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novembre 12, 2024

Un marathon musical inédit de 32 heures pour soutenir les orphelins de l’Atlas. Tadamoon, événement solidaire porté par des DJ de renommée internationale, transforme la musique en un langage universel de générosité. Pourquoi la musique électronique ? Comment ce projet ambitieux rassemble les passionnés du monde entier ? Découvrez les coulisses et les défis d’une initiative qui dépasse les frontières.

Comment est née l’idée d’un marathon musical de 32 heures pour soutenir une cause solidaire, et pourquoi avoir choisi le format du DJ set ?

L’idée est née du désir de rassembler des passionnés de musique autour d’une cause humanitaire, avec l’envie de marquer les esprits par un défi hors du commun. Le marathon de 32 heures s’est imposé comme un format unique, symbolisant l’engagement et la solidarité sans interruption, en écho aux besoins constants des orphelins de l’Atlas. Le DJ set, avec sa capacité à maintenir une énergie continue et à connecter les gens à travers le rythme, nous a semblé idéal pour toucher un large public et créer une ambiance immersive et fédératrice.

Pourquoi avez-vous sélectionné la musique électronique comme vecteur de solidarité pour cet événement, et en quoi pensez-vous qu’elle peut toucher un public aussi large et international ?

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La musique électronique a une portée universelle, transcendant les frontières et les cultures. Ce genre musical, avec son énergie et ses vibrations, fédère un public diversifié et international. Elle permet de réunir des personnes d’horizons différents autour d’une cause commune, de créer un espace d’ouverture et de solidarité. En choisissant ce style, nous souhaitons parler au cœur des festivaliers, qu’ils soient en Europe, en Afrique ou ailleurs, et faire de la musique un vecteur de soutien et de changement.

Quelles ont été les principales difficultés logistiques et techniques pour organiser un événement d’une telle envergure, avec une retransmission dans plus de 85 pays ?

L’organisation d’un événement de cette ampleur a nécessité une coordination rigoureuse entre les équipes techniques, les fournisseurs et les partenaires locaux et internationaux. Parmi les principaux défis, la retransmission en direct dans plus de 85 pays a exigé une infrastructure numérique solide, avec des tests techniques poussés pour assurer une qualité optimale. La gestion des installations, le transport et l’hébergement des artistes, ainsi que l’installation de sonorisation adaptée à un environnement aussi particulier ont également été des défis majeurs.

Comment s’est faite la sélection des artistes marocains et internationaux participants, et quelle importance accordez-vous à leur engagement personnel envers des causes sociales ?

La sélection des artistes a été basée sur leur talent, leur capacité à créer une connexion avec le public et leur engagement pour des causes sociales. Nous avons privilégié des artistes qui partagent les valeurs du festival et qui souhaitent réellement contribuer à faire une différence. La diversité des DJ, issus du Maroc et du monde entier, permet de refléter l’esprit de Tadamoon : unir les talents et les énergies pour soutenir une cause noble. Leur engagement personnel ajoute une dimension authentique et renforce la mission solidaire de l’événement.

Quels sont les objectifs à long terme de Tadamoon en termes de soutien à l’orphelinat Atlas Kinder et d’engagement social à travers la musique ?

À long terme, nous espérons faire de Tadamoon une plateforme qui génère des fonds durables pour d’autres associations. En sensibilisant le public chaque année, nous souhaitons ancrer l’idée que la musique peut être un puissant outil de changement social.

Quels sont vos espoirs pour l’avenir de Tadamoon en tant qu’événement annuel, et comment envisagez-vous de continuer à promouvoir des causes humanitaires à travers la musique ?

Nous envisageons de faire de Tadamoon un événement annuel incontournable qui met en lumière l’incroyable générosité du peuple marocain. En construisant une communauté de passionnés et de donateurs engagés, nous espérons apporter un soutien régulier et croissant aux causes que nous défendons. L’objectif est de sensibiliser toujours plus de personnes, d’attirer de nouveaux artistes engagés, et d’élargir le soutien à d’autres associations. Nous croyons en la force de la musique pour rassembler et agir, et nous avons l’ambition de transformer cet événement en un mouvement global de solidarité.

