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mai 29, 2025

Le mois de mai souffle sur le Royaume comme un parfum de renouveau. C’est le temps des fleurs, des cœurs tendres et des célébrations… Une princesse née au printemps, mariée un 14 février, ne pouvait qu’embrasser la vie avec poésie et douceur. Ce 33e anniversaire de Lalla Nouhaila, fille de SAR la Princesse Lalla Asmaa, résonne comme un hymne à l’amour et à la tradition dans une famille royale qui compte quatorze enfants et petit-enfants du Roi et de sa fratrie.

Lalla Nouhaila a cette grâce innée et cette élégance princière

Chaque printemps, une offrande précieuse

Chaque année, à l’approche de son anniversaire, nous avons le grand bonheur à la rédaction de HOLA ! MAROC de dévoiler un cliché rare de Chrifa Lalla Nouhaila : un instant de vie capturé dans la grâce, révélant une part d’elle, intime et délicate. C’est un geste peu commun dans l’univers feutré de la famille royale, empreint de tendresse et d’élégance, que ses proches et les Marocains accueillent avec émotion et reconnaissance. Ce partage discret mais sincère témoigne de son sens profond du lien et de son amour pour les traditions, à l’image du mariage qu’elle a célébré, un certain 14 février, jour de la Saint-Valentin.

Un mariage princier dans l’intimité, scellé par l’amour et la tradition

Le 14 février 2021, c’est dans une ambiance intime, chaleureuse et profondément marocaine que Lalla Nouhaila Bouchentouf s’est unie à Ali El Hajji. Une cérémonie célébrée en pleine pandémie, dans le respect des règles sanitaires, mais sublimée par l’empreinte du patrimoine. La mariée avait ébloui par son caftan vert émeraude, brodé de fils d’or, tandis que le marié, en djellaba blanche et fez, incarnait l’élégance sobre de l’homme marocain. Ce mariage fut le reflet de son attachement sincère aux coutumes, tout en insufflant une modernité pleine de douceur.

Lalla Nouhaila et Ali Hajji lors de leur union sacrée un 14 février 2021

Une princesse née au printemps, une mère comblée

Née un mois de mai, Lalla Nouhaila est la fille de SAR la Princesse Lalla Asmaa et nièce de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Elle appartient à cette nouvelle génération de femmes royales, raffinées, discrètes et profondément enracinées dans la culture marocaine. Maman comblée de deux petites filles, elle a donné naissance à Lalla Mayssae le 2 décembre 2021, puis à Lalla Marjana, accueillie un soir d’été du 15 août 2023, dans une atmosphère poudrée, douce comme une berceuse.

La princesse Lalla Nouhaila, fille de Lalla Asmae, avec sa petite fille Lalla Mayssae, née le 2 décembre 2021, de son mariage avec Ali Al Hajji un fameux 14 février 2021

C’est en cette belle soirée du 15 août, que l’annonce d’une naissance royale a été faite. Chrifa Lalla Nouhaila accueillait une petite fille prénommée Lalla Marjana, donnant ainsi une petite soeur à Lalla Mayssae. Une tendre photo, teintée d’un rose poudré, de fleurs délicates et du visage rayonnant de la maman contemplant sa petite princesse, est venue animer cette soirée d’été. Maman et bébé portent la même tenue, un caftan craquant, rose vanillé à la broderie marocaine, blanc fumé. Chrifa, impeccablement coiffée d’une demi queue de cheval, laissant tomber de part et d’autre sur ses épaules, de jolies boucles chatoyantes, apparait comblée, souriant de joie et de bonheur de porter dans ses bras une seconde fois, un petit bout d’elle et de son mari Ali Hajji.

Lalla Nouhaila accueille sa deuxième fille prénommée Lalla Marjana, petite soeur de Lalla Mayssae, née le 15 août 2023

Avec Moulay Abdeslam, né le 1er juin 2022, le plus jeune fils de SAR le Prince Moulay Rachid, Lalla Mayssae et Lalla Marjana incarnent les trois derniers-nés de la famille royale, ces petits joyaux qui prolongent l’histoire et enchantent l’avenir de la dynastie Alaouite. Ce sont quatorze enfants et petits-enfants que compte la fratrie royale — une nouvelle génération pleine de promesses, de sourires et d’histoires à écrire.

