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Tanger – Terre mythique, carrefour des cultures et symbole d’ouverture, Tanger s’apprête à vibrer au rythme des sonorités du Sahara marocain et des musiques du monde. À l’occasion du 50ᵉ anniversaire de la Marche Verte, l’association Musiques et Cultures sans Frontières organise, les 21 et 22 novembre 2025, la quatrième édition du Festival Hassani Music&Co, placée sous le thème :
« Confluences Musicales : Héritages du Maroc & du Monde ».

Un préambule enraciné dans l’histoire et la diversité

Depuis des siècles, la musique rapproche les peuples au-delà des frontières. Le Royaume du Maroc, riche d’une pluralité culturelle exceptionnelle, se distingue par une mosaïque de sonorités uniques dont chacune raconte l’âme d’un territoire, d’une région, d’un héritage.
Parmi ces trésors, la culture hassanie, pilier de l’identité marocaine multidimensionnelle, se distingue par la profondeur de ses chants et la magie de ses rythmes. Héritière des traditions du désert, elle incarne la poésie, le lien intime à la nature, les rituels et les croyances d’un peuple qui fut, de tout temps, le pont entre le Maroc, l’Afrique et le reste du monde.

Un voyage musical inédit entre le Maroc, l’Afrique et l’Europe

Cette édition Tangéroise met la fusion musicale au cœur de son ambition interculturelle. Le samedi 22 novembre, un grand concert sera donné au Palais des Arts et de la Culture de Tanger, réunissant des artistes des Provinces du Sud du Maroc, du Portugal et de Côte d’Ivoire.
Véritables ambassadeurs culturels, ils offriront au public un dialogue harmonieux entre traditions, modernité, influences croisées et identité sonore affirmée.

Les premières éditions du festival, organisées à Rabat, Dakhla-Oued Eddahab puis Abidjan en avril 2025, ont ancré l’événement dans le paysage culturel international. Tanger, cité blanche, hospitalière et cosmopolite, en sera cette année l’écrin naturel.

Un rendez-vous culturel fédérateur

Dates : 21 et 22 novembre 2025
Lieu : Tanger
Thème : « Confluences Musicales : Héritages du Maroc & du Monde »
Organisation : Association Musiques et Cultures sans Frontières

Moments forts :

  • Vendredi 21 novembre : Cérémonie d’ouverture au Palais des Arts et de la Culture de Tanger.
  • Samedi 22 novembre : Grand concert multiculturel au même lieu.

L’événement est ouvert au grand public, aux artistes, musicologues, collectionneurs, cinéastes, mélomanes et passionnés de découvertes.

Le Festival se fixe plusieurs ambitions majeures :

  • Mettre en lumière la richesse de la musique hassanie, véritable héritage du patrimoine culturel marocain.
  • Encourager le dialogue musical entre le Maroc et ses pays frères d’Afrique et du monde.
  • Renforcer l’amitié entre les peuples, en révélant les points de rencontre des traditions artistiques.
  • Soutenir une initiative solidaire, en dédiant une partie des revenus à la prise en charge des enfants atteints de maladies cardiaques.

Une édition placée sous le signe de la solidarité

Au-delà de sa dimension artistique, le Festival Hassani Music&Co affirme un engagement humanitaire fort. Une vente aux enchères d’œuvres d’artistes africains de renom sera organisée au profit de l’association Les Bonnes Œuvres du Cœur, présidée d’honneur par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Meryem et fondée par le Dr Saïd Ejjennane.

L’association œuvre pour la prise en charge médicale des bébés souffrant de malformations cardiaques, notamment ceux issus de milieux défavorisés, au Maroc et sur l’ensemble du continent africain. Cette quatrième édition s’inscrit ainsi dans une dynamique de solidarité, de bienveillance et de coopération panafricaine, reflétant une vision commune de développement culturel, social et sanitaire.

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Mariage de Faizah et Haajar Alaoui

Les filles du Prince Moulay Hicham, Faizah et Haajar Alaoui, se sont mariées en octobre lors d’une cérémonie intime et raffinée, symbole de la continuité des valeurs de la Maison Royale marocaine.

