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Chacune de ses apparitions, Letizia d’Espagne captive par son sens du style, maîtrisant l’art des transformations vestimentaires tout en restant fidèle à une élégance intemporelle. Le 4 mars, la reine s’est rendue à Oviedo dans le cadre de la Journée mondiale des maladies rares, en soutien à la Fondation espagnole engagée dans cette cause.

La reine Letizia d’Espagne
Oviedo, Espagne – 4 mars : La reine Letizia d’Espagne rayonne d’élégance en assistant à l’événement « Día Mundial de las Enfermedades Raras » (Journée mondiale des maladies rares) à l’Auditorio-Palacio de Congresos Príncipe Felipe, le 4 mars 2025 à Madrid.
(Photo Getty Images)

Pour cette occasion, elle a surpris en délaissant ses habituelles robes et jupes au profit d’un ensemble tailleur rayé. Ce costume signé Sandro était associé à une chemise blanche agrémentée d’une lavallière noire évoquant une cravate, apportant une touche androgyne à son allure. Elle complétait sa tenue avec des mocassins à talons de Massimo Dutti et des boucles d’oreilles de la marque Gold & Rose.

La reine Letizia d’Espagne
(/Getty Images)

Sur scène, la souveraine a su captiver l’assemblée en mettant en lumière les enjeux liés aux maladies rares. Dans son discours, elle a souligné l’urgence d’améliorer le diagnostic, de faciliter l’accès aux traitements et de soutenir la recherche en génétique. Elle a également insisté sur l’importance de la santé mentale, non seulement des patients, mais aussi de leurs proches, souvent laissés pour compte.

La reine Letizia d’Espagne
(Getty Images)

Poursuivant son engagement, Letizia d’Espagne a ensuite présidé une cérémonie de remise de prix, saluant les avancées en matière de recherche et récompensant la solidarité et la détermination des citoyens et associations œuvrant dans ce domaine. Avant de quitter Oviedo, la mère de la princesse Leonor a pris le temps d’aller à la rencontre des habitants venus nombreux pour l’accueillir, témoignant ainsi du lien fort qui unit la famille royale à cette région des Asturies.

La reine Letizia d’Espagne
(Getty Images)
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Mélita Toscan couverture Hola maroc

Rayonnante et élégante, Mélita Toscan du Plantier incarne à la perfection le raffinement et la passion du cinéma. À l’occasion du Festival International du Film de Marrakech, HOLA! MAROC a rencontré celle qui, depuis plus de deux décennies, façonne l’un des événements culturels les plus prestigieux du Royaume. Entre amour pour le Maroc, engagement pour le septième art et admiration pour l’artisanat marocain, elle se confie avec sincérité.

Mélita Toscan

Une muse du caftan aux yeux azur et à la chevelure dorée. S’il ne fallait qu’une phrase pour décrire la Directrice et Conseillère du Président de la Fondation du Festival International du Film de Marrakech, SAR le Prince Moulay Rachid, ce serait incontestablement celle-ci. Ce n’est pas seulement sur le tapis rouge de l’un des plus grands rassemblements cinématographiques au monde que Mélita Toscan du Plantier arbore fièrement l’habit traditionnel. Sur ses hauts talons signés Louboutin, elle a souvent osé des étoffes de velours ou de soie taillées et brodées par de talentueux stylistes marocains. En 2025, l’épouse de Feu Daniel Toscan du Plantier, l’homme qui a eu toute la confiance de Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour lancer le FIFM en 2001, bouclera son quart de siècle dédié au Festival. L’occasion de raconter à HOLA! Maroc son aventure marocaine, les débuts de ce grand événement et son amour pour le caftan.

C’est en septembre 2000 que Mélita Toscan du Plantier foule pour la première fois le sol marocain, accompagnée de son défunt mari, Daniel Toscan du Plantier, pour poser les fondations du Festival International du Film de Marrakech. « J’ai toujours rêvé d’aller au Maroc, et cette décision a changé ma vie », confie-t-elle avec émotion. De Marrakech à Tanger, en passant par Rabat et Ouarzazate, elle a découvert un pays à la culture vibrante et à l’hospitalité légendaire. « Je suis fascinée par la générosité des Marocains, leur sens de l’accueil et la richesse de leur patrimoine », souligne-t-elle.

  • Pouvez-vous nous raconter votre toute première expérience au Maroc ? Quels souvenirs marquants en gardez-vous ?

C’était en septembre 2000, avec mon mari, pour définir les lignes de la première édition du FIFM, à l’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Nous avons rencontré les autorités locales, visité les lieux possibles, etc. Je rêvais d’aller au Maroc depuis des années. Mon mari voyageait trop souvent pour son travail, alors il préférait rester dans sa maison de campagne pendant ses vacances. J’ai compris que si je voulais aller au Maroc, il fallait trouver une solution pour que l’on y travaille (sourire). Chose que j’ai faite, et je n’ai pas été déçue ! Cette décision a changé notre vie et la mienne depuis. Dès le début, j’ai été frappée par la beauté des lieux, la lumière, la générosité des Marocains, la culture, la nourriture et la douceur de ce pays. Cependant, depuis 2001, le festival a su faire ses preuves et est devenu un événement incontournable.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Telle une icône intemporelle de la Mamounia, Mélita Toscan du Plantier nous a accueillis dans la suite Al Mamoun pour une séance photo et une interview empreintes de raffinement. Sans artifices inutiles, la directrice du festival incarne l’humilité et la grandeur des grandes dames, laissant la majesté du caftan sublimer sa beauté naturelle. « J’aime aussi la gandoura », confie-t-elle, vêtue d’une pièce signée Maison Fatim
  • Avec votre défunt mari, Daniel Toscan du Plantier, qu’est-ce qui vous a séduits dans ce pays au point de vous y engager aussi profondément ?

