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France

En matière de mode, il est question aujourd’hui de « La touche marocaine », l’esprit caftan que l’on aime pour le confort d’un pantalon séroual, la singularité d’une veste à boutons marocains, le raffinement d’une chemise qui s’imprime de broderies traditionnelles. Pour le monde de la gastronomie, Redouane Mansouri du Sofitel Tour Blanche Casablanca, nous fait la démonstration du savoir-faire français mêlé à l’émotion des ingrédients du terroir marocain avec un bon tajine de poissons, tout simplement.

  • Un bon plat marocain revisité, c’est beaucoup d’émotion?

Effectivement, je met de l’émotion à chacun de mes plats réalisés, qu’ils soient d’ici ou d’ailleurs, français ou marocains… Je suis né et vécu toute ma vie hors du Maroc. Depuis une bonne année, de retour à mon pays d’origine, je plonge dans mes racines marocaines et je m’y retrouve complètement dans ma Méditerranée. Et c’est ce qu’il y a dans ce plat, le grand plaisir à retranscrire mes racines méditerranéennes pour une cuisine de cœur et de soleil qui se mêle à la perfection avec les produits du terroir marocain. Ma cuisine est en somme, goûteuse, harmonieuse, métissée et haute en couleurs.

  • Vous avez donné la part belle au poisson, c’est votre long parcours méditerranéen qui parle?

Oui, je cuisine souvent les produits de la mer. J’ai grandi en Corse du Sud, dans un petit village de pêcheurs, je me suis retrouvée ensuite à Antibes juans-les bains et comme j’ai en majorité travaillé dans des restaurants en bord de mer, le poisson a toujours été roi. C’est donc tout naturel pour un enfant de la Méditerranée, d’aduler le poisson et les crustacées et de travailler les produits de la mer. Vous trouverez en général plus de poisson que de viande dans mes assiettes, mais je sais tout aussi bien manier les produits de la terre! 

  • Toute une vie donc en Méditerranée. À part les produits de la mer, quel serait votre touche fraîcheur sur la gastronomie marocaine ?

Quarante ans entre la Corse et la côte d’Azur à cuisiner des produits de la mer, à travailler des produits uniquement locaux et de saison, à rechercher constamment la grande fraicheur, je suis devenue un adepte de la cuisine locavore. Pour la cuisine marocaine, c’est le même topo, je cherche toujours à mettre nos producteurs et leurs produits en avant, je jongle avec les goûts du Sud et les épices des souks de bledna!

  • Les grandes villes marocaines comptent très peu de tables gastronomiques marocaines et heureusement pas mal tout de même de bons chefs et même grands chefs, pourquoi selon vous?

Le Maroc est un pays riche de par sa culture, sa gastronomie, son soleil, son climat, son accueil et c’est tout naturellement qu’il nous donne envie de venir cuisiner et partager notre passion ici.

Tajine de poissons à la provençale au safran  (Pour 4 personnes)

