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Formé à l’École Duperré et passé par les ateliers de Castelbajac ou Stella Cadente, Christophe Guillarmé a tracé sa voie avec exigence et audace. Depuis ses débuts à 21 ans, il impose un style unique, entre Glam’Rock, couture et féminité affirmée. Présent sur les plus grands tapis rouges – Cannes, Venise, Marrakech – le créateur habille aussi bien Paris Hilton que Julie Gayet, Lindsay Lohan, Haïfa Wehbe, Blanca Blanco ou Nora Arnezede…

À la veille de son envol pour Cannes, il ous reçoit dans son show-room niché sur les Champs-Élysées et nous dévoile ses robes les plus audacieuses, ses coups de cœur glamour et son irrésistible envie de fouler à nouveau le tapis rouge du Festival de Marrakech.

Depuis son showroom parisien, Christophe Guillarmé nous reçoit à la veille de son départ pour le festival du cinéma de Cannes
  • Quelles folies couture avez-vous glissées dans vos valises pour Cannes cette année ? Un scoop sur les célébrités que vous habillerez ?

Chaque année, je glisse dans mes valises quelques pièces inédites de la collection suivante — cette fois, été 2026. Parmi elles, une robe sirène en tulle crème rebrodée, à encolure bateau, avec des manchons surdimensionnés… une création que j’imagine déjà sur Victoria Silvstedt.
Je prépare aussi une robe hommage pour Hayley, la fille de David Hasselhoff — une silhouette forte, en clin d’œil à la robe rouge emblématique portée aux Golden Globes par sa maman récemment disparue. Ce sera un moment chargé d’émotion.

  • Votre style glamour a conquis les tapis rouges du monde entier. Qu’est-ce qui vous fait encore vibrer à Cannes après toutes ces années ?

L’adrénaline est toujours là, intacte. Le stress de proposer la bonne tenue au bon talent, de soigner chaque accessoire, chaque détail… Rien ne change. Et au-delà de la robe, il faut accompagner, rassurer, orchestrer l’entrée sur le tapis rouge. C’est un moment éphémère mais si intense.

Lors de la projection de Marriage Story au Festival International du Film de Marrakech
Delphine Wespiser, animatrice et Miss France dans une longue robe étages Christophe Guillarmé en tulle beige rebrodée de cristaux parée par Helena Joy, pochette Carmen Steffens
  • Si le tapis rouge était une scène de film, vous seriez… le héros, le scénariste ou le metteur en scène ?

Sans hésiter : scénariste, pour construire chaque silhouette au millimètre, et metteur en scène pour capter la lumière, guider les poses, attirer les photographes… Créer un moment de grâce.

77e Festival de Cannes – Montée des marches pour la CÉRÉMONIE D’OUVERTURE et la projection du film LE DEUXIÈME ACTE de QUENTIN DUPIEUX. L’actrice et mannequin Agatha Maksimova dans une longue robe sirène ivoire Christophe Guillarmé parée par Uchéal Paris, pochette De Marquet, Coiffure Eros Giuliani, maquillage F.A.M Fashion MakeUp & School
  • Après Cannes, mettrez-vous le cap sur le Festival International du Film de Marrakech ? Quels souvenirs gardez-vous des éditions précédentes ? Le Maroc vous inspire-t-il ?

Oh, Marrakech me manque ! J’y suis allé pendant dix éditions consécutives, mais depuis 2019, je n’ai pas pu y retourner. J’ai eu la chance d’habiller Asmaa Khamlichi, puis Leila Hadioui à ses débuts sur les réseaux sociaux. L’accueil du public marocain, la ferveur sur le tapis rouge… c’est unique.
Côté inspiration, les caftans sont une mine d’or. La broderie main, les finitions, les jeux de transparence… tout est d’une richesse inouïe. Et le cinéma marocain, à travers des réalisateurs comme Nour-Eddine Lakhmari que j’admire beaucoup, m’apporte aussi beaucoup de matière créative.

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C’est un voyage aux couleurs intenses et aux émotions profondes que Delphine Wespiser vient de vivre au Maroc. De l’énergie vibrante de Taghazout à la magie intemporelle de Marrakech, la sublime ex miss France s’est laissée porter par les éléments, la lumière, les rencontres… et une cause qui lui tient à cœur. Un séjour comme une parenthèse enchantée, entre émerveillement et engagement.

