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Yasmine Khizrane

La mode peut être un puissant vecteur de soutien, et Letizia d’Espagne le prouve une fois de plus. Lors d’une récente apparition, la souveraine a choisi une tenue chargée de sens pour témoigner de son appui aux commerces de Valence, touchés par les inondations d’octobre 2024.

Une robe, un symbole : le pouvoir du style engagé

Au Palais de la Zarzuela, la reine Letizia a enchaîné les rencontres avec des associations et fondations engagées. De la défense des droits des femmes au soutien des victimes du terrorisme, son emploi du temps était marqué par des causes majeures. Pourtant, c’est aussi par un détail vestimentaire soigneusement pensé qu’elle a fait passer un message fort.

MADRID, ESPAGNE – 18 MARS : La reine Letizia d’Espagne a reçu en audience une délégation de l’Association des Victimes du Terrorisme au Palais de la Zarzuela, le 18 mars 2025, à Madrid, Espagne. (Getty Images)

C’est dans une robe en maille côtelée signée Indi & Cold que Letizia est apparue, un choix qui va bien au-delà de la mode. Cette pièce a été achetée chez Míamoda, un magasin multimarque d’Algemesí, en Valence, sévèrement touché par les intempéries. Un geste discret mais significatif, que les propriétaires de la boutique ont confié à ¡HOLA! : « Elle a vu la robe sur notre site, nous a appelés et l’a commandée. »

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Parfaitement complétée par une paire de bottes Unisa, la robe en maille côtelée de couleur marsala permet à la Reine de réaffirmer son style raffiné tout en mettant en valeur un incontournable de sa garde-robe : l’ajout d’une ceinture à boucle épaisse. Un détail subtil qui structure sa silhouette tout en magnifiant ses tenues

En « mode » solidaire, une Reine engagée à chaque apparition

Ce n’est pas la première fois que Letizia affiche son soutien aux commerçants sinistrés de Valence. Début mars, elle avait déjà mis à l’honneur la boutique Aloha Benetússer, dont les locaux ont été dévastés par les inondations, en portant l’une de leurs créations. On l’a également déjà vue porter des boucles d’oreilles plaqué or en forme d’étoile de la griffe Singularu.La souveraine espagnole réaffirme ainsi son engagement face aux tragédies qui frappent son pays, soulignant, de manière subtile, que la mode peut être un puissant symbole de mémoire et de reconstruction. Un engagement qui va au-delà de l’apparence et témoigne d’une démarche authentique de proximité avec les citoyens.

Recycler avec élégance : la touche royale de Letizia qui séduit tout le monde !

En plus de soutenir les commerces locaux, la reine Letizia reste fidèle à sa philosophie de mode responsable. Cette robe, déjà portée en novembre dernier à Séville, illustre son attachement au recyclage vestimentaire. Une façon de prouver qu’élégance et conscience écologique peuvent aller de pair. C’est clair, Letizia d’Espagne transforme chacune de ses apparitions en un message de résilience et de solidarité. Une souveraine qui, décidément, ne laisse aucun détail au hasard.

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Auréolé de son Oscar du meilleur acteur pour « The Brutalist », Adrien Brody poursuit son voyage cinématographique dans un tout autre registre. Cette fois, c’est au Maroc, et plus précisément à Tanger, qu’il incarne un globe-trotter contemplatif dans « Kismet », un court-métrage publicitaire réalisé par le talentueux metteur en scène mexicain Alexis Gomez.

Instagram @Adrienbrody

D’une durée de trois minutes, « Kismet » s’ouvre sur une scène mélancolique : Brody, songeur, observe le paysage marocain défiler depuis la fenêtre d’un train. Une référence cinéphile que The Hollywood Reporter rapproche du personnage ferroviaire qu’il incarnait dans « The Darjeeling Limited » de Wes Anderson. Le voyage se poursuit dans les ruelles vibrantes de Tanger, entre rencontres impromptues et instants suspendus, avant que l’acteur ne s’engouffre dans un « grand taxi » en direction du nord du pays.

Instagram @Adrienbrody

De Tanger à Chefchaouen, la perle bleue du Rif, Adrien Brody suit les indices laissés par une vieille carte postale, tissant un récit intime où chaque détail semble chargé de sens. Cette quête le conduit jusqu’à une chambre de riad en bord de mer, dernier arrêt d’un périple aussi introspectif que sensoriel.

« Grandir à New York, une ville où la diversité et les rencontres imprévues sont omniprésentes, a nourri en moi cette soif d’aventure », confie Adrien Brody. « Les tournages m’amènent souvent aux quatre coins du monde, et j’adore cette sensation de me perdre pour mieux me retrouver. Voyager, c’est transcender les frontières, dépasser les différences culturelles, comprendre que chaque individu porte en lui une histoire unique.

Instagram @Adrienbrody

Produit en collaboration avec Monos, « Kismet » explore avec poésie les thèmes de la solitude et de la connexion humaine. Il illustre comment l’inconnu se révèle à nous lorsque nous nous abandonnons pleinement à l’expérience du voyage. Une invitation à l’errance, où l’authenticité des paysages marocains sublime la beauté du cheminement personnel.

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George clooney

Casablanca, métropole bouillonnante du Maroc, est depuis des décennies une destination incontournable pour les cinéastes du monde entier. Avec son architecture mêlant tradition et modernité, ses ruelles pittoresques et son atmosphère vibrante, la ville a accueilli des tournages de superproductions hollywoodiennes, de thrillers d’espionnage et de films d’action à grand spectacle. En ce moment, John Cena, star du catch et acteur d’action, tourne son dernier film, « Matchbox », à Casablanca, contribuant une fois de plus à la renommée internationale de la ville en tant que décor cinématographique. Ce n’est qu’un exemple parmi tant d’autres, puisque la ville a déjà été choisie pour des films emblématiques. Tour d’horizon.


