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La divine brune a électrisé le tapis rouge du festival de cinéma dans son look si simplement et fraichement chic et sophistiqué, d’une robe bleu royal, signée Sima Couture Paris et une coiffure en chignon bas si élégant !

Illustrée cette année dans sa mission de présenter l’émission populaire Mbctrending sur Mbc4, la sublime Sofia Saidi s’est vue sacrée, meilleure présentatrice de l’année 2022 lors du festival du film de la Maratea en Italie. Un prix prestigieux, le même qui a honoré l’iconique Sophia Loren dans le domaine du cinéma l’année dernière. Sofia Saidi succède ainsi à la star italienne dans le domaine des médias cette année.

 

Depuis qu’elle a été élue Miss Arab 2019, la présentatrice et animatrice marocaine Sofia Saidi ne s’arrête littéralement plus et le succès lui colle à la peau. La divine brune a encore brillé lors du prestigieux festival du film de la Maratea en Italie, confirmant lors d’une conférence de presse du festival, que son couronnement en tant que meilleure présentatrice arabe au festival italien est « une récolte de ce qu’elle a planté et essayé de faire », soulignant que « sa responsabilité sera doublée parce que chaque réalisation ou succès lui ouvre de larges perspectives pour qu’elle continue à donner et à faire.

Sofia s’est réjouie de cet hommage et du succès de son émission Mbctrending, parlant « d’une très belle expérience » et soulignant que « ce fut un grand succès du public arabe ».

Le festival a compté la participation de plusieurs personnalités de renommée, y compris Nicola Bulgari, le directeur du Festival international de Cannes, Festival international de Venise, et les personnages les plus importants du cinéma italien et de nombreuses célébrités telles que Darko Peric, l’acteur de la Casa di Papel et Ali Fazal un célèbre acteur indien.

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Impossible pour George Clooney de ne pas aider ses voisins en détresse. Alors qu’elle était en vacances au Lac de Côme, la famille Clooney a été touchée par d’impressionnantes inondations. Tout comme leurs voisins, Amal et George ont pu constater des dégâts dans leur villa inondée de torrents de boue. Afin de ne pas rester les bras croisés, l’acteur a décidé de se retrousser les manches pour aider ses voisins.

Plusieurs villes de la région italienne où se trouvent Amal, George et leurs jumeaux de quatre ans, ont été confrontées à de nombreux sinistres dus à la montée des eaux. Des maisons ont été ensevelies et prés de soixante personnes ont du être évacuées. Face à cette situation, le père d’Ella et Alexander s’est rendu, dès le lendemain à Laglio, une des villes touchée gravement par les inondations.

« Il est venu directement à la mairie et nous avons fait un tour pour voir l’ampleur des dégâts. Il était vraiment perturbé et voulait aider. Nous levons des fonds et je pense qu’il va utiliser ses propres réseaux afin d’aider ceux qui se retrouvent sans abri», a déclaré le Maire de la ville au « Times ».

Décidé à rendre service, George Clooney n’a pas hésité à aider les habitants de la ville à nettoyer les dégâts, ou à enlever les débris. « C’est bien pire que ce que tout le monde pense. Nous étions à Cernobbio et c’était très grave, mais ici à Laglio, c’est bien pire. On estime qu’il pourrait se passer des années et des millions de dollars avant qu’ils ne puissent tout réparer », avait déclaré la star hollywoodienne dans les médias italiens.

Si la situation devait empirer, l’acteur n’hésitera pas à aider financièrement sa région de cœur. Après tout, quand on aime, on ne compte pas…

 

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Il fait partie des grandes stars marocaines du ballon rond international, le défenseur de l’Inter Milan, souvent jugée comme un des meilleurs joueurs au monde de sa catégorie, est en lice pour recevoir le titre de Meilleur joueur Maghrébin pour le bonheur de sa femme et de son petit Amin. 

 

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France Football vient d’annoncer la liste des nommés au titre de meilleur jouer maghrébin de l’année, qui succèdera à l’Algérien Riyad Mehrez. Achraf Hakimi en fait partie. Une autre réjouissance pour la petite famille et pour Hiba Abouk, la jolie épouse de l’international marocain. « C’est l’année la plus importante de ma vie » avait déclaré l’actrice espagnole en juillet dernier, alors que son mari venait de rejoindre le club italien et d’installer sa petite famille à Milan.

« J’adore le fait qu’Achraf soit transféré à Milan, car c’est une très belle ville et là-bas, je pourrais aussi aller de l’avant pour ma carrière », a confié à Hola! la franco-tunisienne visiblement amoureuse et comblée. L’arrière droit du deuxième club italien de la Serie A, touche la modique somme de 417 k euros par mois de quoi très bien faire vivre sa petite famille qui s’est agrandie avac la naissance de son premier enfant en février dernier.

La belle brune au yeux clairs a chuchoté à Hola! son mariage « intime et familial avant la naissance du petit Amin », ne manquant pas de préciser « Nous devons encore faire une grande fête ». Nous avons hâte d’en savoir plus et sommes ravis de tant de bonheur et d’amour dans cette petite famille marocaine.

