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Le Festival International du Film de Marrakech (FIFM) a toujours été une vitrine de talents exceptionnels, et cette année, c’est Yazid « Zizou » Jaidi qui a volé la vedette.

Acteur, artiste et créateur de radio, Zizou est bien plus qu’une étoile montante : il incarne une inspiration vivante, prouvant que les limites ne sont que des illusions.

C’est dans la série ramadanesque BNAT LAHDID que Zizou s’est imposé comme un acteur à suivre. Son interprétation poignante de « Kamal » a conquis l’audimat, faisant vibrer les téléspectateurs grâce à son jeu empreint d’authenticité et d’émotion.

Mais derrière cet acteur se cache bien plus : un passionné de vie. Zizou a fait de son handicap une véritable force, transformant chaque défi en tremplin vers le succès.

Radio Yanes : des ondes de good vibes

Loin des caméras, Zizou explore son amour pour la radio avec Radio Yanes, une initiative née de son lien spécial avec sa sœur, Ines. Ce projet audacieux est bien plus qu’une simple plateforme musicale : c’est un espace où la joie, la résilience et l’espoir résonnent.

Chaque émission est un cocktail de good vibes, de musique entraînante, et d’un message puissant : la singularité est une richesse, pas une barrière. À travers son micro, Zizou fait vibrer les ondes avec une énergie contagieuse, rappelant à chacun que la vie peut être belle, peu importe les obstacles.

Avec son sourire éclatant et sa détermination sans faille, Zizou ne se contente pas de briller à l’écran ou à la radio. Il redéfinit les possibles, encourageant son public à rêver en grand.

Sa philosophie ? « La vie est belle avec Zizou » et « L’espoir est comme un soleil ». Des mots simples mais puissants qui éclairent son parcours et réchauffent les cœurs de tous ceux qui croisent sa route.

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Que ce soit pour le glamour du Festival International du Film de Marrakech ou pour les soirées festives de fin d’année, Runway a la solution pour vous faire briller comme jamais.

Située en plein cœur du prestigieux quartier de l’Hivernage, cette adresse ultra-tendance révolutionne le style à Marrakech en vous offrant l’élégance du luxe… à louer !

Un concept qui fait rêver

Fondée par Hanane G., experte incontournable de la mode avec près de 10 ans d’expérience à Casablanca, Runway propose bien plus qu’une simple location de vêtements : c’est une invitation à sublimer vos plus grands moments. Ici, chaque femme peut accéder à des pièces d’exception sans compromettre son budget.

Des pièces d’exception pour des occasions uniques

Dès que vous poussez la porte de ce showroom raffiné, préparez-vous à être éblouie par une collection exclusive. Robe de soirée glamour, caftan somptueux, robe de mariée féerique, ou encore archives signées par les plus grands créateurs internationaux : Runway ne laisse rien au hasard pour que vous trouviez la tenue parfaite.

Et parce que le diable se cache dans les détails, une équipe de conseillers aux petits soins vous guide pour sublimer votre choix avec des accessoires soigneusement sélectionnés. Résultat ? Un look impeccable qui captera tous les regards.

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Depuis la première première édition du Festival International du Film de Marrakech en 2001, SAR le Prince Moulay Rachid incarne la vision et l’engagement du Maroc envers la culture cinématographique mondiale. À travers les années, sa présence sur le tapis rouge et dans les coulisses du festival a marqué de nombreux moments forts, témoignant de son soutien constant à la vie culturelle du Royaume.

À travers cette sélection de 10 photos, plongez dans l’univers de SAR le Prince Moulay Rachid, un acteur clé du FIFM, dont le charisme et la passion pour le cinéma continuent d’illuminer cet événement d’envergure internationale.

Qui pourrait oublier la 4e édition du Festival International du Film de Marrakech en 2004 ? SAR le Prince Moulay Rachid, rayonnant de simplicité et de charisme, remettait à l’icône du cinéma Sean Connery l’Ordre du Mérite Intellectuel du Maroc, en reconnaissance de sa carrière exceptionnelle. Ce moment inoubliable, immortalisé lors de la cérémonie du 7 décembre, incarne l’hommage chaleureux et sincère du Maroc à l’un des plus grands acteurs de sa génération.

(Photo by JACK GUEZ / AFP) (Photo by JACK GUEZ/AFP via Getty Images)

On se souvient, évidemment, également de l’arrivée majestueuse de SAR le Prince Moulay Rachid, accompagné de ses sœurs, Leurs Altesses Royales la Princesse Meryem et la Princesse Hasnaa, lors du dîner royal organisé pendant la 6e édition du Festival International du Film de Marrakech en 2005. dans l’un des palais somptueux de la ville, offrant une soirée d’une élégance rare aux célébrités venus des quatre coins du monde. Ce moment capturé durant la nuit du 12 au 13 novembre incarne parfaitement l’hospitalité et le raffinement de la famille royale, créant un cadre intime et prestigieux pour célébrer le cinéma international en marge du festival.

(Photo credit should read MEHDI FEDOUACH/AFP via Getty Images)

Lors de la 7e édition du FIFM, en décembre 2007, un moment marquant est survenu avec l’inauguration de la première école de cinéma du Maroc. Martin Scorsese, légende du cinéma américain, et SAR le Prince Moulay Rachid, ont posé fièrement aux côtés des étudiants de cette nouvelle institution, marquant ainsi un tournant pour la formation cinématographique au Maroc. Ce geste symbolique souligne l’engagement de SAR le Prince Moulay Rachid envers la promotion de la culture cinématographique et l’accompagnement des talents émergents.

