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Les femmes sur leur 31

La Présidente et Fondatrice de Visage du Maroc Co-fondatrice du mouvement les femmes sur leur 31 prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

 

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

Pour moi, « se mettre sur son 31 » c’est mettre ce que je veux, quand je veux, sans avoir de compte à rendre à personne. En fait, c’est plus un sentiment, une attitude que des vêtements ou des accessoires qu’on porte.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

Le 8 Mars qui est la journée des droits de la Femme est devenue une fête commerciale. Cela dit, ce n’est pas si dérangeant dans la mesure où l’on garde en mémoire le vrai symbole de cette journée. Les droits des femmes c’est tous les jours, pas seulement le 8 Mars, même si c’est bien d’avoir un reminder. Et si c’est commercial, ça peut toucher beaucoup plus de gens. Aujourd’hui, même les personnes qui achètent du chocolat, des strings, des fleurs à l’occasion du 8 Mars savent que c’est la journée des droits de la Femme.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

À travers mon média « Visages du Maroc », je mets les femmes en valeur tout le long de l’année. C’est un média qui met la lumière sur les femmes marocaines entrepreneures dans le sens large du terme pour donner un exemple à suivre aux générations futures, et montrer que n’importe quelle femme peut réussir par la force du travail et l’acharnement, il suffit juste d’y croire et de se donner les moyens d’y arriver. Rien n’est impossible, quel que soit le domaine.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

31, ça va être dur mais je vais me lancer. Belle, intelligente, énervée, heureuse, joyeuse, colérique, sublime, craquante, manipulatrice, humble, empathique, généreuse, sublimissime.

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars.

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La Journaliste MAP, Chef de service Gouvernement et Politiques Publiques, Membre du comité Map-Parité et du réseau NWL-FAAPA prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

Le 31, c’est une invitation à faire la fête, à se faire belle, à se mettre en valeur aussi. C’est une page qui se tourne. Le 31 c’est généralement la fin du mois. Une page qui se tourne, une autre qui s’ouvre, pour écrire de belles choses encore.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

Le 8 Mars c’est une occasion annuelle qui permet de prendre conscience du travail qui se fait tout au long de l’année, au quotidien. Ce sont des femmes qui travaillent dans tous les domaines et donc le 8 Mars c’est une consécration en quelque sorte qui permet de voir ce qui a été fait et donc de dire ce qui reste à faire. Je propose que le 8 Mars soit une occasion de prise de conscience par rapport à des causes nationales qui concernent les femmes, mais pas seulement. Que le 8 Mars soit célébré chaque année, oui, mais que ce soit associé à une cause particulière pour lui donner plus de sens. Tout le monde s’activera dans ce même sens.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

En tant que journaliste, je suis amenée à travailler avec beaucoup de personnes, à faire plein de reportages, et donc à côtoyer des personnes qui font un travail extraordinaire au quotidien mais qui restent dans l’ombre. De ce fait, c’est aux journalistes de faire valoir ce travail et de le montrer à tout le monde.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Ça va être difficile mais je vais essayer : La persévérance, le sérieux, la générosité, l’endurance, la créativité, l’altruisme, le sacrifice, l’abnégation, la joie aussi, la motivation, la vie en général. Cette joie et cette motivation, il est de notre devoir en tant que femmes marocaines de les transmettre aux jeunes générations, aux filles qui vont à l’école ou celles qui peinent à trouver le chemin de l’école. C’est de notre rôle de leur inculquer cette joie de vivre et d’éduquer les jeunes générations à être des femmes fortes et indépendantes, mais aussi à s’intégrer du mieux et pour le mieux dans leur société actuelle et à venir.

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars.

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La Journaliste chez Le Matin prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

Pour moi, « Se mettre sur son 31 » c’est juste une expression, rien de plus. Malheureusement, des fois ça peut faire pression sur certaines personnes alors que ça ne le devrait pas. L’essentiel c’est de se vêtir de ce qui nous rend à l’aise afin d’être confiantes, et travailler, sortir, discuter, s’amuser, tout en étant en harmonie avec soi-même et en pouvant ainsi dégager notre énergie positive, voilà tout.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

La date en elle-même et ce qui a pu être réalisé, oui. Mais je n’aime pas comment on a réduit le 8 Mars à du chocolat, une fleur, un bijou… Je n’apprécie pas.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

