septembre 1, 2022
La 79ème Mostra de Venise a levé son rideau ce 31 août 2022. Cinéma et glamour sont au rendez-vous de ce premier festival de l’année. Voici le top 10 des meilleures films qui concourent pour les prestigieux Lion d’Or et présentés hors compétition.
« White Noise » de Noah Baumbach avec Adam Driver et Greta Gerwig sur Netflix
Inspiré du roman « Bruit de fond », un film à la fois drôle et terrifiant, poétique et absurde, classique et apocalyptique, suit le quotidien d’une famille américaine contemporaine tentant de régler ses conflits tout en se débattant avec les mystères universels de l’amour, de la mort et de la possibilité du bonheur dans un monde où règne l’incertitude.
« The Whale » de Darren Aronofsky avec Brendan Fraser
Un film dramatique qui raconte l’histoire de Charlie, un professeur d’anglais souffrant d’obésité qui tente de rétablir ses relations avec sa fille pour une ultime chance de rédemption. (Allociné)
« Bardo Fausses chroniques de quelques vérités » de Alejandro Iñárritu
Un journaliste et documentariste mexicain réputé, de retour chez lui, traverse une crise existentielle. En effet, il doit affronter des questions liées à son identité, ses relations familiales, ses souvenirs délirants, mais aussi à l’histoire de son pays. Il cherche alors des réponses dans son propre passé pour assumer l’homme qu’il est devenu aujourd’hui. (Allociné)
«BLONDE» de Andrew Dominik avec Adrien Broody et Ana de Armas
Adapté du best-seller de Joyce Carol Oates, BLONDE est une relecture audacieuse de la trajectoire de Marilyn Monroe, l’une des icônes hollywoodiennes les plus atemporelles. De son enfance tumultueuse à son ascension fulgurante et à ses histoires d’amour complexes – de Norma Jeane à Marilyn –, BLONDE brouille la frontière entre réalité et fiction pour explorer l’écart de plus en plus important entre sa personnalité publique et la personne qu’elle était dans l’intimité. (Allociné)
The Eternal Daughter de Joanna Hogg avec Tilda Swinton
Un fil saisissant qui promet secrets de famille, mystères cachés, fantôme et manoir de famille… (Allociné)
«BONES AND ALL» de Luca Guadagnino avec Timothée Chalamet
Un film qui raconte la vie de Maren Yearly, une adolescente qui parcourt le pays dans l’espoir de retrouver son père. Elle espère ainsi comprendre pourquoi elle a tué bon nombre de ses amis car elle se contient pour ne pas repasser à l’acte. (Allociné)
«L’IMMENSITÀ» de Emanuele Crialese avec Penelope Cruz
Rome dans les années 1970, la famille Borghetti vient de s’installer dans un des nombreux nouveaux complexes résidentiels construits dans la capitale italienne. Malgré ce récent emménagement, au dernier étage d’un nouvel appartement avec vue sur toute la ville, Clara et Felice ne sont plus amoureux, mais n’arrivent pas à se quitter. Clara trouve un refuge à sa solitude en se concentrant dans la relation spéciale qu’elle a avec ses trois enfants. L’aînée, Adriana, encore inconnue dans ce nouveau quartier, se présente délibérément comme un garçon aux enfants, ce qui va pousser le lien qui unit encore la famille vers un point de rupture. (Allociné)
«TAR» de Todd Field avec Cate Blanchett
L’histoire de Lydia Tár, une chef d’orchestre largement considérée comme l’une des meilleures dans son domaine, et la toute première femme conductrice d’un grand orchestre allemand. (Allociné)
«THE SON» de Florian Zeller avec Hugh Jackman
Nicolas a dix-sept ans et semble avoir du mal à vivre. Il n’est plus cet enfant lumineux qui souriait tout le temps. Que lui est-il arrivé ? Et pourquoi ne va-t-il plus en cours ? Dépassée par les événements, sa mère ne sait plus quoi faire, et Nicolas demande à vivre chez son père. Ce dernier va tout faire pour tenter de le sauver et lui redonner le goût de vivre. Mais peut-on vraiment sauver quelqu’un d’autre que soi-même ? (Allociné)
«DON’T WORRY DARLING» d’Olivier Wilder, avec Florence Pugh, Harry Styles, Olivia Wilde
La chronique d’une communauté isolée dans le désert californien en plein coeur des années 1950, au sein de laquelle une femme au foyer voit sa vie être chamboulée. (Allociné)
Animal emblématique de la création Cartier, de la joaillerie à l’horlogerie, l’animal entre en scène chez Cartier dès 1914 sous la forme d’un motif tacheté sur une montre pour femmes, et c’est progressivement qu’il apparaît dans l’univers de la maroquinerie dont il décuple l’allure et le style. Figurative ou abstraite, la panthère devient l’occasion de motifs qui font intervenir le travail de la joaillerie et conjuguent – entre autres – le diamant, l’onyx et le saphir.
