Sana Mouziane et Alan Dersley, entre glamour et intimité. Un amour fusionnel entre Marrakech et Londres, entre tradition et modernité. Confidences exclusives.

(Photo BP-Photographe)
Depuis près de quinze ans, Sana Mouziane et Alan Dersley tissent une histoire d’amour s’apparentant à un conte moderne. Un conte que HOLA! MAROC a suivi avec admiration et émotion. De leurs fiançailles à Londres, où Alan arborait fièrement un kilt écossais, à leur mariage féérique à Marrakech, en passant par une lune de miel idyllique aux Maldives et la naissance de leur fils Kenzie, aujourd’hui âgé de 11 ans, chaque chapitre de leur vie reflète une douce harmonie. Véritable fil conducteur de leur union, le kilt fétiche d’Alan continue de draper la richesse culturelle de ce couple des plus inspirant.
- Que vous évoquent tous ces moments intimistes immortalisés par HOLA! MAROC ?
Nous avons une multitude de souvenirs précieux partagés avec ce magazine que nous affectionnons. Il y a d’abord eu le jour où mon mari m’a demandée en mariage sur Tower Bridge à Londres, puis nos fiançailles dans le magnifique Regent’s Park et enfin notre mariage célébré entre Londres et Marrakech, où nous avons fièrement apporté des exemplaires de HOLA ! Maroc pour les partager avec nos proches. Notre bonheur a été immortalisé avec fidélité et bienveillance…

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
- Comment vivez-vous l’entrée de votre petit dans l’adolescence ?
Kenzie s’apprête à fêter ses 11 ans et à franchir une nouvelle étape en débutant au collège, nous ressentons forcément cette appréhension universelle des parents face au temps qui passe. Le voir grandir et évoluer si vite est à la fois émouvant et déroutant. C’est triste de le voir perdre une part de son esprit d’enfant, mais cela s’accompagne aussi d’une certaine indépendance, ce qui nous permet en tant que couple d’avoir un peu plus de temps…
- Comment la pandémie a-t-elle influencé votre vision de la vie familiale ?
Ce fut une période folle en y repensant. Voir Londres ou d’autres métropoles transformées en villes fantômes était assez particulier. Après tout ce temps passé à être enfermés, nous apprécions beaucoup plus les activités à l’extérieur: nous promener en ville ou retrouver nos proches par exemple. Il faut chérir tout cela, car nous ne savons jamais ce que l’avenir nous réserve. En tant que famille, nous avons appris que les biens matériels ne procurent pas le vrai bonheur. Ce qui compte vraiment, c’est la santé, la liberté de voyager et le fait de pouvoir serrer un être cher dans nos bras.

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
- Alan, comment accompagnez-vous Sana dans son retour sur les tapis rouges ?
C’est un immense plaisir de voir Sana reprendre sa place sur la scène des grands festivals, à la télévision et au cinéma, après une pause dédiée à sa famille et à sa mère malade. Elle a fait de nombreux sacrifices pendant cette période. Aujourd’hui, la voir s’épanouir en jouant, chantant et rayonnant devant une caméra me remplit de fierté. C’est une véritable passion pour elle, et je la soutiens de tout cœur dans ses projets. Sana a encore tant à offrir au public. Je l’encourage à briller de plus belle.
- Quelles inspirations ont guidé vos choix vestimentaires lors de votre dernière apparition ?
Revenir à cet incroyable Festival, institution rendue possible grâce à Sa Majesté le Roi Mohammed VI et à Mme Melita Toscan du Plantier, a été un honneur. Je voulais montrer que cet évènement était profondément international, tout comme notre mariage. Mon mari, qui est à moitié anglais et écossais, portait un kilt traditionnel, tandis que j’étais vêtue d’un caftan marocain. C’était une manière symbolique de prouver que nos différences culturelles pouvaient se conjuguer harmonieusement, dans le respect et la fierté de nos origines respectives.

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
- Comment décririez-vous l’évolution de votre relation à travers les ans ?
Comme dans tout mariage, les aléas de la vie et les responsabilités parentales peuvent parfois occuper beaucoup d’espace. Mais nous avons toujours veillé à préserver une certaine légèreté et un esprit de complicité. Que ce soit à travers des soirées cinéma ou des dîners à deux, ces moments nous permettent de nourrir la flamme qui anime notre couple. Participer au FIFM nous a d’ailleurs offert une parenthèse romantique, en nous rappelant nos débuts.
- Quelles valeurs souhaitez-vous transmettre à Kenzie dans ce monde en constante évolution ?
Nous avons à cœur de l’élever avec des valeurs fortes : le respect des autres, la gentillesse et l’entraide. Nous voulons également qu’il développe une personnalité solide, qu’il soit persévérant et donne le meilleur de lui-même, que ce soit dans ses études ou dans ses activités comme le jujitsu. Nous veillons également à ce qu’il soit un homme de foi, fier de ses origines métissées.

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! Maroc lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
- Sana, avez-vous des projets musicaux en perspective ? Envisagez-vous des collaborations familiales ?
Le chant reste l’une de mes grandes passions et j’aimerais explorer davantage cette voie. Je souhaite enregistrer une nouvelle chanson, peut-être au Maroc. Alan est d’un formidable soutien et Kenzie a déjà participé à quelques projets avec moi, notamment une publicité pour Facebook à l’occasion du Ramadan, que j’ai adorée tourner avec lui. Voyons ce que 2025 nous réserve, et puisse cette année être excellente pour nous, pour le Maroc et pour le monde InshaAllah.





