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février 4, 2021

2021 démarre bien, avec les 78è Golden Globes annoncés pour le 28 février. Une fenêtre cinéma qui s’ouvre dans ce désert culturel imposé par l’épidémie du covid qui a fermé les salles au profit des plateformes de streaming. Une première messe de l’année avant la reine des soirées, les Oscars.

STREAMING VS CINÉMA TRADITIONNEL

La première messe cinéma de l’année apporte donc un joli espoir d’un retour à une vie normale où le cinéma fait son show sans public certes, mais avec des stars en chair, en os et avec des trophées. Ceci dit les faiseurs de films, séries et autres productions télévision car les Golden Globes c’est surtout cet univers là, le cinéma des longs-métrages ce sera pour le grand rendez-vous des Oscars le 25 avril prochain, n’ont pas vraiment chômé au vu des nombreuses sorties opérées en 2020. C’est bien ce qui justifie cette longue liste de nommés aux 78ème GG par la HFPA (Hollywood Foreign Press Association) et annoncés dans un live par les deux actrices Sarah Jessica Parker et Taraji P.Henson, six Golden Globes pour la journaliste de Sex and the City et un pour l’icône de la télévision avec nombre de séries à son actif, seront en poste pour animer cette cérémonie qui annonce bien des révolutions. Netflix, Amazon & co sont en tête des sélections. « Les Sept de Chicago » de Aaron Sorkin qui s’attaque à la guerre du Vietnam est en tête avec « Mank » de David Fincher qui raconte l’âge d’or d’Hollywood. « One Night In Miami » et « The Sound Of Metal » représentent Amazon, sans oublier Hulu et Apple pour ne citer qu’eux ont raflé la mise aux studios traditionnels. Autre détail de taille, la nomination de trois réalisatrices en lice pour la catégorie meilleure réalisation. Chloe Zhao pour « Nomaland », Regina King pour « One Night In Miami » et Emerald Fennell pour «  Promising Young Woman ». Une représentation féminine inédite pour une industrie qui, plusieurs décennies durant a honoré beaucoup moins de femmes que compte les doigts d’une main. Dans ce même registre d’honneurs aux femmes, le prix Cecil B DeMille qui sera remis à l’incroyable Jane Fonda en récompense à l’ensemble de sa carrière.

 

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ROBES LONGUES OU PAS, LA MESSE EST DITE

Une messe californienne, sans public cela est certain, covid oblige, virtuelle totalement ou partiellement, rien n’a encore été annoncé. Quelque soit le format de la soirée que nous accueillerons à 2 heures du matin du 29 février, Comédiens, réalisateurs et producteurs seront en poste au Beverly Hilton Hotel comme depuis 1961 ou chez eux depuis leur living room ou encore comme pour les Emmy Awards, dans divers endroits pour une production grandiose mais qui respecte la distanciation sociale et les mesures sanitaires de lutte contre l’épidémie du coronavirus. Les présentatrices Tina Fey et Amy Poehler, rodées à l’exercice trois fois déjà auraient tout de même à gérer les conditions du virtuel.

ET LES NOMMÉS SONT…

Meilleure série comique ou musicale
« Emily in Paris » (Netflix)
« The Flight Attendant » (HBO Max)
« The Great » (Hulu)
« Schitt’s Creek » (CBC)
« Ted Lasso » (Apple TV+)

Meilleure série dramatique
« The Crown » (Netflix)
« Lovecraft Country » (HBO)
« The Mandalorian » (Disney+)
« Ozark » (Netflix)
« Ratched » (Netflix)

Meilleur acteur dans une série dramatique
Jason Bateman, « Ozark »
John O’Connor, « The Crown »
Bob Odenkirk, « Better Call Saul »
Matthew Rhys, « Perry Mason »
Al Pacino, « Hunters »

Meilleur actrice dans une série dramatique
Olivia Colman, « The Crown »
Jodie Comer, « Killing Eve »
Emma Corrin, « The Crown »
Laura Linney, « Ozark »
Sarah Paulson, « Ratched »

Meilleur mini-série
« Normal People »
« Le jeu de la dame »
« Small Axe »
« The Undoing »
« Unorthodox »

Meilleure actrice dans une mini-série
Cate Blanchett, « Mrs. America »
Daisy Edgar-Jones, « Normal People »
Shira Haas, « Unorthodox »
Nicole Kidman, « The Undoing »
Anya Taylor-Joy, « Le jeu de la dame »

Meilleur acteur dans une mini-série
Bryan Cranston, « Your Honor »
Jeff Daniels, « The Comey Rule »
Hugh Grant, « The Undoing »
Ethan Hawke, « The Good Lord Bird »
Mark Ruffalo, « I Know This Much is True »

