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Chady Chadili

Le Maroc se souvient avec émotion du 25e anniversaire de la disparition de SM Hassan II, un monarque qui a transcendé son temps. À travers ses soirées au Palais Royal, où il lisait avec passion pour les princes, leur transmettant un amour de la lecture, son plaidoyer pour la tolérance religieuse, et ses entrevues mémorables avec des journalistes de renom comme Anne Sinclair et Jean Daniel, il a légué un héritage de modernité, d’adaptabilité, et de préservation des traditions. Ces mots mémorables, « Nous vous connaissons mieux que vous ne nous connaissez… Nous connaissons votre langue, votre culture et votre société… Qu’est ce que vous connaissez, vous ?, » continuent d’éclairer le chemin d’un Maroc prospère.

Le soleil se couchait doucement sur l’horizon marocain ce 23 juillet 1999, marquant la fin d’une ère et le début d’un nouveau chapitre pour le Maroc. Ce jour-là, le pays perdait un leader exceptionnel, un homme qui avait façonné son destin avec sagesse et vision pendant près de quatre décennies. Dans les annales de l’histoire marocaine, SM Hassan II demeure non seulement un roi visionnaire, mais aussi un homme de lettres éclairé. Son amour pour la littérature et son engagement envers l’éducation sont des facettes souvent méconnues de sa personnalité. Les soirées au Palais Royal, où il se livrait à la lecture, sont devenues légendaires, symbolisant sa passion pour la connaissance et son désir de partager les richesses de la littérature avec les générations futures. Vingt-cinq ans après sa disparition, le regretté roi Hassan II demeure dans les mémoires, son héritage de sagesse et d’inspiration continuant d’éclairer la voie pour le Maroc.

Les mots du roi Hassan II résonnent encore, rappelant au peuple marocain la force de leur nation. « Le Maroc est un pays qui sait allier modernisme et tradition, liberté et discipline, démocratie et unité ». C’est cette capacité à maintenir un équilibre délicat entre la tradition et la modernité qui a marqué son règne. Il croyait en la richesse des valeurs ancestrales du Maroc tout en encourageant la nation à embrasser les opportunités offertes par le monde moderne. Sans l’ombre d’un doute, Hassan II incarnait une figure éminemment complexe et éclairée, bien au-delà de la simple définition d’un visionnaire moderne. Son leadership transcendant s’est illustré par son inébranlable défense de la souveraineté et de la tolérance du Maroc. Le roi Hassan II était non seulement un gardien de la foi, mais également un fervent défenseur d’un État qui embrasse à la fois son héritage religieux et une vision ouverte du monde, prônant un équilibre délicat entre les deux.

Les paroles de Hassan II résonnaient comme une symphonie de compréhension, soulignant l’importance cruciale de préserver les traditions et en avançant résolument vers l’avenir. Il ne s’agissait pas seulement d’une question de politique pour Hassan II, mais plutôt d’une vision pour la société marocaine, où chaque citoyen était libre de pratiquer sa foi et de vivre sa vie conformément à ses croyances personnelles, tout en participant activement à la construction d’un Maroc moderne et prospère. Cette vision, incarner un équilibre entre tradition et modernité a été le pivot autour duquel sa vision du Maroc s’est construite.

Hassan II était bien plus qu’un monarque éclairé et un visionnaire de la modernité ; son héritage résonne toujours, comme un rappel constant de l’importance de l’équilibre entre tradition et modernité, un équilibre que le Maroc continue de maintenir fièrement, grâce aux enseignements de ce roi sage et visionnaire. « Nous sommes des héritiers d’un passé glorieux et d’une grande civilisation, nous sommes des fils d’une nation libre et indépendante ». Ces mots rappellent la fierté que Hassan II éprouvait pour l’histoire riche du Maroc et pour la nation souveraine qu’il a guidée. Il exhortait les citoyens à contribuer au développement et à la modernisation de leur patrie, soulignant que c’était leur devoir sacré. Tout au long de son règne, le roi Hassan II a plaidé pour la tolérance et la compréhension mutuelle, soulignant que l’islam était une religion de tolérance, de paix et de compréhension. « La paix est notre plus grande richesse, et la tolérance est la clé de notre unité ». Il voyait la paix comme le trésor ultime du Maroc, une paix qui ne pouvait être préservée qu’à travers la tolérance.