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Porté par une double culture franco-marocaine, il explore des thèmes universels, du passage du temps à la quête de l’amour durable, tout en cultivant une curiosité insatiable et un amour inconditionnel pour la musique. Son dernier titre, « Sablier, » en est le reflet, alliant sens et esthétique dans une aventure sonore et visuelle profondément personnelle. Rencontre avec Yassine Khial alias KIVAYIN.

Comment décririez-vous votre univers musical en quelques mots ?

Pop Francophone, french fusion, chanson/variété. J’aime jouer entre les styles tout en m’inscrivant dans les codes de la chanson française. Une chanson française moderne avec des influences au sens large et avec du sens. 

Quelles sont vos influences principales, qu’elles soient musicales ou culturelles ?

Les influences sont multiples, je suis un mordu de musique, c’est bien simple, il n’y aucun style de musique que je n’ai pas écouté ou que je n’aime pas. J’ai eu une grande phase rock/metal et une grande phase hip-hop dans ma jeunesse. Puis je me suis tourné aussi vers l’indie rock, la deep house et la musique africaine qui a toujours été une inspiration musicale très importante ! La musique a toujours accompagné mon existence, j’ai, par exemple, aucun problème à aller un concert tout seul, j’ai vu beaucoup de mes artistes préférés en concert, je collectionne les CDs. De manière générale, la culture et la musique sont au cœur de mon développement personnel et de ma quête existentielle. Egalement, et pas des moindres, j’adore la musique folklorique de manière générale, le côté brut, puissant et ancestral m’a toujours attiré.

Comment votre double culture franco-marocaine influence-t-elle vos créations ?

Ma mère est une grande fan de variété française, notamment les années twist (60’s) et la variété française en général. Mon père est un grand fan de la musique chaabi. Donc j’ai toujours été bercé par ces deux influences puis j’ai fait mes découvertes personnelles. Ma maman à l’époque faisait des compilations de cassettes audio en enregistrant les sons depuis la radio. Aussi, j’avais le droit toutes les 2 semaines à une nouvelle cassette dès mon plus jeune âge. Je remercie mes parents pour cela car même s’ils ne sont pas musiciens, ils ont su me transmettre le goût de la musique et de la joie de vivre en général. L’amour du son a toujours été un phare dans mon existence et en même temps, c’est ça la force de la musique. ça vous crée des émotions et vous ancrent dans l’univers. Ca m’a toujours aussi loin que je me souvienne. A 5 ans, je dansais sur du michael Jackson dès que j’en avais l’occasion ! Pour la partie texte, c’est naturel d’écrire en français étant donné que c’est ma langue maternelle et que j’ai fait tout mon cursus scolaire dans le système français.

Qu’est-ce qui vous a inspiré pour écrire « Sablier » ?

C’est à la fois une projection artistique dans le sens où pour moi en tant qu’artiste, le thème de l’amour est un thème central et un passage obligatoire. Créer c’est aimer c’est s’ouvrir aux autres et à soi même. Le processus créatif est émotionnel, le son, les mélodies proviennent principalement de mes émotions. L’étincelle a toujours un lien personnel et ensuite, on dérive sur notre questionnement de la vie. L’amour éternelle existe-t-il ? Si oui comment y arriver ? J’ai tiré pas mal de choses de mon vécu à savoir quand on est amoureux comment faire pour que cela dure une vie, d’autant plus à la lumière d’un monde où la consommation et le plaisir instantané sont devenus légion. Après il s ‘agit là plus d’un questionnement et d’un point de vue sur la question. Je partage simplement un axe de réflexion car j’estime aussi que la musique est une source de questionnement et de développement en général. C’est aussi tout l’intérêt de ma quête artistique, il faut qu’il y ait un sens à la clé. 

