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Amal Adyel pose en studio

Entre marathon, Ironman et entrepreneuriat, la première Marocaine à avoir participé au championnat du monde d’Ironman à Kona confie à ¡HOLA! Maroc son amour du sport, de la vie et de la liberté.

À 40 ans, Amal Adyel n’a rien perdu de son énergie, ni de son envie de courir après la vie, littéralement. Marathonienne aguerrie, triathlète accomplie, entrepreneure et première Marocaine à avoir participé au Championnat du monde d’Ironman à Kailua-Kona (Hawaï), elle incarne la détermination et la grâce d’une femme qui trace son chemin à grandes enjambées.

Alors qu’elle s’apprête à participer au Marathon de Casablanca, Amal confie à ¡HOLA! Maroc sa passion du sport, son rapport à la féminité et cette force tranquille qui la pousse toujours plus loin.

Le tout premier Ironman de Amal Adyel à Hawaï

Une course à domicile, mais pas comme les autres

« Cette année, c’est un tournant à 360°. L’organisation du Marathon de Casablanca a été confiée à de vrais passionnés, l’Association des Grands Coureurs de Casablanca (AGCC). » confie Amal, le regard pétillant au-dessus d’un café sur un rooftop casablancais. Pour cette édition, le parcours a été entièrement repensé : départ depuis la Mosquée Hassan II, passage par la corniche, le Maârif, Ghandi, Racine, les Twins Center… Un itinéraire qui célèbre l’âme de Casablanca, sa modernité et ses contrastes.

Cette année, Amal participera au relais du marathon, une formule innovante où quatre coureurs se partagent les 42 kilomètres. « C’est une belle idée, dit-elle, car cela crée un vrai esprit d’équipe. Le running, c’est aussi une aventure humaine. »

Amal Adyel pose en studio
Amal Adyel se confie à HOLA ! MAROC à la veille du marathon de Casablanca

Du Marathon à l’Ironman : l’art de se dépasser

En 2019, Amal relève un défi que peu auraient osé : son premier Ironman full distance à Nice, sans expérience préalable en triathlon. « Des amis m’ont dit : ‘Tu devrais tenter un Ironman.’ J’ai répondu : ‘Vous êtes fous.’ Et puis je l’ai fait. » raconte-t-elle avec un sourire. Quatre kilomètres de natation, 180 kilomètres de vélo, un marathon de 42 kilomètres. Un parcours titanesque qu’elle a bouclé grâce à sa rigueur, sa préparation et un mental d’acier.

Depuis, Amal a enchaîné les épreuves mythiques : Nice, Klagenfurt, Copenhague, avant de décrocher une qualification historique pour Kona, les championnats du monde d’Ironman à Hawaï. Une expérience qu’elle décrit comme « le sommet d’un rêve », symbole d’une discipline qui, selon elle, « permet de vaincre la peur, d’apprivoiser la douleur et de se redécouvrir à chaque course. »

Chef d’entreprise et sportive accomplie

Loin des pistes, Amal dirige une entreprise familiale dans la construction. En parallèle, elle a fondé Pikala, un concept store dédié au triathlon et aux sports d’endurance. « Pikala est né pendant la pandémie, après une vidéo virale d’un enfant qui criait ‘Picalti !’ quand on lui a volé son vélo. » se souvient-elle en riant. Le lieu, unique au Maroc, mêle boutique, nutrition, espace café et conseils personnalisés pour amateurs et professionnels du sport. « Je voulais créer un endroit où les gens peuvent vivre le sport, pas seulement le pratiquer. » Son secret pour concilier business et sport ? Une organisation millimétrée. « Je gère 300 employés, je m’entraîne, je voyage, mais le sport est devenu mon équilibre. Il fait partie de mon ADN. »

Une femme de cœur, entre famille et féminité

Amal assume sa dualité : la rigueur de la sportive et la douceur de la femme. « Être sportive ne veut pas dire renoncer à être femme. Le matin, je cours en brassière à 5h30, et quelques heures plus tard, je peux être en robe et talons. C’est ça, ma liberté. » Modeuse dans l’âme, elle revendique le droit d’être à la fois performante et élégante, forte et sensible.