(Photo by ABDELHAK SENNA / AFP) (Photo by ABDELHAK SENNA/AFP via Getty Images)

Cette même année, SAR le Prince Moulay Rachid a chaleureusement accueilli Leonardo DiCaprio, star incontestable d’Hollywood, sur le tapis rouge. Ce moment a marqué le début d’une édition dédiée au cinéma asiatique et d’Europe de l’Est, mettant en lumière les nouvelles voix du septième art.


Lors de la 11e édition du Festival International du Film de Marrakech en 2011, SAR le Prince Moulay Rachid et la directrice du festival, Melita Toscan Du Plantier, sont arrivés tout sourire sur le tapis rouge, incarnant l’élégance et la complicité qui caractérisent cet événement d’exception. Capturée le 9 décembre, cette image témoigne de l’engagement constant du Prince et de Melita pour faire rayonner le festival, véritable rendez-vous international du cinéma, au cœur de la ville ocre.

(Photo credit should read VALERY HACHE/AFP via Getty Images)

Lors de la 12e édition, un moment inoubliable s’est inscrit dans les annales du cinéma avec l’hommage rendu à l’illustre acteur indien Shahrukh Khan. SAR le Prince Moulay Rachid, fidèle soutien du festival, a remis à l’acteur une médaille d’honneur lors d’une cérémonie spéciale dédiée au cinéma indien. Ce geste symbolique a été un témoignage du respect et de l’admiration du Maroc pour la contribution de Shahrukh Khan à l’industrie cinématographique mondiale.


L’une des images marquantes de la 12e édition est également celle de de SAR le Prince Moulay Rachid entouré de géants du cinéma mondial, tels que Shahrukh Khan, Monica Bellucci, Isabelle Huppert, Amitabh Bachchan et Catherine Deneuve, lors du dîner de gala offert par Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

(Photo by Didier Baverel/WireImage)


Puis aussi, en 2018, lorsque SAR le Prince Moulay Rachid a accueilli Robert De Niro lors d’un dîner royal exceptionnel. Ce moment privilégié, immortalisé le 1er décembre, témoigne de l’estime du Maroc pour l’un des plus grands acteurs de Hollywood. L’événement a renforcé le lien entre le cinéma mondial et la culture marocaine, dans une ambiance conviviale et prestigieuse.


Comme chaque année, SAR le Prince Moulay Rachid fait son entrée, toujours avec élégance, sur le tapis rouge pour accueillir les membres du jury et les personnalités présentes, comme ci-dessous,à l’occasion de la 11e édition du Festival International du Film de Marrakech.

(Photo by Dominique Charriau/Getty Images)

Cette année, l’image qu’on retiendra est sans nul doute celle de SAR le Prince Moulay Rachid et SAR la Princesse Oum Keltoum, accueillant avec chaleur et élégance les personnalités du monde du cinéma lors du dîner d’honneur du FIFM 2024, une soirée où se mêlent raffinement, culture et célébration du septième art.

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Depuis sa création en 2001, le Festival International du Film de Marrakech (FIFM) s’est affirmé comme l’un des événements cinématographiques les plus prestigieux au monde. Animé par une vision ambitieuse, celui de devenir rapidement une plateforme de référence pour le cinéma international, il a su réaliser cet objectif grâce au soutien indéfectible de Sa Majesté le Roi Mohammed VI et de SAR le Prince Moulay Rachid, véritables architectes de son succès.

MARRAKECH, MOROCCO – SEPTEMBER 19 : Sa Majesté le Roi Mohammed VI et Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid assistent à un dîner de gala au Palais Royal lors du Festival International du Film de Marrakech 2002, le 19 septembre 2002 à Marrakech, Maroc. (Photo par Pascal Le Segretain/Getty Images)

Le FIFM a vu le jour sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, qui a placé cet événement culturel sous son haut patronage dès ses premières éditions. Un soutien royal décisif qui a permis de le propulser sur la scène internationale. SAR le Prince Moulay Rachid, Président de la Fondation du FIFM, joue également un rôle central dans le festival. Cinéphile averti et véritable passionné du septième art, il veille chaque année à la qualité de la programmation. SAR le Prince Moulay Rachid visionne personnellement de nombreux films en compétition, apportant son regard avisé sur chaque œuvre. Sa présence et son engagement renforcent l’image prestigieuse du festival et son rayonnement à l’échelle internationale.

Des moments inoubliables et des célébrations de talents depuis deux décénnies

Le FIFM a toujours été un lieu de rencontres et de célébrations, où l’élite cinématographique mondiale se retrouve pour honorer des films, des réalisateurs et des acteurs. De nombreuses personnalités ont marqué de leur empreinte les tapis rouges de Marrakech.

On se souvient, par exemple, de l’année 2002, lorsque Catherine Deneuve, icône du cinéma français, a remis le prestigieux trophée de l’Étoile de Marrakech au réalisateur américain David Lynch lors de la deuxième édition du Festival International du Film de Marrakech. Ce moment marquant a réuni une constellation de figures légendaires du cinéma mondial, renforçant l’attrait international de ce festival désormais incontournable.

