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Opter pour le Design tant que d’autres préfèrent le confort et la sécurité, le marché de l’automobile offre un large éventail de choix, qui ne cesse de séduire par ses offres diversifiées la gent féminine. Quels ont les critères de choix et Quelle est la conjoncture de l’électrique pour cette catégorie de clientèle. Details.

Choix automobile femmes :Critères psychologiques ou économiques

Le secteur de l’Automobile Féminin continue d’évoluer. Du côté de l’industrie, la woman power émerge en force dans le marché de l’automobile au Maroc. En effet la présence féminine dans des secteurs d’activité influents se fait primordiale. Le rôle prépondérant de la femme marocaine dans l’économie est en croissance, au fil des du temps elle s’est battue pour affirmer ses compétences et ses droits en respectant le rôle de la mère, fille et d’épouse. La femme marocaine a su briller de ses propres ailes et atouts en alliant tradition et modernité chose qui a marquée le paysage national comme à l’international.

La discrimination, les violences et sexisme faites à l’égard des femmes n’a été qu’un challenge dont plusieurs modèles féminins se sont inspirés pour de devenir un levier de performance. L’exemple de Kenza El Alaoui, une femme qui a fait des contributions significatives à l’industrie automobile marocaine, et qui est actuellement directrice des industries de l’automobile au ministère de l’Industrie, du Commerce et de l’Economie Verte et Numérique. Un secteur qui agit activement pour répondre aux besoins de la gent féminine. Dans un monde où règne les nouvelles technologies, le marché de l’automobile n’a pas été épargné par cette transition numérique. L’évolution de l’offre a été impactée par les critères de choix féminins. Afin de satisfaire la demande de cette large catégorie de clients de multiples enseignes de l’automobiles ont adaptées leurs offres. Entre Confort Esthétique et Fiabilité ; La délicatesse féminine se retrouve face au luxe du choix de voiture.

Choix automobile femmes : Critères psychologiques ou économiques

Les statistiques révèlent que la majorité des femmes (42%) optent pour une voiture citadine en raison de la praticité lors de la conduite en ville, mais également pour les designs plutôt attrayants dont sont dotées ces petites voitures. Les femmes sont de plus en plus nombreuses à influencer le choix de la voiture familiale ou à immatriculer des véhicules à leur nom. Les critères privilégiés sont la sécurité, le design, le confort à bord et l’écologie Les citadines et les SUV sont les types de voitures les plus populaires auprès des femmes 

En 2023, les voitures préférées des femmes étaient principalement des citadines, telles que la Fiat 500, la Mini Cooper, la Toyota Yaris, la Peugeot 208 et la Suzuki Swift Les femmes sont également de plus en plus attirées par les SUV, qui offrent une conduite plus haute et une meilleure visibilité sur la route .

Il est important de noter que le choix d’une voiture est une décision personnelle et dépend des besoins et des préférences individuels. On recommande vivement de faire un essai routier avant d’acheter une voiture pour s’assurer qu’elle correspond à vos attentes.

Assurer la sécurité de ses bien-aimés ou maintenir une position de force et de supériorité (voiture 4*4, Véhicules tout terrains) sont indépendamment des choix qui cachent parfois derrière des motivations psychologiques de l’acheteuse. D’autres facteurs économiques, en ce qui est de consommer moins, de plus en plus de femmes montrent de l’intérêt au concept de l’écolo, et sont attirés par les nouveaux modèles hybrides. Les voitures électriques sont de plus en plus populaires en outre, le Maroc a pour objectif de voir circuler 700 000 voitures électriques d’ici à 2030  Pour atteindre cet objectif, le pays se dotera d’un écosystème destiné à accompagner la croissance de ce marché quasi inexistant .

De dernière actualité DFSK et son partenaire Africa Motors, filiale du Groupe Auto Hall, ont lancé, la semaine dernière, la première marque automobile 100% électrique sur le marché marocain et inauguré « Africa Marketing & Service Center », une plateforme de liaison entre le constructeur chinois et ses clients africains, faisant de Casablanca un hub continental.