Le Maroc est un pays merveilleux que j’ai appris à connaitre et à comprendre petit à petit. J’y ai vu des paysages époustouflants ! Je suis souvent allée à Tanger avec mes enfants, à Taroudant, Ouarzazate, dans le désert, à Casablanca, Fès, Agadir, mais surtout à Rabat où l’on se réunit pour préparer le Festival. J’aime beaucoup cette ville que je trouve belle et apaisante. C’est à Témara que je suis venue me réfugier avec mes enfants après la mort de mon mari pendant plusieurs semaines. Nous passions notre temps entre Témara, Rabat et la plage de Skhirat.

  • Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez porté un caftan ? Quelle a été votre impression en le revêtant, qu’est-ce que cela symbolise pour vous aujourd’hui ? Par ailleurs, en avez-vous reçus en cadeau ?

La première fois que j’ai porté un caftan, c’était en France, à la cérémonie des César en 2003 pour l’hommage à mon mari. Il s’agissait d’un cadeau que je venais de recevoir, et il était devenu évident pour moi de le porter à cette occasion. Plusieurs couturiers français voulaient m’habiller, mais j’ai préféré ce caftan bleu foncé à la fois sublime et sobre. Mes caftans sont tous des cadeaux. J’en possède une quinzaine aujourd’hui.

Drapée dans un somptueux caftan rouge et noir signé Maison Fatim, Mélita Toscan du Plantier sublime l’élégance marocaine avec une grâce inégalée. « Je préfère le caftan à une robe du soir », avoue-t-elle avec une admiration particulière pour les créations marocaines. Lors du dîner royal du 30 novembre 2024, elle brille dans un somptueux caftan en velours noir, orné de broderies marocaines, signé Frédérique Birkemeyer, une tenue qu’elle chérit particulièrement.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Radieuse et solaire, Melita Toscan du Plantier traverse le temps avec une grâce inégalée. Drapée dans un somptueux caftan rouge et noir de Maison Fatim, elle prend la pose avec la fluidité d’une ancienne mannequin. « Je préfère le caftan à une robe du soir », partage-t-elle, en louant la richesse des créations marocaines »

LE FESTIVAL DE MARRAKECH, UNE AVENTURE HUMAINE ET ARTISTIQUE

Depuis plus de 20 ans, Mélita Toscan du Plantier s’investit avec passion pour faire du FIFM un événement de prestige international. « Les premières années, nous devions tout inventer. Il a fallu apprendre, s’adapter et toujours innover », explique-t-elle. La première édition du festival en 2001, organisée seulement trois semaines après les attentats du 11 septembre, a été un défi de taille. « Il a fallu convaincre, rassurer et prouver que Marrakech pouvait accueillir un événement d’envergure », se rappelle-t-elle.

  • Vous résidez encore, toujours et éternellement à la Mamounia lors du festival, pourquoi cette suite Al Mamoun ?

Je suis effectivement à la Mamounia pendant le Festival, mais je ne loge pas dans la suite Al Mamoun. Cette suite était disponible pour la séance photo et suffisamment spacieuse pour créer différentes ambiances. J’apprécie beaucoup la Mamounia, un site historique de Marrakech et l’un de nos principaux partenaires. Nos invités y séjournent et en repartent émerveillés. J’apprécie également le Royal Mansour, où je réside régulièrement depuis son ouverture. Ces deux hôtels sont des lieux magiques qui mettent admirablement en valeur l’artisanat marocain.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Plusieurs couturiers français voulaient m’habiller, mais j’ai préféré ce caftan bleu foncé à la fois sublime et sobre. Mes caftans sont tous des cadeaux. J’en possède une quinzaine aujourd’hui.
  • Quels souvenirs gardez-vous de vos débuts en tant que Directrice du Festival International du Film de Marrakech et quels défis avez-vous dû relever pour donner une identité unique à cet événement ?

Les deux premières années, je n’avais pas le titre de Directrice, mais je travaillais tout autant qu’aujourd’hui, sans doute un peu plus d’ailleurs, car nous devions tout inventer, créer. Nous nous sommes trompés parfois, alors il a fallu apprendre de nos erreurs pour devenir meilleurs. Nous avons relevé des défis chaque année et nous continuons de le faire. La première année fut la plus compliquée, car elle se déroulait trois semaines après le 11 septembre 2001. Il a fallu se battre pour convaincre, rassurer et sauver cette édition. Elle fut exceptionnelle à bien des égards. Depuis 2018 et avec la naissance des Ateliers de l’Atlas, nous avons trouvé notre identité et la meilleure manière d’aider le cinéma marocain et africain.

  • Après 24 ans de Festival, jusqu’à quel point vous sentez-vous marocaine ? Quelle part du Maroc vivez-vous au quotidien pendant l’évènement ?

Quand je suis au Maroc, je me sens marocaine. Je travaille pour le Maroc et pour son Altesse Royale, le Prince Moulay Rachid. Donc à part la langue que j’utilise, je ne pense pas à la France pendant cette période ! Je ne pense qu’au Festival et à sa réussite. Le FIFM est international comme son nom l’indique, mais il est d’abord marocain et, il est par essence, conçu pour le public et les professionnels marocains. Je suis au service du Maroc pendant cette période. Le cinéma français est à sa juste place, ni plus, ni moins. Les invités français représentent un petit pourcentage, comparés aux autres nationalités. Je travaille avec mes collègues, en grande majorité, marocains. Mon assistante Rita depuis 2004 est marocaine. Ma nationalité n’a pas vraiment d’importance dans ce cadre précis. Ce qui compte ce sont les résultats. D’ailleurs je suis née en France de parents immigrés yougoslaves. Nous ne parlions pas français à la maison et ce jusqu’à la mort de ma mère. C’est à l’école que j’ai commencé à me familiariser avec ma deuxième langue.

