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Casablanca

Diplômée en psychologie, coach certifiée, thérapeute spécialisée en thérapie cognitivo-comportementale, dîtes thérapies brêves et hypnothérapeute, Mélanie Achenza accompagne adultes, adolescents et enfants à travers des séances adaptées à leurs besoins. Egalement professeure des écoles, elle propose aussi des séances de guidance parentale pour aider les familles à surmonter leurs défis quotidiens. Dans son cabinet lumineux et chaleureux situé au cœur du quartier CIL à Casablanca, elle allie expertise et bienveillance pour offrir un accompagnement personnalisé et efficace.

1. Comment tout a commencé pour vous ?
Après avoir obtenu mon bac, je me suis orientée vers des études en psychologie. J’avais 18 ans et j’ai suivi cette voie pendant deux ans. En première année, j’ai étudié la psychologie sociale et découvert une spécialisation appelée « sciences du langage », qui m’a passionnée. Puis, en deuxième année, lorsque j’ai commencé à aborder la psychologie clinique et la biologie, j’ai réalisé que je n’étais pas prête. Ce domaine nécessite une certaine maturité, ainsi qu’un vrai travail sur soi. À cet âge-là, je manquais encore de recul et d’expériences sur la vie.

2. Vous vous êtes alors tournée vers l’enseignement. Pourquoi ce choix ?
Oui, après avoir quitté la psychologie, je me suis orientée vers l’enseignement, que j’ai exercé pendant cinq ans en France. Très vite, j’ai remarqué que j’avais une connexion particulière avec les enfants, en particulier ceux en difficulté. Cela m’a toujours fascinée. Même petite, dans les soirées familiales, je m’occupais spontanément des enfants. Leur spontanéité, leur innocence, et leur créativité m’attirent énormément. Je trouve que ces qualités se perdent souvent à l’âge adulte, c’est dommage. Accompagner les enfants me permet de rester connectée à cette énergie positive.

3. Vous avez pourtant exploré un tout autre domaine ensuite. Pourquoi ce détour par la finance ?
C’est vrai, après cinq ans dans l’enseignement, j’ai voulu essayer autre chose. J’ai repris mes études, puis je me suis lancée dans la finance et cela m’a permis d’apprendre beaucoup de choses. Mais je me suis vite rendu compte que ce domaine n’était pas fait pour moi. Quand je me suis installée au Maroc, mon idée initiale était de créer une école pour enfants, une école un peu différente, avec une grande place à l’Art, la créativité et l’expression orale. Cependant, en observant le système éducatif ici, notamment en termes de pédagogie et de sécurité, j’ai décidé d’attendre avant de me lancer. À la place, j’ai créé ma propre société, J’ai conçu une marque de vêtement féminin en cotonnade, c’était ma façon de m’intégrer à la société marocaine. Cela a bien fonctionné, mais un événement familial dramatique m’a dépourvue de toute créativité et de motivation.  J’ai donc réfléchi à ce qui me passionnait et m’animait, et je suis revenue à mes premières passions : l’enseignement et la psychologie.

4.Aujourd’hui, vous êtes enseignante et vous travaillez aussi dans le développement personnel. Pouvez-vous nous en dire plus ?
Depuis cinq ans, j’enseigne dans une école de l’AEFE avec des élèves de CE1. En parallèle, j’ai repris mes études en aide au développement personnel, TCC (Thérapie comportementales et cognitives) et hypnothérapeute. J’ai découvert qu’au Maroc, il existe de nombreuses structures très compétentes dans ce domaine. J’ai suivi une formation centrée sur « l’art du questionnement », une méthode qui permet d’accompagner les individus dans leur réflexion et leur transformation. Cela m’a beaucoup enrichie, tant sur le plan personnel que professionnel.

5. Vous parlez d’éthique et de limites professionnelles. Comment les définissez-vous dans votre pratique ?
Il est essentiel de connaître ses limites, surtout dans un domaine aussi sensible que le bien-être mental, un domaine qui est aujourd’hui très galvaudé. Je ne suis ni psychiatre, ni pédopsychiatre et je fais attention à ne pas sortir de mon champ de compétences. Je suis coach, thérapeute et hypnothérapeute. Mon rôle se concentre sur le présent et le futur, sans aller trop profondément dans le passé, sauf de manière ponctuelle, en faisant des allé-retours entre le passé et le présent, j’aime aller chercher des expériences positives, des réussites du passé avec mes clients afin de les valoriser et les ré exploiter dans le présent. En revanche, si je détecte un besoin spécifique, je redirige la personne vers un professionnel adapté, comme un pédopsychiatre par exemple. L’éthique est primordiale dans ce métier.

6 .Vous travaillez beaucoup avec les enfants et les adolescents. Quelle est votre approche ?
En effet, j’aime beaucoup travailler avec les enfants et les adolescents, je travaille particulièrement avec les enfants et adolescents en difficulté,  j’ai aussi réalisé que le rôle des parents est souvent central. Mon rôle d’enseignante m’a permis un rapport très étroit avec eux en général, je les connais bien et être enseignante complète mon rôle de coach et thérapeute. Mon approche est tout d’abord de crée un vrai rapport de confiance et d’écoute, c’est leur espace. Aussi en  accompagnant et guidant les parents, on peut avoir un impact très fort sur leurs enfants et obtenir de très beaux résults assez rapidement. Dans mon cabinet, je veux développer deux pôles : un pour les adultes et un autre pour les enfants. Je souhaiterais aussi créer un espace sans écrans, propice à la réflexion et à des ateliers philosophiques. Par exemple, poser des questions comme « Qu’est-ce que l’amitié pour toi ? » et inciter les enfants à argumenter et exprimer leurs idées. L’objectif est de leur redonner confiance et de développer leur esprit critique.

7. Vous avez mentionné les écrans comme un problème majeur. Pourquoi est-ce une priorité pour vous ?
Les écrans ont des effets néfastes énormes je dirais même catastrophiques, surtout sur les enfants. Ils réduisent leur capacité d’attention et modifient leur mémoire à long terme. Les algorithmes peuvent aussi exposer les jeunes à des contenus inappropriés, comme des sujets liés au harcèlement ou au suicide. Je veux offrir une alternative : un lieu où les enfants peuvent se reconnecter à des activités créatives et à des échanges réels, loin des écrans, la vie en somme. 