Le sablier symbolise le temps. Comment avez-vous intégré cette thématique dans la musique et les paroles ?

Le temps est un sujet central chez moi … Je reste ébahi par le cadeau qui nous est donné de vivre mais ce cadeau a une date de péremption. Donc de manière générale, le rapport au temps sera souvent présent dans mes créations. Ensuite pour ce qui est de Sablier, cela est venu naturellement au refrain. Je pense même que la punchline au rythme du sablier est venue en improvisant sur la guitare et j’ai tout de suite senti que je touchais l’axe que je cherchais.

Le clip de « Sablier » semble être une véritable aventure visuelle. Pouvez-vous nous parler du processus de création derrière cette vidéo ?

Je voulais faire un clip qui ait du sens et soit intimement lié à la chanson. On m’a souvent répété que le clip n’a rien à voir avec la chanson mais je trouve cela ennuyeux et gâcher l’opportunité d’une unité de sens son/video. Mes chansons ont toujours un sens pour moi que ce soit au niveau du thème et de l’idée que je veux développer. Donc le clip devait parler de sensualité, d’amour, des difficultés et du temps qui passe. Une fois le lieu de tournage trouvé, le scénario est venu naturellement en me promenant dans le lieu avec l’ambition de montrer les différentes phases de la relation amoureuse, jusqu’au regret et cette fin énigmatique. J’avais toujours cette idée de course poursuite sensuelle du coup de foudre. C’était aussi le point de départ du scénario à savoir pouvoir mettre en scène cette étincelle du début. Ce moment intense du coup de foudre. Je voulais aussi une fin énigmatique qui questionne. Même moi, je ne sais pas si les personnages sont toujours ensemble après cette scène finale. Est-ce une projection fantasmatique ou la réalité ? Chacun, en fonction de son vécu, aura sa propre version du clip. C’est en tout cas ce que je souhaite, ça voudrait dire que j’ai réussi mon pari. 

Préférez-vous commencer par la musique ou par les paroles lors de la création d’une chanson ?

Pour le moment, et pour l’ensemble des chansons, c’est la musique le point de départ. C’est limite mystique si je peux dire. Je joue de la guitare et ça me procure une émotion. Ensuite, je crée le son et la mélodie. Ensuite, je réécoute et je ressens quelque chose qui m’indique le thème de la chanson. A partir de là, le texte vient très souvent tout seul car l’émotion est là et c’est le point de départ, l’étincelle créative pour le reste. Pour la suite, je vais également essayer le processus inverse à savoir écrire sur un thème et composer la musique. Mais disons que pour le moment, ça n’a jamais été le cas. Ce serait une contrainte artistique que je vais sûrement me fixer pour explorer de nouveaux horizons. 

Avez-vous des rituels ou habitudes qui nourrissent votre inspiration ?

Pas vraiment. Je dirai que je me pose en général beaucoup de questions et que je suis d’un naturel curieux et ouvert. J’ai vécu, j’ai voyagé, j’ai échangé avec beaucoup de gens et je pense tout cela est ma source d ‘inspiration. La vie, le temps et la beauté de ce qui nous entoure versus toutes les contraintes et les aléas quotidiens qui pourraient nous faire percevoir les choses différemment. Pour résumer, je dirai que c’est mon ancrage dans la réalité plus ma capacité à imaginer et être dans ma tête, qui, au final, se combinent pour nourrir mon inspiration. 

Comment trouvez-vous l’équilibre entre spontanéité et structure dans vos compositions ?