Mélita Toscan couverture Hola maroc noir
Par cette journée de décembre ensoleillée, Mélita pose dans la terrasse de la suite Al Mamoun si généreusement et naturellement baignée de lumière, « J’apprécie beaucoup la Mamounia, un site historique de Marrakech et l’un de nos principaux partenaires. Nos invités y séjournent et en repartent émerveillés »
  • Le Maroc, avec son foisonnement culturel et ses traditions séculaires, éveille bien des émotions. Quelles valeurs ou aspects vous touchent – ils particulièrement ?

Les valeurs familiales ! Le fait que les personnes prennent soins des anciens me touche beaucoup. J’aime aussi le respect que mes amis musulmans ont pour les autres religions. Les Français devraient prendre exemple sur cette richesse d’échanges et de partage. Au Maroc, on connait ses voisins, leurs familles, on s’invite les uns chez les autres, on invite les étrangers et on partage le peu que l’on a. En France ou en Occident, c’est chacun pour soi. J’ai un ami médecin à Marrakech qui est allé soigner les victimes du tremblement de terre dans des villages. Il m’a raconté que les gens n’avaient plus rien mais qu’ils lui proposaient du thé, du café et le peu de nourriture dont ils disposaient. Ce sont des valeurs d’humanité qui me touchent profondément.

  • Jusqu’à quel point ressentez-vous l’évolution culturelle et sociale du pays, la progression des droits de la femme ? Suivez-vous ce que fait Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour lesMarocaines ?

Bien entendu ! Je sais ce qu’il a fait pour les femmes et la famille. C’est un exercice difficile, car il faut évoluer tout en respectant la culture marocaine. Mais qui mieux que lui pour le faire ! J’aime voir ensemble des femmes modernes et d’autres plus conservatrices. Parce qu’elles semblent s’aimer et se respecter au-delà de convictions ou de cultures différentes.

Mélita Toscan caftan noir
  • Comment vivez-vous la dernière visite d’Emmanuel Macron et le retour concret des relations Maroc/France ? Y a-t-il eu des impacts positifs sur le festival ?

Je ne fais pas de politique mais j’ai trouvé la presse française en général injuste et arrogante au moment du tremblement de terre au Maroc. J’ai été choquée de certains commentaires de personnes que j’appelaient « les donneurs de leçons ». Le Maroc est souverain et savait ce dont il avait besoin. Il fallait respecter ses décisions et n’avoir que de l’empathie. On essayait de m’en parler régulièrement et je savais très bien quoi répondre ! Je suis heureuse que la France et le Maroc aient de meilleurs rapports à présent. Cela n’a pas influé sur le Festival, car comme je l’ai dit plus haut, il est international et non Français. Aussi, je suis engagée en raison de mes compétences professionnelles et de ma proximité avec le Maroc.

  • Le Président français et Sa Majesté Mohamed VI s’intéressent de très près à la jeunesse. Cela se ressentira-t-il sur les Ateliers de l’Atlas et sur le rôle du FIFM ?

Les jeunes sont l’avenir ! Le Festival est axé sur eux depuis le début puisque la compétition concerne les premiers et deuxièmes films. En outre nous avons toujours invité les étudiants à y participer. Les projections et les leçons de cinéma sont gratuites. Nous faisons un travail de transmission à travers tous les échanges et encore plus avec les Ateliers de l’Atlas. Il y a une relève inspirante dans le cinéma marocain et aussi beaucoup de jeunes femmes ayant des choses à raconter. Nous serons toujours là pour les aider !

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Drapée dans une gandoura bleu céleste qui fait écho à ses yeux azur et sa chevelure dorée, Melita Toscan du Plantier réinvente l’élégance. « Les femmes marocaines ont une beauté naturelle et une grâce unique dans leurs habits traditionnels », affirme-t-elle avec admiration
  • Vos enfants ont grandi ! Quelle est leur relation avec votre univers ?

Ma fille a 26 ans et vit en Australie. Elle veut devenir cheffe et pendant le Festival elle a organisé un diner de quarante personnes qu’elle a baptisé « The Atlas dinner » en l’honneur du Maroc, du Festival et de son père. Elle a créé le menu qui comprenait une pastilla, entre autres. Elle a grandi entre la France et le Maroc et ce dernier lui manque terriblement. Je lui ramène toujours de l’huile d’argan, du savon noir, du parfum à la fleur d’oranger et les gandouras de mon amie Norya, basée Marrakech. Mon fils, lui, a 24 ans et est toujours étudiant à Cambridge. Il vient d’obtenir son deuxième Master et prépare une thèse. Son souhait est de faire découvrir ce pays, qu’il adore, à sa compagne, elle aussi étudiante dans la même université.

  • Après toutes ces années, qu’a apporté le Maroc à votre vie personnelle et professionnelle ?

Le Maroc fait partie intégrante de ma vie, j’en parle et y pense tous les jours. Mes amis marocains me manquent quand je ne les vois pas pendant une longue période. On me pose des questions partout où je voyage parce que je représente le Festival à l’international.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Qu’elle soit vêtue d’un caftan somptueux ou d’une gandoura aux reflets célestes, Mélita Toscan du Plantier traverse le temps avec une élégance inégalée. Après 25 ans d’engagement pour le Festival International du Film de Marrakech, elle continue d’œuvrer avec passion pour faire briller le cinéma marocain et africain sur la scène internationale.
  • Si vous deviez résumer votre amour pour le Maroc en une phrase, que diriez-vous ?

