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octobre 25, 2023

Au sein du clan Kardashian-Jenner, elle est la cadette audacieuse dont le nom résonne à l’échelle mondiale. Kylie Jenner, la jeune femme visionnaire qui a révolutionné l’industrie des cosmétiques avec Kylie Cosmetics, se lance maintenant dans un tout nouveau domaine : la mode. À seulement 26 ans, Kylie a annoncé fièrement le lancement imminent de sa première marque de prêt-à-porter, baptisée « Khy ».

Le mardi 25 octobre, Kylie Jenner a captivé le monde entier en partageant un aperçu de sa nouvelle collection sur son compte Instagram, provoquant un émoi frénétique parmi ses millions de fans. Vêtue d’un trench noir en cuir, assorti d’escarpins rouges éclatants, elle a incité ses followers à rester à l’affût. La légende qui accompagne la photo, « Bientôt disponible. Inscrivez-vous sur khy.com », a déclenché une frénésie sur les médias sociaux. Bien que la date de lancement officielle demeure un mystère, les adeptes de la mode peuvent d’ores et déjà s’abonner à la newsletter de la marque via le site web www.khy.com pour rester informés des dernières actualités.

Dans une entrevue exclusive accordée au Wall Street Journal, Kylie Jenner a révélé certains détails alléchants sur sa nouvelle ligne de vêtements. L’entrepreneure a déclaré que les articles ne dépasseront pas la barre des 200 dollars, rendant ainsi la mode chic et accessible à un public plus large. La collection de Khy mettra l’accent sur des pièces essentielles et intemporelles.

Le style vestimentaire de Kylie Jenner a évolué sous les feux des projecteurs depuis son adolescence. Récemment, la jeune maman de deux enfants semble avoir trouvé sa voie avec un style qui s’apparente au concept de quiet luxury. Un style sobre, aux tons neutres et monochromes, avec des pièces raffinées et épurées, reflétant ainsi son esthétique sophistiquée.

L’arrivée de Khy sur la scène de la mode promet d’apporter une bouffée d’air frais. Son ambition déclarée est de permettre à chacun de se sentir confiant et à la mode sans pour autant vider son portefeuille. On a hâte que la marque soit lancée !

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L’automne est une saison magique pour les amateurs de cuisine. Les marchés se remplissent de couleurs vives et d’arômes envoûtants, et parmi les stars incontestées de cette période, nous trouvons la citrouille, la châtaigne et le coing. Ces trois ingrédients offrent une variété de possibilités culinaires, des plats réconfortants aux desserts gourmands. 

La citrouille est un aliment riche en nutriments, les châtaignes sont une source d’énergie importante, et finalement, le coing est une source de vitamine C. Offrant une gamme de vitamines essentielles pour renforcer le système immunitaire, ainsi que du potassium et du magnésium pour la régulation de la pression artérielle, ces ingrédients, et notamment la citrouille, ont plusieurs avantages. Cela est aussi dû à leurs glucides complexes, surtout pour les châtaignes, et à leur rôle essentiel dans le renforcement du système immunitaire, mais également, dans le cas du coing, dans la santé de la peau et dans la formation du collagène.

La Citrouille : L’Étoile d’Automne

La citrouille, avec sa chair orange vibrante, est l’emblème incontesté de l’automne. Elle est polyvalente, et vous pouvez l’utiliser pour préparer des soupes crémeuses, des purées, des tartes et bien plus encore.

Recette : Velouté de Citrouille

Ingrédients 

– 1 citrouille moyenne, épluchée et coupée en dés

– 1 oignon, émincé

– 2 gousses d’ail, émincées

– 4 tasses de bouillon de légumes

– 1 cuillère à soupe d’huile d’olive

– Sel et poivre, au goût

– Crème fraîche (facultatif)

– Graines de citrouille rôties (pour la garniture)

Photo : Annie Spratt

Instructions 

Dans une grande casserole, chauffez de l’huile d’olive, faites revenir l’oignon et l’ail jusqu’à ce qu’ils deviennent translucides, puis ajoutez les dés de citrouille et faites-les cuire quelques minutes. Versez le bouillon de légumes, laissez mijoter jusqu’à ce que la citrouille soit tendre, puis utilisez un mixeur plongeant pour obtenir une purée lisse. Assaisonnez avec du sel et du poivre, et servez chaud, en garnissant de crème fraîche et de graines de citrouille rôties.

