Accueil Non classé
Categorie:

Non classé

Accueillie avec chaleur par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa à l’aéroport de Rabat-Salé, la Première Dame du Salvador effectue une visite officielle dans le Royaume. L’occasion de s’arrêter sur le parcours de cette femme discrète et engagée, au style apaisé, qui incarne une diplomatie du cœur venue d’Amérique centrale.

Dimanche 27 juillet, l’aéroport de Rabat-Salé s’imprègne d’une douce solennité. Gabriela Rodríguez de Bukele, Première Dame du Salvador, pose le pied sur le sol marocain, accueillie par SAR la Princesse Lalla Asmaa dans une parfaite harmonie de gestes, de tons et de tenues pastel. Un moment rare de diplomatie féminine, tissé de grâce et de respect.

Psychologue de formation, Gabriela Rodríguez est née à San Salvador le 31 mars 1985. Spécialisée en développement prénatal, elle fonde en 2010 le tout premier centre de formation prénatale du pays. Son approche est avant tout humaine : prévenir, accompagner, transmettre. Dès ses premières fonctions publiques, elle se distingue par sa rigueur, sa bienveillance et sa proximité avec les familles.

Gabriela Rodriguez au Maroc, avec son mari le Président du Salvador, Nayib Bukele et leurs deux filles Layla et Aminah

Mais l’engagement de Gabriela ne s’arrête pas à la santé et à l’enfance. Artiste dans l’âme, elle est également danseuse de ballet classique et fondatrice du Ballet de San Salvador, une initiative culturelle qui reflète son attachement à la beauté, à la discipline et à l’émancipation par l’art. Une double sensibilité, scientifique et artistique, qui façonne son regard sur le monde.

Épouse de Nayib Bukele, président de la République du Salvador depuis 2019, elle devient Première Dame la même année. Mais Gabriela choisit de faire de ce rôle une continuité naturelle de son engagement, loin des projecteurs, au service des enfants, des femmes, de la santé mentale et de l’éducation. Sa douceur cache une détermination sans faille. Elle privilégie le terrain aux discours, et le lien direct aux postures politiques.

Mère de deux filles, Layla née en 2019 et Aminah en 2023, elle forme avec le président salvadorien un couple jeune, moderne et profondément attaché aux valeurs sociales, familiales et culturelles. Le choix des prénoms de leurs enfants, à forte consonance arabe, résonne comme un hommage assumé aux racines orientales de la famille Bukele, d’origine palestinienne par le père. Un détail qui souligne une sensibilité universelle, et une ouverture naturelle au dialogue interculturel.

Sa venue au Maroc s’inscrit dans une dynamique de coopération Sud-Sud, mais aussi dans une volonté de dialogue humain et sincère, entre deux nations, deux cultures… et deux femmes d’exception.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Accueillie à l’aéroport de Rabat-Salé par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa, la Première Dame du Salvador a entamé sa visite officielle au Maroc en tenant ses deux filles à ses côtés. Une image saisissante qui dit tout d’une diplomatie sensible, incarnée, profondément humaine.

La Princesse Lalla Asmaa accueille la Première dame du Salvador, Gabriela Rodriguez de Bukele et ses deux filles Layla et Aminah, pour une visite de travail au Maroc

C’est une image qui restera. Ce dimanche 27 juillet, sur le tarmac de Rabat-Salé, la Première Dame du Salvador, Gabriela Rodríguez de Bukele, descend de l’avion, le visage serein, sa plus jeune fille dans les bras, l’aînée à la main. À ses côtés, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa, dans une élégance bleue poudrée parfaitement accordée à celle de son hôte. Une double silhouette maternelle et royale, tendre et solennelle. Tout est là : la symbolique, la simplicité, la puissance d’une scène.

Venue pour une visite de travail dans le Royaume, Gabriela de Bukele incarne une génération de Premières Dames qui font du terrain leur priorité et de la douceur une forme d’autorité. Psychologue de formation, spécialisée dans le développement prénatal, elle est à l’origine du premier centre d’éducation prénatale au Salvador. Très tôt engagée dans la protection de la petite enfance, elle continue aujourd’hui, dans sa fonction, de faire de l’éducation, de la santé mentale et de l’inclusion sociale les piliers de son action.