En 1925, une pochette affiche un fermoir au motif tacheté. Sur un autre modèle de 1960 en tissu lamé or, la présence du félin se dédouble sous la forme de têtes de panthère en saphir et diamant disposées aux extrémités d’un système de fermeture en or et platine. L’année suivante, Barbara Hutton commande à Jeanne Toussaint, Directrice de la Création chez Cartier, un sac orné d’un fermoir tigre en trois dimensions et d’un N en diamants, initiale de son heureuse destinataire, la princesse Nina Mdivani. Une création d’une éblouissante élégance qui révèle l’engouement de longue date de la Maison pour les fauves.
Le sac Panthère de Cartier
Ceci n’est pas un sac, c’est une attitude. C’est la définition en trois dimensions d’un statement* de style, à la fois nomade et urbain. En associant le cuir à l’animal emblématique de la Maison, le sac Panthère de Cartier réalise l’union de la maroquinerie et du savoir-faire joaillier et joue, autour de la panthère, l’opposition des contraires.
Volumes courbes et profilés
En premier lieu, il y a la sensualité et la rondeur, qui donnent au sac son volume généreux et rappellent la souplesse de l’animal en mouvement. Ni bord franc, ni couture apparente : tout est vu à l’aune de la fluidité, de la courbe et de la douceur.
Le fermoir gueule de panthère
Le féroce et le sauvage. C’est le fermoir du sac qui le dit, avec une gueule de panthère au design radical et graphique, nouvelle interprétation de l’animal emblématique de la Maison. Métal facetté et finitions dorées ou palladiées, architecture minimaliste aux lignes graphiques, le fermoir pose les codes : ce sera un sac d’allure, de personnalité et de caractère. Signature Cartier dès le premier regard, cette tête de panthère est réalisée en collaboration avec un sculpteur de Haute Joaillerie. Une architecture ultra-dessinée dont les artisans maroquiniers parent les parties planes de onze inserts en cuir qui donnent relief et perspective. Comme un clin d’œil, une contreplaque positionnée à l’intérieur dessine une tête de panthère stylisée. En tirant le rabat vers le bas, le fermoir se dégage et révèle l’intérieur, avec sa poche miroir signature.
Précieux jusqu’à la chaîne
La chaîne s’inscrit dans la continuité de cette vision joaillière. Ses maillons sont facettés à l’instar d’une pierre précieuse. Généreuse, elle permet deux fonctionnalités : un porté croisé et un porté épaule avec deux longueurs. Finitions dorées ou palladiées, elle est équipée d’une patte de cuir pour l’épaule, dont l’épaisseur rappelle la rondeur sensuelle du sac, pensée ici pour le confort. L’attention est portée au moindre détail, jusqu’au cliquetis des maillons entre eux.
Cuir grainé et intensité chromatique
Travaillé à partir des plus belles peaux choisies par sa designer, Marlin Yuson, le cuir du sac Panthère de Cartier est grainé. En format petit ou en version mini, la palette des couleurs est lumineuse et riche : noir, bleu marine, rouge, jaune pâle, blanc crème, mastic ou bleu pétrole.
« C’est par ce fermoir bijou qu’opère cette rencontre du sauvage et du précieux. Il synthétise l’expertise conjuguée des métiers de la joaillerie et de la maroquinerie et permet, à travers le dialogue des artisans, de faire avancer notre conception de de la maroquinerie. Comme une extension de la féminité, exigeante et raffinée. » Marlin Yuson, Directeur Création Accessoires & Maroquinerie
Les félins et les sacs Cartier
Animal emblématique de la création Cartier, de la joaillerie à l’horlogerie, la panthère règne aussi sur la maroquinerie. L’animal entre en scène chez Cartier dès 1914 sous la forme d’un motif tacheté sur une montre pour femmes, et c’est progressivement qu’il apparaît dans l’univers de la maroquinerie dont il décuple l’allure et le style.
