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Festival de Cannes

Depuis des décennies, L’Oréal Paris n’a cessé de tisser des liens étroits avec le monde du cinéma, marquant ainsi son empreinte sur le tapis rouge des festivals les plus prestigieux. À travers son partenariat emblématique avec le Festival de Cannes et l’influence de ses égéries sur le grand écran, L’Oréal incarne le glamour et le prestige à chaque apparition. Retour sur une histoire fascinante où beauté et cinéma se rencontrent.

Le partenariat éclatant avec le festival de Cannes

Depuis 1997, L’Oréal Paris est le partenaire officiel du Festival de Cannes, un rôle qui va bien au-delà du simple sponsoring. En tant que maquilleur officiel, L’Oréal sublime les stars du cinéma sur le tapis rouge, contribuant à faire de chaque montée des marches un moment de pure magie. Le Festival de Cannes, avec son aura mondiale, est le cadre idéal pour mettre en lumière l’expertise et l’innovation de L’Oréal en matière de maquillage et de soins de la peau.Les égéries de L’Oréal, des icônes internationales telles qu’Eva Longoria, Jane Fonda, Aishwarya Rai Bachchan, et bien d’autres, apportent une touche de glamour supplémentaire à cet événement. Leurs apparitions scintillantes, parées des créations des plus grands couturiers et sublimées par les produits L’Oréal, captivent les regards et les objectifs des photographes du monde entier.

 

Des égéries aux parcours inspirants

Les égéries de L’Oréal ne sont pas seulement des visages magnifiques, elles sont aussi des figures influentes du cinéma et de la télévision. Leur influence sur le grand écran renforce la présence de L’Oréal dans l’univers cinématographique. Eva Longoria, par exemple, n’est pas seulement une actrice talentueuse connue pour son rôle dans « Desperate Housewives », mais aussi une productrice accomplie et une militante engagée. Son charme et sa détermination font d’elle une ambassadrice idéale pour L’Oréal, incarnant à la fois la beauté et l’empowerment.

Jane Fonda, légende du cinéma et militante de longue date, incarne la beauté intemporelle. Ses rôles mémorables et son engagement social puissant font d’elle une égérie qui transcende les générations. Fonda inspire des femmes de tous âges à embrasser leur beauté naturelle avec confiance et grâce.

 

Aishwarya Rai Bachchan, ancienne Miss Monde et star de Bollywood, apporte une touche d’exotisme et de glamour international. Sa carrière cinématographique impressionnante et son élégance naturelle font d’elle un symbole de la beauté mondiale, célébrée à travers ses collaborations avec L’Oréal.

 

Collaborations cinématographiques et création de looks iconiques

L’Oréal travaille en étroite collaboration avec des réalisateurs et des maquilleurs de renom pour créer des looks inoubliables pour les films. Ces collaborations permettent de montrer la polyvalence et l’efficacité des produits L’Oréal dans des environnements de haute pression et de créativité intense. Par exemple, lors de la préparation des maquillages pour un film, les équipes de L’Oréal apportent leur expertise pour développer des styles qui vont du naturel au plus extravagant, en fonction des besoins du scénario et de la vision du réalisateur. Un exemple marquant est la contribution de L’Oréal aux films présentés à Cannes. Les maquilleurs de la marque ont travaillé sur des films primés, aidant à créer des personnages mémorables avec des looks distinctifs. Ces créations ne se contentent pas de rehausser la beauté des acteurs, elles contribuent également à l’atmosphère et à l’esthétique globale du film.

 

 

Campagnes publicitaires et hommage au cinéma

L’influence de L’Oréal dans le cinéma se manifeste également à travers des campagnes publicitaires qui mettent en scène des égéries célèbres, recréant l’aura des grandes stars de l’écran. Ces campagnes ne sont pas de simples publicités, mais de véritables hommages au septième art. En utilisant des techniques de production cinématographique, des scénarios élaborés et des réalisations dignes de films, L’Oréal crée des publicités qui captivent et inspirent.

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Anya Taylor-Joy, l’actrice au charme envoûtant, remet sur le devant de la scène le fameux chapeau de paille Jacquemus, emblème de l’été 2024. Introduit lors du défilé printemps-été 2018 de Jacquemus, ce chapeau de paille XXL est rapidement devenu un incontournable de la mode.