Elle court Amal Adyel toute l’année, tout le temps … et partout dans le monde

Côté cœur, elle confie avec pudeur : « Mon cœur est grand comme mon sport. Je n’ai pas besoin de remplir une case, je vis dans le partage et l’amour au sens large. » Sa famille, elle, la soutient inconditionnellement. « Mes parents étaient là pour mon 24H Challenge, ma mère m’a accompagnée à Hawaï. C’était son anniversaire… Je lui ai dédié cette course. » Entre Fès, Meknès et Casablanca, Amal Adyel appartient à cette génération de Marocaines qui conjuguent audace, indépendance et inspiration. Elle incarne la femme moderne : athlète, cheffe d’entreprise, et âme libre, toujours en mouvement. Et à 40 ans, son regard porte déjà vers de nouvelles pistes : Valence, Sydney, ou peut-être Tokyo.

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Ce mercredi 22 octobre, le Palais Royal de Rabat a ouvert ses portes aux Lionceaux U20, tout juste sacrés champions du monde.

À 22 ans, le Prince Héritier Moulay El Hassan a reçu les jeunes héros du football marocain avec simplicité et fierté, dans une ambiance à la fois détendue et pleine d’émotion.

La rencontre, immortalisée par une photo officielle, illustre la place centrale du sport et de la jeunesse dans le Maroc d’aujourd’hui. Une génération dorée, symbole du travail mené depuis plusieurs années sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, qui fait du football un véritable moteur de réussite et d’unité.

Quelques mois après la réception des Lionnes de l’Atlas, finalistes de la Coupe d’Afrique des Nations, cette cérémonie prolonge une même émotion : celle d’un pays où le sport féminin et masculin avance main dans la main, sous le regard bienveillant de la Maison Royale.

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Une Monégasque championne du Global Longines… et c’est Moulay El Hassan qui a remis la coupe

Rabat, le 19 octobre 2025 – Sous le ciel automnal de la capitale, Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan a présidé la cérémonie de clôture du Grand Prix du Longines Global Champions Tour de Rabat, marquant la fin d’un week-end placé sous le signe de la passion, de la jeunesse et de l’élégance sportive. Devant un parterre d’invités prestigieux et un public conquis, le Prince Héritier a remis la coupe à la brillante cavalière Anastasia Nielsen, nouvelle sensation du saut d’obstacles mondial.

Le Prince Héritier Moulay El Hassan remet la coupe du Grand Prix Longines Global Champions Tour de Rabat

Le Prince Héritier, fidèle à son allure sobre et raffinée, s’est distingué par un costume d’un bleu profond à fines rayures, subtilement accessoirisé d’un foulard de poche immaculé et de lunettes au design contemporain. Une silhouette élégante et assurée, symbole d’une jeunesse princière à la fois ancrée dans la tradition et ouverte sur la modernité. La remise du trophée à Anastasia Nielsen, 19 ans à peine, victorieuse sur Action Man après un double sans-faute en CSI 5 1.60 m*, fut un moment de grâce et d’émotion partagée. La Monégasque, désormais plus jeune cavalière de l’histoire à remporter un Grand Prix du circuit, devance Andreas Schou (Danemark) sur Napoli vh Nederassenthof et Denis Lynch (Irlande) sur Cordial.

Au-delà du geste protocolaire, la présence de Moulay El Hassan traduit une véritable conviction : le sport est un vecteur de rayonnement, de dépassement et d’unité. Engagé depuis toujours dans la promotion des grandes compétitions internationales au Maroc, le Prince Héritier incarne cette génération royale passionnée et exigeante, qui place l’excellence sportive au cœur du développement du Royaume. Des sports équestres aux disciplines automobiles, son implication constante témoigne d’un leadership jeune, visionnaire et profondément tourné vers la performance. Véritable ambassadeur du sport marocain, il fait de chaque apparition un moment d’inspiration et de fierté nationale.