Mariage de Faizah et Haajar Alaoui
Faizah et Haajar Alaoui, cousines du Roi Mohammed VI, vêtues de caftans verts émeraude et de bijoux traditionnels lors de leur cérémonie de mariage à Rabat

Un doux parfum d’émotion et de tradition a flotté sur le mois d’octobre. Dans la plus grande intimité, Faizah et Haajar Alaoui, les filles du Prince Moulay Hicham, ont célébré leur mariage, unies dans la plus pure élégance marocaine. Un double bonheur au cœur du cercle royal, empreint de pudeur, de raffinement et de valeurs familiales chères à la Maison Royale.

Les jeunes mariées, petites-filles de Lalla Lamia Solh — l’épouse du Prince Moulay Abdellah et tante du Roi Mohammed VI — sont apparues resplendissantes. Drapées dans de somptueux caftans vert émeraude, finement brodés d’or, les cheveux libres, délicatement voilés de tulle transparent, elles ont incarné à merveille la grâce et la tradition. Leur allure, sublimée par de bijoux de tête au charme artisanal rappelant les tiares des grandes occasions, célébrait l’art du détail et le savoir-faire des maîtres artisans marocains.

Haajar Alaoui et Driss Dryef lors de leur cérémonie de mariage à Rabat

Dans une ambiance feutrée et d’une sobriété royale, les deux sœurs ont partagé ce moment d’exception entourées de leurs proches, dans le respect des rituels et des coutumes du mariage marocain. « Doura », chants, « youyous » et émotion : tout y était, avec cette touche d’élégance et de simplicité qui distingue les célébrations du cercle royal. La Neggafa et les femmes de la famille ont accompagné les jeunes épouses dans cette mise en scène traditionnelle où la pudeur rencontre la majesté.

Faizah Alaoui et Nabil Rachidi lors de leur cérémonie de mariage à Rabat

Sur ses réseaux sociaux, le Prince Moulay Hicham a partagé quelques mots empreints d’émotion, évoquant un moment « magique, célébré avec notre famille et nos amis les plus proches ». Les deux jeunes femmes ont également exprimé leur gratitude : “Nous remercions Sa Majesté le Roi Mohammed VI, nos parents, notre famille, nos amis, et tout particulièrement notre grand-mère, la Princesse Lamia, pour les valeurs qu’elle nous a transmises.

Derrière la discrétion, une atmosphère de transmission et de gratitude se dégage. Les mariages de Faizah Alaoui et Nabil Rachidi, et de Haajar Alaoui et Driss Dryef, s’inscrivent dans la continuité des unions royales où se mêlent respect de la tradition, attachement à la famille et élégance intemporelle. Le Roi Mohammed VI, gardien des valeurs familiales et de la tradition marocaine, voit ainsi une nouvelle génération perpétuer, avec modernité et grâce, l’esprit de la Maison Royale.

Entre rouge et vert, entre héritage et avenir, ce carnet rose royal s’écrit sous le signe de l’amour, de la transmission et d’une Marocanité lumineuse.

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Sous un soleil d’automne et face à la majestueuse Tour Hassan, la capitale marocaine a donné le coup d’envoi, vendredi, de la 15ᵉ étape du prestigieux Longines Global Champions Tour (LGCT). Pendant trois jours, le site équestre de Rabat devient l’épicentre du saut d’obstacles mondial, attirant les meilleurs cavaliers et chevaux de la planète.

LGCT of Rabat – Rabat, The Grand Theatre of Rabat – 17 October 2025 – ph.Ljuba Buzzola/LGCT

Dès la première journée, le spectacle a tenu ses promesses. L’épreuve par équipe de la Global Champions League (GCL) a offert un scénario haletant, marqué par la victoire éclatante des St Tropez Pirates, auteurs d’une performance aussi précise qu’inspirée.