La Châtaigne : Petit Trésor d’Automne

Les châtaignes sont un trésor d’automne, souvent associées à des promenades en forêt à la recherche de ces délicieux fruits. Elles sont polyvalentes et peuvent être utilisées dans des plats salés et sucrés.

Recette : Purée de Châtaignes

Ingrédients

– 500 g de châtaignes pelées

– 1/2 tasse de lait

– 2 cuillères à soupe de beurre

– Sel et poivre, au goût

– Noix de muscade râpée (facultatif)

Photo : Waldemar

Instructions 

Faites cuire les châtaignes dans de l’eau bouillante pendant environ 20-30 minutes jusqu’à ce qu’elles deviennent tendres. Ensuite, égouttez-les et réduisez-les en purée à l’aide d’un mixeur ou d’un presse-purée. Dans une casserole, chauffez doucement le lait et le beurre, puis incorporez la purée de châtaignes. Assaisonnez avec du sel, du poivre et de la noix de muscade râpée. Servez cette délicieuse purée crémeuse en accompagnement de viandes rôties ou de volaille.

Le Coing : Le Trésor Méconnu

Le coing est un fruit méconnu, souvent utilisé pour préparer des confitures et des gelées. Cependant, il peut également être intégré à des plats salés.

Recette : Tajine de Poulet aux Coings

Ingrédients

– 4 cuisses de poulet

– 2 coings, pelés, épépinés et coupés en quartiers

– 1 oignon, émincé

– 2 gousses d’ail, émincées

– 1 cuillère à café de cannelle

– 1 cuillère à café de cumin

– 1 cuillère à café de miel

– 2 tasses de bouillon de poulet

– Huile d’olive

Photo : John Cameron

Instructions 

Assaisonnez les cuisses de poulet des deux côtés avec du sel, du poivre, de la cannelle et du cumin. Dans une grande poêle ou cocotte à feu moyen, chauffez un peu d’huile d’olive, puis faites dorer les cuisses de poulet pendant environ 5 minutes de chaque côté. Retirez-les de la poêle et réservez-les. Dans la même poêle, faites revenir l’oignon émincé et l’ail émincé jusqu’à ce qu’ils deviennent translucides, soit environ 2-3 minutes. Ajoutez les quartiers de coings dans la poêle et faites-les sauter jusqu’à ce qu’ils commencent à dorer légèrement. Réintégrez les cuisses de poulet autour des coings. Versez le bouillon de poulet sur le poulet et les coings, en ajoutant une cuillère à café de miel pour une touche sucrée. Réduisez le feu à moyen-doux, couvrez la poêle et laissez mijoter pendant environ 30 à 40 minutes, jusqu’à ce que le poulet soit bien cuit à cœur et les coings tendres. Ajustez l’assaisonnement en fonction de vos préférences en ajoutant du sel, du poivre, de la cannelle et du cumin si nécessaire. Servez les cuisses de poulet aux coings bien chaudes, garnies de sauce.

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Casablanca, la ville aux mille secrets, abrite parmi ses rues animées et ses quartiers dynamiques une figure emblématique de la quête du bien-être absolu. Une véritable experte dans l’art de prendre soin du corps et de l’esprit, Dr Sofia Bensouda, kinésithérapeute de renom, illumine la scène du bien-être depuis près de trois décennies.

Sa passion pour la kinésithérapie et sa mission inébranlable d’aider les autres l’ont élevée au rang de véritable icône de la profession. Loin des projecteurs, elle a tissé une réputation irréprochable en offrant une épaule compatissante et des soins d’exception à ceux en quête d’harmonie physique et psychique.

Dans cette entrevue exclusive, nous plongeons dans l’univers enchanteur de Sofia Bensouda, une femme dont la bienveillance et l’expertise transcendent les limites du temps.

  •  Pouvez-vous nous parler de vos débuts dans le domaine de la kinésithérapie et du bien-être ?

Mon aventure a commencé au Maroc, où j’ai obtenu mon baccalauréat. Dès mon plus jeune âge, j’étais attirée par la kinésithérapie, ce noble métier qui consiste à soulager les autres. J’ai ensuite poursuivi des études universitaires en kinésithérapie et rééducation, pour me spécialiser ultérieurement dans le bien-être et l’amincissement. Dès le départ, j’ai compris que la santé et le bien-être physique et psychique étaient indissociables. En fin de compte, être en bonne santé passe par le bien-être physique, et lorsque l’on se sent bien, le psychisme suit naturellement.