Le souverain marocain était également un fervent promoteur de la démocratie et de la justice sociale. Il croyait que le Maroc pouvait s’adapter aux évolutions mondiales et aux nouvelles technologies tout en créant un environnement propice au développement économique et social. Il insistait sur le fait que le Maroc devait relever les défis de l’histoire et s’adapter à la réalité du monde contemporain. « Le Maroc est un pays qui sait s’adapter aux défis de l’histoire et à la réalité du monde d’aujourd’hui ». Ces mots résonnent comme une prémonition dans le contexte contemporain, où l’adaptabilité est devenue une qualité essentielle pour toute nation aspirant à un avenir prospère. Le roi Hassan II, en prononçant ces paroles, a véritablement anticipé les bouleversements et les mutations du monde moderne. Au cours des dernières décennies, le Maroc a été témoin d’une série de changements profonds, tant sur le plan national qu’international. La mondialisation, les avancées technologiques fulgurantes, les crises économiques et les défis environnementaux ont imposé aux nations une flexibilité et une adaptabilité inégalées.

Le Maroc, tout comme son regretté souverain l’avait prédit, a su faire face à ces défis avec agilité. Il a relevé le défi en s’adaptant à un environnement mondial en constante évolution. Le pays s’est engagé dans des réformes structurelles pour renforcer son économie, encourager l’innovation et promouvoir le développement durable. Il a également investi massivement dans l’éducation et la formation, préparant la prochaine génération à relever les défis du XXIe siècle. Hassan II avait à cœur de promouvoir la paix, la stabilité et les droits de l’homme. « Le Maroc est un pays qui sait promouvoir la paix et la stabilité et qui sait protéger les droits de l’homme et la liberté de l’individu ». Son engagement en faveur de ces idéaux a fait du Maroc un acteur clé dans la région, œuvrant pour la paix et la stabilité. Le roi Hassan II aimait rappeler que le Maroc était la terre d’accueil de tous les Marocains, quelle que soit leur origine. Il s’efforçait d’offrir à ses citoyens une meilleure qualité de vie et une plus grande prospérité. « Le Maroc est un pays qui sait offrir à ses citoyens une meilleure qualité de vie et une plus grande prospérité ». Ces mots sont un rappel puissant de l’engagement du roi envers le bien-être de son peuple.

Enfin, Hassan II croyait que la liberté était le plus grand bienfait que l’on puisse offrir à un peuple. « La liberté est le plus grand bienfait que l’on puisse offrir à un peuple ». Il insistait sur le maintien de l’esprit de tolérance et de dialogue, et sur la nécessité de préserver les traditions et la culture marocaine. À l’occasion du 25e anniversaire de la disparition de Hassan II, nous nous souvenons de cet homme qui a laissé un héritage de sagesse et d’inspiration. Son règne a marqué une époque où le Maroc a pu allier tradition et modernité, liberté et discipline, démocratie et unité. Son influence perdure dans le cœur de chaque Marocain, illuminant le chemin vers un avenir de progrès, de tolérance et de paix. SM Hassan II, le gardien de la sagesse marocaine, continue de veiller sur son pays bien-aimé, guidant la nation vers de nouveaux horizons de réussite et d’harmonie.

 

 

 

 

 

 

 

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Le couscous marocain, joyau de la gastronomie nord-africaine, est bien plus qu’un simple plat ; il incarne une tradition riche et une histoire culinaire qui remonte à des siècles. 

Photo : Louis Hansel

Le Couscous, Un Art Culinaire Ancien

Le couscous ne se résume pas à une simple céréale, mais plutôt à un art culinaire ancien qui a évolué au fil du temps. Originaire de l’époque berbère, le couscous marocain a traversé les générations, conservant son statut de pilier de la cuisine marocaine. Le processus de fabrication du couscous marocain est une démonstration de minutie et de respect des traditions. La semoule de blé dur est cuite à la vapeur dans un couscoussier, un ustensile spécifique. Ce mode de cuisson permet d’obtenir une texture légère et aérée, une caractéristique distinctive du couscous marocain.