Une victoire d’équipe, entre fougue et expérience

Le duo formé par le jeune Belge Thibault Philippaerts (23 ans) et le vétéran français Philippe Rozier a parfaitement maîtrisé le parcours technique imaginé par l’Italien Uliano Vezzani. Philippaerts, en selle sur Lyandro MBD, a signé un sans-faute décisif, offrant aux Pirates leur première victoire de la saison.

LGCT of Rabat – Rabat, The Grand Theatre of Rabat – 17 October 2025 – ph.Ljuba Buzzola/LGCT

« C’est une expérience incroyable, surtout pour ma dernière saison en CSI 5* », a confié Philippe Rozier, ému, à l’issue de la remise des prix.

Derrière eux, les Rome Gladiators (Peder Fredricson et Emanuele Gaudiano) et les Istanbul Warriors (Simon Delestre et Hasan Senturk) complètent un podium de haut vol, où se sont mêlés précision, sang-froid et panache.

RangÉquipeCavaliers
1erSt Tropez PiratesThibault Philippaerts & Philippe Rozier
2eRome GladiatorsPeder Fredricson & Emanuele Gaudiano
3eIstanbul WarriorsSimon Delestre & Hasan Senturk

Rabat, capitale équestre et vitrine du Maroc

À quelques semaines de la finale de Riyad et des Global Champions Playoffs à Prague, l’étape marocaine revêt une importance stratégique pour les cavaliers encore en lice pour le titre mondial.

Mais au-delà du sport, l’événement incarne aussi le rayonnement culturel et patrimonial du Maroc, terre d’excellence équestre. Des traditions ancestrales de la Tbourida à l’élevage de chevaux barbes et arabe-barbes, le Royaume affirme, à travers cette compétition, son attachement à un héritage vivant et sa volonté de briller sur la scène internationale.

Installé sur un site de 5,5 hectares, entre modernité et mémoire, le parcours de Rabat déploie ses obstacles sous les regards de la Tour Hassan, du Grand Théâtre et de la Tour Mohammed VI, symboles d’un pays à la croisée de la tradition et de l’innovation.

Un héritage de partenariats culturels

L’étape 2025 s’inscrit dans la continuité du succès de l’édition précédente, organisée dans le cadre de l’Année culturelle Qatar–Maroc 2024, fruit de l’initiative Years of Culture. Ce programme, porté par Son Excellence Sheikha Al Mayassa bint Hamad bin Khalifa Al Thani, vise à tisser des liens durables entre nations à travers le sport et la culture.

Depuis plus d’une décennie, Years of Culture multiplie les échanges entre le Qatar et des pays partenaires – du Japon à la France, en passant par le Brésil, la Turquie ou encore l’Indonésie – célébrant la richesse et la diversité des patrimoines du monde.

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Casablanca va retrouver l’un de ses enfants les plus célèbres. Les 25, 26 et 27 septembre, Gad Elmaleh remontera sur la scène du Complexe Mohammed V pour trois soirées uniques avec son spectacle Lui-même. Après avoir fait rire le monde entier pendant près de deux ans, il revient dans sa ville natale pour un rendez-vous profondément personnel.

Pour Gad, Casablanca n’est pas qu’une ville parmi d’autres sur sa tournée internationale. C’est là qu’il a grandi, qu’il a parcouru les rues du Maarif avec un sac sur le dos, qu’il a rêvé, souvent en silence, devant les vitrines des théâtres et des cinémas. C’est ici qu’il a fait ses premiers pas sur scène, dans des cafés et des salles modestes, apprenant à maîtriser ce mélange subtil d’humour et d’émotion qui le caractérise aujourd’hui. Chaque coin de rue, chaque place, chaque souvenir nourrit son inspiration et sa façon de raconter le monde.