  • Pourquoi  vous spécialiser dans le bien-être ?

 En observant les femmes autour de moi, j’ai réalisé qu’elles traversaient souvent des périodes difficiles, que ce soit avant ou après l’accouchement, pendant la ménopause, ou d’autres moments de leur vie. Ces périodes peuvent être source de souffrance, tant sur le plan physique que psychologique. J’ai compris qu’il était essentiel d’apporter notre contribution pour soulager ces femmes, d’autant plus que les moyens et les techniques pour le faire existaient déjà.

  • Vous avez déjà une incroyable carrière de 27 ans dans ce domaine. Pouvez-vous nous parler de l’évolution de l’industrie du bien-être au fil des années ?

 C’est incroyable de voir comment l’intérêt pour le bien-être s’est développé au fil du temps. Autrefois, il était principalement réservé aux femmes, mais aujourd’hui, c’est devenu une préoccupation majeure pour tout le monde, quel que soit l’âge ou le sexe. Les avancées technologiques ont également joué un rôle crucial. Auparavant, les traitements se limitaient souvent à des massages manuels, parfois douloureux et inefficaces. Aujourd’hui, nous disposons de technologies de pointe qui donnent des résultats bien plus probants, notamment pour des problèmes comme la cellulite ou de relâchement de la peau. Le bien-être est devenu une préoccupation majeure pour tout le monde, car il a un impact direct sur la performance au travail, dans le couple et dans la vie en général. Une femme peut être radieuse et épanouie, même à l’âge de 50 ans. 

  • Parlez-nous un peu de vos méthodes. Quelles sont les avancées les plus récentes dans le domaine du bien-être que vous utilisez dans votre pratique ?

Je veille toujours à rester à la pointe de la technologie en participant régulièrement à des congrès et des formations au Maroc ou à l’étranger. L’une de nos dernières techniques est l’utilisation d’ultrasons focalisés et de la radiofréquence diathermie, qui donnent des résultats spectaculaires pour traiter notamment le relâchement cutané. Nous utilisons également la technique des ondes magnétiques fonctionnelles, comme avec la machine TESLA FORMER, qui est présente dans le monde entier, y compris à Casablanca. Notre objectif est de rendre ces avancées accessibles à tous.

 Sofia Bensouda, radieuse aux côtés de son équipe et de sa ravissante fille Yasmine, dans l’élégant cadre de son cabinet situé au 223 Boulevard Zerktouni, à Casablanca. Une fusion parfaite entre professionnalisme et élégance

  • Pouvez-vous nous parler d’un cas de transformation qui vous a particulièrement marquée ?

Certainement, il y a un cas qui reste gravé dans ma mémoire. Une patiente d’environ cinquante ans, qui était plongée dans une profonde dépression, mal dans sa peau, et avait perdu tout intérêt pour elle-même. Elle traversait des difficultés dans son mariage et était éloignée de ses enfants. Nous avons élaboré un programme de soins spécifique pour elle, et elle a eu le courage de le suivre avec détermination. Nous l’avons constamment encouragée tout au long de son parcours. Et je peux vous assurer que le changement a été radical. Elle a non seulement retrouvé sa confiance en elle, mais elle a également gagné des années de bonheur dans sa vie de femme. Je continue de la suivre dans le cadre de la consolidation, pour maintenir les résultats obtenus. Elle est aujourd’hui une personne sublime, rayonnante de bonheur et d’épanouissement.

  • Par quoi commencez-vous avant de débuter une cure avec un(e) patient(e) ? 

Le processus commence par une première consultation au cours de laquelle nous effectuons un bilan interrogatoire approfondi. Nous examinons également les aspects psychologiques, notamment les addictions alimentaires, la boulimie,.. etc, afin de mieux comprendre le patient. De plus, nous réalisons un bilan métabolique pour évaluer par exemple la rétention d’eau et les taux de matières grasses. Cette approche globale nous permet de fournir des conseils personnalisés pour un résultat optimal. Nous collaborons également étroitement avec des nutritionnistes, des psychologues, des psychothérapeutes, voire même des psychiatres et des coachs. Cela nous permet de mieux comprendre les besoins de chaque patient.

Vous avez mentionné que le bien-être est désormais accessible au Maroc. Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ?