AFP PHOTO/ABDELHAK SENNA (Photo by ABDELHAK SENNA / AFP) (Photo by ABDELHAK SENNA/AFP via Getty Images)

On se souvient également de l’année 2018, lorsque Robert De Niro, l’une des légendes vivantes du cinéma, a reçu le prestigieux prix Étoile d’Or des mains de son ami et collaborateur de longue date, Martin Scorsese, lors de l’hommage rendu à l’acteur au 17e Festival International du Film de Marrakech. Ce moment inoubliable a marqué l’histoire du festival, soulignant non seulement la carrière exceptionnelle de De Niro, mais aussi la relation particulière entre les deux géants du cinéma, qui ont collaboré sur de nombreux chefs-d’œuvre. Ce geste d’honneur, dans la ville ocre, a illuminé l’événement et consolidé encore un peu plus le rayonnement international du festival.

MARRAKECH, MOROCCO – 1 DÉCEMBRE : Robert De Niro (à droite) reçoit le prix Étoile d’Or de Martin Scorsese (à gauche) lors de l’hommage rendu à Robert De Niro pendant le 17e Festival International du Film de Marrakech le 1er décembre 2018 à Marrakech, Maroc. (Photo par Stephane Cardinale – Corbis/Corbis via Getty Images)

L’an dernier, Asmae El Moudir a marqué les esprits en remportant l’Étoile d’Or lors du Festival International du Film de Marrakech pour son film « Les filles d’Ibissa ». Cette distinction prestigieuse témoigne du talent exceptionnel de cette réalisatrice marocaine, dont la vision artistique et la narration poignante ont captivé le public et les jurés du festival. Asmae El Moudir, figure montante du cinéma marocain, s’est imposée par sa capacité à aborder des sujets sociaux et humains avec une sensibilité unique.

MARRAKECH, MOROCCO – 2 DÉCEMBRE : La réalisatrice et scénariste marocaine Asmae El Moudir (à gauche) reçoit le prix de l’Étoile de Marrakech pour son film The Mother of All Lies lors de la cérémonie de remise des prix du 20e Festival International du Film de Marrakech à Marrakech, Maroc, le 2 décembre 2023. (Photo par Abu Adem Muhammed/Anadolu via Getty Images)

L’édition 2024 du FIFM, quant à elle, a déjà vu des personnalités comme Sean Penn, qui a reçu un vibrant hommage, ou David Cronenberg qui a reçu cette année l’Etoile d’or célébrant prés de cinq décennies de carrière.

Un festival ouvert sur le monde

Le FIFM est avant tout un lieu d’échanges et de rencontres entre différentes cultures, un carrefour où le cinéma mondial se confronte à la richesse culturelle du Maroc. Chaque édition est l’occasion de mettre en lumière des films venus des quatre coins du monde, en particulier ceux qui explorent des thématiques universelles, telles que l’amour, l’identité, et les luttes sociales. Le festival met également en avant des talents émergents, offrant ainsi une vitrine aux réalisateurs, acteurs et actrices prometteurs.

MARRAKECH, MOROCCO – 4 DÉCEMBRE : Le Jury assiste à la première de John Rabe lors du 9e Festival du Film de Marrakech au Palais des Congrès le 4 décembre 2009 à Marrakech, Maroc. (Photo par Toni Anne Barson/WireImage)

Les cinéphiles du monde entier se retrouvent à Marrakech pour découvrir des œuvres rares et audacieuses qui ne sont souvent pas projetées ailleurs. Des projections en plein air aux conversations ouvertes avec les réalisateurs et acteurs , chaque instant passé au FIFM est un voyage au cœur du cinéma mondial, un hommage à la diversité des styles et des cultures cinématographiques.

Un avenir prometteur

Le Festival International du Film de Marrakech ne cesse de grandir et de se réinventer. Avec l’appui continu de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et sous l’impulsion de SAR le Prince Moulay Rachid, l’avenir du festival semble radieux. En 2024, l’événement s’est une nouvelle fois imposé comme un acteur clé dans la scène cinématographique internationale, attirant des talents du monde entier. Avec une programmation toujours plus ambitieuse et une portée globale en constante expansion, le FIFM continue de tisser des liens entre le Maroc et le monde, célébrant l’art du cinéma tout en honorant l’héritage culturel du pays.

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Sean Penn, l’homme de cinéma aux multiples facettes, à la fois fascinant et engagé est incontestablement un acteur et un réalisateur dont l’intensité et la passion transparaissent à travers chaque projet qu’il entreprend. À la fois fascinant et intrigant, il s’est imposé comme une figure incontournable du cinéma, avec une carrière jalonnée de performances remarquables. Son engagement humanitaire, tout comme sa vision artistique, témoignent d’un homme qui ne se contente pas de suivre les sentiers battus. Téméraire et libre, Sean Penn a su façonner une carrière où les défis se mêlent à une véritable quête de sens. Une personnalité singulière, mais toujours captivante, qui continue d’inspirer admiration et respect dans le monde entier.

À l’aube de ses 63 ans, celui-ci fait une nouvelle fois parler de lui, notamment avec sa présence imminente au Festival International du Film de Marrakech qui lui rendra hommage lors de cette nouvelle édition qui débutera de vendredi 29 novembre. Un retour aux lumières pour celui qui, malgré son image de rebelle, reste un homme profondément engagé et humain.