Une Préparation Méticuleuse pour une Saveur Incomparable

La préparation du couscous marocain est une affaire de patience et de précision. La semoule est travaillée avec soin pour garantir la texture parfaite. Cuite à la vapeur dans un couscoussier, chaque grain absorbe délicatement les arômes des ingrédients qui l’accompagnent, créant ainsi une explosion de saveurs dans chaque bouchée.

Un Couscous pour Chaque Palais

Le couscous marocain ne se limite pas à une recette unique. Au contraire, il existe une diversité infinie de variations, chacune reflétant les particularités culinaires des différentes régions du Maroc. Des recettes de couscous aux légumes aux versions plus riches avec de l’agneau, du poulet ou même du poisson, chaque plat est une célébration de la diversité des ingrédients et des goûts locaux.

Un Plat Convivial et Festif qui Rassemble

Le couscous occupe une place de choix lors des célébrations et des rassemblements familiaux au Maroc. Servi généralement dans un grand plat familial, il incarne la convivialité et la générosité. C’est bien plus qu’un simple repas, c’est un symbole de partage et d’unité. La tradition veut que le couscous soit préparé en grandes quantités, symbolisant la prospérité et l’abondance.

Une Palette d’Épices Exquises pour une Explosion de Saveurs

L’âme du couscous marocain réside dans son utilisation judicieuse d’épices exquises. Le cumin, la coriandre, la cannelle, le paprika et le safran sont autant d’épices qui transforment ce plat en une symphonie de saveurs. Chaque ingrédient est choisi avec soin pour créer un équilibre parfait entre les goûts, offrant une expérience culinaire inoubliable.

Une Harmonie Culinaire

Ce qui distingue le couscous marocain, c’est son talent pour marier subtilement le sucré et le salé. Des fruits secs tels que les raisins, les abricots et les pruneaux sont souvent intégrés, ajoutant une douceur délicate qui contraste magnifiquement avec les saveurs plus salées de la viande et des légumes. Cette harmonie culinaire crée une expérience gustative unique et équilibrée.

Un Symbole de l’Identité Marocaine

Le couscous marocain transcende le statut de simple plat pour devenir un héritage culturel précieux. Sa préparation, ses variations régionales et son rôle dans la vie quotidienne en font un symbole de l’identité marocaine. Les générations successives continuent de perpétuer cette tradition culinaire, garantissant que le couscous reste ancré dans le tissu social du Maroc.

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Le prince Harry, connu pour son engagement envers les vétérans et les œuvres caritatives, a récemment adressé une lettre poignante en soutien aux enfants touchés par la perte de leurs parents dans les forces armées. 

À l’approche du Remembrance Day, une journée dédiée à l’hommage aux vétérans, le duc de Sussex a exprimé son soutien à l’association caritative Scotty’s Little Soldiers, soulignant l’importance de la communauté dans les moments difficiles. Dans cette lettre bouleversante, le prince Harry n’a pas hésité à évoquer sa propre douleur, en se référant à la perte déchirante de sa mère, la princesse Diana, qualifiant cette épreuve de « immensément difficile ». Il a partagé son expérience personnelle, encourageant les enfants de la communauté Scotty’s à ne pas ressentir de honte face à leur chagrin. « Il est normal de ressentir de la tristesse à la suite d’une perte. Mais n’oubliez pas que vous méritez aussi d’être heureux – votre parent le voudrait, croyez-moi », a-t-il écrit, offrant ainsi un message d’espoir et d’unité.

Le prince Harry, lui-même confronté à des défis émotionnels depuis la tragique disparition de sa mère en 1997, a récemment confié avoir développé un trouble déficitaire de l’attention (TDA) en lien avec ce traumatisme. Ses propres combats personnels ajoutent une profondeur supplémentaire à sa lettre, reflétant une authentique compréhension de la douleur et de la difficulté de surmonter la perte d’un être cher. Alors que le 31 août 2023 marquera le vingt-sixième anniversaire de la disparition de Lady Diana, le prince Harry continue de partager son héritage, non seulement en tant que membre de la royauté, mais aussi en tant qu’être humain qui a traversé des épreuves profondes. 

