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Dior

La maison LVMH, le partenaire premium des Jeux Olympiques, a dévoilé mardi dernier les uniformes des remettants des médailles pour Paris 2024. Ces tenues unisexes incarnent l’élégance écoresponsable avec un clin d’œil à l’esprit garçonne des années 1920.

Les tenues dévoilées comprennent un polo, un pantalon et un béret, tous fabriqués en France. Conçues en collaboration avec la start-up Weturn, spécialisée dans la mode circulaire, ces tenues utilisent des chutes de tissus récupérées dans les ateliers de LVMH. Les bérets et polos sont fabriqués dans les Vosges par la société Duval, tandis que les pantalons proviennent des ateliers de La Fabrique Nomade, une association aidant les artisans migrants à s’insérer professionnellement.

LVMH a également évoqué l’implication de Dior dans la cérémonie d’ouverture, promettant une surprise majeure qui sera dévoilée le 26 juillet prochain. Cette attente suscite déjà beaucoup d’enthousiasme parmi les fans de la marque et les spectateurs des Jeux.

Hola Maroc

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Depuis son lancement en 1999, « J’adore » de Dior est devenu l’un des parfums les plus emblématiques du monde. Ce succès, en grande partie, est dû non seulement à sa fragrance florale opulente et sophistiquée, mais aussi aux femmes remarquables qui ont incarné son esprit au fil des années. Chaque égérie a apporté sa propre touche de glamour et d’élégance, contribuant à façonner l’image intemporelle de ce parfum légendaire.

La première égérie et celle qui a ouvert le bal : Carmen Kass

Carmen Kass, top-modèle estonienne, a été la première à représenter « J’adore ». Son allure classique et sa beauté éthérée ont parfaitement capturé l’essence de la fragrance dès ses débuts. L’image de Kass, en robe dorée, émergeant d’une mer de pétales d’or, est devenue iconique. Sa campagne a posé les bases d’une tradition de luxe et de sophistication, établissant « J’adore » comme un symbole de féminité puissante et sensuelle.

 

 

L’étoile montante de son époque, Charlize Théron

Après Carmen Kass, l’actrice sud-africaine Charlize Théron a repris le flambeau en 2004. Avec sa beauté radieuse et sa présence magnétique, Théron a emmené la campagne « J’adore » vers de nouveaux sommets. Son célèbre spot publicitaire, où elle se défait de ses bijoux et de sa robe dorée dans une démarche confiante et séduisante, est devenu un moment emblématique de l’histoire de la publicité. Elle a rendu cette fragrance aussi convoitée que le N°5 de Chanel en s’imposant à la première place dans les ventes de parfums internationales depuis 2011.

 

 

Kate Moss ou la rébellion chic qu’on adore

Bien qu’elle ne soit pas restée égérie de « J’adore » pendant longtemps, le supermodel britannique Kate Moss a marqué les esprits avec sa participation. Sa beauté rebelle et son style unique ont apporté une touche moderne et avant-gardiste à la campagne. Moss a su incarner une féminité libre et audacieuse, correspondant parfaitement à l’image que Dior souhaitait projeter à ce moment-là.

 L’audace Moderne des temps modernes avec Rihanna 

En 2024, c’est au tour de Rihanna, la star internationale de 36 ans, de devenir l’égérie de « J’adore ». Connu pour son talent exceptionnel, son audace et sa beauté captivante, Rihanna apporte une nouvelle dimension à la fragrance. Sa première campagne, signée par le photographe Steven Klein, promet d’être aussi mémorable que celles de ses prédécesseuses. Rihanna incarne une féminité Dior rayonnante et puissante, une incarnation moderne qui transcende les générations.

 

Les égéries de « J’adore » de Dior ont toujours été des femmes qui incarnent non seulement la beauté, mais aussi la puissance et la grâce. Elles ont toutes apporté leur propre charme unique, enrichissant ainsi l’histoire du parfum. Rendez-vous donc le 1er septembre pour découvrir la nouvelle campagne qui risque de également marquer bien des générations. 

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La célèbre chanteuse Rihanna, âgée de 36 ans, vient d’être annoncée comme la nouvelle égérie de « J’adore », le parfum emblématique de la maison Dior. Elle succède ainsi à des icônes comme Carmen Kass et Charlize Théron, marquant une nouvelle ère pour cette fragrance mythique.

 

 

Une première campagne mettant en vedette Rihanna sera révélée le 1er septembre. Ce projet, capturé par le talentueux photographe Steven Klein, promet de célébrer la beauté et la créativité uniques de la star.