Je l’aime pour sa beauté, l’esprit de famille, le sens de l’amitié, la loyauté, la lumière, la douceur que j’y retrouve et pour ses habitants.

Entretien : Ilham Benzakour Knidel
Caftans : Maison Fatim & Frédérique
Birkemeyer
Makeup Artist : Clotilde Makeup Artist
Louboutin Beauté
Hair Stylist : Sonia Duchaussoy
Dessange Paris
Photos : B-Photographe.com

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Il n’y a pas de doute : Timothée Chalamet est un maître du style. À chaque apparition, l’acteur américain de 29 ans bouscule les codes de la mode, réinventant les classiques avec une touche unique. Cette fois, c’est lors de sa présentation à la Berlinale 2025 pour le film Un parfait inconnu que l’acteur a une nouvelle fois captivé l’attention des observateurs fashion. Mais cette fois, ce n’est pas un ensemble moderne ou avant-gardiste qu’il a choisi, mais une pièce qui, pour certains, frôle le statut de vintage : le fameux foulard à motif Skull signé Alexander McQueen.

14 février 2025, Berlin : Timothée Chalamet, captivant et élégant, pose devant le mur bleu lors de l’appel photo du film Complete Unknown. Un instant suspendu où l’acteur, sous les projecteurs du prestigieux Festival International du Film de Berlin, incarne la quintessence du charme et du mystère. Ce film, sélectionné dans la section Berlinale Special Gala, brille parmi les moments forts de cette 75e édition du festival, qui se déroule du 13 au 23 février 2025. (Photo : Soeren Stache/dpa via Getty Images)

Ce foulard, emblématique de la maison britannique, n’est pas simplement un accessoire de mode, mais un véritable symbole d’une époque. Conçu au début des années 2010, il a fait les beaux jours de l’iconique créateur, devenu un incontournable du vestiaire des célébrités audacieuses. Porté par des stars du monde entier, ce foulard orné de têtes de mort s’inscrit dans une tradition McQueen de mélanger la rébellion avec l’élégance.Timothée Chalamet, toujours à l’avant-garde du style, n’a pas hésité à exhumer cette pièce presque mythique de son passé pour lui donner une seconde vie. Il l’a associé à une tenue sobre mais dans un esprit qui lui est cher : audacieux sans jamais en faire trop. Le foulard, subtilement noué autour de son cou, a parfaitement équilibré son look, oscillant entre décontraction et sophistication.

À 29 ans, Timothée Chalamet fait preuve d’une maîtrise parfaite des codes vestimentaires, et sa capacité à réintroduire des éléments de mode iconiques des années passées dans un contexte moderne prouve que la mode, pour lui, n’est jamais figée. Il a toujours un œil aiguisé pour les pièces intemporelles et sait les recontextualiser à la perfection, faisant de lui un véritable innovateur des tendances À la Berlinale, le foulard Alexander McQueen n’a pas seulement marqué l’un des moments les plus marquants de son apparition sur le tapis rouge. Il a rappelé que le style de Timothée Chalamet ne se contente pas de suivre les tendances, mais les crée. Un clin d’œil aux années passées tout en restant résolument ancré dans le présent – et probablement, un précurseur d’une nouvelle vague de pièces « vintage » réinventées à travers l’œil des stars de demain.

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Le jaune s’impose comme la couleur incontournable de la saison, et qui mieux que la reine Rania pour en donner le ton ? En visite à Rome, l’icône de l’élégance l’a prouvé avec subtilité en osant des escarpins jaune éclatant, contrastant avec une silhouette taupe sophistiquée. Un choix mode qui fait écho à la superbe robe jaune qu’elle arborait récemment lors des célébrations familiales du roi Abdallah II et de leur fils aîné.

Dans les somptueux salons du Palazzo della Cancelleria, la reine Rania illumine la scène dans un total look taupe parfaitement maîtrisé. Mais c’est par un détail audacieux qu’elle impose son style : des escarpins jaune éclatant, touche vibrante qui capte la lumière et sublime son allure !

Côté style, la reine Rania s’impose une fois de plus comme une référence absolue. Après son apparition au Vatican dans une tenue rose poudré signée Oscar de la Renta, elle a opté cette fois-ci pour un look monochrome taupe des plus raffinés. Son ensemble, composé d’un pull à col roulé et d’une jupe longue fendue Max Mara, était parfaitement assorti à son sac de la maison française Moynat. Mais ce n’est pas tout : la reine a subtilement ajouté une touche vibrante à son look avec des escarpins jaunes éclatants d’Aquazzura.

Ce choix n’est pas anodin, car elle avait déjà adopté cette couleur lors de l’anniversaire du Roi Abdallah II, portant une robe jaune qui a fait sensation. Il semble que le jaune soit devenu la couleur signature de Rania, alliant élégance et audace avec une touche de modernité qui lui est propre.


Pour cette visite , la reine de Jordanie était accompagnée de Laura Mattarella, première dame italienne et épouse du président Sergio Mattarella. Ensemble, elles ont admiré des vestiges uniques témoignant de la présence des premières communautés chrétiennes au Moyen-Orient. Toujours soucieuse de valoriser le patrimoine de son pays, la Reine Rania a partagé sur Instagram son enthousiasme pour cette exposition, rappelant que la Jordanie regorge de trésors historiques et constitue une destination incontournable pour les amateurs de culture et d’histoire.

