Accueil Archives
Archives quotidiennes

mai 16, 2022

Mai 2022, Collectif des femmes des Médias 31C2. La Journaliste et Fondatrice de Yugen Holistic Health & Wellness prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées.

  • Quelle est votre sentiment sur le mouvement depuis sa naissance en mars 2022 ?

Je suis très fière de faire partie de ce mouvement car il faut comprendre que, oui, le féminisme est universel, mais quand il s’agit d’entrepreneuriat, il y a aussi une forte part de culture. Ce que Visage du Maroc et Hola! Maroc ont décidé d’entreprendre ensemble pour renforcer l’entrepreneuriat au Maroc est très inspirant. C’est très important de donner les outils, faciliter le réseau et d’obtenir le soutien. Je suis si fière en tant que femme vivant au Maroc de faire partie de ce projet.

  • Vous adhérez à la valeur d’encourager l’entrepreneuriat féminin comme principale cause du mouvement ?

En tant que femme entrepreneur qui a fondé deux sociétés, je comprends à quel point c’est magnifique et important de puiser dans la créativité et de la partager avec le monde, et bien entendu être soutenu financièrement. J’adore ce que font Hola! Maroc et Visage du Maroc pour les Marocains ici, de révéler toute cette créativité, c’est merveilleux de la faire briller.

  • Votre regard sur l’expression se mettre sur son 31 a-t-il changé alors ?

Cette expression a un peu changé pour moi. Elle a maintenant plus de valeur dans le sens où, nous les femmes quand on se maquille et on porte des vêtements, bien sûr nous le faisons parce que nous voulons nous sentir plus jolies, c’est un peu comme une sorte d’armure pour exprimer notre créativité et nous montrer de la façon avec laquelle nous avons envie d’être vu. Donc pour moi cette expression a un peu changé dans le sens où maintenant on va aller plus en profondeur dans ce qu’elle veut vraiment dire, bander les os, un sent un peu plus fort qu’avant.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Forte, intégrité, compatissante, indulgente, gentille, créative, génératrice, la vie, tels sont les autres traits que j’associe aux femmes.

« Les femmes sur leur 31 » est un mouvement féministe made in Maroc, initié par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc, d’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Un mouvement qui forme tous les mois de l’année à 31 jours, des collectifs de femmes journalistes et femmes des médias qui se mettent sur leur 31 en médiatisant l’action sociale par des challenges sportifs tous les mois à 30 jours de l’année, et cela tout en encourageant l’entrepreneuriat féminin dans 3 secteurs made in Maroc qui sont l’Artisanat, l’Agriculture, l’Environnement. Le mouvement est fier de mener cette aventure dans le cadre d’un Festival du Sport Solidaire, une sorte de fête du social au Maroc par le sport sous le label 24H/31.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Mai 2022, Collectif des femmes des Médias 31C2. La Journaliste Sport Arryadia prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées.

  • Quelle est votre sentiment sur le mouvement depuis sa naissance en mars 2022 ?

Déjà on parle d’un mouvement féministe alors je suis IN ; ensuite c’est un mouvement qui regroupe des journalistes et femmes des médias c’est top ; la cerise sur le gâteau c’est que le mouvement milite pour une noble cause, une cause caritative, qui dit mieux ! Je suis fière et honorée d’en faire partie et je tiens à saluer toutes les personnes qui ont contribué à la naissance de ce mouvement. Bravo!

  • Vous adhérez à la valeur d’encourager l’entrepreneuriat féminin comme principale cause du mouvement ?

Oui tout à fait, nous savons que la part des femmes entreprenantes est inférieure à celle des hommes et cela dans le monde entier, on ne peut rien y changer. Il est vrai qu’il y a de plus en plus de femmes qui se lancent dans l’aventure mais pour moi quand on parle d’entrepreneuriat, je pense tout de suite aux femmes divorcées, mères célibataires. Je souhaite aider ces femmes-là car le fait qu’elles soient indépendantes financièrement et c’est ce que prône le mouvement, va beaucoup les aider, d’autant plus que le mouvement est sur cette voie-là. C’est un but qui me tient à coeur.

  • Votre regard sur l’expression « Se mettre sur son 31 » a-t-il changé alors ?