« Nous sommes incroyablement fiers d’accueillir Rihanna dans la famille Dior », a déclaré Véronique Courtois, présidente-directrice générale de Parfums Christian Dior, dans un communiqué. « Le talent hors normes, l’audace et la beauté captivante de cette star totale sont une incarnation idéale d’une féminité Dior rayonnante et puissante qui transcende les générations », a-t-elle ajouté.

Pour Rihanna, ce rôle représente plus qu’une simple collaboration : « Être le nouveau visage de J’adore est un honneur tout autant qu’une mission », a-t-elle affirmé. La chanteuse a exprimé sa joie et sa gratitude, soulignant qu’elle était « particulièrement touchée de rejoindre cette aventure et d’y apporter [son] univers, [son] histoire et [ses] racines, [sa] créativité et [sa] propre féminité ».

Depuis son lancement en 1999, « J’adore » est devenu synonyme de luxe et de sophistication. Avec Rihanna en tant que nouvelle ambassadrice, Dior continue de repousser les frontières de l’élégance et de l’innovation, tout en honorant la tradition de la maison. Cette collaboration promet d’apporter une nouvelle dynamique à la marque, en résonance avec l’esprit audacieux et contemporain de Rihanna.

Les fans et les amateurs de parfum attendent avec impatience de découvrir cette première campagne, qui s’annonce déjà comme un événement marquant dans l’univers de la mode et de la beauté.

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Une reine dans un costume masculin – c’est ce que le monde a vu ce lundi alors que la Reine Rania de Jordanie a pris la parole lors du sommet One Young World à Belfast. Face à plus de 2 000 jeunes militants et leaders réunis pour l’occasion, la Reine Rania a captivé l’auditoire non seulement par son message puissant de paix, mais aussi par son choix vestimentaire audacieux.

La Reine a puisé dans la nouvelle collection Dior Homme pour sa dernière apparition publique. Un geste qui va au-delà des conventions habituelles de la mode royale.

Ce choix vestimentaire n’était certainement pas anodin. Dans son discours passionné, la Reine Rania a abordé des questions cruciales. Elle a déclaré : « À l’heure où nous parlons de technologies avancées comme l’IA, il est absurde que beaucoup s’en remettent encore à la pensée primitive selon laquelle la couleur de peau détermine leur valeur. Et il est honteux que l’égalité des sexes soit encore un objectif et non une réalité. »

Le discours de la Reine Rania, centré sur le thème de la paix, était profondément inspiré par son regretté beau-père, le roi Hussein de Jordanie. Elle a rappelé son combat acharné pour parvenir à la paix au Moyen-Orient.

Dans un monde où les conflits et les préjugés persistent, la Reine Rania a appelé les jeunes leaders à agir. Elle les a encouragés à consacrer leur temps et leur énergie à la quête de la paix. « La paix ne vient pas seule, elle exige non seulement chaque once de nos forces, mais chaque once de notre temps », a-t-elle souligné.

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Chaque édition du Festival de Cannes est un rendez-vous incontournable pour les acteurs du 7ème art et les cinéphiles. Mais c’est aussi un évènement mode incontournable. Sur le tapis rouge, les célébrités ont joué la carte de l’originalité, certaines de l’extravagance, d’autres de l’élégance. Retour en images sur les tops et les flops de cette première semaine (liste non exhaustive).

Les tops

Le mannequin américain d’origine palestinienne n’a laissé personne indifférent lors de la montée des marches le 7 juillet dernier. La « It girl » est apparue dans une sublime création de Jean Paul Gaultier datant de 2002.

 

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L’actrice Diane Kruger quant à elle, a joué la carte de l’élégance en choisissant une belle robe signée Giorgio Armani. Côté bijoux, elle a accessoirisé sa tenue de boucles d’oreilles et de bagues de la maison Chaumet.

 

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Le mannequin allemand Lorena Rae a sublimé une belle robe Elie Saab lors de son apparition sur les marches les plus connues de Cannes le 8 juillet dernier.

 

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L’actrice française, Elsa Zyleberstein a choisi un total look Dior pour la cérémonie d’ouverture du Festival.

 

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Le mannequin Tina Kunakey a fait sensation lors de sa montée des marches pour assister à la projection du film Benedetta, dans une sublime robe de la Maison Valentino. Une apparition très appréciée par les photographes présents sur place.

 

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Les flops

Bella Hadid n’a décidément pas fini de faire parler d’elle. Son apparition dans une robe de Schiaparelli, ultra décolletée et couverte de poumons, a suscité l’émoi lors de la montée des marches le 12 juillet 2021.