Pour moi, la cause de la Femme ne devrait pas être abordée uniquement le 8 Mars. Nous sommes dans une société patriarcale, dans une société où on aime mettre les femmes dans des cases, leur coller des étiquettes, alors qu’on devrait juger une personne sur ses valeurs, qu’elle soit femme ou homme. C’est un être humain, c’est tout. Nous sommes encore dans une société où on dit d’une femme qu’elle est « dénudée », « voilée », « vieille fille », « trop instruite et croit tout savoir », « illettrée », « ignorante », « ne sait rien faire »…on devrait oublier ce genre d’étiquettes, les enlever. Là, je lance un message aux mamans, aux femmes qui éduquent les générations parce que je pense que c’est de là que vient le problème : s’il vous plait, n’élevez pas des hommes qui ont des préjugés et des garçons qui pensent être supérieurs, parce qu’en fin de compte votre fils épousera la fille d’une autre. Ce même fils traitera cette femme soit comme il se doit, soit comme si elle était une moins que rien. C’est à vous de faire ce choix. C’est aux femmes de prendre le relais et de bannir cette attitude à l’égard des femmes. C’est aux mamans de montrer à leurs enfants le bon exemple même si le père n’est pas à la hauteur, même si l’enfant voit le mauvais exemple dans la rue. On doit parler aux enfants et leur montrer le bon chemin.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

La femme marocaine est altruiste, généreuse, forte, fragile, ambitieuse, patiente, intelligente, stricte et sait être sévère quand il le faut, bosseuse, audacieuse, guerrière. La femme marocaine est unique.

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars

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La Journaliste Grand Reporter chez Aujourd’hui le Maroc prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

Ça évoque la mode, être bien habillé(e). Mais pour moi, je pense qu’il est avant tout question d’âge : À un certain moment de notre vie, nous avons besoin d’être bien dans ses pompes avant d’être sur son 31. Quand on se réveille le matin, on a envie de s’habiller selon la météo… pas forcément avec des talons aiguille, surtout avec notre métier de journaliste. On peut être sur son 31 en jean, bien habillée, bien maquillée, et surtout si on dégage de belles énergies et de belles ondes avec un sourire. Pour moi, être sur son 31 c’est un ensemble. Je dirais qu’on s’éloigne de la signification première de l’expression de plus en plus. Il faut juste être bien.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

Franchement, le 8 Mars est une belle journée. Dans le groupe dans lequel j’évolue, ça fait toujours plaisir de recevoir un cadeau, des messages de la part d’amis… Seulement, au stade de notre parcours et de notre vie professionnelle, on attend beaucoup plus. Le 8 Mars dans ses débuts qui remontent à 1909, c’était beaucoup plus des doléances des femmes, et je pense que le Maroc est encore loin sur ce volet-là. Certes, il y a eu des avancées, mais aujourd’hui il faut prendre le taureau par les cornes et légiférer pour que par exemple les entreprises qui se positionnent sur la stratégie du genre commencent vraiment à instaurer des mesures d’encouragement vis-à-vis des femmes. Les cadeaux faits aux femmes dans les entreprises à l’occasion du 8 Mars, c’est bien, mais avoir des promotions internes, une stratégie de ressources humaines tournée vers la femme. Ça c’est de la RSE. Donner une fleur ou un cadeau, ça fait plaisir, on ne va pas dire non. Mais je pense qu’aujourd’hui, et vu la volonté royale et le positionnement de la femme sur la scène économique, et vu que la population est à 50-50, s’il y a un plan du Maroc en marche, il faut absolument aller avec la femme. Et quand je parle de la femme, je ne parle pas que des femmes de la ville. L’image d’une femme croisée à Tizi N’oucheg à quelques kilomètres de Marrakech, me fait penser à la femme rurale qui travaille bien plus que l’homme. L’homme est sur l’âne en train d’avancer, et la femme a sur les épaules des marchandises et des tas de branches pour chauffer le logis. Alors quand on me dit que la femme n’est pas l’égal de l’homme, je dis oui, mais dans l’autre sens.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