Un retour triomphal et incontournable : le coup de maître d’Anya Taylor-Joy

Porté par les icônes de la mode telles que Pamela Anderson, Emily Ratajkowski et Kendall Jenner, le chapeau de paille Jacquemus résonne comme un symbole d’élégance à la fois provençale et californienne. Sa large envergure et sa texture délicate en font bien plus qu’un simple accessoire estival : il incarne le mariage parfait entre la praticité de la protection solaire et le raffinement du style.

Anya Taylor-Joy, reconnue pour son sens unique de la mode et sa capacité à mélanger les pièces vintage avec les tendances contemporaines, a récemment été aperçue arborant fièrement ce chapeau emblématique. Sa présence sur la scène de la mode a immédiatement attiré l’attention des passionnés de mode à travers le monde, confirmant ainsi le retour en force de cet accessoire emblématique.

 

 

L’élégance au naturel pour l’été 2024,  une adoration sans limite par les célébrités

Cet été, le chapeau de paille Jacquemus fait un retour triomphal dans nos garde-robes avec une éclatante modernité. Sa silhouette distincte, évoquant les doux champs de lavande de Provence et les plages ensoleillées de Californie, s’accorde parfaitement avec les tenues estivales. Que ce soit porté avec une robe légère, un maillot de bain chic ou une combinaison élégante, il apporte une touche d’élégance désinvolte et de sophistication naturelle.

Depuis son lancement, ce chapeau est devenu bien plus qu’un simple accessoire : il est devenu un véritable symbole de statut et de style. Adopté par des célébrités telles que Pamela Anderson pour ses looks iconiques, Emily Ratajkowski et Kendall Jenner pour leurs vacances glamour, cet accessoire transcende les époques et les tendances avec une aisance déconcertante.

 

En 2024, le chapeau de paille Jacquemus fait une réapparition remarquée, prêt à conquérir les plages, les festivals et les rues ensoleillées. Son retour marque une célébration de la mode durable et intemporelle, où chaque détail compte et où l’élégance réside dans la simplicité.

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Le jury du festival de Cannes a donné son verdict pour cette 76è édition. La Palme d’or revient à la française Justine Triet pour « Anatomie d’une chute ». C’est la troisième statuette pour une femme délivrée par la célèbre compétition de cinéma. Palmarès complet et dernières émotions avant la tombée de rideau. 

Elle est la deuxième cinéaste française à recevoir ce sacre cannois. Justine Triet a reçu sa Palme d’Or pour son film « Anatomie d’une chute », des mains de Jane Fonda « The Zone of interest » de l’Allemand Jonathan Glazer a reçu la Grand prix du jury. Le prix d’interprétation féminine est revenu à la comédienne turque Merve Dizdar pour Les Herbes sèches de Nuri Bilge Ceylan, son homologue masculin n’est autre que l’acteur japonais Koji Yakusho, pour le film de Wim Wenders Perfect Days. 

Le festival s’achève et Cannes brille encore de mille feux, reflet intense de toute cette constellation d’étoiles sous le ciel cannois. Si la cérémonie de clôture a compté la présence d’une pléiade de grandes stars  à l’instar de Jane Fonda, tous ces dix derniers jours ont vu défilé le tout Hollywood dans la ville française. De Johnny Deep aux bras de Maïwenn pour le film Jeanne du Barry dans le rôle de Louis XV à Martin Scorsese pour son nouveau film qui s’est entouré de ses deux acteurs Leonardo DiCaprio et Robert De Niro, en passant par Michael Douglas pour recevoir une Palme d’or d’honneur, Harrison Ford venu présenter le dernier volet des aventures d’Indiana Jones ou encore Tom Hanks, Scarlett Johansson et Tilda Swinton pour Asteroid City de Wes Anderson. Une édition spécialement forte carte elle aura réuni un cinéma des quatre coins de la planète, à l’image de la nomination de trois films marocains et d’un membre du jury du Maroc en la personne de la réalisatrice Maryam Touzani.

 

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En plein festival de Cannes, la chanteuse Dua Lipa et la styliste Donatella Versace ont présenté une collection mode nommée Vacanza. Une collaboration presque naturelle entre créatrice et muse qui s’unissent pour le meilleur et le fashion !