Les poissons

• 4 tronçons de sar de 150 g

•  4 tronçons de galinette de 150 g

Les légumes

• 2 Fenouils

• 8 Pommes de terre grenailles

• Pistils de safran

• 16 pétales tomates confites

• 2 cébettes

• 1 gousse d’ail

• Huile d’olive

• Sel poivre

• Piment d’espelette

La rouille

• 1 petite pomme de terre cuite

• 1 jaune d’œuf

• 1 gousse d’ail

• Piment d’Espelette

• Safran pistil

• Huile d’olive

Préparation

Parer les tronçons de sar et de galinette. Les déposer dans un plat. Mélanger 5 cl d’huile d’olive et le safran. Verser sur les poissons. Les laisser mariner au frais ainsi pendant 1 heure en les retournant plusieurs fois. Éplucher, laver les pommes de terre. Les tailler en rondelles de 5 mm d’épaisseur. Laver les mini-fenouils, les couper en deux. Enlever la première peau des cébettes, les laver. Égaliser leur longueur. Les couper en deux. Mettre les pommes de terre dans un sautoir, ajouter le safran. À la première ébullition, déposer les fenouils. Cuire à frémissements pendant 20 minutes. Ajouter les cébettes. Cuire encore 10 minutes. Laisser refroidir. Réserver les légumes dans leur jus de cuisson au frais. Éplucher la pomme de terre, la laver, la couper en quatre. La cuire avec le safran et le piment d’Espelette jusqu’à ce qu’elle soit complètement fondue et le jus réduit. Éplucher la gousse d’ail et piler dans mortier. Ajouter la pomme de terre et son suc de cuisson. Bien piler à nouveau. Incorporer le jaune d’œuf dans cette pâte. Saler. Monter ensuite à l’huile comme une mayonnaise. Réserver la rouille à température ambiante. Cuire les tronçons de bar et de galinette dans le tajine pendant 5 minutes. Les réserver dans leur jus de cuisson. Couvrir le tajine mettre au four à 180 °C pendant 15 minutes avec les légumes. Dresser la rouille dans une petite saucière. La décorer d’un pistil de safran. Servir le tajine bien chaud.

 

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Salam, voilà comment Aouatefe Lahmani nous salue pour notre petite rencontre au coeur des Studios Tartar Colors. Tout est pointu sur toute la ligne, tout est fidèle à la personnalité de cette jeune marocaine de France qui cache bien son jeu de comédienne née. Oui. Car la jolie brune se dit petite, inexpérimentée, l’humour pour elle « est une forme d’intelligence qu’elle n’a pas »! Martèle-t-elle durant tout notre entretien, « Cela demande un grand sens de la répartie, une très grande culture et une faculté certaine pour l’improvisation », renchérit-elle au moindre compliment. Et pourtant ce petit bout de femme qui a ouvert les yeux à Besançon dans une famille ordinaire de trois enfants, sera visiblement la star du petit écran marocain lors de ce Ramadan. « Ah ça je ne sais pas! En tous les cas je serais sur le petit écran des marocains et cela me réjouit! » nous répond elle pour détourner notre compliment.

@tartarcolors

L’actrice française joue le rôle de Hind, une fille espiègle, légère, un peu superficielle, une petite bourgeoise de la bonne société casablancaise, mariée à Ahmed qui dirige l’entreprise familiale de son beau-père. Hind passe son temps dans les futilités de la consommation du luxe, n’ayant pas d’enfant d’un mari déjà père de deux petits garçons d’une autre femme, « Ce qui est excitant c’est de rencontrer enfin le public marocain car la télé ce n’est pas le cinéma. La télévision nous rapproche des gens nous plonge dans leur quotidien, dans leur intimité. Pour le cinéma c‘est les gens qui viennent nous voir sur grand écran. Et ce qui fait peur? ce sont les mêmes choses! (Éclats de rires). Tout un tas de questions que l’on se pose sur nous, notre personnage, notre travail… Pour ce dernier tournage, mon stress est plus grand. La série est prévue sur 2M avec comme téléspectateurs tous les marocains du monde et puis l’autre appréhension c’est la Darija! Et dans ce registre toutes mes lacunes sont mises à nu ».

La séance photo opère dans une folle effervescence mesurée. L’actrice joue le jeu du top model avec brio et arbore son propre vestiaire, des silhouettes monochromes, des lignes masculines avec cette féminité discrètement sexy qui caractérise sa personnalité « ma marque fétiche est Yves Saint Laurent et j’adore les épaulettes oversize de Balmain ». Une boule d’énergie et un souffle de joie se dégage de cette femme-enfant qui ne supporte pas l’acidité du citron et sourit aux bonbons, « Dire les choses qu’on pense, donner de l’amour, faire des compliments, ça fait du bien surtout en ces temps durs ».