Le chiffre 31 est spécial pour moi car ma fille est née un 31 décembre. C’est un chiffre qui me tient à coeur. L’expression en elle-même veut dire d’être tiré à quatre épingles, de porter des vêtements de marque, d’être bien maquillé pour une occasion particulière certes mais pour moi, il s’agit surtout d’être présentable, bien dans sa peau, dans sa tête, être à l’aise, mettre des vêtements confortables qui reflètent ma personnalité ; le fait de se faire belle pour une occasion particulière ne veut rien dire pour moi. « Se mettre sur son 31 » pour moi c’est se réveiller chaque matin, se regarder dans la glace et se dire que je suis une femme forte, courageuse et belle ; en talons, djellaba, mini jupe, en jean, en baskets, je suis belle ; mariée, divorcée, veuve, je suis belle ; grosse, maigre, jeune, âgée, peut importe on est belles, nous les femmes on est belles !

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Courageuses, indépendantes, passionnées, attentionnées, protectrices, douces, joyeuses, sexy, folles et le plus important, mon mari m’a demandé de ne pas oublier de citer un adjectif en citant les qualités de la femme marocaine, le mot n’existe qu’en arabe : « Neggara », oui on l’est, parfois on l’est, quand la situation l’impose on l’est! « Reda je le dis pour toi « On est Neggara ».

« Les femmes sur leur 31 » est un mouvement féministe made in Maroc, initié par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc, d’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Un mouvement qui forme tous les mois de l’année à 31 jours, des collectifs de femmes journalistes et femmes des médias qui se mettent sur leur 31 en médiatisant l’action sociale par des challenges sportifs tous les mois à 30 jours de l’année, et cela tout en encourageant l’entrepreneuriat féminin dans 3 secteurs made in Maroc qui sont l’Artisanat, l’Agriculture, l’Environnement. Le mouvement est fier de mener cette aventure dans le cadre d’un Festival du Sport Solidaire, une sorte de fête du social au Maroc par le sport sous le label 24H/31.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Des Chfinjates dans tous leurs états, voilà la belle idée de Majid Benslimane qui s’est lancé en plein covid dans le business du café et de la restauration, fortement animé d’un élan créatif et engagé pour le made in Maroc. Son restaurant sis quartier Bourgogne, est tout aussi minutieusement agencé et soigneusement décoré que le sont les petits beignets marocains que le chef façonne d’une dizaine de recettes. Bienvenue à Chfinja Masters.

  • Comment l’idée vous est-elle venue?

J’avais au fond de moi la conviction qu’il fallait optimiser cette monté en puissance des produits 100% Marocains en les modernisant. Après avoir abandonné l’idée d’un Churros Espagnol, je me suis directement accroché à cette autre idée que j’avais déjà discuté lors un repas familial. C’est resté dans ma tête et c’était la Chfinja Marocaine. Plus communément nommé : le Chfenj ou le Sfenj.
Ceci dit, en faisant des recherches, je n’ai trouvé aucune Innovation dans les recettes de la Chfinja, et ça m’a bloqué pendant un long moment. Jusqu’à ce que je me rappelle d’une citation : « si tu fais ce que tu as toujours fait de la même façon, tu n’obtiendras que ce que tu as toujours obtenu » … Et l’aventure commença.

  • La cuisine c’est de l’émotion, vous aimiez ces fameux beignets MADE in Maroc ?

Nous Marocains, avons presque tous la chfinja (chfenj/Sfenj) dans un coin de notre tête. Et Nous avons tous une petite histoire avec les « Chfinjates ». La mienne a été la chfinja bien trempée au miel beurré. C’est d’ailleurs la recette qu’on appelle : Chfinja au Miel recette maman. J’avoue que ça me comble de joie quand des clients nous disent que leur maman ou grand-mère leur faisaient la même chose.

  • La carte est bien riche, réinventer les Chfinjates c’est sans limites?

Vous l’avez bien dit. Il n’y a vraiment aucune limite à l’innovation. La chfinja qui est une sorte de beignet mais pas que, puisqu’on peut faire des Chfinja en recettes sucrées et salées, peut même se réinventer en chfinja burger, en Chfizza qui est la chfinja façon pizza ou encore la Chfinja perdue caramel beurre salée. Une cinquantaine d’autres recettes sont en cours de développement.