Les quatorze joyaux de la fratrie royale

Aujourd’hui, Sa Majesté le Roi Mohammed VI veille avec fierté et affection sur ses deux enfants : le Prince Héritier Moulay El Hassan, jeune homme déjà très investi dans les affaires du Royaume, symbole de continuité et d’avenir, et la Princesse Lalla Khadija, qui vient de franchir le cap de la majorité. À 18 ans, elle incarne avec grâce une nouvelle génération de la dynastie Alaouite, empreinte de douceur, d’élégance et d’une conscience lucide de son époque. Autour de lui, le Souverain est entouré d’une fratrie unie : SAR la Princesse Lalla Meryem, mère de Lalla Soukaina — elle-même maman des jumeaux Hassan et Aya — et de Moulay Driss ; SAR la Princesse Lalla Asmaa, mère de Lalla Nouhaila – maman de Lalla Mayssae et Lalla Marjana – et de Moulay Yazid ; SAR la Princesse Lalla Hasnaa, mère de Lalla Oumaima et de Lalla Oulaya ; et SAR le Prince Moulay Rachid, père de Moulay Ahmed et de Moulay Abdeslam. Une constellation familiale qui continue de s’épanouir au fil des naissances, entre héritage et modernité, dans l’amour, la continuité et l’inspiration.

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Du 22 au 24 mai dernier, Casablanca a vibré au rythme de la gastronomie internationale à l’occasion du cinquième chapitre des Disciples Escoffier. Un événement d’exception qui a rassemblé chefs renommés, producteurs passionnés, personnalités engagées et amoureux du goût, sous le thème évocateur de « La Route des Saveurs ».

Organisé sous le parrainage de figures emblématiques telles que Guillaume Gomez, ambassadeur pour la gastronomie, Hamid Bentahar, président de la Confédération nationale du tourisme, Eric Briffard, meilleur ouvrier de France et directeur de la prestigieuse école Cordon Bleu, cet événement a su conjuguer tradition culinaire, modernité, solidarité et transmission.
Crédit Photo : Escoffier Maroc

Une ouverture empreinte de solennité et de convivialité

Tout a commencé le jeudi 22 mai à l’hôtel Le Grand Mogador (futur DoubleTree by Hilton), avec une cérémonie d’intronisation officielle et une soirée de bienvenue qui ont marqué les esprits. Quarante nouveaux Disciples Escoffier, venus des quatre coins du monde, ont prêté serment, rejoignant ainsi une communauté engagée à faire rayonner l’héritage d’Auguste Escoffier. Cette soirée a été l’occasion de rassembler les acteurs majeurs de la scène gastronomique marocaine et internationale dans une ambiance chaleureuse et festive.

Marion Chraïbi, fondatrice de Gare aux gorilles, intronisée par le chef Lahcen Hafid.
Un moment d’émotion et de transmission, où la jeune cheffe rejoint la grande famille des Disciples Escoffier, sous les yeux bienveillants de son parrain.
Crédit Photo : Escoffier Maroc

Le terroir à l’honneur à Anfa Park

Le vendredi 23 mai, l’événement s’est installé au cœur de Casablanca Finance City, à Anfa Park, pour une journée entièrement dédiée à la valorisation des savoir-faire artisanaux et des produits du terroir. Une conférence de presse animée par le président Lahcen Hafid a permis de détailler les ambitions de ce cinquième chapitre, suivie d’une table ronde captivante sur les défis et enjeux de la gastronomie marocaine contemporaine : comment préserver les traditions tout en innovant ? Comment conjuguer excellence culinaire et responsabilité écologique ?

Le chef Lahcen Hafid entouré de l’équipe de service du gala, avec la promotion 2025 de la Maison Bonheur (Taroudant).
Crédit Photo : Escoffier Maroc

Tout au long de la journée, un grand marché a proposé un véritable tour d’horizon des richesses locales, animé par des démonstrations culinaires en direct orchestrées par des chefs de renom comme Dina NicolaouIssam RhachiMohamed Zai ou encore Haytem Noujoum. Parmi les produits phares exposés : les fromages de la Ferme de Bouskoura, les viandes d’exception de la Boucherie Nivernaise, les glaces artisanales de Maria Glace, le café Bivouac ou encore les épices colorées de Good Epices.

Un final entre immersion urbaine et dîner d’exception

Le samedi 24 mai, les participants ont été invités à redécouvrir Casablanca sous un nouvel angle. Une visite guidée de lieux emblématiques de la ville, dont le marché central, a permis de faire écho au thème du dîner de gala : « La Route des Saveurs ». Ce moment de partage a culminé avec un déjeuner convivial au marché, en présence de Disciples venus du monde entier.