Son arrivée au Maroc ne relève pas uniquement du protocole diplomatique. Elle est le signe d’un dialogue Sud-Sud à dimension humaine, porté ici par deux femmes en responsabilité, deux mères, deux figures engagées au service de l’enfance. En apparaissant avec ses filles dès les premières minutes de son séjour officiel, Gabriela de Bukele envoie un message puissant : la sphère familiale n’est pas mise entre parenthèses pour les femmes de pouvoir, elle peut au contraire être visible, assumée, portée comme un prolongement des valeurs que l’on défend.

Cette photographie à l’aéroport, avec ses jeux de regards, ses gestes spontanés et sa palette pastel, n’est pas une image comme les autres. Elle raconte une diplomatie à hauteur d’enfant, une posture de femme responsable sans renoncer à sa tendresse. C’est, peut-être, l’un des plus beaux symboles de cette visite au Maroc : la possibilité d’un leadership féminin profondément incarné.

0 commentaires
0 PinterestEmail

En bleu ciel et plein sourire, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa a accueilli, ce dimanche à Rabat, la Première Dame de la République du Salvador, Gabriela Rodriguez de Bukele. Une rencontre toute en élégance, fraîcheur et bienveillance, scellant les liens entre le Royaume et l’Amérique centrale autour d’une diplomatie solidaire.

Un dimanche radieux, une image qui parle d’elle-même. À l’aéroport Rabat-Salé, deux silhouettes s’accordent à la perfection : celle de SAR la Princesse Lalla Asmaa et celle de la Première Dame du Salvador, Gabriela Rodriguez de Bukele, réunies sous le signe d’un bleu pastel poudré, d’une rare délicatesse. Dans ses bras, sa plus jeune fille, et à ses côtés, son aînée – les deux enfants habillées du même ton céleste, dans une tendre harmonie avec leur mère et leur hôte. Une arrivée marquée par la douceur, la chaleur humaine et un profond respect du protocole.

Présidente de la Fondation Lalla Asmaa pour les jeunes sourds et malentendants, la Princesse rayonnait à l’accueil de son invitée, incarnant l’élan d’un Maroc engagé sur la voie d’une diplomatie humaine, inclusive et tournée vers les causes nobles. Cette visite de travail marque un nouveau jalon dans les relations entre le Maroc et l’Amérique centrale, sous le signe d’un renforcement des coopérations solidaires.

Dans un style empreint de simplicité et d’élégance, cette seconde visite de Mme Rodriguez de Bukele au Royaume s’annonce comme un moment fort de dialogue interculturel, avec à la clé de futurs projets conjoints. Une page de diplomatie douce qui s’écrit à Rabat, entre femmes d’engagement, mères attentives et ambassadrices de cœur.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Un souffle d’opéra, une silhouette de reine et une voix venue du cœur du Nil. Pour la soirée d’ouverture de la 20ᵉ édition du Festival Mawazine, Carmen Soliman a livré bien plus qu’une performance : un moment suspendu, où l’élégance et l’émotion se sont données la main.

Carmen Soliman sur la scène de Mawazine 2025, le 20 juin, au théâtre Mohammed V

Sur la scène du Théâtre National Mohammed V à Rabat, la star égyptienne révélée par Arab Idol en 2012 — aujourd’hui ambassadrice du programme EQUAL Arabia de Spotify — a fait une entrée remarquée dans un caftan immaculé brodé d’or, signé Fatima Zahra Filali Idrissi pour sa maison de couture Dar Fatim.
La coupe fluide, les broderies précieuses, le tombé parfait… tout dans cette tenue évoquait la noblesse d’un art vestimentaire ancré dans les traditions marocaines, revisité avec une grâce contemporaine.
Ses cheveux somptueusement ondulés tombant en cascade sur ses épaules, Carmen offrait à la salle une vision cinématographique, presque mythique. Une tableau vivant, digne des grandes scènes lyriques. Mais c’est sa voix — pure, vibrante, enveloppante — qui a scellé la magie. Le public, conquis, a accueilli cette première soirée comme une promesse : celle d’un festival qui n’a rien perdu de son éclat, vingt ans après sa naissance.

Entre hommage à la haute couture marocaine et célébration de la musique arabe, cette ouverture donne le ton d’une édition placée sous le signe du dialogue des cultures, de l’excellence artistique et de la beauté dans toutes ses expressions.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Sous un ciel andalou zébré de lumière et de poésie, le créateur Leo Norma a électrisé l’ouverture du Almería Fashion Show 2025. Dans le cadre saisissant du site archéologique du Barrio Andalusí, l’enfant du Maroc devenu icône internationale a dévoilé une collection où les racines et les rêves s’entrelacent, tissant une passerelle lumineuse entre le Sud marocain, l’Espagne méditerranéenne et les capitales européennes du style.

