Accueil Mots-clés Publications sur "Famille"
Mot-clé

Famille

A l’occasion de Noël, toutes les célébrités se mettent en mode fête avec toute l’artillerie nécéssaire à savoir la famille réunie autour du sapin, de bons repas, de la joie et des cadeaux. C’est cet esprit Noël que les gens affectionnent et ne manquent pas de partager sur leurs réseaux sociaux. Nous avons choisi les meilleurs célébrations selon nous avec un coup de coeur particulier pour les tribus qui savent s’amuser !

1- La tribu des Ronaldos

Si Noël était une seule image ce serait celle de Georgina accueillant son compagnon et papa de ses enfants et se délectant de découvrir tout ce qu’elle a préparé pour eux. La tribu des Ronaldo, formée de 7 membres sans compter les grands-parents, les tantes et oncles, est à elle seule une belle inspiration pour vivre des fêtes dans l’amour et la bienveillance, une dose de joie supplémentaire avec tous ces cadeaux partagés.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Georgina Rodríguez (@georginagio)

2- La tribu des Affleck

Avec les trois enfants de l’acteur Ben Affleck et les deux de la chanteuse Jennifer Lopez, le Noël est synonyme de fête naturellement. Les deux tourtereaux qui se sont mariés cet automne, n’ont pas encore partagé de photo de toute la famille. Seule Jlo a publié deux photos d’elle posant devant un joli sapin tout simplement. La star est vêtue d’une magnifique robe en soie motifs noeud de cadeau, au col claudine couture, orné d’une délicate broderie fleur, rappelant ses adorables boucles d’oreille, coiffée et maquillée en douceur, loin de ses extravagances habituelles. Oui c’est cela Noël !

3- La tribu des Kardashians

Mais que se passe t-il chez Kim Kardashians? La page de la business woman affiche une photo d’elle petite, entourée de sa maman et de deux de ses soeurs lors d’un Noël lointain. La publication d’avant, c’est un album photo posté le 24 décembre, que l’influenceuse a passé avec sa soeur Khloé, au coeur d’une association de Homeless de Los Angeles, femmes et leurs enfants. Une activité et un programme de Noël louable et inspirant !

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Kim Kardashian (@kimkardashian)

4- La tribu des Carey

Un authentique cliché de Noël partagé par la diva de la chanson Mariah Carey où on la voit totalement apprêtée en costume de Noël avec ses deux filles confortablement installées aux cotés du père Noël dans un traineau tiré par des rennes. Un bien joyeux noël pour la chanteuse !

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Mariah Carey (@mariahcarey)

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Mariah Carey (@mariahcarey)

5- La tribu de Shakira

Et le plus étonnant cliché est celui de Shakira qui partage une photo avec ses enfants lors de ce qui semble être un safari au coeur du désert de Dubai. La chanteuse pose fièrement avec un faucon à la main, emblème national du pays.

 

Voir cette publication sur Instagram

 

Une publication partagée par Shakira (@shakira)

0 commentaires
0 PinterestEmail

Lara Joher pose pour Hola! Maroc et se remémore son mariage. La ravissante ex-Wedding Planner revient sur les circonstances qui l’avaient poussée à reporter les grandes célébrations et à opter pour une petite cérémonie intime, plus que jamais pour nous au goût du jour en ces temps de pandémie où les célébrations s’inventent un nouvel esprit de petites fêtes familiales si chaleureuses. Un 2020 particulièrement chaotique pour l’influenceuse avec le drame de Beirut et la covid…

On ne se rétablit jamais complètement de la covid-19. On en garde quelques séquelles mais on en ressort avec une soif de vivre

Par un mois de janvier bien doux, Lara Joher nous reçoit dans l ‘écrin de sa jolie villa de la ville verte de Casablanca, où elle vit avec son mari et ses deux enfants. Raffinement et élégance, règnent dans tout ce qui définit la belle libanaise

Dix ans avant avec quelques kilos en moins et surtout des cheveux longs. Une robe de princesse bustier pour la petite cérémonie de mariage de Lara Joher.