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L’huile d’olive occupe une place centrale dans le quotidien des Marocains. Cependant, ces dernières années, le précieux liquide doré a été témoin de bouleversements, secoué par des périodes récurrentes de sécheresse qui ont laissé une empreinte sur l’économie et la vie quotidienne.

Photo : Fulvio Ciccolo

Les murmures des marchés et les conversations animées dans les foyers mettent en lumière la préoccupation croissante autour de la qualité et du prix de l’huile d’olive. Les régions oléicoles, telles que Al Haouz, Souss, Chichaoua, Chiadma et Tadla, parmi d’autres qui étaient autrefois les théâtres joyeux de la récolte des olives, sont maintenant témoins de la lutte silencieuse des agriculteurs pour maintenir leur subsistance. Le changement climatique a laissé des cicatrices sur plus de 65 % de la superficie arboricole nationale, menaçant l’avenir de la filière oléicole. Conscient de l’importance de l’huile d’olive dans l’économie agricole du pays, le Maroc a imposé des restrictions temporaires sur les exportations, une mesure visant à stabiliser les prix sur le marché national, à garantir la viabilité de la filière et à assurer la sécurité alimentaire des citoyens marocains. 

Photo : Sophie Laurent

Dans chaque goutte de cet or liquide, se mêle un autre aspect essentiel qui est l’acidité de l’huile d’olive. Bien au-delà de son influence sur le goût, elle revêt une importance cruciale pour la santé. Les experts soulignent comment cette caractéristique complexe peut impacter les bienfaits nutritionnels de l’huile d’olive, offrant une perspective nuancée sur la qualité de ce trésor liquide et son rôle dans le bien-être des consommateurs. Ainsi, au-delà des fluctuations de prix et des défis climatiques, l’huile d’olive demeure le pilier d’une industrie ancestrale, tissant les fils de l’économie agricole marocaine. La trajectoire de l’huile d’olive au Maroc devient ainsi un récit évolutif, où la transition vers le bio et le respect des traditions agricoles s’entrelacent, offrant une perspective prometteuse pour l’avenir de cette industrie vitale. Dans chaque goutte d’huile d’olive, réside une histoire qui, en transcendant les aléas climatiques, peut nourrir l’avenir de la nation.

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L’Institut des Sciences Politiques, Juridiques et Sociales (ISPJS) de l’Université Mundiapolis a récemment accueilli une table ronde captivante sous le thème « La Jeunesse Africaine et la Culture ». Présidée par le Dr. Ali LAHRICHI, Doyen de l’ISPJS, cette rencontre a été honorée par la présence éclairante du Ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohammed Mehdi Bensaid.

Le ministre de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, Mohamed Mehdi Bensaid, prend la parole durant la table ronde orchestrée par l’Université Mundiapolis et l’ISPJS

Les rendez-vous orchestrés par l’Université Mundiapolis et l’ISPJS ne sont pas simplement des réunions protocolaires, mais des arènes d’échange intellectuel et de stimulation du dialogue critique. Dr. Ali Lahrichi a souligné l’importance de ces rencontres dans la formation des futurs leaders et agents du changement, affirmant que ces moments revêtent une importance cruciale dans le parcours éducatif des étudiants. La table ronde a plongé profondément dans l’industrie cinématographique, un domaine intrinsèquement lié à la jeunesse, à la culture et à la communication. Le Ministre a présenté un état des lieux de cette industrie, évoquant les défis du piratage, de l’abonnement satellite et de l’évolution d’Internet. Malgré ces obstacles, les cinémas continuent d’attirer un public dévoué, bien que les tarifs demeurent un frein majeur à leur développement.

Bensaid a souligné le rôle crucial du cinéma en tant que composante du soft power, contribuant à la création d’emplois, au développement de compétences, et à la promotion de la coopération internationale. Une initiative récente du ministère vise à établir 150 nouvelles salles de cinéma dans différentes régions du Royaume, anticipant la création de 500 emplois directs et 1000 emplois indirects au cours de la première année. Le Ministère ne se limite pas aux frontières nationales, collaborant activement avec plusieurs pays africains pour partager son expertise dans l’industrie cinématographique. Cette coopération inclut la promotion des « Maisons des Jeunes », des établissements visant à développer les compétences artistiques des jeunes et à les familiariser avec les nouvelles technologies.