8. Votre philosophie repose sur « être et devenir ». Que signifie cela pour vous ?
Être, c’est déjà un accomplissement en soi. Devenir, c’est exploiter pleinement son potentiel pour évoluer et s’améliorer. Par exemple, être hésitant et devenir confiant, ou être limité et devenir libre. C’est un processus de transformation et de prises de conscience. Je crois fermement que si chacun travaillait sur soi, le monde serait différent, meilleur. Mon objectif est d’aider les autres à révéler leur lumière intérieure et à avancer avec confiance, les aider à surmonter leur blocage émotionnel, à améliorer leur estime de soi et à atteindre leurs objectifs personnels. J’adore l’idée de pouvoir contribuer à favoriser le bien-être et l’épanouissement des individus à travers l’éducation, la thérapie et le développement personnel. Si à ma petite échelle, je peux contribuer à cela, alors c’est merveilleux. 

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Le quartier des Habous, véritable trésor architectural et culturel de Casablanca, invite à une escapade où tradition et modernité s’entrelacent harmonieusement. Construit dans les années 1920 sous le protectorat français, ce quartier est un hommage à l’artisanat marocain et à la richesse du patrimoine local. Une visite aux Habous n’est pas seulement une exploration, mais une immersion dans l’âme de Casablanca. Voici trois suggestions soigneusement choisies par la rédaction pour découvrir ce joyau intemporel.


1. Se perdre dans les ruelles du savoir et de l’artisanat

Aux Habous, chaque ruelle dévoile une histoire, chaque boutique recèle un savoir-faire. Ce quartier est un paradis pour les amateurs de culture et d’artisanat, où les librairies côtoient les ateliers des artisans.

Les librairies traditionnelles : Les amateurs de lecture seront fascinés par les rayonnages garnis d’ouvrages en arabe, français et berbère. Certaines librairies proposent des calligraphies et des éditions rares, idéales pour ceux en quête d’un souvenir intemporel.

Les artisans au travail : Bijoutiers, céramistes et maîtres-tapissiers s’activent dans leurs ateliers pour donner vie à des créations uniques. Observez les potiers peindre minutieusement leurs motifs ou laissez-vous séduire par les plateaux martelés à la main, symbole du savoir-faire marocain.

Maroc – 30 mars 2015 : Une scène vibrante de souk mettant en avant des étoffes colorées dans le quartier des Habous, l’un des secteurs emblématiques de la ville de Casablanca, célèbre pour son charme authentique et ses marchés animés. (Photo de Wolfgang Kaehler/LightRocket via Getty Images)

La balade est une invitation à l’échange : prenez le temps de discuter avec ces artisans passionnés pour mieux comprendre leur métier et leur histoire.


2. Une immersion gourmande au marché des olives

Impossible de visiter les Habous sans explorer son marché des olives, un lieu haut en couleur qui ravira vos papilles. Ce marché est bien plus qu’un simple espace de commerce, c’est un festin pour les sens.

Une palette de saveurs : Les étals regorgent de variétés d’olives, des plus classiques aux marinades audacieuses, en passant par les incontournables olives violettes ou noires. À cela s’ajoutent des citrons confits, des huiles d’olive extra-vierges et une myriade d’épices locales.

CASABLANCA, MAROC – 22 JUIN : Le marché des olives du Quartier du Quartier Habous de Casablanca, aménagé dans les années 1920 par les Français, reste l’un des districts les plus pittoresques, photographié le 22 juin 2019 à Casablanca, Maroc. (Photo par Frédéric Soltan/Corbis via Getty Images)

Un moment convivial : Les marchands, accueillants et chaleureux, vous invitent à goûter leurs produits, transformant vos achats en une véritable expérience. Repartez avec des trésors culinaires qui ajouteront une touche marocaine à vos plats.


3. Admirer les chefs-d’œuvre architecturaux

Les Habous ne sont pas seulement un lieu de commerce, mais aussi un chef-d’œuvre architectural. Ses bâtisses sont un mariage parfait entre la tradition marocaine et les influences européennes.

La mosquée Al-Mohammadi : Ce lieu de culte emblématique, avec ses détails finement sculptés et son architecture élégante, est une étape incontournable pour comprendre l’esthétique mauresque.

MAROC – 30/03/2015 : Vue de la mosquée Youssoufi située dans le quartier des Habous, l’un des quartiers emblématiques de la ville de Casablanca au Maroc. (Photo par Wolfgang Kaehler/LightRocket via Getty Images)

Le Mahkama du Pacha : ce tribunal est une merveille architecturale. Ses plafonds en bois sculpté et ses zelliges raffinés témoignent de l’ingéniosité des artisans marocains.

MAROC – 30 MARS 2015 : À l’intérieur de la Mahkama du Pacha, un palais de justice encore en activité, situé dans le quartier des Habous, l’un des districts de Casablanca, avec des vues mettant en valeur l’architecture mauresque. (Photo par Wolfgang Kaehler/LightRocket via Getty Images)

Les ruelles et placettes : Chaque détour révèle des détails charmants, des portes en bois ornées de motifs complexes aux arcades pittoresques qui créent une atmosphère paisible, loin de l’agitation de la ville.


Pourquoi visiter les Habous ?

Les Habous incarnent un Casablanca où le temps semble suspendu, un lieu où l’histoire et l’authenticité s’unissent pour offrir une expérience inoubliable. Entre découvertes culturelles, plaisirs gourmands et émerveillements architecturaux, ce quartier est un voyage à part entière au cœur du Maroc.

Alors, laissez-vous tenter par cette échappée unique et plongez dans l’ambiance captivante des Habous. Que ce soit pour flâner, déguster ou simplement admirer, ce quartier saura conquérir votre cœur, c’est certain.

