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HOLA! MAROC

La princesse du Qatar et la compagne de Cristiano Ronaldo ont partagé le premier rang du show du couturier italien en grandes passionnées de la mode.

Sheikha Al Mayassa du Qatar et Georgina Rodriguez au premier rang du défilé Valentino à la Paris Fashion Week (Photo Getty Images)

Ce dimanche soir, Sheikha Al Mayassa bint Hamad bin Khalifa Al Thani a fait une apparition remarquée au défilé Valentino, aux côtés de Georgina Rodriguez. Fidèle à son style d’une sobriété exemplaire, la présidente des Musées du Qatar a opté pour une silhouette à la pointe de l’élégance minimaliste : un manteau aux lignes géométriques, un jean épuré et des baskets, le tout relevé par une coiffure nonchalamment nouée à l’arrière. Une allure qui incarne parfaitement l’esthétique du “Quiet Luxury”, un luxe subtil, sans ostentation, où la qualité des matières et la rigueur des coupes parlent d’elles-mêmes.

Sheikha Al Mayassa du Qatar et Georgina Rodriguez au premier rang du défilé Valentino à la Paris Fashion Week (Photo Getty Images)

Une élégance discrète et signature d’un luxe subtil

Fidèle à son style empreint de Quiet Luxury, Sheikha Al Mayassa arbore avec constance une allure épurée et raffinée lors de ses nombreuses apparitions publiques. Qu’il s’agisse de tribunes socio-culturelles, d’événements artistiques internationaux ou de défilés de mode, elle reste attachée à une esthétique sobre mais sophistiquée. Son look fétiche ? Un chignon faussement négligé, des sneakers aux pieds et des étoffes précieuses, façonnées en longs manteaux structurés ou robes couture monacales, toujours taillées pour elle. Passionnée de mode, à l’image de sa mère Sheikha Mozah, elle privilégie les créateurs à l’élégance discrète, loin de toute ostentation. Parmi eux, le talentueux designer marocain Mohamed Benchellal, qui l’a habillée lors du dernier Fashion Trust Arabia à Marrakech en fin d’année 2024. Une approche de la mode qui incarne un luxe subtil et intemporel, en parfaite résonance avec son engagement culturel et artistique.

Sheikha Al Mayassa arborant une création du styliste marocain Mohamed Benchellal lors des Fashion Trust Arabia tenus à Marrakech avec la présidence d’honneur de SAR la Princesse Lalla Hasnaa

Qui est cette Première dame de la Culture et de l’Art au Qatar ?

Fille de la visionnaire Sheikha Mozah bint Nasser, Sheikha Al Mayassa est une figure incontournable du monde de l’art et de la culture au Qatar. Son frère, l’émir Tamim bin Hamad Al Thani, porte aujourd’hui la destinée du pays, tandis qu’elle s’investit dans l’éducation, la promotion des arts et la valorisation du patrimoine. En tant que présidente des Musées du Qatar, elle a fait de Doha un hub culturel majeur, attirant les plus grands artistes et architectes à travers des expositions et des acquisitions spectaculaires, comme l’achat du célèbre tableau de Paul Gauguin pour 300 millions d’euros.

Sheikha Al Mayassa avec Tania Farès et Salma Hayek (Photo Getty Images)

Mais son influence s’étend bien au-delà du monde de l’art. Passionnée de mode, elle est co-fondatrice de Fashion Trust Arabia (FTA), une initiative qui soutient les jeunes créateurs de la région MENA, perpétuant ainsi son engagement pour la créativité et l’innovation. À travers ses actions, Sheikha Al Mayassa incarne une nouvelle génération de femmes influentes du monde arabe, mêlant héritage, modernité et une vision ambitieuse pour l’avenir culturel de son pays.

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Lors de la Fashion Week parisienne, l’actrice Diane Kruger a une nouvelle fois attiré tous les regards en arborant un accessoire aussi élégant qu’audacieux. Invitée au défilé Nina Ricci ce vendredi 7 mars, la star a fait une apparition remarquée à l’hôtel Salomon de Rothschild, dans le 8e arrondissement de Paris.

L’actrice sublime la Fashion Week avec un look audacieux, arborant un chapeau spectaculaire, un bracelet XXL et un sac rouge pétant. Sa combinaison bustier noire parfait son style chic et avant-gardiste. Un ensemble qui n’est pas passé inaperçu !
(Getty Images)

Pour l’occasion, Diane Kruger a opté pour une tenue chic et raffinée : une combinaison bustier noire, sublimée par un sac à main rouge et, surtout, un impressionnant chapeau capeline assorti. Un choix stylistique qui lui a permis de se distinguer sous le soleil parisien et face aux objectifs des photographes.