Credit Photo : Virginie Gazzola

Delphine Wespiser est une habituée du Maroc, un pays qu’elle connaît bien et qu’elle semble apprecier pour la diversité de ses paysages et de ses cultures. Lors de chacun de ses séjours, elle prend le temps de découvrir de nouvelles facettes du Maroc, qu’il s’agisse de ses plages, de ses montagnes ou de ses villes animées. À chaque visite, elle s’imprègne de l’atmosphère locale et de l’accueil chaleureux des habitants, contribuant ainsi à renforcer ses liens avec le Royaume.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« Je suis venue au Maroc pour assister au festival Xperienza au Radisson Blu de Taghazout. C’était absolument magique ! La déco, les couleurs, les DJ… tout tournait autour des éléments naturels : feu, air, terre, eau. On devait même se déguiser en fonction de notre signe. Moi, je suis Terre, et ça ne m’étonne pas : je suis très connectée à la nature, aux animaux. »

Credit Photo : Virginie Gazzola

Un lien à la nature qu’elle a retrouvé dans les activités proposées : premiers pas en surf, quad dans le désert, cuisine locale en bord de mer… et une parenthèse bien-être inoubliable.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« A Taghazout, j’ai eu le droit a l’un des trois meilleurs massages de ma vie. Les senteurs, les mains expertes… j’étais complètement ailleurs. Le Maroc, c’est un enchantement des sens à chaque instant. »

Credit Photo : Virginie Gazzola

Mais son voyage ne s’est pas arrêté là. Avant de reprendre l’avion, l’animatrice et chroniqueuse de la télévision française s’est rendue à Marrakech pour visiter et soutenir l’association Nos Amis pour la Vie, qui recueille et soigne des chiens maltraités au Maroc.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« Ça m’a bouleversée. J’ai beaucoup pleuré en voyant l’état de certains animaux… J’ai lancé un appel aux dons sur mes réseaux. J’aimerais vraiment que les choses bougent, que la gestion de la cause animale évolue ici. Les animaux méritent notre protection. »

Profondément marquée par cette rencontre, Delphine repart avec des souvenirs vibrants, mais aussi un message à transmettre : « Le Maroc m’a offert du rêve. Je veux, à mon tour, offrir un peu d’espoir aux êtres vivants qu’on oublie trop souvent. »

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Invitée d’honneur du Festival international du tapis d’Azerbaïdjan, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a honoré de sa présence un événement célébrant un artisanat séculaire et identitaire. Une visite qui s’inscrit dans la continuité de son engagement constant en faveur de la préservation du patrimoine, de la valorisation des arts et de la promotion de la culture marocaine dans toute sa splendeur.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa visite à Bakou le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan (Photo Abdellah Lmidmani)

Une présence royale au cœur des traditions d’Orient

C’est dans le cadre historique de la vieille ville d’Icherisheher, classée au patrimoine mondial de l’UNESCO, que Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a visité, ce dimanche 4 mai à Bakou, le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan. En sa qualité de Présidente de la Fondation pour la sauvegarde du patrimoine culturel de Rabat, elle a été chaleureusement accueillie par les autorités azerbaïdjanaises. SAR a parcouru les pavillons mettant à l’honneur les savoir-faire de plusieurs pays d’Asie centrale et assisté aux démonstrations de tissage, découvrant la richesse des motifs, la subtilité des couleurs et la précision des gestes qui caractérisent cet art ancestral. Elle a également visité le Centre des Arts Traditionnels et exploré l’exposition immersive « Zaman », véritable ode numérique à la culture et à l’histoire de l’Azerbaïdjan. Cette immersion dans les héritages tissés d’Orient s’inscrit dans le sillage de sa mission : celle d’honorer et de transmettre les cultures du monde, dans un esprit de respect mutuel et de mise en valeur des patrimoines vivants.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa visite à Bakou le Festival international du tapis d’Azerbaïdjan (Photo Abdellah Lmidmani)

