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janvier 31, 2023

D’après certaines sources, le prince Andrew a été invité à quitter la suite de Buckingham Palace qu’il occupe depuis des décennies. Les déboires du fils de la reine Elizabeth sont loin d’être derrière la monarchie britannique. 

Le prince Andrew et Sarah Ferguson, son ex-femme et mère de ses deux filles Béatrice et Eugénie d’York

Un an après l’affaire d’agression sexuelle prononcée contre le prince Andrew par l’américaine Virginia Giuffre, l’une des nombreuses victimes des crimes sexuels du financier américain Jeffrey Epstein, qui aurait été un ami du prince, le prince Andrew fait encore parler de lui et de l’intérieur de Buckingham Palace. Le jeune frère du roi Charles III a été invité à quitter les appartements du palais londonien qu’il occupait depuis maintenant plusieurs années. « Le roi a clairement indiqué que Buckingham Palace n’était pas un endroit pour le prince Andrew », a déclaré une source proche du New York Post. « D’abord, son bureau a fermé l’année dernière et maintenant ses dortoirs. ».

Le fils de la reine Elizabeth avait emménagé dans la suite dans les années 1980. c’était aussi l’endroit où les femmes de chambre du palais auraient été invitées à réorganiser sa collection d’ours en peluche tous les jours. « Andrew adorait avoir une suite à Buckingham Palace où il était non seulement préparé à la vie conjugale avec Sarah Ferguson, mais l’utilisait comme célibataire après son divorce », a lâché la source du tabloid.

Malgré la vie publique agitée et les déboires juridiques du prince Andrew, il resté proche de sa mère, la défunte Monarque l’aurait considéré comme son enfant préféré. Le père de Béatrice et d’Eugénie d’York que le prince a eu avec Sarah Ferguson, a été déchu de ses titres militaires et de ses fonctions publiques. Le prince de 62 ans s’était retiré lui-même de la vie publique après une interview calamiteuse qu’il a donnée en 2019, suite à son accusation pour violence sexuelle.

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A l’heure où les sociétés contemporaines se cherchent et cherchent de meilleurs équilibres pour assurer aux populations une vie saine et sereine, la psychologie ne cesse d’évoluer entre valeurs traditionnelles et réalités du nouveau monde avec au centre l’être humain, toujours et encore. Avec l’avènement de la pandémie du covid, un nouveau pas est franchi, menant les Hommes à un retour forcé à soi.

Sarah Elamri, thérapeute, passionnée par l’humain et formée aux sciences psychologiques et de l’éducation avec un master en psychologie clinique, vient d’éditer un livre intitulé « Un rendez-vous avec soi », un outil d’introspection qui propose des moments de ralentissement pour un retour à ce qu’il y a de plus profond en soi. « c’est en me déployant à d’autres horizons que j’ai pu véritablement nourrir cette quête de sens. De la tradition hellénique, en passant par le soufisme, jusqu’à la mystique juive, ces enseignements se sont révélés comme des éléments de complétude », déclare Sarah. « Depuis lors, cet éventail spirituel s’est imposé telle une véritable passion, qui maintient au sein de mon cheminement un équilibre entre spiritualités et sciences humaines ». La thérapeute répond à nos questions et nous livre en quatre vidéos de conseils précieux pour une bonne connexion à soi.

  •  Ecrire ce livre était une évidence ?

Le désir d’écrire ce livre émerge d’un très simple constat : de nos jours, avec nos rythmes de vie frénétiques, comment avoir le temps d’être présent à soi en conscience ? L’idée était de créer un outil d’introspection qui propose des moments de ralentissements quotidiens. Cet ouvrage se définit tel un espace où chacun a la possibilité d’initier ce retour à ce qu’il y a de plus profond en soi.  Une jonction entre théorie et pratique, le livre est construit tel un cheminement progressif sous forme d’un journal à remplir sur une durée de 6 mois.

  •  Comment traduire la notion de Nya du coach des lions ?

Je crois profondément au fait que toute réalisation, quelle qu’elle soit, n’est que la résultante de nos croyances les plus latentes. On retrouve cette idée dans à peu près toutes les traditions, le monde sensible ne serait que le reflet du monde intelligible. La notion de « Niya » peut être traduite comme un état d’esprit, la foi inébranlable que nos actes et nos désirs les plus profonds ne fassent en réalité plus qu’un. Cette énergie positive et fédératrice s’est d’ailleurs faite ressentir tout au long du mondial, en faisant raisonner le cœur des hommes jusqu’au bout du monde.