Casablanca et Hollywood : une relation historique

Ironie du destin, le film culte « Casablanca » (1942), avec Humphrey Bogart et Ingrid Bergman, n’a jamais été tourné au Maroc. Entièrement réalisé en studio à Hollywood, ce chef-d’œuvre du cinéma a pourtant contribué à façonner l’image mythique de la ville blanche dans l’imaginaire collectif. Mais au fil des années, Casablanca est bel et bien devenue une destination de tournage privilégiée, attirant des productions internationales majeures.

Casablanca, décor privilégié du cinéma d’action et d’espionnage

« Mission: Impossible – Rogue Nation » (2015) – avec Tom Cruise en terrain familier

Le cinquième opus de la saga « Mission: Impossible », « Rogue Nation », compte parmi les grandes productions tournées à Casablanca. Dans ce volet, Ethan Hunt (incarné par Tom Cruise) affronte l’un de ses défis les plus périlleux : neutraliser Le Syndicat, une organisation secrète dont l’objectif est de démanteler l’Impossible Mission Force (IMF). Le tournage de ce film d’action s’est déroulé à travers plusieurs villes marocaines, notamment Marrakech, Agadir, Rabat, et bien sûr Casablanca. Dans la métropole, les équipes de production ont investi des lieux emblématiques tels que l’Ancienne Médina, le quartier de Derb Sultan, ainsi que la majestueuse Mosquée Hassan II. Aux côtés de Tom Cruise, des acteurs de renom comme Jeremy Renner, Rebecca Ferguson, Simon Pegg et Ving Rhames.

Capture tirée de la bande-annonce de « Mission: Impossible – Rogue Nation » (2015), mettant en lumière la Mosquée Hassan II, l’un des décors emblématiques du film.

« Syriana » (2005) – George Clooney au cœur des intrigues pétrolières

Dans ce thriller géopolitique signé Stephen Gaghan, George Clooney incarne un agent de la CIA plongé dans les jeux de pouvoir du marché pétrolier international. Casablanca, avec son dynamisme et ses contrastes, a été choisie pour incarner certaines scènes se déroulant au Moyen-Orient, renforçant le réalisme du film.

Extrait du film « Syriana » réalisé par Stephen Gaghan, avec George Clooney en personnage principal.
Credit photo : Cineimage

« Body of Lies » (2008) avec Leonardo DiCaprio et Russell Crowe

Parmi les nombreux films d’espionnage ayant choisi Casablanca comme décor, « Body of Lies », réalisé par Ridley Scott, occupe une place de choix. Ce thriller met en vedette Leonardo DiCaprio, Russell Crowe et Mark Strong dans une course haletante contre le terrorisme. L’intrigue suit Roger Ferris (DiCaprio), un agent de la CIA chargé de traquer le chef d’une organisation terroriste en Jordanie. Pris au piège dans un jeu de manipulation et de trahison, il se retrouve coincé entre les ordres de ses supérieurs et les manœuvres des services de renseignement jordaniens.

Bien que l’histoire se déroule principalement en Jordanie, le film a été tourné au Maroc, notamment à Rabat et Casablanca. Initialement, les producteurs avaient prévu de filmer à Dubaï, mais les autorités des Émirats arabes unis ont refusé l’autorisation en raison des thématiques politiques sensibles du scénario. Un détail intéressant sur ce tournage : l’aéroport de Casablanca a été transformé pour incarner le quartier général des services secrets jordaniens, un exemple parfait du talent des décorateurs et de la capacité du Maroc à se métamorphoser en différents lieux pour les besoins du cinéma.

« Alliés » (2016) Brad Pitt et Marion Cotillard, Casablanca des années 40

Bien que certaines scènes aient été tournées au Maroc, notamment dans le désert, une grande partie du film a été reconstituée en studio en raison de contraintes logistiques. Malgré cela, l’ambiance, l’architecture et les costumes rappellent fidèlement la ville blanche des années 40, renforçant le réalisme du film. Réalisé par Robert Zemeckis, « Alliés » raconte l’histoire de Max Vatan (Brad Pitt), un espion canadien envoyé en mission à Casablanca en 1942. Il y rencontre Marianne Beauséjour (Marion Cotillard), une résistante française infiltrée parmi les officiers nazis. Ensemble, ils montent une opération dangereuse contre les forces allemandes avant de tomber amoureux. Mais leur idylle est rapidement menacée par le doute et la suspicion lorsqu’une enquête met en cause l’identité de Marianne. L’histoire de « Alliés » se déroule en grande partie à Casablanca, une ville stratégique durant la Seconde Guerre mondiale. À l’époque, elle servait de point de transit crucial pour les forces alliées et de carrefour pour les services secrets opérant en Afrique du Nord.

Extrait du film « Alliés » réalisé par Robert Zemeckis où l’histoire de déroule à Casablanca (Studio).

« War Dogs » : Casablanca au cœur d’un thriller sur le trafic d’armes

Parmi les films récents également tournés à Casablanca, « War Dogs » (2016) s’inspire d’une histoire vraie pour raconter le parcours improbable de David Packouz (interprété par Miles Teller) et Efraim Diveroli (Jonah Hill), deux amis d’enfance devenus marchands d’armes. Contre toute attente, ils décrochent un contrat de plusieurs millions de dollars avec le Pentagone pour fournir des armes à l’armée américaine. Bien que largement romancée, l’intrigue s’inspire de faits réels survenus en 2007, offrant un aperçu des coulisses du commerce d’armes à l’échelle internationale. Le tournage s’est déroulé dans plusieurs régions du Maroc, dont Casablanca, qui a été utilisée pour représenter la Jordanie et l’Irak.

Extrait du film « War Dogs » réalisé par Jonah Hill qui aime particulièrement tourner au Maroc.

Selon Jonah Hill, Casablanca et le Maroc figurent parmi les lieux de tournage où il a pris le plus de plaisir à travailler, soulignant ainsi l’attractivité croissante du pays pour les productions hollywoodiennes.