DU CINÉMA AU CINÉMA EN PASSANT PAR L’HUMOUR

Voilà le parcours atypique de notre « Gaourya » comme aime à l’appeler les marocains d’ici, depuis qu’elle fait des allers-retours entre la France et le Maroc. « La France c’est ma mère dans le sens où elle m’a mise au monde, j’y suis née et j’y ai grandit et le Maroc c’est mon père, je me suis aussi forgée dans la culture marocaine, j’ai commencé le cinéma au Maroc, je travaille au Maroc ».  

Tout a commencé pour Aouatefe sur des plateaux de cinéma en tant que chargée de production et de casting. Six années suffisent pour réunir son courage et sa passion pour le 7ème art et oser taper aux portes des cours Florent. Le pari est gagné, Aouatefe réussit et les productions s’enchainent à l’Étranger comme au Maroc, « La Moitié du Ciel » de Abdelkader Lagtaa, l’excellent « Amal » de Aida Senna, « Hayat » de Raouf Sebbahi, l’étonnant « Sound of Berberia » de Tariq El Idrissi, ainsi que des productions étrangères tournées entre autre à Ouarzazate. La talentueuse brune vient d’achever pendant cette année écoulée très spéciale, le tournage de la série « Bab Al Bahar » de Chaouki Elofir et « Atoman » de Anouar Moatassim où elle joue une spéologue. « Le tournage fut sensationnel avec tous les paysages et les aventures programmés, à Erfoud, Taza, Al Houceima entre autre » se réjouit Aouatefe.

« JE N’AI PAS LÂCHÉ L’HUMOUR, CELA FAIT TOUJOURS PARTIE DE MOI »

« L’humour est venu à moi par pur hasard ». L’alsacienne a toujours été entourée d’humoristes à Paris, au coeur de la célèbre scène ouverte du Paname. « Il m’est arrivé être appelée pour des vidéos, comme ce fut le cas avec Mohamed Nouar et la vidéo a cartonné. Et depuis il a suffit d’une rencontre au Maroc avec mon amie l’humoriste marocaine Hamaka, pour que mon histoire avec l’humour commence. Ce fut au Studio 2M pour le Jamel Comedy Club. Une première expérience inattendue où je devais écrire un sketch et l’interpréter. Et dire que le propriétaire du Paname me demandait toujours de me lancer. Le lendemain, mon sketch était prêt ». En éclatant de rire, l’humoriste se remémore son grand défi de le présenter en Darija face à Debbouze pour Jamel Comedy Club dans les studios de 2M, « J’y ai cru quand je me suis vue à la télé, ce fut ma plus belle expérience ». Une victoire pour elle d’autant que Jamal l’a félicitée, « Il parait que c’était ta première fois et qu’en plus tu ne maitrises pas la Darija, bravo! Continue ». Si l’humoriste a lâché le Stand up pour se libérer pour ses longs-métrages, Aouatefe a poursuivi la scène, le théâtre, la comédie, l’écriture, avec notamment deux cent représentations en deux ans pour la pièce « Mariage à Ranger », « je n’ai pas lâché l’humour! Cela fera toujours partie de moi, dans mes web-séries ». « Je reprendrai certainement un jour ou l’autre ».

@tartarcolors

« MA FAMILLE ME SOUTIENT DANS TOUT CE JE FAIS, TOUTES MES CONNERIES »

Aouatefe parle en douceur de sa famille originaire de Meknès. Fière de sa grande soeur, maman de quatre enfants « elle est mon héroïne », confie la comédienne qui se dit prête à tous les rôles qui vont titiller sa passion, stimuler son talent, sans tabous ni limites artistiques « Raconter des histoires et passer des émotions c’est notre métier, si un rôle me touche je fonce mais je garde en tête mes neveux ; pour ma nièce, je suis son modèle littéralement! Et je n’ai pas envie de la décevoir », s’émeut la réalisatrice de web-séries. « La première fois que ma grand-mère m’a vue à l’écran dans un rôle de servante, elle n’a pas regardé le film car elle n’a pas compris pourquoi  je ne joue pas une avocate aisée par exemple! Avec cette série de Ramadan, elle sera servie! ». Ma famille pense comme la majorité des gens, pour eux « quand on fait du cinéma on devient une star forcément alors que non, c’est un métier comme tous les métiers », explique l’actrice fan de « David Fincher », folle de « Ryan Gosling », ne jure que par « Fight Club », plongerai sans fin dans le Prophète de Khalil Gibran, tout en supportant qu’on lui dise « Zmagrya » et qui rêve d’incarner Wonder Woman, sans en avoir « les aptitudes physiques » pense-t-elle, « mais je travaillerai pour le rôle ».