Diane Kruger n’a pas été la seule à briller à la Fashion Week, mais son look intemporel a attiré tous les regards. Elle rejoint un panel de stars qui ont illuminé l’événement, mais c’est sans conteste son accessoire iconique qui a volé la vedette !
(Getty Images

Après le show, l’actrice allemande a partagé un instant de cette journée sur Instagram, avec une pointe d’humour : « Quand tu es à Paris (à l’improviste), porte un chapeau. » Une manière légère et élégante de mettre en avant son couvre-chef majestueux, qui n’a cependant pas éclipsé Dianna Agron. L’ex-star de « Glee », installée à ses côtés au premier rang, portait une robe au décolleté vertigineux qui a également captivé l’assistance.

Cet accessoire mode, à la fois unique et imposant, promet de faire des vagues cet été. À surveiller de près, car il risque de devenir un incontournable de la saison !
(Getty Images)

Le défilé a rassemblé d’autres personnalités du monde de la mode et du cinéma, parmi lesquelles le mannequin espagnol Blanca Padilla, le top américain Noel Capri Berry ou encore l’actrice italienne Alice Pagani. Un parterre de célébrités venues célébrer le talent et la créativité de la maison Nina Ricci dans un cadre prestigieux.

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Partie en janvier pour un voyage de six mois à bord du navire-école Juan Sebastián de Elcano, la princesse Leonor poursuit sa formation militaire en mer. L’héritière du trône espagnol a fait escale à Montevideo, où elle a honoré une tradition royale en présentant le drapeau espagnol à ses compatriotes expatriés.

À bord de l’Elcano, la princesse Leonor perpétue une tradition royale en présentant le drapeau espagnol aux expatriés en Uruguay, comme son père Felipe VI avant elle.
Photo Instagram @casareal.es

Une escale marquante pour la future Reine

Le 5 mars 2025, le quatre-mâts de l’École navale militaire espagnole a jeté l’ancre dans le port de Montevideo. À son bord, une centaine de gardes-marines, dont la princesse des Asturies, engagée depuis plusieurs mois dans un rigoureux parcours de formation militaire. L’escale en Uruguay est une étape importante de cette croisière d’instruction, qui permet à Leonor de s’immerger dans les traditions maritimes et militaires espagnoles.

Durant son séjour, la fille du roi Felipe VI a été reçue avec les honneurs par les autorités locales. Montevideo, ville historiquement liée à l’Espagne, accueille une communauté espagnole importante, forte de plus de 73 000 résidents, soit environ 2 % de la population du pays.

Une tradition perpétuée

Le 7 mars, un moment solennel s’est déroulé à bord du navire-école. Devant une assemblée d’une quarantaine d’expatriés espagnols, Photo Instagram @casareal.es a présenté les couleurs nationales, perpétuant un rituel chargé d’émotion. Les expatriés présents se sont inclinés avant d’embrasser le drapeau, dans un geste d’allégeance et de fidélité à leur patrie d’origine.

Leonor d’Espagne en uniforme militaire lors de son escale à Montevideo, une étape clé dans sa formation, sur les traces de son père, passé par le même navire-école en 1987.
Photo Instagram @casareal.es

Ce moment fort rappelle un épisode similaire vécu par son père, le roi Felipe VI. En mars 1987, alors qu’il suivait la même formation militaire à bord de l’Elcano, le jeune prince avait lui aussi présenté le drapeau aux Espagnols installés en Uruguay. Trente-huit ans plus tard, Leonor marche symboliquement dans ses pas, affirmant son engagement envers les valeurs et les traditions de son pays.

Une immersion totale dans la formation militaire

La présence de la ministre espagnole de la Défense, Margarita Robles, lors de la cérémonie souligne l’importance de cette étape dans le parcours de la princesse. La formation militaire de Leonor, qui s’étale sur plusieurs années, vise à lui inculquer discipline, leadership et connaissance des forces armées espagnoles. Cette expérience unique en haute mer forge son caractère et prépare la jeune héritière à ses futures responsabilités royales.

Moment solennel à Montevideo : la princesse des Asturies, future reine d’Espagne, affirme son engagement en rendant hommage aux valeurs et aux traditions maritimes espagnoles.
Photo Instagram @casareal.es

Attendue sur le sol uruguayen jusqu’au 9 mars, la princesse Leonor poursuit son périple maritime qui la mènera vers d’autres horizons, avec toujours la même mission : se préparer à régner en s’imprégnant des valeurs qui font la force de l’Espagne.

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Sheikha Mahra Al Maktoum, née le 26 février 1994, est une figure royale qui incarne l’harmonie entre tradition et modernité. Fille de l’émir de Dubaï, Son Altesse Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, et de Zoe Grigorakos, d’origine grecque, elle évolue au sein d’une famille puissante tout en cultivant une identité marquée par une richesse culturelle unique. Bien qu’elle soit profondément ancrée dans les traditions arabes, Shaikha Mahra se distingue également par un fort attachement à ses racines grecques, une dualité qui façonne son regard sur le monde et son engagement envers des causes contemporaines.

