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janvier 11, 2021

Le monde se reconfine pour une seconde vague du coronavirus et rester chez soi devient presque un mode de vie. C’est ce qui a motivé Maria Grazia Chiuri à créer une toute première collection home wear pour Dior. Et si nonchalance rimait avec élégance… chez vous.

« Dior Chez Moi » est ainsi baptisée cette jolie collection entièrement composée de tenues d’intérieur, imaginées par Maria Grazia Chiuri lors du confinement. Des créations faites de matières douces et d’imprimés raffinés qui célèbrent l’art de vivre chez soi en toute élégance. 

Des vêtements d’intérieur qui se distinguent d’abord par un motif spécial imaginé par Pietro Ruffo, un artiste romain, ami de la directrice artistique de la maison Dior qui a mêlé en un seul motif, les signes du zodiaque avec les éléments composants de la nature : ciel, terre, faune et flore, continents et constellations. Un délicat clin d’oeil à une passion superstitieuse de Monsieur Dior.

Le premier vestiaire home wear de Dior est un véritable panorama de tout ce que peut représenter la notion de pyjama, star des réseaux sociaux, faisant même objet de beaucoup de challenges en cette fin d’année bien spéciale. Il se fait l’ADN de cette capsule, se conjuguant en mode intérieur/extérieur, chic et confortable, tantôt parure de salon et de couette avec peignoirs, pyjamas-shorty, dessous-dessus en triangles craquants, pantoufles, bottines et mules de maison. Tantôt ensembles parfaits pour faire quelques foulées à condition que le temps soit plus clément. En toile de jouy, anoraks, sweats et robes à capuches sont irrésistibles. La collection « Dior chez moi » invite résolument au voyage intérieur de chacun.

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Je tourne en rond et je mange beaucoup de chocolat

Il avait contracté le virus en mars dernier, hier sur Tf1, l’humoriste marocain s’est livré sur cet épisode douloureux qui l’a durement marqué. Avec bonne humeur, humour et le ton grave qu’impose le sujet, l’humoriste a fait des confidences sur son confinement, son lien puissant avec sa famille, profitant aussi de marquer sa douleur de voir la culture mise à mort.

 

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Dans la très suivie émission du dimanche de Tf1, « Sept à Huit », Gad ElMaleh a donc fait des confidences sur ces longues semaines qu’il a vécues, « Je suis rentré à l’hôpital Saint-Antoine le 5 mars, dans un état… C’est vraiment la fatigue, c’est vraiment dormir des dizaines d’heures d’affilées en pleine journée, ne pas comprendre où j’étais quand je me réveillais, ne plus avoir d’appétit, avoir des douleurs très très fortes partout, des montées de fièvre qui m’étourdissaient… c’était vraiment éprouvant ! C’était la grippe multipliée par dix, vingt ! » raconte avec émotion l’homme de la scène. « Ensuite des complications, infection pulmonaire, péricardite, des complications cardiaques. J’étais incapable de monter des escaliers sans être essoufflé comme si j’avais couru un marathon… c’était vraiment éprouvant. J’ai mis trois, quatre mois pour vraiment retrouver la forme, pour faire du sport, pour être complètement … comme avant ». 

J’ai besoin physiquement d’aller su scène

L’émission le capte en plein désarroi, « il tourne en rond, chez lui, il attend… ». Sa tournée reportée puis annulée à plusieurs reprises, l’humoriste marocain de 49 ans, en a profité pour marquer son autre douleur de voir le monde de la culture mis à mort en France « On ne peut pas nous reprocher d’être étonné, au départ de la France, il y a des avions qui font six à sept heures de vol, sans masques pour manger, pour parler … au théâtre, on a le masque et on rigole, c’est le seul risque de postillons » explique avec humour et mimes Gad ElMaleh, « J’ai besoin physiquement d’aller su scène ».

c’est la première fois que mon père m’a dit ‘J’aurai aimé être artiste’

Dans ce petit entretien de seulement 15 min, Gad ElMaleh a évoqué son fort attachement à la famille, sa mère « Régine » bien sur et son père « David ». « Oui mon père voulait être mime » confie Gad, « ça l’a beaucoup marqué de ne pas être artiste et c’est la première fois pendant le confinement, pendant ces moments de confidences qu’il m’a dit ‘J’aurai aimé être artiste’ » raconte le papa de Noé et de Raphael, « ‘à travers ta réussite à toi je me réalise‘ m’a-t-il dit.

L’ex de Charlotte Casiraghi avec laquelle il a eu son second fils, Raphael, s’émeut aussi beaucoup en parlant de sa mère. « J’ai un rapport très proche avec elle, c’est loin d’être une forme de caricature de mère juive, au contraire, elle battante, pendant cette crise elle m’a montré qu’avec une force… qu’avec la positivité, avec l’énergie qu’elle a, avec l’humour, avec l’esprit, on pouvait traverser tout cela plus facilement« .

 

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Natif du Maroc, qu’il a quitté à ses 17 ans direction Montréal, Gad a forgé son art dans les rues de Casablanca, sur les bancs des écoles qu’il a fréquentées et sur scène dès ses cinq ans sur les planches du CAFC aux côtés de son père mime à l’époque, « Une carrière c’est une quête… » répond Gad à la journaliste sur sa question évoquant les vingt cinq ans de carrière de l’humoriste. « ...avec ses moments de grâce, de vertige, d’obscurité, de violence, de surprises, d’ivresse, de découverte de la notoriété, de rencontres avec les médias… d’être chouchouté, cajolé, porté au pinacle… d’être buté complètement après, de remonter et c’est ce qui fait une carrière ». 

Un nouveau départ solide comme un roc 

Pour finir l’émission, Gad a dévoilé ses ambitions quant à son album de reprises des chansons de Claude Nougaro, honorant un monument de la chanson française, qu’il écoutait gamin à Casablanca avec son père, « J’ai découvert Amstrong premier titre et à chaque fois je remets cette chanson sur le tourne disque et elle me marque et depuis je ne cessais de l’écouter de la réécouter et je voulais devenir pianiste de jazz… je jouais tous les jours… » raconte Gad mimant ses doigts sur un piano et finissant son émission télévisée par une note d’humour quant à ce qu’il serait dans dix ans « Vacciné » dit-il « Et à mon avis au rythme où ça va, j’ai des chances d’être vacciné« . En icône très suivie sur la toile, l’acteur n’a pas manqué, durant l’interview, de donner sa position sur le vaccin comme moyen de contrer la pandémie du coronavirus, « Oui je pense, j’ai envie de me protéger. D’abord, j’enverrai mes parents le plus vite possible, puis après moi j’irai« .

 

 

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