Aux côtés de Laura Mattarella, première dame italienne, Rania de Jordanie incarne l’élégance et la diplomatie. Ensemble, elles redécouvrent les trésors d’un passé commun, entre héritage chrétien et culture jordanienne. Une rencontre placée sous le signe du raffinement et du partage.

Elle a complété son allure avec des bijoux d’exception : des boucles d’oreilles imposantes en or de Stone Fine Jewelry et un bracelet serti de diamants, apportant une dose de modernité à son élégance intemporelle. La reine Rania serait-elle en train d’imposer le jaune comme la nouvelle signature du chic royal ?

Qu’elle foule les pavés de Rome ou qu’elle monte des escaliers, la Rania de Jordanie captive par son aura intemporelle. Bijoux dorés scintillant sous les lumières italiennes, port de tête altier, silhouette sculpturale… Chaque apparition est un hommage à la grâce et à l’excellence du style royal.

Une chose est sûre, nous suivrons de près ses prochaines apparitions pour voir si le jaune s’impose définitivement comme la couleur royale de la saison !



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Les Grammy Awards 2025 ont été un véritable défilé de mode, où chaque star a rivalisé d’élégance et d’audace pour marquer cet événement. Voici notre sélection des looks les plus remarquables, qui ont capté l’attention des spectateurs et des critiques.

Gracie Abrams : l’élégance en Chanel

Gracie Abrams, la jeune star montante de la musique, a fait une entrée triomphale sur le tapis rouge des Grammy Awards 2025, captivant tous les regards avec une robe couture Chanel. En tant qu’égérie de la campagne Chanel printemps-été 2025, Gracie a choisi une robe en chiffon jaune pâle, sublimée par des détails iconiques de la maison, dont un ruban en velours noir à la taille et un camélia en satin sur le buste. La robe à col bateau s’achevait par une cape flottante, comme un voile diaphane qui suivait gracieusement ses pas, formant une traîne légère. Pour parfaire ce look féerique, elle a opté pour des escarpins noirs à bouts pointus et des boucles d’oreilles en perles et or blanc signées Chanel. Gracie a su incarner à merveille l’image d’une mariée moderne.

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Jennifer Lopez : une diva en Stéphane Rolland

Jennifer Lopez a une fois de plus prouvé qu’elle était la reine du tapis rouge, incarnant à la perfection l’alliance du glamour et du spectaculaire. Pour la cérémonie, elle a choisi une création spectaculaire du créateur français Stéphane Rolland : une longue jupe transparente et scintillante à la coupe sirène, dotée d’une traîne majestueuse et d’un peplum volumineux qui sculptait sa taille. L’asymétrie de la pièce mettait en valeur ses abdominaux parfaitement dessinés. Ce look théâtral était accompagné d’un col roulé noir crop top et de manches gantées, tandis qu’une énorme bague à son auriculaire gauche et des boucles d’oreilles étincelantes complétaient sa tenue.

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Sabrina Carpenter : un hommage plus que réussi à l’Old Hollywood

Sabrina Carpenter a su capturer l’esprit glamour de l’Old Hollywood, une esthétique qui fait un grand retour sur les tapis rouges. Vêtue d’une robe bleu ciel satinée signée JW Anderson, la jeune actrice rayonnait dans cette création sculpturale. Bordée de plumes rétro, la robe était élégamment retenue par un somptueux collier dorsal incrusté de diamants de 50 carats de la maison Chopard, ajoutant un éclat supplémentaire à l’ensemble. Ce look glamour n’a pas manqué de rappeler la robe-bijou portée par Louisa May Foster dans le film What a Way to Go! (1964). La coiffure, un chignon bouclé ultra-volumineux, complétait cette silhouette intemporelle, avec des mèches ondulées qui encadraient son visage. Ultra Glamour !

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Shakira : la reine de la scène en Etro

Shakira a, comme toujours, captivé l’attention des photographes et des fans avec un look audacieux et sexy signé Etro. La star de la pop a choisi une robe qui mêlait sensualité et sophistication : un body orange imprimé qui épousait parfaitement ses courbes et une jupe fendue et transparente, avec une traîne scintillante. Ce mélange de coupe ajustée et de détails scintillants a mis en valeur son énergie et son charisme sur le tapis rouge, soulignant l’icône de la pop qu’elle est.

Getty Images)

Madison Beer : l’inspiration sirène de Miss Sohee

Madison Beer a fait une entrée magique aux Grammy Awards 2025, vêtue d’une robe inspirée des sirènes, issue de la collection couture printemps 2025 de Miss Sohee. La robe sans bretelles présentait un corsage ajusté, dévoilant la structure du corset à travers une finition translucide. Le décolleté en cœur profond était décoré d’une appliqué jade délicat, reprenant le motif du bas de la robe. À l’arrière, des détails en dentelle traditionnelle s’étendaient sur la majeure partie de la jupe, contrastant avec l’aspect plus moulant du haut de la robe. La silhouette était complétée par une longue traîne qui ajoutait une dimension féerique et élégante à l’ensemble.

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Et vous, quels ont été vos looks préférés de cette édition 2025 des Grammy Awards ?



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Taylor Swift, une déclaration d’amour en rouge, un bijou symbolique et une Saint-Valentin qui promet d’être mémorable !