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Institution à Casablanca, le « Boga Boga » est un lieu emblématique de partage, d’affection et d’authenticité, ayant marqué les esprits de plusieurs générations, le restaurant a rouvert ses portes le 8 juin 2024.

Une madeleine de Proust, des émotions sans fin : un héritage à sauvegarder !

Retour aux sources : Simplicité, Authenticité, Partage

Dans son écrin de velours, VILLA BOGA se révèle par la rencontre entre passé et présent : une villa chaleureuse et une cuisine d’antan. Le décorateur Jean Jacques Radelet sublime ce lieu avec une touche de mystère séduisant et indéfinissable, qui se vit plus qu’il ne se raconte. La décoration, alliant élégance et charme, crée une atmosphère unique où chaque détail est soigneusement pensé pour offrir une expérience incomparable.

Une expérience culinaire exquise

Côté cuisine, c’est le Chef Michou qui prend les commandes : maître de la gastronomie franco-italienne authentique et gourmande. La carte met à l’honneur les plats emblématiques du Boga Boga, tels que la salade spéciale et la crêpe à l’orange, tout en offrant une nouvelle ère d’expériences culinaires généreuses et conviviales. Chaque plat, préparé avec des ingrédients premiums, est une invitation à un voyage des sens, où tradition et innovation se rencontrent pour le plus grand plaisir des convives.

Villa Boga : Une renaissance inspirée

L’objectif est clair : VILLA BOGA, au cœur de la simplicité, de l’amour de l’authenticité et du partage, pour une expérience « comme à la maison ». Désirée et désireuse de se faire convoiter, elle se veut familiale, business et festive à la fois. Versatile à souhait, elle joue son rôle à la perfection : une belle terrasse ensoleillée et printanière, et un intérieur à l’atmosphère confidentielle et feutrée.

Une histoire intemporelle qui se racontera toujours au présent

VILLA BOGA, la surprenante, promet des moments de nostalgie à profusion, une ambiance bon enfant et un attachement sans précédent. Des souvenirs ancrés, certes, mais surtout d’autres à créer ensemble. VILLA BOGA, la mythique et l’enveloppante, vous attend : succombez, la tentation est grande.

Réservations au +212 6 64 84 13 33
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La Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC) organise la 9ème édition du Morocco International Meeting des courses de chevaux (MIM) les 18 et 19 novembre prochains à l’hippodrome Casablanca-Anfa

 

La Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC) s’apprête à accueillir la communauté hippique internationale lors de la 9ème édition du Morocco International Meeting, rendez-vous de haut niveau qui se tient le troisième weekend du mois de novembre de chaque année. Cet évènement s’inscrit dans le cadre des ambitions stratégiques de la SOREC visant à faire rayonner la filière des courses marocaines.

La SOREC organise la 9ème édition du Morocco International Meeting les 18 et 19 novembre 2023 à l’hippodrome de Casablanca. Cet événement majeur du calendrier des courses de chevaux marocaines rassemblera des chevaux et jockeys marocains et étrangers. Poursuivant l’ambition de renforcer le rôle du MIM dans le rayonnement de la filière des courses marocaines à l’international, la SOREC a mobilisé les meilleures ressources pour organiser un Meeting conforme aux standards internationaux en termes d’organisation, de qualité des infrastructures et de technicité des professionnels.

« Le rayonnement des courses marocaines à l’international est un enjeu majeur pour la SOREC. Nous sommes particulièrement heureux de pouvoir, à nouveau, accueillir la communauté hippique internationale dont la confiance envers la filière des courses du Royaume et l’intérêt pour le Morocco International Meeting ont fortement contribué à positionner ce rendez-vous parmi les étapes les importantes sur l’échiquier des courses internationales. » Déclare M Omar SKALLI, Directeur Général de la SOREC.

Une programmation internationale de haut niveau

Avec 14 courses au programme, dont 8 internationales, le week-end du Morocco International Meeting réunira des participants d’exceptionà l’instar des éditions précédentes et sera diffusée dans seize pays, dont les États-Unis, les Pays-Bas, l’Allemagne, l’Afrique du Sud, le Royaume-Uni, l’Irlande, la Belgique, le Danemark, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, Chypre, la Turquie, la Suède, la Côte d’Ivoire, l’Italie et la France.

La première journée internationale sera dédiée au Pur-sang Anglais, et la seconde sera consacrée au Pur-sang Arabe.

Les épreuves phares de ce week-end sont les Grands Prix de Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Pur-sang Arabe et du Pur-sang Anglais.  La journée du Pur-sang Arabe proposera 3 autres prix prestigieux :

  • Grand Prix SAR Le Prince Héritier Moulay El Hassan
  • Grand Prix SAR Le Prince Moulay Rachid
  • Prix The President of The UAE Cup

Enfin, la journée du Pur-sang Anglais accueillera le Grand Prix de la SOREC, qui fait partie de la prestigieuse série internationale du Défi du Galop.

À propos de la SOREC

La Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC) est une entreprise publique créée en 2003 sous la tutelle du Ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts. Forte d’un business model unique au monde, la SOREC poursuit les missions suivantes : L’organisation des courses de chevaux dans les hippodromes, la gestion des jeux hippiques, l’encadrement de l’élevage & l’amélioration des races de chevaux dans les haras nationaux ainsi que la réalisation et l’exploitation des infrastructures hippiques. Poursuivant l’ambition de positionner la Filière équine en tant que Moteur de Développement en Milieu Rural, la SOREC oriente son action sur la valorisation des races et sur les monétisations des utilisations du cheval afin d’accompagner l’émergence d’écosystèmes économiquement viables et financièrement indépendants.

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Le festival L’Boulevard est de retour. Initialement prévu du 15 au 24 septembre, cet événement, reporté à cause du séisme, se tiendra, le temps d’une 21ème édition, du 16 au 19 novembre au stade du R.U.C à Casablanca. La révélation est faite par l’association Eac-L’Boulvart qui en annonce les couleurs.

«Une édition condensée et exigeante, précise et éclectique, qui réunit sur une même scène artistes reconnus et musiciens émergents, marocains et internationaux, pour célébrer la musique, la culture urbaine, la joie de vivre et le vivre-ensemble», détaillent les initiateurs.