Un modèle d’élégance et d’indépendance

La princesse dubaïote, bien que faisant partie d’une famille royale, se distingue par sa personnalité affirmée et son indépendance. Elle n’hésite pas à prendre position sur les enjeux sociaux, notamment en ce qui concerne le rôle des femmes dans la société. Sur ses réseaux sociaux, Sheikha Mahra partage ouvertement ses pensées et ses actions en faveur de causes qui lui tiennent à cœur, comme la protection des animaux et l’évolution des droits des femmes. Elle ne se contente pas de défendre ces idéaux de manière abstraite, mais les incarne à travers ses engagements personnels.

Sheikha Mahra à DIAFA 2022, une présence majestueuse à cet événement prestigieux, illuminant la scène de son élégance.
(Photo Instagram Shaika Mahra « hhsmahra »)

L’une des passions les plus connues de Shaikha Mahra est son amour des animaux. Sur Instagram, elle partage fréquemment des moments avec ses compagnons à quatre pattes, dont son chien, un poméranien blanc nommé Pablo. La princesse se laisse aussi photographier en compagnie de faucons, de salukis (lévriers persans) et de chevaux, qu’elle affectionne tout particulièrement. Cette affection pour les animaux est une composante importante de son image publique, et il est évident que Sheikha Mahra trouve un équilibre entre la rigueur de son statut royal et la douceur qu’elle porte aux créatures vivantes.

En plus de son amour pour les animaux, elle pratique régulièrement l’équitation et participe à des événements équestres, un héritage de la culture bédouine qu’elle chérit particulièrement.
(Photo Instagram Shaika Mahra « hhsmahra »)

Une vision moderne du rôle des femmes dans la société

En tant que membre influente de la famille royale d’Émirats, Sheikha Mahra joue également un rôle important dans l’évolution de la place des femmes dans la société des Émirats Arabes Unis. Elle incarne une vision progressiste, insistant sur l’importance d’offrir aux femmes les moyens de s’épanouir dans des carrières professionnelles tout en restant fidèles aux valeurs traditionnelles. Dans ses déclarations, elle met en avant l’importance de la liberté de choix, en soulignant que les femmes ne devraient pas être limitées à un rôle domestique, mais aussi pouvoir exceller dans des domaines tels que la médecine, l’aviation, ou même l’armée.

Sheikha Mahra, diplômée en février 2023 en relations internationales, se prépare à jouer un rôle clé dans l’avenir politique des Émirats, alliant expertise académique et engagement social pour un avenir plus équitable et moderne.
(Photo Instagram Shaika Mahra « hhsmahra »)

Sheikha Mahra a obtenu, en février 2023, un certificat d’études en relations internationales, ce qui lui permet de se préparer à un futur rôle majeur au sein des institutions de son pays. Sa formation académique s’accompagne d’une expérience précieuse en tant qu’influenceuse sociale, partageant ses perspectives sur la société, les femmes et l’environnement. Son engagement envers la modernisation des structures gouvernementales et l’émancipation des femmes en fait une figure incontournable de la politique émirienne de demain.

Entre engagement royal et épreuves personnelles

Si elle occupe une place publique, Sheikha Mahra reste aussi une femme de famille. Mariée au Prince Mana bin Mohammed bin Rashid, le 27 avril 2023, elle a accueilli leur premier enfant, une fille nommée Mahra bint Mana Al Maktoum, le 1er mai 2024. Toutefois, un vent de turbulence a soufflé sur ce mariage lorsque la princesse a révélé des infidélités de son époux sur Instagram, ce qui a conduit à une demande officielle de divorce en juillet 2024. Cet épisode difficile a marqué un tournant dans la vie personnelle de Shaikha Mahra, mais elle continue de se concentrer sur son rôle de mère et son engagement envers son héritage.

Sheikha Mahra, malgré les épreuves personnelles, reste une mère dévouée. Elle accueille sa première fille, Mahra bint Mana Al Maktoum, en mai 2024. Son rôle de mère demeure au cœur de ses priorités, tout en continuant à œuvrer pour son héritage et son engagement familial.
(Photo Instagram Shaika Mahra « hhsmahra »)

Côté vie sociale, Sheikha Mahra entretient une amitié particulière avec le célèbre rappeur marocain French Montana. Ces derniers mois, les deux personnalités se sont affichées ensemble à plusieurs reprises, notamment lors de sorties dans des restaurants de luxe à Dubaï, où ils ont partagé des moments conviviaux. Leur complicité est visible sur les réseaux sociaux, où ils profitent de la vie nocturne et gastronomique de la ville, ajoutant une touche glamour à leurs rencontres.