Autrement les voitures les plus prisées par les femmes marocaines ces dernières années sont la Renault Clio, voiture qui s’affirme par sa maniabilité et son assurance, la Peugeot 208 qui demeure célèbre par son confort d’usage et son économie de carburant, la  Dacia Sandero qui monte en crescendo à la faveur de son rapport qualité-prix remarquable, la Volkswagen Polo qui gagne de la reconnaissance pour ses particularités de sécurité avancées et finalement la Ford Fiesta qui continue de séduire grâce à ses technologies modernes.

 

De par les complexités et les entraves quelle rencontre au quotidien, chef d’entreprise, fondatrices de start-up, médecin auteure, enseignante ou et chercheuse scientifiques, la femme marocaine n’a jamais été plus indépendante et mobile, qu’en 2024 où elle est en quête de voiture combinant style, sécurité et sureté.

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Experte en communication RH, elle est passée par le monde des médias et le monde de la publicité avant de créer sa propre agence à tout juste 30 ans. Imane Lahlou puise dans son intelligence émotionnelle et dans son sens de la précision pour accompagner les entreprises à reprendre le contrôle du temps, surtout après un pandémie qui a chamboulé la planète. Dans l’ère du temps, Imane Lahlou crée Creatine Agency avec son frère Karim. Rencontre avec une passionnée, capteuse de success-stories, qui écrit son histoire tous les jours depuis Casablanca pour le monde…

  1. Au lycée , avais tu une idée précise de ce que tu voulais faire ou tu voulais être ?

 

Je pense que j’ai toujours eu une idée très précise de ce que je voulais être. Petite, lorsqu’on me demandait ce que je voulais faire quand je serai grande, je sortais une liste qui commençait par danseuse étoile à 20 ans (évidemment) et écrivaine à 60 ans, en passant par avocate, vétérinaire, architecte… Je ne comprenais pas qu’il faille choisir un métier. Pour moi, il fallait choisir son métier par passion, sinon à quoi bon. Puis, les années sont passées, et le système d’orientation marocain aussi, et je me suis retrouvée dans une filière scientifique alors que je rêvais de poésie et de littérature.

  1. Pour quelles études as-tu opté et pourquoi ?

L’année du Bac, celle des grandes décisions, j’ai voulu rectifier mon parcours pour apprendre un métier de passion, le cinéma. Mais là encore, le destin en a voulu autrement. Suite à la mort de mon père, j’ai choisi de rester auprès de ma mère. J’ai choisi la première école de commerce qui s’est présentée. J’avoue que je m’y suis beaucoup ennuyée. Heureusement que je m’étais fait des amis, rares mais précieux. Et heureusement surtout, que dès la deuxième année, j’ai rencontré le journalisme.


Mais je pense que je n’aurais pas pu exercer ce métier aujourd’hui, à l’ère des réseaux sociaux. Tout le monde semble avoir un avis sur tout, tout le monde est critique d’art !

  1. Comment s’est fait l’entrée sur le marché du travail ?

Grâce à Ben Harper ! J’ai rencontré la Cheffe de rubrique d’un magazine marocain pendant le concert de Ben Harper aux Musiques Sacrées de Fès. Une femme incroyablement inspirante. Elle a proposé de nous raccompagner, mes amis et moi, à Casablanca puisqu’on n’avait ni où dormir ni assez d’argent pour rentrer ! Sur le trajet, nous avons discuté du concert, puis de nos passions pour la musique, le cinéma, les arts. En arrivant à Casablanca, elle m’a demandé d’écrire ce que je lui avais dit sur le concert. C’était ça, mon entretien d’embauche. J’étais encore étudiante, et on m’expliquait que mon métier consistera à assister à des concerts, des avant-premières, des expositions, de rencontrer les artistes, d’écrire sur des sujets qui me passionnent et en plus d’être payée pour ça ! C’était une claque ! Je n’y croyais pas !