Cannes ne sait littéralement plus ou donner de la tête avec cette constellation d’étoiles qui s’abat sur la capitale française du divertissement de luxe depuis le 16 mai. Entre le cinéma et la mode la galaxie du show biz fait déambuler les plus grandes stars d’un show à l’autre, d’une soirée à l’autre et d’un podium à l’autre. Celui du défilé Vacanza a fait tourner toutes les têtes. Une collection fruit d’une collaboration entre la chanteuse Dua Lipa et la créatrice de mode Donatella Versace pour un fashion show ultra pointu orchestré dans une villa de rêve à Cannes. Un défilé privé qui a fait encore plus monter la température dans la cité de la célèbre croisette. Une ligne forte en couleurs, en étoffes scintillantes et en beach wear ultra sexy, des valeurs communes que portent la chanteuse de 27 ans et la styliste italienne très proches depuis plusieurs saisons.

 

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Un vestiaire joyeux et vitaminé

Pour une première expérience dans la mode, la diva britanico-albanaise a livré un 10/10 au vu de toute l’effervescence qu’a provoqué le show sur la toile. Il faut dire que dévoiler cette collection dans la ville du soleil de la plage et des vacances est une idée lumineuse pour celle qui passe facilement de muse à co-créatrice pour la célébrissime griffe italienne dont elle est ambassadrice notamment pour la campagne automne-hiver 2021. La créatrice en herbe a choisi un vestiaire joyeux et vitaminé idéal pour les vacances mais version Versace et cela veut dire beaucoup de choses. La chanteuse du tube à succès New Rules s’est basée sur les règles de la maison milanaise dont les strictes codes mode de la griffe : le smoking oversize, les robes courtes et géométriques, les toilettes longues et sensuelles de soirée, le monochrome so chic et acidulé, les détails métalliques à profusion et surtout les fameux imprimés papillon et coccinelle, issus des archives de la maison.

 

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Comme chaque année, Sofia Saidi foule le tapis rouge du festival de Cannes en sublime ambassadrice du Maroc.

Sofia Saidi sur le tapis rouge du festival de Cannes

L’animatrice et présentatrice dans la prestigieuse chaine de télévision MBC a comme chaque année livré de beaux clichés, témoins de sa grâce et de sa beauté.

La gracile icône des médias arabes au charme piquant, au regard souligné et à l’aura méditerranéenne a rayonné sur la croisette.

La journaliste a choisi une magnifique robe fourreau noir & blanc qui souligne ses courbes parfaites sublimées par ce drapé en soie façon origami et cette traine si poétique qui rallonge l’étoffe d’une extrême sensualité. 

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Michael Douglas a été honoré lors de la 76è édition du festival de Cannes. Voici 7 films qui marquent la vie de l’acteur américain de 78 ans.

Michael Douglas vient d’être sacré par le festival de Cannes de la Palme d’or d’Honneur pour toute sa carrière. Une carrière extraordinaire avec plus de 70 films et une aura planétaire qui en fait l’un des hommes les plus connus de la planète. Une vidéo drôle et sympathique postée par le géant du cinéma américain, où Michael Douglas plaisante avec son âge dans la langue française qu’il maitrise parfaitement, disant qu’il était plus vieux que le festival de Cannes lui-même qui lui remet un prix à 78 ans lors de la 76ème édition, nous remet en mémoire 7 des plus grands films de l’acteur américain sur seulement deux décennies.

Michael Douglas entouré de sa femme Catherine Zeta Jones et de sa fille Carys sur les marches du festival de Cannes où l’acteur américain a reçu une Palme d’or d’Honneur pour l’ensemble de son incroyable carrière

Si l’acteur a démarré sa carrière très jeune sur les pas de son père le grand Kirk Douglas, il a vite produit des films à l’instar de « Vol au dessus d’un nid de coucou » (1975) distingué par cinq Oscars. Les plus marquants de ses films sont sortis lors des années 80 et 90, pour la majorité des thriller ou des pamphlet. Les personnages qui vont marquer sa carrière sont souvent portés par l’argent, les affaires et le sexe, à leur tête « Wall Street » (1987) qui lui vaut son seul Oscar et «  Liaison Fatale » (1987). Si dans le premier il incarne le génie financier malhonnête, il est l’infidèle mari persécuté par une maitresse d’un jour dans le second où la grande Glenn Glose lui donne la réplique. Avec « The Game » (1997) et « Meurtre Parfait » (1998) et surtout la sortie de « Basic Instinct » (1992), ce thriller érotique au succès planétaire où Michael Douglas partage l’affiche avec Sharon Stone, l’acteur signe ses deux meilleurs décennies de cinéma. 