 

0 commentaires
0 PinterestEmail

Mai 2022, Collectif des femmes des Médias 31C2. La Journaliste et Attachée de presse prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées.

  • Quelle est votre sentiment sur le mouvement depuis sa naissance en mars 2022 ?

Quand j’ai vu que beaucoup de figures des médias que je connais avaient intégré le mouvement « Les Femmes sur leur 31 » le mois de mars, j’étais ravie. Ce sont des femmes méritantes depuis plusieurs années, elles donnent du leur pour donner la parole aux autres et là c’est elles qui donnent leur avis sincère, sur les feux des projecteurs, c’est une très bonne initiative. Et puis pour nous les médias qui soutenons toujours des causes, militer dans un but associatif et être sur le terrain, c’est excellent pour nous.

  • Vous adhérez à la valeur d’encourager l’entrepreneuriat féminin comme principale cause du mouvement ?

Bien sur que l’entrepreneuriat féminin me parle puisque moi-même je suis entrepreneur depuis mes 27 ans, grâce à mes parents qui avaient créé une entreprise et m’avaient jeté sur la scène, une agence de presse et de Relations Publiques. Je trouve que la femme tout autant que l’homme passent par les mêmes difficultés et ont les mêmes chances, cela dépend évidemment de l’expertise et l’expérience de chacun. Pour ma part, je n’avais pas une grande expérience en entrepreneuriat, je suis journaliste et juriste de formation et j’ai pu profiter de l’expérience de mon papa, que Dieu ait son âme. Alors Femme ou homme entrepreneur, il leur faut forcément à leurs débuts à la tête d’une entreprise, un mentor. Je n’ai jamais d’ailleurs souffert d’inégalités homme/femme lors de ma carrière.

  • Votre regard sur l’expression se mettre sur son 31 a-t-il changé alors ?

J’étais frustrée de ne pas avoir reçu la question « Est-ce que le 8 mars vous agace? », je me permets donc d’y répondre : Oui c’est une fête qui est devenue agaçante avec le temps avec une surenchère au niveau de la communication. Avant, les médias quand ils relayaient les événements spéciaux, ils avaient le soucis de filtrer l’information avant sa diffusion, j’encourage moi-même mes clients à communiquer lors de ces périodes spéciales. Le problème vient des réseaux sociaux où la communication est mal comprise pour la journée du 8 mars, tout le monde croit qu’il s’agit de parler promotion et cela n’a rien de valorisant pour la femme bien au contraire, cela la pousse à la surconsommation, à la frustration. Pour revenir à la question, une femme sur son 31 peut être une bosseuse, dynamique, sur un chantier mais en tout en restant sur son 31. Le terme veut dire être tiré à 4 épingles, mais alors sans opter forcément pour ce qui est cher mais plutôt sur ce qui est valorisant.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Battante, « multicasquettes », en étant sur tous les fronts : elle peut être Chef d’entreprise et rentrer chez elle préparer à manger pour ses enfants et les accompagner à l’école, elle est capable de beaucoup de choses à la fois, elle est polyvalente ; passe-partout est un mot qui lui sied à merveille car le foyer compte trop sur elle, son mari et ses parents aussi, je dirai que c’est une femme qui n’a pas de répit au quotidien.

« Les femmes sur leur 31 » est un mouvement féministe made in Maroc, initié par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc, d’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Un mouvement qui forme tous les mois de l’année à 31 jours, des collectifs de femmes journalistes et femmes des médias qui se mettent sur leur 31 en médiatisant l’action sociale par des challenges sportifs tous les mois à 30 jours de l’année, et cela tout en encourageant l’entrepreneuriat féminin dans 3 secteurs made in Maroc qui sont l’Artisanat, l’Agriculture, l’Environnement. Le mouvement est fier de mener cette aventure dans le cadre d’un Festival du Sport Solidaire, une sorte de fête du social au Maroc par le sport sous le label 24H/31.

0 commentaires
0 PinterestEmail

« La nuit est longue, le jour trop court », voilà comment commence « Rahat Lbal », la nouvelle chanson de Jihane Bougrine, composée et écrite par elle-même, qui parle, en ce mois de mai de la santé mentale, de bipolarité et de troubles mentaux. Le thème, le clip et l’interprétation sont un exemple parfait qui montre que l’art peut être beau et engagé et qui mieux que la belle marocaine auteure compositrice et interprète, première artiste marocaine à signer avec Universal Music Mena, pour livrer un son qui va porter sa voie(x) bien haut dans un bel appel à la prévention et aux dons à une association qui vient en aide aux familles des malades.

