde à son arc : le théâtre. Il monte sur scène pour la première fois à Broadway dans une pièce inspirée de Good Night, and Good Luck. L’occasion parfaite de feuilleter l’album d’une vie bien remplie.

George Clooney dans son rôle de George Burnett (Photo : Ron Tom/NBCU)

1. 6 mai 1961 : Naissance dans le Kentucky

George Timothy Clooney voit le jour à Lexington, dans une famille déjà exposée aux projecteurs : son père, Nick, est journaliste et animateur télé, sa mère, Nina, ancienne reine de beauté.

George Clooney entouré de ses parents Nick and Nina Clooney à la première de « Solaris » au Cinerama Dome à Hollywood, le 19 novembre 2002. (Photo Kevin Winter/ImageDirect)

2. Une enfance marquée par l’info et les images

Entre les studios de télévision et les plateaux d’enregistrement, George grandit dans un monde où le discours et la prestance sont rois. Un apprentissage de l’observation et de la répartie.

George Clooney à Los Angeles en 1990, en promotion de son film « Red Surf » (Photo Getty Images)

3. Premiers pas à l’écran dans les années 80

Avant d’être docteur Ross dans Urgences, il enchaîne les séries B, les apparitions dans des sitcoms et les petits rôles, parfois oubliables, comme dans Return of the Killer Tomatoes… mais persévère.

George Clooney dans le rôle de George Burnett dans Fact of Life (Photo Ron Tom/NBCU)

4. 1994 : Urgences le propulse au rang de star

Avec son rôle de médecin au cœur tendre et au regard perçant, il devient un phénomène mondial. Clooney entre dans les foyers et ne les quittera plus.

George Clooney dans le rôle de Doug Ross dans la série Urgences. (Photo Getty Images)

5. 1997 : Il refuse Batman & Robin 2

Après un Batman & Robin moqué, Clooney tourne le dos aux blockbusters sans âme. Ce virage stratégique marque son envie de reprendre le contrôle de sa carrière… et de ses choix artistiques.

6. 2000 : Premier amour médiatisé avec Céline Balitran

La France découvre Clooney autrement, au bras de l’ancienne serveuse parisienne devenue sa compagne pendant trois ans.

7. 2001 : Ocean’s Eleven et une filmographie interminable

Aux côtés de Brad Pitt et Matt Damon, il brille dans le film de braquage culte. Le succès donnera lieu à deux suites tout aussi populaires. S’en suivra en 2011 son rôle remarquable dans The Descendants et la reconnaissance critique. Dans ce drame poignant d’Alexander Payne, il impressionne par sa justesse. Le film reçoit de multiples nominations, dont celle de Clooney à l’Oscar du meilleur acteur. Clooney alterne comédie, thriller, politique et science-fiction, avec élégance et conscience dans bien d’autres films cultes à l’instar de Michael Clayton, Gravity, Up in the Air, O Brother, Where Art Thou?, The Ides of March…

7. 2005 : L’Oscar du virage politique

Avec Syriana, Clooney remporte l’Oscar du meilleur second rôle. Il impose son regard engagé sur le monde et devient aussi un réalisateur respecté.

George Clooney, Oscar du Meilleur acteur dans un second rôle pour le film Syriana au Kodak Theatre à Hollywood, Californie (Photo WireImage)

8. Les conquêtes : d’Ellen Barkin à Stacy Keibler

Avant Amal, il collectionne les romances avec des stars : Kelly Preston, Lisa Snowdon, Krista Allen, Sarah Larson, Elisabetta Canalis… Il reste longtemps l’un des célibataires les plus convoités du monde.

George Clooney et Stacy Keibler à la première du film ‘ The Descendants’, à Londres le 20 octobre 2011. (Photo Getty Images)
George Clooney et Kelly Preston en 1985. (Photo Getty Images)

9. 2013 : Amal entre dans sa vie

Avocate spécialisée dans les droits humains, brillante et indépendante, Amal Alamuddin fait chavirer le cœur du célibataire endurci. Le couple incarne un glamour conscient et assumé.

George et Amal Clooney à Venice avant leur cérémonie de mariage civil (Photo Getty Images)

10. 2017 : Naissance des jumeaux Ella et Alexander

Clooney découvre les joies – et les nuits blanches – de la paternité à 56 ans, et se retire quelque temps de la vie publique pour savourer ce bonheur discret.