 

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La présentatrice télé russe et business-woman a laissé libre court à toutes les fantaisies sur le tapis rouge. Découvrez quelques looks quelque peu surprenants.

 

Rendez-vous à la fin du festival pour de nouveaux looks tout aussi étonnants qu’époustouflants.

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Pendant cette pandémie, la mode ne fait pas de pause mais pose les jalons de l’industrie de la couture de demain. La semaine de la Haute Couture Paris ouvre le bal de ses défilés avec le show Dior et ses vêtements aux mille et un sens.

Les marques réfléchissent beaucoup au sort de la mode, à la ligne à suivre pour être sur la bonne longueur d’ondes qui unit le vêtement à son propriétaire, un peu comme pour un animal de compagnie.

À l’ère du virtuel, Maria Grazia Chiuri, à travers cette collection époustouflante de beauté, de robes aux magnifiques plissés, aux traines et aux chaines tressées à la main qui dissipent des motifs sur le corps, dans des couleurs chères à Monsieur Dior, comme le bleu poudré ou le nude, crée une sorte de connexion intelligente et émotionnelle qui fait appel au sens de la vue et du toucher. Le tissu aux textures et dimensions diverses, exprime sa performance énergétique via le tissage et les broderies qui s’affirment en pleine conscience matérielle de leur valeur essentielle transmise par la mémoire des gestes des mains qui travaillent.

La Directrice artistique de la marque française, en constante réflexion sur la mode et ses enjeux sur la planète et l’Homme, invite par cette collection haute couture automne/hiver 2022 à une matérialité tactile du vêtement. Le tissu ne se révèle-t-il pas à la fois matière et énergie? Ne renvoie-t-il pas aux grandes recherches et avancées technologiques dans le domaine du textile, profitant ainsi de la nanotechnologie, une des grandes vérités de la physique quantique.

 

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Dior Chanel Fendi & co, nous ont ravis quatre jours durant, de leur shows époustouflants sans public ou virtuels pour des collections tout aussi spectaculaires. Si les univers imaginés par les talentueux designers sont surprenants, à l’instar des Tarots pour Dior et de la fête version covid pour Chanel, le choix des mannequins l’est tout autant avec une Demi Moore qui réapparait pour un nouveau rôle chez Fendi et des top modèles qui renouent avec les podiums, le temps de défilés mémorables.

Collection Haute Couture Dior par Maria Grazia Chiuri sous le thème des tarots pour un défilé virtuel et un film mystique sur les arts divinatoires chers à Monsieur Christian Dior
Une collection qui reprend des symboles des cartes tarots sur des étoffes précieuses
Beatrice Borromeo, l'épouse de Pierre Casiraghi, fils de Caroline de Monaco

DES FILMS DE COLLECTIONS MODE AUX MISES EN SCÈNES DIGNES DES RÉALISATIONS CINÉMA

Épidémie oblige, la mode s’est réinventée en mode virtuel avec des shows présentiels sans public, diffusés en ligne ou alors carrément des présentations totalement digitales. L’occasion pour les marques de rivaliser d’idées et de prouesses techniques pour des films passionnants et captivants. Notre Palm d’or va à l’émouvante mise en scène pour simuler une fête familiale, une cérémonie intime de mariage dans un cadre sublime d’un jardin fleuri où les muses et ambassadrices de Chanel se sont retrouvées dans la propre famille de la marque française. Penélope Cruz, Vanessa Paradis, Marion Cotillard, Virginie Viard, la Directrice Artistique les a réunies pour jouer le jeu merveilleux de faire la fête en plein pandémie et en total respect de la crise sanitaire. Le court-métrage de Dior lui, est tout simplement à couper le souffle tant la réalisation emprunte avec brio les codes du cinéma et puise au plus profond de l’âme de la maison française et son maitre absolu Monsieur Dior, qui vouait une passion grande aux arts divinatoires et signes du destin. Les tarots font partie de cet imaginaire mystique qui apporte en ces temps de crise épidémique et psychologique mondiale, une fenêtre pour aller chercher en soi, des réponses et se reconnecter au monde.