Lui-même, spectacle coécrit avec le jeune humoriste Roman Frayssinet, est une plongée dans son univers intime. Gad y parle de ses moments de doute, de son séjour dans un monastère où il a cherché le silence et la paix intérieure, de sa rencontre inattendue avec le Pape, et de sa réflexion sur l’argent et la célébrité. Il aborde aussi avec humour des épisodes plus légers ou controversés, comme l’affaire CopyComic, tout en gardant cette authenticité qui fait sa force. Ce show n’est pas seulement une succession de sketches ; c’est un portrait vivant de l’artiste derrière la légende, un homme qui a grandi entre Casablanca et Montréal, entre le Maroc et la France, et qui continue de se chercher dans chaque rire partagé.

Retour aux sources pour Gad des retrouvailles qui promettent émotion et nostalgie

Le retour à Casa est aussi un retour aux racines familiales. Gad se souvient des repas en famille, des éclats de rire autour d’une table marocaine, des discussions avec ses proches, et de la douceur d’une ville qui, malgré le tumulte de sa carrière internationale, reste son port d’attache. Il retrouve un public qui l’a vu grandir, qui a suivi ses premières émissions, ses spectacles, et qui l’accueille aujourd’hui avec cette complicité unique que seuls les spectateurs qui connaissent l’artiste depuis ses débuts peuvent offrir.

Sur les réseaux sociaux, l’excitation est palpable. Les fans commentent, partagent souvenirs et anecdotes, et attendent ces trois soirées comme une véritable rencontre avec celui qu’ils considèrent comme un ambassadeur de Casablanca. « Enfin Gad chez nous ! Ça va être inoubliable ! » s’exclame un internaute. Trois dates, trois occasions de rire, d’applaudir et de ressentir la proximité d’un humoriste qui sait se montrer à la fois drôle, sincère et profondément humain.

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On dit que certaines histoires commencent dans l’ombre, discrètement, avant d’éclater sous les projecteurs. Celle de la princesse de Dubaï, Sheikha Mahra bint Mohammed bin Rashid Al Maktoum, et du rappeur maroco-américain French Montana, en est l’illustration parfaite.

Leur premier contact public remonte à octobre 2024. Elle, princesse aux allures modernes, entrepreneure et déjà suivie par des milliers de fans, l’accueille à Dubaï. Lui, Karim Kharbouch de son vrai nom, enfant du Maroc devenu star internationale, se laisse guider dans les dédales d’un univers qui n’est pas le sien mais qu’il découvre avec curiosité. Les réseaux sociaux laissent filtrer quelques clichés : regards complices, conversations prolongées. La rumeur naît doucement, comme un parfum qu’on reconnaît sans pouvoir en saisir tout de suite la note dominante.

De l’amitié à la romance

Amis pendant un certain temps, souvent aperçus dans les mêmes cercles, Sheikha Mahra et French Montana semblaient partager une complicité sincère. Mais c’est lors de la Fashion Week de Paris, en juin dernier, que leur histoire prend un tournant inattendu. Après avoir défilé pour la marque 3.PARADIS, le rappeur surprend la princesse avec une demande en mariage. La scène se serait dérouler dans l’intimité, loin des projecteurs, mais la bague choisie ne pouvait, elle, rester dans l’ombre.

Instagram French Montana

Une bague qui dit tout

Dessiné par Eric the Jeweler pour la maison Mavani & Co., le bijou est à l’image de leur histoire : éclatant et audacieux. Onze carats et demi de diamant taille émeraude, posé sur un anneau serti de pierres rondes. Estimée à 1,1 million de dollars, la bague est immédiatement devenue le symbole de leur union. Vendredi 29 août, Sheikha Mahra officialise elle-même la nouvelle sur Instagram. Une photo, un diamant qui capte la lumière et quelques émojis : il n’en fallait pas plus pour que le monde entier s’emballe.

Instagram French Montana

Une nouvelle page pour la princesse et le rappeur

Ces fiançailles interviennent un an à peine après le divorce médiatisé de la princesse, qui avait fait grand bruit à Dubaï et au-delà. Sheikha Mahra avait même transformé cet épisode personnel en un projet entrepreneurial, lançant un parfum nommé « Divorce ». De son côté, French Montana est père d’un adolescent de 16 ans, fruit d’une précédente union. Deux parcours déjà bien remplis, deux vies marquées par des chapitres parfois difficiles,  et une volonté commune d’écrire, ensemble, une nouvelle histoire.