  • Nouvelle année, nouvelle coupe, n’est ce pas!

Ouii !!! J’en avais besoin pour entamer 2021 et me libérer des circonstances et péripéties de 2020! Entre la pandémie covid-19 et le confinement, qui nous sont tombés dessus, l’explosion à Beirut qui m’a secouée même à des milliers de kilomètres, la crise économique, les catastrophes environnementales…. Cette coupe est résolument symbolique! C’est comme se détacher du poids des malheurs et maux, pour se donner le moyen de pousser à nouveau, encore plus fort.

  • Vous vous sentez guérie?

On ne se rétablit jamais complètement de la covid-19. On en garde quelques séquelles mais on en ressort avec une soif de vivre.

  • Quels enseignements tirez-vous de cette épreuve?

Que ça n’arrive pas seulement aux autres!! Personne n’est à l’abri, et qu’il faut profiter de l’instant présent en toute simplicité. Se recentrer sur nos valeurs respectives, ignorer les futilités et tout ce qui n’a pas vraiment d’importance.

  • Des souvenirs de votre mariage?

Je dirai plutôt des souvenirs reconditionnés. Je n’ai pas pu réellement célébrer mon mariage à la date qu’on s’était fixée, cela à cause du décès de mon beau-père, la veille de notre soi-disant grand jour. Et pour ne pas rester sur un souvenir qui aurait été virtuel, nous avons recréé l’occasion quelques mois après… certes ce n’était pas vraiment un mariage, mais l’essentiel y était… Lui en costard, moi en robe de mariée, les personnes les plus proches, une touche florale, un bon dîner, de la bonne musique… On n’a pas besoin de beaucoup de choses pour célébrer l’amour au final. On se rend compte que le reste est de plus.

Un vrai avant et après pour ces presque dix années dans la vie de Lara Joher
En 2021 et après des épreuves difficiles vécues en 2020 dont la covid et le drame de Beirut, l'influenceuse s'offre une nouvelle coupe de cheveux et encore plus de soif de vivre
  • Ce fut magique après tout au vu de ces beaux clichés…

Je ne le décrirai pas de la sorte mais je dirai plutôt que c’était intime, ça nous ressemblait!

  • Quand vous étiez Wedding Planner, vous imaginiez-vous en mariée?

En fait, je suis devenue wedding planner en organisant ma cérémonie de célébration de mariage” si on peut appeler ça comme ça. C’est parce que je n’ai pas pu vivre le mariage de mes rêves et que, malgré tout, j’ai pu profiter pleinement de mes festivités de noces, que j’ai voulu devenir Wedding Planner et permettre aux futurs mariés de vivre à leur tour ce beau moment sans se soucier du reste.

  • Un petit flash back de votre rencontre

Oulalaaa!!! Cela remonte à 2010 ! Lors d’une édition du salon de l’événementiel à la foire de Casablanca, Dom&events. On va dire que l’attraction n’allait pas dans les deux sens au tout début, mais il a réussi à conquérir mon cœur quelques mois après… Il fallait bien être raisonnable.

  • Vous n’avez pas 20 ans de mariage mais avec l’installation les enfants, comme vous arrivez à maintenir la flamme?

Je vais vous surprendre… mais en respectant l’espace de chacun, nous nous retrouvons moins dans la confrontation et nous gagnons en épanouissement. Et lorsqu’on est épanoui dans son couple, on est plus accueillant, plus aimant, plus heureux avec l’autre.

  • Belle demeure familiale mais intimiste?

Nous avons réaménagé notre maison pendant cette période de confinement parce qu’on voudrait profiter nous-mêmes d’abord de notre intérieur. Nous avons abandonné ce concept de grand salon de réception pour recevoir une fois de temps en temps et qui au final réduit notre espace de vie au quotidien. Maintenant, tous les espaces ont été conçus pour notre propre confort d’abord. 

  • Quelle éducation donnez-vous à vos enfants?

