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Yasmine Khizrane

La Saint-Valentin approche à grands pas et, cette année, vous souhaitez surprendre votre moitié avec un cadeau qui sort de l’ordinaire ? Oubliez les traditionnelles roses rouges (même si elles restent un grand classique !) et laissez-vous inspirer par des bouquets de fleurs plus créatifs et significatifs. Offrir des fleurs à l’occasion de la fête des amoureux, c’est l’occasion de montrer à quel point vous tenez à l’autre tout en exprimant des émotions uniques. Voici quelques idées pour un bouquet à la fois original et plein de sens.

Des fleurs séchées : un geste qui dure dans le temps

Pourquoi ne pas opter pour un bouquet de fleurs séchées ? Ces créations sont non seulement élégantes et intemporelles, mais elles symbolisent également un amour durable, qui résiste à l’épreuve du temps. De la lavande douce aux roses séchées délicates, en passant par des herbes sauvages, ce bouquet saura ravir ceux qui aiment la nature et les petites attentions poétiques. En plus, ces fleurs ne faneront pas, un beau souvenir de votre Saint-Valentin.

Un bouquet personnalisé avec des fleurs locales

Choisissez un bouquet composé de fleurs de saison et locales pour marquer l’engagement envers l’environnement. L’idée ? Célébrer l’amour avec des fleurs qui viennent de votre région, cultivées de manière éco-responsable. Non seulement ce geste est symbolique, mais il a aussi une signification particulière : l’amour, comme ces fleurs, est ancré dans le moment présent et fait partie d’un tout plus grand. Demandez à votre fleuriste de vous composer une création en utilisant des pivoines, des anémones, des jonquilles ou même des tulipes, qui fleurissent à cette période de l’année.

Flowers in the bouquet are; Avalanche white roses, Larkspur, Wax flower, Antirrhinum, Viburnum opulus, Alstroemeria and Ammi visnaga

Un bouquet coloré et audacieux

Si vous voulez vraiment surprendre et éblouir votre partenaire, osez un bouquet plein de couleurs vives et de textures. Pourquoi se limiter au rouge quand on peut explorer tout un éventail de teintes ? Un mélange de roses corail, d’orchidées fuchsia, de pivoines rose pâle et de pivoines jaunes créera une explosion de couleurs qui ne manquera pas de ravir les yeux et le cœur de celui ou celle qui le recevra. Ce type de bouquet symbolise un amour joyeux et plein de passion, tout en étant une véritable œuvre d’art florale.

Un bouquet « minimaliste » mais chic

Si votre moitié préfère la simplicité à l’exubérance, un bouquet épuré mais élégant pourrait faire des merveilles. Des branches de bois d’olivier, des œillets blancs ou même des lys blancs associés à de petites touches de verdure peuvent évoquer un amour pur et sincère. Ce genre de bouquet dégage une beauté calme, presque zen, et peut être un parfait symbole d’une relation profonde et sereine. La beauté réside dans la simplicité.

Les fleurs comestibles pour une touche gourmande

Et pourquoi ne pas ajouter une touche originale et gourmande à votre bouquet ? Des fleurs comestibles comme des violettes, des capucines ou des soucis peuvent être ajoutées à votre bouquet pour créer une œuvre florale unique. Ces fleurs apportent non seulement une beauté délicate, mais elles symbolisent également une relation pleine de saveurs, de surprises et de tendresse. Offrez-les à votre moitié pour une Saint-Valentin pleine de goût… au sens propre comme au figuré !

Un bouquet thématique : le langage des fleurs

Chaque fleur a une signification particulière, et pourquoi ne pas en profiter pour choisir des fleurs qui portent un message caché ? Par exemple, des camélias pour l’admiration, des pivoines pour la romance, ou des lilas pour l’amour pur. Vous pouvez ainsi raconter une petite histoire d’amour à travers votre bouquet. Pour une Saint-Valentin vraiment personnalisée, associez des fleurs qui reflètent votre relation : un symbole de la première rencontre, de vos souvenirs communs ou même de vos projets à venir.

Des fleurs exotiques pour un amour hors du commun

Si vous avez l’âme d’un aventurier ou que vous et votre partenaire aimez explorer de nouveaux horizons, pourquoi ne pas opter pour un bouquet d’inspiration exotique ? Les oiseaux de paradis, les anthuriums et les proteas apportent des couleurs vibrantes et une touche d’exotisme à votre Saint-Valentin. Ces fleurs hors du commun feront certainement sensation et symboliseront un amour audacieux, prêt à braver toutes les frontières.

Un dernier conseil : le petit plus qui fait la différence

Peu importe le type de bouquet que vous choisissez, n’oubliez pas que la présentation compte autant que les fleurs elles-mêmes. Optez pour un joli emballage, une carte écrite à la main ou même un petit vase personnalisé pour accompagner votre bouquet. Ces petites attentions donneront à votre cadeau une touche encore plus personnelle et mémorable.

En définitive, un bouquet de fleurs est bien plus qu’un simple cadeau : c’est un moyen de transmettre vos émotions, d’éveiller des souvenirs et d’exprimer votre amour de manière créative et significative. Cette Saint-Valentin, sortez des sentiers battus, et laissez les fleurs de votre choix raconter l’histoire de votre amour unique.

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La cuisine japonaise est mondialement reconnue pour sa délicatesse, sa fraîcheur et ses saveurs uniques, mais elle cache également de nombreux secrets qui favorisent la longévité et le bien-être. Si les sushis et les ramen font la célébrité de ce pays, c’est un autre aspect de leur alimentation qui mérite toute notre attention, particulièrement en ce qui concerne la gestion du poids et la santé. Découvrez le dîner traditionnel japonais Ichi-ju-san-sai, une méthode simple mais puissante pour nourrir son corps tout en respectant son équilibre naturel.

La culture japonaise, réputée pour sa philosophie de vie saine et équilibrée, intègre l’alimentation comme l’un de ses piliers majeurs. À travers des pratiques ancestrales, les Japonais ont compris qu’un repas bien structuré pouvait non seulement nourrir le corps, mais aussi préserver la santé et la silhouette. Parmi ces habitudes alimentaires, le plat Ichi-ju-san-sai se distingue particulièrement. Ce modèle de repas ne consiste pas uniquement à se nourrir, mais à le faire de manière réfléchie pour maximiser ses bienfaits.

Le terme Ichi-ju-san-sai signifie littéralement « une soupe, trois plats » et désigne la structure d’un repas japonais traditionnel équilibré. Contrairement aux repas copieux ou excessivement riches en calories, ce modèle encourage à manger de manière modérée, en limitant la portion à environ 80% de la capacité totale du repas. Cette approche aide à éviter la surcharge alimentaire et à favoriser une digestion optimale.

Ce type de repas favorise une approche anti-excès, encourageant à écouter son corps et à s’arrêter avant de se sentir trop plein, un concept appelé « hara hachi bu » dans la culture d’Okinawa, une île célèbre pour sa longévité. Les Japonais estiment qu’en mangeant de manière plus consciente et en ne remplissant pas complètement l’estomac, on prolonge la vie et on prévient les maladies liées à la suralimentation.

Un plat parfait pour la longévité : quels ingrédients le rendent si idéal ?

Un dîner structuré autour du modèle Ichi-ju-san-sai est généralement composé de plusieurs éléments clés, chacun ayant un rôle précis pour la santé et la gestion du poids. Ce repas commence toujours par une soupe, un aliment réconfortant et très bénéfique pour l’organisme. La soupe, qu’elle soit à base de miso, de bouillon d’os ou de légumes, est riche en nutriments et aide à apaiser l’estomac. Elle prépare également le corps à l’absorption des autres aliments, facilitant ainsi la digestion.