L’objectif ambitieux d’atteindre un chiffre d’affaires d’un milliard de dollars d’ici 2030 témoigne de la confiance du Ministre en la capacité des jeunes Marocains à devenir des acteurs majeurs dans ce domaine en plein essor. Le Ministre Mohammed Mehdi Bensaid a réaffirmé son engagement indéfectible en faveur de la promotion de la culture, de la créativité, et du développement des talents au Maroc.

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La vingtième édition du Festival international du film de Marrakech (FIFM), qui se tiendra du 24 novembre au 2 décembre 2023, s’annonce exceptionnelle avec un hommage bien mérité aux figures emblématiques du cinéma mondial, Faouzi Bensaïdi, réalisateur marocain, et Mads Mikkelsen, acteur danois aux talents multiples.

Faouzi Bensaïdi et Mads Mikkelsen recevront l’Étoile d’Or lors de la 20ème édition du Festival international du film de Marrakech

Le FIFM a instauré la tradition de célébrer les grands noms du cinéma depuis sa création en 2001, et cette année ne fait pas exception. Les organisateurs décerneront l’Etoile d’or à Faouzi Bensaïdi et Mads Mikkelsen en reconnaissance de leurs contributions exceptionnelles à l’art cinématographique. Faouzi Bensaïdi, fort de près de 25 ans de carrière, est honoré en tant que l’un des représentants les plus illustres du cinéma marocain à l’international. Ses films, régulièrement sélectionnés dans des festivals prestigieux tels que Cannes, Berlin, Toronto et Venise, témoignent de son grand talent. Il présentera son dernier opus, « Déserts », lors du festival.

D’autre part, Mads Mikkelsen, acclamé pour sa polyvalence entre les blockbusters hollywoodiens et le cinéma d’auteur européen, est salué pour son audace et son magnétisme. Son retour remarqué avec « Drunk » en 2020 lui a valu une nomination aux BAFTA et un European Film Award. Sa filmographie impressionnante comprend des rôles dans des productions majeures telles que « Indiana Jones et le Cadran de la destinée » (2023), « Arctic » (2019), « Dr. Strange » (2016), et bien d’autres. Les réactions des deux artistes témoignent de leur gratitude envers le FIFM. Faouzi Bensaïdi, ému, se dit fier et reconnaissant de cet hommage dans l’un des plus beaux festivals au monde. Parallèlement, Mads Mikkelsen exprime son enthousiasme et son honneur, promettant de dédier le prix à toutes les personnes avec qui il a travaillé au fil des années. 

 

Le parcours de Faouzi Bensaïdi, marqué par des œuvres telles que « Mille mois », « WWW – What a Wonderful World », « Mort à vendre » et « Jours d’été », démontre sa maîtrise dans la construction d’une œuvre remarquable et singulière. Homme de théâtre, scénariste et monteur, il incarne un pilier du cinéma marocain. Cette édition du FIFM promet d’être mémorable, célébrant non seulement le talent exceptionnel de Faouzi Bensaïdi et Mads Mikkelsen mais aussi la richesse et la diversité du cinéma mondial.

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Les vendredi 10 et samedi 11 novembre 2023, de principales instances associatives nationales organisent, à l’initiative du Think Thank Awal Houriates, une Conférence Nationale consacrée à la discussion de la réforme en cours de préparation du Code de la Famille.

Cette conférence se tiendra au Centre de formation du Ministère de la Justice, Technopolis Rabat, sous le thème « Pour des législations égalitaires, dans un Maroc en Mutation ». L’objectif de cet événement est de fédérer les propositions formulées dans le cadre du projet en cours de préparation du Code de la Famille par les principales instances associatives nationales qui militent pour la protection des droits et libertés en général, et les droits de la femme et de l’enfant en particulier. La Coordination féministe pour la refonte globale du Code de la Famille, la Coalition Printemps de la Dignité, le Collectif Libertés Fondamentales, la Coordination Parité, la Plateforme Convention relative aux droits de l’enfant Maroc et le Collectif pour des Législations Égalitaires CLE présenteront leurs mémorandums durant l’ouverture de l’événement. Les travaux de cette conférence seront clôturés, le samedi 11 novembre par la présentation des conclusions et recommandations des divers ateliers, avant la lecture et l’adoption de « l’Appel du mouvement féministe : Pour des législations garantissant l’égalité dans un Maroc en Mutation » .