Mon mari et moi, on se rejoint sur l’éducation et l’amour que l’on transmet à nos enfants. On fait de notre mieux pour développer leur amour propre. On passe beaucoup de temps avec eux, d’ailleurs je tiens à ne pas avoir d’horaire fixe de travail pour être présente et leur apporter un équilibre émotionnel. On leur parle beaucoup de respect et d’acceptation des autres étant donné qu’on est multiculturel au sein de notre famille.

  • Beaucoup de livres d’Afrique…

C’est un petit clin d’œil à mes origines africaines. Je suis une fille d’Afrique aussi. Je suis née en Abidjan et j’y ai passé quinze ans de ma vie. C’est un continent riche en traditions et en simplicité.

  • Comment la transition s’est faite entre wedding planner et influenceuse?

Juste après mes grossesses! Être wedding planner c’était très prenant j’étais souvent absente pendant de longs week-ends. Un rythme que je ne voulais pas garder après l’arrivée de bébé. Du coup, j’ai arrêté. Puis j’ai atterri, par hasard, dans un événement d’influenceuses sans être influenceuse… Le concept collait parfaitement à tout ce que j’aimais: le partage, la socialisation, l’échange, la photographie, la mode, les événements… le tout adapté à mon propre timing… Qu’est-ce que je voulais de mieux?

L’ex-wedding Planner passionnée par la décoration d’intérieure a plongé dans la mode depuis qu’elle a recyclé sa créativité débordante vers l’art de s’habiller en usant de sa page instagram « La déco, la mode, c’est pareil… c’est de l’art qu’on retranscrit à sa manière. Je me retrouve à créer des looks à la place d’ambiances. »

  • Vous étiez une as de la déco à l’époque, vous semblez maintenant maîtriser la mode…

La déco, la mode, c’est pareil… c’est de l’art qu’on retranscrit à sa manière. Je me retrouve à créer des looks à la place d’ambiances.

  • D’ailleurs vos robes de mariages sont sublimes

Oh merci! Chaque robe a son caractère et sa signature. Le choix d’une robe ne doit pas se faire au hasard, elle doit épouser l’intention de celle qui la porte et jouer le rôle qu’on lui confie.

  • Vos cinq fondamentaux pour réussir un mariage, une cérémonie en ces temps de restriction?

Une atmosphère romantique, une ambiance conviviale, des personnes intimes, une cérémonie qui vous ressemble et… un couple épanoui et heureux.

  • Sans cérémonie sans robe sans invités que resterait il?

Elle & Lui, l’essence même du mariage, qui est l’union d’un homme et d’une femme.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Je connais beaucoup de gens qui se sont retrouvés confinés loin de leurs enfants et pour moi ça aurait été inimaginable!

Dans cet océan de profils et d’histoires sur les réseaux sociaux, il est toujours difficile d’émerger et d’imposer une identité et un style. Pas pour Douja Belkhayat qui décide il y a 9 ans de créer une page instagram pour partager ses humeurs fashion avec ses copines. La voilà en icône exemplaire de la toile avec une communauté de près de 500000 k followers, triés sur le volet. L’ex-banquière diplômée en finances de marché avait tout plaqué pour plonger dans le monde de la mode, son berceau au sein de l’usine de confection de ses parents. Le secret de l’attrait vers sa page : sa petite famille! Une adorable tribu que la blogueuse nous présente dans l’écrin émouvant de son petit nid douillet et si chaleureux.

  • Vous incarnez une famille merveilleuse sur les réseaux sociaux et vous voir là, physiquement tous réunis pour notre reportage, malgré les conditions liées à l’épidémie du coronavirus, nous confirme votre naturel et votre authenticité. Comment est née cette belle aventure de votre vie à deux?
  • M. Nous nous sommes rencontrés à Ifrane sur les bancs du lycée. Douja venait de Fès, moi de Rabat, et depuis nous nous sommes plus séparés. Nous avons étudié ensemble, nous avons grandit ensemble et nous avons aussi le même parcours professionnel, en tant que banquiers.