Je suis journaliste depuis 20 ans et j’ai démarré dans l’investigation, mais plutôt dans le monde économique. Mais avec la mouvance et les progrès opérés au Maroc, au niveau des indices humains, et je prends l’exemple des petites filles qu’on arrive à repêcher et scolariser au lieu qu’elles aillent travailler, ça fait partie du Maroc en marche. J’ai ainsi diversifié mes axes de traitement journalistique et j’ai beaucoup sensibilisé sur ce volet-là, et sur le volet du capital humain.  Je mets très souvent en lumière le leadership féminin, sur des femmes qui ne sont pas forcément connues mais qui ont des trajectoires magnifiques. Aujourd’hui, il faut donner des modèles inspirants mais des modèles qui soient faisables. Une étudiante ne peut pas s’identifier à une ministre ou à une écrivaine, il faut qu’elle s’identifie à une personne qui a réussi et qu’elle puisse se reconnaitre dans le monde social dans lequel elle évolue, sinon ça devient de l’utopie. Je pense que le rôle des médias est de mettre de la lumière sur les femmes qu’on peut comparer à des abeilles, qui sont dans l’ombre et qui travaillent discrètement tout en étant efficaces, et il y en a beaucoup au Maroc.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Je vois la femme comme un être sensible. Elle est généreuse, empathique, et c’est une force que l’homme n’a pas forcément. Elle est dotée d’une intelligence émotionnelle, ce qui est une valeur très importante en termes de leadership. Belle, humble, discrète, coriace, courageuse, guerrière, batailleuse…

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars.

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La journaliste de 2M.ma prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

Selon moi, cela veut dire se montrer sous son meilleur jour. C’est parfois une obligation de la société envers les femmes, et c’est aussi un privilège pour d’autres femmes. Mais je pense que nous les femmes, dans nos rôles du quotidien en tant que mère, en tant que femme, en tant qu’amie, sœur, fille… on passe notre temps à donner et des fois on oublie qu’une source vide ne remplit même pas un verre. Et donc prendre soin de soi, ce n’est pas de l’indulgence, mais c’est nécessaire, c’est de la préservation de soi. Donc c’est important de toujours être sur son 31 et pas seulement se maquiller ou s’habiller, mais surtout prendre soin de soi mentalement, physiquement, de sa santé.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

Avec toute la bienveillance du monde, je n’aime pas le 8 Mars parce que je pense que ça a été perverti. On n’en célèbre pas l’objectif, on ne le célèbre pas correctement et surtout rien ne change après. Je suis une femme, et pour le 8 Mars je vais recevoir des fleurs ou un cadeau parce que je suis une femme. Mais ce même 8 Mars, quand je vais sortir dans la rue, je ne vais même pas faire 100 mètres sans me faire harceler. Ce même 8 Mars, en tant que journaliste, si je vais faire un micro-trottoir et que je pose une question à un homme, il y en a beaucoup qui ne vont même pas me répondre en me regardant, ils vont regarder mon cameraman. Ce même 8 Mars, si je suis une femme divorcée et que j’ai un gosse, je n’en aurai même pas la tutelle. Même si le père de mon enfant est un parent indigne je serai toujours obligée de revenir vers lui pour faire le passeport de mon enfant, l’emmener en vacances, lui changer d’école, etc…  Donc on a là, je pense, tout un contexte social mais aussi un petit peu institutionnel qui fait que les choses ne changent pas vraiment après le 8 Mars. Voilà pourquoi je n’aime pas le 8 Mars.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

J’essaie de faire du mieux que je peux quand je travaille, pas pour changer les choses mais faire les choses correctement : Ne pas véhiculer de clichés, parler des choses qu’il faut aborder… Et ce que j’aime à 2M, ce que j’apprécie vraiment c’est qu’on a des femmes, beaucoup de femmes qui sont dans des postes de responsabilités, mais ce n’est pas de la Soft Power. Elles sont là, elles sont réellement ancrées dans leurs compétences, elles sont réellement respectées pour ça et voilà. Moi j’ai toujours adoré travailler au sein de femmes. J’ai été mentorée par une femme, j’ai été encouragée et guidée par une autre femme. En tant que jeune journaliste, je me suis toujours épanouie dans un milieu professionnel où il y a des femmes, et je n’ai jamais senti que c’était comme le veut le stéréotype « travailler avec les femmes est malsainement compétitif », bien au contraire. Je pense qu’on se comprend, qu’on s’encourage mutuellement.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

31 c’est beaucoup. Par contre je vais dire la femme « Roujoula », Battante, Combattante, Courageuse… c’est tout ça, moi je pense que la femme ne peut pas être résumée juste à 31 adjectifs. On est beaucoup de choses, on est tout à la fois.