Une carrière cinématographique marquante

Sean Penn n’est pas seulement un acteur emblématique, il est aussi un réalisateur de talent. Au cours des trois dernières décennies, il a marqué le cinéma avec des rôles puissants et variés, mais aussi derrière la caméra avec des films comme Into the Wild (2007), qui fait l’éloge de l’indépendance et de la quête de soi. . Sa carrière d’acteur est jalonnée de nombreux succès, avec notamment deux Oscars du meilleur acteur pour Mystic River (2003) et Milk (2008), dans lequel il incarne l’activiste Harvey Milk, figure emblématique des droits civiques pour les personnes LGBT. Il s’est également illustré dans des films comme Dead Man Walking (1995), I Am Sam (2001), et The Tree of Life (2011). Un palmarès impressionnant pour un homme qui ne cherche jamais à rentrer dans des cases.

L’acteur Sean Penn prononce son discours de remerciement après avoir reçu le prix du meilleur acteur lors de la 81ᵉ cérémonie des Oscars au Kodak Theater, à Hollywood, Californie, le 22 février 2009. Penn a remporté l’Oscar du meilleur acteur pour son interprétation d’un politicien homosexuel pionnier dans le biopic Milk et a lancé un appel émouvant en faveur des droits des personnes LGBTQ+. C’était le deuxième Oscar du meilleur acteur pour l’acteur de 48 ans, après sa victoire pour le drame Mystic River en 2003.
PHOTO AFP / Gabriel BOUYS (Photo de GABRIEL BOUYS / AFP via Getty Images)

Un homme de cœur au plus prés des populations dans le besoin

Derrière l’image de l’acteur à la réputation parfois de « bad boy », Sean Penn se révèle être un homme profondément engagé pour des causes humanitaires. Dès l’ouragan Katrina en 2005, l’acteur s’est illustré par son action de secours sur le terrain, apportant aide et soutien aux victimes dévastées par la catastrophe. Cet engagement n’a cessé de croître au fil des années, avec une implication de plus en plus marquée dans des situations de crise mondiale. En 2010, après le tremblement de terre dévastateur en Haïti, Sean Penn a intensifié ses efforts humanitaires. Il a co-fondé la J/P Haitian Relief Organization, une organisation dédiée à la reconstruction du pays, en fournissant des soins médicaux, des abris temporaires et des ressources essentielles aux populations sinistrées. Il est rapporté que « Papa Penn » était le surnom affectueusement attribué à Sean Penn à Pétion-Ville, en Haïti, en hommage à son incroyable dévouement et à son engagement sans relâche pour aider la population locale. Pour cet engagement, il a reçu un prix au Sommet mondial des Lauréats du Prix Nobel de la Paix qui s’est tenu à Chicago en 2012.

PÉTION-VILLE, HAÏTI – 10 AVRIL : L’acteur Sean Penn transporte les affaires personnelles d’un résident d’un camp de réfugiés alors qu’ils se préparent à être relogés dans un nouveau camp le 10 avril 2010 à Pétion-Ville, Haïti. Les résidents du camp du Club de Pétion-Ville sont déplacés vers un nouveau site à Corail Cesselesse en raison des risques d’inondations et de glissements de terrain dans leur emplacement actuel. (Photo de Lee Celano/Getty Images)

Depuis, Penn a continué à jouer un rôle actif dans l’aide aux populations vulnérables à travers le monde, que ce soit pour les réfugiés syriens ou les victimes de catastrophes naturelles. Avec sa fondation,Penn a su allier son influence mondiale à un engagement de terrain, prouvant qu’il ne se contente pas d’être une star de cinéma, mais qu’il incarne également une véritable porte-voix pour les plus démunis.

Une vie amoureuse riche, mais un papa attentionné avant tout

Sean Penn n’a pas seulement marqué Hollywood par ses rôles et ses engagements, il a aussi fait la une des tabloïds pour sa vie amoureuse. Marié à Madonna dans les années 80, puis à l’actrice Robin Wright, avec qui il a eu deux enfants, Penn a souvent été vu comme un homme passionné. Aujourd’hui, à 63 ans, il semble avoir trouvé une nouvelle stabilité avec l’actrice australienne Leila George. L’acteur entretient une relation particulièrement proche et attentionnée avec ses enfants, Dylan Frances (née en 1991) et Hopper Jack (né en 1993), issus de son mariage avec l’actrice Robin Wright. Bien que leur enfance ait été marquée par les projecteurs d’Hollywood, Penn a toujours fait un effort consciencieux pour protéger leur vie privée tout en restant un père présent et impliqué.

Sean Penn et Madonna assistent au
« secretprojectrevolution » de Madonna et Steven Klein à la Galerie Gagosian le 24 septembre 2013 à New York. (Photo de Kevin Mazur/Getty Images)

Les deux enfants ont évolué dans un environnement où la créativité et l’engagement étaient omniprésents, Dylan se lançant dans la photographie et Hopper dans la musique et le cinéma. Sean Penn, malgré ses rôles « durs » à l’écran et son image de « bad boy », est un père qui soutient activement leurs carrières respectives tout en étant là pour eux dans leur vie quotidienne. Les deux jeunes adultes, bien que suivant des parcours différents, portent fièrement l’héritage artistique et humanitaire de leur père, qui ne manque jamais de souligner leur importance dans sa vie.

Cette année, Sean Penn est l’une des présences les plus attendues au Festival International du Film de Marrakech. Ce rendez-vous offrira une occasion unique de célébrer son immense carrière, à travers un hommage qui s’annonce mémorable. Alors qu’il foulera le tapis rouge emblématique du festival, cet hommage reflétera à la fois l’admiration pour son travail artistique et son impact sur le cinéma mondial.