Absolument, tout est désormais accessible au Maroc. Comme beaucoup, dès qu’une nouvelle technique émerge, je m’empresse de m’y rendre pour la découvrir. Il fut un temps où seule une petite catégorie de patients avait les moyens de se déplacer à l’étranger pour prendre soin d’eux, mais cela fait désormais partie du passé. Nous avons tout ce dont nous avons besoin ici, au Maroc. 

  •  Avez-vous des conseils pour nos lectrices en matière de bien-être ?

 Bien sûr ! Mon premier conseil serait de faire de l’exercice, de manger sainement et de faire de votre santé une priorité absolue. Prendre soin de soi ne devrait pas être un luxe, mais une nécessité. Il est important de se fixer des objectifs  et de prendre le temps de penser à soi, de s’étirer chaque jour et de bien s’hydrater. N’oubliez pas d’appliquer des crèmes hydratantes sur les zones qui en ont besoin, car la beauté s’entretient au quotidien. En fin de compte, il faut avoir le courage, la volonté et le désir de changer, car c’est en prenant soin de nous que nous pouvons vraiment donner le meilleur de nous-mêmes.

  • Votre vie est bien remplie ! Comment parvenez-vous à jongler entre votre vie personnelle et votre vie professionnelle ? 

Jongler entre ma vie personnelle et ma vie professionnelle n’est pas toujours facile, mais j’ai trouvé des moyens de créer un équilibre. Le sport et le yoga jouent un rôle crucial dans cette équation. Dès le matin, je suis fidèle à mon programme. Je tiens à remercier mon mari, qui est incroyablement compréhensif et présent à mes côtés. Mes enfants ont grandi dans ce milieu, ils ont toujours été attentifs à mes discussions en fin de journée, comprenant pleinement mon engagement.

Docteur, maman et épouse comblée, pour DR Sofia Bensouda, la clé du bonheur et de l’équilibre se trouve dans le bien-être et la confiance en soi. « Se sentir bien dans sa peau, c’est sans aucun doute la base pour être heureux dans la vie… »

  • Il semblerait que vous ayez transmis cette passion pour la médecine à vos enfants qui suivent le même chemin que vous… 

Mes enfants ont toujours été proches de moi, ils ont même arboré la blouse blanche dès leur plus jeune âge. Ils ont écouté attentivement mes récits quotidiens, comprenant ainsi ma vocation. Aujourd’hui, quand je leur demande pourquoi ils ont choisi la médecine, leur réponse est unanime : « Maman, nous voulons suivre tes traces, nous voulons aider les autres. » Cette envie d’aider leur prochain fait désormais partie intégrante d’eux.

Portrait de la famille Zouiten lors de la cérémonie de remise de diplôme de Docteur Yasmine, la fille aînée de Sofia Bensouda, désormais résidente en  hématologie, une occasion empreinte d’élégance et de fierté.

  • Une belle transmission de valeurs. Votre mari semble jouer également un rôle essentiel dans votre vie…

 Mon mari est mon pilier. Bien qu’il ait sa propre carrière et ses engagements, il est toujours là pour m’aider lorsque j’en ai besoin. Sa présence me permet de voir plus grand, d’avoir des projets ambitieux et de poursuivre dans cette voie.

  • Parlons un peu de l’avenir. Avez-vous des projets à venir dans le domaine de la médecine et du bien-être?

Absolument, nous sommes actuellement en train d’étudier la possibilité d’ouvrir de nouveaux centres au Maroc. Nous souhaitons inchallah continuer à offrir nos services de qualité et à répondre à la demande croissante de soins de santé et de bien-être.

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Deux jeunes talents illuminent l’héritage marocain avec des créations empreintes d’amour et de tradition. Une galerie dédiée au design et au savoir-faire marocain ouvre ses portes à Casablanca.

L’exposition « MAROC MON AMOUR » de Hind Kharifi et Nadia Berriss à la Galerie H

La Galerie H, un espace du Groupe Holmarcom dédié au design, a annoncé sa 7ème exposition intitulée « Maroc, mon amour », mettant en vedette deux jeunes talents prometteurs du design marocain, Hind Kharifi et Nadia Berriss. Cette exposition, qui se déroule du 31 octobre 2023 au 7 septembre 2024, est une célébration de l’amour profond que ces créatrices portent pour le Maroc, à travers des créations inspirées de récits personnels, de souvenirs précieux et de traditions ancestrales. La Galerie H considère que la création marocaine puise sa force dans l’héritage et les traditions du pays, et elle est déterminée à soutenir les jeunes designers qui incarnent cette vision. Ces designers sont perçus comme les gardiens de l’identité culturelle marocaine, capables de proposer une perspective nouvelle et engagée inspirée de notre patrimoine.