Le plat principal est centré sur des protéines maigres, principalement le poisson. Cette source de protéines s’accompagne généralement de riz, un glucide à digestion rapide, qui fournit de l’énergie sans provoquer une prise de poids excessive. Le riz est un aliment de base au Japon, et avec le Ichi-ju-san-sai, il est consommé en petites portions pour éviter les pics de glycémie tout en apportant un sentiment de satiété.

En complément, des légumes de saison, comme le tofu, les carottes, et les radis, apportent des fibres et des antioxydants essentiels pour la santé et la prévention des maladies. Ces légumes, souvent cuits à la vapeur ou légèrement sautés, sont non seulement riches en nutriments, mais aussi faibles en calories, ce qui les rend parfaits pour un repas léger mais satisfaisant.

Enfin, les cornichons fermentés, incontournables dans la cuisine japonaise, jouent un rôle crucial dans le maintien de la santé intestinale. Riches en probiotiques, ils facilitent la digestion et contribuent à l’équilibre de la flore intestinale, ce qui est essentiel pour une absorption optimale des nutriments et une meilleure gestion du poids.

Les bienfaits du Ichi-ju-san-sai sur votre corps sont nombreux !

Le dîner Ichi-ju-san-sai ne se contente pas de nourrir ; il optimise également la santé à long terme. Les nutritionnistes et les experts en bien-être s’accordent à dire que ce type de repas, léger et équilibré, est idéal pour maintenir une bonne santé, prévenir les maladies chroniques et soutenir une gestion du poids naturelle. La combinaison de protéines maigres, de légumes frais et de riz aide non seulement à réguler la glycémie mais aussi à offrir une énergie durable sans excès.

En outre, le fait de manger de manière plus légère et en respectant le principe des 80% de satiété permet d’éviter les problèmes digestifs et d’optimiser le métabolisme. Cela permet aussi d’éviter les grignotages ou les excès alimentaires qui peuvent entraîner une prise de poids non désirée.

Adopter un dîner inspiré de l’Ichi-ju-san-sai est une excellente manière d’intégrer une alimentation saine et équilibrée dans son quotidien. À travers ce modèle japonais, vous pouvez savourer un repas nutritif, savoureux et léger, tout en offrant à votre corps les bienfaits de la longévité et d’une bonne digestion. En plus d’être un régal pour les papilles, ce plat peut devenir un véritable allié pour atteindre et maintenir un poids sain.

Pourquoi ne pas essayer cette méthode japonaise et en faire une nouvelle habitude de vie bénéfique pour votre santé ?

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Le dimanche, souvent associé à la détente et au repos, peut aussi être l’occasion idéale pour prendre soin de soi et faire un peu de sport à la maison. Que vous soyez plutôt yoga, pilates, HIIT ou danse, il existe une multitude d’influenceurs sportifs qui partagent des entraînements motivants et accessibles pour tous les niveaux. Voici une sélection qui vous inspireront à bouger, même pendant vos moments de relaxation.

1. Laury Thilleman: de l’énergie à revendre, tous sports confondus !

Ancienne Miss France et passionnée par le bien-être, Laury Thilleman est devenue une figure incontournable dans l’univers du sport. Sur ses réseaux sociaux, elle propose des vidéos d’entraînement à la maison, incluant des séances de renforcement musculaire, de stretching et de yoga (et même de surf). Avec son approche bienveillante et motivante, Laury transforme votre dimanche en un moment de détente active, parfait pour démarrer la semaine sur une note positive.

Paris, France – 14 mai : Laury Thilleman lors de l’événement de lancement de son livre 30 jours pour être au TOP à « La Salle de Sport » à Madeleine. Ce livre, désormais disponible, offre des conseils pratiques et motivants pour vous accompagner dans votre quête de bien-être et d’énergie au quotidien. (Photo : Edward Berthelot/Getty Images)

2. Sonia Tlev : l’incontournable des réseaux sociaux

Coach sportive et influenceuse française, Sonia Tlev est connue pour ses séances de fitness variées et ses conseils sur la nutrition. Sur sa chaîne Instagram et ses vidéos YouTube, elle partage des exercices ciblés pour tonifier le corps, brûler des calories et améliorer la posture. Que vous ayez 10 minutes ou une heure, elle propose des entraînements adaptés à tous les niveaux, parfaits pour un dimanche actif à la maison.

3. Ayoub Lahlou : dentiste le jour, passionné de sport toujours

Ayoub Lahlou, dentiste originaire de Marrakech et désormais installé à Paris, prouve qu’il est possible de concilier carrière exigeante et passion pour le sport. Véritable influenceur lifestyle, Ayoub partage son quotidien entre son cabinet dentaire et de longues séances à la salle de sport. Sur ses réseaux sociaux, il offre des conseils précieux pour hommes et femmes, leur montrant comment maximiser leurs entraînements tout en restant motivés. Son approche est simple : prendre soin de son corps, c’est tout autant une question de santé que d’apparence, et Ayoub sait parfaitement allier ses deux passions, la dentisterie et le fitness, pour inspirer sa communauté à atteindre leurs objectifs, tant sur le plan physique que mental.

Capture d’ecran Instagram @Ayoub Lahlou

6. Chloe Ting, deux semaines pour vous rendre accro !

Chloe Ting est une influenceuse australienne mondialement suivie, connue pour ses défis fitness à la maison. Si vous êtes à la recherche de programmes d’entraînement courts mais efficaces, elle est l’une des meilleures références. Avec des vidéos axées sur la tonification du corps et des défis de 2 à 4 semaines, Chloe Ting vous motivera à bouger le dimanche sans avoir à quitter votre salon. Ses routines sont accessibles à tous, débutants comme confirmés.

7. MadFit (Maddie Lymburner) prouve que le sport sans matériel, c’est possible !

MadFit, alias Maddie Lymburner, est une influenceuse canadienne qui se spécialise dans les entraînements à la maison sans matériel. Elle propose des séances variées allant de la danse fitness à des exercices plus ciblés pour tonifier le corps. Ses vidéos sont courtes, dynamiques et parfaites pour les dimanches où vous voulez bouger sans passer des heures à transpirer. Son approche est ludique et accessible, avec des entraînements adaptés à tous les niveaux.

Pourquoi bouger le dimanche ?

Faire du sport le dimanche présente plusieurs avantages : non seulement vous gardez la forme, mais vous commencez la semaine avec une énergie renouvelée. De plus, l’activité physique libère des endorphines, ces hormones du bonheur qui favorisent le bien-être et réduisent le stress. Un peu d’exercice le dimanche permet de rééquilibrer le corps et l’esprit, pour attaquer la semaine avec une motivation boostée et surtout, de se sentir plus détendue face au stress professionnel.

Alors, que vous ayez envie de faire une séance intense de HIIT, de vous détendre avec du yoga ou de danser sur des rythmes endiablés, ces influenceurs sportifs sont là pour vous donner envie de bouger. Profitez de votre dimanche pour intégrer l’activité physique dans votre routine et commencez la semaine en pleine forme !

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Au carrefour de la solitude et de la rencontre, là où les âmes se frôlent et se dévoilent, se trouve Kenza Ito Mekouar, psychologue, thérapeute holistique, professeur de yoga, conférencière et maman. Elle rayonne d’une énergie inspirante, brillante comme un soleil marocain. Ancrée dans la richesse de sa terre natale qu’elle chérit tant, le Maroc, Kenza respire la générosité et la bienveillance.

Sa vocation initiale l’a conduite sur le divan de la psychanalyse et de la psychologie, mais sa soif de proximité humaine l’a finalement orientée vers une approche plus proximale, plus intime, loin du déni du corps.  Aujourd’hui, bien qu’elle reçoive toujours des patients en séance, elle a également de nombreux élèves qu’elle accueille dans ses cours ou lors de ses retraites, au sein desquelles elle cultive un espace où chacun peut se sentir comme à sa juste place, et autorisé à être lui-même, tout simplement.