Défilé sans public de la collection Haute Couture printemps-été de Chanel au Grand Palais transformé en lieu de fête familiale intime entre les top models et les muses ambassadrices de la marque française
Charlotte Casiraghi
Penélope Cruz
Vanessa Paradis

 

 

DES COLLECTIONS FÉERIQUES

Malgré l’épidémie, les marques ont maintenu une grande créativité et cette magie de la haute couture qui définit les collections. Robes et toilettes spéciales se sont invitées comme à chaque saison au coeur des défilés de grandes marques telles que Valentino, Armani, Schiaparelli, Giambattista Valli, Azzaro, Stéphane Rolland pour ne citer qu’eux. Si la majesté des silhouettes est frappante dans les volumes et l’étendue des étoffes précieuses, le travail d’orfèvre des petites mains est au coeur de la beauté et de la valeur de la Haute Couture. Pour Dior à titre d’exemple, au coeur de la mise en scène réussie de Maria Grazia Chiuri pour orchestrer son thème hymne aux tarots et incarner son défilé et son film réalisé par le cinéaste italien Matteo Garrone, on trouve des silhouettes dignes d’oeuvres d’art aux imprimés, broderies, ornements, perlages qui ont nécessité des milliers d’heures de travail.

L'actrice Demi Moore sur le podium de Fendi imaginé tel un jardin d'Eden
Kate Moss défile avec sa fille
Lila Moss

DES AMBASSADRICES DE RENOM

Cette année plus que jamais, nombre de stars et Ambassadrices de griffes de mode se sont joints à la dream team des marques pour présenter les défilés Haute Couture printemps-été 2021. Quelques déesses des années 80 étaient là pour soutenir la mode et les maisons qu’elles représentent, Kate Moss et sa fille en l’occurrence, ont électrisé le podium de Fendi. Penélope Cruz, Vanessa Paradis, Marion Cotillard étaient au coeur du Grand Palais pour  Chanel et ont accompagné toute cette poésie racontée par Virginie Viard dans son défilé hymne aux fêtes de famille « Je savais que nous ne pourrions pas organiser de grand défilé, qu’il nous faudrait inventer autre chose, alors j’ai eu l’idée d’un petit cortège qui descendrait les escaliers du Grand Palais et passerait sous des arceaux de fleurs. Comme une fête de famille, un mariage… », raconte Virginie Viard pour définir le ton de la collection Haute Couture Printemps-Été 2021 en précisant que ces grandes réunions familiales, avec toutes les générations mélangées, « C’est tellement chaleureux. Cet esprit, je le retrouve aujourd’hui chez Chanel. Car Chanel, c’est aussi une famille ». L’avantage des défilé sans public est de pouvoir malgré tout compter sur quelques stars, ils ne sont pas au premier rangs habituels mais ils contribuent à maintenir cette élégance des coulisses d’un défilé. Chez Dior, justement, la belle-fille de Caroline de Monaco s’est mêlée à l’ambiance et a fait la pose joliment habillée en combinaison en Denim avec un joli foulard noué sur son beau carré, une silhouette fraiche et sportive avec les sneakers D-Connect. la jeune actrice Phoebe Dynevor, icône de la série qui cartonne « Bridgertone » était aussi conviée.

Armani et ses silhouettes sirènes
Schiaparelli et ses créations extravagantes
Giambattista Valli et ses histoires d'art
Stéphane Rolland et la géométrie du vêtement
Iris Van Herpen et ses oeuvres poétiques
Valentino et l'éternelle féminité
Viktor & Rolf et sa Haute Couture fantaisiste
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Le monde se reconfine pour une seconde vague du coronavirus et rester chez soi devient presque un mode de vie. C’est ce qui a motivé Maria Grazia Chiuri à créer une toute première collection home wear pour Dior. Et si nonchalance rimait avec élégance… chez vous.

« Dior Chez Moi » est ainsi baptisée cette jolie collection entièrement composée de tenues d’intérieur, imaginées par Maria Grazia Chiuri lors du confinement. Des créations faites de matières douces et d’imprimés raffinés qui célèbrent l’art de vivre chez soi en toute élégance. 

Des vêtements d’intérieur qui se distinguent d’abord par un motif spécial imaginé par Pietro Ruffo, un artiste romain, ami de la directrice artistique de la maison Dior qui a mêlé en un seul motif, les signes du zodiaque avec les éléments composants de la nature : ciel, terre, faune et flore, continents et constellations. Un délicat clin d’oeil à une passion superstitieuse de Monsieur Dior.

Le premier vestiaire home wear de Dior est un véritable panorama de tout ce que peut représenter la notion de pyjama, star des réseaux sociaux, faisant même objet de beaucoup de challenges en cette fin d’année bien spéciale. Il se fait l’ADN de cette capsule, se conjuguant en mode intérieur/extérieur, chic et confortable, tantôt parure de salon et de couette avec peignoirs, pyjamas-shorty, dessous-dessus en triangles craquants, pantoufles, bottines et mules de maison. Tantôt ensembles parfaits pour faire quelques foulées à condition que le temps soit plus clément. En toile de jouy, anoraks, sweats et robes à capuches sont irrésistibles. La collection « Dior chez moi » invite résolument au voyage intérieur de chacun.