Hind Kharifi dévoile son univers d’enfance avec sa collection « Mémoires enchantées », capturant l’insouciance et les rêves qui ont façonné son identité de designer. De son côté, Nadia Berriss met en valeur le patrimoine marocain avec sa collection « Patrimoine éternel », démontrant comment l’héritage marocain peut s’harmoniser avec la modernité. Son travail sert de plaidoyer pour la transmission du savoir-faire local et des traditions marocaines. En plus de l’exposition, la Galerie H a révélé un nouvel espace qui met en avant plusieurs designers qui ont participé à des expositions antérieures. La Galerie H, située à Casablanca, est le flagship de l’engagement du Groupe Holmarcom en faveur des créateurs marocains. Elle offre un espace d’exposition-vente et un concept-store dédié au design, créant ainsi un environnement inspirant pour mettre en lumière le savoir-faire marocain en matière de création.

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L’agence Tendansia nous invite à un voyage dans le temps avec « PIAF », un spectacle qui incarne la poésie d’une époque révolue, tout en préservant l’héritage d’une icône. Le Maroc s’apprête à s’enflammer au son de la Môme, du 15 au 18 novembre, offrant une soirée d’émotion inoubliable. 

« Ce spectacle est né de mon admiration profonde pour Edith PIAF (…) En recréant son dernier concert à l’Olympia en 1961, nous offrons au public la chance de voyager dans le temps, de revivre la magie de cette époque légendaire » – Nathalie ROMIER 

Sous les étoiles scintillantes de la nuit marocaine, une promesse d’émotion attend les âmes sensibles, une évasion dans le passé pour les amoureux de la chanson française. L’agence Tendansia, telle une étoile filante dans le firmament du spectacle vivant, annonce avec fierté la naissance de « PIAF » . Un hommage, un doux murmure au vent et une réminiscence des temps anciens.

Dans ce voyage intemporel, Nathalie ROMIER, artiste d’exception, revêt la robe de la légendaire dame en noir, se métamorphosant en Edith PIAF elle-même. Une danse entre le passé et le présent, elle tisse une toile d’émotion, capturant l’essence de l’inoubliable icône. Loin des imitations vides, elle se fait le reflet d’une époque révolue, offrant au public le privilège de rencontrer le mythe. Dans l’écrin mythique de l’Olympia, en 1961, un moment divin se produisit. La salle, au bord de l’abîme, fut sauvée par l’appel désespéré d’Edith PIAF. Son interprétation magistrale de Non, je ne regrette rien reste gravée dans l’histoire, permettant à l’Olympia de renaître, tel un phénix des cendres. Ce spectacle unique est un hommage vibrant à cet instant historique, une invitation à revivre l’âme de cette époque révolue.

Ce spectacle est l’occasion de plonger dans l’émotion et la magie de la Môme aux côtés de Nathalie ROMIER dans PIAF. Le tapis rouge, les paillettes, et un code vestimentaire « Classy Black » promettent une soirée exceptionnelle. Ce show aura lieu le 15 novembre au Théâtre Bahnini de Rabat, le 16 novembre au Studio des Arts Vivants de Casablanca, et le 18 novembre au Meydene de Marrakech. L’Agence Tendansia, gardienne de la magie du spectacle vivant, s’engage à offrir une expérience de qualité au public marocain. Par ses collaborations fructueuses avec des artistes de renom, elle crée un univers artistique éclectique et captivant, où émotion, humour et émerveillement se rencontrent pour créer des souvenirs inoubliables. PIAF est le reflet de cet engagement, un voyage à travers le temps et l’émotion et une offrande à l’âme mélomane.

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La 23ème édition du Festival National du Film de Tanger a pris d’assaut la scène cinématographique marocaine, offrant une vitrine exceptionnelle pour les talents locaux. Avec 45 films en compétition, cette année témoigne d’une variété éclatante d’œuvres allant des longs métrages de fiction aux courts métrages et aux documentaires.

Des films de Adil El Fadili, Latifa Ahrar et Hicham Ayouch sont en compétition durant la 23ème édition du Festival National du Film de Tanger.