Passionnée de danse et de musique depuis ses premiers jours, elle entend résonner chaque note et ressent chaque mouvement comme un hommage à la vie et à l’amour. Connectée au monde lorsqu’il le faut, Kenza sait aussi et surtout se déconnecter pour se retrouver et puiser dans les silences l’essence même de l’existence.  Son objectif ? Réveiller l’enfant qui sommeille en chacun de nous, nous invitant à voir le monde avec un regard nouveau et émerveillé. 

Généreuse, elle guide avec douceur et talent, instillant l’importance de la gratitude, et ponctuant d’ailleurs souvent ses phrases par un « Al hamdoullah » sincère et apaisant. Elle est une alchimiste de l’âme, transformant les moments ordinaires en expériences extraordinaires de partage et de découverte.  Sa vie est un témoignage vibrant de la puissance de la Vie, de la maternité consciente, de la magie de la connexion à soi et à l’autre, et du potentiel créateur infini de chaque être humain.  

Dans une atmosphère empreinte de sérénité et dans l’intimité de son propre reflet, elle confit lors de ce moment : « Je crois qu’il est essentiel d’apprendre à écouter ses propres besoins, à se comprendre soi-même avant de chercher à répondre aux attentes des autres. Pour moi, le bonheur ne réside pas simplement dans la joie éphémère, mais dans la capacité à trouver son chemin, sa place dans le monde, en harmonie avec ce qui nous anime véritablement. »

Rencontre avec celle qui crée LA rencontre

UNE VOIE, PUIS UNE VOIX, TISSANT LE DESTIN…

Pouvez-vous nous parler du parcours qui vous a menée à la psychologie clinique ?

J’ai grandi au Maroc ou j’ai eu une enfance paisible. C’est plutôt arrivé naturellement. Aller voir un psy n’était pas du tout tabou dans ma famille. Cela faisait partie de notre hygiène de vie, au même titre que consulter un dentiste ou un médecin.  Plus tard, pendant les années lycée, on me disait souvent : « Tu devrais aller vers psycho. »  Pourquoi ? Parce que la psychologie fait partie intégrante des sciences humaines et sociales, et se rapproche en ce sens des lettres et de la philosophie.  Or j’étais une véritable littéraire, se préparant à passer un bac L.  Mais à cette remarque, je répondais : « Je ne sais pas si j’en suis capable, il faut, pour ça, beaucoup de générosité. » Après mon bac, j’ai fait une prépa littéraire à Paris. Bien que je m’en sortais bien, je trouvais cela trop rigide, trop scolaire, ce qui ne me plaisait pas vraiment.  J’ai donc fini par m’inscrire en fac de psychologie, où l’ambiance était moins tendue, et j’y suis allée avec plus de plaisir.  À Paris V, j’ai découvert ma passion pour la psychologie clinique, la psychopathologie, et la psychanalyse.  J’ai donc décidé de changer de fac pour aller à Paris VII où j’ai étudié la psychanalyse avec des maîtres à penser comme Fethi Benslama, Paul-Laurent Assoun et Alain Vanier. Là, je me suis véritablement épanouie. Les lectures étaient passionnantes, les cours aussi. Parallèlement, j’allais aux cours Florent et goûtais chaque jour à la saveur de la vie parisienne.

Kenza, vêtue de blanc et parée d’accessoires dorés évoquant les motifs délicats de sa tenue, danse avec l’océan en toile de fond. Sa grâce naturelle et son style raffiné s’harmonisent avec les vagues, créant une image de liberté et de connexion avec la nature : « La beauté, pour moi, est synonyme d’amour en partage et d’accroche à l’instant présent. Lorsque nous sommes entourés de beauté, que ce soit un magnifique coucher de soleil, une architecture harmonieuse ou la nature elle-même, nous sommes automatiquement ancrés dans l’instant présent. »

Puis vous êtes rentrée définitivement au Maroc…

Malgré cet épanouissement, je faisais encore, quelque part, ce que les autres attendaient de moi. Étudier la psychologie n’était pas uniquement un choix personnel. Il avait été initié et orienté par d’autres.  En rentrant au Maroc, j’ai donc commencé à pratiquer en tant que psychologue. Après une année de bénévolat au chevet des patients, dans le service des maladies infectieuses dirigé à l’époque par Hakima Himmich, fondatrice de l’ALCS, j’ai compris ce qui m’animait le plus : l’accompagnement proximal, le soutien et l’écoute des personnes en détresse.  

Vous avez mentionné un événement marquant en 2017. Pouvez-vous nous en parler ?

En 2017, après un souci familial, j’ai eu un problème de santé dont j’avais déjà fait l’expérience dix ans plus tôt. La semaine d’hospitalisation qui s’en est suivie m’a fait prendre conscience de beaucoup de choses, notamment du fait que je n’écoutais pas assez mon corps et que je passais à côté de moi-même, à force de m’occuper des autres ou de vouloir leur faire plaisir.  Je ressentais de la colère, et je me demandais comment cela pouvait m’arriver une seconde fois. Alitée, immobile, je faisais face à ma propre douleur sans possibilité de la fuir ni de la contourner. J’étais furieuse contre le monde entier, jusqu’au moment où je me suis dit : « Les autres ne sont pas responsables de ce qui t’arrive. C’est à toi de prendre des décisions, de faire tes choix. »  Six mois plus tard, en juillet 2017, j’étais au Costa Rica pour passer ma première certification en tant que professeure de yoga. Et tout s’est enchaîné très vite.  Quand on suit son cœur, les choses s’alignent si naturellement que c’en est presque déconcertant.

Un moment suspendu entre ciel et terre. Kenza Ito Mekouar, connectée à l’univers tout en se déconnectant du tumulte du monde. Une vision d’harmonie et de sérénité absolue

Vous voyagez régulièrement, seule, à l’autre bout du monde. Cela demande beaucoup de courage, surtout en tant que femme. C’est vital pour vous ?

La solitude a toujours été présente dans ma vie. Je l’apprivoise et réussis à l’apprécier. Je voyage régulièrement seule et je n’ai jamais eu de problème à aller au cinéma ou au restaurant sans autre compagnie que moi-même, notamment pendant mes années d’études à Paris. C’est ma façon à moi de me recharger : j’ai besoin de me retrouver.  J’apprécie mes moments de solitude même lorsque je voyage avec des amis. Je suis d’ailleurs souvent initiatrice de ces voyages, tout simplement parce que je les prévois d’abord pour moi-même, puis que celles et ceux qui souhaitent se joindre à moi le font.  Mais je n’attends pas forcément d’être accompagnée pour partir à l’aventure. A force de trop attendre les autres, on passe souvent à côté de moments riches dont nous avons pourtant besoin, sur notre chemin, pour grandir en conscience et se faire du bien.  Je ne dis pas pour autant que je n’ai pas besoin des autres. Ce sont deux choses différentes : on peut apprendre à apprécier ses moments de solitude tout en reconnaissant, en tant qu’humains, notre besoin les uns des autres. Tisser des liens, se sentir soutenu, vivre dans le partage, participent, à mon sens, au bien-être, à l’équilibre et au bonheur.

DES AMIS POUR LA VIE, LA MAGIE DES RETRAITES

Que cherchent les participants dans vos retraites de bien-être ?

Les participants viennent se reconnecter à eux-mêmes, se recharger, retrouver les parts d’eux-mêmes égarées au milieu du tumulte de la vie quotidienne. Mais ils viennent aussi, parfois sans le savoir, se rencontrer les uns les autres.  Nos sociétés, axées sur l’immédiateté, l’individualisme et la performance, manquent de douceur et de rapports humains authentiques.  Les retraites permettent de recréer des espaces sécures où des liens « vrais » et des amitiés profondes peuvent voir le jour. Dans notre quotidien, on peut côtoyer des gens pendant des années sans vraiment les connaître. Dans les retraites, quelques heures suffisent parfois à se rencontrer, puisqu’on est dans l’écoute, la pleine présence et le partage.  Et ça me remplit de joie de voir des amitiés extraordinaires naître, des liens qui traversent les frontières et perdurent. Mais attention : le travail que l’on réalise en retraite n’est pas facile pour autant. La rencontre avec soi-même requiert beaucoup de courage et de volonté. Accueillir sa propre vulnérabilité aussi, mais ce qu’il y a de plus beau là dedans, c’est qu’en le faisant, on permet à l’autre de le faire aussi. La dynamique de groupe et la puissance des cercles de parole sont remarquables.