Le Maroc, un studio à ciel ouvert pour les productions hollywoodiennes

Casablanca n’est pas le seul atout du Maroc en matière de cinéma. Avec ses paysages diversifiés allant des dunes du Sahara aux médinas historiques, le pays attire chaque année des productions prestigieuses. Les studios de Ouarzazate, surnommés le « Hollywood marocain », ont accueilli des films comme « Gladiator », « Lawrence d’Arabie » ou encore « Game of Thrones ». Mais Casablanca reste une référence incontournable lorsqu’il s’agit de capter l’effervescence d’une grande ville arabe au cinéma.

Avec la montée en puissance des tournages internationaux au Maroc, Casablanca continue d’attirer des superproductions hollywoodiennes, des thrillers d’espionnage, et même des films de science-fiction. La ville bénéficie d’une infrastructure de plus en plus développée, de techniciens qualifiés et d’une politique d’accueil favorable aux productions étrangères. Les prochains films tournés à Casablanca promettent d’ajouter encore plus de prestige à cette ville qui, bien loin du mythe hollywoodien de 1942, est aujourd’hui une véritable plaque tournante du cinéma mondial !

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Adil Rami

L’ancien footballeur international français Adil Rami, d’origine marocaine, a marqué un grand coup dans l’émission Danse avec les Stars 2025 en obtenant le premier 10 de la saison. Une performance inattendue qui a secoué les réseaux sociaux et conquis le jury.

Une prestation magistrale sur « Skyfall » d’Adele

Lors du cinquième prime de Danse avec les Stars, diffusé le 14 mars 2025, Adil Rami et sa partenaire Ana Riera ont livré une performance mémorable sur la chanson « Skyfall » d’Adele. L’ancien défenseur, plus habitué aux terrains de football qu’aux parquets de danse, a ébloui le jury avec une prestation d’une grande intensité. Si Rami n’était pas considéré comme l’un des favoris du concours au début de la saison, il a prouvé qu’il avait toute sa place dans la compétition. Sa prestation a été saluée par Mel Charlot, membre du jury, qui lui a attribué un 10, le premier de cette saison 2025.

Un parcours inattendu qui fait réagir la toile

Avant ce prime, Adil Rami était davantage perçu comme un outsider. Son gabarit imposant et son passé de footballeur ne laissaient pas présager un tel niveau d’aisance et d’émotion sur la piste de danse. Pourtant, il a su convaincre en livrant une performance élégante et maîtrisée.Cette montée en puissance a surpris les téléspectateurs et a enflammé les réseaux sociaux. De nombreux internautes ont exprimé leur admiration, saluant sa détermination et son évolution. Certains, sceptiques au départ, ont dû revoir leur jugement après cette prestation saluée par les professionnels.

Adil Rami et sa danseuse Ana Riera lors du premier prime de la saison 2025.

Une motivation inspirée par son ex compagne Pamela Anderson

Fait intéressant, Adil Rami a révélé que son ex-compagne Pamela Anderson, qui avait elle-même participé à « Danse avec les Stars », l’avait encouragé à tenter cette aventure. L’actrice et mannequin lui aurait souvent parlé de l’émission, évoquant son exigence mais aussi le plaisir qu’elle procure. Encouragé par cette idée et par l’envie de relever un nouveau défi, l’ancien défenseur champion du monde a accepté de se lancer, avec le succès que l’on connaît désormais.

MONTE-CARLO, MONACO – 24 MAI 2019 – Pamela Anderson et Adil Rami lors du défilé de mode Amber Lounge . Le footballeur a partagé deux ans du quotidien de celle-ci, avec qui il a vécu une relation médiatisée.
(Getty Images)

Adil Rami : un compétiteur prêt à aller plus loin ?

Si cette performance marque un tournant dans l’aventure d’Adil Rami, reste à savoir s’il pourra maintenir ce niveau et viser la victoire finale. Son évolution spectaculaire montre qu’il possède la rigueur et l’envie nécessaires pour aller loin dans la compétition. Ce premier 10 de la saison est une preuve de son potentiel. Désormais, tous les regards sont tournés vers lui : pourra-t-il continuer à surprendre et s’imposer comme l’un des candidats les plus sérieux pour le trophée de Danse avec les Stars 2025 ?

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Aida Benchemsi

Aida Benchemsi est une muse des temps modernes. Déjà maman d’un petit garçon, elle s’apprête à accueillir une petite fille, un bonheur qu’elle savoure avec une grâce infinie. Lumineuse, élégante et toujours inspirante, elle façonne un univers où l’esthétisme rencontre l’authenticité. Diplômée en architecture et photographie, elle capture la beauté du quotidien avec une sensibilité rare, sublimant chaque instant à travers son objectif. Passionnée de mode, d’art et de partage, elle enchante sa communauté avec son style unique et son aura bienveillante. Aujourd’hui, portée par l’attente de ce nouvel amour, elle nous ouvre les portes d’une maternité éclatante et profondément émotive.

Aida a rencontré son bien-aimé Houcine il y a sept ans, par pur hasard, lors d’une soirée entre amis. Aujourd’hui, ils sont les heureux parents d’un adorable petit Ali et s’apprêtent à vivre un nouveau bonheur avec l’arrivée de leur petite fille.
Crédit Photo : Lamajphotography

Félicitations pour cette merveilleuse nouvelle, Aida ! Vous attendez une petite fille. Comment vous sentez-vous à l’idée d’agrandir votre famille ?

Merci beaucoup ! C’est une immense joie et une belle émotion d’imaginer notre famille s’agrandir. J’ai attendu un écart de 3 ans et demi – 4 ans avant de ressentir à nouveau l’envie de pouponner. On sait tous à quel point les premiers mois d’un bébé peuvent être intenses, et pour moi, il était essentiel d’avoir vraiment envie de les revivre et d’être prête mentalement et physiquement. Je n’aurais surtout pas voulu être enceinte à un moment où j’avais encore la tête sous l’eau avec Ali. J’avais ce sentiment de me dire : “Peu importe l’âge d’écart entre eux, le plus important, c’est d’avoir hâte de revivre les premiers mois pour tenter d’en profiter pleinement et non pas juste survivre, comme c’est souvent le cas lors d’une première maternité.” Aujourd’hui, je suis tellement heureuse que ce soit ma deuxième fois, car je n’ai plus peur, je sais à quoi m’attendre, et au contraire, j’ai hâte de traverser toutes les difficultés du début avec ma petite fille. Je sais que ça ne dure pas, que tout passe très vite, et cette fois, je veux savourer chaque instant.