Un créateur aux origines flamboyantes
Né au Maroc, formé à Paris, aujourd’hui installé en Suisse, Leo Norma n’a jamais cessé de conjuguer les cultures avec une délicatesse et une force rare. Dès l’âge de 17 ans, il intègre une prestigieuse école parisienne. À 24 ans, il fonde sa propre maison. Depuis, il trace sa route sans concessions, saluée sur les podiums de Paris, Milan, Marrakech, Le Caire, New York ou Dubaï. À chaque étape, un fil rouge : rendre hommage à son héritage, tout en dessinant les contours d’un futur audacieux.

Un hommage vibrant au Maroc et à la féminité plurielle
Ce 8 juin, en ouverture du AMAC (Almería, Mode, Art et Culture), Leo Norma a livré un défilé à la fois magnétique et engagé. Silhouettes aériennes, volumes sculptés, broderies héritées des médinas marocaines, palettes solaires, ocre, safran, bleu Majorelle, tout dans cette collection évoque une femme souveraine, libre et enracinée. Loin des clichés, Leo Norma propose une féminité affirmée, mouvante, contemporaine.

Le cadre du défilé, l’ancien Mesón Gitano, joyau d’architecture andalouse réhabilité – s’est révélé être un écrin parfait pour ce dialogue entre tradition et avant-garde. En maîtresse de cérémonie, Hamida Alyousoufi, star marocaine de la télévision et du cinéma, a incarné avec justesse cette passerelle entre les mondes, donnant le ton d’une soirée placée sous le signe de la beauté métissée.

Un événement culturel majeur, soutenu par l’Andalousie
Soutenu par la Mairie d’Almería, le Conseil provincial à travers la marque Sabores Almería, et le Gouvernement régional andalou, le AMAC s’impose comme un carrefour de la création euro-méditerranéenne. Plus de 250 invités triés sur le volet, une programmation musicale assurée par Spicy Session, Adiara, Crash Music, et des performances live ont fait vibrer le site dans une ambiance joyeusement hybride.

Entre style et message, une mode identitaire
Chez Leo Norma, chaque couture est une déclaration. Son défilé est moins un exercice esthétique qu’un manifeste : la mode comme langage universel, comme art de raconter l’identité, les exils, les espoirs. À ce titre, il n’est pas surprenant que le ministre de la Culture égyptien lui ait remis la statue de Néfertiti au Caire, saluant son influence et son engagement pour une mode-pont entre les cultures.

Une soirée transcendée par l’art vivant
La fête ne s’est pas arrêtée au dernier mannequin. Sur scène, les voix envoûtantes de Soleá et Kiki Morente, puis un final signé Ángel Schlesser, ont emporté le public dans une transe élégante mêlant flamenco, jazz, funk et sons urbains. Leo Norma, en toute discrétion, y a fait une dernière apparition : sobre, lumineux, fier.

À Almería, ce soir-là, ce n’est pas seulement la mode qui a défilé. C’est un monde possible, pluriel, fier, poétique, qui a pris forme, le temps d’un crépuscule. Et au cœur de ce monde, un nom : Leo Norma. Un créateur. Un passeur. Un poète du textile.

0 commentaires
0 PinterestEmail

À la veille de l’ouverture de la 3ᵉ Conférence des Nations Unies sur les océans (UNOC3), un dîner officiel s’est tenu à l’emblématique hôtel Le Negresco, réunissant chefs d’État, membres de familles royales et figures internationales de la diplomatie environnementale. Parmi les personnalités les plus remarquées de la soirée, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa a incarné avec grâce et conviction l’engagement du Maroc en faveur de la préservation des mers et océans.

Une apparition élégante et symbolique

Représentant le Royaume du Maroc avec une élégance rare, SAR Lalla Hasnaa a fait une entrée remarquée, vêtue d’un somptueux caftan en satin noir, souligné par un délicat travail de broderie ton sur ton. Elle arborait des bijoux bleu turquoise éclatants, en harmonie parfaite avec la thématique marine de la conférence. Le contraste subtil entre la profondeur du noir et l’éclat du turquoise évoquait avec finesse la beauté et la fragilité des océans, que la conférence entend défendre.