Un engagement culturel inscrit dans la durée

Figure de l’élégance et ambassadrice naturelle du raffinement marocain, la Princesse Lalla Hasnaa incarne une vision humaniste et engagée de la culture. Chaque année, elle préside la cérémonie d’ouverture du prestigieux Festival des musiques sacrées de Fès, symbole d’un dialogue spirituel et artistique entre les peuples. En 2023, elle avait déjà été l’invitée d’honneur du Fashion Trust Arabia à Marrakech, clôturant une année de mise en lumière du Maroc au Qatar. Elle y avait, avec sa grâce coutumière, célébré la créativité marocaine contemporaine dans le décor majestueux du Palais El Badii. Fine connaisseuse de la couture et porteuse fière du caftan marocain, SAR n’hésite pas à promouvoir les artisans et stylistes du Royaume à travers ses apparitions, alliant modernité, héritage et élégance. À chaque occasion, son engagement pour l’artisanat, la transmission des savoirs et la diplomatie culturelle témoigne d’une vision éclairée, où l’esthétique devient un langage universel et la culture un trait d’union entre les nations.

La Princesse Lalla Hasnaa et Cheikha Al Mayassa du Qatar, lors des festivités de clôture de l’année du Maroc au Qatar (Photo MAP)
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Le pape François s’est éteint ce lundi à l’âge de 88 ans. En hommage à cette figure de paix et de dialogue, retour en images sur sa visite historique au Maroc en 2019, marquée par une rencontre fraternelle avec le roi Mohammed VI et des moments forts de spiritualité et d’unité.

Le pape François est décédé lundi matin à l’âge de 88 ans, a annoncé le Vatican dans un communiqué empreint de solennité. “C’est avec une profonde tristesse que je dois annoncer le décès de notre Saint-Père François”, a déclaré le cardinal Kevin Farrell. Le souverain pontife s’est éteint paisiblement au lendemain de sa dernière apparition publique, lors des célébrations de Pâques sur la place Saint-Pierre à Rome. Sorti récemment de l’hôpital après une longue hospitalisation pour une pneumonie bilatérale, il laisse derrière lui un héritage de paix, de dialogue interreligieux et d’humanité.

Pape François et Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de la visite du Chef du Vatican au royaume Chérifien les 30 et 31 mars 2019. (Photo Getty Images)
Pape François et Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de la visite du Chef du Vatican au royaume Chérifien les 30 et 31 mars 2019. (Photo Getty Images)
Pape François et Sa Majesté le Roi Mohammed VI lors de la visite du Chef du Vatican au royaume Chérifien les 30 et 31 mars 2019. (Photo Getty Images)

En hommage à cette figure emblématique, retour en images sur sa visite historique au Maroc en mars 2019. Accueilli par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le pape François avait marqué les esprits par une rencontre d’une intensité rare, empreinte de spiritualité, d’ouverture et de fraternité. Durant ce voyage, il avait visité l’Institut Mohammed VI de formation des imams, saluant la vision marocaine d’un Islam modéré. Son discours au Complexe sportif Moulay Abdellah à Rabat, devant des milliers de fidèles, demeure un moment inoubliable de communion et de tolérance.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI avec le Pape François en visite au Maroc les 30 et 31 mars 2019, entouré de son illustre famille, le Prince héritier Moulay El Hassan, le Prince Moulay Rachid, la Princesse Lalla Khadija, LL.AA.RR les princesses Lalla Meryem, Lalla Hasnaa, Lalla Asmaa et Lalla Oum Keltoum portant son aîné Moulay Ahmad. (Photo Getty Images)

Argentin d’origine, Jorge Mario Bergoglio – devenu le pape François en 2013 – restera dans les mémoires comme le pontife de la proximité, de l’humilité et du renouveau. Premier pape issu du continent sud-américain, il a su tisser des liens profonds entre les cultures, les confessions et les peuples, incarnant avec force les valeurs de paix et de solidarité universelle.

Le Pape François sur l’esplanade de la Tour Hassan à Rabat lors de sa visite au Maroc les 30 et 31 mars 2019 (Photo Getty Images)
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À seulement huit mois, la princesse Iman de Jordanie a déjà marqué son premier voyage à l’étranger. Un moment symbolique partagé avec ses parents, le prince héritier Hussein et la princesse Rajwa, tous trois éclatants de bonheur.

Une première apparition à l’international

C’est une image pleine de tendresse et de lumière qui a été dévoilée le 13 avril. On y découvre la princesse Iman, blottie dans les bras de sa mère Rajwa, lors de son premier déplacement hors du royaume hachémite. À leurs côtés, le prince héritier Hussein, tout sourire, ainsi que le roi Hamad de Bahreïn, accueillant avec chaleur cette famille princière lors de leur visite privée.