En février, Aida a fait une belle surprise à ses abonnés en annonçant sur Instagram le sexe de son bébé. Un moment magique, empli d’émotion et de joie, qu’elle a partagé avec sa communauté, révélant avec tendresse le petit secret qu’elle a précieusement gardé.
Crédit Photo : Lamajphotography

Avec votre premier enfant, Ali, vous avez déjà vécu l’expérience de la maternité. Comment s’est passée cette première aventure et qu’est-ce qui a changé pour vous cette fois-ci ?

La maternité avec Ali a été une découverte bouleversante, dans tous les sens du terme. Je suis passée par un tourbillon d’émotions, de bonheur intense, de doutes, d’épuisement, et d’apprentissage permanent. Les premiers mois ont été particulièrement éprouvants, car rien ne nous prépare vraiment à cette nouvelle vie. On se retrouve plongée dans l’inconnu, avec un tout petit être qui dépend entièrement de nous, et il faut apprendre à jongler entre les besoins du bébé et les siens, sans mode d’emploi. Avec le recul, je me rends compte à quel point j’ai passé beaucoup de temps à stresser et à me poser mille questions. Est-ce qu’il mange assez ? Est-ce qu’il dort bien ? Est-ce que je fais les choses correctement ? Tout est nouveau, et on a cette pression de vouloir bien faire, mais aussi cette fatigue immense qui rend tout plus compliqué. Cette fois-ci, la grande différence, c’est que je me sens beaucoup plus confiante et sereine. Je sais que les nuits hachées, les coliques, les pleurs sans raison apparente… tout ça finit par passer. Je sais aussi que chaque bébé est différent, et je suis prête à accueillir cette nouvelle aventure avec plus de lâcher-prise et d’acceptation. Et surtout, je suis consciente à quel point le temps file vite. Avec Ali, j’avais souvent la tête dans l’organisation et dans l’adaptation, alors que cette fois-ci, j’ai envie de savourer pleinement chaque instant, même les plus difficiles. Je me sens prête à revivre ces premiers mois avec beaucoup plus de recul et d’apaisement, et j’ai vraiment hâte de rencontrer ma fille et de voir quelle maman je vais être pour elle.

La maternité avec son premier a été un tourbillon d’émotions, de doutes et de découvertes pour Aida. Les premiers mois ont été remplis de questions et de fatigue, mais avec le temps, elle a appris à lâcher prise et à savourer chaque instant. Aujourd’hui, elle se sent plus sereine et prête à accueillir sa fille avec toute la confiance qu’elle a acquise.
Crédit Photo : Lamajphotography

Ali a l’air d’être un petit garçon très vif et attaché à vous. Comment a-t-il réagi à l’annonce de l’arrivée de sa petite sœur ?

Il a réagi avec beaucoup d’enthousiasme et de curiosité ! Dès qu’on lui a annoncé qu’il allait avoir une petite sœur, il s’est tout de suite projeté dans son rôle de grand frère. Il me dit souvent qu’il va lui donner plein de choses, comme ses jouets (enfin, ceux qu’il ne veut plus bien sûr !), et il est surtout très content que ce soit une fille et pas un garçon. Pour lui, c’est parfait comme ça, parce que “comme ça, chacun aura ses jouets” – ce qui m’a beaucoup fait rire ! Pour l’instant, il vit très bien cette attente et il est dans une phase où il idéalise beaucoup l’arrivée du bébé. Après, on sait que tout peut changer une fois qu’elle sera là. On s’est préparés à toutes les réactions possibles, et on ajustera en fonction de lui. L’important, c’est de lui laisser du temps pour s’adapter et surtout de lui donner encore plus d’amour pour qu’il se sente toujours à sa place. Ça risque d’être un grand challenge mais tout le monde passe par là et s’en sort right?

Dans l’attente de sa petite fille, Aida continue de capturer la beauté de chaque instant, illuminée par la maternité et sa passion pour l’esthétisme et l’authenticité.
Crédit Photo : Lamajphotography

Comment imaginez-vous la relation entre Ali et sa future petite sœur ? Vous avez l’air d’avoir une très belle complicité avec lui, quel genre de grand frère pensez-vous qu’il sera ?

J’imagine une relation pleine de complicité, avec des moments de tendresse mais aussi, forcément, quelques petites chamailleries. Ali a un grand cœur, il est protecteur et attentionné, donc je pense qu’il prendra son rôle de grand frère très au sérieux. Mais en même temps, c’est un enfant plein d’énergie, qui aime avoir son espace et ses moments à lui, donc il faudra sûrement un temps d’adaptation pour trouver un nouvel équilibre. Je suis très curieuse de voir comment leur lien va se tisser au fil du temps. J’espère qu’ils construiront une belle relation, avec leurs propres codes et leur petite bulle à eux. Bien sûr, je sais que tout ne sera pas toujours parfait, qu’il y aura des disputes, des jalousies, et des ajustements à faire, mais c’est aussi ça une fratrie. Ce que je souhaite avant tout, c’est qu’ils soient heureux ensemble, qu’ils se sentent libres d’être eux-mêmes et qu’ils trouvent en l’autre un soutien, peu importe les années qui passent. C’est vraiment mon vœu le plus cher en tant que maman.

Une nouvelle aventure se dessine pour Aida, une maternité qu’elle embrasse avec toute la grâce qui la caractérise. L’attente de sa petite fille ajoute une touche encore plus magique à son univers.
Crédit Photo : Lamajphotography

Vous êtes actuellement enceinte pendant le Ramadan. Comment le vivez-vous dans cette période particulière ?