Le Festival National du Film de Tanger est un événement cinématographique majeur au Maroc, mettant en lumière le talent des cinéastes nationaux et offrant une plateforme pour la diffusion et la reconnaissance de leurs œuvres. La 23ème édition de ce festival est marquée par une sélection de 45 films en compétition, couvrant différentes catégories, notamment les longs métrages de fiction, les courts métrages, et les documentaires. Les sélections ont été réalisées par des commissions de sélection composées de personnalités éminentes du cinéma marocain. Outre les compétitions, le Festival National du Film de Tanger a réservé un espace pour honorer des personnalités qui ont contribué de manière significative au cinéma marocain. Cette édition rend hommage à la scénariste et comédienne Fatema Loukili, ainsi qu’aux réalisateurs Latif Lahlou et Abdelkader Lagtaâ. Ces professionnels du cinéma ont marqué l’industrie par leur travail acharné et leur dévouement, laissant une empreinte durable dans l’histoire du cinéma marocain.

La compétition de longs métrages de fiction a vu la sélection de quinze films, chacun apportant sa propre vision et son récit à l’industrie cinématographique marocaine. Parmi les films en lice, on trouve des œuvres telles que Abdelinho de Hicham Ayouch, Le bleu du caftan de Maryam Touzani, et Les damnés ne pleurent pas de Fyzal Boulifa. Chaque film représente un travail acharné, une créativité et un dévouement à l’art du cinéma. Pour les longs métrages documentaires, la compétition présente une variété de sujets et d’approches cinématographiques, mettant en lumière des questions sociales, culturelles et historiques. Parmi les quinze films en compétition, et Bayt Al Hejba de Jamila Annab, Défi de femmes de Loubna Elyounssi, ainsi que Les gardiens de la mémoire de Said Belli sont des exemples à noter. La compétition des courts métrages a également retenu l’attention avec une sélection de quinze films mêlant fiction et documentaire. Ces films captivent par leur capacité à raconter des histoires puissantes et émouvantes en un laps de temps limité. Parmi les films en compétition, on peut citer Sur la tombe de mon père de Jawahine Zentar, Sahara mon amour de Latefa Ahrrare, et No Key de Walid Messnaoui.

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Dans l’écrin mystique de la médina de Marrakech, un lieu d’exception s’érige, où l’histoire se marie harmonieusement au luxe, où la tradition fusionne avec la modernité, et où chaque détail conte une saga vieille d’un siècle : La Mamounia. Récemment, ce joyau architectural a célébré son centenaire avec une élégance incomparable. Cette célébration, véritable poème d’amour à la lumière, à la musique et à l’art, a transformé chaque étoile dans le ciel en témoin de l’extraordinaire épopée de cet établissement légendaire. Des festivités inoubliables où le passé a dansé avec le présent, venant ainsi s’inscrire dans l’histoire intemporelle de La Mamounia.

À l’occasion de son centenaire, La Mamounia a fait peau neuve. Sous la direction des designers renommés Patrick Jouin et Sanjit Manku, l’établissement a subi une métamorphose extraordinaire, combinant habilement l’héritage du passé avec les touches modernes de nos jours. Leur vision audacieuse a transformé le lobby en un espace resplendissant, mettant en vedette le majestueux Chandelier du Centenaire. Inspiré des bijoux traditionnels tamazight, ce lustre monumental ajoute une touche de féminité berbère à l’atmosphère du palace. L’âme de ce lieu emblématique a été préservée tout en étant sublimée par la modernité. Chaque lueur de ce lustre monumental raconte l’histoire d’une femme berbère, évoquant des siècles de grâce et de mystère.



Les festivités du centenaire ont pris vie dans un ballet d’élégance et de charme. Du 4 au 8 octobre, cette légendaire « Grande Dame » a ouvert ses portes, révélant une ère nouvelle de splendeur et d’exclusivité. Le point d’orgue de ces célébrations grandioses a été la soirée du 7 octobre, où 2000 invités triés sur le volet, des personnalités du monde de la mode, de la culture et des affaires, se sont rassemblés dans une ode à la solidarité. 

Le spectacle s’est ouvert sur un show de danse à couper le souffle, orchestré par le renommé chorégraphe international Sadeck. Pas moins de 60 danseurs locaux ont envoûté le public avec leur synchronisation parfaite.