Plus qu’une enseignante de yoga, une inspiration. Kenza partage son art avec passion, transmettant à ses élèves bienveillance et équilibre. Chaque cours devient une expérience inoubliable

Comment créez-vous un sentiment de communauté parmi des participants de cultures diverses ?

La clé réside dans ce que l’on parvient à toucher en l’autre. Ce que l’on réussit à faire vibrer à une fréquence qui dépasse les différences culturelles, religieuses, identitaires.  C’est en touchant cette corde sensible avec subtilité et délicatesse que l’on permet à chacun de reconnaître sa propre humanité en l’autre. Et que l’on permet au groupe de n’être plus qu’ « UN ».  Et puis, bien sûr, des valeurs  universelles comme le respect, l’écoute, le non-jugement et l’authenticité ont un impact profond sur le groupe.  Les activités et les moments de travail et de partage sont essentiels.   La musique, langage universel, aussi. Chaque participant enrichit le groupe de son histoire et de ses partages. De ce qu’il est venu apporter, déposer.  C’est ainsi que des amitiés durables se créent. Les participants restent souvent en contact après les retraites, les partages perdurent, ce qui est extraordinaire.  Les hommes, bien qu’un peu moins nombreux, tissent également des liens forts. Voir ces amitiés naître est une véritable bénédiction.C’est en ce sens aussi que l’on peut parler d’UNION, mot duquel le yoga puise son origine étymologique (Yuj).

Des retraites en famille, cela semble de plus en plus d’actualité…

Absolument. J’ai toujours accueilli des participants venus en couple, ou en famille. Des mères et des filles, des frères et sœurs. J’ai même déjà reçu un grand-père et son petit-fils.  Récemment lors de la Full Moon Candle Ceremony à Rabat, beaucoup de participants sont venus en famille. C’était très inspirant de voir ces liens familiaux se consolider à travers le partage d’expériences transformatives.  Les couples en ressortent souvent plus soudés, la communication entre frères et sœurs, parents et enfants, plus fluide et apaisée, les rapports remplis d’une énergie nouvelle.  Et paradoxalement, il est intéressant de faire sortir les familles de leur zone de confort en leur offrant l’opportunité d’échanger avec d’autres personnes, sans s’enfermer dans la facilité des rapports pré-établis.  C’est aussi une façon de leur permettre de vivre leurs propres expériences de manière plus profonde, sans constamment avoir le souci de l’autre. De faire leur propre voyage, indépendamment les uns des autres. C’est très puissant de voir comment les membres d’une même famille ou d’un couple parviennent à grandir individuellement tout en renforçant leurs liens affectifs et en améliorant leur relation.

D’où vient cette ambiance toujours très chaleureuse lors de vos retraites ?

De l’authenticité. De la sincérité. De l’honnêteté, valeur suprême sans laquelle il ne peut y avoir de spiritualité. En nous autorisant à être nous-mêmes, en embrassant nos failles, notre vulnérabilité, nos parts d’ombre, nous déposons les armes et les masques sociaux.  Ce travail, souvent douloureux, est nécessaire si l’on veut aller à la rencontre de la joie véritable. Si je fuis une partie de moi-même, je ne suis plus moi-même. Je ne suis plus entier, complet.  Dès lors, toutes les expériences qu’il m’est donné de vivre, je ne peux les vivre que superficiellement, la joie comme la peine.  Or travailler avec l’entièreté de son être, accepter l’inconfort, accueillir  les émotions que l’on redoute, avoir le courage de se laisser guider vers des espaces inconscients (et c’est là que mon travail de psy intervient), c’est aussi se permettre de goûter aux plus grandes joies.  Lorsqu’on se nettoie énergétiquement et psychologiquement, on est forcément plus léger, et notre vibration est plus haute. Nous sommes tous dans notre vérité, dans une pureté retrouvée, celle de l’enfance, de la spontanéité. Cela nous permet de nous reconnecter à notre essence sans exiger de nous-mêmes d’être « la meilleure version de soi », injonction sociétale qui tue à petit feu. Et c’est magique d’observer que c’est souvent en acceptant d’incarner la « pire » version de soi-même qu’advient la meilleure, ou du moins, la plus vraie.

Comment intégrez-vous la musique dans vos pratiques ?

J’intègre la musique comme un soutien essentiel, un étayage.  Elle accompagne les mouvements lors des cours de yoga, porte la parole et les émotions.  Les chants sacrés, qui font partie intégrante du Yoga (c’est ce qu’on appelle le Bhakti Yoga, le yoga de l’amour et de la dévotion) viennent quant à eux ouvrir les cœurs. Ils nous permettent de vibrer à l’unisson et de communiquer à travers le langage musical, qui crée des ponts par-delà les frontières. Ces chants, non religieux, possèdent une puissance extraordinaire. Je me permets d’ailleurs de souligner la différence entre le sacré et le religieux, pour éviter toute confusion : est sacré ce qui porte de l’intention, ce qui est fait avec amour. C’est pour cette raison que nous parlons de chants sacrés ou de musique sacrée. Aucune autre interprétation ne doit venir entraver cette intention première, celle de vibrer ensemble, à cœur ouvert.  Tout simplement.

Kenza Ito Mekouar fait de la musique bien plus qu’un simple fond sonore lors de ses cours de yoga : elle en fait une compagne essentielle, un pont vers l’émotion et l’ouverture des cœurs. Les chants sacrés, empreints de Bhakti Yoga, transportent chaque participant dans un voyage spirituel et collectif, vibrant à l’unisson au-delà des mots et des frontières. Une expérience où chaque note devient une intention, et chaque vibration, une invitation à l’amour et à la dévotion.

UN VOYAGE COLLECTIF VERS LE BIEN-ÊTRE

L’importance de l’acceptation de la différence semble être le b.a-ba pour vous. Pouvez-vous nous expliquer comment cela se manifeste concrètement et pourquoi c’est si crucial ?

Bien sûr. Avoir conscience que nous sommes une partie infime d’un grand « Tout » ne doit pas nous empêcher de percevoir et d’accueillir avec respect nos différences. Il ne s’agit ni de les nier, ni d’en faire un obstacle. Bien au contraire : accepter la différence est en quelque sorte une libération : si nous partons du principe que l’autre doit être comme nous et se comporter comme nous, nous devenons très exigeants envers lui, et nous sommes alors forcément déçus face à nos attentes. Or les frustrations créent de la tension et de la distance.

DANS L’ÉCLAT D’UNE MATERNITÉ ÉVIDENTE

Avez-vous toujours nourri ce désir profond de devenir maman, comblée aujourd’hui par l’arrivée de votre enfant il y a quelques années ?