Sheikha Mahra et French Montana, une amitié affichée au cœur de Dubaï. Ensemble, ils partagent des moments de convivialité dans les restaurants les plus raffinés, illuminant la scène sociale de la ville avec leur complicité.
(Photo Instagram Shaika Mahra « hhsmahra »)

Une influence grandissante à suivre de près !

Sheikha Mahra incarne le visage d’une nouvelle génération de leaders féminins des Émirats. À travers ses réseaux sociaux et ses actions publiques, elle continue de renforcer son influence, en particulier parmi les jeunes générations. En juin 2024, elle a partagé des photos de sa visite dans une crèche, mettant en lumière les initiatives locales en faveur des enfants et de l’éducation. Cette proximité avec le quotidien des citoyens renforce son image d’une princesse accessible, attachée à son peuple tout en ayant une vision claire et ambitieuse pour l’avenir.

Sheikha Mahra, figure inspirante de la nouvelle génération de leaders féminins des Émirats, engagée pour l’éducation et le bien-être des enfants, tout en restant proche de son peuple.
(Photo Instagram Shaika Mahra « hhsmahra »)



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À l’approche du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, la reine Rania de Jordanie a choisi de mettre à l’honneur des figures féminines inspirantes du gouvernorat d’Aqaba. Ce 6 mars, elle s’est rendue dans cette région du sud du royaume hachémite pour partager un moment de convivialité lors d’un iftar, le repas de rupture du jeûne du Ramadan, en compagnie de femmes ayant marqué leur domaine d’activité.

C’est au cœur d’Aqaba, ville portuaire baignée par les flots de la mer Rouge, que la reine Rania a partagé un ftour empreint de convivialité et de gratitude. Au sein du Prince Rashid Club, elle a honoré les femmes de la région, célébrant leur engagement et leur rôle essentiel dans la société jordanienne. Un moment chaleureux sous le signe du partage et de la bienveillance.
© Royal Hashemite Court

Une rencontre empreinte de chaleur et de reconnaissance

Vêtue d’une élégante robe poudrée, la souveraine a été accueillie au Prince Rashid Club, un lieu connu pour son ambiance chaleureuse. Rayonnante et souriante, Rania de Jordanie a pris place aux côtés de ses invitées, exprimant son admiration pour leur parcours et leur impact positif au sein de leur communauté. La Cour royale a souligné que ces femmes se sont distinguées par leurs contributions dans divers secteurs, témoignant ainsi de la vitalité et du rôle clé des Jordaniennes dans la société.

Rayonnante et bienveillante, la reine Rania partage un moment privilégié avec les femmes d’Aqaba, témoignant de son profond respect et de son admiration pour leur engagement. Son sourire sincère en dit long sur la chaleur de ces échanges.
© Royal Hashemite Court

« Les femmes, le cœur battant de la famille et de l’économie »

Lors de cette soirée d’échanges, la reine Rania a tenu à rappeler l’importance du rôle des femmes, non seulement au sein du foyer, mais aussi sur le marché du travail. « Les femmes jouent un rôle fondamental dans la vie économique du pays et sont le cœur battant de leur famille », a-t-elle affirmé avec conviction. Un message fort adressé à ses compatriotes, en reconnaissance de leur engagement quotidien et de leur capacité à façonner un avenir meilleur pour la Jordanie.

Dans une somptueuse robe poudrée, la reine Rania illumine la soirée de son charme naturel et de son raffinement. Son allure impeccable, rehaussée par un maquillage subtil et une coiffure soignée, incarne à la perfection l’élégance intemporelle.
© Royal Hashemite Court

Un hommage particulier avant une date symbolique

À l’aube du 8 mars, cette rencontre revêt une signification particulière pour la reine, récemment devenue grand-mère pour la deuxième fois avec la naissance d’Amina, fille du prince héritier Hussein. Ce moment intime partagé à Aqaba illustre son attachement aux valeurs familiales et son engagement en faveur des droits des femmes jordaniennes.

Une reine engagée sur tous les fronts

Connue pour son activisme en faveur des droits des femmes et de l’éducation, Rania de Jordanie multiplie les initiatives pour soutenir et valoriser les Jordaniennes. Que ce soit à travers ses visites à des associations, des ateliers d’artisanat ou encore des événements caritatifs, elle ne cesse de promouvoir l’émancipation et la reconnaissance des femmes. Son engagement dépasse les frontières du royaume, comme en témoigne sa présence en novembre 2022 à Londres aux côtés de la reine Camilla, de la reine Mary de Danemark et d’autres figures influentes lors d’un rassemblement en soutien aux femmes victimes de violences conjugales.