Taylor Swift à la cérémonie des Grammy Awards le 2 février 2025 à Los Angeles, Californie. (Photo Getty Images)

Lady in Red : Une apparition vaporeuse et envoûtante

Taylor Swift a une nouvelle fois captivé tous les regards lors des Grammy Awards du dimanche 2 février 2025. Dans une robe rouge éclatante signée Vivienne Westwood, scintillante et sculptant ses courbes, la superstar a prouvé qu’elle est la véritable incarnation du glamour et de la passion. Mais si sa robe et ses stilettos assortis étaient à couper le souffle, c’est un détail audacieux qui a volé la vedette : un bijou de cuisse en rubis finement serti, orné d’un mystérieux “T”.

Taylor Swift à la cérémonie des Grammy Awards le 2 février 2025 à Los Angeles, Californie. (Photo Getty Images)

Un bijou de cuisse qui enflamme les rumeurs

Ce bijou, délicatement posé sur le haut de sa jambe gauche, a immédiatement affolé les réseaux sociaux. Alors, ce “T”, serait-il celui de Taylor ou bien celui de Travis Kelce, son amoureux footballeur star ? Pour nous, le mystère est résolu : c’est le T des deux, symbole de leur amour fusionnel. Rappelons que le couple s’est rencontré fin 2023 lors d’un match de football, et depuis, leur romance enflamme les médias. À chaque apparition publique, leur complicité éclate au grand jour, et cette fois, Taylor Swift a peut-être laissé un indice sur un mariage à venir…

Taylor Swift à la cérémonie des Grammy Awards le 2 février 2025 à Los Angeles, Californie. (Photo Getty Images)

Un rouge éclatant pour une Saint-Valentin iconique

Avec ses cheveux ondulés savamment décoiffés, ses bijoux Lorraine Schwartz et cette étincelle dans le regard, Taylor Swift était l’incarnation parfaite du romantisme moderne. Son choix de couleur n’est pas anodin : le rouge, symbole de passion, d’amour et de puissance, lui sied à merveille. Son album “Lover”, déjà une ode à l’amour, et son hit “Cruel Summer” (qui totalisait 1,74 milliard d’écoutes en février 2024) en font une artiste incontournable de la saison romantique.

Taylor Swift à la cérémonie des Grammy Awards le 2 février 2025 à Los Angeles, Californie. (Photo Getty Images)

Un mariage en vue ?

Avec cette lueur dans les yeux et cette aura enivrante, Taylor Swift semblait flotter sur un nuage d’amour lors de cette soirée. Alors, après ce bijou à message, doit-on s’attendre à une demande en mariage imminente de Travis Kelce ? Affaire à suivre…

Taylor Swift et son compagnon Travis Kelce du club de football Kansas City Chiefs après une victoire le 26 janvier de cette année, au AFC Championship Game au GEHA au stade Arrowhead à Kansas City, Missouri. (Photo Getty Images)
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Le costume pour femme a longtemps été associé au pouvoir et à l’autorité, mais il a su évoluer pour devenir une pièce maîtresse du vestiaire féminin, oscillant entre modernité et sophistication. De Melania Trump à Mimia LeBlanc en passant par Leïla Bekhti, de nombreuses icônes contemporaines ont adopté ce look, prouvant qu’il peut être à la fois un symbole d’affirmation et une déclaration de style. Aujourd’hui, le costume s’impose aussi bien dans la journée qu’en soirée, alliant confort, audace et raffinement.

Un indispensable du dressing en 2025

Autrefois strict et réservé aux sphères professionnelles, le costume féminin s’affranchit désormais de ses codes traditionnels. Il devient un véritable terrain d’expérimentation pour les créateurs qui revisitent ses lignes avec créativité : vestes oversize, pantalons ajustés, coupes asymétriques ou encore matières inattendues comme le satin et le velours. Loin d’être un simple emprunt au vestiaire masculin, il se décline dans des silhouettes aussi élégantes que féminines, jouant sur les textures et les contrastes.

Leïla Bekhti assiste au défilé Homme Printemps/Été 2025 d’AMI – Alexandre Mattiussi, dans le cadre de la Fashion Week de Paris, le 20 juin 2024, à Paris, France. (Photo par Julien M. Hekimian/Getty Images)

Le portrait officiel de Melania Trump en costume parfaitement taillé a récemment illustré cette montée en puissance du tailoring féminin. Une image forte qui rappelle que le costume n’est pas seulement une tendance, mais une véritable expression du pouvoir et de la confiance en soi. Porté par des personnalités influentes comme Mimia LeBlanc, Laeticia Casta, Leïla Bekhti, qui le choisissent aussi bien pour des apparitions publiques que des tapis rouges, il prouve sa polyvalence et son intemporalité.

Mimia Leblanc, resplendissante dans un costume élégant sublimé par un imposant nœud papillon, allie audace et raffinement avec une touche de modernité.(Capture d’écran @mimialeblanc)

Comment adopter le costume avec élégance ?

Les grandes maisons de couture comme Chanel, Saint Laurent ou Balmain ont su imposer le costume comme une pièce incontournable des collections haute couture et prêt-à-porter. Elles l’adaptent aux tendances actuelles en osant les épaules marquées, les pantalons fluides ou encore les jeux de transparence pour une allure à la fois audacieuse et sophistiquée.

Laetitia Casta assiste au défilé Giorgio Armani Privé Haute Couture Printemps-Été 2025 dans le cadre de la Fashion Week de Paris, le 28 janvier 2025, à Paris, France. (Photo par Pascal Le Segretain/Getty Images

Mais comment l’adopter au quotidien ? Le jour, on privilégie une coupe ajustée aux tons neutres – beige, gris ou marine – à associer à des sneakers minimalistes ou des bottines élégantes pour un look effortless chic. En soirée, le costume se transforme en statement mode avec des matières précieuses comme le satin ou le velours, accompagné de talons et d’accessoires forts. Pièce intemporelle et hautement versatile, le costume féminin est bien plus qu’une tendance : il est devenu une véritable signature stylistique. Redéfinissant sans cesse les codes de l’élégance, il continue d’imposer sa force et sa modernité dans le paysage de la mode contemporaine.