Une soirée d’exception marquée par la présence royale

Ce dîner diplomatique de haut niveau s’est déroulé en présence de nombreuses figures royales : le prince héritier Haakon de Norvège, la princesse héritière Victoria de Suède, ainsi que le prince Albert II de Monaco, venu en voisin et fervent défenseur des océans. Le président Emmanuel Macron, hôte de la conférence, a accueilli personnellement les invités de marque, quelques heures après avoir conclu une visite d’État à Monaco. Bien que le prince de Galles ait été absent à cette soirée, il prononcera un discours attendu dès l’ouverture de la conférence. Charles III et son fils William partagent une passion reconnue pour la cause océanique, à l’instar de nombreux leaders présents.

Un sommet crucial pour l’avenir des mers

Organisée du 9 au 13 juin à Nice, cette 3ᵉ conférence des Nations Unies sur les océans a pour objectif de renforcer la protection du milieu marin, en mobilisant des financements, en promouvant la recherche scientifique et en rehaussant l’ambition politique en matière de gouvernance maritime. L’ONU rappelle que l’objectif de développement durable relatif aux océans (ODD 14) reste aujourd’hui le moins financé de tous.

Dans ce contexte, la présence de Lalla Hasnaa incarne une voix précieuse du Sud global, portée par une diplomatie environnementale résolument tournée vers l’avenir et la coopération internationale.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Deux ans après avoir uni leurs destins au cœur d’Amman, le prince héritier Hussein et la princesse Rajwa de Jordanie ont célébré leur anniversaire de mariage dans l’intimité du palais royal. Le couple a partagé deux nouveaux portraits empreints de complicité et de douceur, pris dans les jardins qui avaient accueilli leur somptueuse cérémonie.

© Royal Hashemite Court

Le 1er juin 2023, le prince Hussein de Jordanie épousait Rajwa Al-Saif, jeune architecte saoudienne, lors d’un mariage majestueux célébré au palais de Zahran. Devant les regards du monde entier, la nouvelle princesse brillait ce jour-là dans une robe Elie Saab, marquant le début d’un chapitre prometteur dans l’histoire de la dynastie hachémite. Moins d’un an et demi plus tard, le couple accueillait une petite fille, prénommée Iman, première petite-fille du roi Abdallah II et de la reine Rania.

Une parenthèse à deux

Pour marquer leurs noces de cuir, le prince héritier et son épouse ont choisi de s’offrir une parenthèse à deux, loin du tumulte et même… de leur adorable fille, qui attire si souvent l’attention. Deux clichés inédits ont été publiés pour l’occasion. Sur le premier, Hussein et Rajwa échangent un regard complice ponctué d’un rire partagé. La princesse y apparaît rayonnante dans une robe fluide signée Petar Petrov, ceinturée par une élégante pièce de chez Schiaparelli. Sur le second, le couple s’enlace tendrement sous les arbres du jardin royal, dans une atmosphère à la fois simple et profondément touchante. Ces images ont été capturées lors du mariage de la cousine du prince, la princesse Aisha, célébré début mai.

©Royal Hashemite Court

Une princesse pleinement engagée

En deux années de vie conjugale, Rajwa de Jordanie s’est installée avec élégance dans son rôle de future reine. Son retour sur la scène publique après son congé maternité a été marqué par une présence affirmée aux côtés du prince héritier, que ce soit lors de l’ouverture du parlement ou d’événements plus symboliques comme la rupture du jeûne avec des enfants orphelins pendant le ramadan. Sa popularité ne cesse de croître, portée par sa discrétion, son style et son engagement.

© Royal Hashemite Court

Et maintenant ?

Alors que leur fille Iman grandit loin des projecteurs, une question commence à se poser dans les cercles royaux comme chez les observateurs : le couple envisage-t-il déjà d’agrandir la famille ? Dans une monarchie où la succession demeure masculine, l’arrivée d’un fils permettrait d’assurer une transition dynastique directe. Pour l’heure, le prince Hashem, frère cadet de Hussein, reste le deuxième dans l’ordre de succession.