@tartarcolors

Dans un mois, nous retrouverons la jeune actrice sur le petit écran pour ce qui sera une grande série de Ramadan « Le Ramadan pour moi est un moment de partage en famille, on se retrouvait pour préparer la table du ftour, c’est aussi un mois de remise en question de soi-même, de sa vie, de ses convictions… ».

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Le chanteur français Gims est sur la Une du journal français Paris Match, livrant aussi une interview sur sa vie, sa carrière, sa femme, son amour pour le Maroc et son amitié avec le Roi. L’occasion pour nous de nous souvenir de notre belle rencontre avec le rappeur en 2018, « sapé comme jamais » en Djellaba et sans lunettes, au coeur de sa belle demeure qui porte le nom de sa femme « Demdem », à Marrakech. 

Marocain ? Je pense que oui… J’aime bien les gens, j’aime la vie ici… Si c’est cela se sentir marocain, je dirai que oui je me sens Marocain

Hier encore, avant ce sort maléfique du Covid-19 qui a chamboulé les habitudes de l’humanité entière, Marrakech était devenue parmi les destinations mondiales des célébrités de la planète. La ville ocre, banlieue parisienne pour des week-ends de détente et de soirées huppées et très fermées, souffre comme toutes les belles capitales du rêve et de la farniente chic, d’un très grand manque de touristes en ce temps de covid. Espérant qu’à la sortie de cette crise sanitaire, la success story puisse continuer. En tous les cas, Marrakech est aussi un lieu de résidence de choix pour beaucoup de personnalités tombées en amour presque charnel pour la ville marocaine. Et malgré la crise, le phénomène ne s’arrête pas.

Parmi les stars ayant cultivé une belle histoire d’amour avec Marrakech, ce serait sans nul doute le chanteur français Gims. Le rappeur d’origine congolaise, converti à l’Islam, vit sous les cieux de la ville ocre depuis quelques années déjà, avec sa famille « Mes enfants sont scolarisés ici. Il y a toute la famille et je n’ai plus personne en France à part mes parents et certains de mes frères et sœurs. Donc on a vraiment choisi de venir ici, parce qu’on aime la qualité de vie, l’endroit, le système… » nous avait confié le rappeur aux millions d’Albums vendus dans le monde entier.

L’aventure marocaine de Gims a commencé en 2013, quand le chanteur sur les conseils de son ami et son manager Youssef Aarab, consolide sa décision de s’installer au Maroc et le soutient dans les nombreux événements tenus au royaume, entre autre, le méga-concert de Magazine et la fameuse scène du drapeau marocain qui lui a valu l’appel téléphonique en direct du Roi Mohammed VI et l’invitation de Sa Majesté chez lui! « Je l’ai eu au téléphone, et il m’a dit qu’il appréciait mon travail, et que depuis des années, il me suivait. Je ne le savais pas ! Le Roi est amoureux de l’Afrique noire aussi, il y est très impliqué, comme on l’a vu faire pour le retour du Maroc dans l’union africaine, c’était sa volonté. Ce n’est d’ailleurs pas pour rien qu’on l’appelle le Roi de l’Afrique. Il est incroyable, il est fascinant… Vraiment ! », nous racontait le chanteur le regard souvent baissé et sans lunettes! Oui, ce fut pour nous une grande émotion et une immense fierté que d’être accueillis par Gims lui-même, « Bonjour, Gims », nous avait-il dit, « Non ce n’est pas lui », avons-nous chuchoté, tellement l’homme était simple et humble, presque timide.