© Royal Hashemite Court

La photographie rapidement fait le tour des réseaux sociaux, notamment grâce au compte Instagram du prince Hussein, suivi par plus de 5 millions d’abonnés.

Une famille resplendissante

Plus que la première photo de voyage d’Iman, c’est une image qui illustre une belle harmonie familiale. Le prince Hussein et Rajwa, tous deux radieux, entourent leur fille avec affection et fierté. Ce trio princier lumineux incarne la modernité et la tendresse d’une nouvelle génération de souverains. Le choix de Bahreïn pour cette première sortie n’est pas anodin : le pays entretient des liens étroits avec la Jordanie, et le cadre discret d’un voyage privé, probablement à l’occasion du Grand Prix de Formule 1, offrait une belle opportunité de mêler diplomatie et intimité familiale.

Une princesse déjà chère au cœur du royaume

Iman a vu le jour le 3 août 2024. Dès sa naissance, la fillette a conquis les cœurs des Jordaniens et de ses grands-parents la reine Rania et le roi Abdallah II, heureux d’embrasser leurs nouveaux rôles de grand-mère et grand-père. Huit mois plus tard, la petite princesse poursuit son entrée dans la lumière, doucement, avec élégance.

Un message d’amour à travers les générations

Quelques semaines avant cette apparition, en mars, le prince Hussein avait déjà ému ses abonnés avec un message plein de douceur, adressé à sa mère, sa femme et sa fille, à l’occasion de la Fête des Mères.

« À ma mère bien-aimée et à mon épouse aimante, votre présence remplit nos vies de joie, et votre amour est un véritable don. »

Un hommage délicat, reflet d’un jeune père attentif et profondément attaché à sa famille.

© Royal Hashemite Court

Une relève en marche, empreinte de douceur

Ce premier voyage d’Iman n’est sans doute que le début d’une longue série d’apparitions publiques, toujours entourée de ses parents exemplaires. Rajwa et Hussein, jeunes et inspirants, incarnent une nouvelle image de la royauté, moderne, unie et profondément humaine. Et Iman, dans leurs bras, semble déjà briller de la même lumière.

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Le 11 avril 2025, le prince héritier de Dubaï, Hamdan bin Mohammed Al Maktoum, a émerveillé ses millions de followers en partageant la première photo de sa fille, la princesse Hind, née le 22 mars 2025, en plein mois de Ramadan. Ce précieux moment a été un véritable symbole de joie et de bénédiction pour la famille royale, mais aussi pour tout le peuple émirati.

Prince Hamdan bin Mohammed Al Maktoum de Dubaï avec sa fille Hind, née le 22 mars dernier (Photo instagram)

Dans cette image émouvante, le prince apparaît aux côtés de sa fille, tout de blanc vêtus, entourée de l’amour et de la tendresse de sa famille. La naissance de la petite Hind, quelques mois après celle de son frère Mohammed en février 2023, est un signe de renouveau et de prospérité pour la famille royale de Dubaï.

La photo a rapidement fait le tour des réseaux sociaux, générant des vagues de félicitations et de vœux de bonheur. Pour le prince, qui est déjà père de jumeaux nés en mai 2021, Hind représente un nouveau rayon de lumière dans sa vie et dans celle de son épouse, Cheikha Shaikha bint Saeed bin Thani Al Maktoum. L’arrivée de cette petite fille, née en plein mois sacré, est perçue par beaucoup comme un cadeau divin et un signe d’espoir pour l’avenir des Émirats arabes unis.

Le Prince Hamdan : Un héritier moderne au cœur de la tradition

Hamdan bin Mohammed Al Maktoum, surnommé “Fazza”, continue de susciter l’admiration pour sa capacité à incarner la modernité tout en honorant les traditions de sa culture. En plus de son rôle de prince héritier de Dubaï, il est reconnu pour ses talents littéraires en tant que poète et sa passion pour les sports extrêmes, l’équitation et la chasse. Son engagement dans des projets innovants et durables démontre sa vision éclairée pour l’avenir de Dubaï et des Émirats.