Déjà, les organisateurs avaient fixé 39 groupes participants dont 5 issus de l’étranger. Ainsi, le groupe malien « Tinariwen » y est attendu aux côtés du polonais « Decapitated », ainsi que du groupe algérien « Djwawi AFrica » outre le rappeur franco-algérien Tif entre autres. De son côté, le groupe marocain « Ganga Vibes » sera de la partie. Aussi le rappeur Shobeen, les groupes Chikno, Old School, DJ Zulu Nawfel, Minerva, DIIB, Lazywall, Thrillogy, The Leila, Meteo Airlines entre autres y sont programmés. En outre, la compétition Tremplin n’est pas en reste. Elle rythmera aussi le festival. Dans le cadre de ce concours, le comité de sélection a reçu 281 dossiers de candidature, soit 236 dans la catégorie rap/hip hop, 12 dans la catégorie rock/metal et 33 dans la catégorie fusion et autres. En tout, 15 groupes et artistes ont été retenus.

 

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Casablanca, la ville aux mille secrets, abrite parmi ses rues animées et ses quartiers dynamiques une figure emblématique de la quête du bien-être absolu. Une véritable experte dans l’art de prendre soin du corps et de l’esprit, Dr Sofia Bensouda, kinésithérapeute de renom, illumine la scène du bien-être depuis près de trois décennies.

Sa passion pour la kinésithérapie et sa mission inébranlable d’aider les autres l’ont élevée au rang de véritable icône de la profession. Loin des projecteurs, elle a tissé une réputation irréprochable en offrant une épaule compatissante et des soins d’exception à ceux en quête d’harmonie physique et psychique.

Dans cette entrevue exclusive, nous plongeons dans l’univers enchanteur de Sofia Bensouda, une femme dont la bienveillance et l’expertise transcendent les limites du temps.

  •  Pouvez-vous nous parler de vos débuts dans le domaine de la kinésithérapie et du bien-être ?

Mon aventure a commencé au Maroc, où j’ai obtenu mon baccalauréat. Dès mon plus jeune âge, j’étais attirée par la kinésithérapie, ce noble métier qui consiste à soulager les autres. J’ai ensuite poursuivi des études universitaires en kinésithérapie et rééducation, pour me spécialiser ultérieurement dans le bien-être et l’amincissement. Dès le départ, j’ai compris que la santé et le bien-être physique et psychique étaient indissociables. En fin de compte, être en bonne santé passe par le bien-être physique, et lorsque l’on se sent bien, le psychisme suit naturellement.

  • Pourquoi  vous spécialiser dans le bien-être ?

 En observant les femmes autour de moi, j’ai réalisé qu’elles traversaient souvent des périodes difficiles, que ce soit avant ou après l’accouchement, pendant la ménopause, ou d’autres moments de leur vie. Ces périodes peuvent être source de souffrance, tant sur le plan physique que psychologique. J’ai compris qu’il était essentiel d’apporter notre contribution pour soulager ces femmes, d’autant plus que les moyens et les techniques pour le faire existaient déjà.

  • Vous avez déjà une incroyable carrière de 27 ans dans ce domaine. Pouvez-vous nous parler de l’évolution de l’industrie du bien-être au fil des années ?

 C’est incroyable de voir comment l’intérêt pour le bien-être s’est développé au fil du temps. Autrefois, il était principalement réservé aux femmes, mais aujourd’hui, c’est devenu une préoccupation majeure pour tout le monde, quel que soit l’âge ou le sexe. Les avancées technologiques ont également joué un rôle crucial. Auparavant, les traitements se limitaient souvent à des massages manuels, parfois douloureux et inefficaces. Aujourd’hui, nous disposons de technologies de pointe qui donnent des résultats bien plus probants, notamment pour des problèmes comme la cellulite ou de relâchement de la peau. Le bien-être est devenu une préoccupation majeure pour tout le monde, car il a un impact direct sur la performance au travail, dans le couple et dans la vie en général. Une femme peut être radieuse et épanouie, même à l’âge de 50 ans. 

  • Parlez-nous un peu de vos méthodes. Quelles sont les avancées les plus récentes dans le domaine du bien-être que vous utilisez dans votre pratique ?

Je veille toujours à rester à la pointe de la technologie en participant régulièrement à des congrès et des formations au Maroc ou à l’étranger. L’une de nos dernières techniques est l’utilisation d’ultrasons focalisés et de la radiofréquence diathermie, qui donnent des résultats spectaculaires pour traiter notamment le relâchement cutané. Nous utilisons également la technique des ondes magnétiques fonctionnelles, comme avec la machine TESLA FORMER, qui est présente dans le monde entier, y compris à Casablanca. Notre objectif est de rendre ces avancées accessibles à tous.

 Sofia Bensouda, radieuse aux côtés de son équipe et de sa ravissante fille Yasmine, dans l’élégant cadre de son cabinet situé au 223 Boulevard Zerktouni, à Casablanca. Une fusion parfaite entre professionnalisme et élégance

  • Pouvez-vous nous parler d’un cas de transformation qui vous a particulièrement marquée ?

Certainement, il y a un cas qui reste gravé dans ma mémoire. Une patiente d’environ cinquante ans, qui était plongée dans une profonde dépression, mal dans sa peau, et avait perdu tout intérêt pour elle-même. Elle traversait des difficultés dans son mariage et était éloignée de ses enfants. Nous avons élaboré un programme de soins spécifique pour elle, et elle a eu le courage de le suivre avec détermination. Nous l’avons constamment encouragée tout au long de son parcours. Et je peux vous assurer que le changement a été radical. Elle a non seulement retrouvé sa confiance en elle, mais elle a également gagné des années de bonheur dans sa vie de femme. Je continue de la suivre dans le cadre de la consolidation, pour maintenir les résultats obtenus. Elle est aujourd’hui une personne sublime, rayonnante de bonheur et d’épanouissement.

  • Par quoi commencez-vous avant de débuter une cure avec un(e) patient(e) ? 