Le Prince Héritier Moulay El Hassan remet la coupe du Grand Prix Longines Global Champions Tour de Rabat

Organisée au pied du Grand Théâtre de Rabat, entre modernité architecturale et patrimoine historique, cette 15ᵉ étape du Longines Global Champions Tour a confirmé la position du Maroc comme terre d’excellence équestre. L’événement, prolongement de l’Année culturelle Qatar-Maroc 2024, a su allier sport, culture et prestige, dans une atmosphère vibrante et cosmopolite. Malgré le sacre anticipé du Champion 2025 Gilles Thomas, la compétition a offert un spectacle d’une rare intensité, consacrant Rabat comme l’une des capitales incontournables du calendrier équestre mondial.

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Sous les dorures du palais apostolique, la reine Rania et le roi Abdallah II ont retrouvé le pape Léon XIV pour une rencontre empreinte d’émotion, de foi et d’espérance.

Les rois de Jordanie au Vatican, reçus par le Pape Léon XIV

C’est une image d’une rare intensité qui a ému la planète : celle du roi Abdallah II et de la reine Rania accueillis avec chaleur par le pape Léon XIV au Vatican. Une visite officielle à haute valeur symbolique, qui s’inscrit dans la continuité d’une relation d’amitié et de respect entre la Jordanie et le Saint-Siège — un lien spirituel que les souverains hachémites cultivent depuis plusieurs décennies.

Fidèle à elle-même, la reine Rania a une fois encore subjugué par sa prestance et sa sensibilité. Dans un tailleur au tombé parfait, rehaussé d’une fine ceinture dorée rappelant les nuances de sa chevelure, elle arborait une mantille délicatement posée sur ses épaules, un sac de lady et des escarpins discrets. Élégante sans ostentation, elle a incarné, à travers ce choix raffiné, la quintessence de la diplomatie féminine : celle qui parle sans jamais s’imposer.

Rania de Jordanie au Vatican

Au palais apostolique, les échanges se sont déroulés dans une atmosphère d’amitié sincère et de respect mutuel. Des cadeaux ont été échangés — œuvres d’artisanat jordanien et icônes bénies — comme autant de symboles de dialogue et d’ouverture.

Cette audience n’était pas la première entre le Saint-Siège et les souverains hachémites, mais elle portait une émotion particulière. Car derrière cette rencontre se profile la mémoire d’un lien fort : celui tissé, au fil des années, avec le pape François. Le roi Abdallah II et la reine Rania avaient accueilli avec une profonde estime le défunt souverain pontife lors de sa visite en Terre sainte en 2014, moment fondateur d’une amitié spirituelle entre Rome et Amman. Quelques semaines avant sa disparition, la reine Rania avait d’ailleurs pris part au Sommet mondial sur les droits de l’enfant — un engagement qui résume à lui seul sa vision d’un monde où la dignité, la foi et la jeunesse dessinent l’avenir.

Rania de Jordanie au Vatican

Aujourd’hui, sous le regard bienveillant du pape Léon XIV, cette page d’histoire s’écrit dans la continuité. Le roi Abdallah II, fidèle défenseur du dialogue interconfessionnel, et le Saint-Père ont réaffirmé leur volonté commune de bâtir des ponts entre les religions et les peuples. À ses côtés, la reine Rania a incarné cette lumière douce et constante, celle d’une femme d’influence qui fait rayonner la paix avec grâce et conviction.

Rania de Jordanie au Vatican

Entre la grâce d’une reine, la douceur d’un roi et l’espérance d’un pape, cette rencontre au Vatican sonne comme une promesse : celle d’un monde plus apaisé, où la foi et la beauté du geste diplomatique tracent les chemins de la paix.

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Quarante-cinq ans après avoir fondé GUESS à Los Angeles, Paul Marciano est revenu là où tout a commencé : Marrakech, sa ville natale.

Show mondial Guess by Paul Marciano au palais Badii à Marrakech

Pour célébrer cette étape emblématique, le créateur a choisi le somptueux Palais El Badi comme écrin de la conférence mondiale One World, One Brand, réunissant plus de 800 invités venus du monde entier. Entre glamour international et hommage intime, GUESS signe un retour aux sources empreint d’émotion et d’élégance.

Show mondial Guess by Paul Marciano au palais Badii à Marrakech

Point d’orgue de cette célébration : un défilé magique au cœur du Palais El Badi, joyau du XVIᵉ siècle, où les collections Printemps-Été et Pré-Automne 2026 ont illuminé la scène, entre héritage marocain et esprit californien.