Sheikh Hamdan bin Mohammed bin Rashid al-Maktoum (à droite), avec son petit frère Zayed portant le trophée de Dubai World Cup au Meydan Racecourse, le 31 mars 2018 à Dubai. (Photo Getty Images)

Marié à Cheikha Shaikha, Hamdan est un père aimant et dévoué, et l’arrivée de la princesse Hind marque un chapitre important de la famille royale. En tant que futur dirigeant de Dubaï, il incarne la modernité tout en restant profondément attaché aux traditions de son pays.

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Présente à León pour le “Princesa de Girona CongresFest” ce 11 avril 2025, la reine Letizia d’Espagne a conjugué prestance et simplicité dans un look aussi professionnel qu’élégant.

La reine Letizia d’Espagne au « Princesa de Girona CongresFest » à Leon, le 11 avril 2025. (Photo Getty Images)

Véritable incarnation de la working queen moderne, la souveraine espagnole a une nouvelle fois prouvé son sens aiguisé du style. Vêtue d’un tailleur gris parfaitement coupé, Letizia alliait sobriété et raffinement. Le twist glamour ? Un délicat caraco en soie rehaussé de dentelle qui glissait sous la veste, apportant une note de féminité subtile à cette tenue professionnelle. À ses pieds, des mocassins élégants à petit talon affirmaient sa volonté de conjuguer confort et allure. Ses cheveux, coiffés en vagues rétro, encadraient son visage lumineux, tandis qu’un sourire ravageur ponctuait chacune de ses interactions. À la main, un sac type cartable noir, structuré et fonctionnel, soulignait son esprit studieux et sa rigueur toute royale.

La reine Letizia d’Espagne au « Princesa de Girona CongresFest » à Leon, le 11 avril 2025. (Photo Getty Images)

Présente pour soutenir les jeunes talents espagnols, la Reine a pris part à cette édition du Princesa de Girona CongresFest, qui célèbre la créativité et l’engagement des nouvelles générations. Une cause qui lui tient à cœur — et un look qui, lui aussi, mérite toutes les distinctions.

La reine Letizia d’Espagne au « Princesa de Girona CongresFest » à Leon, le 11 avril 2025. (Photo Getty Images)
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Mardi soir, Los Angeles s’est parée de son plus bel éclat pour accueillir la troisième édition des Fashion Trust U.S. Awards, un événement devenu incontournable dans le paysage de la mode émergente américaine. Présentée par l’irrésistible Keke Palmer, la cérémonie s’est tenue dans l’ambiance feutrée du Lot at Formosa, attirant une constellation de célébrités et figures de la mode : Hailey Bieber, Ciara, Kate Hudson, Colman Domingo, sans oublier Anthony Vaccarello, directeur artistique de Saint Laurent, honoré d’un prix spécial.

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Une mission : révéler les talents de demain

Fondée par Tania Fares, Fashion Trust U.S. est une organisation à but non lucratif qui soutient les créateurs émergents à travers des bourses, du mentorat et un rayonnement international. Cette année, les lauréats ont été sélectionnés par un prestigieux comité composé notamment de Laura Brown, Karla Welch, Carlos Nazario, Cameron Silver et Maha Dakhil, avec le soutien du partenaire principal Google Shopping. Les récompenses couvraient six catégories : prêt-à-porter, accessoires, joaillerie, créateur diplômé, mode durable, et une distinction honorifique inédite.

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Anthony Vaccarello, l’élégance en héritage

C’est la fondatrice de la marque de beauté Rhode, Hailey Bieber elle-même, qui a remis à Anthony Vaccarello le tout premier Prix Honorifique Fashion Trust U.S.. Un hommage à l’impact créatif et culturel du directeur artistique de Saint Laurent, qui incarne une mode à la fois audacieuse, structurée et profondément ancrée dans son époque.

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Rachel Scott (Diotima), étoile montante du prêt-à-porter

Récompensée pour sa marque Diotima, Rachel Scott s’est illustrée par une collection de prêt-à-porter mêlant sportswear contemporain et pièces crochetées à la main, en hommage à ses racines jamaïcaines. Déjà lauréate du titre de Designer Féminin de l’Année décerné par le CFDA en 2024, elle bénéficie ici d’une bourse ainsi qu’un programme de mentorat Google-FTUS.