Meilleure actrice dans un rôle secondaire dans une série ou un téléfilm
Gillian Anderson, « The Crown »
Helena Bonham Carter, « The Crown »
Julia Garner, « Ozark »
Annie Murphy, « Schitt’s Creek »
Cynthia Nixon, « Ratched »

Meilleur acteur dans un rôle secondaire dans une série ou un téléfilm
John Boyega, « Small Axe »
Brendan Gleeson, « The Comey Rule »
Dan Levy, « Schitt’s Creek »
Jim Parsons, « Hollywood »
Donald Sutherland, « The Undoing »

Meilleur film dramatique
« Mank »
« Nomadland »
« The Father »
« Promising Young Woman »
« Les Sept de Chicago »

Meilleur film de comédie ou comédie musicale
« Palm Spring »
« Borat, nouvelle mission filmée »
« Hamilton »
« Music »
« The Prom »

Meilleure actrice dans un film dramatique
Carey Mulligan, « Promising Young Woman »
Frances McDormand, « Nomadland »
Viola Davis, « Le blues de Ma Rainey »
Vanessa Kirby, « Pieces of A Woman »
Andra Day, « The United States vs Billie Holiday »

Meilleur acteur dans un film dramatique
Chadwick Boseman, « Le blues de Ma Rainey »
Gary Oldman, « Mank »
Anthony Hopkins, « The Father »
Riz Ahmed, « Sound of Metal »
Tahar Rahim, « Désigné coupable »

Meilleure actrice dans une comédie ou une comédie musicale
Maria Bakalova, « Borat, nouvelle mission filmée »
Kate Hudson, « Music »
Michelle Pfeiffer, « French Exit »
Anya-Taylor Jor, « Emma »
Rosamund Pike, « I Care A Lot »

Meilleur acteur dans une comédie ou une comédie musicale
Sacha Baron Cohen, « Borat, nouvelle mission filmée »
James Corden, « The Prom »
Lin-Manuel Miranda, « Hamilton »
Dev Patel, « L’histoire personnelle de David Copperfield »
Andy Samberg, « Palm Spring »

Meilleur acteur dans un second rôle
Leslie Odom Jr., « One night in Miami »
Jared Leto, « The Little Things »
Bill Murray, « On the Rocks »
Sacha Baron Cohen, « Les Sept de Chicago »
Daniel Kaluuya, « Judas and The Black Messiah »

Meilleure actrice dans un second rôle
Amanda Seufried, « Mank »
Olivia Colman, « The Father »
Jodie Foster, « Désigné coupable »
Helena Zengel, « La Mission »
Glen Close, « Une ode américaine »

Meilleur réalisateur
David Fincher
Chloé Zhao
Regina King
Aaron Sorkin
Emerald Fennell

Meilleure chanson originale
« Speak Now » (« One Night in Miami »)
« Hear My Voice » (« Les Sept de Chicago »)
« Fight For You » (« Judas and The Black Messiah »)
« Io Si Seen » (« La vie devant soi »)
« Tigress and Tweed » (« The United States vs Billie Holiday »)

Meilleure musique de film
« La Mission »
« The Midnight Sky »
« Tenet »
« Mank »
« Soul »

Meilleur scénario
« Les Sept de Chicago »
« Promising Young Woman »
« Mank »
« The Father »
« Nomadland »

Meilleur film étranger
« Drunk »
« Minari »
« Deux »
« La vie devant soi »
« La llorona »

Meilleur film d’animation
« Soul »
« En avant »
« Les Croods 2 : Un nouvel âge »
« Voyage vers la lune »
« Le peuple loup »

 

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SAR La Princesse Lalla Hasnaa s’exprime, par visioconférence sur la tribune de l’Unesco pour « La Décennie des Océans » et rend hommage à SM le Roi Mohammed VI pour son grand engagement personnel et actif sur les questions climatiques et environnementales.