Le Ramadan est toujours un moment de reconnexion et de spiritualité pour moi. Cette année, avec la grossesse, j’écoute beaucoup plus mon corps. Je me repose, je me nourris bien, et j’essaie de profiter de l’ambiance apaisante du mois sacré à mon rythme.

Crédit Photo : Lamajphotography

Et pour finir, avec votre style impeccable, vous êtes un véritable modèle pour vos abonnés… Quelle serait, selon vous, la tenue idéale pour allier confort, grossesse et élégance pendant le Ramadan ?

Merci, c’est très gentil! Pour moi, le mot d’ordre, c’est confort absolu sans jamais sacrifier l’élégance. Et honnêtement, avec la grossesse, je suis encore plus adepte du “the baggier, the better” ! J’adore les coupes amples et fluides qui laissent respirer le corps tout en apportant une touche sophistiquée. Et bien sûr, avec le Ramadan, j’aime y ajouter une touche marocaine, parce que c’est ce que je préfère ever ! Un caftan revisité, un joli jabador en lin, ou encore une gandoura moderne aux couleurs douces… Ces pièces ont ce charme intemporel qui allie tradition et modernité. Portées avec des sandales plates ou de jolies babouches en cuir souple, c’est le mix parfait entre confort, féminité et héritage culturel. Mais ce qui fait vraiment la différence pour moi, ce sont les bijoux. C’est une touche cruciale qui vient sublimer n’importe quelle tenue ! J’adore superposer mes pièces préférées, celles qui ont une histoire pour moi. Récemment je ne me sépare plus de mes créations de Chapter One, la collection que j’ai imaginée avec la maison de haute joaillerie Taj. Une collection qui, elle aussi, met à l’honneur le Maroc et son héritage. Je me suis inspirée de notre histoire pour créer des bijoux modernes, qui se marient d’ailleurs tellement bien avec les tenues traditionnelles que l’on porte durant le Ramadan ! Finalement, la meilleure tenue, c’est celle dans laquelle on se sent bien, surtout en cette période où le corps change et où l’énergie fluctue. Donc pour moi, c’est simple : du loose, du fluide, des bijoux qui ont du sens, et toujours une touche marocaine pour cette élégance naturelle que j’aime tant ! Mon dernier mot… FULLLOVE !

« Aujourd’hui, je suis tellement heureuse que ce soit ma deuxième fois, car je n’ai plus peur, je sais à quoi m’attendre, et au contraire, j’ai hâte de traverser toutes les difficultés du début avec ma petite fille. Je sais que ça ne dure pas, que tout passe très vite, et cette fois, je veux savourer chaque instant » confie Aida pleine de sérénité et d’impatience.
Crédit Photo : Lamajphotography
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Chaque année, la Suède célèbre le 12 mars le « Jour du nom de Victoria », une journée particulièrement symbolique pour la princesse héritière Victoria. En 2025, cet événement a pris une tournure inédite : pour la première fois, la future reine a assisté à la cérémonie militaire en portant un uniforme de la Marine suédoise. Une apparence qui témoigne de son engagement croissant au sein des forces armées.

Sous un ciel clair de mars, la cour du palais royal de Stockholm s’anime d’une ferveur toute particulière. La princesse héritière Victoria de Suède fait son entrée avec grâce et prestance pour assister aux célébrations officielles de son jour du nom, une tradition profondément ancrée dans le protocole royal.
(Getty Images)

Une célébration ancrée dans l’histoire suédoise

Le 12 mars est une date particulière en Suède, marquant le jour attribué au prénom Victoria dans le calendrier officiel. Cette tradition remonte à la Réforme protestante de 1527, où les saints patrons catholiques ont été en grande partie conservés dans le calendrier suédois. Plus tard, l’Académie de Suède a introduit des prénoms modernes, dont Victoria, qui fait référence à la reine Victoria de Suède, épouse du roi Gustave V. La date du 12 mars correspond à celle de leurs fiançailles en 1881.

Une apparition en uniforme pour marquer son engagement militaire

Habituellement présente en tenue civile lors de cette cérémonie, la princesse héritière Victoria a cette année choisi de revêter un uniforme militaire pour la première fois en public. Cette décision fait suite à sa formation militaire intensive : depuis l’été dernier, elle suit le programme SOFU à l’Académie de la Défense. Son engagement lui a permis d’obtenir le grade de « Fänrik », équivalent d’enseigne dans la Marine suédoise, soit le grade le plus bas pour un officier.

Revêtue de son uniforme militaire pour la toute première fois lors de cet événement, Victoria incarne à la fois l’élégance et l’engagement envers son pays. Devant les rangs impeccables des forces armées, elle salue avec respect et reçoit, sous les applaudissements du public, l’hommage rendu à son titre et à son rôle grandissant au sein de la monarchie suédoise.
(Getty Images)

L’obtention de ce grade a été marquée par la remise officielle de son uniforme, comportant une barre dorée surmontée d’une boucle, insigne distinctif des enseignes. La princesse avait déjà été aperçue en tenue militaire en janvier lors de la rentrée à l’Académie de la Défense, mais cette apparition publique du 12 mars marque une étape significative dans son implication au sein des forces armées.

Une cérémonie sous le signe de la tradition et du renouveau

La cérémonie s’est tenue dans la cour du palais royal de Stockholm, en présence de nombreux spectateurs. Contrairement aux années précédentes, la princesse Victoria était seule, sans son époux, le prince Daniel, ni leurs enfants. Fidèles à la tradition, les citoyens présents ont pu lui remettre des bouquets de fleurs en fin de célébration.

Les regards émerveillés des enfants croisant celui de la future reine, qui prend le temps d’échanger quelques mots, de recueillir cadeaux qu’ils lui tendent avec fierté et d’illuminer leur journée d’un geste attentionné.
(Getty Images)

Cet événement a été instauré au début des années 1990 pour honorer la princesse, en raison de son anniversaire estival, le 14 juillet, qui est souvent célébré en privé sur l’île d’Öland. Ainsi, la cérémonie du 12 mars est devenue un moment officiel où la population peut rendre hommage à l’héritière du trône.