© Royal Hashemite Court

Mais au-delà des enjeux institutionnels, ce deuxième anniversaire vient surtout rappeler que la modernité et la tradition peuvent cohabiter harmonieusement dans la monarchie jordanienne, et que l’amour, même royal, peut se vivre avec naturel et simplicité.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Du palais impérial de Tokyo aux pavillons futuristes de l’Expo 2025 à Osaka, le Grand-Duc de Luxembourg a passé six jours au Japon, entre découvertes culturelles, moments symboliques et rencontres marquantes. À ses côtés, Xavier Bettel et Yuriko Backes ont accompagné cette visite aux accents officiels, mais aussi profondément humains, à l’occasion de la Journée du Luxembourg célébrée à l’Exposition universelle.

Un dîner impérial à Tokyo

Au cours de cette visite, Leurs Majestés l’Empereur et l’Impératrice du Japon ont convié le Grand-Duc à un dîner officiel au Palais impérial de Tokyo. La Princesse Aiko était également présente lors de cette réception empreinte de solennité et de respect mutuel.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Rencontres politiques de haut niveau

Le Grand-Duc et la ministre Yuriko Backes ont rencontré le Premier ministre japonais, Monsieur Shigeru Ishiba. Cette entrevue a permis de réaffirmer la volonté commune de renforcer les relations bilatérales, à l’approche du centenaire de l’établissement des relations diplomatiques entre le Luxembourg et le Japon, prévu pour 2027.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Découverte de la culture et de l’innovation japonaises

À Tokyo, la délégation luxembourgeoise a visité teamLab, une exposition d’art numérique immersive reconnue mondialement pour sa créativité et son interactivité.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Elle s’est également rendue au gymnase olympique de Yoyogi, monument emblématique de l’architecture moderne japonaise, construit en 1961 pour les Jeux de Tokyo 1964.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

La Journée du Luxembourg célébrée à Osaka

Le point d’orgue de cette visite fut la célébration officielle de la Journée du Luxembourg à l’Expo 2025 à Osaka. Lors d’une réception réunissant des représentants économiques et institutionnels des deux pays, le Grand-Duc, accompagné de Xavier Bettel et de Yuriko Backes, a salué les liens étroits qui unissent le Luxembourg et le Japon.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Dans son discours, le Chef de l’État a mis en avant le dynamisme de la délégation économique luxembourgeoise, rassemblée par la Chambre de commerce, et a félicité l’équipe luxembourgeoise de l’Expo 2025 pour la réalisation remarquable du pavillon national.

Une cérémonie officielle et un concert prestigieux

La cérémonie de la Journée nationale du Luxembourg a débuté par la levée des drapeaux luxembourgeois et japonais, suivie des hymnes nationaux et d’un discours prononcé par le Grand-Duc.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Lors d’une réception au pavillon luxembourgeois, le Grand-Duc a pu échanger avec des membres de la communauté luxembourgeoise résidant à Osaka. La journée s’est clôturée par le concert Echoes of Tomorrow, réunissant trois artistes luxembourgeois de renom : le pianiste Francesco Tristano, le xylophoniste Pascal Schumacher et la danseuse Jill Crovisier, en collaboration avec la danseuse japonaise Maika Fujii.

Visite des pavillons internationaux et hommages aux relations économiques

Le Grand-Duc a également visité les pavillons nationaux de plusieurs pays, dont le Japon, l’Arabie saoudite (qui accueillera l’Expo 2030 à Riyad), Singapour, l’Ukraine, l’Inde, le Koweït, les Pays-Bas, la Belgique, l’Allemagne et la France.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Au cours de son séjour, le Chef de l’État a rencontré plusieurs dirigeants d’entreprises japonaises et les consuls honoraires du Luxembourg à Tokyo et à Osaka, saluant leur engagement dans le renforcement des liens économiques et culturels avec le Grand-Duché.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Un passage culturel à Kyoto pour conclure la visite

La s’est achevée à Kyoto par la découverte de sites historiques et culturels emblématiques, témoins du riche patrimoine japonais.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey

Cette visite officielle a contribué à approfondir encore davantage les relations d’amitié et de coopération entre le Luxembourg et le Japon.

Photos :  © Grand Duke’s Household, Luxembourg / Kary Barthelmey
0 commentaires
0 PinterestEmail

À Prague, les Journées du patrimoine culturel marocain ont mis à l’honneur un Royaume pluriel. Parmi les instants forts de cet événement, le défilé de caftans signé Samira Haddouchi s’est imposé comme une ode à l’élégance marocaine. Une célébration portée par l’ambassadrice Hanane Saadi et soutenue par Chrifa Lalla Fatim-Zahra Alaoui Azizi en collaboration avec l’Association Joussour.