Le programme de cette conférence est riche et comporte des ateliers dédiés aux droits de l’enfant, aux droits économiques de la femme, à la transmission du patrimoine, ainsi que la législation pénale en matière de protection de l’égalité, de la dignité et des libertés individuelles. Les intervenants associatifs et les experts éminents marqueront les travaux de cette conférence, qui sera dominée par les thématiques ayant trait aux droits de la femme et à la réforme de la Moudawana. 

Les ateliers de l’après-midi du vendredi sont dédiés aux thèmes suivants :

  • Code de la famille : quelles propositions pour un Code de la famille moderne et égalitaire ?
  • Quelles législations pénales pour garantir l’égalité, la dignité et les libertés individuelles ?
  • Garantir à tous les enfants l’ensemble de leurs droits : quelles propositions ?
  • Mettre fin aux injustices et discriminations dans la transmission du patrimoine.
  • Egalité et justice pour le plein accès des femmes à leurs droits économiques et sociaux.
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Le Roi Mohammed VI a récemment adressé un message aux participants à la 4ème édition du Forum pour l’Investissement en Afrique, qui s’est tenu du 8 au 10 novembre à Marrakech, sous le thème « Libérer les chaînes de valeur de l’Afrique ». 

Photo : Driss Benmalek

Dans son message, le Roi a souligné l’engagement continu du Maroc en faveur de l’intégration régionale en Afrique et de la coopération avec ses partenaires africains pour mettre en place des projets transformateurs visant à améliorer la qualité de vie de millions de personnes sur le continent. Le Roi a particulièrement mis en lumière le projet de Gazoduc Maroc-Nigeria, qui illustre la volonté du Maroc de renforcer la coopération régionale. Il a exprimé sa satisfaction quant à l’intérêt suscité par ce projet, notamment de la part des institutions financières régionales et internationales, soulignant qu’il permettra aux pays traversés par le gazoduc de garantir un approvisionnement en énergie fiable et une meilleure résilience face aux fluctuations des prix des produits énergétiques. Le Souverain a également évoqué les progrès réalisés par le Maroc en matière de développement des infrastructures au cours des deux dernières décennies. Il a noté que le pays a investi massivement dans divers secteurs, notamment les infrastructures énergétiques, les autoroutes, le réseau ferroviaire à grande vitesse, et le complexe portuaire Tanger Med. 

Ces investissements ont permis au Maroc de disposer d’un modèle de dynamique d’investissement dans les infrastructures. En ce qui concerne les infrastructures énergétiques, le Maroc dispose aujourd’hui de 4,1 GW de puissance renouvelable installée et vise à porter la part des énergies renouvelables à plus de 52% de son mix électrique national d’ici 2030. Le Roi a souligné l’importance des réseaux intégrés d’infrastructures pour stimuler la création de chaînes de valeur régionales en Afrique. Il a noté que le déficit en infrastructures dans le continent entrave sa croissance économique et son développement. Le Roi a appelé à rattraper ce retard pour favoriser la transformation productive des pays africains. Le Souverain a également évoqué le rôle essentiel du secteur de l’énergie dans le développement des infrastructures en Afrique et a souligné la nécessité de s’attaquer au problème du faible accès à l’électricité dans de nombreuses régions du continent.

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LE PRINCE WILLIAM À SINGAPOUR POUR LES EARTHSHOT PRIZE UN ENGAGEMENT ENVIRONNEMENTAL SANS FRONTIÈRES

Le Prince William, héritier du trône britannique, a récemment mis le cap sur Singapour pour présider la troisième cérémonie des Earthshot Prize, un prestigieux prix environnemental qu’il décerne depuis 2021. L’événement s’est déroulé sans la présence de Kate Middleton, son épouse, qui est restée à Londres. 

