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février 1, 2023

Le tournage du clip de la chanson officielle du Mondial des club qui se passe au Maroc depuis le 1er février, a largement animé les réseaux sociaux. Zineb Alaoui Mhamdi, manager et attachée de presse de Nouaman Belaiachi, un des artistes de la team formée par Redone, nous raconte les coulisses. « Les couleurs de notre drapeau marocain régnaient, la joie était au rendez-vous et le froid aussi ! Mais c’était sans compter sur la pluie qui a tout interrompu« . 

Du journalisme aux relations presse il n’y a qu’un pas à franchir résolument sur des estrades bien solides comme celles des Relations publiques ou de la production audiovisuelle. Voilà le bien joli parcours étoilé de la jeune Zineb Alaoui Mhamdi. A tout juste 27 ans, la Casablancaise est diplômée en journalisme et communication avant de mettre un pieds dans les médias dès 2016. De rédactions presse, elle plonge dans des médias électroniques avant d’arriver naturellement dans la radio pour devenir vite, animatrice de sa propre émission « la Playlist avec Zineb sur NRJ, et le TOP 40 sur NRJ. En plein covid, la production la titille et démarre ainsi pour elle une nouvelle aventure dans la production audiovisuelle où elle occupe la Direction générale. Brillante, intelligente et audacieuse, son carnet d’adresses d’artistes explose et lui fait mener des opérations ciblées qu’elle décide de gérer dans sa propre agence de relations presse et booking artistique « Zey Agency». Jamais les attachés de presse n’ont eu autant le vent en poupe et la petite Zineb murmure désormais à l’oreille d’une bonne poignée de stars made in Maroc à l’instar du chanteur marocain Nouaman Belaiachi, des créateurs web Moul Sawt, Salim Benmoussa et GlowByMimi et d’autres au rayonnement international comme ElGrandeToto, Salim Cravata, Manal Benchlikha, TiiwTiiw et même le grand Redone qui vient de signer la dernière chanson et clip du Mondial des clubs qui se passe actuellement au Maroc.

  • Vous étiez dans les coulisses du tournage du fameux clip tant attendu de la Coupe du monde des clubs, le stade de Rabat était en effervescence littéralement !

Oui c’était véritablement une fiesta ! Surtout quand tous les artistes se sont réunis pour tourner une séquence du clip. Les couleurs de notre drapeau marocain régnaient, la joie était au rendez-vous et le froid aussi ! C’était presque drôle, ou pas ! Il faut dire qu’entre chaque séquence, les artistes devaient porter leur manteau et l’enlever par la suite, tout cela en faisant comme si de rien n’était malgré le froid de canard au stade de Rabat. Nous avions une autre séquence à filmer le soir, et on était très motivés, d’autant plus que pour les artistes c’est un clip pour honorer le drapeau du Maroc. Mais c’était sans compter sur la pluie qui a tout interrompu. La séquence globale devait être filmée en plein air!

  • Depuis le Mondial Qatar et le sacre des Lions de l’Atlas, l’influence est devenue stratégique!

Oui, c’est vrai. Depuis le Mondial de football au Qatar, et les belles performances de nos lions de l’Atlas, l’influence au Maroc a pris une autre dimension, et les frontières entre l’art, le sport, la politique, la diplomatie se sont évaporées. L’influence est désormais considérée comme un outil plus global où les marques et les entreprises font abstraction de la nature des médias, pensent réseaux sociaux de plus en plus, adhérent au digital et s’ouvrent sur des champs plus divers. Le sport par exemple est un canal prédominant aujourd’hui au Maroc, surtout le football.

  • Gérer des relations presse pour Redone, c’est du lourd? 

J’ai depuis toujours été fan de Redone, comme tous les Marocains d’ailleurs et je l’ai connu à travers Nouaman Belaiachi pour ensuite avoir l’honneur et le privilège de mener des opérations de RP avec lui. C’est une personne très humble et surtout d’un très grand talent. Il n’a de cesse de hisser haut le drapeau marocain.

  • Comment devient-on manager de stars ou RP de stars ?

Il faut s’assurer des bases dans la communication, le journalisme, le management, ou même les relations publiques. C’est capital. Avoir des entrées dans l’industrie cinéma et musique pourrait vachement aider. Le management humain est tout aussi important et ma recette est simple il faut croire en quelqu’un sans jamais oublier de veiller à ce que ce dernier ait un certain feeling avec nous. Personnellement, je ne m’imaginais pas faire ce parcours, les relations presse sont devenues une passion. Gérer la carrière médiatique des artistes par exemple, organiser des conférences de presse, rédiger des communiqués de presse et les diffuser auprès des médias ou les partager avec des confrères et consoeurs, tout ceci, était devenu un pur plaisir, quant au management, l’expérience a beaucoup joué et mes deux années en tant que manager de « Signature Production » ont été et sont toujours un vrai challenge.

  • Il faut avoir l’étoffe d’une star pour manager une star?

Pas du tout. Réussir dans ce domaine, requiert plutôt beaucoup de créativité, un professionnalisme sur toute la ligne, un sens aigu de la communication, et du networking à revendre.