Le processus commence par une première consultation au cours de laquelle nous effectuons un bilan interrogatoire approfondi. Nous examinons également les aspects psychologiques, notamment les addictions alimentaires, la boulimie,.. etc, afin de mieux comprendre le patient. De plus, nous réalisons un bilan métabolique pour évaluer par exemple la rétention d’eau et les taux de matières grasses. Cette approche globale nous permet de fournir des conseils personnalisés pour un résultat optimal. Nous collaborons également étroitement avec des nutritionnistes, des psychologues, des psychothérapeutes, voire même des psychiatres et des coachs. Cela nous permet de mieux comprendre les besoins de chaque patient.

Vous avez mentionné que le bien-être est désormais accessible au Maroc. Pouvez-vous nous en dire plus à ce sujet ?

Absolument, tout est désormais accessible au Maroc. Comme beaucoup, dès qu’une nouvelle technique émerge, je m’empresse de m’y rendre pour la découvrir. Il fut un temps où seule une petite catégorie de patients avait les moyens de se déplacer à l’étranger pour prendre soin d’eux, mais cela fait désormais partie du passé. Nous avons tout ce dont nous avons besoin ici, au Maroc. 

  •  Avez-vous des conseils pour nos lectrices en matière de bien-être ?

 Bien sûr ! Mon premier conseil serait de faire de l’exercice, de manger sainement et de faire de votre santé une priorité absolue. Prendre soin de soi ne devrait pas être un luxe, mais une nécessité. Il est important de se fixer des objectifs  et de prendre le temps de penser à soi, de s’étirer chaque jour et de bien s’hydrater. N’oubliez pas d’appliquer des crèmes hydratantes sur les zones qui en ont besoin, car la beauté s’entretient au quotidien. En fin de compte, il faut avoir le courage, la volonté et le désir de changer, car c’est en prenant soin de nous que nous pouvons vraiment donner le meilleur de nous-mêmes.

  • Votre vie est bien remplie ! Comment parvenez-vous à jongler entre votre vie personnelle et votre vie professionnelle ? 

Jongler entre ma vie personnelle et ma vie professionnelle n’est pas toujours facile, mais j’ai trouvé des moyens de créer un équilibre. Le sport et le yoga jouent un rôle crucial dans cette équation. Dès le matin, je suis fidèle à mon programme. Je tiens à remercier mon mari, qui est incroyablement compréhensif et présent à mes côtés. Mes enfants ont grandi dans ce milieu, ils ont toujours été attentifs à mes discussions en fin de journée, comprenant pleinement mon engagement.

Docteur, maman et épouse comblée, pour DR Sofia Bensouda, la clé du bonheur et de l’équilibre se trouve dans le bien-être et la confiance en soi. « Se sentir bien dans sa peau, c’est sans aucun doute la base pour être heureux dans la vie… »

  • Il semblerait que vous ayez transmis cette passion pour la médecine à vos enfants qui suivent le même chemin que vous… 

Mes enfants ont toujours été proches de moi, ils ont même arboré la blouse blanche dès leur plus jeune âge. Ils ont écouté attentivement mes récits quotidiens, comprenant ainsi ma vocation. Aujourd’hui, quand je leur demande pourquoi ils ont choisi la médecine, leur réponse est unanime : « Maman, nous voulons suivre tes traces, nous voulons aider les autres. » Cette envie d’aider leur prochain fait désormais partie intégrante d’eux.

Portrait de la famille Zouiten lors de la cérémonie de remise de diplôme de Docteur Yasmine, la fille aînée de Sofia Bensouda, désormais résidente en  hématologie, une occasion empreinte d’élégance et de fierté.

  • Une belle transmission de valeurs. Votre mari semble jouer également un rôle essentiel dans votre vie…

 Mon mari est mon pilier. Bien qu’il ait sa propre carrière et ses engagements, il est toujours là pour m’aider lorsque j’en ai besoin. Sa présence me permet de voir plus grand, d’avoir des projets ambitieux et de poursuivre dans cette voie.

  • Parlons un peu de l’avenir. Avez-vous des projets à venir dans le domaine de la médecine et du bien-être?

Absolument, nous sommes actuellement en train d’étudier la possibilité d’ouvrir de nouveaux centres au Maroc. Nous souhaitons inchallah continuer à offrir nos services de qualité et à répondre à la demande croissante de soins de santé et de bien-être.

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C’est à Casablanca que la marque italienne bientôt séculaire, très connue pour ses cuisines mais aussi pour un certain style de vie italien, décide d’ouvrir son studios. Boffi DePadov, avec ses collections capsules créées par Paul Smith et Time & Style ēdition, s’installe dans la ville blanche en collaboration avec la société JK Contracting et présente de manière évocatrice la vision de la créativité et du confort made in Italy des marques du groupe Boffi|DePadova, regroupées en fournisseur unique de solutions complètes pour les intérieurs.

Boffi DePadova Studio Casablanca

Boffi DePadova Studio Casablanca

Avec une offre enrichie de marques satellites du groupe italien, Boffi|DePadova Studio Casablanca décline une maîtrise totale des espaces intérieurs, à travers un éventail de solutions d’agencement, de systèmes d’ouvertures, d’ameublement et d’équipements, à même d’accompagner les envies des particuliers et les exigences des architectes et architectes d’intérieur. « Nous sommes très enthousiastes à l’idée d’ouvrir à Casablanca un espace basé sur notre concept d’habitation développé par notre équipe créative », explique Roberto Gavazzi, P.d.g. de Boffi|DePadova. Notre objectif est de reproduire ce modèle de ‘cohérence formelle’, un véritable mode de vie, sur tous nos marchés internationaux afin d’offrir un certain type de design Made in Italy raffiné qui est devenu un mot-clé de l’habitat contemporain.”