À l’écoute et engagée, Rania de Jordanie prend le temps de discuter avec chacune de ses invitées. Une proximité précieuse qui reflète son attachement indéfectible aux Jordaniennes et à leur rôle essentiel dans la société.
© Royal Hashemite Court

Pour clôturer cette rencontre émouvante, la reine Rania a partagé quelques clichés de la soirée sur ses réseaux sociaux, accompagnés d’un message de gratitude et de vœux pour un Ramadan béni. Une nouvelle fois, elle prouve par ses actions qu’elle est une figure incontournable du combat pour les femmes, en Jordanie et au-delà.

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Sayyida Ahad bint Abdullah

Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah, épouse du Sultan Haitham bin Tariq d’Oman, incarne une figure moderne et influente au sein de la société omanaise. Descendante de la famille Al Said, dynastie historique d’Oman, elle combine son héritage familial avec un engagement profond pour le bien-être de son pays et de ses citoyens.

Sayyida Ahad bint Abdullah
Assise avec une grâce naturelle, Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah rayonne de beauté et d’élégance. Habillée d’une tenue traditionnelle verte, magnifiquement assortie de bijoux délicats, elle incarne la noblesse et la sérénité. Son sourire lumineux et sa posture gracieuse captivent l’attention, faisant d’elle une figure de pure élégance et de charme naturel. Un instant figé, immortalisé dans toute sa splendeur, reflétant son rôle central et sa présence envoûtante dans la vie royale d’Oman.
(Getty Images)

Un héritage familial prestigieux

Née dans une famille respectée et influente, Sayyida Ahad est la fille de Sayyid Abdullah bin Hamad Al Busaidi, un ancien sous-secrétaire à la Justice au ministère des Affaires islamiques et un ancien gouverneur de Musandam. Cette filiation prestigieuse témoigne d’un ancrage fort dans les institutions du pays. Sayyida Ahad descend également d’Ahmad bin Said, le premier souverain d’Oman de la dynastie Al Said, une lignée historique qui a façonné le destin du Sultanat d’Oman.

Sayyida Ahad bint Abdullah
En janvier, Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah, avait organisé avec grâce et raffinement sa première grande réception pour marquer le cinquième anniversaire du règne de son époux, le Sultan Haitham bin Tariq. Un événement prestigieux qui a rassemblé dignitaires et personnalités influentes, témoignant du leadership éclairé de la famille royale et de l’engagement profond de Sayyida Ahad envers la prospérité et l’harmonie d’Oman.
(Photo : Royal Oman Family)

Des études diversifiées et un parcours enrichissant

Après ses premières études à Oman, Sayyida Ahad a poursuivi ses études supérieures à l’étranger, se spécialisant en sociologie. Cette formation lui a permis d’acquérir une vision globale des enjeux sociaux et économiques qui touchent non seulement son pays mais aussi la région dans son ensemble. Ces connaissances lui servent de fondement pour initier des actions sociales ambitieuses qui visent à améliorer la vie des citoyens omanais, en particulier des femmes et des communautés marginalisées.

la Reine Elizabeth
Le 15 décembre 2021, lors d’une rencontre mémorable au château de Windsor, la Reine Elizabeth II a posé pour une photographie avec le Sultan d’Oman, Haitham bin Tariq, et son épouse, la radieuse Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah dont le charme naturel se distingue non seulement par sa beauté, mais également par la grâce qu’elle dégage en toute circonstance.
(Getty Images)

Le 11 janvier 2020, Sayyida Ahad est devenue la Première Dame d’Oman suite à l’accession au trône de son époux, le Sultan Haitham bin Tariq, après le décès du Sultan Qaboos bin Said. Bien qu’Oman ne confère pas de titre de « Sultane » à l’épouse du souverain, Sayyida Ahad est honorée par le titre d’ »Al Sayyida Al Jalila », qui se traduit par « La Grande Dame » ou « L’Honorable Dame ». Ce titre souligne la dignité et le respect dont elle bénéficie au sein de son pays.

Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah
Le 3 février 2022, lors de leur visite officielle à Oman, la Reine Mathilde de Belgique a rencontré Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah. Un moment empreint de grâce et de diplomatie, illustrant la chaleur des relations entre les deux monarchie.
(Getty Images)

Un engagement sans faille pour la société omanaise

Dès son entrée en fonction, Sayyida Ahad a exprimé son profond attachement à la promotion des femmes et à l’amélioration des conditions sociales en Oman. Lors de la Journée nationale de la femme, le 17 octobre 2020, elle a organisé un événement au Palais Al Baraka, honorant 50 femmes omanaises pour leurs contributions exceptionnelles à la société. Cet acte symbolique a marqué sa volonté de soutenir l’égalité des genres et de mettre en lumière les rôles essentiels joués par les femmes dans tous les domaines de la vie sociale et économique.

Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah
Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah, toujours accessible et pleine de bienveillance, rencontre chaleureusement les habitants d’Oman, saluant chacun avec un sourire sincère et un esprit ouvert. Très appréciée pour sa simplicité et son approche humaine, elle incarne l’esprit de proximité avec son peuple, cultivant des liens solides et unis.
(Photo : Royal Oman Family)

La Fondation Ahad : une œuvre de bienfaisance et de soutien social

En 2021, Sayyida Ahad a lancé la Fondation Ahad, une organisation à but non lucratif dont la mission principale est de soutenir les femmes, les personnes handicapées et les individus à revenus modestes. Par le biais de cette fondation, elle a initié des projets d’envergure, notamment le convoi humanitaire « Ahad al Khair » pour aider les familles touchées par le cyclone Shaheen. Ce projet a été un véritable symbole de solidarité nationale, apportant une aide essentielle à ceux qui en avaient le plus besoin.

Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah
La Reine Mathilde de Belgique et son époux, le Roi Philippe, sont en compagnie de l’Honorable Dame d’Oman, Sayyida Ahad bint Abdullah bin Hamad Al Busaidiyah en rose, et de son mari, le Sultan Haitham bin Tariq
(Getty Images

La Fondation Ahad soutient également des initiatives légales, telles que l’initiative Fak Kurbah, visant à libérer les personnes emprisonnées en raison de dettes. Cette action démontre son engagement à améliorer la justice sociale et à offrir des solutions aux personnes en situation de vulnérabilité.

Un rôle de modèle et de leadership

Bien que la structure sociale d’Oman soit traditionnelle, Sayyida Ahad incarne une transition vers une société plus inclusive et progressiste. Son engagement en faveur des causes sociales, notamment celles touchant les femmes et les personnes marginalisées, la place comme une figure de leadership respectée. Elle incarne une vision d’Oman où la modernisation et la préservation des traditions se rejoignent harmonieusement.

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Hicham Lahlou et Cheick Diallo

Pour célébrer l’inauguration de sa première boutique à Dubai Mall, la Maison Daum lance en exclusivité pour le groupe Chalhoub un objet d’art d’exception : un brûle-encens unique signé par les designers internationaux Hicham Lahlou et Cheick Diallo.

Hicham Lahlou et Cheick Diallo
Plongez dans l’univers fascinant de Constellation, où le cristal et le laiton s’entrelacent pour donner naissance à une œuvre lumineuse inspirée de Sirius, l’étoile la plus brillante du ciel nocturne.

Cette collaboration prestigieuse entre deux icônes du design africain et la célèbre maison française de cristal incarne un hommage aux cultures du Moyen-Orient et de l’Afrique. Inspiré de la constellation Sirius, cet objet d’art baptisé « Constellation » symbolise un dialogue universel entre traditions et modernité.

Hicham Lahlou et Cheick Diallo
Fruit d’un dialogue entre l’artisanat d’art et le design contemporain, ce brûle-encens signé Hicham Lahlou et Cheick Diallo célèbre les savoir-faire ancestraux du Maroc et du Mali avec une touche de magie céleste.

« Constellation » : une œuvre entre cieux et terres

La collection « Constellation » se décline en deux versions : une en bleu-vert et une autre en ambre, chacune limitée à seulement 25 exemplaires. Ce brûle-encens, conçu comme une sculpture lumineuse, est une invitation au voyage à travers les étoiles et les civilisations.Sirius, l’étoile la plus brillante du ciel nocturne, inspire cette création où les nuances du verre rappellent un paysage africain au soleil couchant. Du vert des arbres aux teintes sableuses et aux bleus nocturnes, l’objet reflète la richesse de la nature et du cosmos.

Hicham Lahlou et Cheick Diallo
À travers ses teintes vibrantes et ses motifs tribaux, Constellation raconte l’histoire d’un astre millénaire, reliant les civilisations africaines et arabes dans un hommage à la fraternité et à l’universalité de l’art.

Les designers ont enrichi leur œuvre de motifs tribaux et d’une coiffe en laiton finement ajourée, évoquant la géométrie raffinée de la dynastie des Mérinides au Maroc, et l’architecture ancestrale des Dogons du Mali.

Un hommage à l’héritage et au design contemporain

Ce projet témoigne de l’engagement de Daum envers l’artisanat d’excellence et l’innovation en design.Hicham Lahlou, pionnier du design contemporain africain et arabe, célèbre 30 ans de carrière en 2025. Diplômé de l’Académie Charpentier à Paris, il collabore avec des maisons prestigieuses telles que Daum et Haviland. Ses créations sont exposées à travers le monde, faisant de lui une figure incontournable du design international. Cheick Diallo est quand à lui un architecte et designer malien de renom, allie artisanat traditionnel et modernité. Diplômé de l’École Nationale Supérieure de Création Industrielle de Paris, il est reconnu pour ses créations audacieuses mettant en valeur les matières locales et les savoir-faire ancestraux.