Oui, à 1000 %. Je l’ai toujours désiré, et je ressens une gratitude infinie de l’être devenu, el Hamdoullah.  Dès le collège, je rêvais déjà des prénoms de mes enfants. D’ailleurs, dans une autre vie, j’aurais pu en avoir 10 (même si, Dieu merci, un enfant, c’est merveilleux et amplement suffisant pour la femme que je suis). Écologiquement parlant, fonder une famille nombreuse, ce n’est peut-être pas idéal, en même temps je ne pense pas que la solution à nos problèmes démographiques et environnementaux consiste uniquement à faire moins d’enfants, mais plutôt à faire des enfants conscients. C’est notre conscience de la vie et de nous-mêmes qui peut aider à faire évoluer le monde dans le bon sens. Aussi, mon enfant m’a fait aimer encore plus fort les autres enfants, sans distinction. Je pense que c’est cet amour universel que nous enseignent nos enfants : à aimer au déjà des différences, à reconnaître notre progéniture en celle des autres, à ne plus juger, à mieux comprendre, à se rappeler qu’en chacun sommeille un enfant intérieur (ce qui aide tellement à pardonner…), et que chaque personne de ce monde est la merveille, est l’univers de quelqu’un d’autre (de ses parents). L’un de mes poèmes préférés, écrit par Pablo Casals, finit d’ailleurs ainsi : « Oui, tu es une merveille, et lorsque tu seras grand, pourrais-tu faire du mal à quelqu’un qui, comme toi, est une merveille ? Tu dois œuvrer, nous devons œuvrer à rendre le monde digne de ses enfants. »Pour moi, devenir maman, c’est ne pas tolérer qu’on puisse faire du mal à un enfant, quelle que soit sa confession ou sa couleur de peau (et je précise que beaucoup de femmes n’ayant pas enfanté portent cette sagesse et incarnent la maternité dans ce qu’elle a de plus beau, puisque ce sont les mères et les gardiennes de notre Monde)

On dit d’ailleurs souvent qu’une énergie maternelle se manifeste dans votre travail…

Absolument. Souvent dans mes retraites, je me retrouve avec des femmes qui ont l’âge de ma mère et qui me disent qu’en ma présence, elles ont l’impression d’être avec une maman. C’est une énergie qui a toujours fait partie de moi. Elle se manifeste dans la façon dont je prends soin des participants, dont je les guide et les soutiens.  Cette énergie maternelle m’aide à créer un espace de sécurité et de bienveillance dans lequel les participants peuvent alors s’ouvrir en se sentant autorisés à être eux-mêmes. C’est une partie intégrante de qui je suis.

Quelles sont les valeurs que vous souhaitez transmettre à votre enfant ?

 Les valeurs et les principes qui me tiennent à cœur dans l’éducation de mon enfant sont profondément enracinés dans l’idée de partir de soi-même. Contrairement à ce que l’on a enseigné aux générations précédentes, je crois qu’il est essentiel d’apprendre à écouter ses propres besoins, à se comprendre soi-même avant de chercher à répondre aux attentes des autres. Pour moi, le bonheur ne réside pas simplement dans la joie éphémère, mais dans la capacité à trouver son chemin, sa place dans le monde, en harmonie avec ce qui nous anime véritablement.

LE MAROC, UN AMOUR ENRACINÉ

Vous organisez des retraites dans des lieux qui semblent être choisis avec soin. Pourriez-vous nous dévoiler votre approche dans la sélection de ces lieux ?

Je privilégie des endroits qui ont une âme, une beauté qui attire et qui inspire. La beauté, pour moi, est synonyme d’amour en partage, et d’accroche à l’instant présent. Lorsque nous sommes entourés de beauté, que ce soit un magnifique coucher de soleil, une architecture harmonieuse ou la nature elle-même, nous sommes automatiquement ancrés dans l’instant présent. Nous n’avons pas envie d’aller ailleurs, de nous échapper, car nous sentons notre âme nourrie de l’intérieur. C’est pourquoi je recherche des lieux qui captivent non seulement par leur esthétique, mais aussi par leur capacité à raconter une histoire, à éveiller nos sens. Je suis attirée par des endroits qui me font vibrer, qui ont un potentiel émotionnel fort. Que ce soit en bord de mer, en montagne ou au cœur de la nature, ces lieux ont un pouvoir de guérison et d’éveil. Je les choisis, pour la plupart, simples et épurés, parfois plus sophistiqués, mais en connexion avec la nature, car cette dernière est l’un des plus grands remèdes qu’il soit.

Un dernier mot pour conclure…

Je dirai, de ne pas hésiter à aller à la recherche de cette expansion de la conscience en passant par le corps. De travailler à regarder la beauté du monde et de l’humain, plutôt que la laideur ou tout ce qui n’est pas comme on le voudrait. D’apprendre à moins juger. D’entreprendre un chemin pour grandir en âme et en amour. J’aimerais d’ailleurs citer Spinoza, dont mon ami Frédéric Lenoir explique et développe si bien la pensée, qui disait, que, dans la nature, tout être vivant tend à croître, persévère pour croître et pour grandir. Et l’état de bonheur viendrait, en grande partie, de ce sentiment de grandir, en s’accomplissant à travers des choses qui ont du sens, pour un chemin de vie qui trouve son sens… pas à pas, petit à petit.

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Après une semaine à jongler entre réunions, obligations familiales et notifications incessantes, le week-end est enfin là ! Et cette fois, on oublie le boulot, les to-do lists interminables et on se consacre à une seule mission : se faire du bien. Voici nos idées pour vraiment décrocher, comme les stars… ou presque !

Un peu de lecture pour vous détendre… En ce moment, tout le monde parle de La Femme de Ménage de Freddie McFadden !

Si vous n’avez pas encore entendu parler de ce livre, où étiez-vous ces dernières semaines ? Freddie McFradden, la femme de ménage fait un carton et squatte déjà les stories Insta des célébrités. Une lecture addictive et légère, parfaite pour se détendre avec un plaid et un chocolat chaud. Même Blake Lively l’a glissé dans son sac pour son dernier vol transatlantique. Verdict ? « Impossible à lâcher ! »

S’offrir un spa maison comme Hailey Bieber

Pas besoin de réserver une journée au spa pour s’accorder un moment cocooning. Hailey Bieber ne jure que par les bains aux huiles essentielles et les masques en tissu pour récupérer après ses tournées promo. Alors on suit l’exemple : bain moussant, playlist chill et masque à la vitamine C pour une peau éclatante. Ambiance luxe à domicile garantie !

Faire une digital detox façon Selena Gomez

Besoin d’un vrai break ? Selena Gomez l’a bien compris : elle s’offre régulièrement des week-ends sans téléphone ni réseaux sociaux. Une pause qui fait du bien au mental et qui permet de profiter pleinement de l’instant présent. Alors, on active le mode avion, on ressort un bon vieux magazine papier, on pique nique, et on redécouvre le plaisir d’un moment sans écrans.

Capture d’ecran Instagram @Selenagomez

Se défouler avec le cardio boxing de Gigi Hadid

Rien de tel qu’un peu d’adrénaline pour relâcher la pression. Gigi Hadid est accro au cardio boxing, une activité parfaite pour libérer les tensions accumulées dans la semaine. Pas besoin d’être une pro du ring, un bon cours en ligne ou une session shadow boxing dans le salon suffisent pour ressentir les bienfaits immédiats. Bonus : on muscle aussi ses bras et on booste son énergie !

Cuisiner comme Chrissy Teigen

Si vous êtes du genre à trouver la cuisine relaxante, prenez exemple sur Chrissy Teigen ! Son passe-temps favori ? Tester de nouvelles recettes et partager ses créations gourmandes. Pourquoi ne pas tenter une recette réconfortante, comme un bon banana bread ou un plat de pâtes maison ? Effet anti-stress garanti… et plaisir gustatif en prime.

À New York, le chef belge Bart Vandaele initie Chrissy Teigen aux saveurs traditionnelles de la Belgique lors d’une démonstration culinaire spéciale pour le ‘King’s Feast’, célébrant l’art de recevoir avec élégance( Photo by Craig Barritt/Getty Images for Stella Artois)

Que vous soyez team cocooning, sportive du dimanche ou cordon bleu du week-end, l’essentiel est de prendre du temps pour soi. Alors, quelle sera votre activité décompression ce week-end ?

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Le 30 janvier est une date emblématique pour la famille royale de Jordanie. Elle marque non seulement l’anniversaire du roi Abdallah II, mais aussi celui de son plus jeune fils, le prince Hashem. Cette année, alors que le souverain jordanien fête ses 63 ans, son quatrième enfant célèbre ses 20 ans. Un double événement qui a donné lieu à des hommages touchants et des publications émouvantes de la part de la famille royale.