Figurative ou abstraite, la panthère devient l’occasion de motifs qui font intervenir le travail de la joaillerie et conjuguent – entre autres – le diamant, l’onyx et le saphir.
En 1925, une pochette af che un fermoir au motif tacheté. Sur un autre modèle de 1960 en tissu lamé or, la présence du félin se dédouble sous la forme de têtes de panthère en saphir et diamant disposées aux extrémités d’un système de fermeture en or et platine. L’année suivante, Barbara Hutton commande à Jeanne Toussaint, Directrice de la Création chez Cartier, un sac orné d’un fermoir tigre en trois dimensions et d’un N en diamants, initiale de son heureuse destinataire, la princesse Nina Mdivani. Une création d’une éblouissante élégance qui révèle l’engouement de longue date de la Maison pour les fauves.
HANANE SARIN, UNE MAKEUP ARTIST PASSIONNÉE ET PASSIONNANTE
Passionnée, impliquée, perfectionniste… L’art de sublimer un visage n’a plus aucun secret pour Hanane Sarin. Make-up artist talentueuse, la jolie marocaine a réussi à se faire une place de choix dans le monde de la beauté au Maroc, à Paris, ou encore à Dubaï où elle exerce son job de rêve auprès de grandes célébrités ou de princesses d’ Émirats.
Aujourd’hui à la tête de son propre studio de maquillage à Paris et animatrice de masterclass avec les plus grandes marques de luxe du marché, Hanane Sarin raconte à Holà Maroc son parcours, ses inspirations et ses projets à venir !
D’où venez-vous ? Quel est votre parcours ?
Je suis Marocaine, née à Casablanca et originaire de Tafrouat. J’ai grandi en France en région parisienne, là où j’ai effectué toute ma scolarité de la maternelle jusqu’à l’obtention de mon Master 2. Je suis diplômée d’une licence en Droit et d’un master en Management. Durant ma scolarité j’ai vécu plusieurs mois aux Etats-Unis et en Chine à Shanghaï. Une fois diplômée j’ai été consultante en stratégie dans 2 cabinets de conseil : Accenture puis Ernst&Young, j’étais spécialisée dans les énergies et le secteur public. J’ai piloté plusieurs projets pour différents Ministères Français jusqu’en 2019 où j’ai décidé de quitter ma vie de cadre pour tenter de vivre de ma passion : L’influence et le maquillage.
Votre parcours scolaire et professionnel n’ont aucun rapport avec le monde de la beauté… Et pourtant c’est votre métier aujourd’hui… Comment est-ce possible ?
Je suis une autodidacte, une passionnée, j’ai appris par moi-même. Il y a des bases, des techniques essentielles à maîtriser mais de mon point de vue je perçois le maquillage comme un art. L’art de sublimer, chaque visage est pour moi comme une toile. Un maquillage est toujours unique et personnalisé. À chaque maquillage, je raconte une nouvelle histoire.
À quel moment de votre vie avez-vous eu ce déclic ?
Je crois que c’est la profession qui m’a choisi plus que je ne l’ai choisi. Lorsque j’étais étudiante, j’ai réalisé mes stages chez Sephora et Marionnaud, j’ai beaucoup aimé ce secteur d’activités et même si mes stages avaient pour but que je fasse des études marketing, du management et du benchmark, j’ assistais tout de même aux formations relatives à la présentation des produits auprès des conseillères de ventes. C’est là où j’ai commencé à connaître les différents types de produits qui existaient, leur utilité, etc…En parallèle de mon stage j’avais un petit job étudiant chez Sephora, j’étais conseillère de vente les week-end et je crois bien que c’est là où mon amour pour le maquillage et la beauté en général s’est envolé. Déjà très jeune je coiffais et maquillais mes soeurs et mes cousines, mes stages et mon job étudiant n’ont que confirmé mon intérêt pour ce milieu.