Hicham Lahlou et Cheick Diallo
Hicham Lahlou et Cheick Diallo, figures emblématiques du design africain, unissent leur talent pour donner vie à Constellation, une œuvre où savoir-faire ancestral et modernité s’entrelacent dans un dialogue artistique sans frontières.

Leur collaboration sur « Constellation » illustre une vision commune du design comme vecteur de transmission et de mémoire.

Une inauguration prestigieuse à Dubai Mall

L’ouverture de la boutique Daum à Dubai Mall a été marquée par une soirée d’exception en présence de la famille Chalhoub et des dirigeants du groupe. Hicham Lahlou et Cheick Diallo, venus spécialement du Maroc et du Mali, ont réalisé une performance live en tenue traditionnelle devant un parterre d’invités.

Hicham Lahlou et Cheick Diallo
Sous les regards émerveillés des invités, les maîtres designers Hicham Lahlou et Cheick Diallo ont révélé leur création lors d’une performance live, un moment suspendu où l’art et l’émotion se rencontrent.

Avec plus de 140 ans d’histoire, la Maison Daum, fondée en 1878, continue d’innover en collaborant avec des talents d’exception. « Constellation » incarne cet héritage artistique, fusionnant savoir-faire ancestral et créativité contemporaine.

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Le caftan marocain est bien plus qu’un simple vêtement : il incarne l’élégance, l’héritage et le savoir-faire ancestral du Maroc. À la tête de la maison de couture Altiere, basée à Casablanca, Zainab Elfatihi Aderrab redéfinit cet habit emblématique en lui insufflant une touche de modernité tout en respectant son essence. Entre passion, exigence et innovation, elle nous dévoile son parcours et sa vision de la mode.

Une passion née d’une fascination pour le détail

Dès son plus jeune âge, Zainab Elfatihi Aderrab, la créatrice d’Altiere a été captivée par l’élégance intemporelle du caftan. Lors des mariages et des célébrations, elle observait attentivement les moindres détails des pièces portées par les invitées, s’imaginant des améliorations et des ajustements. C’est ainsi qu’elle a commencé à concevoir ses propres modèles, d’abord pour elle-même, avant que son entourage ne sollicite ses talents. De fil en aiguille, son cercle de clientes s’est élargi, l’encourageant à fonder Altiere, une maison de couture qui conjugue tradition et modernité. « Mon style se distingue par une fusion subtile entre tradition et modernité : des coupes épurées, des détails soignés et une attention particulière aux matières nobles. Chaque caftan que je crée est unique et adapté à la personnalité de celle qui le porte. »

Préserver l’artisanat marocain tout en innovant

L’artisanat marocain est une source inépuisable d’inspiration pour la créatrice. À travers Altiere, elle veille à préserver les techniques ancestrales du caftan, comme la broderie à la main, le « zouak lam3alem », le « Sellam » et la « Randa », tout en les adaptant aux tendances contemporaines. « Il est essentiel de protéger et de perpétuer ces savoir-faire. Aujourd’hui, les artisans se font plus rares et ne transmettent plus leur art comme autrefois. Mon rôle est aussi de sensibiliser à la valeur du travail fait main » confie Zainab Elfatihi Aderrab, initialement formée en biotechnologie, s’est laissée porter par sa passion en créant des caftans pour elle-même. Dès 2010, ses créations ont captivé l’attention de son entourage, qui, séduit par la finesse de ses réalisations, lui a demandé de concevoir des pièces sur mesure.

Ses créations célèbrent la richesse du patrimoine marocain en mêlant des matières nobles, des coupes modernes et des finitions minutieuses. Le choix des tissus est un élément clé de son processus de création. « Chaque caftan raconte une histoire. J’imagine d’abord la silhouette, puis je sélectionne un tissu qui mettra en valeur le savoir-faire des artisans. Ensuite, je dessine les broderies et les ornements, un travail de longue haleine qui peut prendre plusieurs jours avant d’aboutir à une esquisse satisfaisante. »

À l’ère de la mondialisation, le caftan marocain s’exporte et s’impose sur les podiums du monde entier. Toutefois, Zainab Elfatihi Aderrab insiste sur l’importance de préserver son identité. « Le caftan est un ambassadeur du savoir-faire marocain. Il évolue et s’adapte aux nouvelles tendances, mais il est primordial de ne pas le dénaturer. Un caftan doit rester un caftan. »

Grâce à ses créations raffinées, la maison Altiere a habillé de nombreuses célébrités pour des événements prestigieux. Mais pour sa fondatrice, chaque cliente est une source de fierté. « Pour moi, célébrité ou non, l’important est que le caftan sublime la femme qui le porte. Chaque apparition de mes créations est un moment spécial. »

Comme toute créatrice de haute couture, la fondatrice d’Altiere doit faire face à plusieurs défis : préserver l’artisanat, sensibiliser à la valeur du fait-main et innover tout en respectant la tradition. Pour cela, elle s’appuie sur une collaboration étroite avec les artisans et mise sur l’excellence des finitions. Ses projets futurs ? Continuer à faire rayonner le caftan marocain sur la scène internationale. « Le meilleur reste à venir. Le caftan est ma plus grande passion, et préserver son savoir-faire local et ancestral est ma plus belle bataille».