11. Engagement humanitaire : le combat pour le Darfour et les droits humains

Depuis les années 2000, Clooney utilise sa notoriété pour alerter sur les crises humanitaires, notamment au Soudan. En 2016, il cofonde la Clooney Foundation for Justice avec Amal, pour défendre les victimes d’injustices à travers le monde. Il milite aussi activement pour les réfugiés, la démocratie et la liberté de la presse. Il reçoit le prix du messager de la paix en 2008 à New York et le Bob Hope Humanitarian Awards en 2010.

George Clooney et Barack Obama, lors d’une conférence de presse « SAVE DARFUR: Rally to Stop Genocide. » (Photo Getty Images)

12. 2025 : Broadway, nouveau chapitre

Pour la première fois de sa carrière, Clooney monte sur scène à New York. Une performance très attendue qui témoigne d’un désir constant de se réinventer.

George Clooney sur les planches de Broadway pour sa première pièce « Good Night, And Good Luck » au Winter Garden Theatre, le 3 avril 2025 à New York City. (Photo Getty Images)
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Val Kilmer est décédé : 10 choses à savoir sur le monstre sacré d’Hollywood

L’acteur américain, qui a tourné avec les plus grands réalisateurs, s’est éteint des suites d’un cancer du larynx diagnostiqué en 2015. Son empreinte sur le cinéma mondial restera à jamais indélébile.

Une image légendaire du film Top Gun, film culte sorti en 1986, dont Val Kilmer
Une image légendaire du film Top Gun, film culte sorti en 1986, dont Val Kilmer a partagé l’affiche avec Tom Cruise. (Photo Getty Images)

1. Une enfance marquée par le divorce de ses parents

Né à Los Angeles en 1959, Val Kilmer a grandi dans une famille éclatée. Ses parents se sont séparés alors qu’il n’avait que 8 ans, une épreuve qui l’a profondément marqué.

2. Le plus jeune élève admis à la Juilliard School

À seulement 17 ans, Kilmer devient l’un des plus jeunes étudiants à intégrer la prestigieuse Juilliard School, où il perfectionne son art dramatique aux côtés des plus grands.

Val Kilmer pose pour un portrait en 1984
Val Kilmer pose pour un portrait en 1984. (Photo Getty Images)

3. Un perfectionniste redouté sur les plateaux

Réputé pour son approche méthodique du métier, il a parfois eu des relations conflictuelles avec des réalisateurs, notamment sur Batman Forever et The Island of Dr. Moreau.

4. Une idylle avec Cher et d’autres stars de Hollywood

Avant son mariage avec Joanne Whalley, il a entretenu des relations avec Cher, Cindy Crawford et Michelle Pfeiffer.

Cher et Val Kilmer
Cher et Val Kilmer (Photo WireImage)
Michelle Pfeifer et Val Kilmer sur le tournage de « One too Many »
Michelle Pfeifer et Val Kilmer sur le tournage de « One too Many » en mai 1985. (Photo Getty Images)
Angelina Jolie et Val Kilmer lors de la première du film "Alexander" à Hollywood
Angelina Jolie et Val Kilmer lors de la première du film « Alexander » à Hollywood. (Photo WireImage)
Val Kilmer, Jim Carrey et Nicole Kidman en 1995
Val Kilmer, Jim Carrey et Nicole Kidman en 1995 à Las Vegas. (Photo FilmMagic)

5. Un rôle refusé dans Dirty Dancing

Kilmer aurait pu incarner Johnny Castle dans Dirty Dancing, mais il a refusé, craignant d’être catalogué comme un acteur de films romantiques.

6. Une performance bluffante en Jim Morrison

Dans The Doors d’Oliver Stone, il a interprété toutes les chansons lui-même, au point que les membres du groupe peinaient à distinguer sa voix de celle de Morrison.

Val Kilmer joue Jim Morrison dans le film 'The Doors'
Val Kilmer joue Jim Morrison dans le film ‘The Doors’, 1991. (Photo Getty Images)

7. Son fils Jack, un acteur en pleine ascension

Son fils Jack Kilmer a suivi ses traces et a joué dans des films comme Palo Alto et Lords of Chaos.

