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novembre 16, 2023

Les Cavalières Marocaines : Un Symbole de Grâce et de Force

Dans le royaume du Maroc, une tradition équestre séculaire est portée par des femmes audacieuses et déterminées : les cavalières marocaines. Ces femmes, qui allient grâce et force, sont les gardiennes d’un héritage culturel riche et profond. L’équitation au Maroc est une tradition ancestrale, transmise de génération en génération. Les cavalières marocaines, avec leur maîtrise exceptionnelle de l’art équestre, sont le reflet vivant de cette tradition. Elles incarnent la symbiose parfaite entre l’homme et l’animal, démontrant une compréhension et un respect profonds pour leurs montures.

Une tradition ancrée et des figures inspirantes

Ces cavalières sont bien plus que de simples sportives. Elles sont des figures inspirantes, des modèles pour les jeunes filles marocaines. En dépit des obstacles et des préjugés, elles ont su s’imposer dans un domaine traditionnellement dominé par les hommes. Leur détermination et leur passion sont une source d’inspiration pour toutes les femmes qui aspirent à briser les barrières et à réaliser leurs rêves.

Lalla Amina est née le 8 avril 1954. La princesse était membre de la famille royale marocaine et la plus jeune demi-sœur de Hassan II. Passionnée par les chevaux, elle a présidé la Fédération royale marocaine des sports équestres de 1999 jusqu’à sa mort en 2012. Elle a consacré sa vie entière à l’amélioration des races de chevaux au Maroc, et au développement de l’équitation sportive dans le royaume.

Leïna Benkhraba, née le 23 mai 1992, Leïna Benkhraba est une cavalière marocaine de saut d’obstacles. Elle est la première cavalière marocaine, arabe et africaine à participer à des Jeux équestres mondiaux, lors de l’édition de 2014 en Basse-Normandie. Aux Jeux africains de 2019 à Rabat, elle a remporté la médaille d’or du concours de saut d’obstacles par équipes.

Soukaina Ouaddar est la fille d’Abdelkebir Ouaddar, champion national et deux fois olympique, Soukaina Ouaddar est une cavalière de saut d’obstacles. Elle a remporté plusieurs médailles lors des championnats nationaux marocains et a monté au plus haut niveau au Maroc (1m45) avec son partenaire préféré Reading de Sienne.

Zineb El Briouil est née en 1996, c’est une cavalière marocaine de saut d’obstacles. Elle est la seule femme jockey au Maroc à avoir gagné douze épreuves nationales. Elle a disputé récemment un prix international sur un hippodrome de Marrakech flambant neuf et tout juste inauguré.

Nour Sliaoui est une cavalière marocaine qui a marqué l’histoire de l’équitation dans son pays. Elle est la première marocaine à participer au Mondial du Lion, une prestigieuse compétition en équitation. Nour a commencé au plus bas de l’échelle, mais vit aujourd’hui de sa passion et rêve de gloire olympique aux Jeux Olympiques de Paris. Son parcours, sa passion et ses ambitions font d’elle une figure inspirante dans le monde équestre marocain.

 

Vers l’Avenir

Aujourd’hui, les cavalières marocaines continuent de repousser les limites et de défier les stéréotypes. Elles participent activement à des compétitions nationales et internationales, portant haut les couleurs du Maroc sur la scène équestre mondiale. Leur succès témoigne de l’évolution des mentalités et de la place grandissante des femmes dans le sport au Maroc.

 

Les cavalières marocaines sont le symbole d’un Maroc moderne et progressiste. Elles sont la preuve que tradition et modernité peuvent coexister harmonieusement, et que le courage et la détermination sont les clés de la réussite.

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La distinction des princesses cavalières émérites éminentes

Dans le monde des têtes couronnées, une tendance singulière et fascinante se dessine : celle des princesses cavalières émérites. Ces femmes de la royauté, loin de se contenter de leurs obligations royales, ont choisi de se distinguer par leur maîtrise équestre. Elles sont une source d’inspiration pour de nombreuses jeunes filles à travers le monde. Elles montrent qu’il est possible de concilier les responsabilités royales avec une passion personnelle. Elles démontrent également que le courage, la détermination et la discipline sont des qualités qui transcendent les frontières et les classes sociales.