Le virtuose du piano, Sofiane Pamart, a captivé l’auditoire avec ses mélodies enchanteresses, accompagné de la voix envoûtante de la chanteuse Oum, élevant l’hymne national marocain avec beaucoup d’émotion. Entre les performances, un tableau fusion berbère du poète Moussa dialoguant avec Cherifa a ajouté une touche de poésie à la soirée. Ahmed Soultan a ensuite envoûté l’auditoire avec un chant en berbère, français et anglais, tissant un pont musical entre les cultures. 

L’apothéose de cette soirée mémorable a été marquée par le show de la star internationale Mika, déversant son énergie contagieuse dans une performance inouïe. L’artiste pop britannico-libanais a fait chanter et danser la foule. Mais il n’était pas seul. D’autres artistes ont mis le feu toute la soirée, contribuant à faire durer la fête jusqu’au bout de la nuit.

Le clou du spectacle a été le ballet majestueux de 500 drones illuminant le ciel de Marrakech. Dans un enchevêtrement de lumières scintillantes, les drones ont dessiné différentes figures, rendant hommage à l’âme de la ville et à l’histoire glorieuse de La Mamounia. Chaque mouvement a été synchronisé avec une précision fascinante, créant une chorégraphie céleste qui a laissé le public sans voix. Une conclusion grandiose a été apportée par un feu d’artifice spectaculaire, illuminant la cité ocre et laissant dans son sillage l’espoir d’un avenir plus radieux pour tous.

Cette soirée, bien plus qu’une simple célébration, a été un témoignage éclatant de solidarité. La Mamounia et ses invités se sont unis pour soutenir les victimes du séisme ayant touché la région d’Al Haouz. Un appel à la générosité a été lancé, avec La Mamounia en tête, contribuant déjà avec un don de 10 millions de DH au Fonds 126 pour la reconstruction, créé suite à la tragédie du 8 septembre.


Ces moments d’exception resteront à jamais gravés dans l’histoire de La Mamounia, témoignant de l’amour et de la passion qui habitent cet établissement légendaire depuis un siècle. Un hommage vibrant à la culture marocaine, cette célébration a marqué les esprits et continue de rayonner au-delà des frontières, affirmant la place privilégiée de La Mamounia dans le monde de l’élégance et de la grâce. Cette nuit étoilée, chapitre enchanteur de l’histoire de cet établissement légendaire, n’est pas simplement une révérence à un passé glorieux, mais aussi l’écriture d’une nouvelle page d’histoire, constituant une déclaration d’amour vibrante à la ville ocre et à ses habitants.

Découvrez l’éblouissant spectacle de la soirée du centenaire de La Mamounia, capturant chaque moment de magie, de musique envoûtante et de danse enivrante qui ont marqué cette célébration inoubliable :

 

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La 71e édition du concours Miss Monde prévue pour décembre 2023 à New Delhi a été brusquement reportée à mars 2024. Les récentes élections dans la capitale indienne ont été citées comme motif de cette décision inattendue. 

Karolina Bielawska, Miss Monde 2022.

La gagnante du concours Miss Monde 2022, Karolina Bielawska, a annoncé sur Instagram le report de la 71e édition de l’événement qui devait se dérouler le 16 décembre prochain à New Delhi. La nouvelle a suscité des réactions, notamment de la part de Clémence Botino, Miss France 2020, qui se préparait avec enthousiasme à représenter la France lors de cette édition de Miss Monde. Sur ses réseaux sociaux, elle a partagé sa compréhension pour cette décision difficile tout en exprimant sa solidarité envers Karolina et l’ensemble de ceux qui s’investissent dans cette aventure. Sa réaction émotionnelle sur Instagram a suscité l’empathie de ses followers, soulignant l’impact de cette nouvelle sur les participantes et les amateurs du concours à travers le monde.

Le report de la 71e édition de Miss Monde en raison d’événements imprévus n’est pas une première pour le concours. En 2021, l’événement avait été interrompu en raison de cas de Covid-19 parmi les candidates, et l’année précédente, la soirée avait également été annulée en raison de la pandémie mondiale. Cette annonce a été un coup de théâtre pour les participants et les amateurs du concours, qui devront maintenant patienter jusqu’en mars 2024 pour découvrir qui sera couronnée Miss Monde 2023. Cette dernière annonce constitue donc un nouveau rebondissement inattendu pour les participants, les organisateurs et les fervents amateurs du concours. La patience sera de mise, car ils devront attendre, comme les amateurs du concours, jusqu’en mars 2024 pour enfin découvrir qui sera couronnée Miss Monde 2023.

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