Entouré de figures influentes de la mode, d’ambassadeurs et de célébrités, le fondateur de GUESS a offert à Marrakech une parenthèse glamour et sincère, où luxe et émotions se sont unis sous les étoiles du désert.

Show mondial Guess by Paul Marciano au palais Badii à Marrakech
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À Nouaceur, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé la cérémonie de lancement du complexe industriel de moteurs d’avions du groupe Safran, un projet structurant qui conforte la place du Maroc comme hub stratégique mondial de l’aéronautique.

Implanté au cœur du pôle technologique de Midparc, ce nouveau complexe abritera deux sites de pointe : l’un dédié à l’assemblage et au test de moteurs de nouvelle génération, l’autre à leur maintenance et réparation. Ce partenariat emblématique entre le Maroc et le groupe français Safran illustre, une fois encore, la vision claire et volontariste du Souverain pour faire du Royaume un acteur incontournable des industries de haute technologie.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé, lundi à Nouaceur, la cérémonie de présentation et de lancement des travaux de réalisation du complexe industriel de « moteurs d’avions » du groupe Safran, un projet structurant qui renforce la vocation du Maroc en tant que hub stratégique mondial de l’industrie aéronautique.

Sous l’impulsion royale, l’aéronautique marocaine s’est hissée en moins de deux décennies au rang des écosystèmes les plus dynamiques au monde, fédérant plus de 150 acteurs internationaux et générant un chiffre d’affaires à l’export supérieur à 26 milliards de dirhams en 2024.

Symbole de cette montée en puissance, le projet Safran – d’un investissement global de plus de 3,4 milliards de dirhams – donnera naissance à un centre d’excellence capable d’assembler jusqu’à 350 moteurs LEAP-1A par an, tout en créant près de 900 emplois hautement qualifiés à l’horizon 2030.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé, lundi à Nouaceur, la cérémonie de présentation et de lancement des travaux de réalisation du complexe industriel de « moteurs d’avions » du groupe Safran, un projet structurant qui renforce la vocation du Maroc en tant que hub stratégique mondial de l’industrie aéronautique.

Ce choix d’implanter le deuxième site mondial de production du moteur LEAP-1A au Maroc traduit la confiance renouvelée d’un grand groupe international dans la stabilité, la modernité et le leadership visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

Après avoir assisté à la signature de plusieurs conventions stratégiques et au dévoilement du moteur LEAP-1A, le Souverain a salué un groupe de jeunes en formation à l’Institut des Métiers de l’Aéronautique, ces talents de demain qui incarneront la nouvelle génération d’excellence industrielle marocaine.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé, lundi à Nouaceur, la cérémonie de présentation et de lancement des travaux de réalisation du complexe industriel de « moteurs d’avions » du groupe Safran, un projet structurant qui renforce la vocation du Maroc en tant que hub stratégique mondial de l’industrie aéronautique.
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À Abou Dhabi, Lalla Hasnaa poursuit son engagement pour l’environnement et prend part au Congrès Mondial de la Nature de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).

Lalla Hasnaa au Congrès Mondial de la Nature de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN)

À Abou Dhabi, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, Présidente de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, a pris part à une réception réunissant les hautes personnalités du Congrès Mondial de la Nature de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).
Véritable ambassadrice du Maroc vert et durable, la Princesse a échangé avec plusieurs figures mondiales de la préservation des écosystèmes et du climat, réaffirmant la place du Royaume parmi les nations actives pour la biodiversité, la protection des océans et la transition écologique.

Lalla Hasnaa au Congrès Mondial de la Nature de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN)

Fidèle à son engagement de toujours, Lalla Hasnaa, qu’on surnomme volontiers la princesse aux mains vertes, milite depuis plus de deux décennies pour une écologie humaine et partagée, où l’éducation environnementale, la jeunesse et la mer jouent un rôle central.
Des zones humides aux fonds marins, la Présidente de la Fondation continue de porter haut la voix du Maroc pour une planète plus propre, plus consciente et plus vivante.