Val Kilmer et son fils Jack Kilmer avec la réalisatrice Eva Dolezalova
Val Kilmer et son fils Jack Kilmer avec la réalisatrice Eva Dolezalova, le 14 juin 2018 à Hollywood. (Photo Getty Images)

8. Un combat acharné contre le cancer du larynx

Diagnostiqué en 2015, il a subi plusieurs opérations et une trachéotomie, perdant presque totalement sa voix. Il a néanmoins continué à jouer et à apparaître dans des documentaires.

Val Kilmer à New York City
Val Kilmer à New York City, le 20 juillet 2019. (Photo Getty Images)

9. Un retour bouleversant dans Top Gun: Maverick

Malgré la maladie, il a repris son rôle d’Iceman dans la suite de Top Gun, offrant une scène émouvante face à Tom Cruise.

10. Un héritage immortel

Val Kilmer laisse derrière lui une filmographie impressionnante et un documentaire intime, Val, qui retrace sa vie et sa carrière avec une sincérité poignante.

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Le 27 mars 2025, Sa Majesté le Roi Mohammed VI a présidé une veillée religieuse à l’occasion de Laylat Al-Qadr, la Nuit du Destin, marquant l’une des dernières soirées du mois sacré du Ramadan.

Lors de cette veillée, Sa Majesté était accompagné de SAR le Prince héritier Moulay El-Hassan, SAR le Prince Moulay Rachid, ainsi que de son fils aîné, le Prince Moulay Ahmed. Le Prince Moulay Ismaïl était également présent. Une photo officielle diffusée par l’agence de presse MAP montre le Roi saluant un participant, symbolisant l’atmosphère conviviale et spirituelle de cette nuit exceptionnelle.

Les prières d’Al-Icha et des Tarawih ont été récitées, marquant un moment de grande dévotion et de prière collective. Cette année, c’est une jeune lauréate, Meriem Assim, âgée de 12 ans, qui a eu l’honneur de réciter les versets du Coran. Elle a remporté le Prix national Mohammed VI de mémorisation, de déclamation et de psalmodie du Saint Coran, une distinction prestigieuse soulignant son excellence dans la pratique coranique.

Aux côtés des membres de la famille royale, des personnalités importantes ont pris part à cette veillée, notamment le Premier ministre, les présidents des deux chambres du parlement, des représentants du gouvernement, des diplomates des pays islamiques accrédités au Maroc, des officiers supérieurs des Forces armées royales, ainsi que des oulémas du royaume.

Cette veillée de Laylat Al-Qadr s’inscrit dans la tradition et l’esprit du Ramadan, rappelant l’importance de la prière et de la réflexion spirituelle pour les musulmans du monde entier.

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Usha Vance

Avocate de renom, femme de convictions et figure montante de la scène politique américaine, Usha Vance s’impose progressivement comme une personnalité influente à la Maison-Blanche. D’origine indienne, cette juriste brillante incarne une nouvelle génération de femmes engagées, entre discrétion et impact stratégique.

Usha Vance lors de la cérémonie d’investiture du président Donald Trump
Usha Vance lors de la cérémonie d’investiture du président Donald Trump, dans la rotonde du Capitole à Washington, D.C., le 20 janvier 2025.
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Des racines indiennes à une éducation d’excellence

Née en 1986 à San Diego, en Californie, Usha Bala Chilukuri est issue d’une famille d’immigrants indiens de langue télougou. Ses parents, Radhakrishna et Lakshmi Chilukuri, ont quitté l’Inde dans les années 1980 en quête d’un avenir meilleur aux États-Unis. Grandissant dans un foyer où l’éducation et le travail acharné étaient des piliers, Usha excelle très tôt dans ses études.

La seconde dame et la première dame Melania Trump
La seconde dame et la première dame Melania Trump échangant un regard complice alors que le président américain Donald Trump s’adresse aux invités et à ses partisans dans une salle annexe d’Emancipation Hall, après son investiture au Capitole des États-Unis, le 20 janvier 2025, à Washington, D.C.
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Après un parcours brillant à Yale University, elle intègre la prestigieuse Yale Law School, où elle se distingue par son esprit analytique et sa rigueur intellectuelle. C’est également à Yale qu’elle rencontre J.D. Vance, futur sénateur de l’Ohio et aujourd’hui vice-président des États-Unis.