    Mme. Notre histoire d’amour est née dans les couloirs du lycée américain d’Ifrane, Quelques regards échangés, une amitié est née et s’est transformée en une belle histoire d’amour. Vingt ans après, nous avons Ambre, Leyna et Zayn et notre amour est toujours aussi vif.

  • Ce sont des valeurs perpétuées par vos parents respectifs?
  • M. Nous avons la chance de vivre au sein de familles assez cadrés avec une maman et un papa solidaires pour donner le meilleur à leur enfants.

    Mme. Mes parents m’ont toujours servis de modèle, ils ont travaillé main dans la main, ils ont monté une entreprise ensemble, ils nous ont élevés mes frères et soeurs ensemble et cet équilibre m’a été transmis depuis mon plus jeune âge. C’est ce qui m’a permis de reproduire le même schéma au niveau de mon foyer avec des valeurs d’amour, de partage et de solidarité entre l’homme et la femme.

  • Vous vouliez une famille nombreuses?
  • M.J’ai toujours adoré les enfants étant petit, les membres de ma famille me confiaient leurs enfants, les tantes, les oncles, les cousins…à seulement 9 ou 10 ans, j’ai toujours eu cet instinct. Oui nous voulions avec Douja deux à trois enfants mais pas une famille nombreuse. Avec deux filles et un garçon, nous sommes comblés.

    Mme. Famille nombreuse pas forcément, en tous les cas je suis issue d’une fratrie de quatre, alors pour moi c’est important d’avoir des frères et soeurs. Lorsque Anbar est née, il était pour nous évident qu’il lui fallait un frère ou une soeur. Lorsqu’elles ont grandi, on a eu envie de plonger dans l’aventure d’un troisième enfant. Que du bonheur et de la fatigue bien sûr. Mais on s’en arrête là, dans nos sociétés actuelles trois enfants c’est considéré comme une famille nombreuse.

  • Quels sont les piliers de l’éducation que vous donnez à vos enfants, aux filles en particulier dans notre société qui est encore un peu patriarche…
  • Mme. Tolérance et confiance en soi surtout pour les filles? La confiance en soi est un sujet très important pour moi. Dans notre société, il est plus facile d’évoluer en tant qu’homme que lorsqu’on est femme. C’est une triste réalité. J’ai toujours donné les armes nécessaires à mes filles afin qu’elles aient toujours confiance en elles, qu’elles soient fières de ce qu’elles sont, qu’elles soient indépendantes. J’inculque au quotidien à mes filles la valeur du travail pour ne dépendre de quiconque si ce n’est d’elles-mêmes, le papa est là, le mari sera là mais elles doivent apprendre à être capables de tracer leur propre chemin. Le modèle de la mère qui travaille et qui est indépendante est capital pour former des générations de femmes épanouies. Le travail est indéniablement plus dur pour la femme que pour l’homme, même si on prône une égalité, des inégalités subsistent que ce soit au niveau des salaires, des mentalités, du partage et de l’héritage.

  • Mehdi, vous paraissez si doux et conciliant avec les femmes de votre vie, au-delà de l’amour que vous leur portez, c’est du respect pour la femme?
  • Le respect de la femme est dans mon éducation. Mon père était très respectueux de ma mère et il nous a fait grandir mes deux soeurs et moi de la même manière, dans une égalité naturelle. C’est le modèle idéal pour moi qui assure des valeurs de respect et de confiance en soi surtout pour les filles. Les femmes sont des battantes, elles ont du mérite, pourquoi n’auraient-elles pas tout notre respect avec tous ces rôles qu’elles assument parfaitement. Ce n’est pas facile d’être une femme et pour cela je dis tous les jours bravo à la mienne.

  • Au quotidien, comment gérez-vous la gestion de la maison, les enfants, l’école?
  • Mme. Nous avons toujours formé une équipe. Lors de notre première année de mariage, nous étions encore en France, vers la fin de nos études, il y avait déjà un partage clair des taches, que ce soit ménagères ou de tout autre gestion du couple. Mehdi adore la cuisine, il cuisine en tous les cas mieux que moi!. Pour ma part je gère le ménage et la vaisselle. Avec les enfants c’est pareil, Mehdi s’est toujours impliqué totalement en tant que papa et c’est ce qui m’a donné envie d’avoir plus d’enfants. Il change les couches, il se réveille le soir, il emmène les enfants à l’école.