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Monica Bellucci, icône intemporelle de la mode et du cinéma, a fait de chaque apparition au Festival International du Film de Marrakech un moment inoubliable. Depuis ses premières apparitions sur le tapis rouge en 2005, jusqu’à ses looks sublimes des éditions suivantes, l’actrice italienne a su allier glamour, sophistication et élégance. À travers ses robes sublimes et ses choix stylistiques, Monica a incarné à la perfection l’esprit de Marrakech, une ville où luxe, cinéma et mode se rencontrent. Découvrez les plus beaux looks de l’actrice qui ont marqué les éditions du FIFM et sublimé ce festival au fil des années.

En 2005, Monica Bellucci a captivé tous les regards lors de la cinquième édition du Festival International du Film de Marrakech, où elle a fait une apparition éblouissante sur le tapis rouge. Pour la cérémonie de clôture, l’actrice a opté pour une sublime longue robe noire avec traîne, dont le bustier, délicatement sculpté en forme de nœud papillon, soulignait sa silhouette avec une élégance intemporelle. Parée d’une parure scintillante de diamants, elle a ajouté une touche de luxe à son look déjà saisissant. Ses cheveux longs et lissés, accompagnés d’une frange, complétaient parfaitement sa tenue et mettaient en valeur ses yeux noisette, qui semblaient capter toute la magie de l’événement.

MAROC – 19 NOVEMBRE : Cérémonie de clôture du Festival International du Film de Marrakech – le 19 novembre 2005, à Marrakech, Maroc. Ici, Monica Bellucci habillée par Dior. (Photo par Serge BENHAMOU/Gamma-Rapho via Getty Images)

Ce fut lors de cette édition que Monica Bellucci est apparue pour la première fois à Marrakech avec son époux de l’époque, Vincent Cassel. Ensemble, ils formaient un duo légendaire, incarnant à la perfection l’alliance entre glamour et cinéma d’excellence. Leur présence commune a renforcé l’attractivité du festival, symbolisant à la fois le prestige et la passion du cinéma que cet événement cherchait à célébrer.

Le 1er décembre 2012, lors de la projection du film Jusqu’à mon dernier souffle au 12e Festival International du Film de Marrakech, Monica Bellucci a une nouvelle fois captivé le public avec sa présence éblouissante. À 48 ans, l’actrice italienne restait une véritable icône de la beauté intemporelle, fusionnant avec une aisance rare glamour et sensualité. Pour l’occasion, elle portait une longue robe noire, élégante et fluide, qui se distinguait par ses manches en tulle transparent, ajoutant une touche de légèreté et de sophistication. La robe, délicatement ajustée à sa silhouette, était sublimée par un chemisier transparent qui apportait une dimension de sensualité subtile, tout en restant résolument chic. Avec une confiance naturelle et une allure décontractée, Monica Bellucci a une nouvelle fois démontré qu’elle était l’incarnation même du style et du raffinement.

Marrakech, Maroc – 1er décembre : L’actrice italienne Monica Bellucci arrive pour l’hommage au cinéma hindi lors du 12e Festival International du Film de Marrakech, le 30 novembre, à Marrakech, Maroc. (Photo par Dominique Charriau/Getty Images)

La même année, Monica Bellucci a une nouvelle fois captivé l’attention sur le tapis rouge, mais cette fois dans un style différent. Pour le photocall de Rhino Season, l’actrice italienne a opté pour un look chic et décontracté qui lui va à ravir : une veste de tailleur noire parfaitement ajustée, associée à un jean slim et des talons hauts à lacets. Sa pochette léopard apportait une touche de contraste subtile et audacieuse.

Ce look, à la fois élégant et minimaliste, était rehaussé par un chemisier en dentelle délicatement transparent, qui apportait une touche de légèreté et de sophistication. Pour compléter l’ensemble, Monica arborait un brushing ondulé, dont les vagues souples mettaient en valeur ses traits tout en conservant une allure naturelle et pleine de grâce, parfaitement à son image de femme fatale par excellence.

MARRAKECH, MAROC – 2 DÉCEMBRE : L’actrice italienne Monica Bellucci assiste au photocall du film Rhino Season lors du 12e Festival International du Film de Marrakech, le 2 décembre 2012, à Marrakech, Maroc. (Photo de Dominique Charriau/Getty Images)

Lors de sa participation à la projection d’Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre lors de l’édition de 2018, Monica Bellucci a une nouvelle fois fait sensation. Elle arborait une robe longue et fluide, délicatement moulante, qui épousait parfaitement sa silhouette, agrémentée d’un blazer court, soulignant l’équilibre subtil entre sophistication et modernité. Ce choix de tenue, à la fois raffiné et dynamique, était magnifié par un collier délicat de la maison Messika, apportant une touche de brillance discrète, mais saisissante. Parfaite pour aller à la rencontre du public !

MARRAKECH, MAROC – 7 DÉCEMBRE : Monica Bellucci assiste à la projection d’Astérix & Obélix : Mission Cléopâtre sur la place Jemaa El Fna, lors du 17e Festival International du Film de Marrakech, le 7 décembre 2018 à Marrakech, Maroc. (Photo par Dominique Charriau/Getty Images)

Cette année-là, la présence de Monica Bellucci au Festival International du Film de Marrakech a été marquante à bien des égards. Ce n’était pas simplement une série d’apparitions, mais une véritable implication dans l’âme de l’événement. Un moment mémorable fut celui où elle remit l’Étoile d’Or du festival, un prix prestigieux décerné à la réalisatrice autrichienne Sudabeh Mortezai pour son film Joy. Pour cette occasion, Monica rayonnait dans une sublime robe longue rouge et noire, qui alliait élégance et raffinement. La fluidité de la silhouette, la palette de couleurs saisissante et la coupe impeccable et majestueuse de la robe ont fait d’elle l’incarnation parfaite du glamour et du prestige, renforçant encore davantage l’aura de l’actrice dans ce cadre cinématographique d’exception.