Une carrière juridique au plus haut niveau

Diplômée en droit, Usha Vance se forge rapidement une réputation dans le milieu juridique américain. Elle exerce en tant qu’avocate plaidante et travaille auprès des plus hautes instances du pays. Son passage comme clerc auprès du juge en chef John Roberts à la Cour suprême des États-Unis témoigne de son excellence et de son influence croissante dans les cercles judiciaires.

e vice-président des États-Unis, J.D. Vance, et son épouse Usha Vance
Le vice-président des États-Unis, J.D. Vance, et son épouse Usha Vance partagent un tendre moment en dansant sur The Battle Hymn of the Republic lors du bal inaugural du Commandant en chef, au Walter E. Washington Convention Center, à Washington, D.C., le 20 janvier 2025.
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Spécialisée en droit des affaires et en litiges constitutionnels, elle rejoint le cabinet Munger, Tolles & Olson LLP, où elle mène des affaires complexes avec une précision remarquable. Engagée dans des causes pro bono, elle défend également des dossiers liés aux droits civiques et à l’accès à la justice, renforçant ainsi son image d’avocate engagée.

Un rôle clé aux côtés du vice-président J.D. Vance

Si Usha Vance s’est longtemps tenue à l’écart de la politique, l’ascension de son mari a progressivement changé la donne. Mariée à J.D. Vance depuis 2014, elle est restée discrète lors de ses campagnes électorales, préférant se consacrer à leur famille et à sa carrière. Mais son rôle évolue après l’élection de son époux à la vice-présidence en janvier 2025.

Le président français Emmanuel Macron et son épouse Brigitte Macron
PARIS, FRANCE – 11 FÉVRIER : Le président français Emmanuel Macron et son épouse Brigitte Macron accueillent le vice-président américain J.D. Vance et son épouse Usha Vance avant un déjeuner de travail en marge du sommet Action sur l’Intelligence Artificielle (IA).
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Devenue Second Lady des États-Unis, elle commence à occuper un espace plus visible sur la scène publique. Lors d’un récent déplacement officiel au Groenland, elle a marqué les esprits par son approche diplomatique et son intérêt pour les questions environnementales et stratégiques. Son positionnement, bien que mesuré, laisse entrevoir un engagement croissant dans les affaires publiques.

Une identité multiculturelle au cœur de son engagement

Fière de ses origines indiennes, Usha Vance incarne une nouvelle génération de femmes influentes à la Maison-Blanche. Première femme d’origine asiatique et première hindoue à occuper la fonction de Second Lady, elle représente une Amérique plurielle et ouverte sur le monde.

Donald trump
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Dans sa vie privée, elle jongle entre traditions et modernité. Élevée dans la culture hindoue, elle partage aujourd’hui son quotidien avec un mari catholique, dans un respect mutuel des croyances et des valeurs. Cette double culture nourrit son approche des relations internationales et de la diversité aux États-Unis. Ensemble, ils ont trois enfants : Ewan (né en 2017), Vivek (né en 2020) et Mirabel (née en 2021).

Le vice-président américain J.D. Vance la second lady Usha Vance et leurs enfants
Le vice-président américain J.D. Vance la second lady Usha Vance et leurs enfants montent sur scène lors de leur arrivée à la parade inaugurale, au sein du Capital One Arena, à Washington, D.C., le 20 janvier 2025.
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Quel avenir pour Usha Vance ?

Si son rôle reste pour l’instant en retrait, Usha Vance pourrait progressivement s’imposer comme une figure de premier plan. Son expertise juridique, son réseau influent et son image de femme engagée en font une personnalité à suivre de près. Entre diplomatie discrète et engagement stratégique, Usha Vance façonne à sa manière le rôle de Second Lady. À l’ombre du pouvoir, elle pourrait bien devenir une force incontournable des prochaines années.

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Championne en titre du Rallye Aïcha des Gazelles, Jawhara Bennani incarne l’aventure, la passion et la détermination, des valeurs héritées de sa mère, Dounia Mazhar Bennani. Depuis son enfance, elle l’a vue s’élancer sur les pistes, forgeant une passion qui les unit aujourd’hui en compétition. En 2023, elles ont marqué l’histoire en remportant ensemble le rallye, un tournant dans leur relation et leur parcours.

Le 12 avril, mère et fille repartiront pour un défi encore plus grand. Avec un nouveau véhicule à dompter et des ambitions élevées, cette édition mettra à l’épreuve leur complicité et leur ténacité. Mais au-delà de la course, c’est un héritage qui se transmet, une aventure humaine où se mêlent liens familiaux et dépassement de soi. Pour Jawhara, chaque rallye est bien plus qu’une compétition : c’est un voyage intérieur, une quête de nouvelles réponses et de renouveau.