Une rencontre significative avec le bataillon Victoria

Après la cérémonie, la princesse Victoria a rencontré le lieutenant-colonel Marcus Appelgren du bataillon Victoria, unité du régiment amphibie de Stockholm. Ce dernier lui a remis un album de souvenirs illustrant ses visites et interactions avec le bataillon qui porte son nom, renforçant ainsi les liens entre la famille royale et l’armée suédoise.

Cette première apparition publique en uniforme marque une nouvelle étape dans le parcours de Victoria de Suède, affirmant son rôle non seulement en tant qu’héritière du trône, mais aussi en tant que future cheffe des armées suédoises.

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Les quatre Sultanes de Mohammed V

Hier, Sa Majesté le Roi Mohammed VI s’est recueilli sur la tombe de Feu Sa Majesté le Roi Mohammed V, à l’occasion de l’anniversaire de sa disparition, coïncidant avec le 10ᵉ jour du mois de Ramadan. Ce moment de mémoire et de recueillement, en plein mois dédié à la célébration des femmes, rappelle l’importance des figures féminines qui ont marqué l’histoire du Maroc. Parmi elles, les filles de Feu SM Mohammed V, qui ont joué un rôle central dans la construction de l’identité nationale et continuent de symboliser l’héritage et les valeurs d’un souverain visionnaire.

MADAGASCAR – 1ᵉʳ JANVIER : Feu SM le Roi Mohammed V à Madagascar, en 1954, ici assis entre ses deux fils, Moulay Hassan et Moulay Abdallah. Sur ses genoux se trouve sa fille, la Princesse Lalla Amina.
(Getty Images)

Sa Majesté le Roi Mohammed V, père de l’indépendance et souverain visionnaire, a laissé un héritage politique et historique considérable. Mais au-delà de son rôle de chef d’État, il fut également un père aimant et attentif, entretenant une relation privilégiée avec ses filles, qu’il encouragea dans leur engagement pour la modernisation et le développement du Maroc. Chacune d’entre elles a marqué l’histoire par son parcours exceptionnel, son engagement et son dévouement à la nation.

SAR la Princesse Lalla Aicha : une pionnière de la diplomatie et de l’émancipation des femmes

Son Altesse Royale la Princesse Lalla Aicha (1930-2011) fut une figure emblématique du Maroc moderne. Dès son plus jeune âge, Sa Majesté le Roi Mohammed V lui transmit des valeurs de courage, de responsabilité et d’engagement. Première femme marocaine à apparaître en public sans voile en 1947 lors d’un discours historique à Tanger, elle devint un symbole de l’émancipation féminine sous l’impulsion de son père. Sa Majesté souhaitait faire d’elle un exemple pour les femmes marocaines, et elle devint ainsi la première ambassadrice du Royaume du Maroc. Nommée ambassadrice à Londres en 1965, puis en Italie et en Grèce, la Princesse joua un rôle clé dans la diplomatie marocaine. Forte et charismatique, elle incarna l’image d’un Maroc tourné vers l’avenir, tout en restant fidèle aux valeurs du Royaume.

La Princesse Lalla Aïcha (à droite) marchant avec un membre de son personnel lors d’une visite à l’Acropole d’Athènes, le 25 septembre 1957.
(Getty Images)
La Princesse Lalla Aicha et George Thomson du Foreign Office signant un accord commercial sur le transport aérien entre le Maroc et l’Angleterre à Londres, au Royaume-Uni, le 22 octobre 1965.
(Getty Images)

SAR la Princesse Lalla Malika : un engagement humanitaire indéfectible

Son Altesse Royale la Princesse Lalla Malika (1933-2021) consacra sa vie aux causes humanitaires. Héritant de la bienveillance et du sens du devoir de son père, elle devint une figure centrale de l’action sociale au Maroc. Sa Majesté le Roi Mohammed V, conscient de l’importance de l’entraide et du bien-être de son peuple, lui transmit son amour pour les œuvres caritatives. Elle devint ainsi Présidente du Croissant-Rouge marocain, un rôle qu’elle occupa avec dévouement pendant plusieurs décennies. Grâce à la Princesse, le Croissant-Rouge marocain renforça son action humanitaire, apportant assistance et secours aux plus vulnérables, notamment lors des catastrophes naturelles et des crises sanitaires.

FRANCFORT, ALLEMAGNE – 12 SEPTEMBRE 1956 : La Princesse Lalla Malika et la Princesse Lalla Aïcha lors d’une visite en Allemagne.
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SAR la Princesse Lalla Nouzha : une vie de discrétion et d’élégance

Son Altesse Royale la Princesse Lalla Nouzha (1940-1977) était connue pour sa douceur et sa discrétion. Très proche de son père, elle partageait avec lui un amour profond pour la culture et l’histoire du Royaume.Bien qu’elle ne fût pas exposée publiquement comme ses sœurs, la Princesse joua un rôle important au sein de la famille royale. Elle représentait l’élégance et la grâce marocaines, portant haut les valeurs transmises par Sa Majesté le Roi Mohammed V. Son destin fut tragiquement interrompu par un accident de voiture en 1977, laissant un vide au sein de la famille royale.

La Princesse Lalla Nouzha du Maroc dans son caftan aux côtés de sa jeune sœur, Lalla Amina, vêtue d’un caftan bleu.
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SAR la Princesse Lalla Amina : la passion du sport et du cheval

Son Altesse Royale la Princesse Lalla Amina (1954-2012) était la benjamine des filles de Sa Majesté le Roi Mohammed V. Dès son plus jeune âge, elle développa une passion pour l’équitation, un amour partagé avec son père.Son Altesse Royale s’investit pleinement dans le développement des sports équestres au Maroc. Elle fut nommée Présidente de la Fédération royale marocaine des sports équestres, où elle travailla sans relâche pour promouvoir ce sport et encourager les jeunes cavaliers.Connue pour sa rigueur et son professionnalisme, la Princesse permit au Maroc de briller sur la scène internationale dans le domaine des sports équestres. Son héritage perdure encore aujourd’hui à travers les nombreuses initiatives qu’elle a mises en place.