Roberto Gavazzi by Stefano Galuzzi

UN LOFT DE PRESTIGE

Boffi|DePadova Studio Casablanca se présente comme un lieu d’exposition dédié à une sélection d’éléments emblématiques de l’offre Boffi|DePadova, dans une atmosphère reflétant l’esprit du groupe italien, rencontre entre technologie de pointe et approche artisanale. L’adresse choisie est celle du 411, route d’El Jadida, dans le quartier Oasis, territoire vivant au cœur du renouveau urbanistique de Casablanca, sis à proximité de Casa Finances City et du centre-ville. Aménagé en deux niveaux sur près de 200 m2, Boffi|DePadova Studio Casablanca capture l’identité singulière de la marque italienne avec sa façade vitrée, définie par des lignes géométriques, qui dessine un subtil jeu de lumière invitant les passants à découvrir l’univers Boffi|DePadova.
L’intérieur, imaginé avec le département créatif du groupe, évoque l’atmosphère d’un loft, où une ambiance industrielle aux teintes gris anthracite et acier s’associent à un éclairage savamment tamisé, mettant en scène les différentes créations du groupe, l’étendue de son savoir-faire et l’inventivité de ses designers.

CUISINES : CRÉATIVITÉ SANS LIMITES

Cœur de métier de Boffi depuis près de 90 ans, la cuisine occupe une place de choix dans ce bel espace où s’égrènent caissons monolithiques, plans de travail minéraux et systèmes de rangement modulaires aux formes élégantes et aux matériaux cossus. Depuis sa création en 1934, la firme Boffi ouvre régulièrement ses portes à des designers et architectes de renom pour concevoir des projets tantôt audacieux, tantôt intemporels. De sa première cuisine design “Série C”, dessinée par Sergio Asti et Sergio Favre, à son dernier projet “Salinas”, initié par Patricia Urquiola, Boffi a été à l’initiative d’un grand nombre d’innovations et de chefs-d’œuvre de design. Sans cesse réinventées, réinterprétées dans de nouveaux matériaux ou actualisées via de nouvelles formes, les créations Boffi ont désormais le statut de classiques. On en citera le modèle “T12”, né dans les années 1960, la “Minikitchen”, signée par Joe Colombo en 1964, ou encore le système de cuisine modulaire “Xila”, conçu par Luigi Massoni en 1972.

SALLES DE BAINS : AU FIL DE L’EAU

Sous l’impulsion de Roberto Gavazzi, président du groupe, et son designer en chef Piero Lissoni, Boffi réinvente depuis 30 ans l’univers de la salle de bains pour en faire un véritable espace à vivre, refuge des sens où l’esthétique s’efface derrière la fonction bienfaisante de l’eau. C’est de cette philosophie que naissent des baignoires iconiques comme les modèles “Po” (par Claudio Silvestrin), “Terra” ou encore “Sabbia” (par Naoto Fukasawa). Faites de lignes sensuelles ou structurées, enveloppantes ou géométriques, elles s’accompagnent de systèmes d’armoires et de dressing accordés, dont l’élégance n’entame jamais les aspects pratiques. La même doctrine créative est appliquée aux meubles de rangement, qui explorent les registres esthétiques au gré des lignes, des formes, des volumes et des matériaux (pierre, marbre, granit, Cristalplant®, Corian®, Dekton® ou MDi by Inalco, bois massif…), sans se départir des impératifs de la sobriété et de la distinction. Boffi a également poussé hors de ses limites usuelles l’art de la robinetterie, étant parmi les premiers à concevoir des pièces entièrement taillées dans un seul bloc d’acier inoxydable, aux surfaces polies, satinées mates ou à traitement gris PVD. L’univers est ainsi complet : des baignoires aux vasques, de la robinetterie aux miroirs, sans oublier douches, accessoires et luminaires, rangements et petits meubles de compléments. Tous les éléments se combinent et se complètent dans une parfaite harmonie pour composer un véritable espace de sérénité et un art de vivre exclusif dans un esprit de modernité intemporelle.

Boffi DePadova Studio Casablanca
Boffi DePadova Studio Casablanca
Boffi DePadova Studio Casablanca

DEPADOVA : LA SOBRE SIMPLICITÉ

la marque De Padova caractérisée par une forte aptitude pour l’ouverture à la modernité, un goût instinctif du beau et une attention au projet capable de se suffire à soi-même. Constamment plein de nouveautés, le catalogue De Padova, s’étend du mobilier à l’éclairage design, en passant par les accessoires d’ameublement et réunit des grands maîtres tels Achille Castiglioni, Pierluigi Cerri, Michele De Lucchi, Charles et Ray Eames, Vico Magistretti, Ingo Maurer, George Nelson… Dans cet espace accueillant et harmonieux, la réflexion scénographique met également en avant l’esthétique à la fois sobre et simple de

DES MARQUES DISTINCTES ET COMPLÉMENTAIRES

Dans sa volonté d’affiner son propos conceptuel et d’anticiper les usages de demain, le groupe Boffi|DePadova a placé sous son ombrelle créative quatre nouvelles marques complémentaires : MA/U Studio, Paul Smith + De Padova Everyday Life, ADL et Time & Style ēdition. Intégrée à l’offre De Padova, la collection MA/U Studio se dédie aux meubles et systèmes de rayonnages évolutifs pour toutes les pièces de la maison. Fondée par le designer danois Mikal Harrsen et l’architecte Adam Hall, la marque propose des produits simples, mais spectaculaires, offrant des solutions capables de s’adapter à des usages en constante évolution. Attachée à une vocation la fois décorative et fonctionnels, la collection d’étagères, de tables et d’unités de rangement de MA/U Studio se distingue par un style linéaire et des formes géométriques dont l’élégante discrétion est magnifiée par un exceptionnel équilibre des proportions. La collection Paul Smith + De Padova Everyday Life, conçue par le styliste britannique avec Boffi|DePadova, allie le raffinement sobre de la griffe historique du design Made in Italy et la joyeuse approche du “classic with a twist” du styliste anglais dans une approche à la fois artisanale et éco-responsable du design et de la mode. Cette capsule, qui annonce pour 2023 son deuxième chapitre, va des canapés, poufs et fauteuils aux tables basses et accessoires en cuir pour le salon et s’étend désormais à l’univers du mobilier d’extérieur. La marque ADL est, quant à elle, spécialisée dans les éléments de transition, les cloisons et les portes d’avant- garde dont le design affirmé s’associe à une recherche systématique de fonctionnalité, pensée pour faire communiquer les espaces plutôt que de les diviser. Déclinées dans différentes typologies d’ouverture (sur pivot, coulissante, en portefeuille…), les solutions ADL étirent l’étendue des possibles matières d’agencement et d’architecture intérieure. Enfin, la collection capsule Time & Style ēdition crée avec le label japonais Time & Style traduit la tradition artisanale du bois japonais, revisitée à travers un prisme foncièrement contemporain. Cette gamme regroupant tables basses, chaises et luminaires propose un assortiment éclectique de meubles japonais contemporains, qui se marient harmonieusement avec les systèmes sophistiqués de Boffi|DePadova.