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C’est sur son compte Instagram que Nawel Debbouze, sœur cadette de Jamel Debbouze, a officialisé sa séparation d’avec son mari Fouad Ben Kouider. Le couple s’était uni en 2021.

« Il est temps de vous annoncer officiellement ma séparation, personnelle et professionnelle, avec Fouad Ben Kouider. » a écrit la jeune entrepreneuse et ex-mannequin dans un message empreint de sérénité. Fille cadette d’une fratrie de six enfants, Nawel apparaît aujourd’hui apaisée et reconnaissante, évoquant cette rupture comme une transition douce et réfléchie : « Je suis très heureuse d’avoir vécu cette belle histoire. Les choses changent, et ce n’est pas une fatalité. Il ne restera que le meilleur, dans le respect. »

Nawel Debbouze avec son fils

Sur son post Instagram, la belle brune a partagé un album photo empreint de tendresse, où elle apparaît entourée de sa mère Fatima, de son frère Jamel, et de son fils unique. Des clichés qui respirent la complicité, la famille et la lumière. « Cette étape marque la fin d’un cycle, mais surtout le début d’un nouveau chapitre, placé sous le signe de la liberté, de la créativité et de la sororité. », a-t-elle confié avec émotion.

Créatrice de la marque Jude by Nawel D., la femme d’affaires compte transformer cette page de sa vie en nouveau départ. Fidèle à son énergie et à son engagement auprès des femmes, elle annonce le lancement prochain d’une série d’événements à Marrakech, dans un lieu qu’elle décrit comme “magique, dédié au partage, au bien-être et à l’inspiration des femmes de toutes générations”. « Restez connectées ✨ J’ai trop hâte de vous en dire plus, vous allez adorer ! » écrit-elle avec enthousiasme. Et nous, on adore cet état d’esprit et cette déclaration pleine de grâce et de force, fidèle à la personnalité solaire de Nawel Debbouze, qui transforme chaque étape de sa vie en un élan de renouveau et d’inspiration. « La séparation n’est pas une fin, c’est un nouveau départ. »

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Entre ombre et lumière, La Brillante n’est pas un riad de plus dans la Médina. C’est un bijou d’architecture contemporaine aux allures de maison de femme, où le luxe s’exprime avec douceur, élégance et émotion. J’y ai vécu un séjour suspendu, dans une bulle d’intimité et d’émotion.

Dès le seuil franchi, La Brillante se révèle comme une confidence. Nichée à deux pas du Palais Bahia et de la mythique place Jemaa el-Fna, cette demeure singulière conjugue l’âme de la Médina avec une modernité subtile. Ici, tout est pensé pour célébrer la féminité : la lumière, les textures, les parfums, jusqu’à l’énergie même du lieu.

L’entrée donne le ton. Une exposition éphémère de caftans et de bijoux accueille le visiteur comme dans un boudoir vivant, où la tradition dialogue avec l’art contemporain. L’atmosphère est délicate, enveloppante, presque confidentielle.

Au centre, un patio ouvert sur le ciel reflète son bleu dans un bassin turquoise qui miroite sous la lumière naissante de Marrakech. La nuit, la lune scintille et se fait complice, caressant les murs et effleurant les eaux, comme une invitation au rêve. J’y ai plongé au petit matin, avant d’entamer mes migrations urbaines et professionnelles, mais sans avoir pu savourer le plouf du soir ou celui, plus secret, de la nuit. Le mois prochain, j’en ferai ma douce escapade, rien qu’à moi pour retrouver l’éclat discret, mais inoubliable de cet hôtel.

Les quatre chambres et deux suites s’ouvrent sur ce cœur apaisé, chacune pensée comme un cocon de charme. Dans ma suite, un caftan couture trônait telle une œuvre d’art, et un beau livre d’Yves Saint Laurent veillait sur le décor, clin d’œil à l’élégance intemporelle. La literie s’habille d’un doux confort, mêlant coton et lin imprimé. Les boiseries, d’un bois noble au veinage délicat, réchauffent l’atmosphère d’une modernité apaisée. La salle de bain, quant à elle, célèbre la transparence et le désir : une grande baignoire immaculée, une cabine de douche aux lignes géométriques, et cette ouverture vers le patio, où la lumière s’infiltre comme une caresse.