La rock Star nous avait accueillis avec un de ses frères et deux de ses six enfants, « Assia », 12 ans et demi, « Idriss », 10 ans, « Asmaa et Aicha », 7 ans et demi, « Yahya », 6 ans, « Safia », 5 ans. « Mes enfants sont nés en France à part Asmaa et Safia qui sont nées ici au Maroc. Mes enfants sont partis pour devenir de vrais marocains car ils évoluent ici. Ils ont leurs repères ici, leurs amis… Ils parlent la Darija… Eux ce sont de vrais marocains. Moi je suis né au Congo, mais j’ai évolué en France. Moi j’ai quitté l’Afrique pour grandir en France, eux ils ont quitté la France pour évoluer en Afrique. Je suis revenu en Afrique avec mes enfants », nous racontait-il, déclinant gentiment les sollicitations de ses bouts d’chou, « Aicha » faisant des pirouettes de danseuse née et le petit « Yahya » (portrait craché de son père) qui se présentait à nous avec un autre prénom avant de courir le long des couloirs et allées de la maison maison familiale, « J’ai visité énormément de maisons…vous vous imaginez ! Je suis tombé tout de suite sous le charme de celle-ci. On y retrouve l’architecture marocaine, européenne, américaine… Il y a vraiment un peu de tout et j’ai retrouvé les endroits que j’ai pu visiter dans le monde dans cette maison. Et c’est ce qui m’a le plus poussé à m’y installer… vraiment ! ». L’acteur aura vécu jusqu’ici, dix années de beaux et bons moments de chaleur et d’amour en famille avant de décider de la vendre.

Une autre belle confidence du chanteur est sa première vocation pour le dessin, la BD et la communication graphique, la chanson pour lui, ce n’était pas programmé,  « C’était juste pour m’amuser. J’étais timide. Je ne voulais pas ». Et pourtant, l’ex-membre de la Sexion d’Assaut, aux disques de diamant et de platine, entre autres prix et distinctions, vient d’être consacré une énième fois par les NRJ Awards. Le chanteur n’est pas qu’une icône de minettes, il fait vibrer la jeunesse du monde entier, à travers la musique mais également des causes humanitaires dans le monde et au Maroc en particulier, « Le Roi Mohammed VI nous soutient totalement dans cette démarche vers l’émancipation de la jeunesse à travers l’art, le sport et la musique », nous avait-il révélé.

Les concerts de l’interprète de « Bella » orchestrés chaque fin décembre sur la mythique place Jemaa-El-Fna, nous manquent déjà!

Bonne année à vous Gims et que le ciel de Marrakech continue de bercer votre art!

Abdellatif Khizrane et Gims dans son petit salon cosy où le chanteur disait « aimer y composer des sons »

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L’union de deux icônes de luxe, la marque italienne Vespa et la griffe française Dior donnent naissance à un scooter ultra-luxe et à un nouveau style de vie urbain qui respire la joie de vivre.

https://youtu.be/GDxQ9Cqheh0
Quoi de plus intelligent que de lancer un scooter maintenant, en plein déconfinement des grandes métropoles du monde en quête de préserver au mieux leur nouvelle équilibre avec l’environnement et pour des riverains à la recherche de moyens de mobilité qui leur procurent liberté et air frais après de longues semaines d’enfermement.
Jamais un mariage n’aura autant réussi, tant les codes des deux marques se rejoignent autour de valeurs de minimalisme, d’élégance, de charme et de raffinement.
Maria Grazia Chiuri, Directrice artistique de la marque française et designer du Vespa 946 en édition exclusive, a imprimé tous les symboles de luxe et de glamour, propres à la maison parisienne et à ses racines d’italienne native de la ville de Rome, en couleurs, motifs, initiales sur le célèbre deux-roues. Les accessoires n’ont pas échappé au lot de prestige signé Vespa, à savoir, un casque sublime et le top-case élégamment griffés Dior.
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