 

 

 

 

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« La seule chose que je regrette est que je n’ai pas pu apprendre le berbère  »

Elle vient du Maroc, d’une mère de Khouribga et d’un père de Khemisset. Derrière son joli minois, son teint lumineux et chatoyant, son sourire naturellement enjôleur et son regard déterminé, se cache une femme battante qui a su s’imposer dans les sphères médiatiques d’un grand pays comme l’Italie. Cette berbère affirmée, née en Lybie, sans s’être imprégnée de sa culture et des terres de ses parents, partie à l’âge de 9 ans au pays de la Botte, compte parmi les beaux visages de la télé italienne, notamment pour l’émission satirique Striscia la Notizie et les si belles voix de Radio Zeta L’Italiana, depuis plusieurs saisons. En pleine crise du coronavirus et de Bologne, sa région de résidence et celle où l’épidémie s’est déclarée après la Chine, la jeune marocaine se confie.

  • Comment vivez-vous ce confinement dans le pays européen le plus touché?

Ce moment de crise m’a permis de me tester, c’est un défi qui m’a permis de grandir en affrontant de nouvelles difficultés et de croire de plus en plus en l’avenir, en la solidarité et dans les valeurs de la vie.

  • Comment gérez-vous l’angoisse et le stress?

Par l’introspection et par des activités qui me divertissent, des activités liées à mes passions comme le sport, l’équitation, sortir avec des amis, la prière et surtout j’essaie toujours de cultiver le côté positif surtout pendant des moments difficiles comme ceux que nous avons connus cette année lors du lockdown.

  • Êtiez-vous en famille ?

Je vis seule, ma famille est éparpillée partout dans le monde et quand je peux, je vais leur rendre visite. Malheureusement je n’ai pas beaucoup de temps libre mais quand je suis avec eux j’essaie d’en profiter au maximum. Ma chère grand-mère et quelques oncles se retrouvent dispersés au Maroc entre Casablanca et Tanger, Rabat et Khemisset. Ma sœur Sakine s’est récemment mariée, elle m’a déjà donné un magnifique neveu et vit à Bologne dans le centre de l’Italie, mon père vit à Catanzaro dans le sud de l’Italie avec sa femme et mes deux petites sœurs, mes oncles sont à Pérouse et Mantoue, ma mère à Zurich avec son mari et mon petit frère Youssef, ma famille paternelle en France, Hollande et Canada, ma famille maternelle en Amérique, en Allemagne et en France, j’ai aussi des cousins ​​en Espagne les Bezzaz et Adib sont vraiment partout.

  • Qu’appréhendez-vous de cette crise sur notre vie future?

Je crains que le monde puisse s’isoler derrière les ordinateurs et les téléphones, en particulier le smart working et le télétravail qui nous ont permis d’avancer pendant la quarantaine mais qui pourraient nous faire perdre les interactions sociales qui font la beauté de l’humain.

  • Qu’allez-vous cesser de faire après cette expérience?

J’ai appris à donner plus d’importance à la liberté de mouvement que nous tenons tous pour acquise. C’est rare que je passe du temps à la maison. Mon travail me fait voyager et rencontrer beaucoup de monde et j’ai continué à le faire même pendant la crise. Je n’ai jamais arrêté. Et je crois que je n’arrêterai pas de le faire, la liberté d’action, de parole et de mouvement a toujours été l’un des piliers de ma vie.

  • Quel regard portez-vous sur la gestion de la crise au Maroc?

Je crois que le Maroc a très bien géré la crise, le peuple marocain est un peuple affectueux, les gens ont l’habitude d’être ensemble, alors imposer des règles aussi rigides et de les faire accepter a certainement été le résultat d’une politique bien étudiée et assurée par le pouvoir. En tant que Marocaine, je sais aussi à quel point nous sommes solidaires. Je suis sûre que personne n’a été abandonné, laissé de côté. Je suis d’ailleurs fière des mesures entreprises par SM le Roi Mohammed VI, sanitaires et sociales rapidement et avec efficacité.

  • Qu’avez vous à dire à vos fans marocains?

Que je les aime! même s’ils ne comprennent pas la langue! (rires) Beaucoup me suivent à la fois à la télévision et sur les réseaux sociaux en m’écrivant pour me demander des traductions de ce que je fais et ce sont des observateurs attentifs, et c’est certainement l’un de mes publics préférés, probablement le plus sincère. J’espère un jour avoir l’opportunité de travailler pour la télévision marocaine, je pourrai ainsi m’exprimer dans ma langue et me faire mieux connaître de tous.

  • Que gardez-vous de vos racines ?

Je n’ai jamais vécu avec ma famille au Maroc mais dans le futur j’aimerais me consacrer à l’étude de la langue et de la culture berbère car ce sont mes racines. Connaître mes origines profondément me manque vraiment.

  • Et avoir des enfants?

J’aimerais avoir une grande famille. Si je n’étais pas si occupée avec le travail et les engagements je pense que j’aurais déjà six enfants … Cependant il y a du temps, je suis encore jeune et Yallah ….« Quand il y a une destination, le désert devient aussi une route ».