Avec la maison Altiere, le caftan marocain trouve une nouvelle résonance, entre héritage et modernité, pour séduire les générations d’aujourd’hui et de demain.

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Dans l’éclat des chandeliers du St George’s Hall

Les appartements d’État du château de Windsor ont été le cadre d’un événement d’une rare intensité ce 2 mars : un ftour réunissant plus de 350 invités issus de diverses confessions. Pour la première fois en un millénaire d’histoire, cette résidence emblématique de la monarchie britannique a ouvert ses portes à un moment de partage et de fraternité entre croyances. Ce geste, inédit dans les annales de Windsor, incarne un tournant majeur dans le cheminement vers une plus grande ouverture interconfessionnelle du Royaume-Uni.

Dans l’éclat des chandeliers du St George’s Hall
Dans l’éclat des chandeliers du St George’s Hall, hommes, femmes et enfants partagent un moment de convivialité et de spiritualité, célébrant ensemble la rupture du jeûne dans ce cadre royal chargé d’histoire.
© Royal Collection Enterprises Limited 2025 | Royal CollectionTrust

Un événement sans précédent dans un lieu chargé d’histoire

Traditionnellement réservé aux banquets d’État et aux réceptions officielles, le St George’s Hall du château de Windsor a exceptionnellement ouvert ses portes pour accueillir un ftour collectif, organisé par l’association caritative londonienne Ramadan Tent Project. Cet événement s’inscrit dans une dynamique nationale où les initiatives favorisant le dialogue interreligieux et la cohésion sociale se multiplient à l’occasion du mois sacré du ramadan.

la salle d’apparat du château de Windsor en ce mois sacré du ramadan
Sourires et échanges sincères illuminent la salle d’apparat du château de Windsor, où la diversité des participants reflète un message fort d’unité et de respect mutuel en ce mois sacré du ramadan
© Royal Collection Enterprises Limited 2025 | Royal CollectionTrust

Pour la première fois, l’appel à la prière a résonné entre les murs du château, offrant un moment de recueillement unique aux participants. Ce geste fort symbolise l’engagement croissant des institutions britanniques en faveur du respect des différentes traditions culturelles et religieuses présentes au sein de la société.

Un engagement royal en faveur du dialogue interconfessionnel

L’initiative a été chaleureusement accueillie par les participants, qui ont salué l’ouverture du château par le roi Charles III. « C’est un honneur de pouvoir partager ce moment dans un lieu aussi prestigieux », a témoigné une participante interrogée par la BBC.

la salle d’apparat du château de Windsor en ce mois sacré du ramadan
Sous les voûtes majestueuses du château, les convives savourent un ftour inoubliable, symbole d’ouverture et de dialogue entre les cultures, dans l’un des lieux les plus emblématiques de la monarchie britannique.
© Royal Collection Enterprises Limited 2025 | Royal CollectionTrust

Simon Maples, directeur des opérations d’accueil des visiteurs à Windsor, a souligné que le souverain britannique, fidèle à son engagement en faveur du dialogue interreligieux, soutient activement les initiatives favorisant la diversité et la compréhension mutuelle. « Sa Majesté défend depuis de nombreuses années le respect des croyances et la promotion du vivre-ensemble », a-t-il précisé.

La St George's Chapel du château de Windsor
La St George’s Chapel du château de Windsor a été le cadre de ce ftour inédit, réunissant plus de 350 personnes de différentes croyances.
(Getty Images)

Omar Salha, fondateur et directeur général du Ramadan Tent Project, a quant à lui exprimé sa gratitude envers le Roi Charles III : « Son soutien à la communauté musulmane britannique témoigne de sa volonté de renforcer les liens entre les différentes confessions du pays. »

Un précédent qui ouvre la voie à de nouvelles traditions

Cet événement suit une première initiative menée en 2024, où un ftour avait été organisé dans le parc du château de Windsor, marquant une avancée notable dans l’histoire du Royaume-Uni. Avec cette édition 2025, le Ramadan Tent Project franchit un nouveau cap en intégrant les appartements d’État, espace hautement symbolique du pouvoir royal.

Cette ouverture du château de Windsor à une tradition musulmane souligne l’évolution des pratiques protocolaires au sein de la monarchie britannique et reflète une volonté d’inclusion et de modernité. Un signal fort, dans un monde où le dialogue et la tolérance restent des enjeux majeurs pour la paix sociale.

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