Credit Photo : @Jawhara Bennani
  • Vous aviez déjà remporté le Rallye Aïcha des Gazelles avec votre maman lors d’une précédente édition. Cette année, vous repartez avec elle pour cette nouvelle aventure. Qu’attendez-vous de cette expérience et quels sont vos nouveaux objectifs pour cette édition ? Pensez-vous que cette année sera différente ?

Je suis impatiente de repartir avec ma maman, car ce rallye représente bien plus qu’une simple compétition. C’est un moment précieux que nous allons partager pendant 15 jours, en tête-à-tête. Aujourd’hui, étant moi-même maman, je réalise encore davantage la valeur de ces instants passés ensemble, loin du quotidien. Nous vivons dans des villes différentes, donc ces moments sont rares et d’autant plus précieux. Concernant mes objectifs, je remets en jeu mon titre pour la troisième fois. Bien sûr, j’aspire à le conserver, mais cela ne sera pas facile. Le niveau des participantes est élevé, et les défis cette année seront plus complexes. Le nouveau véhicule que je vais conduire – un 4×4 automatique – est également un tout nouveau challenge, moi qui suis habituée aux pick-ups en boîte mécanique. Mais je suis confiante, mon expérience et ma détermination sont mes meilleurs atouts. Ce défi est un terrain parfait pour repousser mes limites et donner le meilleur de moi-même.

Credit Photo : @Jawhara Bennani
  • L’année dernière, vous avez remporté le rallye avec votre coéquipière Siham. Comment cette expérience a-t-elle été différente de celle avec votre maman ? Quels enseignements de cette expérience précédente comptez-vous appliquer cette année avec votre maman ?

L’année dernière, mon expérience avec Siham a été très différente, surtout parce que c’était sa toute première course. Il a fallu créer une synergie, notamment en navigation, ce qui demandait une grande concentration de ma part pour l’accompagner au mieux. J’ai dû être très présente, guider chaque étape, veiller à ce que nous soyons parfaitement synchronisées. Avec ma mère, c’est une relation de confiance totale. Elle connaît bien le rallye, et j’ai toujours eu une confiance absolue en elle. Cette année, je veux toutefois me concentrer davantage sur tous les aspects du rallye. Même avec ma maman, je souhaite vivre cette expérience pleinement, partager chaque instant et profiter de chaque leçon que nous pourrons en tirer ensemble.

  • Le Rallye Aïcha des Gazelles est un défi aussi bien physique que psychologique. L’année dernière, vous avez dû laisser vos enfants pour participer. Est-ce un stress que vous ressentez encore, ou avez-vous trouvé un équilibre plus serein cette année pour concilier votre rôle de maman et votre participation au rallye ?

C’est toujours difficile de quitter mes enfants pendant 15 jours. Mais au fil des années, j’ai appris à voir cette expérience sous un autre angle. Oui, c’est un sacrifice, mais le retour est tellement enrichissant. Cette aventure me permet de me ressourcer, de revenir plus forte, plus déterminée, prête à affronter l’année avec une énergie renouvelée. Mes enfants suivent toujours la course avec beaucoup d’attention et de fierté, et à chaque retour, ils sont tellement heureux de me retrouver. C’est ce qu’on appelle un mal pour un bien. Cet équilibre, je l’ai trouvé avec le temps. Je sais que cette expérience me nourrit, et en retour, elle m’apporte une force que je peux transmettre dans ma vie de famille et professionnelle. C’est un juste milieu que j’ai appris à apprécier au fil des courses.

Credit Photo : @Maienga
  • Vous évoquez souvent votre passion pour le rallye. Qu’est-ce qui vous pousse à vous investir autant dans cette aventure ? Quelles sont les valeurs ou les aspects du rallye qui vous inspirent particulièrement, que ce soit sur le plan personnel ou professionnel ?