La styliste Samira Haddouchi, l’Ambassadrice du Maroc en République tchèque, Hanane Saadi et Chrifa Lalla Fatim-Zahra Alaoui Azizi, aux journées du patrimoine du Maroc à Prague

Sous les dorures baroques du palais de Troja à Prague, un joyau de l’architecture tchèque, les Journées du patrimoine culturel marocain ont pris vie avec éclat. Initiée par l’Ambassade du Maroc à Prague, en étroite collaboration avec l’Association Joussour pour les arts et la créativité, cette célébration a offert une plongée poétique dans la richesse du patrimoine marocain.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

Parmi les moments les plus applaudis : un défilé de caftans majestueux, imaginé par la styliste Samira Haddouchi, figure de proue de la création marocaine contemporaine. Dans un jeu subtil de broderies traditionnelles et de coupes audacieuses, ses silhouettes ont raconté un Maroc intemporel et résolument raffiné. « À travers mes créations, je veux que l’âme du Maroc touche les cœurs du monde », a-t-elle confié.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

L’événement, porté avec conviction par l’ambassadrice du Maroc en République tchèque, Hanane Saadi, a rassemblé un parterre de personnalités politiques, diplomatiques et culturelles, venues saluer l’esprit d’ouverture et la diversité du Royaume. La présence de Chrifa Lalla Fatim-Zahra Alaoui Azizi, engagée à travers l’Association Joussour, a souligné la volonté de mettre l’art et la culture au service du dialogue entre les peuples.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

Entre musique andalouse, danses folkloriques, artisanat vivant et gastronomie envoûtante, le programme a peint un tableau vibrant de la mémoire et de l’identité marocaine. Et au cœur de cette fresque, le caftan s’est imposé comme un symbole fort : celui d’un patrimoine qui se réinvente sans jamais perdre son âme.

Défilé de caftans signés Samira Haddouchi au coeur de Prague et des journées du patrimoine dans la république Tchèque

0 commentaires
0 PinterestEmail

L’actrice et visage de la télévision arabe Feryal Ziyari a illuminé le tapis rouge du Festival de Cannes, habillée d’un somptueux caftan traditionnel brodé en « Nataâ », œuvre exceptionnelle de la créatrice Fatim-Zahra Filali Idrissi. Une apparition marquante, à la hauteur de celle qu’elle incarne dans la série marocaine Mesk L’Lil, où elle prête ses traits au personnage de Lalla Jawhara.

La présentatrice télévision et actrice Feryal Ziyari sur les marches de Cannes en caftan

Une apparition magique pour la jeune actrice, d’autant que sur le tapis rouge ce 15 mai, nulle autre que la méga star Tom Cruise, présentait en avant-première le dernier opus de la saga Mission Impossible. Grande admiratrice de la franchise, Feryal n’a pas caché son émotion : « C’est un moment fort pour moi, je suis une fan de cette série palpitante, et voir Tom Cruise en personne était incroyable. »

La présentatrice télévision et actrice Feryal Ziyari sur les marches de Cannes en caftan

Pour sa deuxième participation consécutive à Cannes, Feryal affirme avec enthousiasme : « Cet événement fait désormais partie de moi. Le cinéma m’attire de plus en plus, et j’y rencontre de nombreux professionnels marocains, arabes et internationaux. C’est une vraie richesse. »

Interrogée sur son caftan, elle explique son choix avec fierté : « Même si je porte parfois des marques internationales, rien ne surpasse la noblesse du caftan marocain. J’ai choisi le nataâ pour son symbolisme et son lien fort avec notre patrimoine. »

La présentatrice télévision et actrice Feryal Ziyari sur les marches de Cannes en caftan

Le nataâ, technique de broderie en fils métalliques, incarne l’excellence de l’artisanat marocain. Le modèle conçu pour Feryal a nécessité plus de quatre semaines de travail, soulignant l’expertise de Fatima Zahra Filali Idrissi dans l’art du détail et la finesse de l’artisanat marocain.

La présentatrice télévision et actrice Feryal Ziyari sur les marches de Cannes en caftan
0 commentaires
0 PinterestEmail
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter Lire Plus

Politique de confidentialité & de cookies
-
00:00
00:00
Update Required Flash plugin
-
00:00
00:00