L’Équitation : Un Sport Noble pour les Princesses

La princesse Lalla Amina du Maroc, membre de la famille royale marocaine et plus jeune demi-sœur de Hassan II, était une passionnée de chevaux. Elle a présidé la Fédération royale marocaine des sports équestres de 1999 jusqu’à sa mort, laissant un héritage durable dans le monde équestre.

La princesse Anne du Royaume-Uni, fille de la reine Elizabeth II, est une cavalière accomplie. Elle a représenté la Grande-Bretagne aux Jeux olympiques de 1976 en équitation, démontrant ainsi son dévouement et sa compétence dans ce sport noble.

Zara Tindall, petite-fille de la reine Elizabeth II et fille de la princesse Anne, a suivi les traces de sa mère en devenant une cavalière émérite. Elle a remporté une médaille d’argent en équitation aux Jeux olympiques de 2012, affirmant ainsi sa place parmi les cavalières de haut niveau.

La princesse Haya de Jordanie est non seulement une cavalière accomplie, mais elle a également été la présidente de la Fédération équestre internationale. Elle a représenté la Jordanie en saut d’obstacles aux Jeux olympiques de 2000, témoignant de son engagement envers l’équitation.

La princesse Charlotte de Monaco, fille de Caroline de Monaco, est une passionnée d’équitation. Elle a participé à plusieurs compétitions équestres de haut niveau, démontrant ainsi son talent et sa passion pour ce sport.

La princesse Victoria de Bourbon-Deux-Siciles, quatrième fille de l’Infant Carlos, duc de Calabre, et de la princesse Anne de France, est une cavalière émérite. Sa maîtrise de l’équitation témoigne de son dévouement et de sa passion pour ce sport.

Ces princesses, par leur passion pour l’équitation, ont su allier l’élégance de la royauté à la noblesse du sport équestre. Leur dévouement à cette discipline exigeante témoigne de leur détermination et de leur force de caractère. Elles sont une source d’inspiration pour de nombreuses jeunes filles à travers le monde. Elles montrent qu’il est possible de concilier les responsabilités royales avec une passion personnelle. Elles démontrent également que le courage, la détermination et la discipline sont des qualités qui transcendent les frontières et les classes sociales. Elles ont démontré qu’elles sont bien plus que de simples figures royales en étant  des sportives accomplies, des passionnées d’équitation. Elles incarnent l’essence même de la royauté : l’élégance, la grâce et la détermination. Elles sont la preuve vivante que la royauté et la passion peuvent coexister harmonieusement.

 

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Une confession dramatique qui risque de perturber le monde la pop

Dans le monde scintillant de la célébrité, où les icônes sont souvent réduites à des clichés, Britney Spears se distingue par sa résilience et sa volonté de partager son histoire. La chanteuse a publié ses mémoires intitulées « The Woman in Me » ou « La Femme en Moi » en français. Un livre qui, loin des paillettes et des projecteurs, révèle une femme aux multiples facettes, à la fois lumineuses et sombres.

Britney Spears, dont les tubes ont fait danser le monde entier pendant plus de vingt-cinq ans, se livre pour la première fois de manière authentique et sans filtre. Derrière l’icône pop, on découvre une femme dévorée par l’ambition de ses parents, des hommes qu’elle a aimés ; détruite par la notoriété, le sexisme et la presse à scandale.

Un récit féministe qui change la culture de la pop

« La Femme en Moi » est plus qu’une simple autobiographie, c’est un récit féministe puissant. Britney y dévoile sa vérité après des années d’enfer entre dépression et mise sous tutelle abusive. Elle y révèle être une femme isolée, souffrant de phobie sociale. Seules Madonna, son mentor, Paris Hilton et Donatella Versace lui ont montré un peu de compassion.

« La Femme en Moi » est un livre qui va changer la culture pop. Son récit d’une enfant star surexploitée se transformant en femme libérée, mais brisée, n’est pas un cas isolé. C’est un témoignage poignant qui met en lumière les dessous souvent sombres de l’industrie du divertissement.