MARRAKECH, MAROC – 8 DÉCEMBRE : L’actrice Monica Bellucci assiste à la cérémonie de clôture de la 17e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 8 décembre 2018, à Marrakech, au Maroc. (Photo par Stephane Cardinale – Corbis/Corbis via Getty Images)

Cette année, Monica Bellucci revient au Festival International du Film de Marrakech, et sa présence s’annonce, une nouvelle fois, inoubliable. La star italienne participera à une conversation exceptionnelle autour de son dernier projet cinématographique, Maria Callas : Monica Bellucci, un documentaire réalisé par le Grec Yannis Dimolitsas. Ce film, qui sera présenté dans la section 11e Continent, dédiée aux œuvres audacieuses, promet d’offrir un regard unique sur l’iconique soprano, tout en dévoilant la rencontre fascinante entre deux légendes.

Et bien entendu, comme toujours, l’occasion de la retrouver sur le tapis rouge s’annonce comme un moment de pure magie, à la hauteur de son élégance et de son charisme indéniable. Nous pouvons d’ores et déjà imaginer son apparition, sublime et envoûtante, marquant une fois de plus les esprits au cœur de Marrakech. Une édition qui s’annonce sous le signe de l’art, du cinéma, et de la rencontre des plus grandes personnalités du septième art.

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Le Festival International du Film de Marrakech (FIFM) 2024, qui se tiendra du 29 novembre au 7 décembre, s’annonce d’ores et déjà comme un événement incontournable pour tous les passionnés de cinéma. Parmi les moments les plus attendus, l’actrice italienne Monica Bellucci prendra part à une conversation exceptionnelle autour de son dernier film, Maria Callas Monica Bellucci : une rencontre. Ce documentaire réalisé par le Grec Yannis Dimolitsas sera présenté dans la section 11e Continent, une catégorie du festival dédiée aux films audacieux qui repoussent les limites des représentations cinématographiques.

Le film de Yannis Dimolitsas est une immersion profonde et poétique dans l’univers de Maria Callas, l’une des plus grandes figures de l’histoire de l’opéra, que Bellucci incarne avec une délicatesse saisissante. Le documentaire explore l’héritage de Callas à travers des images inédites, des lettres émouvantes et des mémoires intimes. Deux époques se croisent dans ce récit : celle où Callas, jeune et ambitieuse, triomphait sur les scènes mondiales, et celle d’aujourd’hui, où sa voix continue de marquer l’imaginaire collectif et d’envoûter les âmes des mélomanes et du grand public.

Cette rencontre cinématographique entre passé et présent trouve son point culminant dans le dialogue entre deux grandes artistes – Maria Callas et Monica Bellucci. Bien que leurs trajectoires soient très différentes, les deux femmes se rejoignent dans une dévotion commune à l’art, un dévouement qui transcende les époques et qui révèle la dimension humaine et fragile de ces légendes. Ce documentaire devient ainsi plus qu’un simple hommage à Callas : il s’agit d’une réflexion intime sur l’art, la souffrance et la beauté intemporelle.

La projection du film Maria Callas Monica Bellucci : une rencontre aura lieu à l’Auditorium du Musée Yves Saint Laurent, le 1er décembre à 17h. L’événement sera suivi d’une conversation en direct avec Monica Bellucci, qui partagera son expérience de ce projet unique, sa vision de l’art de Callas et la manière dont elle a abordé le rôle de cette icône de l’opéra. Ce sera l’occasion pour les festivaliers d’échanger directement avec l’actrice, dans un cadre privilégié et décontracté, et de plonger au cœur de ce film profondément humain, où le cinéma rencontre l’opéra et l’histoire.

Monica Bellucci, figure incontournable du cinéma international, incarne une nouvelle facette de l’art de jouer dans ce documentaire poignant, et sa présence à Marrakech viendra couronner une édition 2024 placée sous le signe de la rencontre entre les grands noms du cinéma et un public passionné.

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L’acteur américain Matt Dillon s’ajoute à la liste des prestigieux invités de la section « In Conversation With…» de la 20ème édition du Festival International du Film de Marrakech. Réalisateur et scénariste, qui est celui dont vous pouvez écouter une tranche d’histoire et anecdotes de son métier dans le cinéma. 

Après une belle brochette de professionnels de cinéma qui constituent la prestigieuse liste des invités du programme de « In Conversation with », dont entre autre le réalisateur marocain Faouzi Bensaidi, son homologue australien Simon Baker, l’actrice écossaise aux transformations multiples Tilda Swinton, l’acteur et réalisateur américano – danois engagé Viggo Mortensen, Matt Dillon rejoint cette team qui promet de livrer au public du Festival, des conversations qui s’annoncent riches et passionnantes cette année. Entre anecdotes savoureuses et discussions à bâtons rompus sur leur vision et leur pratique du métier, acteurs, réalisateurs, scénaristes et producteurs sont conviés à échanger librement.

Matt Dillon artiste, le cinéma est un art sans frontière !