Le costume pour femme s’impose plus que jamais comme un incontournable, alliant élégance et audace. Et vous, comment le porterez-vous cette année ?



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La Paris Fashion Week masculine automne-hiver 2025-26, qui s’est tenue du 21 au 26 janvier 2025, a vu défiler 68 maisons de mode, offrant une vision résolument moderne et affirmée de la mode masculine. Cette édition, qui a capté l’attention des fashionistas du monde entier, a mis en lumière un retour à l’élégance intemporelle tout en privilégiant le confort, le tout avec une touche de revendication politique et sociale. Tour d’horizon.

Le costume, pilier de cette saison, se réinvente sous de multiples facettes. Chez AMI, il se veut ample et décontracté, combinant différents tissus et styles dans un jeu de « mix and match » qui rappelle les looks des étudiants anglais de Cambridge. Hermès, quant à lui, propose un costume en velours élégant et raffiné, tandis qu’Amiri s’inspire des années 70 pour un look vintage revisité. Willy Chavarria offre une interprétation plus latine, avec des costumes structurés et des détails audacieux, tandis que chez Egonlab, la coupe est plus stricte et formelle.

Kim Jones continue d’imposer sa signature chez Dior Homme, avec une collection épurée et graphique qui s’inspire des archives de Monsieur Dior, allongeant la silhouette tout en conservant une élégance sobre et contemporaine. L’iconoclaste Pharrell Williams, aux côtés de Nigo pour Louis Vuitton, mêle habilement les codes du streetwear et du dandysme, créant des ensembles où costumes et bombers en cuir se rencontrent, fusionnant l’élégance classique avec des influences urbaines modernes. Cette recherche d’équilibre entre tradition et avant-garde se manifeste également à travers la tendance du layering, une superposition de couches que l’on retrouve chez des créateurs comme Yamamoto, SuperKid, Hermès et Kolor, où pulls à manches XXL et robes en maille se côtoient dans une parfaite harmonie.

Le confort prend une nouvelle dimension chez 3.Paradis, où le designer Emeric Tchatchoua pousse l’idée à l’extrême avec des doudounes volumineuses, taillées comme des couettes et des oreillers, créant un contraste saisissant avec la rigueur des costumes. Le pantalon, lui, reste majoritairement ample et fluide, évoquant un revival des années 2000 avec des bermudas baggy, mais se resserre progressivement, comme le montre Dior, qui nous propose une silhouette plus ajustée et raccourcie.

Cependant, cette Fashion Week n’a pas été uniquement une célébration du style et du confort. L’actualité et les préoccupations sociales ont trouvé une place de choix sur les podiums. Willy Chavarria, pour son premier défilé à Paris, a su allier couleurs vives et messages forts en rendant hommage au film Emilia Perez et à la militance pro-LGBT avec des tenues marquées par des symboles de lutte et d’inclusion. Son défilé a également été une ode à la liberté d’expression et à l’égalité des droits.

La scène politique a également fait irruption dans les collections. Le créateur belge Walter Van Beirendonck a pris position contre les régimes autoritaires. Pour sa part, il a présenté un défilé futuriste sur fond de chanson « Give Peace a Chance » de John Lennon, avec des mannequins portant des vestes et des badges « Peace, not war ». Le message était clair : trop de conflits, trop de montée de l’extrême droite. « C’est horrible ce qu’il se passe dans le monde », a-t-il déclaré, dénonçant l’état actuel du monde et appelant à un retour à des valeurs de paix et de tolérance.

Ainsi, la Paris Fashion Week automne-hiver 2025-26 ne s’est pas contentée de proposer des collections tendances ; elle a également été un espace de réflexion, où l’élégance et le confort se sont mêlés à des revendications sociales, politiques et humaines, plaçant la mode comme un véritable acteur du changement.

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Timothée Chalamet semble avoir tout expérimenté, ou presque, en matière de mode. De la maison Celine à Tom Ford, en passant par Prada et Martine Rose, il n’a cessé de briller sous les projecteurs grâce à une garde-robe aussi variée que surprenante. Et sa dernière apparition sur le tapis rouge, à l’occasion de l’avant-première parisienne de Un parfait inconnu au Grand Rex, ne déroge pas à la règle. L’acteur, qui incarne Bob Dylan dans ce biopic de James Mangold, continue de fasciner autant par son talent que par ses choix vestimentaires audacieux.

Timothée Chalamet à la première de Un Parfait Inconnu au Grand Rex le 15 janvier 2025 à Paris, France.(Photo Getty Images)

Du vélo à la sobriété chic

Après avoir marqué les esprits la veille en arrivant à vélo électrique sur le red carpet londonien, Chalamet a opté pour une arrivée plus sobre et « à la française » à Paris. Loin de l’extravagance, il est arrivé à pied, arborant un look résolument chic et décontracté, parfaitement en phase avec l’esprit parisien. Pour l’occasion, c’est un total look signé Chanel qu’il a choisi, un subtil hommage à l’élégance à la française. Une veste en cuir noire, rehaussée de boutons argentés imposants, s’harmonise avec un t-shirt blanc et un jean noir moulant, rentré dans une paire de bottes vernies. Mais c’est l’écharpe rose, entrelacée de fils d’or et de pampilles en perles, qui apporte la touche finale à cette tenue, évoquant la nonchalance et le chic décontracté caractéristiques du style français.