    M. Nous sommes complémentaires l’un pour l’autre!

  • Être confiné avec ses enfants c’est une bénédiction ?
  • Mme. Je connais beaucoup de gens qui se sont retrouvés confinés loin de leurs enfants et pour moi ça aurait été inimaginable!

    M. C’est une bénédiction dans le sens où le rythme de travail a baissé, du coup nous avons eu plus de temps avec les enfants. L’école à la maison c’est une grosse galère mais parallèlement nous avons bien profité de moments exceptionnels ; nous avons rigolé, joué, cuisiné…

  • Avez-vous vécu des moments difficiles ?
  • Mme. Oui ce fut très difficile dans le sens où j’étais enceinte et la veille du confinement, nous avions pris connaissance du sexe du bébé. J’ai aussi connu la perte d’une amie très chère et cela a provoqué mon accouchement avant terme.

  • Et les bons moments, ce fut quoi en particulier ?
  • Je suis constamment à la recherche de nouvelles idées pour ma maison, changer la décoration, les tissus, les rideaux. Un peu avant le confinement, j’avais commencé avec la tapisserie et une semaine pile avant la date du confinement, j’ai décidé de refaire tous les murs de la maison, la peinture, les moulures et bien entendu d’aménager le coin bébé avec un ventre énorme. Il parait que c’est un phénomène connus des futurs mamans, avant d’accueillir leur bébé de vouloir tout changer dans leur maison.

  • En matière de mode, Douja vous êtes incollable, d’ou ce talent vous vient-il?
  • Je suis passionnée de mode depuis toute petite. Mes parents avaient une usine de textile, ils produisait des vêtements pour nombre de marques internationales. J’ai eu cet avant-goût de la mode à la maison, il m’arrivait de dessiner des modèles et de les reproduire à l’usine pour moi et pour mes copines. J’ai toujours été imprégnée par ce monde-là de la mode et ça a évolué jusqu’à en faire un métier, plus ou moins aujourd’hui alors même que j’ai fait des études en finances de marché.

  • Comment avez-vous démarré cette aventure avec le digital ?
  • J’ai à mon actif neuf années de banque d’affaires et dans ce milieu propre à la banque, je n’étais pas aussi épanouie que je voulais l’être. Je n’avais pas l’occasion de m’habiller comme je le voulais, de m’exprimer comme je le voulais. Je décide alors de créer cette page instagram avant même que le concept de blogueuses n’existe au Maroc. C’était pour moi une fenêtre pour partager des tendances, des looks et c’est devenu un réseau avec une vraie communauté qui me suit au jour le jour depuis huit ans.

  • Vous sentez-vous, avec votre belle audience ascendante, investie d’une mission pour des causes, celle de la femme en particulier et d’autres?
  • Au delà du fait que ce réseau social est devenu mon métier, j’essaie au maximum d’utiliser ce petit pouvoir de toucher une large audience, pour partager des valeurs avec ma communauté, comme celle de l’éducation de mes filles en l’occurence et ma quête d’en faire des femmes fortes et indépendantes. D’autres missions m’interpellent évidemment, notamment des causes sociales pour venir en aide à de jeunes enfants orphelins. Tenez la semaine dernière, je me suis rendue à l’association « Dar Bouidar » pour enfants abandonnés et précisément « Atlas Kinder » qui s’occupe de 150 enfants abandonnés. Une cause qui m’a particulièrement touchée de savoir ces enfants sans mamans et sans papas, livrés à eux-même. J’ai pu partager des messages sur les réseaux sociaux et contribuer à lever des fonds de diverses natures que ce soit.