La carrière cinématographique de Matt Dillon s’étend sur plus de trois décennies. Il a joué dans des films tels que Outsiders (1983) et Rusty James (1983), réalisés par Francis Ford Coppola, Drugstore Cowboy (Gus Van Sant, 1989), Singles (Cameron Crowe, 1992), Mary à tout prix (Peter et Bobby Farrelly, 1998), Sexcrimes (John McNaughton, 1998), Collision (Paul Hagis, 2004), The House that Jack Built (Lars von Trier, 2018) et Asteroid City (Wes Anderson, 2023). En 2003, il est passé derrière la caméra avec City of Ghosts, qu’il a coécrit avec Barry Gifford. En 2006, il est nommé comme Meilleur acteur dans un second rôle pour Collision, récompensé par un Oscar. Son interprétation lui a valu son deuxième Independent Spirit Award, après celui obtenu pour Drugstore Cowboy. Il a récemment donné la réplique à Patricia Arquette dans la série d’Apple High Desert. Membre du conseil d’administration de Refugees International depuis 2008, Matt Dillon a effectué des missions en Birmanie, au Soudan du Sud et en République démocratique du Congo et a réalisé de courts documentaires de sensibilisation au sort des réfugiés et déplacés internes en raison des conflits et du changement climatique. Il vient de terminer un documentaire musical intitulé El Gran Fellove sur le chanteur de légende de scat cubain Francisco Fellove. Matt Dillon est par ailleurs plasticien.

 

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Le Festival International du Film de Marrakech annonce sa 20e édition, qui se tiendra du 24 novembre au 2 décembre 2023. Cet événement emblématique, qui a fait ses preuves au fil des ans, promet d’être une célébration mémorable du cinéma sous toutes ses formes.

Les préparations en cours pour la 20ème édition du Festival International du Film de Marrakech

L’une des caractéristiques les plus attendues de cette année est la 6e édition des Ateliers de l’Atlas, qui se déroulera du 27 au 30 novembre 2023 à Marrakech. Les Ateliers de l’Atlas sont devenus une plateforme incontournable visant à soutenir une nouvelle génération de cinéastes marocains, arabes et africains en les exposant à l’international. Pour cette édition, 16 projets en développement et 9 films en tournage ou en postproduction ont été sélectionnés parmi 320 candidatures reçues du monde arabe et du continent africain. Cette augmentation du nombre de candidatures témoigne de la vitalité artistique de la région et de l’attrait exercé par les Ateliers de l’Atlas en offrant des opportunités exceptionnelles.

Les préparations en cours pour la 6ème édition des Ateliers de l’Atlas

La sélection de cette année se caractérise par une diversité de genres cinématographiques qui reflètent la créativité des réalisateurs et réalisatrices de la région. Du film d’horreur marquant le passage au long métrage de Sandra Tabet (Liban) au documentaire humaniste de Hind Bensari (Maroc) en passant par la dystopie poétique du nouveau projet d’Adnane Baraka (Maroc), la variété est impressionnante. Il est également à noter que cette édition compte la participation de 11 réalisatrices, dont 4 marocaines, et 12 productrices. En outre, le Festival de Marrakech présentera une série de panels et de discussions, y compris une conversation avec le réalisateur nommé aux Oscars, Tarik Saleh, et une réflexion sur l’importance des cinémathèques pour la protection et la diffusion de l’héritage cinématographique de la région. Sofia Alaoui partagera un cas d’étude sur son film « Animalia » (Maroc), mettant en lumière l’importance créative des effets spéciaux dans le cinéma contemporain d’Afrique et du Moyen-Orient.

Les films sélectionnés pour la 6e édition des Ateliers de l’Atlas lors du 20e Festival International du Film de Marrakech promettent d’offrir au public une variété d’histoires captivantes, de perspectives cinématographiques uniques et de talents émergents à surveiller de près lors de la 20e édition du Festival International du Film de Marrakech.

Projets en développement 

  • AMNESIA – Dima HAMDAN (Palestine) – 1er film

   – Un projet prometteur qui émerge de la Palestine, « Amnesia » promet d’explorer des thèmes captivants à travers le langage du cinéma.

  • FLÉAU (PLAGUE) – Youssef CHEBBI (Tunisie) – 2ème film

   – Youssef Chebbi présente son deuxième film, « Fléau », avec des attentes élevées pour cette nouvelle réalisation talentueuse.

  • IL PADRE SELVAGGIO – Sammy BALOJI (République Démocratique du Congo) – 1er film

   – Une nouvelle voix cinématographique de la République Démocratique du Congo, Sammy Baloji, promet d’apporter sa vision unique au cinéma.

  • LA NUIT NOUS PROTÈGE – Moumouni SANOU (Burkina Faso) | Doc – 2ème film

   – Moumouni Sanou nous propose un documentaire qui explore des thèmes captivants tout en évoquant la nuit comme protectrice.

  • LA PASSION D’ALINE (THE PASSION OF ALINE) – Rokhaya Marieme BALDE (Sénégal) – 1er film

   – Rokhaya Marieme Balde nous invite à découvrir une nouvelle histoire cinématographique dans son premier film, « La Passion d’Aline ».

  • LA RAGE (RABIES) – Sandra TABET (Liban) – 1er film

   – Sandra Tabet explore le film d’horreur dans son premier long métrage, « La Rage », ouvrant de nouvelles possibilités pour le cinéma libanais.