  •  Citez passage clé du livre

Extrait du livre : « Il a été constaté que l’Homme serait traversé par environ 60000 pensées par jour. D’où la nécessité de ne pas se laisser happer par chacune d’entre elles. Il existe des pensées récalcitrantes, source de souffrance et d’autres sublimées, porteuses de fluidité. Nous nous dirigeons vers là où résident nos pensées. Vers ce qu’elles expriment. De surcroît, nos actes raisonnent toujours avec leurs vibrations. Les polarités sont indissociables. L’une procède de l’autre, elles ne peuvent subsister l’une sans l’autre. Elles sont, de par leur alliance conflictuelle, le lieu où s’opère toute réalisation. L’Homme, en réhabilitant l’espace consacré à ses pensées, perpétue cet équilibre. En se laissant bercer par le rythme du jour et de la nuit, réside alors en lui l’unité parfaite. ».

 Trois conseils pour 2023

  • Se rappeler que l’on a tous la capacité de se renouveler à chaque seconde, la possibilité de réécrire une nouvelle page dans le livre de notre vie.
  • Cultiver le sentiment de joie en sublimant les moments les plus banals
  • S’entourer de personnes aimantes et se donner l’autorisation d’aimer la Vie de manière inconditionnelle.
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La commémoration de la Journée internationale pour la mémoire des victimes de l’Holocauste, a eu lieu à Casablanca, organisée au sein de la Synagogue Beth El, par l’Association Mimouna, le Conseil des Communautés Israélites du Maroc (CCIM) et le Centre d’Information des Nations Unies à Rabat,  en présence de nombre de personnalités qui ont salué le rôle majeur de SM le Roi, dans la diffusion des valeurs de paix, de tolérance et de dialogue inter-religieux, et les efforts du Souverain pour la préservation du patrimoine culturel et cultuel de la communauté juive marocaine et le renforcement de son rayonnement.

Les participants ont salué la vision Royale et les efforts déployés par SM le Roi pour la préservation du patrimoine judéo-marocain et la modernisation institutionnelle des structures de gestion des affaires quotidiennes des membres de la communauté juive, soulignant que la vision éclairée de SM le Roi a permis de renforcer les liens des Marocains de confession juive établis à l’étranger avec leur mère patrie. Les participants ont rappelé les actions des regrettés Souverains, Feu SM Mohammed V et Feu SM Hassan II, pour la défense et la protection des Juifs marocains contre la barbarie des nazis durant la colonisation française.

Le président de l’association, El Mehdi Boudra, a souligné les efforts de Feu SM Mohammed V pour la protection des Juifs marocains contre l’oppression sous le régime de Vichy, saluant le « courage de Feu SM Mohammed V, qui n’a pas cédé aux pressions des nazis ». Le Secrétaire général du CCIM, Serge Berdugo s’est remémoré les efforts colossaux du regretté Souverain Feu SM Mohammed V, qui s’est opposé aux visées du régime de Vichy lorsque le Royaume était sous occupation française et espagnole, rappelant que le Palais royal, en dépit de toutes les pressions qu’il subissait, veillait à la défense des droits des Marocains, toutes confessions confondues, et à la protection de leurs biens. La cheffe par intérim du Bureau de Liaison d’Israël à Rabat, Alona Fisher Kamm, a évoqué les dangers de la haine et du racisme,  mettant en relief les efforts de l’illustre Famille royale depuis des siècles pour la protection des Juifs marocains. Lambassadeur des États-Unis au Maroc, Puneet Talwar, a indiqué que Feu SM Mohammed V a fait preuve de courage face aux nazis pour protéger les Marocains de confession juive durant cette période difficile de l’histoire de l’humanité, relevant que la même démarche a été suivie par Feu SM Hassan II et SM le Roi Mohammed VI,  ajoutant que le Maroc constitue un “modèle à suivre” pour la région et le monde entier, d’autant plus que le monde assiste actuellement à un regain de certaines manifestations de haine et de violence, ce qui constitue “un danger auquel il faut faire face”. Nathalie Fustier, Coordinatrice Résidente du Système des Nations Unies pour le Développement au Maroc, a souligné le rôle distingué du Maroc dans ses efforts liés au dialogue interreligieux et à la lutte contre la violence et la haine entre les différentes religions. Quant à Michel Kichka, cinéaste et scénariste israélo-belge, a passé en revue ses dessins et écrits pour documenter cette étape de l’histoire de l’humanité des victimes de l’Holocauste et ce, à partir de l’expérience de sa famille, son père ayant été l’une des victimes de l’holocauste.

Des hommages exprimés face au ministre de l’Education nationale, du Préscolaire et des Sports, Chakib Benmoussa, au président de la Fondation nationale des musées (FNM), Mehdi Qotbi, au gouverneur de la préfecture d’arrondissements de Casablanca-Anfa, Aziz Dades, et à plusieurs étudiants et acteurs de la société civile.

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