Mouna R’Miki, actrice et Jihane Bougrine

  • Pourquoi ce registre de la santé mentale ?

C’est un sujet qui me tenait à cœur depuis longtemps. Un membre de ma famille est atteint d’une maladie psychiatrique qu’on a diagnostiqué il y a 18 ans. Entre difficulté à trouver un médecin capable de donner une réponse, le refus de prendre les médicaments ou encore l’incompréhension liée à la maladie, nous avons passés des années difficiles. Mais rien comparé au malade et aux conséquences que le trouble a sur la vie des gens. La psychiatrie est encore tabou. Alors que les troubles peuvent être traités avec quelques médicaments et un suivi. Je voulais lever le voile sur ce mal aussi incompris que tabou encore.

  • L’art doit toujours être engagé pour une cause ou une autre ?

Toujours, non. Chaque artiste est libre de s’exprimer comme il l’entend. Mais c’est vrai que mes textes sont souvent engagement. J’écris comme je respire, comme je suis. L’art doit être à l’image de celui qui crée à mon sens. L’art doit être le reflet de l’âme.

  • Quel est le meilleur thème que vous aimez aborder dans vos chansons?

Il n’y a pas un thème en particulier. Je ne pense jamais au thème. Le sujet me vient en composant et en écrivant, je ne sais pas vers où je vais. Ou rarement. J’écris pour extérioriser quelque chose, pour exorciser même. Le thème s’impose de lui-même. Il y a forcément l’amour parce que la vie est amour. Mais il y a surtout la famille, la société, ce qui me touche, ce qui me fait rire ou pleurer. Ce que j’entend, ce que je ressens.

  • « Rahat Lbal » c’est la Darija et c’est résolument le meilleur langage artistique pour faire passer tous les messages?

Je pense, oui. Mais encore une fois, rien n’est calculé. J’écrivais en français pendant des années. En rentrant au Maroc, il y a 10 ans, j’écris mon premier texte en Darija. Je ne m’en sentais pas capable. Aujourd’hui, j’ai du mal à écrire dans une autre langue. Et oui, c’est plaisant que mes textes soient entendus et compris par le plus grand nombre.

  • Alors pour vous « Rahat Lbal » après autant de boulot c’est ou et quand?

Dans la tête et dans le cœur ! La tranquillité de l’esprit est un bien précieux. Je pense que ça vient souvent quand on a la chance de faire ce qu’on aime, quand on se lève le matin heureux d’aller travailler, fier d’aller changer les choses. Cette sensation d’être à la bonne place. D’être la meilleure version de soi. C’est pour moi la tranquillité de l’esprit, être aligné avec soi-même. Vivre de sa passion et aimer chaque seconde de sa journée. Hélas, « Rahat El Bal » dont je parle dans cette chanson, ne s’achète pas. Parce que l’esprit est brouillé par la maladie. C’est injuste mais encore une fois l’espoir est là, puisque un médicament peut tout régler. Être entouré par les bonnes personnes peut sauver des vies.

Le clip est signé du réalisateur Julien Fouré, qui signe sa troisième collaboration avec la chanteuse après « Madabya » et « Serek F’Bir, porté par l’actrice de talent, Mouna R’Miki, qui qui donne du corps et de l’âme au rôle, qui a du mal avec son image, le processus d’écriture, de création et à percevoir la magie de la scène. La belle lumière du clip est l’œuvre du Directeur de la photographie Mathieu de Montgrand. Un clip produit par Youssef Barrada des FreeMonkeyz et Sébastien Deflandre de l’Océan Vagabond. Chanson composée et écrite par Jihane Bougrine, Luth : Zakaria Masrour, Arrangement, mix et mastering : NYZK by Ayoub Toute, Montage image Soukaina El Jid VFX Imane Aghoutane Anas Samouh Étalonnage Guillaume Paoletti

0 commentaires
0 PinterestEmail
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter Lire Plus

Politique de confidentialité & de cookies
-
00:00
00:00
Update Required Flash plugin
-
00:00
00:00