  1. Tu as évolué dans le monde des médias, qu’est-ce que c’est qu’être journaliste culture au Maroc ?

Pour moi, c’était un job d’étudiant, un job de rêve, mais un job d’étudiant. La scène culturelle marocaine est incroyablement riche, ça bouge tellement ! Cette énergie créative bouillonnante a besoin d’être mise en lumière, d’être connectée à ses publics, et les journalistes culturels ont ce rôle. Choisir de parler de tel film, de tel album, de tel artiste, au lieu d’un autre, c’est déjà prendre position. Donc le plus dur, c’était de choisir les sujets ! Pour la liberté d’expression, j’avais souvent l’impression d’en avoir davantage que les artistes eux-mêmes ! On pouvait tout dire, eux non. Mais je pense que je n’aurais pas pu exercer ce métier aujourd’hui, à l’ère des réseaux sociaux. Tout le monde semble avoir un avis sur tout, tout le monde est critique d’art !

 

Nous avons vécu un moment historique pour l’humanité entière. Pas de place au statu quo après ça !

  1. Comment as tu vécu tes années dans le monde de la pub ?

A la fin de mes études en business management et en communication, j’ai rejoint le monde dit “de la com’” où chaque jour est une école. On ne le dit pas souvent, mais c’est un univers où les gens sont très solidaires et généreux. On apprend beaucoup, à chaque projet, à chaque pitch. On observe les habitudes des consommateurs, on découvre l’état de l’économie marocaine, on travaille sur plusieurs secteurs en même temps, donc on apprend à s’organiser et à travailler très vite, et on apprend à apprendre ! J’ai adoré y côtoyer des gens si différents, travailler avec des personnes aux expertises pointues dans différents domaines et découvrir les success-stories des entreprises marocaines qui n’ont vraiment rien à envier aux entreprises mondiales.

  1. Pourquoi avoir quitté ce monde ?

On ne quitte pas ce monde. Il nous habite à jamais ! J’ai décidé de quitter le salariat, pas le secteur de la communication. J’ai eu la chance de faire une grande partie de ma carrière au sein d’une agence qui prend réellement soin de ses collaborateurs. C’est rare dans un monde où les deadlines tuent toute notion de work-life balance. Mais après la crise, les confinements à répétition et la course effrénée derrière les projets, j’ai eu besoin d’une pause pour m’interroger sur ma véritable vocation. Nous avons vécu un moment historique pour l’humanité entière. Pas de place au statu quo après ça !

 

  1. Comment as tu décidé de créer ta propre agence ?

Grâce à mon frère ! Nous nous complétons parfaitement, tant sur le plan personnel que professionnel. Nous exerçons le même métier, lui est directeur artistique et je suis directrice de création. Lui, c’est l’image et moi les mots. Nous sommes conscients d’avoir une chance incroyable de pouvoir exercer un métier par passion, et en plus de le faire ensemble ! L’entrepreneuriat nous a paru naturel. De cette relation fusionnelle est née une vision commune : celle de vouloir accompagner les entreprises marocaines à prendre soin de leur collaborateurs, à travers la communication RH.

De cette relation fusionnelle est née une vision commune : celle de vouloir accompagner les entreprises marocaines à prendre soin de leur collaborateurs, à travers la communication RH.

  1. Pourquoi les RH et en quoi consiste ton travail exactement ?

La crise sanitaire a donné naissance au phénomène de Grande Démission. En temps de crise, les gens remettent en question leur rapport au travail, son importance dans leur quotidien, le sens qu’il donne à leur vie… Quel que soit le secteur, quel que soit le métier, il y a de profonds changements dans notre rapport au travail, ne serait-ce que l’avènement du télétravail et ce qu’il implique comme questionnements philosophiques sur la liberté de mouvement ! Dans ce contexte, jamais il n’a été aussi important pour une entreprise de prendre soin de ses collaborateurs. Il est de plus en plus difficile de recruter les talents, de susciter des déclics, de fédérer autour d’une vocation unique. C’est là que nous intervenons. Nous avons choisi d’accompagner les entreprises marocaines (principalement PME et startups) à formaliser leur vocation, leurs valeurs, à nourrir leur marque employeur pour donner envie aux talents de les rejoindre, à créer des environnements positifs et inspirants pour les fidéliser et les engager et à leurs faire vivre des expériences agréables et stimulantes pour les retenir. Nous avons une fierté très particulière à accompagner des marques marocaines. Il y a de véritables success-stories qui se passent juste sous nos yeux et elles sont incroyablement inspirantes !