Le rallye est pour moi une quête de dépassement de soi. À chaque course, je me trouve face à mes propres limites, et c’est là que je trouve les réponses que je cherche. Cette aventure me permet d’apprendre sur moi-même, de me surpasser, et cette expérience me nourrit bien au-delà du sport. Les valeurs que je trouve dans le rallye – persévérance, esprit d’équipe, résilience – résonnent dans ma vie quotidienne et professionnelle. Ce sont des valeurs que je transmets également à mes enfants, comme ma mère l’a si bien fait avec moi durant mon enfance. J’y tiens vraiment ! Le rallye n’est pas seulement une compétition, c’est une véritable école de vie. Les amitiés qui se tissent au fil des épreuves, les leçons apprises sur le terrain, tout cela enrichit mon existence. C’est une expérience inoubliable et unique qui me pousse à continuer et à repousser sans cesse mes limites.

Credit Photo : @Jawhara Bennani
  • Après toutes ces années d’aventure et de défis, quel est votre avenir dans ce domaine ? Avez-vous d’autres projets qui vous tiennent à cœur pour l’avenir ?

Après toutes ces années, le rallye Aïcha des Gazelles continue de m’apporter de nouveaux défis, mais je ne m’arrête pas là. J’ai récemment participé à la finale du Championnat du Monde de Rallye Raid, un rallye mixte alliant vitesse et endurance. C’était une expérience incroyable, et elle a renforcé ma conviction qu’il y a encore beaucoup à accomplir dans ce domaine. Je n’ai pas l’intention de m’arrêter en si bon chemin. Je veux continuer à participer au Rallye Aïcha des Gazelles, mais je rêve également de participer à d’autres courses internationales, notamment le championnat du monde de rallye raid W2RC. C’est un environnement encore très masculin, mais je suis convaincue que, avec détermination et persévérance, nous, les femmes, trouverons notre place petit à petit. Mon objectif ultime ? Le Dakar 2026, Inch’Allah. C’est un rêve que je nourris depuis longtemps, et je suis prête à tout donner pour y parvenir.

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Dans la nuit du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, le Maroc a perdu l’une de ses plus grandes voix. Naïma Samih, icône intemporelle de la musique marocaine, s’est éteinte à l’âge de 71 ans après un long combat contre la maladie. Récompensée en 2006 du Wissam Alaouite par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, elle laisse derrière elle un héritage musical inestimable.

Naima Samih performe au 37e Carthage international festival à Tunis le 23 août 2001 face à 12,000 spectateurs. (Photo Getty Images)

La vie d’une diva : Un destin hors du commun

Née en 1954 à Casablanca, dans le quartier populaire de Derb Sultan, Naïma Samih a su s’imposer dans le cœur des Marocains grâce à sa voix profonde et émouvante. Issue d’une famille modeste, elle a d’abord travaillé dans la coiffure et l’esthétique pour subvenir aux besoins des siens, avant de révéler son talent au grand public via l’émission « Mawahib » dans les années 70.

Son interprétation magistrale de « Yak A Jarhi » l’a propulsée au rang de légende. D’autres titres, comme « El Khatem » ou « Ala Ghafla », ont consolidé son statut d’icône de la chanson marocaine. Son succès a dépassé les frontières du Royaume, marquant aussi bien le monde arabe que la scène internationale.

Son concert à Carthage en 1980 est resté gravé dans les mémoires, confirmant son aura et son influence dans le monde arabe. En 2021, un livre en son honneur a rassemblé les témoignages de nombreuses personnalités marocaines et arabes, saluant son immense contribution à la culture musicale.

Le Roi Mohammed VI salue la chanteuse Naima Samih le 30 juillet 2006, lors des célébrations du 7e anniversaire de l’intronisation du Roi au palais royal de Rabat (Photo Getty Images)

Une pluie d’hommages pour une légende

L’annonce de son décès a suscité une vague d’émotion sur les réseaux sociaux. De nombreuses figures de la musique et de la culture ont partagé leur tristesse et leur admiration pour celle qui a marqué des générations entières. L’icône de la chanson marocaine Latifa Raafat a écrit : « Allah est le plus grand. Inna lillahi wa inna ilayhi rajioun. Au revoir ma chérie Adieu icône adieu légende.. Nous ne disons que ce qui plaît à notre Seigneur. Inna lillahi wa inna ilayhi rajioun… », se fendant dans une longue prière pour la défunte. « Que Dieu vous fasse miséricorde madame et vos chants resteront à écouter chaque fois que nous nous sentirons nostalgique du beau passé. » a écrit l’acteur Rachid El Ouali.

Le Maroc pleure l’une de ses plus belles voix, une artiste qui a su transcender le temps et toucher les âmes avec sa sincérité et son talent inégalé.

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