  • Quelle fut la première célébrité ou artiste qui vous a fait confiance ?

C’est Ghita Lahmamssi. Je travaillais à l’époque à Welovebuzz, et je gérais le contenu éditorial, quand elle a fait appel à mes services d’attachée de presse pour lancer son premier titre, lors d’un showcase inédit. Ce fut le début de ma carrière en tant que PR Manager.

  • Et quelle fut ou est toujours la grande star de votre réseau?

À mes yeux, ce sont toutes des stars, ou plutôt mes petits protégés médiatiquement.

  • Et celle qui vous appelle pour un oui et pour un non? et d’ailleurs quel serait le Oui et le non ?

Le créateur de contenu « Moul Sawt », de part notre relation très amicale, ou professionnelle. Depuis les débuts de notre collaboration, on se complète jusqu’au bout de nos idées. Nous devons absolument prendre l’avis de chacun.

  • Une belle photo avec Gad Elmaleh est épinglée sur votre profil, C’est un échantillon du gabarit des stars qu’il vous arrive de côtoyer ?

Depuis le début de mes pas dans ce domaine, j’ai rencontré énormément de stars, et de personnes qui m’ont réellement marquées. Des artistes nationaux comme internationaux… Des artistes dont j’étais fan, et d’autres que j’ai appris à admirer. Gad Elmaleh, est une star qui m’impressionne. J’étais tellement impatiente de le rencontrer. Et je remercie d’ailleurs ElGrandeToto pour m’avoir fait la surprise de ramené Gad à Signature Production, un bon dimanche, alors même que je n’en savais rien. D’ailleurs, il avait tourné une partie d’une émission de TF1 chez nous, aux studios. C’était un réel plaisir et un dimanche inoubliable. Merci GAD !

 

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Toujours en pleine visite aux Caraïbes, la princesse héritière des Pays Bas, accompagnée de ses parents découvre pleinement cette partie néerlandaise des Antilles lors d’un voyage intensément chaleureux et émouvant. Amalia-Catharina était ravissante lors de ses périples dans cet archipel d’outre-mer, naturellement casual et affichant lors d’une des visites, une magnifique pochette aux motifs Zellij. 

La page instagram de la famille royale des Pays Bas est en grande effervescence depuis ce 27 janvier, date d’arrive des rois de Hollande accompagnés de leur fille Catharina-Amalia. Des dizaines de clichés racontant le périple de la petite famille royale, ont été postés formant un bel album de découverte de cette contrée lointaine et paradisiaque. Plusieurs magnifiques photos illustrent un accessoire raffiné arboré par la princesse de 19 ans, qu’elle a choisi pour compléter une silhouette d’un vert fluo éclatant. La pochette brille de la belle palette de couleur du Zellij marocain dans un raffinement et une élégance singulière qui semble plaire fortement à la future reine de Hollande, jusqu’à l’emporter dans sa valise d’un des voyages les plus importants de l’aînée des rois des Pays Bas.

La pochette apparait tel un talisman dans la plus belle photo de la princesse, prise entourée des jeunes joueuses de football, toutes en maillots de leur team, couleur violette qui renvoie la même éclat que celui de la mosaique de Zellij.

 

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Un bon début d’année pour la famille royale des Pays Bas qui effectue un long voyage de deux semaines aux Caraïbes néerlandaises. Une visite chaleureuse et vitaminée pour toute la famille et pour la princesse héritière qui découvre pour la première cette partie des Caraïbes du Royaume. En compagnie de ses parents Willem-Alexander et Maxima, Catharina-Amalia découvre successivement Bonaire, Aruba, Curaçao, Sint Maarten, Sint Eustatius et Saba, dans un bain de soleil bien chaud, de culture, de nature, d’histoire, de sport et de belles rencontres avec les riverains.

L’île de Bonaire, cette jolie municipalité des Pays-Bas, commune des petites Antilles de 20 000 personnes, est la toute première étape de ce voyage qui a démarré ce 27 janvier par une réception officielle à l’aéroport international Flamingo-Bonaire à Kralendijk. La future reine de 19 ans a été accueillie aux cotés de ses parents, par le gouverneur de l’île. Les premiers clichés partagés sur la page instagram de la famille royale ont déjà donné le ton de cette visite qui prendra fin pour la princesse le 9 février.

La famille royale des pays bas en visite aux Caraïbes néerlandaises
Les cabanes des esclaves à Bonaire

Les cabanes d’esclaves

Un premier programme passionnant, ce 28 janvier pour la princesse qui, après une réception à la résidence du gouverneur, a visité cote à cote avec ses parents, les «cabanes d’esclaves» de Witte Pan, symbole d’un lourd passé de l’île. Ces cabanes ou huttes construites en 1850 où vivaient les esclaves qui travaillaient dans les étangs salés voisins pour collecter et expédier le sel. La petite tribu s’est ensuite rendue à une manifestation mensuelle Nos Zjilea dans le Parc Mangazina di Rei, où le patrimoine culturel et historique de Bonaire est dignement exposé, entre artisanat, objets d’art, mets typiques. Une jolie étape où la famille, après une promenade le long de la côte ouest de Bonaire, s’est mêlée aux habitants chaleureusement lors d’un déjeuner à Arawak, l’occasion pour la princesse de cuire du pain dans un vieux four en briques, d’échanger sur l’histoire de l’île et des thèmes d’actualité avec les habitants de Bonaire, tels que le changement climatique, le développement agricole et la réduction de la pauvreté et de faire quelques pas de danse pendant un beau spectacle d’enfants d’une école primaire. 