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L’épidémie du coronavirus est synonyme pour beaucoup de créateurs de mode à un retour aux sources. Même pour Dior, qui représente l’âme et l’ADN du luxe et de l’élégance française et ne cesse de s’ouvrir sur les cultures du monde et ce n’est pas la crise qui fera changer de cap à Maria Grazia Chiuri, directrice artistique de la prestigieuse maison.

Dans cette dernière fournée de vêtements, défilé, show et mise en scène, livrés par Dior, Maria Grazia continue de rêver malgré la crise, plus que jamais, en mêlant dans un talent créatif et une poésie toujours aussi douce, l’esthétique de la mode et la force de son langage engagé. Car l’engagement pour ce nouveau monde dont on parle depuis l’avènement de la pandémie du covid, concerne de plus près la mode depuis quelques années déjà. La mode avec son industrie polluante de premier rang, et ses griffes et géants équipementiers, cherche à se renouveler pour être plus équitable, plus éthique et plus responsable.

Pour Maria Grazia Chiuri, « chaque collection ne consiste pas seulement à concevoir une série de pièces pouvant accueillir le corps des femmes qui les portent ; elle constitue également une réflexion sur les transformations de la société, ou une réaction aux événements« , comme l’écrit Christian Dior dans son autobiographie.

Les collections femme de Dior pour la prochaine saison chaude, présentées physiquement lors de la dernière fashion week Parisienne, le 29 septembre dernier, sont une célébration inédite de plusieurs cultures et traditions des quatre coins du monde dans un même défilé. On y trouve des basiques revisités, comme la chemise d’homme par exemple, qui devient tunique et même robe, façonnée dans un esprit ethnique, tantôt Moroccan touch avec un style saharienne, tantôt japonisante et toujours aussi épurée. On retrouve le manteau long qui fait balayer les barrières culturelles d’un un mouvement de ses étoffes précieuses issues résolument de patchworks enflammés ou collages romantiques ; il se fait indien avec une richissime doublure ou encore façon kimono. La transparence se décomplexe face aux broderies vivantes qui ornent ces robes longues légères comme un souffle. L’accessoire, comme toute cette collection respecte totalement la silhouette Dior, son héritage, ses origines, mais l’imagination et les influences qui marquent le parcours de Maria Grazia Chiuri et ses propres origines à elle, ont donné par exemple, des sacs imprégnés de symboles amazighs, des bracelets, colliers et ceintures admirablement inspirés des codes de la couture traditionnelle marocaine.

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Ode à la magie des fêtes de fin d’année, chères à Christian Dior, Cordelia de Castellane dévoile la collection de la maison française qu’elle a imaginée pour enchanter ces moments de partage.

La directrice artistique de Dior Baby et Dior Maison, cousine de Victoire, l’autre Castellane qui est en charge elle, des bijoux et de la haute joaillerie qui porte son nom pour la griffe française, perpétue, à travers ces pièces magnifiques pour la table et pour la décoration de Noël, la tradition d’offrir, chère à la maison française et au coeur de Christian Dior. « Il aimait l’or », explique la créatrice de la marque C pour C pour enfants.

Placée sous les signes de la poésie et de la couleur ambre, or, vert et jaune fades, la table est sublimée par des bouquets de fleurs aux teintes chatoyantes, du rose à l’abricot, en écho aux nuances délicates du service Dior inspiré par les Luminarie, ces captivantes architectures lumineuses qui ponctuaient la scénographie du défilé croisière 2021, dévoilé dans les Pouilles, en Italie.

Tout cet univers, la créatrice parisienne qui a grandi dans la campagne suisse, a imaginé cette collection dans un esprit bucolique chic pour rendre hommage à monsieur Dior « Il passait toujours les fêtes à la campagne » révèle-t-elle. Les verres en cristal, pensés par la Directrice Artistique de Dior Maison, évoquant le cannage emblématique de la marque française, côtoient de précieux objets de famille et une sélection de pièces vintage parées de touches dorées. Magnifiant le traditionnel sapin, des boules de Noël étincelantes, ornées de dessins perforés ou de motifs peints à la main, célèbrent quant à elles les codes emblématiques de la Maison, à l’image de la toile de Jouy. Un art de vivre réinventé, ode à la joie et au raffinement ! 

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