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février 6, 2023

Voilà une belle et douce sortie cinéma en ce début février. « Zodi et Téhu », frères du désert… marocain. Zodi, un jeune nomade de 12 ans, qui découvre dans le désert un bébé dromadaire orphelin. Il le recueille, le nourrit, le baptise Téhu et devient son meilleur ami. La suite est un beau conte de Eric Barbier raconté dans une comédie d’aventure du réalisateur français qui sort en salles le 8 février 2023 et dont une grande partie est tournée au Maroc.

Zodi (joué par Yassir Drief) apprend par une vétérinaire, Julia (campée par l’actrice française Alexandra lamy), que Téhu est un coureur exceptionnel et qu’il peut rapporter beaucoup d’argent à sa tribu. Mais les qualités de son jeune dromadaire suscitent la convoitise de Tarek (incarné par Youssef Hajdi), le braconnier de la région. Pour éviter que Téhu ne soit vendu, Zodi décide alors de s’enfuir et de traverser le Sahara. C’est pendant ce voyage que Zodi affrontera Tarek, survivra à une tempête de sable et traversera la mer de sel avec pour ultime objectif d’inscrire Téhu à la plus grande course de dromadaires au monde, à Abu Dhabi. Avec l’aide de Julia, Zodi va se démener pour réaliser son rêve, faire de Téhu un champion et sauver sa tribu.

De gauche à droite l’acteur marocain Said Bey, le chanteur français Mika, Yassir Drief, l’actrice française Alexandra Lamy, le réalisateur Eric Barbier et l’actrice marocaine Nadia Benzakour

« C’est le producteur Farid Lahouassa, avec qui j’ai fait mes études de cinéma à l’IDHEC, qui m’a proposé ce sujet, affirme le réalisateur Eric BARBIER. Et cette proposition est tombée formidablement bien, parce que je rêvais depuis longtemps de faire un film que les plus jeunes pourraient voir avec plaisir. Pour un réalisateur, faire un film destiné aux enfants, c’est un peu comme revenir à l’origine de son amour du cinéma. C’est être à nouveau impressionné par la solennité du moment où les lumières s’éteignent dans la salle.», a déclaré le réalisateur qui ose avec ce film présenter une histoire familiale de gentils et de méchants en cette ère du virtuel.

Le film, en grande partie tourné au Maroc, compte une majorité d’acteurs marocains, à l’instar de Nadia Benzakour, Said Bey, Amine Ennaji, Yassir Drief et Youssef Hajdi. 

 

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Un peu d’été en plein hiver pour se préparer au printemps et ses premières douceurs estivales, ce tableau n’est possible qu’au Maroc, voilà pourquoi Green Mama a déjà ouvert ses portes au coeur de la ville verte de Bouskoura. Après sa toute première unité de la Corniche by Palmeraie, ce second a également mis ses petits plats dans les grands et plus encore. 

Après un premier Beach Mama de la Corniche by Palmeraie qui ravit tout au long de l’année les casablancais avec pieds dans les eaux de l’Atlantique ou presque, voici un second restaurant Beach Mama qui dresse ses tables lui, au coeur du Palmeraie Country Club de Bouskoura. Une ambiance bucolique chic qui donne l’eau à la bouche aux fins gourmets et aux amateurs de golf. Mais c’est sans compter sur l’ingéniosité des maitres des lieux qui ont fait de cette seconde unité de la marque de restaurants gastronomiques, un véritable concept de restaurant/piscine avec lac artificiel et sport nautique. En attendant de pouvoir goûter à ces plaisirs inédits dans la ville blanche, le restaurant offre une carte espagnole méditerranéenne variée des plus gourmandes avec les incontournables tapas espagnols, les paellas à partager, les parrillas à l’espagnol, pour finir en douceur avec les fameux desserts de la crème catalane au churros con chocolaté, le tout dans une ambiance éclectique et chaleureuse entre une décoration typique andalouse et une animation festive et conviviale avec Salsa les mardis, Soirée Oldie avec son DJ résident les mercredis et un live band opéré sur scène avec les meilleurs tubes du Jeudi à Samedi. Et parce que danser est un art qui s’apprend, le restaurant offre des cours de danse latine à ses convives.