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Dani Griffiths (Clyde), entre artisanat et minimalisme

Le prix des accessoires a été remis à Dani Griffiths, fondatrice de la marque Clyde, par l’acteur Colman Domingo. Basée à New York, Griffiths a commencé avec des accessoires en laine crochetée avant de développer une ligne de chapeaux sculpturaux et de sacs minimalistes en cuir. Son univers mêle rigueur formelle et sensibilité artisanale.

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Rebecca Zeijdel-Paz (Beck), la joaillerie au goût des îles

Ciara, chanteuse et entrepreneuse, a salué le travail de Rebecca Zeijdel-Paz, créatrice de Beck, en lui remettant le prix joaillerie. Née au Venezuela et élevée à Curaçao, l’artiste s’inspire de ses origines caribéennes pour créer des pièces uniques en métaux précieux et pierres fines, empreintes de soleil et de mémoire.

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Nana Kwame Adusei, la durabilité en majesté

Le prix de la mode durable, remis par Kate Hudson, a couronné Nana Kwame Adusei, créateur basé à Los Angeles. Son label éponyme fusionne élégance contemporaine et influences ouest-africaines, séduisant des icônes comme Kylie Jenner. Une vision de la mode où esthétique et conscience environnementale cohabitent avec grâce.

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Patrick Taylor, révélation diplômée de Parsons

La relève est assurée avec Patrick Taylor, jeune diplômé de la Parsons School of Design, qui a reçu le prix du créateur diplômé. Spécialiste de la maille, le créateur originaire de Londres et installé à New York se distingue par un travail innovant et sculptural. Il recevra une bourse offerte par St. John, remise par les dirigeantes Lauren Parrish et Mandy West.

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Mentorat, bourses et avenir prometteur

Au-delà de la reconnaissance, chaque lauréat bénéficie d’un accompagnement professionnel via le programme de mentorat du Fashion Trust U.S. et Google Shopping, ainsi que d’un soutien financier allant de 100 000 à 200 000 dollars. Un tremplin décisif vers une carrière internationale.

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Si certaines femmes de pouvoir imposent leur influence par le verbe, la reine Rania de Jordanie le fait aussi par le style. Depuis deux décennies, son goût affirmé pour les jupes longues et volumineuses, à la fois majestueuses et modernes, s’est inscrit dans l’histoire de la mode royale. Bien plus qu’une simple inclination vestimentaire, cette silhouette est devenue l’un de ses marqueurs les plus élégants.

2004 : l’instant fondateur d’un style

Tout commence en mai 2004, lors du mariage princier de Felipe d’Espagne et de Letizia Ortiz. Ce jour-là, la reine Rania crée la surprise. Elle délaisse les robes cintrées et tailleurs protocolaires pour une tenue audacieuse, presque théâtrale, mais ô combien raffinée : un chemisier blanc immaculé, associé à une jupe lilas aux proportions XXL, légèrement rehaussée de dentelle. L’ensemble, à la fois poétique et impérial, capte l’attention de la presse et des passionnés de mode. Ce look inattendu marque un tournant : Rania impose une nouvelle grammaire du chic royal.

La Reine Rania
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L’art de manier la jupe longue : une touche de classe signée Rania

Depuis cette apparition fondatrice en 2004, la reine Rania n’a cessé de décliner son goût pour les jupes longues dans une palette de styles et de matières, faisant de cette pièce un véritable statement mode. Chaque tenue raconte une histoire, où se mêlent influences contemporaines et racines culturelles.

On se souvient notamment de cette jupe plissée XXL en noir et blanc, spectaculaire par son volume maîtrisé, qu’elle accessoirise d’une ceinture rouge graphique et d’un chemisier blanc sobre : un jeu de contrastes parfaitement orchestré, à la fois audacieux et équilibré.

La Reine Rania
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Autre apparition marquante : une longue jupe noire soulignée de motifs ethniques rouges sur les côtés, hommage discret mais puissant à l’artisanat du Levant, qu’elle associe à un haut aux lignes épurées. Ce style, très personnel, incarne à merveille sa façon de conjuguer héritage et modernité sans jamais tomber dans le folklorique.