A la Poursuite du Diamant Vert 1984

Joan Wilder, une romancière, doit rapporter à sa sœur, kidnappée en Colombie, une carte que lui a expédiée le mari de cette dernière peu avant qu’il soit retrouvé mort. Après s’être trompé d’autocar à l’aéroport, elle rencontre un aventurier nommé Jack Colton. Celui-ci devine que la carte décrit la cachette d’un trésor qu’ils vont se mettre à chercher ensemble : le diamant vert.

Wall Street (1987)

En 1985, Bud Fox (Charlie Sheen), issu d’un milieu ouvrier et fraîchement diplômé de la New York University, est un courtier en bourse junior dans la banque d’affaires Jackson Steinem & Co. à Wall Street. Il a un fort désir d’arriver rapidement au sommet et d’égaler les maîtres de la haute finance. Il souhaite travailler avec son héros, Gordon Gekko (Michael Douglas), un investisseur légendaire de Wall Street. Pour cela, il appelle le bureau de Gekko 59 fois pour tenter d’avoir un rendez-vous avec lui, il arrive à le convaincre en venant lui rendre visite le jour de son anniversaire avec sa marque de cigare de contrebande favorite.

Liaison Fatale (1987)

L’aventure d’un soir de Dan Gallagher (Michael Douglas), un avocat new-yorkais marié et père de famille, avec Alex Forrest (Glenn Close), une éditrice célibataire à la personnalité obsessive, va se transformer en un véritable cauchemar pour lui et sa famille.

La guerre des Roses (1989)

Un couple apparemment heureux en tout point se retourne un jour l’un contre l’autre. S’engagent alors coups bas et autres bassesses pour arriver à leurs fins…

Basic Instinct (1992)

L’action se déroule à San Francisco et ses environs. Catherine Tramell (Sharon Stone), une romancière richissime vivant entourée d’anciens meurtriers, est soupçonnée du meurtre de son amant, la rock star Johnny Boz. Celui-ci a été assassiné à coups de pic à glace dans des circonstances similaires à celles décrites dans l’un des romans policiers qu’elle a écrits. Les romans de Catherine sont des polars qui mêlent sexe et crime et s’attardent sur l’instinct primaire (basic instinct) des gens. Nick Curran (Michael Douglas), un policier chargé de l’enquête et ayant un lourd passé judiciaire, doit faire face à cette « mante religieuse », qui n’hésite pas à utiliser ses charmes pour arriver à ses fins.

Harcèlement (1994)

Cadre dans une firme spécialisée en réalité virtuelle, un père de famille est accusé par sa patronne de harcèlement sexuel. Il réussit à se disculper, mais l’affaire rebondit lorsqu’il découvre que l’accusation visait à masquer d’importantes manipulations techniques dans la firme.

The Game (1997)

À San Francisco, Nicholas Van Orton (Michael Douglas) va fêter ses 48 ans. 48 ans c’est aussi l’âge auquel son père a mis fin à ses jours.

En bonus un extrait d’un set du tournage de la série Franklin tournée en France, dans laquelle Michael Douglas mène le premier rôle dans la première saison, celui de Benjamin Franklin. A l’âge de 70 ans, sans aucune formation diplomatique, Benjamin Franklin a convaincu la France – une monarchie absolue – de financer l’expérience américaine de la démocratie. Grâce à sa notoriété, son charisme et son ingéniosité, Franklin a su déjouer les espions britanniques, les informateurs français et les collègues hostiles, tout en mettant sur pied l’alliance franco-américaine de 1778 et la paix définitive avec l’Angleterre de l783. Franklin a rédigé et signé la Déclaration d’indépendance des États-Unis et est l’un des Pères fondateurs des États-Unis.

 

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Magnifique Montée des marches pour le couple Nabil Ayouch et Maryam Touzani en ce samedi 28 mai 2022, jour de cloture du 75è Festival de Cannes. La réalisatrice dont le film est primé du prix de la critique Internationale (FIPRESCI) portait un caftan de sa maman.

Nabil Ayouch et Maryam Touzani aux cotés de lactrice Lubna Azabal, héroine du film « Le Bleu du Caftan »

Aux bras de son mari Nabil Ayouch, son grand amour, le papa de son fils et son mentor pour le cinéma, l’ex=journaliste, réalisatrice, scénariste et co=productrice a foulé le tapis rouge cannois de façon magistrale dans un caftan de sa maman. Sur les crépitements de flash sur celle qui a été honorée jeudi dernier d’une grande consécration inédite pour son pays et pour le cinéma marocain par le prix décerné à son film « Le Bleu du Caftan », celui qu’elle portait, était lui de couleur noir et or, à la découpe rétro et aux finitions traditionnelles, noué à la taille par un simple Majdoul, une toilette finement coordonnée au smoking parfait de son mari.