Lui, rappeur du Bronx, enraciné dans la culture hip-hop mais toujours fier de ses origines marocaines. Elle, princesse dubaïote, femme du désert et des tours étincelantes, éduquée mais indépendante, à la fois attachée à ses racines et à l’avant-garde de son époque. Leur rencontre a tout d’un conte moderne : le croisement improbable de deux mondes qui semblaient destinés à ne jamais se rencontrer, et pourtant.

Aujourd’hui, leurs fiançailles marquent le début d’un chapitre scruté par la planète entière. Et si les dates précises du mariage ne sont pas encore arrêtées, une chose est sûre : la romance entre Sheikha Mahra et French Montana est déjà entrée dans la légende des histoires d’amour les plus inattendues de ce début de décennie.

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Le Bhoutan a célébré ce 25 août 2025 un mariage royal d’exception. Le prince Jigyel Ugyen Wangchuck, fils du Quatrième Druk Gyalpo Jigme Singye Wangchuck et de la Reine Mère Ashi Dorji Wangmo Wangchuck, a épousé Ugen Choden Namgyel, fille de Monsieur Singye Namgyel et de Madame Tshering Lhamo.

©Bhutan’s Royal Household

La cérémonie s’est tenue au Palais de Dechencholing à Thimphu, en présence du Roi, du Quatrième Druk Gyalpo et de Sa Sainteté le Je Khenpo, qui ont accordé leurs bénédictions sacrées aux jeunes mariés.

Diplômé de l’Université d’Oxford et de l’INSEAD, le prince incarne une nouvelle génération royale engagée. Depuis 2009, il sert le pays en tant que Président du Comité Olympique du Bhoutan, Vice-Président du Conseil Olympique d’Asie et membre du Comité International Olympique.

Un mariage qui unit tradition, modernité et spiritualité au cœur du royaume himalayen.

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Radieuse pour une rentrée studieuse, Rania de Jordanie sublime le quiet luxury dans une chemise d’homme rayée, si féminine. Un look audacieux pour une reine qui inspire le monde jusqu’au bout des accessoires.

La reine Rania de Jordanie au Amman Design Week, avec sa fille aînée la princesse Iman (© Royal Hashemite Court)

De retour sur la scène publique, la reine Rania a ouvert la quatrième édition de l’Amman Design Week, accompagnée de sa fille aînée, la princesse Iman bint Abdullah. Fidèle à son sens aiguisé de la mode reconnu dans le monde entier, la mère de famille et grand-mère ose le perfecto en cuir comme la combinaison lors de sommets mondiaux, avec toujours un sans-faute stylistique, alliant haute couture, glamour et fraîcheur raffinée.

La reine Rania de Jordanie au Amman Design Week, avec sa fille aînée la princesse Iman (© Royal Hashemite Court)

Pour cette rentrée, la reine Rania a choisi une chemise d’homme rayée, si féminine, associée à une jupe longue en jean immaculée, rehaussée d’une très fine ceinture couleur cerise qui rappelle les rayures de sa chemise. Une mini pochette blanche suspendue à l’épaule et des lunettes rock et glamour complètent le look.

La reine Rania de Jordanie au Amman Design Week, avec sa fille aînée la princesse Iman (© Royal Hashemite Court)

Le petit détail qui ne passe pas inaperçu ? Sa montre connectée au poignet gauche. Un goût pour les accessoires sport-fashion, une préparation à un marathon ou un clin d’œil après sa convalescence de quatre mois pour un mal de dos annoncé en mai dernier, lors de la fête de l’indépendance ? Quoi qu’il en soit, cette montre moderne s’intègre parfaitement à sa tenue, illustrant à merveille son style sport chic et son quiet luxury si inspirant pour toutes les fashionistas.