Cela doit demander beaucoup de courage de quitter son travail pour vivre de sa passion..
J’ai fait le choix de quitter mon poste de cadre et de consultante en stratégie pour le maquillage et l’influence parce que j’ai tout simplement fait le choix du coeur. J’avais de plus en plus d’opportunités dans l’influence, de belles marques me contactaient pour travailler pour eux, pendant plusieurs mois, années j’ai concilié les deux jusqu’à ce que je décide de faire un choix et d’ Opter pour le choix du risque et de la passion il y a maintenant 3 ans.
Quelle est, à votre avis, la qualité la plus importante chez un maquilleur ?
Dur dur d’en définir qu’une. Je vais tricher un peu et vous en donner 3 : L’observation, car chaque visage est différent, l’écoute, car il est très important pour moi d’entendre quels sont les envies et les goûts de nos clients. N’oublions pas que l’objectif premier est de les sublimer et qu’elles soient satisfaites, il faut prendre le temps d’écouter leur besoin et parfois aussi leur complexe pour réaliser une mise en beauté en osmose. Enfin, je dirais la rigueur parce qu’un beau maquillage se distingue par sa précision.
Quelles sont vos forces en tant que maquilleuse ?
Je pense que ma force première réside dans la parfaite maîtrise des produits. J’ai la chance de collaborer avec les marques les plus influentes et innovantes du marché. Je teste énormément de produits ce qui me permet de maîtriser parfaitement leur utilité, leur différence, d’identifier les bons et les moins bons. Je suis convaincue qu’un maquillage réussi c’est 60% de techniques et 40% de bons produits. L’un ne va pas sans l’autre. Ma deuxième force, je dirais la passion. Quand vous faites un métier par passion cela signifie que vous êtes dévoué, impliqué, perfectionniste, vous ne comptez pas vos heures, vous n’avez qu’une envie c’est faire et refaire sans que jamais cela ne s’arrête.
L’ennemi juré d’une maquilleuse ?
Pour ma part je dirais l’émotion et la transpiration. Quand votre cliente est émotive et qu’elle a tendance à pleurer facilement, le maquillage waterproof est votre meilleur ami ! Le deuxième point, je dirai la transpiration parce que la tenue d’un maquillage dépend beaucoup du type de peau de la personne mais aussi de sa capacité à transpirer facilement ou non.
Comment s’est déroulée votre première expérience professionnelle ? Où en êtes-vous aujourd’hui ?
Ma première expérience grosse professionnelle a été sur un plateau télé. J’étais très stressée, surtout qu’un maquillage pour un passage en TV n’est pas le même que pour un maquillage de tous les jours, il faut prendre en compte les lumières du plateau et donc accentuer le maquillage en conséquence. Je me sentais trop jeune et pas légitime d’être là d’autant plus que les autres maquilleurs présents sortaient tous d’école d’esthétique. Je suis consciente et tout s’est très bien déroulé, j’ai même été rappelé par la suite.
Aujourd’hui j’anime des masterclass avec les plus grandes marques de luxe du marché, j’ai ouvert mon studio makeup à Paris @sarin_studio où je forme et donne des cours d’auto-makeup et je crois que j’ai encore beaucoup à faire et à apprendre. Mon parcours s’explique par ma détermination parce que faire sa place n’est pas chose facile et malheureusement quand vous êtes auto-didacte encore moins mais j’aime suivre mon instinct et me dire que quand on veut on peut quoi que cela m’ en coûte en temps et en effort.
Où trouvez-vous votre inspiration principale ?
Mon inspiration n’est pas limitée à une chose. La nature m’inspire beaucoup, l’association des couleurs du ciel, sur certaines fleurs et même des poissons, j’observe et remarque des liaisons de couleurs auxquelles je n’aurais jamais pensé. La mode est aussi un secteur qui m’inspire beaucoup
Quels sont les artistes célèbres qui vous ont inspirés ?
Par leur parcours, les 3 personnes qui m’inspirent le plus sont : Huda Kattan, la fondatrice de Huda Beauy, Anastasia Soare, la fondatrice d’Anastasia Beverly Hills, Mario Dedivanovic, le maquilleur de Kim Kardashian. Notre point commun : Nous sommes tous auto-didacte. Quand j’écoute leur histoire, quand je vois leur parcours je me dis que tout est possible avec beaucoup de travail et de persévérance. D’un point de vue technique une de mes plus grandes inspirations est Hindash et bien d’autres parce que je n’aime pas qu’un style de maquillage mais une multitude selon la saison, mon humeur ou ma tenue.