Boffi DePadova Studio Casablanca
Boffi DePadova Studio Casablanca

Boffi DePadova Studio Casablanca

OUVRIR LE CHAMPS DES POSSIBLES

Rangements intelligents, compositions libres, créations design et connexions spatiales innovantes constituent ainsi le paysage étendu du Boffi|DePadova Studio Casablanca, offrant une infinité d’outils au service des projets particuliers et professionnels, capables de modeler des univers intérieurs d’exception, démultipliés par l’expertise de la société JK Contracting. Et pour en garantir le niveau d’exigence et de qualité, Boffi|DePadova Studio Casablanca accompagne chaque étape de la réalisation, de l’étude, au suivi technique jusqu’à l’installation.

 

 

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La célébration de la fête de l’Aid Al Fitr par le Roi Mohammed VI est majestueuse à plus d’un titre. La prière du Aid Al Fitr a eu lieu à la mosquée Al Mohammadi aux Habous, premier quartier résidentiel de Casablanca et le Souverain arborait cette couleur de djellaba dont il est l’illustre Créateur.

Quoi de plus inédit pour le Roi que de décider de célébrer les fêtes de fin de ramadan au cœur de la ville blanche mais l’orchestrer aux Habous dans le premier quartier résidentiel de Casablanca est un choix de ROI !

Clin d’oeil royal à Casablanca 

Érigé à partir de 1918 pour y construire ce qui allait devenir la nouvelle Médina après celle qui borde l’océan atlantique et représente le berceau de la ville blanche (l’ancienne médina), le quartier des Habous est un haut patrimoine du royaume construit dans les règles des bâtiments modernes et dans les plus purs codes de l’artisanat et l’architecture marocains, qui mérite bien toute l’attention du Roi. Alors quand celui-ci s’installe à Casablanca pour y mener son Ramadan et tenir ses activités liées à la solidarité, à la piété et aux causeries religieuses et scientifiques, il émet là un clin d’œil au Casablanca authentique. Mais décider d’organiser la prière de Aid Al Fitr dans le quartier des Habous au coeur de la mosquée Al Mohammadi, est un acte volontaire du Roi, celui de porter la ville vers un nouveau destin, à l’instar de l’essor de Rabat, de Marrakech et de Tanger pour lesquelles Mohammed VI a tant fait et continue de faire. Le cortège royal qui marche du palais royal du Méchouar à la mosquée Al Mohammadi à sa tête Sa Majesté le Roi, des coups de canon qui retentissent résonnant jusqu’au murailles, places et arcades des Habous, l’acclamation de casablancais qui ont afflué par centaines, le monde pouvait suivre en direct cette si belle fête de l’Aid, dans la joie et l’authenticité de notre culture, la grâce et l’élégance de nos traditions, dans la spiritualité, le partage et la générosité de notre religion. Des valeurs sublimées par l’aura singulière du quartier Habous. Jamais encore Casablanca n’avait connu si grande occasion pour se révéler enfin dans son véritable écrin et son destin naturel de ville si profondément culturelle portant en elle tout l’amour que lui portaient ses premiers bâtisseurs. Casablanca l’impériale, pourrait ainsi s’auto proclamer « la belle blanche » qui n’a jamais encore pu autant jouir de la présence du Roi, en son coeur précieux.

Sa Majesté accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid, de SA le Prince Moulay Ahmed et de SA le Prince Moulay Ismail, a accompli, samedi, la prière de l’Aïd Al-Fitr à la Mosquée Al Mohammadi à Casablanca, et reçu les vœux en cette heureuse occasion

Mohammed VI l’Ambassadeur de la Djellaba, le Grand Maalem !

Porter Casablanca en ce mois sacré en assurant son agenda bien rempli d’initiatives louables et engagées pour le social, c’est aussi porter tout le patrimoine traditionnel marocain pour le roi Mohammed VI. En premier Ambassadeur de la Djellaba traditionnelle, qu’il incarne avec authenticité et son propre style inimitable, le Roi a accompli la prière de l’Aid, vêtu d’une Djellaba de ce jaune unique qui brille d’intenses et à la fois tendres nuances or d’un pantone royal d’une beauté frappante. « Oui« , nous confirme la styliste Amina Benzekri, « ce jaune est unique, une couleur créée par Sa Majesté, nommée « Safran » ! D’une beauté frappante, cette couleur Safran signée du Roi vient confirmer tout le rayonnement donné par la famille royale à la Djellaba.

En ce jour de l’Aid, le Roi portait un ensemble djellabas et Tchamir avec sa Farajia marocaine tissée main en fil de soie et de lin soyeux, travaillés à la main dans le plus pur respect des codes de la haute couture sous le nom de « Berchman ». « Cette broderie de Maalam nommée Berchman se travaille absolument à deux« , nous explique Amina Benzekri, « les artisans travaillent en binôme pour assurer la minutie et la précision de chaque point« . Accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, de SAR le Prince Moulay Rachid, de SA le Prince Moulay Ismail et de SA Prince Moulay Ahmed, le Roi, par son dressing traditionnel dans les plus pures codes du patrimoine artisanal marocain, toujours rehaussés par la touche royale, honore ainsi l’artisan marocain. « En portant ses tenues « Makhzania » faites du précieux « Bzioui », une étoffe purement marocaine tissée main, Sa Majesté que Dieu le glorifie, honore notre richesse patrimoniale« .