La tanjia de veau du chef Yassin Bogdad, étoile du dîner de gala.
Un plat emblématique revisité avec maestria, servi lors de la soirée de clôture à l’hôtel Le Casablanca, comme un hommage vibrant aux saveurs ancestrales marocaines.
Crédit Photo : Escoffier Maroc

Le point d’orgue de cette édition fut sans conteste le dîner de gala, organisé à l’hôtel Le Casablanca. Un événement élégant et engagé, rythmé par les dernières intronisations, des discours inspirants, et un somptueux défilé de caftans signé Fatim El Filali Idrissi.

Élégance et patrimoine : défilé de caftans par Maison Fatim.
Lors du dîner de gala, les créations de la styliste Fatim El Filali Idrissi ont fait dialoguer la tradition et la modernité dans un ballet de soie, de broderies et de lumière.
Crédit Photo : Escoffier Maroc

En cuisine et en salle, les lauréates de la formation culinaire de la Maison Bonheur, soutenue par le chef Lahcen Hafid, ont incarné avec brio les valeurs de transmission et d’insertion professionnelle par la gastronomie.

Cheb Khaled et le chef Lahcen Hafid, une rencontre entre art culinaire et art musical.
À la table du gala, deux univers se sont croisés autour des valeurs communes du partage, de la passion et de la générosité.
Crédit Photo : Escoffier Maroc

Une communauté unie par des valeurs fortes

Plus qu’un simple rendez-vous culinaire, ce cinquième chapitre a célébré l’âme des Disciples Escoffier : une communauté internationale fondée sur les piliers de l’excellence, de la modernité, de la solidarité et de la transmission. Depuis sa création en 1954, l’association perpétue la vision du « roi des cuisiniers et cuisinier des rois », avec pour ambition de porter la gastronomie comme un langage universel de paix et de dialogue.

Érigée telle une œuvre d’art, la veste de chef trône en hommage aux savoir-faire, à la rigueur et à la passion qui animent ceux qui portent la gastronomie en étendard. Plus qu’un habit, un emblème d’engagement et de transmission.
Crédit Photo : Escoffier Maroc

À travers un système d’écharpes symboliques, rouge pour les métiers de bouche, lie de vin pour le service, verte pour les producteurs, orange pour les jeunes espoirs, et bleue pour les ambassadeurs, l’association témoigne de la diversité de ses membres et de leur engagement commun à faire rayonner l’esprit Escoffier à travers le monde.

De gauche à droite : le chef Ahmed Bensemlali, intronisé 2025 et coach Bocuse d’Or Maroc, Kamal Rahal, et le chef Yassine Bogdad.
Trois piliers de la scène gastronomique marocaine réunis sous l’égide des Disciples Escoffier pour faire rayonner l’art culinaire national. Crédit Photo : Escoffier Maroc
Simon Verger, Meilleur Ouvrier de France, aux côtés du chef Yassine Bogdad, Bocuse d’Or Maroc.
Deux figures de l’excellence réunies à Casablanca, portées par une même vision de la transmission et de l’engagement culinaire.
Crédit Photo : Escoffier Maroc

Le Maroc, cœur battant de cette édition

Organisé pour la première fois à cette échelle au Maroc, ce cinquième chapitre marque une étape symbolique pour la délégation marocaine. Grâce à une mobilisation exemplaire, elle a su faire briller le patrimoine culinaire national tout en affirmant l’hospitalité marocaine, le sens du partage et l’ouverture aux autres comme valeurs cardinales.

Le chef Hicham Annadam, l’instant suspendu du dressage.
Silencieux, précis, habité par la création… Ce cliché capture l’intensité du geste juste, celui qui précède le plaisir du palais.
Crédit Photo : Escoffier Maroc

En réunissant jeunes talents, chefs confirmés, producteurs passionnés et invités venus des quatre coins du monde, ce cinquième chapitre des Disciples Escoffier a brillamment démontré que le Maroc sait faire de la gastronomie bien plus qu’un art de vivre : un véritable vecteur d’émotion, de transmission et d’universalité.Dans chaque plat, chaque échange, chaque geste porté avec cœur, c’est une culture entière qui s’est exprimée, généreuse, fière de ses racines, résolument tournée vers l’avenir.
Casablanca n’a pas seulement accueilli un événement culinaire : elle a offert une scène à la mémoire vivante des terroirs, à l’innovation portée par la jeunesse, et à l’hospitalité comme trait d’union entre les peuples.

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