Timothée Chalamet arrive à vélo, à la première de Un Parfait Inconnu au BFI Southbank le 14 janvier 2025 à Londres (Photo par Jeff Spicer/Getty Images)

Le détail qui fait toute la différence dans ce look ? Une casquette de baseball rose et violette façon tie-dye. Si ce choix de couvre-chef peut sembler décalé, il n’en est pas moins une signature du style unique de l’acteur, qui sait mêler les codes de la mode avec une dose de spontanéité et d’irrévérence. Timothée Chalamet, véritable phénomène de mode, ne se contente pas de porter des vêtements. Il les réinvente, y injecte sa personnalité et fait de chaque apparition un moment unique.

Timothée Chalamet arrive à vélo, à la première de Un Parfait Inconnu au BFI Southbank le 14 janvier 2025 à Londres (Photo par Jeff Spicer/Getty Images)

Bob Dylan, une source d’inspiration mode

Si ses tenues attirent l’attention, il faut dire que l’acteur ne fait pas les choses au hasard. En effet, depuis le début de la tournée promotionnelle du film, Chalamet a soigneusement orchestré ses looks pour rendre hommage à l’icône qu’il incarne, Bob Dylan. Ses choix vestimentaires sont souvent des clins d’œil à la vie et à l’œuvre du chanteur. Par exemple, il n’hésite pas à porter des pin’s à l’effigie de Dylan ou à mimer certains de ses looks, comme lorsqu’il a porté une fausse frange blonde et un bonnet, inspiré d’un cliché de l’artiste datant de 2003. Chaque apparition semble être une réinterprétation subtile de l’esprit rebelle et créatif de Dylan.

Un total look Chanel pour Timothée Chalamet à la première de Un Parfait Inconnu au Grand Rex le 15 janvier 2025 à Paris (Photo Getty Images)

Ce qui distingue véritablement Timothée Chalamet des autres stars, c’est sa liberté de création en matière de mode. Contrairement à d’autres célébrités comme Zendaya, qui collaborent avec des stylistes célèbres tels que Law Roach, l’acteur semble se jouer des conventions de la mode sans l’aide d’un styliste attitré. Ses choix, souvent surprenants, sont une véritable exploration de son univers personnel, qu’il livre au public lors de ses apparitions. Les marques qui prêtent leurs tenues à Chalamet ne savent pas toujours à l’avance comment il les portera, découvrant souvent les détails de son look en même temps que le grand public.

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Le rouge bordeaux, une teinte envoûtante et pleine de caractère, s’impose comme la couleur phare de la saison. Élégante, audacieuse et intemporelle, elle a envahi les tapis rouges du monde entier, séduisant célébrités et créateurs. Son intense profondeur et sa sensualité unique lui ont permis de s’affirmer comme la couleur de choix, tant sur les robes de soirée que dans les accessoires.

Au Festival International du Film de Marrakech (FIFM) 2024, le rouge bordeaux a illuminé les yeux de tous. Parmi les figures les plus remarquées, Ahlam Zaimi a porté une sublime robe de cette teinte, un choix audacieux et raffiné qui a captivé l’attention des spectateurs.

Le rouge bordeaux, aussi intense qu’élégant, a été une véritable star sur les tapis rouges internationaux, où il a été vu dans les créations des maisons de haute couture, notamment dans des robes ou des caftans aux lignes sophistiquées et modernes. Les célébrités, qu’elles soient actrices, chanteuses ou influenceuses, n’ont pas hésité à faire de cette couleur leur atout de choix pour marquer les esprits. Des robes longues aux robes plus courtes, du plus simple au plus orné, cette couleur met en valeur toutes les silhouettes, tout en apportant une touche de luxe et de mystère.

La Princesse Kate a également récemment succombé à la tendance du rouge bordeaux en arborant un total look de cette couleur pour recevoir l’Émir du Qatar. Cette tenue élégante et raffinée n’a pas manqué de faire sensation, illustrant parfaitement comment cette nuance profonde et sophistiquée peut ajouter une touche de noblesse et de modernité. Le choix du bordeaux par la princesse démontre l’adoption royale de cette couleur, confirmant sa place dans les garde-robes les plus distinguées.

Les accessoires ne sont pas en reste. Les sacs à main, les chaussures, et même les manteaux dans cette teinte ont pris une place prépondérante, apportant à chaque tenue une touche de raffinement supplémentaire. Le rouge bordeaux s’impose ainsi non seulement comme une couleur de vêtements, mais également comme une teinte incontournable pour les accessoires de luxe. À la fois profond et chaleureux, il a un pouvoir transformateur qui peut illuminer une tenue toute entière, tout en gardant une certaine sobriété.

Ce qui rend cette couleur encore plus fascinante, c’est sa polyvalence. Elle s’adapte à toutes les occasions : que ce soit une grande cérémonie, un défilé de mode ou même une soirée plus intime, le rouge bordeaux est capable de sublimer n’importe quelle apparence. Son association avec des matières nobles comme la soie, le velours ou le satin crée une profondeur visuelle captivante, qui attire tous les regards sans jamais être trop criarde.

En 2025, plus que jamais, le rouge bordeaux est la couleur à adopter, tant pour les grandes occasions que pour un style plus quotidien. Que vous optiez pour une robe ou un accessoire, ce rouge foncé et raffiné apportera à coup sûr une touche de sophistication et de charme irrésistible. Alors, n’attendez plus pour intégrer cette couleur dans votre garde-robe et laissez-la illuminer votre style.

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