Sablier est très structurée car je voulais une chanson pop et entrainante. Sur d’autres, je le suis moins car l’inspiration en a décidé autrement. Après de manière générale, à partir du moment où on enregistre, compose et arrange, la musique répond aussi à certains critères pour que ça sonne. De la même manière qu’un plat de cuisine peut associer des saveurs différentes (voire inédites), il n’en reste pas moins que pour réaliser le plat idéal dont tout le monde va parler, il faut une recette et un protocole pour aboutir à un résultat final qui saura faire la part belle à la créativité mais aussi la qualité d’exécution. Je pense aussi que nous avons une perception erronée sur la musique comme une forme créative libre. Première contrainte, on détermine un tempo et on s’y tient. On a connu mieux comme liberté absolue. Ensuite, il y a les gammes, les accords, les notes … Tout ceci doit être cohérent et sonner entre eux. L’autre aspect essentiel est qui n’est pas du tout spontannée, c’est la technique de mix. Pour que le son sonne, il y a beaucoup de travail en amont et justement d’aspects techniques dont on ne peut pas faire l’impasse. Un exemple concret, dans Sablier, vous entendez une guitare mais j’en ai enregistré 4 différentes sur le refrain. 2 rythmiques pour la stéréo et 2 autres arpèges/harmoniques. C’est, ce qui donne la puissance mélodique dans le mix. J’en profite également pour remercier deux ingé sons qui m’ont accompagné Reda Zniber pour la première phase et Alexandre Tartière pour la seconde. Ils étaient les maîtres de la technique mais ne vous inquiétez pas, je me suis quand même permis de rester spontané et hors des sentiers battus, quitte à avoir quelques débats.

Quels sont vos projets à venir après « Sablier » ?

Il y aura deux nouvelles sorties à la rentrée. Une début janvier et l’autre mi février. Ce seront pour la première une chanson plus chanté/parlé, introspective, egotrip et la seconde, pop rock « dansant » sur un thème de société qui nous parle à tous. Ensuite, de manière générale, dans la mesure du possible, j’essaierai de garder ce rythme d’une nouvelle chanson toutes les 6 semaines afin de faire découvrir l’ensemble de mon univers musical.

Y a-t-il des collaborations artistiques que vous aimeriez explorer ?

Oui beaucoup !! J’en ai tellement, je voudrais une collaboration avec des musiciens africains, des musiciens latinos, des rappeurs (mais en les amenant dans mon univers). Si les choses évoluent positivement, je pourrais même partir sur un concept collaboratif pour un EP ou album. 

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Megan Fox a surpris ses abonnés Instagram en annonçant une nouvelle bouleversante et remplie d’espoir : elle attend son quatrième enfant, son premier avec le musicien Machine Gun Kelly. À 38 ans, cette grossesse marque un tournant pour l’actrice hollywoodienne, surtout après la douloureuse épreuve d’une fausse couche survenue en 2022, une perte qui a profondément marqué le couple.

Pour partager cette annonce, Megan Fox a choisi des images et des mots symboliques, fidèles à son style singulier. Sur la première photo, elle se tient à genoux, ses mains posées tendrement sur son ventre, recouverte d’un liquide noir mystérieux. Machine Gun Kelly est symboliquement identifié sur cette partie de son corps, ajoutant une touche de complicité et d’intimité à la scène. Sur le second cliché, elle dévoile un test de grossesse avec l’inscription « Oui« , accompagnée d’un message émouvant : « Rien n’est jamais vraiment perdu. Bienvenue à nouveau. »

Ce message renvoie à la perte qu’elle a subie, et suggère pour Megan une connexion spirituelle avec l’enfant qu’elle porte aujourd’hui, comme une réincarnation du bébé qu’elle avait perdu. En 2022, dans un recueil de poèmes, elle avait partagé sa peine : « Je ferme les yeux et j’imagine te serrer contre ma poitrine alors qu’ils t’arrachent de l’intérieur. » De son côté, Machine Gun Kelly, alias Colson Baker, avait aussi évoqué cette perte à travers l’une de ses chansons. Ce bébé à venir sera le premier enfant commun de Megan Fox et Machine Gun Kelly, formant ainsi une famille recomposée. Megan est déjà maman de trois garçons : Noah, 11 ans, Bodhi, 10 ans, et Journey, 7 ans, nés de son précédent mariage avec l’acteur Brian Austin Green. Quant à Machine Gun Kelly, il est père de Casie, 15 ans, issue de sa relation avec Emma Cannon, ancienne basketteuse.