Maryam porte un caftan de sa maman, à la découpe rétro et aux finitions traditionnelles

Le couple Ayouch, par cette belle vitrine sexy et glamour d’un Maroc beau et brillant, a fait du caftan un bel étendard made in Maroc de liberté, de modernité et de force.

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Son apparition sur le tapis rouge du Festival de Cannes avait fait grand bruit le 11 juillet dernier! Le mannequin Bella Hadid, avait porté une robe signée Schiaparelli au décolleté ultra plongeant orné d’un bijou en forme de poumons. La petite sœur de Gigi Hadid s’est emparée de son compte Instagram pour partager, avec ses 44 millions d’abonnés des photos en close up de ses accessoires Chopard et de sa robe.

 

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Une tenue iconique qui a été très remarquée par la planète mode et people. Il est certain que ce look de Bella Hadid restera dans les anales.

 

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« Pour ma prochaine collection « Tanya », j’ai justement voulu rallier ma conscience écologique et mon ambition de faire de la mode responsable et citoyenne »

Nabil Ayouch a fait appel au créateur marocain Ali Drissi pour habiller l‘équipe du film « Haut et Fort », lors de la Montée des Marches du festival de Cannes. Le styliste marocain a réussi un bel exercice de mêler les codes du Hip Hop aux valeurs de la mode, le tout dans un total esprit éco-responsable, marque de fabrique du designer marocain, qui fait son chemin de croix pour imposer l’upcycling au Maroc. Résultat : Un vestiaire glamour, urbain et chic qui a fait rougir le tapis rouge cannois.

Le designer Ali Drissi, l’un des rares stylistes qui oeuvre pour une mode responsable, il est surtout connu pour son initiative louable envers les artisans des régions reculées qui souffrent des affres de l’épidémie du covid, à travers sa technique tissage baptisée « Tanya »

  • Habiller l’équipe d’un film qui est rentré dans l’histoire c’est historique aussi ? 

Si c’est le cas, je ne le réalise pas. Dans mon histoire avec un petit h, oui, c’est sûr. En tout cas, mon émotion était intense en regardant cette montée des marches. J’ai ressenti une grande fierté de voir le cinéma marocain à l’honneur sur le tapis rouge le plus prestigieux au monde. Et l’émotion était d’autant plus intense, car en quasiment un mois, j’ai eu l’opportunité de côtoyer de près cette équipe pleine d’authenticité, de rêves et de bienveillance. Les voir à Cannes, c’était du pur bonheur !

  • Comment a opéré ce projet et comment avez-vous procédé pour réussir votre mission de sublimer les protagonistes de « Haut et Fort » ?

L’équipe de Nabil Ayouch a pris contact avec moi pour me briefer et je suis allé leur présenter mon projet pour le Tapis rouge. J’avais au préalable fait mes recherches et compris que le film racontait l’histoire des jeunes du centre culturel les étoiles de Sidi Moumen qui ambitionnent de percer dans le monde de la musique et plus spécifiquement du Hip Hop. Un genre musical très intéressant sur le plan stylistique tant il renvoie à des silhouettes fortes et des pièces de vêtements qu’on connait tous, comme le bombers ou le pantalon cargo…Après, il a fallu rendre cet univers très urbain, plus chic, plus Tapis rouge.

  • C’est ainsi que l’on pourra montrer la puissance de la mode comme véritable langage culturel ?

En effet la mode est un langage, ce qui permet aux designers d’exprimer leur sensibilité et leur manière de percevoir le monde. Sur ce projet en particulier, ce que j’ai voulu exprimer, c’est que l’on peut faire du beau, sans pour autant utiliser des matières hors de prix ou de la paillette et du strass à outrance. J’ai plutôt voulu montrer que l’art du tissage bien marocain, bien de chez nous, a clairement sa place sur des pièces pointues et sur un tapis rouge.

  • Pour vous c’est une double réjouissance : mêler mode et cinéma et vous engager pour la jeunesse marocaine ?