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La créatrice de mode marocaine Fadila El Gadi, s’est vu décernée la médaille d’or des arts du Centre John F. Kennedy pour les arts en performance au titre de l’année 2023, des mains de Deborah F. Rutter, présidente du  Kennedy Center, lors d’une cérémonie tenue au Royal Mansour Marrakech. Une belle et prestigieuse distinction en reconnaissance d’un parcours d’exception, de son talent et de son engagement pour la communauté.

« Je suis très heureuse et honorée de cet hommage. Cela m’encourage à porter encore plus haut et plus fort les couleurs de mon pays et à préserver, à travers mes créations, cet héritage traditionnel tout en l’inscrivant dans la modernité »

Connue pour être une des plus grandes créatrices de mode de sa génération, Fadila El Gadi est surtout une femme self-made, qui doit sa carrière réussie à son travail acharné et à son dévouement, tout en restant humble, réaliste et ouverte. L’ascension de Fadila prend une autre dimension quand l’artiste décide d’ouvrir une école de broderie dans sa ville natale afin d’enseigner son métier et surtout de pouvoir transmettre ce savoir-faire aux prochaines générations d’artistes marocains » précise le management du Centre John F. Kennedy.

Décerné depuis 2005, cette médaille d’or est une façon de « reconnaitre la façon unique dont les artistes du monde entier enrichissent nos vies », a remarqué la présidente du Kennedy Center, Deborah F. Rutter. « Les lauréats de cette année non seulement représentent de nombreux aspects de l’histoire et de la culture dynamique du Maroc, mais démontrent comment nous pouvons utiliser l’art comme outil de diplomatie culturelle et créer une communauté internationale ».

Le Centre Kennedy, sis à Washington, décerne chaque année des prix, aux artistes interprètes et leaders dans le domaine des arts aux États Unis mais également à travers le monde. Cette année, Fadila El Gadi s’est vu attribuée la médaille d’or en reconnaissance de ses efforts et sa contribution aux arts à l’échelle mondiale. Il convient de rappeler que le « Kennedy Center » est considéré comme l’un des centres culturels les plus importants des États-Unis. Il a été inauguré en 1971, et est le fruit d’un partenariat public-privé. Le centre dispose d’unités dédiées à l’éducation artistique, avec pour mission d’encourager le développement des arts, ainsi que les échanges culturels entre les États-Unis et le reste du monde. Il accorde également une place importante aux productions étrangères dans le cadre de sa programmation artistique. Le centre reçoit plus de 1,5 million d’étudiants chaque année.

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La chanteuse américaine Beyoncé vient de rafler quatre prix aux 65è Grammy Awards hier 5 février 2023, devenant ainsi l’artiste la plus couronnée de l’histoire des récompenses de la musique américaine. 

Beyoncé était presque en larmes en recevant hier son premier Grammy Award à Los Angeles face à tout ce que compte comme stars, l’industrie de la musique et de la chanson. La diva a reçu quatre Grammys plutôt qu’un, devenant ainsi l’artiste la plus couronnée de tous les temps à la compétition américaine, dont la meilleure chanson R&B (« Cuff it »). Queen B qui confirme bien son nom détient désormais 32 récompenses de toute sa carrière, un record absolu, de gramophones. « J’essaye de ne pas être trop émue« , a-t-elle déclaré en remerciant ses parents, son mari Jay-Z et ses trois enfants. Beyoncé a été récompensée pour son album « Renaissance » sorti l’été 2022 et dont elle n’a pas reçu le prix du meilleur album raflé par Harry Styles pour « Harry’s House ». La sensation pop a chanté son succulent « As It Was », vêtu tout entier de franges scintillantes, lors d’une cérémonie qui a fait le plein de stars, de Jay-Z à Kendrick Lamar et Dr Dre, en passant par Stevie Wonder, Madonna, Lizzo et Mary J. Blige. La chanteuse de blues, folk et country, de 73 ans, Bonnie Raitt, a gagné le prix de la chanson de l’année avec « Just Like That », des mains de la Première dame américaine Jill Biden.
Une soirée glamour à souhait pour un tapis rouge mode très extravagant à l’image de la toilette de la diva qui était habillée par Olivier Rousteing. Un fourreau sensationnel qui flatte le statut de Queen de Beyoncé.

Pour rappel, Redone alias Nadir Khayat a reçu deux Grammy Awards en 2010.

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