Le paradis marin des Mangroves de Bonaire

Au bout de leur déjeuner riche en émotion, la famille rejoint la plage de Sorobon, où le cortège royal se familiarise d’abord avec les différentes disciplines de la planche à voile, très pratiquée sur l’île et pour la princesse de donner le coup d’envoi d’une démonstration, avant de plonger dans la baie des Mangroves pour une excursion exceptionnelle dans ce paradis marin. Les forêts de mangroves de la baie de Sorobon protègent la zone côtière et ont un riche écosystème de poissons et de végétations marines. La soirée pour la petite famille royale se termine au marché culturel ‘Taste of Bonaire’ où Le roi, la reine et la princesse visitent les stands, goûtent des plats locaux, jouent au jeu de bingo antillais ‘Bon Ku Ne’ et dansent sur les rythmes locaux entrainants.

Le roi Willem-Alexander, la reine Maxima et leur fille la princesse Catharina Amalia sur les plages de Bonaire
Excursion aux Mangroves de Bonaire

Aruba où l’exotisme néerlandais 

Aruba est la seconde étape de la visite des rois de Hollande dans les Antilles néerlandaises. Bordant les côtes vénézuéliennes, elle est l’un des quatre pays du Royaume des Pays-Bas avec plus de 110 000 habitants. Une réception alors officielle avec garde d’honneur et les hymnes nationaux des Pays-Bas et d’Aruba a été réservée à la famille royale à leur arrivée à la Wilhelminaplein. Tout un cérémonial à l’arrivée au parlement d’Aruba, et au bâtiment du conseil des ministres (le Cocolishi) où les rois et leur fille ont marché entourés d’enfants qui chantent en néerlandais et en papiamento. Une après-midi artistique pour la famille au coeur de la ville de San Nicolas, jonchée de peintures murales colorées et comptant un musée de l’industrie. La promenade dans la ville se termine sans surprises par un carnaval de rue donné par des jeunes à l’ambiance street art. La famille royale ne pouvait oublier le parc national d’Arikok, qui couvre 20 % de l’île et qui abrite de nombreux animaux, arbres et plantes rares spécifiques à Aruba. La princesse découvre une plantation d’aloé vera de l’entreprise Royal Aruba Aloe, fondée en 1890 et qui cultive la plante et la transforme en produits de soin. La princesse a également découvert l’Université d’Aruba, se familiarisant avec l’éducation sur les petites îles, discutant avec des professeurs et des étudiants de durabilité et de l’éducation non universitaire à Aruba. Le sport n’est absolument pas en reste lors de ce périple aux Caraïbes néerlandaises pour la princesse qui visite le Compleho Deportivo Frans Figaroa, une académie de football qui forme de véritables talents. La princesse a posé avec des footballeuses et son père a procédé à un tirage au sort pour lancer un match d’exhibition. Du coté de la reine, Celle-ci a visité une ferme sur le terrain à Koolman Family Farm, un producteur de légumes à Aruba qui propose des formations et du coaching à l’entrepreneuriat dans le domaine de l’agriculture. La visite à Aruba se termine en fanfares et par un carnaval pour Willem, Máxima et Amalialors qui plongent dans le Festival Bon Bini à Fort Zoutman à Oranjestad : Nourriture typique, spectacles musicaux et un folklore de la danse des Caraïbes qui mettent en valeur la culture et l’histoire d’Aruba. 

Un vestiaire royalement exotique pour la reine Maxima

Il n’était pas question pour le reine Maxima de se défaire de ses belles toilettes lors de ce voyage aux Caraïbes néerlandais. La très élégante reine a marqué chaque étape par une silhouette concordante, sans jamais se séparer des ses robes aux lignes droites, de ses escarpins chics à talons et de ses chapeaux. Maxima de Hollande a arboré néanmoins un très joli turban sur la tête, hymne à l’exotisme des petites Antilles. Si Maxima était vêtue d’une robe magnifique, haute couture, d’un rouge éclatant avec son chapeau et des accessoires en or pour la réception officielle du gouverneur de Bonaire, la reine a porté une belle combinaison saharienne pour la longue balade au parc national d’Aruba. Le vestiaire d’Amalia elle, s’il était basique et tout confort avec des tailleurs casual et même des tennis, la jeune princesse de 19 ans, a toujours porté des sacs ethniques en fibres naturelles. Mais une pochette a fait sensation est celle que la fille du roi Willem-Alexander a portée au parlement d’Aruba, en cuir motif Zellij ! Une beau clin d’oeil au patrimoine marocain et à l’artisanat du royaume du Maroc.

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