La reine Rania célèbre son époux et son fils avec tendresse

La première à rendre hommage aux deux hommes de sa vie fut la reine Rania. Sur ses réseaux sociaux, elle a d’abord adressé un message rempli d’amour à son mari, partageant une élégante photo d’eux deux. « Chaque année, tu es plus cher à nos cœurs. Bon anniversaire ! Tu es tout pour nous », a-t-elle écrit en légende d’un cliché où elle apparaît rayonnante, vêtue d’une robe jaune Oscar de la Renta encore jamais aperçue en public.

Élégants et complices, la reine Rania et le roi Abdallah II célèbrent ensemble cette journée spéciale. Resplendissante dans une robe jaune Oscar de la Renta, elle illumine la photo aux côtés de son époux, distingué dans un élégant costume

Quelques instants plus tard, la reine a publié une seconde déclaration, cette fois dédiée à son fils cadet. En partageant une tendre image où elle enlace le prince Hashem, elle a simplement écrit : « Joyeux anniversaire, mon très cher Hashem ». Ce moment de complicité est renforcé par un détail marquant : mère et fils portent des tenues assorties, tous deux vêtus de hauts de survêtement dans des tons pastel, symbolisant l’unité et l’affection qui les lient.

Tout sourire, la reine Rania enlace tendrement le prince Hashem en ce jour si spécial. Vêtue d’une veste sport bleu ciel assortie à son fils, elle rayonne de fierté et d’amour maternel pour célébrer son benjamin.

Une famille unie pour un jour spécial

Ces hommages montrent une fois de plus la proximité qui unit la famille royale jordanienne, très appréciée pour son image moderne et chaleureuse. Chaque apparition publique du roi Abdallah II et de la reine Rania est scrutée avec admiration, et leurs déclarations personnelles sont toujours accueillies avec beaucoup d’émotion par leurs nombreux admirateurs. Le 30 janvier restera ainsi une date précieuse pour la monarchie jordanienne, où l’amour familial et le sens du devoir se conjuguent harmonieusement. Une journée où, bien au-delà du protocole, l’émotion et l’authenticité prennent toute leur place.

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Le jean, rarement associé à l’univers de la haute couture, s’est pourtant imposé avec panache lors du final du défilé Elie Saab, présenté un matin de pluie à Paris. Dans une atmosphère à la fois dramatique et féérique, des silhouettes en denim ont clôturé une collection somptueuse et audacieuse, où chaque tenue rivalisait de théâtralité.

PARIS, FRANCE – 29 JANVIER : Joan Smalls incarnant la grâce et l’élégance suprême en défilant sur le podium du défilé Elie Saab Haute Couture Printemps-Été 2025, capturant l’attention des invités émerveillés lors de la Fashion Week de Paris, le 29 janvier 2025. (Photo par Stephane Cardinale – Corbis/Corbis via Getty Images)

Joan Smalls a captivé l’assemblée dans un somptueux sari drapé avec élégance, tandis que trois silhouettes bustier ont suivi, dont une combinaison éclatante sublimée par un manteau d’opéra aux épaules dégagées. Lineisy Montero, majestueuse, a fait sensation dans une robe fendue jusqu’à la hanche, parsemée de broderies scintillantes. Un pantalon large en denim orné de cristaux et un top en tulle résille ont également marqué les esprits, avant que Candice Swanepoel ne fasse une entrée remarquée dans une robe coupée dans le biais, digne des plus grands tapis rouges.

Le 29 janvier 2025, lors de la Fashion Week de Paris, un subtil gros plan capture les détails délicats et envoûtants de la robe présentée lors du défilé Elie Saab Haute Couture Printemps-Été 2025, révélant l’élégance et la finesse de chaque couture. (Photo par Stephane Cardinale – Corbis/Corbis via Getty Images)

Si la collection restait fidèle aux codes d’Elie Saab avec ses robes sculpturales en dentelle et perles, le créateur a surpris en explorant un registre plus audacieux, notamment avec des silhouettes inspirées du boudoir pour des mariées résolument modernes.

PARIS, FRANCE – 29 JANVIER : Un mannequin défile avec grâce sur le podium, incarnant l’élégance suprême lors du défilé Elie Saab Haute Couture Printemps-Été 2025, dans le cadre de la Fashion Week de Paris, le 29 janvier 2025. (Photo par Francois Durand/Getty Images)

Sous les applaudissements nourris des 600 invités réunis au Palais de Tokyo – parmi lesquels Olga Kurylenko, Helena Bordon, Rosie Huntington-Whiteley et Poppy Delevingne –, Elie Saab a confié en coulisses : « J’avais envie de prendre une nouvelle direction. Quand j’ai demandé à Carine (Roitfeld) son avis sur le denim, elle m’a dit d’oser. Et c’est exactement ce que nous avons fait ! »

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Le costume pour femme a longtemps été associé au pouvoir et à l’autorité, mais il a su évoluer pour devenir une pièce maîtresse du vestiaire féminin, oscillant entre modernité et sophistication. De Melania Trump à Mimia LeBlanc en passant par Leïla Bekhti, de nombreuses icônes contemporaines ont adopté ce look, prouvant qu’il peut être à la fois un symbole d’affirmation et une déclaration de style. Aujourd’hui, le costume s’impose aussi bien dans la journée qu’en soirée, alliant confort, audace et raffinement.

Un indispensable du dressing en 2025

Autrefois strict et réservé aux sphères professionnelles, le costume féminin s’affranchit désormais de ses codes traditionnels. Il devient un véritable terrain d’expérimentation pour les créateurs qui revisitent ses lignes avec créativité : vestes oversize, pantalons ajustés, coupes asymétriques ou encore matières inattendues comme le satin et le velours. Loin d’être un simple emprunt au vestiaire masculin, il se décline dans des silhouettes aussi élégantes que féminines, jouant sur les textures et les contrastes.

Leïla Bekhti assiste au défilé Homme Printemps/Été 2025 d’AMI – Alexandre Mattiussi, dans le cadre de la Fashion Week de Paris, le 20 juin 2024, à Paris, France. (Photo par Julien M. Hekimian/Getty Images)

Le portrait officiel de Melania Trump en costume parfaitement taillé a récemment illustré cette montée en puissance du tailoring féminin. Une image forte qui rappelle que le costume n’est pas seulement une tendance, mais une véritable expression du pouvoir et de la confiance en soi. Porté par des personnalités influentes comme Mimia LeBlanc, Laeticia Casta, Leïla Bekhti, qui le choisissent aussi bien pour des apparitions publiques que des tapis rouges, il prouve sa polyvalence et son intemporalité.

Mimia Leblanc, resplendissante dans un costume élégant sublimé par un imposant nœud papillon, allie audace et raffinement avec une touche de modernité.(Capture d’écran @mimialeblanc)

Comment adopter le costume avec élégance ?

Les grandes maisons de couture comme Chanel, Saint Laurent ou Balmain ont su imposer le costume comme une pièce incontournable des collections haute couture et prêt-à-porter. Elles l’adaptent aux tendances actuelles en osant les épaules marquées, les pantalons fluides ou encore les jeux de transparence pour une allure à la fois audacieuse et sophistiquée.

Laetitia Casta assiste au défilé Giorgio Armani Privé Haute Couture Printemps-Été 2025 dans le cadre de la Fashion Week de Paris, le 28 janvier 2025, à Paris, France. (Photo par Pascal Le Segretain/Getty Images

Mais comment l’adopter au quotidien ? Le jour, on privilégie une coupe ajustée aux tons neutres – beige, gris ou marine – à associer à des sneakers minimalistes ou des bottines élégantes pour un look effortless chic. En soirée, le costume se transforme en statement mode avec des matières précieuses comme le satin ou le velours, accompagné de talons et d’accessoires forts. Pièce intemporelle et hautement versatile, le costume féminin est bien plus qu’une tendance : il est devenu une véritable signature stylistique. Redéfinissant sans cesse les codes de l’élégance, il continue d’imposer sa force et sa modernité dans le paysage de la mode contemporaine.