La Reine Rania
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Le 1er juin 2005, à New York, la Reine Rania de Jordanie avait une fois de plus capté tous les regards lors de la troisième édition de la soirée de bienfaisance organisée par le Sesame Workshop au Cipriani 42nd Street. Vêtue d’une silhouette impeccable, elle a opté pour une jupe longue noire sobre, sublimée par un haut blanc élégant, créant une harmonie parfaite entre simplicité et raffinement. Son apparence à la fois classique et moderne incarne l’essence même du style royal, tout en faisant écho à son statut d’icône de la mode internationale. Son apparition ce soir-là n’a pas seulement marqué l’événement par son engagement, mais aussi par une leçon de style, où chaque détail de sa tenue semblait résonner avec grâce et sophistication !

La Reine Rania
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Une allure royale… et avant-gardiste

Ce qui fascine chez la reine Rania, c’est sa capacité à faire dialoguer la tradition avec la tendance. La jupe XXL, dans ses mains, devient un terrain d’expression entre codes royaux et liberté créative. Elle en fait un vêtement de pouvoir, sans sacrifier la féminité. Une alternative gracieuse aux robes classiques, moins attendue que les tailleurs, mais toujours impeccablement maîtrisée.

La Reine Rania
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En cela, elle s’inscrit dans la lignée des icônes de style qui ne suivent pas la mode : elles la devancent. Longtemps avant que les podiums ne remettent la jupe ample au goût du jour, Rania la faisait défiler dans les couloirs feutrés des palais et les sommets internationaux.

La Reine Rania
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Une mode qui dit quelque chose

Au-delà de l’aspect esthétique, la passion de la reine Rania pour les jupes longues révèle une femme résolument moderne, consciente de l’impact de son image et de sa position. Par ce choix vestimentaire, elle incarne une royauté qui se réinvente, une féminité affirmée mais subtile, loin des conventions, et une élégance portée par une liberté de choix. La jupe, dans sa fluidité et sa grandeur, devient ainsi un véritable symbole de la femme contemporaine : puissante, indépendante et élégante, sans jamais chercher à se conformer.

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Le palais de l’Élysée a accueilli hier soir un prestigieux dîner d’État en l’honneur du roi Frederik X et de la reine Mary de Danemark, en visite officielle en France. Si la soirée a été marquée par la rencontre diplomatique entre les souverains danois et Emmanuel et Brigitte Macron, elle a également été l’occasion d’un véritable défilé d’élégance où les silhouettes amples et sophistiquées ont dominé.

Parmi les personnalités présentes, Rachida Dati s’est distinguée par un choix vestimentaire raffiné. La ministre de la Culture, connue pour son style pointu, a troqué ses habituels tailleurs ajustés pour une majestueuse jupe noire ample, qu’elle a associée à une chemise blanche impeccablement coupée. Un look minimaliste et chic, sublimé par un petit sac blanc orné de clous argentés et un collier de perles, qui lui conférait une allure à la fois moderne et intemporelle.

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Mais elle n’était pas la seule à opter pour la fluidité et la grâce d’une tenue ample. La reine Mary de Danemark, fidèle à son style élégant et sophistiqué, a brillé dans une robe Dior, évasée et fleurie, mettant en valeur sa silhouette élancée. Son choix vestimentaire, mêlant modernité et inspirations royales, s’inscrivait parfaitement dans l’ambiance majestueuse de la soirée.

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De son côté, Brigitte Macron a opté pour une robe bleu nuit scintillante, ornée de sequins argentés et dotée de manches longues transparentes, ajoutant une touche de féerie à l’événement. Les matières fluides et les coupes généreuses étaient donc à l’honneur, illustrant une tendance mode qui allie élégance et confort.

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Delphine Arnault a quant à elle miser sur l’élégance absolue avec un total look noir d’une sobriété étudiée. Pour le dîner, elle choisit une robe ample et longue, à la fois aérienne et structurée, qui joue sur le mouvement et la fluidité sans jamais perdre en tenue. Loin d’un minimalisme austère, son allure distille une modernité subtile, où chaque détail, de la coupe à la matière, s’inscrit dans une vision affirmée du chic parisien. Une démonstration de style tout en retenue, où le noir devient langage et signature.

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Ce dîner d’État, qui a réuni près de 200 invités issus du monde politique, économique et culturel, n’a pas seulement été un moment de diplomatie, mais aussi un véritable hommage à la mode et à l’élégance intemporelle des tenues amples et structurées. Une soirée où la grâce et le raffinement étaient au rendez-vous, sous le regard des convives éblouis.

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