Il y a 15 ans, HOLA! MAROC avait eu l’honneur de consacrer un dossier de presse exceptionnel à Son Altesse Royale la Princesse Lalla Amina. Dans une vingtaine de pages, elle s’était livrée avec sincérité, partageant ses souvenirs, ses engagements et sa vision, offrant ainsi un témoignage rare et précieux.
Le Roi Mohammed V et sa famille furent contraints à l’exil à Madagascar. Ici, aux côtés de sa fille Lalla Amina.
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Sa Majesté le Roi Mohammed V fut un père aimant, attentif et soucieux de l’avenir de Leurs Altesses Royales. Il les éduqua dans un esprit de modernité, tout en leur inculquant les valeurs fondamentales du Royaume : l’honneur, le service à la nation et la loyauté envers le peuple marocain. Chacune d’elles, à sa manière, a honoré son héritage en s’engageant dans des domaines variés – diplomatie, humanitaire, sport – contribuant ainsi à la grandeur du Maroc. Aujourd’hui encore, l’histoire de Leurs Altesses Royales demeure une source d’inspiration et un témoignage du rôle crucial des femmes dans l’évolution du Royaume du Maroc.

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Le lundi 10 mars a été une journée de célébration pour la famille royale britannique à l’occasion du Commonwealth Day. Cet événement annuel met à l’honneur l’unité des 56 nations membres de cette organisation intergouvernementale réparties sur quatre continents. Comme le veut la tradition, une cérémonie solennelle a été organisée à l’abbaye de Westminster, rassemblant la famille royale et les représentants des différents États membres.

Une présence attendue après une année d’absence

L’édition 2024 de cette célébration revêtait une signification particulière : l’année précédente, le roi Charles III et la princesse Kate Middleton avaient dû s’absenter pour des raisons de santé. Tous deux luttaient contre le cancer, une période éprouvante qui avait alimenté de nombreuses spéculations, notamment autour de l’état de la princesse de Galles. Un an plus tard, leur présence à Westminster a marqué un moment fort, soulignant leur résilience et leur engagement envers leurs responsabilités royales.

En ce jour de célébration du Commonwealth Day, le prince William et la princesse Catherine de Galles ont fait une apparition remarquée à l’abbaye de Westminster, où se tenait la traditionnelle cérémonie annuelle. Élégants et complices, ils ont incarné avec prestance l’unité et la continuité de la monarchie britannique.
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Kate Middleton, élégance et naturel retrouvés

Après une période de convalescence, Kate Middleton a fait une apparition remarquée, renouant avec son rôle public avec grâce et sérénité. Fidèle à son style intemporel, elle a opté pour un manteau rouge signé Catherine Walker, déjà aperçu lors d’événements antérieurs, notamment son concert de Noël en 2021. Accessoirisant sa tenue avec un collier de perles à quatre rangs, précieux héritage de la reine Elizabeth II, ainsi qu’un élégant chapeau de la créatrice Gina Foster, elle a conquis l’assistance par son charisme naturel et son sourire radieux.

Le Commonwealth, vaste réseau de 56 nations à travers le monde, symbolise des liens historiques et culturels forts entre ces pays. Ce 10 mars 2025, sous les voûtes majestueuses de l’abbaye, la famille royale a réaffirmé son attachement à cette communauté, illustrant par leur présence l’importance de cette union entre peuples.
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Le roi Charles III et Camilla, symboles de continuité

En tant que chef du Commonwealth, le roi Charles III était bien évidemment au premier rang, accompagné de la reine Camilla. Cette dernière a fait honneur à sa réputation de reine du recyclage vestimentaire en réutilisant une robe rose poudré Fiona Clare Aldridge, déjà portée lors de la visite d’État en France en 2023 et lors des commémorations du D-Day. Parée de son chapeau assorti signé Philip Treacy, elle incarnait une continuité élégante et sobre aux côtés du souverain.

Le roi Charles III, accompagné de la reine Camilla, a présidé cette cérémonie solennelle, entouré des figures majeures de la monarchie : le prince William et la princesse Catherine de Galle.
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Une famille royale unie pour célébrer le Commonwealth

Au-delà du couple royal et du prince et de la princesse de Galles, d’autres membres de la famille étaient présents, notamment la princesse Anne, sœur de Charles III, bien que venue sans son époux Tim Laurence. La présence des figures majeures de la monarchie a donné à cet événement une dimension solennelle et symbolique, affirmant une fois encore l’importance du Commonwealth dans la vision du roi.Après une année marquée par des épreuves personnelles, le retour de Kate Middleton et Charles III en public a envoyé un message fort : celui de la résilience et du dévouement à leurs engagements.

La princesse Anne a également pris part à la cérémonie, fidèle à son engagement indéfectible envers la Couronne et les valeurs de cette organisation mondiale.
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Stella McCartney

Kate Moss, véritable icône de la mode, continue de séduire le monde entier par son style unique, à la fois décontracté et élégant. À 51 ans, le mannequin britannique est toujours une source d’inspiration pour les cool-girls et reste une référence dans l’univers de la mode. Le 5 mars, lors de la Fashion Week automne-hiver 2025, elle a une nouvelle fois captivé l’attention en apparaissant au défilé Stella McCartney dans une tenue aussi rock que glamour.

Stella McCartney
Kate Moss éblouit à la Fashion Week avec un look rock et glamour, incarnant à nouveau l’icône intemporelle qu’elle est.
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Un total look noir ultra-glamour

Le tapis rouge du défilé Stella McCartney a vu défiler de nombreuses célébrités, parmi lesquelles Cameron Diaz, Isabelle Adjani et Brigitte Macron. Cependant, c’est Kate Moss qui a volé la vedette. L’iconique mannequin s’est affichée dans une tenue noire impeccablement stylée, composée d’un manteau en cuir oversize, d’un legging noir et d’un body en dentelle. Pour compléter son look, elle a opté pour un sac à main clouté, ajoutant une touche de caractère à sa silhouette.