Le costume pour femme s’impose plus que jamais comme un incontournable, alliant élégance et audace. Et vous, comment le porterez-vous cette année ?



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La Paris Fashion Week masculine automne-hiver 2025-26, qui s’est tenue du 21 au 26 janvier 2025, a vu défiler 68 maisons de mode, offrant une vision résolument moderne et affirmée de la mode masculine. Cette édition, qui a capté l’attention des fashionistas du monde entier, a mis en lumière un retour à l’élégance intemporelle tout en privilégiant le confort, le tout avec une touche de revendication politique et sociale. Tour d’horizon.

Le costume, pilier de cette saison, se réinvente sous de multiples facettes. Chez AMI, il se veut ample et décontracté, combinant différents tissus et styles dans un jeu de « mix and match » qui rappelle les looks des étudiants anglais de Cambridge. Hermès, quant à lui, propose un costume en velours élégant et raffiné, tandis qu’Amiri s’inspire des années 70 pour un look vintage revisité. Willy Chavarria offre une interprétation plus latine, avec des costumes structurés et des détails audacieux, tandis que chez Egonlab, la coupe est plus stricte et formelle.

Kim Jones continue d’imposer sa signature chez Dior Homme, avec une collection épurée et graphique qui s’inspire des archives de Monsieur Dior, allongeant la silhouette tout en conservant une élégance sobre et contemporaine. L’iconoclaste Pharrell Williams, aux côtés de Nigo pour Louis Vuitton, mêle habilement les codes du streetwear et du dandysme, créant des ensembles où costumes et bombers en cuir se rencontrent, fusionnant l’élégance classique avec des influences urbaines modernes. Cette recherche d’équilibre entre tradition et avant-garde se manifeste également à travers la tendance du layering, une superposition de couches que l’on retrouve chez des créateurs comme Yamamoto, SuperKid, Hermès et Kolor, où pulls à manches XXL et robes en maille se côtoient dans une parfaite harmonie.

Le confort prend une nouvelle dimension chez 3.Paradis, où le designer Emeric Tchatchoua pousse l’idée à l’extrême avec des doudounes volumineuses, taillées comme des couettes et des oreillers, créant un contraste saisissant avec la rigueur des costumes. Le pantalon, lui, reste majoritairement ample et fluide, évoquant un revival des années 2000 avec des bermudas baggy, mais se resserre progressivement, comme le montre Dior, qui nous propose une silhouette plus ajustée et raccourcie.

Cependant, cette Fashion Week n’a pas été uniquement une célébration du style et du confort. L’actualité et les préoccupations sociales ont trouvé une place de choix sur les podiums. Willy Chavarria, pour son premier défilé à Paris, a su allier couleurs vives et messages forts en rendant hommage au film Emilia Perez et à la militance pro-LGBT avec des tenues marquées par des symboles de lutte et d’inclusion. Son défilé a également été une ode à la liberté d’expression et à l’égalité des droits.

La scène politique a également fait irruption dans les collections. Le créateur belge Walter Van Beirendonck a pris position contre les régimes autoritaires. Pour sa part, il a présenté un défilé futuriste sur fond de chanson « Give Peace a Chance » de John Lennon, avec des mannequins portant des vestes et des badges « Peace, not war ». Le message était clair : trop de conflits, trop de montée de l’extrême droite. « C’est horrible ce qu’il se passe dans le monde », a-t-il déclaré, dénonçant l’état actuel du monde et appelant à un retour à des valeurs de paix et de tolérance.

Ainsi, la Paris Fashion Week automne-hiver 2025-26 ne s’est pas contentée de proposer des collections tendances ; elle a également été un espace de réflexion, où l’élégance et le confort se sont mêlés à des revendications sociales, politiques et humaines, plaçant la mode comme un véritable acteur du changement.

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On dit que s’il n’y a pas de femme portant le prénom de Khadija dans une famille, il faudrait au moins l’inscrire sur l’un des murs de sa maison tant il correspond à une personnalité précieuse, tant il symbolise une bénédiction.Il est difficile de ne pas penser à la Princesse Lalla Khadija en echo à  cet ancien proverbe arocain. Ce prénom, qu’elle porte comme une couronne statutaire, incarne toute la grâce et le charme d’une jeune princesse dont le parcours fascine et émeut le Maroc tout entier. De son enfance protégée et baignée d’amour, à son éclosion élégante aux côtés de son père, Sa Majetesté le Roi Mohammed VI, elle représente pour son peuple une véritable fierté, un joyau scintillant dans le ciel de la dynastie Alaouite.

Lalla Khadija, née sous une bonne étoile le 28 février 2007, grandit dans une atmosphère emplie de douceur et de tendresse. Dès sa naissance, elle est présentée au Maroc avec une fierté débordante, un geste unique du Roi et de son épouse Lalla Salma qui souhaitent partager leur bonheur avec la nation. Sa Majesté le Roi Mohammed VI, homme de cœur et de codes, invite deux medias nationaux à capturer ce moment pour le transmettre aux foyers marocains, en particulier aux femmes selon sa volontée annoncée, comme un hommage aux valeurs familiales du royaume. Les premières photographies montrent un bébé entouré d’amour, une adorable princesse au sourire enchanteur. 

Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Maroc pose avec sa fille la Princesse Lalla Khadija, à Rabat, le 28 février 2007. La princesse Lalla Salma, épouse du roi, a donné naissance aujourd’hui à une fille, Lalla Khadija, deuxième enfant de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a annoncé la famille royale, tandis que des canons ont retenti dans la capitale pour saluer la naissance. AFP PHOTO / ALI LINH (Photo par ALI LINH / AFP) (Photo par ALI LINH / AFP via Getty Images)

Lalla Khadija a eu la chance de grandir dans un environnement baignant dans  la simplicité, aux petits soins et aimant. La volonté de SM le Roi de lui offrir une vie loin des protocoles rigides est manifeste : elle passe ses jeunes années dans une demeure familiale paisible, protégée des contraintes de l’agenda de la cour royale. À quelques pas du palais royal de Rabat, cette maison est un havre de tranquillité où la princesse peut évoluer librement. Dans ce cadre, la petite fille grandit sereinement.  Bien qu ‘évoluant dans une sphère royale, elle conserve un esprit naturel et spontané. 

Le Roi du Maroc Mohammed VI et Lalla Salma et le prince héritier Moulay El Hassan , célèbrent le quatrième anniversaire de la Princesse Lalla Khadija au palais royal de Rabat, le 28 février 2011. AFP / PHOTO / AZZOUZ BOUKALLOUCH (Photo par AZZOUZ BOUKALLOUCH / AFP) (Photo par AZZOUZ BOUKALLOUCH / AFP via Getty Images)

Son premier jour d’école reste gravé dans les mémoires marocaines : ses parents l’accompagnent à pied, dans un geste de proximité de simplicité, rappelant les pratiques plutôt courantes des cours européennes.   Elle est aussi aperçue systématiquement lors de célébrations familiales : kermesses de fin d’année, anniversaires, remises de diplômes et aux mariages de ses oncles et tantes, dont ceux de  S.A.R le Prince Moulay Rachid et Cherifa Lalla Soukaina.