Comment décririez-vous votre look signature et en quoi votre style vous distingue-t-il des autres maquilleurs ?
Je pense que mon look signature est le teint glowy. Le teint est pour moi particulièrement important dans un maquillage alors je me suis beaucoup perfectionnée sur ce point. J’adore les teints mattes, mais je trouve que les teints lumineux donnent plus de dimension au visage, ils apportent de l’éclat au visage et subliment votre peau comme si vous sortez de 2h de SPA. Je pense qu’il n’y a pas une façon de faire mieux qu’une autre. Chaque maquilleur a ses techniques et ses secrets. Me concernant je pense que ce qui me distingue est l’émotion que je mets dans la réalisation d’un maquillage et techniquement parlant je dirais le travail des fards à paupières.
Quels sont les trois outils de votre trousse à maquillage dont vous ne pouvez jamais vous passer ?
Le mascara, le crayon à sourcils et la poudre matifiante !
Quel est le conseil de beauté le plus important que vous puissiez donner aux hommes et aux femmes ?
Sans hésitation prendre soin de sa peau. Exfolier sa peau, l’hydrater et la protéger des UV. Je ne dissocie jamais le maquillage du soin. Je suis maquilleuse et pourtant les produits dont je parle et que partage le plus sur mes réseaux sociaux sont les produits de soins.
Quel est le secret du teint parfait ?
Je dirais une peau bien soignée et bien hydratée avant tout puis concernant le maquillage, le choix des bons produits et du bon dosage parce qu’en mettre beaucoup n’améliore pas nécessairement le résultat, bien au contraire.
Les profils beauté sur Instagram sont devenus une influence majeure pour l’industrie de la beauté – Est-ce que vous êtes devenus influenceuse pour devenir une référence dans ce domaine ? Avez-vous des favoris que vous suivez ou que vous voulez recommander à nos lecteurs ?
Je n’ai pas choisi l’influence pour gagner en visibilité dans le maquillage. Les deux se sont faits en même temps et très naturellement. Je partageais mes coups de coeur et mes expériences sur Instagram lorsque j’étais encore étudiante. Que ce soit du maquillage, des restaurants, des vêtements ou mes voyages. Étant passionnée de beauté, c’est naturellement le sujet dont je parle le plus à ma communauté. Dans mon cas j’ai décidé de me professionnaliser et de devenir maquilleuse parce que j’avais de la demande et des opportunités à saisir. C’est le maquillage qui m’a aidé à gagner en visibilité et à devenir influente aujourd’hui et non l’inverse. Deux de mes favoris sont @hindash et @nikki_makeup.
Avez-vous des conseils à donner à toute personne, à tout jeune, qui souhaite se lancer dans le domaine du maquillage professionnel ?
Je pense que le conseil le plus important à donner par rapport au business est d’être persévérant. Quant à la pratique je leur conseillerais de se maquiller tous les jours, d’utiliser leur visage pour s’entraîner, se perfectionner et de maquiller le maximum de personne car chaque visage est différent et que c’est uniquement comme ça que l’on gagne en technique.
Vous travaillez sur Paris et Dubaï depuis un certain temps… Quels sont vos projets pour le Maroc ?
Je rêverais d’accomplir bien plus au Maroc que je n’ai pu accomplir ailleurs. Le pays de mes origines, bien souvent de mes inspirations, un pays chaleureux où la beauté de la femme est une institution. J’aimerais également sublimer les femmes marocaines lors d’événements importants qui marqueront leur vie tel que le mariage mais également les célébrités et la famille royale. J’ai eu l’honneur de maquiller des princesses d’Émirats alors pourquoi pas celles de mon pays d’origine ? J’ai aussi pour ambition d’organiser une masterclass maquillage, aller à la rencontre de la communauté marocaine qui me soutient depuis plusieurs années sur mes réseaux sociaux. C’est un livre blanc où beaucoup de choses pourraient s’y inscrire, j’ai hâte d’y apposer mes premières lignes.