  • Une chose inspirante que vous faites chez vous en confinement et après confinement?

J’ai beaucoup travaillé sur moi-même. Je me suis aussi consacrée à la lecture, cela m’a permis d’attraper des livres que je n’avais jamais eu le temps de lire. J’ai fait de l’activité physique avec mille trucs que j’avais à disposition à la maison. Pendant la période du Ramadan en quarantaine, j’ai intensifié la prière et ma quête de spiritualité. Cela m’a aidée à puiser la force nécessaire pour continuer dans cette situation difficile. J’étais parmi les rares personnes qui sont allées travailler, alors même que j’évolue dans l’une des plus grandes zones rouges d’Italie qui a enregistré le plus grand nombre d’infections et de décès. Après le travail, il était obligatoire que je rentre à la maison et que je reste isolée de tout et de tout le monde.

  • Faites vous une action envers les démunis et les vulnérables en Italie et ailleurs?

Partout dans le monde, dans n’importe quel pays, à tout moment, je serai toujours prête à aider ceux qui en ont besoin. Je crois que notre rôle sur terre est de rester proches et de nous soutenir mutuellement en respectant toute forme de vie.

  • Comment vous est venue l’idée merveilleuse de finir vos reportages pas des youyous?

L’idée de la Zaghrouta est née lors de la réalisation de l’audition pour l’émission Striscia la Notizia, avec une de mes collaboratrices et auteures basée à Abu Dhabi et qui connaît la culture arabe. On cherchait un moyen de terminer la représentation par un hymne à ma culture et à mon pays et qui toucherait en même temps tout le monde. Alors un cri berbère nous semblait parfait. Le hic c’est que je ne l’avais jamais fait et je ne pensais pas en être capable, je ne pensais pas que je pouvais proliférer ce son avec puissance. En fait c’était suffisant d’essayer une seule fois! Nous, les Arabes, avons ce cri en nous, c’est dans notre ADN. Maintenant l’Italie entière connaît la Zaghrouta à tel point que les gens m’arrêtent dans la rue pour me demander un youyou, parfois ils le font eux-mêmes. Les enfants aussi sont devenus des as du youyou marocain.

  • Vous aimez la mode bien sûr, portez vous des caftans à l’occasion? Même à la maison?

J’adore la mode en général. Quand je vois des femmes arabes mélanger l’Occident à notre culture, cela donne un mix d’une beauté incroyable. C’est très apprécié et j’en suis très fière. Je porte bien sur des caftans, des jellabas également. C’est pour moi un grand bonheur de représenter ma culture aussi à travers ce que je porte. Et c’est tout mon univers de prédilection.

  • Votre couturier italien préféré?

Valentino. Ses vêtements sont d’une beauté unique, ils reflètent la personnalité d’une femme élégante, sensuelle, forte et en même temps extrêmement féminine.

  • Seriez-vous engagée pour que les circuits industriels de la mode changent afin de commencer une nouvelle ère d’un sustainable généralisé?

Absolument! Nous sommes dans l’ère du consumérisme et soutenir des jeunes stylistes célèbres qui ont une production qui respecte les animaux, la nature et l’environnement est un devoir pour nous tous. Il faut sensibiliser les gens de toutes les manières possibles y compris à travers la mode. Stella Mc Cartney nous enseigne et nous donne certainement de nombreux exemples de mode durable sans perdre de style.

  • Quelle autres choses seriez prête à abandonner dans votre vie urbaine de tous les jours pour améliorer et respecter l’environnement?

Je renonce volontiers à l’usage excessif de la voiture, en fait j’ai le permis mais je ne possède pas de voiture par choix, je préfère marcher et utiliser des moyens de transport alternatifs et non polluants surtout le vélo.

  • Ferez-vous un youyou quand le monde vaincra le covid-19?

Quand l’épidémie se terminera, je ferai une Zaghrouta que tout le monde entendra de Milan à Casablanca. Un hymne à la joie et à la vie, dédié au monde entier.

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L’union de deux icônes de luxe, la marque italienne Vespa et la griffe française Dior donnent naissance à un scooter ultra-luxe et à un nouveau style de vie urbain qui respire la joie de vivre.

https://youtu.be/GDxQ9Cqheh0
Quoi de plus intelligent que de lancer un scooter maintenant, en plein déconfinement des grandes métropoles du monde en quête de préserver au mieux leur nouvelle équilibre avec l’environnement et pour des riverains à la recherche de moyens de mobilité qui leur procurent liberté et air frais après de longues semaines d’enfermement.
Jamais un mariage n’aura autant réussi, tant les codes des deux marques se rejoignent autour de valeurs de minimalisme, d’élégance, de charme et de raffinement.
Maria Grazia Chiuri, Directrice artistique de la marque française et designer du Vespa 946 en édition exclusive, a imprimé tous les symboles de luxe et de glamour, propres à la maison parisienne et à ses racines d’italienne native de la ville de Rome, en couleurs, motifs, initiales sur le célèbre deux-roues. Les accessoires n’ont pas échappé au lot de prestige signé Vespa, à savoir, un casque sublime et le top-case élégamment griffés Dior.
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