DESTIN D’UNE FIGURE ROYALE EN FAÇONNAGE

Dès sa plus tendre enfance,  elle a accompagné son père dans de nombreuses réceptions officielles comme celles du Roi d’Espagne Felipe VI et de la Reine Letizia ou de l’ex président Français,  François Hollande,On la voit également inaugurer le vivarium du jardin zoologique de Rabat. À cette occasion, on décèle une étincelle dans son regard, un véritable amour pour les animaux qui révèle sa nature joyeuse et épanouie à l’image de son père.  Finalement, dès son plus jeune âge, Lalla Khadija semble consciente de son destin de princesse. Élève au Collège royal, elle reçoit une éducation raffinée, aux côtés de son frère, mélange de rigueur académique et d’ouverture culturelle. Parfaitement polyglotte, maîtrisant plusieurs langues, elle incarne cette grâce discrète, cette aisance naturelle qui sont les marques subtiles de sa lignée. Elle affiche également une curiosité et un enthousiasme certain pour les Arts et la Culture.

Cette immersion artistique lui permet de se forger une sensibilité qui se reflète dans sa prestance et sa vivacité.  De sa mère, SAR la princesse Lalla Salma, elle a hérité d’une grâce et d’une élégance innées. De son père, elle tient un caractère bienveillant.  Ce lien avec SM le Roi est d’ailleurs particulièrement touchant ; derrière chaque photographie, chaque apparition publique, est l’occasion de deviner cette  adoration réciproque.  Sa relation avec son frère,  S.A.R le Prince héritier Moulay Hassan, est tout aussi complice. Ils partagent cette destinée royale avec une parfaite intelligence, formant un duo fraternel prometteur pour l’avenir du royaume.

LE COURT INÉDIT DE L’HISTOIRE 

À l’âge de 11 ans, un bouleversement majeur survient dans la vie de Lalla Khadija :  la séparation en 2018 de ses parents. Une épreuve qui pourrait paraître insurmontable de prime abord pour une enfant si jeune, mais la princesse traverse  cette transition avec une résilience remarquable au vu de sa prestation personnelle extraordinaire lors de ses dernières apparitions officielles. En bon papa engagé et visionnaire,  SM le Roi a assurément dû veiller à ce que cette séparation n’assombrisse en aucun cas son existence. Il met manifestement tout en œuvre pour préserver son équilibre de Princesse de premier cercle royal. Lalla Khadija évolue dans un cadre sain, entourée d’amour et de douceur, sans subir les aléas d’une désunion ordinaire.  On se souviendra toujours de la fois où elle apparaît, en février 2019, sans sa maman, parmi le cortège de la famille royale, lors de l’accueil du couple royal Espagnol. Vêtu de rouge, elle se tient droite, son regard reflétant une certaine timidité. Après un moment de trac,  elle gagne rapidement en confiance, et les Marocains la découvrent sous un nouveau jour : celle d’une jeune Princesse affirmée, à la hauteur du rôle qui lui incombe.  Quelques mois plus tard, c’est lors de la visite du pape qu’elle séduit une nouvelle fois le peuple marocain. Revêtue d’un caftan bleu brodé, elle se présente sereine, élégante, maîtrisant parfaitement les codes d’usages de la cour royale.

RABAT, MAROC – 13 FÉVRIER : La Princesse Lalla Meryem du Maroc, la Princesse Lalla Hasna du Maroc, la Princesse Lalla Asma du Maroc et la Princesse Lalla Khadija du Maroc arrivent pour une cérémonie d’accueil au Palais Royal le 13 février 2019 à Rabat, Maroc. Le Roi et la Reine d’Espagne ont effectué une visite de deux jours au Maroc. (Photo par Carlos Alvarez/Getty Images)

CHEMIN FAISANT, UNE FÉE EST NÉE 

À l’adolescence, elle semble marquer une pause, s’éloignant un temps de la scène publique, pour se consacrer à ses études et à ses passions.  Elle apparaît brièvement en 2024 en Grèce  aux côtés de sa mère et de son frère  en vacances familiales,, dans une vidéo qui a circulé sur les réseaux sociaux. Une vidéo qui a suscité beaucoup d’émotions chez les Marocains qui découvrent que Lalla Khadija n’est plus la petite enfant qu’ils avaient l’habitude de voir. Désormais, c’est une jeune femme accomplie.  En juillet 2023, Lalla Khadija est aperçue furtivement installée sur la banquette arrière de la voiture du cortège royal à Tétouan,  aux côtés de son frère et de son père,  vêtue d’un caftan délicatement brodé et parée d’une rivière de diamants. Une photo devenue virale depuis sur les réseaux sociaux.  Plus récemment, le 28 octobre dernier, c’est avec un éclat surprenant qu’elle a fait son apparition inattendue lors de la visite officielle d’Emmanuel et Brigitte Macron au Maroc. Sa présence a surpris les observateurs du monde entier et ajouté une dimension particulièrement affective à cet événement, captivant ainsi l’attention de tous. Un événement dans l’événement a eu lieu sur le sol de ce tarmac doublement historique ! 

Un convoi transportant Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Maroc, accompagné de son fils le Prince Héritier Moulay Hassan et de la Princesse Lalla Khadija, quitte le palais de Tétouan après une cérémonie de fidélité marquant le 24e anniversaire de son intronisation, le 31 juillet 2023. (Photo par FADEL SENNA / AFP) (Photo par FADEL SENNA / AFP via Getty Images)

DE L’ÉLÉGANCE,  ENCORE ET ENCORE…. 

Pour cet événement officiel, richement  chargé de symboles et de codes, la jeune Princesse a fait preuve d’une élégance parfaitement soignée pour la réception royale. Vêtue d’une somptueuse veste évasée en pied-de-poule noir et blanc signée Dior, parfaitement assortie à un pantalon noir ajusté et à des escarpins vernis à bouts pointus, ornés d’une rangée de perles, de la marque Jimmy Choo.  Côté accessoires, chaque détail ajoutait une touche de raffinement : elle portait des pendentifs goutte d’eau agrémentés de perles de culture, accompagnées d’un collier en V finement serti de diamants, d’un bracelet et de bagues assorties, subtils et distingués. Une montre Cartier Baignoire vintage, iconique et intemporelle, et un sac Mini Lady Dior en crocodile noir verni venaient compléter sa tenue d’une élégence absolue.

Sa coiffure, une queue de cheval sophistiquée, apportait un équilibre moderne à cette tenue chic et majestueuse.  Le soir, on la retrouve au banquet offert par le roi, éblouissante et royale, enveloppée dans un somptueux caftan vert foncé brodé de pierreries scintillantes qui captent chaque reflet des lumières. Sur ses épaules repose un selham noir, créant un contraste savamment étudié, du plus bel effet. Son cou est orné d’un choker en diamants et émeraudes, avec des pendants assortis qui rappellent le style emblématique de la Princesse Diana, ajoutant une touche intemporelle et moderne à la fois. À sa main, un petit clutch argenté étincelle discrètement, tandis que ses escarpins à brides fines et délicates allongent sa silhouette avec grâce. Son chignon haut et plaqué laisse apparaître un maquillage subtil, avec juste ce qu’il faut de rouge à lèvres pour rehausser la douceur de son teint de porcelaine. Elle irradie, à la fois classique et pleine d’audace, incarnant l’élégance innée dans toute sa splendeur d’ une personnalité clé féminine de la cour royale aux côtés de ses élégantes et tendres tantes. 

UN NOUVEAU CHAPITRE DANS LES ARCHIVES SACRÉES DE LA DYNASTIE 

La princesse Lalla Khadija se trouve aujourd’hui aux portes de l’âge adulte. En février 2025, elle fêtera ses 18 ans et s’engagera sur une nouvelle voie qui combinera vie académique et engagements officiels, pour le plus grand bonheur des Marocains qui ont suivi avec fierté et admiration son évolution. Aux côtés de son père, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et de son frère, S.A.R le Prince héritier Moulay Hassan, S.A.R Lalla Khadija devient une figure centrale de la famille royale, incarnant l’avenir et les espoirs du Maroc et assumant une visibilité et des responsabilités accrues.  En elle, les Marocains voient la digne héritière d’une illustre lignée et une nouvelle étoile qui illumine la scène royale internationale.

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