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En recevant les membres de la sélection nationale féminine de football lors de la réception royale à M’diq pour la Fête du Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI rend hommage au parcours exceptionnel de ces sportives et, à travers elles, à toutes les femmes du Royaume. Une image puissante, à la croisée du symbole et de l’avenir.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et de SAR le Prince Moulay Rachid, a présidé, mercredi après-midi à la Place de la préfecture de M’diq-Fnideq, une réception à l’occasion du 26e anniversaire de Son intronisation.
Aux côtés des hautes figures institutionnelles, militaires, religieuses et diplomatiques venues présenter leurs vœux au Souverain, une présence a particulièrement retenu l’attention : celle des Lionnes de l’Atlas, honorées pour leur brillant parcours lors de la CAN féminine 2024.
La photo officielle du Souverain entouré de la sélection nationale féminine, en ce jour de fête, incarne un message fort : celui d’un Maroc moderne, fier de ses femmes, de leur talent, de leur force, et de leur contribution au rayonnement national.

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Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et de SAR le Prince Moulay Rachid, a présidé, mercredi après-midi à la Place de la préfecture de la ville de M’diq, une réception à l’occasion du 26e anniversaire de l’accession du Souverain au Trône de Ses glorieux Ancêtres.

Au début de cette cérémonie, Sa Majesté le Roi a salué les couleurs nationales au son de l’hymne national, alors que retentissait une salve de 21 coups de canon. Le Souverain a ensuite été salué par plusieurs personnalités marocaines et étrangères venues présenter leurs voeux à SM le Roi en cette heureuse occasion.

Ainsi, le Souverain a reçu les vœux du Chef du gouvernement, M. Aziz Akhannouch, du président de la Chambre des Représentants, M. Rachid Talbi Alami et du président de la Chambre des Conseillers, M. Mohamed Ould Errachid. Sa Majesté le Roi a également reçu les vœux du président-délégué du Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire, Premier Président de la Cour de Cassation, M. Mohamed Abdennabaoui, du président du Ministère Public, Procureur général du Roi près la Cour de Cassation, M. Hicham Balaoui, du Président de la Cour Constitutionnelle, M. Mohamed Amine Benabdellah, du Premier Président de la Cour des Comptes, Mme Zineb El Adaoui, du président du Conseil économique, social et environnemental, M. Abdelkader Amara, du secrétaire général du Conseil supérieur des Oulémas, M. Mohamed Yssef, de la présidente du Conseil supérieur de l’Éducation, de la Formation et de la Recherche scientifique, Mme Rahma Bourqia et de la présidente du Conseil national des droits de l’Homme, Mme Amina Bouayach.

Le Souverain a aussi été salué par le Médiateur du Royaume, M. Hassan Tariq, la présidente de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle, Mme Latifa Akherbach, le président du Conseil de la Concurrence, M. Ahmed Rahhou, le président de l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption, M. Mohamed Benalilou, le Président du Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger, M. Driss El Yazami, le président du Conseil Royal Consultatif pour les Affaires Sahariennes, M. Khalihenna Ould Errachid, le Wali de la Région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, gouverneur de la Préfecture de Tanger-Assilah, M. Younès Tazi et le président du Conseil de la Région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, M. Omar Moro.

Sa Majesté le Roi a, par la suite, été salué par le Général de Corps d’Armée, Mohamed Berrid, Inspecteur général des Forces Armées Royales, Commandant la Zone Sud, le Général de Corps d’Armée Mohamed Haramou, Commandant la Gendarmerie Royale, le Général de Brigade Azzeddine Khalid, Chef du troisième bureau, le Général de Division aérienne Mohammed Gadih, Inspecteur des Forces Royales Air, le Contre-Amiral Mohamed Tahin, Inspecteur de la Marine Royale, le Général de Division Jabrane Khalid, Inspecteur général des Forces Auxiliaires (Zone Nord), et le Colonel Major Mustapha Hdiouad, Inspecteur général des Forces Auxiliaires (Zone Sud), ainsi que par M. Abdellatif Hammouchi, Directeur général de la Sûreté nationale et Directeur général de la Surveillance du territoire national, et M. Mohamed Yassine El Mansouri, Directeur général des Études et de la Documentation.