Évidemment ! Tout d’abord, je suis cinéphile, donc le projet m’a tout de suite enthousiasmé. Que le film porte un message d’espoir pour la jeunesse marocaine est simplement un cadeau ! A mon échelle, je fais de mon mieux pour impacter positivement notre vivier national de jeunes talents de designers en les accompagnant pour construire leurs projets professionnels et leurs stratégies de marque.

  • Quel jeune êtes-vous ? Comment vous en êtes-vous venu à la mode? 

J’étais un jeune plutôt calme, et j’ai eu une scolarité sans histoire. Ceci dit, j’ai toujours dessiné, depuis mes 6 ans et déjà à ce moment, j’étais très attiré par les métiers de la mode et du design. Cependant, j’ai d’abord travaillé dans le Corporate pendant plus d’une dizaine d’années avant de faire une rencontre, celle de Fathia El Aouni. C’est elle qui a été la première à croire en moi et à me donner la chance d’exposer mes premières créations dans sa maison d’art, Anna Kaona. Les évènements se sont ensuite enchainés, et cela fait 7 ans que cela dure. Mon entreprise aujourd’hui comporte un bureau de tendances et de style, un atelier textile et un cabinet de conseil en image. Tous les jours, nous faisons preuve de créativité pour assurer sur les trois tableaux.

  • La mode c’est sûrement un rêve pour beaucoup de jeunes. Que leur conseillerez-vous? 

De travailler, d’être assidus, de partir du principe qu’ils vont « galérer », au moins au début. De ne surtout pas faire de concession avec leur sens du beau, de s’entourer des bonnes personnes et de parler haut et fort de leurs projets à qui veut bien l’entendre.

  • En cette ère de covid, la mode tente de se responsabiliser, vous y croyez forcément mais est-ce plus facile de pratiquer la mode sustainable au Maroc? 

A l’instar de beaucoup d’entreprises, la crise sanitaire mondiale a provoqué de belles prises de conscience. Dans mon cas, beaucoup d’artisans indépendants avec qui je travaille (brodeuses, tisseuses, maroquinier, etc) se sont retrouvés sans revenus pendant des mois. Et pourtant, ces artisans portent en eux un patrimoine culturel marocain inestimable. Pour ma prochaine collection « Tanya », j’ai justement voulu rallier ma conscience écologique et mon ambition de faire de la mode responsable et citoyenne. En effet, depuis 2 ans, nous développons Tanya, comprendre « تانية », une technique permettant de créer des surfaces tissées à partir de vêtements usés, de chutes de tissu et de stock de tissus obsolètes. Son ADN est résolument social et solidaire et inspire son propre modèle de développement, son processus de création et son mode de fonctionnement opérationnel. Son intention : proposer un vêtement tendance, éco responsable mettant en avant le talent des tisseuses marocaines dans les régions les plus reculées.

Ali Drissi dans son atelier

L’équipe du film « Haut et Fort » lors de la montée des marches du festival de Cannes, habillée par le designer marocain Ali Drissi

L’équipe du film « Haut et Fort » lors de la montée des marches du festival de Cannes, habillée par le designer marocain Ali Drissi

L’équipe du film « Haut et Fort » lors de la montée des marches du festival de Cannes, habillée par le designer marocain Ali Drissi

 

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Festival de Cannes, Festival du Film de Marrakech, Paris Fashion Week… Les pièces imaginées par le créateur français, Christophe Guillarmé, habillent les plus belles silhouettes des tapis rouges. Présent au Palais des Festivals de Cannes, comme chaque année depuis le début des années 2000, il nous raconte son parcours, sa relation avec ses muses, ses moments les plus marquants, son histoire avec le Maroc. Entretien.

Depuis sa première collection lancée en 1999, le diplômé de L’École Supérieure des Arts Appliqués Duperré à Paris en a parcouru du chemin. Précurseur dans sa manière d’aborder la mode, Christophe Guillarmé a vite compris qu’il était important pour un créateur émergent de travailler avec des personnalités.

Pouvez-vous nous parler de votre première fois au Festival de Cannes ?

Christophe Guillarmé : « Pour la première fois au Festival, on était venu en tant que touristes et on avait prêté des pièces à un showroom que l’on n’a jamais vues. Mais ce qui était intéressant c’est qu’on a pris la température , on voulait voir un peu ce que ça donnait et on a découvert tout cet univers, les stars, les soirées, les événements et ensuite on s’est dit qu’il y avait quelque chose à faire. Evidemment, il y avait déjà les grandes marques qui étaient déjà présentes, mais il n’y avait pas encore tous les créateurs émergents.  C’était vraiment intéressant d’être parmi les premiers à ce moment là. »

Quels ont été pour vous, les éditions les plus marquantes du Festival de Cannes ?