  • Et vous Mehdi, vous êtes fier que votre femme soit épanouie, libre, belle, séduisante, cultivée et influente?
  • Oui très très fier! Je me souviens du jour où elle m’a annoncé vouloir quitter son travail et faire ce qu’elle aime. Je l’ai encouragée bien entendu. Quelqu’un d’épanoui dans son métier, il le fait bien forcément et il ne peut que réussir!

  • Vous rêvez à quoi pour vos deux filles Mehdi?
  • Je rêve pour Ambre et Leyna qu’elles soient bien dans leurs peaux et qu’elles fassent ce qu’elles aiment!

  • Et vous Douja, comment verrez-vous votre petit homme ?
  • Entouré de ses grandes soeurs bienveillantes!

  • À part en finir avec le covid-19, quelles sont vos résolutions pour 2021? »
  • Mme. Fêter l’arrivée de Zayn enfin et organiser son baptême après la fin de cette épidémie et construire notre maison, on espère démarrer les travaux très bientôt.

    M. Cette épidémie nous a montrés que même les choses les plus basiques ne nous sont pas acquises. Alors pour 2021, je souhaite tout simplement un retour à la vie normale!

0 commentaires
0 PinterestEmail

Le top model maroco-britannique Nora Attal, ravit encore une fois ses internautes en posant en famille pour une grande marque de mode. Des images apaisantes en ces temps d’isolement.

https://www.instagram.com/p/CHayJSPgASB/

Le jeune mannequin de 21 ans, propulsé sur les podiums notamment par feu Karl Lagerfeld, pour lequel elle posait sur les podiums de Chanel, ne cesse de prendre des ailes et de marcher sur les plus grands podiums du succès. De Prada à Fendi en passant par Valentino, la jolie brindille a très vite cartonné et a rejoint la cour des grandes déesses de la mode. La voici choisie par Ralph Lauren, la prestigieuse griffe anglaise, symbole d’élégance et de sophistication, pour incarner sa campagne publicitaire de la fin d’année. Et deux fois plutôt qu’une, la sublime brune entraine sa famille dans son monde enchanté. Nora avait fait la UNE du magazine Vogue, aux cotés de sa famille pour un éditorial fort sur l’identité. Cette fois-ci, la tribu de Nora, (sans sa grand-mère), pose pour une série de clichés pour la collection hiver 2020 de Polo Ralph Lauren. Dans un cadre bucolique chic, pour un esprit fin d’année chaleureuse et tendre, apparait la jeune starlette dans une robe tartan à bretelles, enlacée par son papa, vêtu d’un beau smoking à noeud papillon, à leur gauche, la maman, somptueusement sobre dans un chemisier col jabot et origami, sous un costume en velours, entourée de la cadette qui porte une simple chemise à carreaux écossais et du petit frère, lui aussi sur son 31.

Nora Attal et sa famille posent pour la campagne Polo Ralph Lauren
Nora et sa maman Bouchra Attal
La maman de Nora et son père Charhabil Attal
Le papa de Nora et son petit frère Adam Attal

« C’est une telle bénédiction lorsque vous êtes entouré des personnes que vous aimez » déclare le célébrissime top dans un commentaire partagé sur le compte instagram de Ralph Lauren. « Nora et sa famille, à l’instar de nombreuses familles présentes dans la campagne des fêtes de cette année, ont exprimé à quel point elles étaient reconnaissantes d’être ensemble en ces temps incertains », peut-on lire sur le réseau social de la marque British. « Pour moi, la famille est le cadeau ultime », écrit Nora, au comble de la joie d’avoir décroché cette belle publicité qui marquera à coup sûr, sa déjà longue carrière commencée à 14 ans. « Je suis si reconnaissante de partager cette expérience avec ma famille » Nora sur son propre compte.   

Pour sa collection automne/hiver 2020, la marque de prêt à porter anglaise met donc la famille à l’honneur dans toute sa diversité culturelle et idéologique et livre en ces temps durs de pandémie de covid-19, des messages d’amitié, de bienveillance et d’amour.

0 commentaires
0 PinterestEmail
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter Lire Plus

Politique de confidentialité & de cookies
-
00:00
00:00
Update Required Flash plugin
-
00:00
00:00