Britney Spears a souligné que la majeure partie de « La Femme en Moi » revient sur des événements qui ont eu lieu il y a 20 ans. Un deuxième volume pourrait ainsi se concentrer sur des événements plus récents.

Révélations sur l’avortement

L’une des révélations les plus marquantes de « La Femme en Moi » concerne l’interruption volontaire de grossesse (IVG) que Britney Spears a subie lorsqu’elle était en couple avec Justin Timberlake. « J’ai tellement aimé Justin. J’ai toujours pensé que nous fonderions une famille ensemble un jour. Cela serait juste arrivé beaucoup plus tôt que prévu », raconte Britney Spears dans son autobiographie. C’est poussé par le chanteur qu’elle aurait subi un avortement, comme elle l’explique : « Justin n’était vraiment pas content de la grossesse. Il disait que nous n’étions pas prêts à avoir un bébé dans notre vie, que nous étions bien trop jeunes. »

 

« La Femme en Moi » est un livre qui marque un tournant dans la carrière de Britney Spears. C’est un cri du cœur, un appel à la compréhension et à l’empathie. C’est le récit d’une femme qui, malgré les épreuves, a su rester fidèle à elle-même et à ses convictions. Un livre à lire absolument pour tous ceux qui souhaitent comprendre la véritable Britney Spears, au-delà de l’image de la pop star.

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La saison des galas caritatifs s’annonce riche, sous le signe du partage et de l’engagement social pour SAR la princesse Lalla Hasnaa qui présidait ce 15 novembre à Rabat, le dîner de gala diplomatique annuel de Bienfaisance, organisé par l’ambassade de l’Etat des Emirats Arabes Unis et la Fondation diplomatique.

Cet événement d’une grande symbolique, placé sous le haut patronage de SM le Roi Mohammed VI est devenu une vraie tradition de collecte de fonds, orchestrée par la fondation diplomatique et les ambassades étrangères à Rabat. Il rassemble diplomates, hommes d’affaires et artistes engagés dans l’action sociale au Maroc, permettant ainsi chaque année, sous l’aura et la fibre humanitaire de Lalla Hasnaa, le financement de nombreux projets associatifs notamment en matière de santé, d’éducation et de formation de jeunes filles. Les fonds collectés lors de cette soirée – qui a compté sur la présence de la ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, Aawatif Hayar, l’ambassadeur des Emirats Arabes Unis à Rabat, Al-Asri Saeed Ahmed Al Dhaheri, le wali de la région Rabat-Salé-Kénitra, Mohamed Yacoubi, le président du Conseil régional, Rachid El Abdi, la présidente du Conseil communal de la ville de Rabat, Asmaa Rhlalou, le président du Conseil préfectoral de Rabat, Abdelaziz Drouich, le président de la Fondation diplomatique, Abdelati Habek, et les membres du comité organisateur – iront naturellement à des associations qui assurent des services sociaux au profit des sinistrés du séisme d’Al Haouz.

Dans une allocution à cette occasion, l’ambassadeur des Emirats Arabes Unis à Rabat, Al-Asri Saeed Ahmed Al Dhaheri, a exprimé sa profonde gratitude et sa grande reconnaissance à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, qui a bien voulu placer cet événement sous Son Haut Patronage, ainsi qu’à SAR la Princesse Lalla Hasnaa pour son engagement constant en faveur des initiatives sociales et caritatives.

Le diplomate a, par ailleurs, salué les relations solides liant les Emirats Arabes Unis et le Maroc, notant que les deux pays entretiennent une forte amitié et partagent des intérêts mutuels, sous la conduite sage et clairvoyante de SM le Roi Mohammed VI et de son frère Son Altesse Cheikh Mohammed Ben Zayed Al Nahyane.

Il a, en outre, exprimé sa fierté de l’unité et de la solidarité dont a fait preuve le peuple marocain suite au séisme d’Al-Haouz, mettant en avant les efforts considérables et impressionnants accomplis par le Royaume durant cette épreuve.

