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décembre 18, 2020

Un tapis d’or et de paillettes du désert du Sud du Maroc pour le vestiaire estival de la griffe française

Sur les réseaux sociaux de la marque française on voyait marcher de jolies pieds de rouge chaussées, arpenter les allées colorées des Jardins Majorelle, pour annoncer le défilé de la saison chaude de l’année prochaine. Et c’est sur le sable doré du Sahara marocain que les muses de Yves Saint Laurent ont planté leurs talons pointus. Renversant et enivrant!

Émouvante scénographie que celle imaginée par les équipes de Anthony Vaccarello pour orchestrer les défilés printemps-été 2021. Le directeur artistique de la marque a dressé son podium sur les dunes merveilleuses du désert marocain et le résultat est presque historique.

« J’ai eu envie de me concentrer sur l’essentiel, vu l’époque actuelle. Mais je voulais rester positif, sans lourdeur. Le décor de désert évoque pour moi ce besoin de sérénité, d’espace, de rythme moins effréné. Les vêtements sont aussi plus souples, il y a un état d’esprit apaisé dans cette collection » confie le créateur belge qui rompt totalement avec l’esprit de sa dernière collection, empreinte d’extravagante et d’audace.

La majesté des dunes du Sahara marocain a servi d’écrin parfait pour l’élégantissime vestiaire de l’été prochain qui s’annonce épuré et vaporeux malgré les pièces maitresse de la marque comme le fameux costume dont les vestes sont droites, les pantalons amples. Les robes jouent le court sixties ou le long rehaussé de capes très sophistiquées, le tout orné d’une ligne minérale de bijoux bruts tels des lingots d’or et harmonisé d’une poésie créative qui appelle aux codes de la griffe française en ces temps de retour aux sources.

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Le restaurant du palais Ronsard à Marrakech vient d’être consacré du Prix Versailles du plus beau restaurant du monde. L’hôtel de luxe aux influences orientales, n’est autre que le petit bijou du couple Adriana Karembeu et Aram Ohanian.

Ce prix mondial d’architecture et de design, sorte de concours organisé par l’UNESCO et l’Union Internationale des Architectes et qui couvre Afrique et Asie occidentale, Amérique centrale, sud et Caraïbes, Amérique du Nord, Asie centrale et nord-est, Asie du Sud et Pacifique et Europe, a mis sa meilleure note à cet havre de paix au coeur de la Palmeraie, que le couple de stars qui détiennent déjà d’autres unités prestigieuses dans la ville ocre comme le Jad Mahal, a acquis il y a près de cinq années dont quatre pour les travaux.

Réalisé par Gil Dez, architecte de renom et ami de l’ex-top model et de l’homme d’affaires, signé Relais & Châteaux, le palais respire cette chaleureuse ambiance propre aux chicissimes Maisons d’hôtes où le luxe se fait discret et convivial. D’ailleurs le couple comptait faire du lieu une maison familiale pour accueillir famille et amis surtout après la naissance de leur fille Nina.

La magnifique blonde des podiums des années quatre vingt, convertie en animatrice télé pour des émissions de bien-être et santé, avait passé une partie du premier confinement de ce printemps dans son palais aux cotés de sa fille et vu les espaces enchanteurs des 3 hectares dont 20000 m2 de jardins luxuriants d’oliviers centenaires, cascades rocheuses, fontaines et palmiers, le duo mère fille a du faire le plein de bons et tendres souvenirs, bienvenus en ces temps bien difficiles.

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Le Maroc pays de lumières, de magie et de beauté authentique, voilà les premiers mots qui accompagnent l’image époustouflante du Mandarin Oriental Marrakech. Et pour les fêtes de cette fin année bien spéciales, il n’était pas question pour la célébrissime chaine hôtelière de faire profil bas. Et la lumière jaillit de partout jusqu’à la belle bûche signature du chef Yazid Ichemrahen.

Tout l’hôtel s’habille donc de lumière pour accueillir 2021, la lumière signe d’espoir et de force, la lumière véritable ADN de la ville Ocre et de tout le royaume, prisme de son histoire, sa culture et… sa gastronomie.

La lumière, c’est aussi cette énergie extraordinaire qui éclaire les esprits pour faire jaillir la créativité. N’est-ce pas que la gastronomie et la pâtisserie précisément, n’est que génie créatif et artistique. Amoureux de sa terre d’origine, Yazid Ichemharen, Champion du Monde de la Pâtisserie glacée en 2014, s’est inspiré des chefs d’oeuvre architecturaux des Almohades pour créer cette bûche de Noël exceptionnelle pour le Mandarin Oriental. 

Ce n’est pas la première fois que l’hôtel qui donne un soin particulier aux arts de la table, fait appel au jeune prodige de 22 ans pour réaliser une oeuvre à déguster pour les fêtes de Noël sous le thème absolument de la culture arabo-andalouse.

L’artiste a reproduit avec une perfection renversante, les perspectives architecturales des mosquées, cathédrales andalouses, reconstituant les fameuses briques rouges de Marrakech en guise de structure pour recouvrir ce petit chef d’oeuvre gourmand qui sent l’argan mêlé à la fleur d’oranger et à la cannelle, le biscuit lui, fond et croustille de miel, d’amandes, de vanille et de chocolat.

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