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La famille Baldwin a fait une rare apparition presque au complet pour l’avant-première du nouveau film d’animation Netflix, Ellian et le Sortilège, ce 11 novembre. Alec Baldwin, accompagné de son épouse Hilaria et de six de leurs sept enfants, a foulé le tapis rouge du Paris Theatre à New York, attirant les regards des photographes et des fans présents.

NEW YORK, NEW YORK – 11 NOVEMBRE : (De gauche à droite) Alec Baldwin, Maria Lucia Baldwin, Leonardo Baldwin, Romeo Baldwin, Rafael Baldwin, Carmen Baldwin, Hilaria Baldwin et Eduardo Baldwin assistent à l’avant-première du film « Ellian et le Sortilège » de Netflix au Paris Theatre, le 11 novembre 2024 à New York. (Photo de Rob Kim/WireImage)

Élégants et souriants, les Baldwin ont pris la pose en famille. Les enfants, Maria Lucia, Leonardo, Romeo, Rafael, Carmen et Eduardo, âgés de 2 à 10 ans, semblaient ravis de partager cet événement avec leurs parents. Leur aîné, Ireland Baldwin, née d’un précédent mariage d’Alec avec l’actrice Kim Basinger, n’était pas présente à la soirée.

Pour Alec et Hilaria Baldwin, cette première constitue une belle occasion de montrer leur soutien à la nouvelle production d’animation de Netflix, qui se positionne déjà comme l’un des films familiaux les plus attendus de la fin d’année. Ellian et le Sortilège, réalisé par un studio d’animation reconnu pour son esthétique unique et ses récits captivants, raconte l’histoire d’une jeune fille confrontée à des forces magiques dans un monde mystérieux. Ce conte explore des thèmes universels de courage et de résilience, des valeurs qui ont sans doute touché la famille Baldwin, souvent sous le feu des projecteurs.

La présence de la famille en force témoigne de l’unité des Baldwin malgré les récentes épreuves et les défis personnels auxquels ils ont fait face. Alec Baldwin, acteur primé et figure incontournable d’Hollywood, est resté discret sur le tapis rouge, partageant des moments tendres et protecteurs envers ses enfants.

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Le Four Seasons Hotel Casablanca annonce un partenariat avec Fever pour lancer Candlelight, une série unique de concerts de musique classique éclairés à la bougie, pour la première fois au Maroc et en Afrique. Cet événement incarne l’engagement de l’hôtel pour l’enrichissement culturel et marque un tournant dans la scène artistique de Casablanca.

La série Candlelight, imaginée par Fever, offre des concerts intimes qui visent à démocratiser l’accès à la musique classique dans des lieux emblématiques, entièrement illuminés par des milliers de bougies. Chaque concert propose un répertoire varié, interprété par des musiciens locaux et internationaux, offrant aux spectateurs une expérience musicale immersive et inoubliable. Dans une atmosphère magique, les performances mêlent des compositions intemporelles à l’ambiance moderne et cosmopolite de Casablanca.

Ce partenariat contribue à positionner le Four Seasons Hotel Casablanca comme un acteur clé dans le développement culturel de la ville. En intégrant ces concerts dans sa programmation, l’hôtel enrichit son offre artistique et vise à faire de Casablanca une destination de choix pour les amateurs de culture et de musique. Dans les mois à venir, l’établissement prévoit également d’élargir ses initiatives culturelles en organisant des expositions d’art, des spectacles musicaux, et d’autres événements qui célèbrent le patrimoine marocain tout en intégrant des influences internationales.

Le premier concert Candlelight se tiendra le 14 novembre au restaurant Kyúb du Four Seasons Hotel Casablanca, offrant une soirée d’ouverture qui promet d’être mémorable. Cette initiative fait partie d’un programme culturel ambitieux qui contribuera à renforcer le rayonnement artistique de Casablanca en attirant un public local et international.

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