Stella McCartney
Un mélange parfait de décontracté et de moderne, ce look « Indie Sleaze » rend hommage au style grunge des années 90, avec lequel Kate Moss a marqué l’histoire de la mode. (Getty Images)

Ce look, à la fois intemporel et résolument moderne, rappelle l’esprit des années 1990, époque où Kate Moss a véritablement marqué les esprits avec son style grunge et rebelle. Cette tenue « Indie Sleaze », un mix de mode décontractée et un brin désordonnée, incarne parfaitement la vision du style de Moss, toujours à l’avant-garde des tendances.

Un style iconique et un maquillage naturel

Côté accessoires, Kate Moss n’a pas dérogé à sa signature : une paire de sabots à plateforme. Ces chaussures, allongeant sa silhouette, laissent apparaître ses ongles vernis d’un rouge éclatant, apportant une touche de féminité subtile.

Stella McCartney
Kate Moss a misé sur une coiffure décontractée avec des cheveux légèrement ébouriffés et un maquillage minimaliste, sublimant sa beauté naturelle en toute simplicité.
(Getty Images)

Côté mise en beauté, elle a opté pour un look simple et naturel, fidèle à son image. Ses cheveux, légèrement ébouriffés et coiffés en ondulations légères, ajoutaient du volume à sa chevelure blonde. Le maquillage, quant à lui, a été minimaliste avec des teintes nudes et discrètes, soulignant sa beauté naturelle. Un choix de mise en beauté qui montre qu’il est possible d’être élégante sans en faire trop.

Une icône de style intemporelle

Kate Moss continue de dominer la scène mode depuis les années 1990, à travers les décennies et jusqu’à aujourd’hui. Véritable muse des années 2010, elle incarne à elle seule la tendance punk et vintage qui revient aujourd’hui en force. Ses silhouettes emblématiques, composées de pièces léopard, de jeans skinny déchirés et de chemises à carreaux, sont aujourd’hui encore un modèle de style, repris par les générations suivantes et omniprésents dans les collections de créateurs.

Stella McCartney
Deux décennies plus tard, Kate Moss continue de régner sur la mode, inspirant les générations avec son style unique et son esprit rebelle.
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Une légende qui fait aussi rêver les nouvelles générations

Avec plus de 103 000 hashtag #katemoss sur TikTok, la mannequin ne cesse d’inspirer les jeunes générations. Ses apparitions publiques, ses looks iconiques et ses collaborations avec les plus grands noms de la mode continuent de marquer l’histoire. Kate Moss prouve que la simplicité, le minimalisme et l’audace dans les accessoires sont la clé de son succès durable.

Plus de deux décennies après ses débuts sur les podiums, Kate Moss n’a rien perdu de sa place de référence dans le monde de la mode. Ayant défilé pour les plus grands créateurs, tels que Yves Saint Laurent, Chanel, Jean-Paul Gaultier ou Louis Vuitton, elle reste une figure incontournable, présente sur nos tableaux d’inspiration mode, de Pinterest à Instagram.Kate Moss démontre qu’une vraie icône de mode ne se démode jamais, et ce, grâce à sa fidélité à son style unique et sa capacité à se renouveler tout en restant fidèle à ses racines.

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Charlotte Casiraghi a une nouvelle fois démontré son élégance intemporelle en assistant au prestigieux Grand Dîner du Louvre. Dans le décor grandiose du Louvre à Paris, aux côtés de célébrités telles que Gigi Hadid, Naomi Campbell ou encore Virginie Efira, la fille de Caroline de Monaco a captivé tous les regards dans une tenue d’exception signée Chanel, maison dont elle est l’une des ambassadrices emblématiques.

Un hommage à la maison Chanel

L’héritière monégasque, fidèle à la griffe iconique, a fait une entrée remarquée vêtue d’une somptueuse robe bustier blanche, sublimée par un manteau noir long et des escarpins assortis. Son look, à la fois sophistiqué et minimaliste, était rehaussé d’un collier ras-du-cou orné de perles et arborant le célèbre logo entrelacé de Chanel. Une tenue qui reflète parfaitement son goût pour l’élégance discrète et son attachement à la maison de couture française.

Sous les lumières scintillantes du Louvre, Charlotte Casiraghi fait une entrée remarquée, incarnant avec grâce l’alliance parfaite entre héritage princier et chic parisien. Drapée dans une création Chanel, elle impose son style avec une sobriété éclatante, prouvant une fois de plus que la mode est, chez elle, une seconde nature.
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Après avoir pris la pose devant les photographes, d’abord enveloppée dans son manteau puis dévoilant sa silhouette gracile, Charlotte Casiraghi a rejoint les invités prestigieux du dîner. Parmi eux, la ministre de la Culture française, Rachida Dati, avec qui elle a échangé longuement. Passionnée de philosophie et de culture, la jeune femme a profité de cette soirée d’exception pour mêler discussions intellectuelles et passion pour la mode, illustrant une fois de plus sa personnalité raffinée et cultivée.

Charlotte Casiraghi illumine le photocall du prestigieux ‘Grand Dîner du Louvre’ au Passage Richelieu, Musée du Louvre. Dans cette soirée d’exception, la fille de Caroline de Monaco incarne l’élégance et la grâce, captivant tous les regards sous les voûtes majestueuses du musée. Un éclat intemporel au cœur de la capitale de la mode
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Une passion familiale pour la mode

Chez les Grimaldi, l’amour du style se transmet de génération en génération. Charlotte Casiraghi, icône de mode incontestée, n’est pas la seule à perpétuer cet héritage. De passage à Paris pour la Fashion Week, elle pourrait retrouver sa cousine Pauline Ducruet, créatrice de mode et fondatrice de sa propre marque. Leur grand-mère, la légendaire Grace Kelly, demeure une source d’inspiration pour les plus grands couturiers. Un attrait pour la mode qui se retrouve également chez Alexandre Grimaldi, fils du prince Albert II, désormais mannequin et habitué des podiums.

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