« J’ai eu deux moments très forts. Le premier c’était avec Lindsay Lohan, pour l’AmfAr en 2017. Je lui ai créé une robe noire et blanche inspirée du film Fenêtre sur Cour. Et comme elle avait eu pas mal de soucis personnels, le fait de la revoir avec cette robe, très hollywoodienne un peu en mode rédemption, ça avait fait un énorme buzz.

Et après, j’ai eu une très belle robe sur Paris Hilton en 2018 pour la soirée Fashion For Relief, organisée par le mannequin  Naomi Campbel. Ca avait également fait un gros buzz, c’était une robe dorée et elle était la seule à l’avoir vu parce qu’elle ne voulait pas de pièce déjà vu auparavant.»

Cette année, vous avez notamment habillé le mannequin et influenceuse Patricia Contreras, les actrices Blanca Blanco, Agatha Maksimova, Victoria Silvstedt… Vous semblez avoir des égéries, sont elles vos muses ? Quelle est votre relation ?

Il y a beaucoup de personnalités qui sont nos égéries et nos amies. C’est aussi une manière de faire qui est bien parce que du coup je connais un peu leur parcours, il y a une complicité qui va au delà du fait de les habiller, c’est plus un look, c’est plus une histoire C’est plus qu’une collaboration, c’est un moment d’amitié. C’est important pour moi de travailler avec des filles que je retrouve à d’autres événements, pas forcément à Cannes. »

Quelles sont vos inspirations ? Votre processus de création ?

« C’est une espèce de mélange entre le côté Riviera, les influences un peu Dolce Vita. Les pièces sont assez colorées avec des broderies, il y a une petite touche orientale. Tout cela, mixé avec le côté plus couture parisien c’est-à-dire des  matières, des coupes, des finitions, c’est très important pour moi. Le coté coupe, un peu plus pointu, un peu plus couture, qu’on retrouve à Paris. Le fait de mélanger tout cela, ça fait quelque chose d’un peu détonnant. »(Rires).

Pouvez-vous nous dire qu’aujourd’hui vous avez réalisé un rêve d’enfant ?

« Je suis originaire de la Côte d’Azur, quand j’étais enfant, j’allais voir le Festival de Cannes. Je ne voyais pas grand-chose parce que j’étais trop petit, mais il y avait quand même ces filles qui sortaient des projections avec leurs chaussures à la main et qui s’évaporaient sur la Croisette avec les robes longues qui volaient. C’est quelque chose qui m’a marqué étant petit. Ca m’a inspiré. Aujourd’hui, j’ai peut être un peu bouclé la boucle, parce que ce sont mes égéries, mes amies, qui portent mes pièces et parcourent ce même chemin que je voyais il y a quelques années. »

Vous avez découvert le Maroc en 2001. Depuis 2009, vous participez au Festival International du Film de Marrakech (FIFM), ou encore au Casa Fashion Show. Pouvez-vous nous parler de votre relation avec le Royaume ?

« Je suis tombé amoureux du Maroc dès la première fois que j’y suis venu. C’est un endroit absolument magique avec une culture incroyable, une gastronomie de folie, et des paysages magnifiques. Et le Festival du Film j’y ai participé pour la première fois en 2009.  En fait j’ai été invité à Casablanca pour une petite Fashion-Week qui était organisée par Najia Badi pour la Fédération de couture marocaine, c’était au même moment que le Festival du Film de Marrakech. J’ai vu ce qui était en train d’émerger, c’était la 4 ou 5ème édition et j’ai trouvé qu’il y avait un vrai potentiel, que c’était super intéressant. Là, maintenant on est présent au Movenpick du Palais des Congrès, je croise les doigts pour que le FIFM ait lieu cette année. Je tenais également à  remercier le Prince Moulay Rachid, parce qu’il  nous a permis de recevoir un accueil incroyable, et de me trouver une place.» 

Aujourd’hui, les créations aux couleurs pastels, bleus ciel, bleus glacier, nudes, gris argenté, roses poudrés, rouges et dorées se retrouvent aux quatre coins du monde. De Paris à Marrakech en passant par Cannes et Dubaï, plus rien ne semble résister à Christophe Guillarmé.

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