  • LES FILS DE LA LOUVE (WOLFMOTHER) – Ismaël EL IRAKI (Maroc) – 2ème film

   – Ismaël El Iraki continue à impressionner avec son deuxième film, « Les Fils de la Louve », qui promet de captiver le public.

  • MOSI-OA-TUNYA (THUNDERING SMOKE) – Khadar Ayderus AHMED (Somalie) – 2ème film

   – Khadar Ayderus Ahmed nous offre une nouvelle perspective cinématographique de la Somalie avec « Mosi-Oa-Tunya ».

  • RUNNING WITH BEASTS – Leila BASMA (Liban) – 1er film

   – Leila Basma, une nouvelle venue talentueuse, promet d’apporter un vent de fraîcheur au cinéma libanais avec son premier film.

  • SEGURA PARA MIM O TEMPO (HOLD TIME FOR ME) – Fradique (Angola) – 2ème film

   – Fradique nous emmène dans un voyage cinématographique captivant, explorant des thèmes riches et complexes.

  • THE CAMEL DRIVING SCHOOL – Halima OUARDIRI (Maroc) – 1er film

   – Halima Ouardiri, avec son premier film, « The Camel Driving School », promet de nous livrer une nouvelle perspective du Maroc.

  • WE DON’T FORGET – Adnane BARAKA (Maroc) – 2ème film

   – Adnane Baraka revisite la dystopie dans son deuxième film, « We Don’t Forget », ajoutant une nouvelle dimension à la scène cinématographique marocaine.

Film : AGORA – Ala Eddine SLIM

Regards sur l’Atlas (projets en développement marocains) :

  • LA FIN DE L’ÉTÉ (ATLANTIC MIRAGE) – Hakim MAO (Maroc) – 1er film
  • LES OISEAUX DE SHEHRAZADE (SHEHRAZADE’S BIRDS – Sofia EL KHYARI (Maroc) – 1er film
  • OUT OF SCHOOL – Hind BENSARI (Maroc) | Doc – 2ème film
  • ROAD TRIP – Linda QIBAA (Maroc) | Doc – 1er film

Film : MOTHERHOOD – Meryam JOOBEUR

Films en tournage ou en postproduction :

  • AGORA – Ala Eddine SLIM (Tunisie) – 3ème film
  • LA MER AU LOIN – Saïd HAMICH BENLARBI (Maroc) – 2e film
  • LE MAGMA – Mia BENDRIMIA (Algérie) | Doc – 1er film
  • MARIE & JOLIE – Erige SEHIRI (Tunisie) | Préproduction – 3ème film
  • MOTHERHOOD – Meryam JOOBEUR (Tunisie) – 1er film
  • PERFUMED WITH MINT – Muhammed HAMDY (Egypte) – 1er film
  • THE VILLAGE NEXT TO PARADISE – Mo HARAWE (Somalie) – 1er film

Film : HAPPY LOVERS – Hicham LASRI

Atlas Film Showcase (films en fin de montage en recherche d’une première en festival) :

  • DEMBA – Mamadou DIA (Sénégal)
  • HAPPY LOVERS – Hicham LASRI (Maroc)
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Le Festival international du film de Marrakech, célébrant sa 20e édition cette année, a dévoilé les noms des neuf membres prestigieux de son jury, qui se tiendra du 24 novembre au 2 décembre prochains. Mettant en avant des talents du monde entier, ce jury hétérogène issu de huit pays différents et des cinq continents, reflète parfaitement l’essence de cet événement cinématographique mondial.

Comme on l’annonçait il y a quelques jours, à la tête de ce jury se trouve la sublime actrice et productrice américaine, Jessica Chastain. Reconnue mondialement pour ses exceptionnelles performances et contributions à l’industrie cinématographique, Jessica Chastain présidera cette édition mémorable. Lauréate d’un Oscar et d’un Golden Globe de la Meilleure Actrice, elle est également la fondatrice de Freckle Films, une société de production basée à New York, dédiée à l’exploration de nouvelles narrations cinématographiques.

Aux côtés de Jessica Chastain, huit autres personnalités du monde du 7ème art, apporteront leur expertise. Parmi elles, l’actrice iranienne Zar Amir, dont le talent transcende les frontières culturelles, la comédienne française Camille Cottin, réputée pour sa polyvalence et son charme à l’écran, et l’acteur-réalisateur australien Joel Edgerton, dont les réalisations tant devant que derrière la caméra ont captivé le public du monde entier.

La diversité du jury s’étend avec la présence de deux réalisatrices remarquables : Joanna Hogg du Royaume-Uni, dont le travail innovant est salué par la critique internationale, et Dee Rees des États-Unis, dont les films sont acclamés pour leur profondeur et leur authenticité.

Le jury comprend également le réalisateur suédo-égyptien Tarek Saleh, l’acteur suédois Alexander Skarsgård et l’écrivaine franco-marocaine Leïla Slimani. Chacun de ces membres apportera pour sûre, une perspective unique et précieuse à la  compétition.

Ce panel international incarne véritablement l’esprit du Festival international du film de Marrakech, qui célèbre la richesse et la diversité de la création cinématographique mondiale. Le jury aura la tâche cruciale de départager les 14 premiers et seconds longs métrages en compétition officielle, reflétant ainsi la qualité et la variété des talents émergents de l’industrie du cinéma.

Le palmarès de cette édition sera dévoilé lors de la cérémonie de clôture du Festival, prévue le samedi 2 décembre 2023. Un moment attendu, où les lauréats seront honorés pour leurs contributions au monde du cinéma. On a hâte !

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