Remarquable et touchante allocution de SAR la Princesse Lalla Hasnaa par visioconférence, épidémie du covid oblige, pour un très grand événement dont le sujet lui tient à coeur : La Grande Bleue. La Présidente de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, grande ambassadrice de son pays dans divers domaines, dont la préservation du patrimoine environnemental et écologique à travers sa fondation et en mettant en lumière les grandes actions du Souverain sur le climat, l’environnement, le développement durable et les énergies renouvelables, s’est félicitée de « cette heureuse initiative qui reflète une prise de conscience du rôle des Océans dans notre histoire, et de leur importance pour le présent et le futur de l’Humanité », a ainsi introduit, Lalla Hasnaa, son discours sur la tribune de l’Unesco, ouverte à l’occasion du lancement de « La Décennie des Océans » et inaugurée par le Secrétaire général de l’ONU António Guterres, la Directrice générale de l’UNESCO Audrey Azoulay, le Prince Albert II de Monaco, le Président du Kenya Uhuru Kenyatta et la Première ministre norvégienne Erna Solberg, et clôturé par le président du Portugal, Marcelo Rebelo de Sousa.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa, lors de sa visite au Japon, dans une école primaire de Ritsumeikan à Kyoto, dans le cadre de l’engagement de Son Altesse Royale pour l’éducation des plus jeunes aux principes de la protection de l’environnement. Un voyage lors duquel, la Princesse engagée a été faite Docteur Honoris Causa.
Une ambassadrice du royaume à l'international et une mère dévouée à la cause de l'éducation des jeunes en milieu scolaire à l'écologie
Toute de noir vêtue, la divine princesse marque les esprits au pays du soleil levant par sa fraicheur et son sourire contagieux

La Décennie des océans, qui a débuté le 1er janvier 2021, est une initiative mondiale visant à approfondir les connaissances scientifiques sur la mer et à protéger la santé de l’océan. Son objectif est de soutenir la création des connaissances nécessaires pour protéger la biodiversité et le rôle central de l’océan dans la transition vers l’utilisation durable et équitable de ses ressources.

Un jour heureux pour la princesse de s’exprimer sur « la nature » et de témoigner de sa fierté de toute l’action de son frère, le Roi du Maroc, à hisser le royaume en tête des pays engagés pour la protection et le respect de la nature. « Au Maroc, je suis bien placée pour témoigner de l’engagement personnel et actif de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, qui a pris l’initiative de créer la Fondation que j’ai l’honneur de présider, sur les questions climatiques et environnementales », a témoigné la Princesse, appuyant sur « le leadership du Souverain en matière d’énergies renouvelables au Maroc qui constituent désormais une priorité essentielle ». « En tant qu’hôte de la COP 22 de Marrakech, le Royaume a apporté son appui déterminant à plusieurs initiatives, telle la « Ceinture Bleue » pour la pêche et l’aquaculture durable en Afrique », a-t-elle ajouté.

La princesse aux mains vertes, totalement vouée à la cause de l’environnement et à l’éducation et la sensibilisation des enfants en milieu scolaire, aux valeurs de l’écologie, entre autre pour le programme Éco-écoles et la réhabilitation entre autre de la Palmeraie de Marrakech, a relevé lors de son allocution, tout le potentiel des richesses marines que recèlent les océans qui reste encore en grande partie inconnu, qui requiert « une exploitation durable, responsable et équitable ». « C’est dans ce cadre que la décennie que nous lançons constitue une magnifique opportunité ». Lalla Hasnaa, n’a pas manqué de souligner l’importance de la valeur scientifique pour bien mener « Cette décennie permettra une solidarité scientifique mondiale dont notre continent, l’Afrique, a grand besoin ».

Voilà une autre action que la fondation de Son Altesse Royale va intégrer dans son riche programme, « la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement que je préside est à la fois fière et enthousiaste de rejoindre l’alliance de la Décennie pour les Sciences océanographiques. Elle prendra très à cœur son rôle et sa responsabilité dans cette Alliance ». La princesse a clôturé son discours en déclarant son total engagement à cette initiative, tout en remerciant les Nations Unies, « Nous porterons avec vous cette Décennie de savoir au service de nos Océans… pour le présent, et pour les générations futures ».

Le Roi, le royaume et l’ensemble du peuple marocain, sont fiers de compter dans la monarchie marocaine, une princesse aussi dévouée et active, dans son pays et dans le monde pour la cause de Dame Nature.

Si la Princesse est active dans diverses causes qui servent son pays au Maroc et à l’international, Lalla Hasnaa est également une sublime ambassadrice de l’habit traditionnel marocain qu’elle arbore avec grâce et élégance à toutes occasions, dans l’exercice de ses fonctions de diplomate et représentante de son frère Sa Majesté le Roi du Maroc. Ce caftan rouge éclatant, qui contraste avec le noir profond de sa chevelure, tirée impeccablement et son teint lumineux, lui sied à ravir à Son Altesse Royale qui avait honoré, en véritable muse du beau patrimoine marocain, si convoité et prisé de par le monde, sa visite en terre nippone en novembre 2018 et sa réception par le prince héritier du Japon, Nahurito.

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