Les Earthshot Prize visent à soutenir des solutions innovantes aux problèmes environnementaux majeurs tels que le changement climatique, la déforestation et la gestion des déchets. Lors de cette cérémonie, cinq lauréats ont été récompensés pour leurs contributions exceptionnelles, chacun recevant un million de livres (soit environ 12,2 millions de dirhams). Le jury, présidé par le naturaliste et présentateur de télévision britannique David Attenborough, a sélectionné les gagnants parmi plus de 1 100 nominés. Le Prince William, passionné par la protection de la planète, a exprimé son optimisme quant à l’impact de cette décennie sur l’environnement. Il a déclaré : « Je choisis de croire que les générations futures considéreront cette décennie comme le moment où nous avons pris des mesures collectives pour notre planète ».

Cet événement de grande envergure a été co-animé par des personnalités de renom, notamment l’actrice Cate Blanchett et l’acteur Sterling K. Brown, tandis que des artistes tels que Bebe Rexha, Bastille et OneRepublic ont assuré l’animation musicale de la soirée. Le choix de Singapour pour la cérémonie des Earthshot Prize en 2023 s’est avéré significatif, car la cité-État a fait preuve d’une ambition écologique remarquable. Le Prince William a souligné le rôle de Singapour en tant que leader dans l’innovation environnementale et a exprimé l’espoir que cela inspire d’autres nations à suivre son exemple. La séparation entre le Prince William et Kate Middleton a attiré l’attention, mais le Prince William a rapidement éclairci les choses lors de son discours à Singapour, et cette séparation ne serait que momentanée.

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Le Gala LACMA Art + Film 2023 a illuminé Los Angeles de glamour et de créativité. Célébrant l’artiste Judy Baca et le réalisateur David Fincher, l’événement a été l’occasion pour les célébrités de briller dans les créations Gucci du directeur artistique Sabato De Sarno. 

Rosé et Eva Longoria ont été présentes aux Gala LACMA Art + Film 2023

Lors du Gala LACMA Art + Film qui s’est tenu le samedi 4 novembre, la cité des Anges a étincelé lors d’une soirée inoubliable, où la mode, le glamour et le talent se sont fusionnés sur le tapis rouge. L’événement annuel, organisé par le Musée d’Art Contemporain de Los Angeles (LACMA), a une fois de plus réuni les célébrités et l’élite d’Hollywood pour célébrer l’art et le cinéma, tout en honorant l’artiste Judy Baca et le réalisateur renommé David Fincher. Les créations Gucci étaient à l’honneur cette année, conçues par le nouveau directeur artistique, Sabato De Sarno. Après avoir dévoilé sa première collection pour la maison de couture florentine à la Fashion Week de Milan en septembre dernier, Sabato De Sarno a enchanté l’audience avec ses tenues au charme hollywoodien, ornées de sequins, de paillettes et de dentelles.  

Lupita Nyong’o, Jessica Chastain, Sabato de Sarno et Jean-François Palus ont assisté au Gala

Parmi les invités de renom, Ben Affleck et Jennifer Lopez ont fait leur apparition sur le tapis rouge, attirant tous les regards. Kim Kardashian était photographiée aux côtés de Ke Huy Quan, puis de Paris Hilton et A$AP Rocky. Le rappeur américain a également été vu en compagnie d’Elliot Page. Pendant ce temps, Salma Hayek et François-Henri Pinault posaient pour les photographes, dégageant une aura d’amour et d’élégance. Keanu Reeves est arrivé au bras de sa compagne, Alexandra Grant, créant une scène digne d’Hollywood. L’after-party, organisée par Gucci, s’est déroulée au somptueux château Marmont. Andrew Garfield, Jessica Chastain, Lupita Nyong’o, Heidi Klum, Billie Eilish, Jane Fonda, Eva Longoria, Emma Chamberlain et Julia Garner faisaient également partie des invités de renom. Pour la douzième année consécutive, l’événement a été co-présidé par la styliste Eva Chow et l’incontournable Leonardo DiCaprio. 

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