Le Souverain a également été salué par le doyen du corps diplomatique africain, ambassadeur de la République du Cameroun, M. Mohamadou Youssifou, le doyen du corps diplomatique arabe par intérim, Ambassadeur de la République du Yémen, M. Ezzedine Saïd Ahmed Al Asbahi, le doyen du corps diplomatique européen par intérim, ambassadeur de l’Ordre souverain militaire de Malte, M. Julien-Vincent Brunie, le doyen du corps diplomatique américain, Ambassadeur de l’Organisation des Etats des Caraïbes Orientales, M. Ian Montclair Queely, et le doyen du corps diplomatique asiatique, Ambassadeur de la République Populaire de Chine, M. Li Changlin.

SM le Roi a aussi été salué par Monseigneur Emilio Rocha Grande, Archevêque de Tanger, la Révérende Pasteur Karen Thomas Smith, Présidente de l’Église Évangélique au Maroc, Monseigneur Maxim Massalitin, président de l’Eglise Orthodoxe Russe, et Monsieur Yossef Israel, Grand Rabbin de Casablanca.

Le Souverain a, par la suite, été salué par le Président de la FIFA, M. Gianni Infantino, le Président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF), M. Fouzi Lekjaa, ainsi que par les membres de la sélection nationale féminine de football qui ont réalisé un brillant parcours lors de la Coupe d’Afrique des Nations féminine de football 2024.

SM le Roi, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et de SAR le Prince Moulay Rachid a ensuite posé pour une photo-souvenir avec les membres de la sélection nationale féminine de football.

La célébration par le peuple marocain, en ce jour, du 26e anniversaire de l’intronisation de SM le Roi Mohammed VI, est une occasion renouvelée pour l’ensemble des composantes de la Nation de réitérer leur fidélité, leur loyalisme et leur indéfectible attachement au Glorieux Trône Alaouite.

Avec MAP

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Au siège de la Fondation Lalla Asmaa à Rabat, ce lundi 28 juillet, deux figures féminines unissent leurs engagements autour d’un idéal partagé : celui d’un monde plus inclusif pour les enfants sourds. Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa, présidente de la Fondation qui porte son nom, reçoit la Première Dame du Salvador, Mme Gabriela Rodriguez de Bukele, pour une visite placée sous le signe de la bienveillance, de l’écoute et de la coopération.

Depuis plus de vingt ans, la Princesse Lalla Asmaa œuvre avec une discrétion exemplaire en faveur des enfants sourds et malentendants. Grâce à son impulsion, la Fondation est devenue une référence dans l’accompagnement global du handicap auditif, conjuguant soins de pointe, scolarisation spécialisée, innovations technologiques et formation des familles. À ses côtés, Gabriela de Bukele, psychologue et éducatrice de formation, Première Dame depuis 2019, mène au Salvador des initiatives concrètes pour l’enfance, la santé prénatale et l’éducation. Mère de deux enfants, elle incarne elle aussi une vision engagée et accessible de son rôle public.

Complices et attentives, les deux femmes parcourent ensemble les espaces de la Fondation : ateliers de poterie et de diorama, cours de langue des signes américaine, salle d’orthophonie, dispositifs numériques d’apprentissage. Elles découvrent notamment une application d’intelligence artificielle destinée à accompagner les enfants dans leur rééducation du langage, et un robot interactif conçu pour faciliter l’apprentissage de la communication.

Point d’orgue de cette visite : l’annonce d’une initiative conjointe portée par la Fondation Lalla Asmaa, qui permettra à vingt enfants sourds salvadoriens de bénéficier d’une prise en charge spécialisée au Maroc. Une nouvelle étape dans l’internationalisation de l’action humanitaire de la Fondation, au service d’une diplomatie solidaire et inclusive.

À Rabat, ce duo féminin incarne une vision sensible et résolument moderne de l’engagement : celle qui fait de l’enfance une priorité universelle, et du soin à l’autre un langage commun.

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