De son côté, le président de la Fondation diplomatique, Abdelati Habek, a affirmé que cette action caritative continue et cet engagement social agissant reposent sur une approche basée sur le renforcement des valeurs de patriotisme et de solidarité.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa préside à Rabat le dîner de Gala diplomatique annuel de bienfaisance

Après avoir souligné l’intérêt accordé par SAR la Princesse Lalla Hasnaa à l’action caritative, M. Habek a indiqué que les bénéfices de ce Gala diplomatique de bienfaisance seront versés à des associations qui assurent des services sociaux au profit des sinistrés du séisme d’Al Haouz.

Cet événement est une contribution à l’élan de solidarité ayant suivi le tremblement de terre, a-t-il dit, ajoutant que cette mobilisation exceptionnelle est devenue un modèle à suivre en matière d’entraide.

Par la suite, l’Ecu du Gala diplomatique 2023 a été remis à SAR la Princesse Lalla Hasnaa, qui avait posé à cette occasion pour une photo-souvenir avec le comité organisateur, vêtue d’un caftan d’une sobriété et d’une élégance royales.

SAR la Princesse Lalla Hasnaa préside à Rabat le dîner de Gala diplomatique annuel de bienfaisance

Princesse philanthrope d’un royaume moderne

Lalla Hasnaa, totalement vouée à la cause de l’environnement et à l’éducation et la sensibilisation des enfants en milieu scolaire aux valeurs de l’écologie notamment en tant que Présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, ne cesse de s’activer pour les grandes questions de la planète sous le prisme de causes qui touchent son pays. Fidèle à son image de maman aimante, d’ambassadrice internationale pour son pays et de princesse philanthrope et moderne, la sœur de Sa Majesté le Roi Mohammed VI est résolument l’atout royal de la monarchie et l’espoir d’une autre nouvelle année brillante sous le ciel du royaume.

 

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Omid Scobie, journaliste renommé ayant d’étroits liens avec Meghan Markle et le prince Harry, est sur le point de dévoiler des informations explosives dans son dernier ouvrage intitulé « Fin de Règne ». Le livre, qui sera publié le 1er décembre, promet de mettre à nu les coulisses de la monarchie britannique sous le règne présumé de Charles III.

Omid Scobie, déjà reconnu pour sa co-écriture de « Harry et Meghan, libres », semble s’être immergé profondément dans les méandres du palais, dépeignant un tableau peu flatteur de la relation entre les Sussex et le reste de la famille royale.

Selon les extraits révélés, une des critiques majeures de l’écrivain concerne la gestion par la famille royale du départ du prince Harry et de Meghan Markle. Il pointe du doigt l’échec apparent des efforts de rétention du couple royal et attribue à cela l’escalade des tensions entre les différentes branches de la famille.

Le livre « Fin de Règne » plonge également dans les circonstances entourant la maladie et le décès tragique de la reine Elizabeth II. Il dépeint des moments de conflit et de désaccord au sein de la famille royale pendant ces périodes délicates. Il affirme notamment que le prince William aurait ignoré les messages de son frère Harry alors que la reine était sur son lit de mort à Balmoral, créant ainsi des tensions supplémentaires entre les frères.

Une des révélations les plus poignantes du livre concerne le moment où le prince Harry a appris la gravité de la maladie de sa grand-mère. Selon le journaliste, Harry aurait été informé de la situation par son père, Charles III, qui l’aurait encouragé à se rendre immédiatement en Écosse pour être aux côtés de la reine.

Toutefois, l’écrivain rapporte que la communication entre les frères aurait été rompue, et lors du décès de la reine, Harry aurait été mis au courant du décès de la Reine en même temps que le grand public. Ces révélations soulignent un fossé profond au sein de la famille royale et suggèrent que la réconciliation entre les deux frères pourrait être difficile.

Malgré ces déclarations, des sources contradictoires et des versions alternatives de ces événements sont apparues, jetant le doute sur la véracité de certains passages du livre. Le palais de Buckingham a refusé de commenter spécifiquement le contenu du livre, mais a souligné l’importance de respecter la vie privée et le deuil de la famille royale.

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