 

Il y a de véritables success-stories qui se passent juste sous nos yeux et elles sont incroyablement inspirantes !

 

  1. Quelle serait une journée type de Imane Lahlou?

C’est bateau de dire ça, mais je n’ai pas de journée type et j’espère ne jamais en avoir ! J’ai plusieurs “principes” pour m’organiser et assurer la productivité de l’équipe : le premier, c’est life before job, toujours ! On travaille avec une totale flexibilité des horaires et une liberté absolue de mouvement. Ça nous a permis de collaborer avec des talents autonomes, responsables et engagés et ça bénéficie aussi à nos clients. A part le boulot, je me consacre à mes premières amours : le cinéma, la musique, la cuisine… Et depuis peu, je me suis lancée le challenge de dire “oui” à tout ce qu’on pourrait me proposer. Alors j’ai fait de la boxe, du Jiuji tsu, de la voile, de la poterie et du théâtre…

 

  1. Comment te vois tu dans 10 ans ?

En tour du monde, un bout de plage à la fois. Continuer à travailler sur ce qui me passionne, continuer d’apprendre de nouvelles choses tous les jours et peut-être écrire quelques histoires.

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Le grand Trophée national Khmissa, dignement consacré autour de la journée internationale des droits des Femmes, entre 1997 et 2010, revient cette année comme « sacre fédérateur des intelligences féminines autour de l’engagement solidaire et collectif des vrais patriotes », tel que confirmé par le discours royal du 20 Août 2021.

Dans un Maroc post pandémie qui revit dans l’espoir et perpétue son engagement pour la dignité et l’égalité des droits citoyens et humains, dans la Culture du Genre, de l’Intergénérationnel et de l’Interculturel, l’événement devient Khmissa & Khmiss. Les concepteurs organisateurs du Trophée ont décidé, avec le concours de ses partenaires, dont Huawei, de relancer cette initiative valorisante citoyenne, dans une édition revisitée et enrichie par l’engagement assumé des Hommes d’exception qui assument leur culture du Genre dans l’avancée des droits des Femmes.

Khmissa&Khmiss 2022 célébrera les 25 Nominées et les 25 Chevaliers de la Culture du Genre, et consacrera les 5 Élues de chaque catégorie, de manière festive, artistique et culturelle à Casablanca les 26 et 27 Mai 2022 .

Le Comité d’éthique du Trophée, à travers son secrétariat général et les équipes dédiées, a validé la liste des 25 Nominées dans les 5 catégories de ce Trophée chargé d’espoir, d’engagement et de foi en faveur des droits de la Femme.

Un vote Grand Public, sera annoncé par voie de presse, afin de choisir l’Elue de chaque catégorie qui seront annoncées lors des soirées de célébration du 26 et 27 Mai 2022 à Casablanca.

Les 25 Nominées du trophée Khmissa & Khmiss 2022

Arts & Culture

  • Mouna Hachim
  • Salma Bensaid
  • Leila Cherkaoui
  • Maryam Touzani
  • Manal Benchlikha

Science& Santé

  • Amina El Kessioui
  • Laila Mandi
  • Hajar Moussanif
  • Mounia Zemamou
  • Sara Bellali

Éducation & Sports

  • Amal Kadiri Berrada
  • Bouchra Hajij
  • Khadija Illa
  • Hakima Benchrifa
  • Fouzia El Kassioui

Entreprise & Fonction publique

  • Sanaa Smyej
  • Najat Saher
  • Sanaa Zagouri
  • Oumnia Ouazzani Touhami
  • Aziza Moujane

Action sociale et Humanitaire

  • Hind LAIDI
  • Aicha Duihi
  • Darya Mazdaoui
  • Hasnaa Idrissi Kabbaj
  • Mina Bajji

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