Le Roi Mohammed VI a célébré la fête de Aid Al Fitr à la mosquée Al Mohammadi du quartier Habous et au palais royal du Méchouar, célébrant par la même occasion la Djellaba traditionnelle marocaine dans une couleur Safran, nulle autre qu’une pure et belle création de Sa Majesté !

 

 

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Avec un projet de Crowdfunding, Mounia Aram souhaite financer un programme de formation en animation au Maroc. Après avoir raflé  le prix de l’innovation culturelle au Black in Animation Awards Show, la spécialiste du cinéma d’animation en Afrique pense loin et grand. Aussi grand que le continent.

 

 

 

« Nous prévoyons avec Mounia Aram Company de lancer un programme de formation en animation au Maroc lié à l’ouverture du studio de la filiale au Maroc à Agadir. L’idée est de travailler sur des histoires africaines et de développer des compétences locales qui seraient compétitives sur la scène internationale » , ce sont les premiers mots de la Trappiste d’origine Gadiri qui rêve de porter des histoires africaines à la rencontre du monde. Pour ce faire, elle vient de lancer une campagne

Crowdfunding qui va permettre de lever les premiers fonds nécessaires. « Mais c’est surtout une belle façon de communiquer sur notre projet avec notre réseau. Le crowdfunding est un bel outil marketing qui nous permet de tester également notre projet car nous avons des feedbacks de notre réseau proche (premier cercle) et le cercle professionnel. Un bon moyen de valider notre stratégie ».

 

De Trappes à San Francisco…

 

Mounia Aram, née à Casablanca, originaire d’Agadir et ayant grandi à Trappes (Yvelines, France) ,  est une spécialiste de l’animation avec près de 20 années d’expériences dans cette industrie. Après des études de langues orientales à l’INALCO – Paris, elle a eu l’opportunité de rejoindre ShoPro Entertainment, une société spécialisée dans l’animation japonaise basée à San Francisco. C’est ainsi qu’elle a démarré sa carrière dans l’industrie et ne l’a plus quitté. Au cours de sa carrière, elle a été confrontée à de nombreux aspects de la distribution et la production dans le monde entier, de l’Europe à l’Asie, en passant par les États-Unique et l’Afrique. Au cours de sa carrière elle a fait le constat suivant : si certaines cultures sont bien représentées à travers le monde – comme l’Animation japonaise – et que certains pays sont réputés pour la qualité de leur travail – comme la France, le Canada ou les États-Unis -, elle a remarqué que l’Afrique n’était pratiquement pas représentée. Elle a donc décidé de s’attaquer à ce problème en fondant en 2019 Mounia Aram Company, une société de distribution et production spécialisée dans l’animation africaine, la culture africaine, l’Afrique en général. Elle conseille également les entreprises dans leur stratégie de distribution de contenus, leur développement sur le continent Africain, elle participe à des workshops pour développer la formation de jeunes talents en Afrique, etc…

Mounia Aram a été élu en Septembre 2020 membre de l’Académie des Arts et des Sciences de la Télévision (International Academy of Television Arts & Sciences) organisatrice des cérémonies des Emmy Awards et en 2021 elle a rejoint la Geena Davis Institute en tant qu’Africa Council Chair.

 

Reconnaissance des pairs

 

L’année dernière était l’année de la consécration pour Mounia Aram, qui se frayait un chemin dans le milieu restreint de l’animation. Elle se voyait consacrée au Black in Animation Awards Show pour ses efforts et l’ensemble de son travail. Son engagement test certain : elle souhaite que des héros made in Africa inspirent les enfants, les jeunes., les adultes du monde.

Le jury était composé de grands noms du milieu du cinéma d’animation comme Camille Eden VP of Recruiting and Talent Development à Nickelodeon, Nicole Rivera , Vice President, Original Series Development de Cartoon Network), Lynne Southerland Director/Showrunner, Sidney Clifton , EP chez Jim Henson & Deluxe Animation, Supervising Producer, BWA Studios, Carl Reed (President, Lion Forge Animation), Jinko Gotoh (Producer, Netflix ), et Marlon West (Head of Effects, Disney). Avec plusieurs interventions dans les festivals pour parler de son parcours et de nombreux projets, Mounia Aram retrouve la route d’Agadir « pour sécuriser les locaux et lancer les premiers recrutements ». Elle ouvrira en 2022 sa filiale au Maroc à Agadir qui prendra la forme d’un Studio d’Animation qui produira les séries d’animation Africaine et assurera également la prestation de service des studios étrangers. A la bonne heure !

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Il n’est de richesse que d’homme…

L’Association Nationale des Gestionaires et Formateurs des Ressources Humaines (AGEF) a organisé en partenariat avec la Fondation Konard Adenauer Stiftung (KAS), le Jeudi 14 Juillet  à l’Hôtel Sofitel Tour Blanche de  Casablanca une conférence TED ayant pour thème « Quelles Ressources Humaines Pour Accompagner La Souveraineté Industrielle du Maroc ? »  avec notamment la présence de Monsieur  Ryad MEZZOUR, Ministre de l’Industrie Et Du Commerce.

Comme à leur coutume , l’ #AGEF et son partenaire officiel, la #FondationKonradAdenauerStiftung , n’ont pas manqué leur rendez-vous dans l’organisation prestigieuse du séminaire TED AGEF 2022 autour de la thématique “ Quelles Ressources Humaines Pour Accompagner La Souveraineté Industrielle Du Maroc” Cet événement a réuni divers acteurs de renoms , Chefs d’entreprise, Experts Internationaux , DRH , Managers Opérationnels, consultants, journalistes … qui ont débattu à cœur ouvert, la dynamique de transformation du paramètre Ressources Humaines dans notre pays qui se trouve au cœur de la compétitivité à l’échelle internationale en particulier dans le secteur industriel .

Femmes et hommes de notre cher pays, représentant la ressource pilier de tout développement, doivent être davantage valorisés, pour bénéficier in-fine de leur entière productivité au profit de la nation.

 

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