Au spa, les rituels signés Nectarome plongent dans la quintessence du terroir marocain : huiles d’argan, senteurs de jasmin, gestes ancestraux. On en ressort légère, sereine, comme réconciliée avec soi-même.

La Brillante réussit ce pari rare : conjuguer l’intimité d’une maison particulière à l’audace d’un boutique-hôtel cinq étoiles. Son rooftop restaurant offre une vue spectaculaire sur la Médina, où l’on savoure une cuisine qui marie tradition et modernité, dans le respect des saisons et des produits locaux. Le soir venu, le lounge bar en terrasse devient un refuge feutré pour contempler la ville ocre en silence.

Plus qu’un hôtel, La Brillante est une émotion, une maison d’âme où la féminité s’exprime sans artifice. Dans la ville ocre, souvent associée à la fête et à la nuit, cette adresse offre un autre visage de Marrakech : celui d’une élégance intime, apaisée, lumineuse.

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Le Musée Yves Saint Laurent Marrakech célèbre l’univers intime du couturier à travers une exposition inédite signée Martin Bethenod, où ses fidèles compagnons à quatre pattes deviennent les icônes d’un récit de mode et d’amour.

« Je suis, comme on dit, un homme à chiens. » — cette phrase, d’une simplicité touchante, résonne comme un aveu d’âme. Derrière le créateur mythique, l’esthète visionnaire, se cachait un homme entouré de tendresse, de silence et de fidélité. À partir du 25 septembre 2025, le Musée Yves Saint Laurent Marrakech dévoile “Yves Saint Laurent et ses chiens”, une exposition émouvante et érudite conçue par Martin Bethenod, qui explore pour la première fois le rôle symbolique et inspirant des chiens dans la vie du couturier.

Des compagnons devenus muses

De l’Algérie de son enfance à l’effervescence de son atelier parisien, les chiens d’Yves Saint Laurent furent plus que des présences : ils furent des miroirs de ses émotions, les gardiens silencieux de ses solitudes, et parfois, les moteurs de sa créativité.
Les chihuahuas Hazel, incarnations du glamour et de la fantaisie, et surtout les célèbres Moujik, quatre bouledogues français qui se succédèrent comme une dynastie fidèle, composent ce véritable panthéon canin. À travers des dessins, des photographies et des objets personnels, l’exposition dévoile la part intime du créateur, là où l’amour, la beauté et la fragilité se rencontrent.

Entre art, glamour et transgression

Martin Bethenod signe ici une mise en scène subtile où l’histoire de la mode croise la culture populaire et l’art contemporain. Le chihuahua devient un symbole d’ambiguïté et de liberté, évoquant tour à tour Marlene Dietrich, Coccinelle, ou Jayne Mansfield — trois figures qui ont inspiré Yves Saint Laurent et incarné la beauté affranchie.
Les légendaires cartes de vœux LOVE, illustrées par Moujik, côtoient des œuvres signées Andy Warhol, David Hockney, Horst P. Horst ou Bettina Rheims. Ensemble, elles composent une galerie d’icônes où se mêlent tendresse, irrévérence et esthétique pure.

Marrakech, l’écrin du cœur

Il n’est pas anodin que cette exposition voie le jour à Marrakech, ville-refuge et muse éternelle du couturier. Dans la lumière ocre du musée imaginé par Studio KO, les Moujik semblent trouver un nouveau royaume : celui du souvenir et de l’émotion. Entre les murs de ce lieu habité, la passion d’Yves Saint Laurent pour ses chiens devient un fil d’or reliant sa vie, son œuvre et son humanité.

Une exposition à découvrir

Présentée jusqu’au 29 septembre 2026, “Yves Saint Laurent et ses chiens” s’inscrit dans la collection “Amigos Forever” aux éditions Norma, un cycle de portraits d’artistes et de leurs compagnons de vie. Entre humour et délicatesse, cette exposition offre une lecture nouvelle du génie Saint Laurent : celle d’un homme qui a su faire du lien entre l’art et l’amour une œuvre à part entière.

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