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars.

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La Directrice générale Musk Strategies et Experte en médias prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

« Se mettre sur son 31 » évoque avant tout le luxe, l’élégance, la fête… c’est l’origine de l’expression. Mais pour moi l’expression évoque d’être moi-même. Là je suis en T-shirt et je me sens sur mon 31. Pour moi, c’est être en harmonie avec ce que je suis, c’est inspirer la femme que je suis. Etre sur son 31 est une expression qui a beaucoup changé pour moi au cours de mon parcours et de mon expérience avec la maladie. Du jour au lendemain, je me suis retrouvée chauve, et même comme ça j’étais sur mon 31. La société nous impose beaucoup de codes à nous les femmes et pour moi être sur son 31 c’est justement casser les codes. Etre belle ce n’est pas porter du 36 et avoir de longs cheveux. Si je suis en harmonie et en paix avec moi-même, et que j’ai confiance en moi, je pourrais inspirer la beauté et la refléter. « Etre sur son 31″ c’est être beau de l’intérieur car si je suis belle de l’intérieur, je le reflète à l’extérieur, et ce chaque jour, pas qu’un 31 décembre, et pas comme l’origine de l’expression le veut. Ce n’est pas porter un beau tissu ou une belle parure ; c’est porter un bon cœur, une grande confiance en soi et assumer le fait d’être femme. Aujourd’hui, on ne devrait plus permettre aux hommes de nous dicter les codes de la beauté. Il y a cette expression arabe que je déteste qui dit « la moitié de la beauté d’une femme est dans ses cheveux ». Pourquoi on ne dit pas que la moitié de la beauté d’un homme est dans sa barbe ou sa taille ? La « demie » beauté n’existe pas. La beauté est complète et une fois on la sent on est belle et on est toujours sur notre 31, qu’on soit un homme ou une femme.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

Personnellement, je ne suis ni pour ni contre le 8 mars, tout dépend de ce que l’on en fait. À la base, ce n’était pas une fête mais une date de revendication, suite à un drame. Finalement, toute action militante vient après un drame. Le 8 Mars, pour moi, c’est tous les jours. Il ne devrait plus être limité aux droits de la femme car selon ma propre opinion, cette date devrait être liée aux droits de l’Homme. Je pense qu’il faudrait qu’on arrête de mettre les hommes et les femmes dans deux cases séparées. Aujourd’hui, il faut qu’on parle de l’être humain dans sa globalité. Il faut qu’on puisse atteindre l’égalité sociale, la justice, la dignité… cette parité concerne aussi bien la femme que l’homme. Pour moi, on conditionne la femme en célébrant et en revendiquant ses droits indépendamment de ceux des hommes, comme si elle venait d’une autre planète alors que c’est un être humain à part entière. Ceci dit, je dis oui au 8 Mars comme date destinée à honorer le mouvement féminin à travers le monde.

Si le 8 Mars me rappelle quelque chose, il me rappelle un journal qu’on a peut-être oublié aujourd’hui. Etant donné qu’on parle aujourd’hui des femmes des médias et aux médias, je me dois d’honorer les premières femmes journalistes au Maroc et rappeler ce journal qu’elles avaient lancé et qu’elles avaient intitulé Le 8 Mars. J’étais petite quand il a été lancé et je suis fière de dire que ma mère faisait partie de ce mouvement et de ces femmes qui avaient lancé Le 8 Mars aux côtés de Latifa Jbabdi, Aicha Loukhmas, Latifa Baka, et plusieurs autres femmes que je ne saurai nommer. Aujourd’hui je leur dis merci, mesdames, parce que grâce à vous, nous sommes les femmes marocaines d’aujourd’hui. Je dis merci au mouvement féminin au Maroc peu importe ses horizons. Je dis également merci à Sa Majesté Mohamed VI, parce qu’il a pu répondre sous son ère, aux revendications du mouvement féminin, notamment au niveau du statut personnel dans la Moudawana où il y avait beaucoup d’inégalités entre l’époux et l’épouse. Certes, on n’a pas encore atteint une égalité totale mais on a traversé un long chemin vers cette égalité. Avant, si une femme se mariait avec un étranger, elle ne pouvait pas donner la nationalité à leur fils, c’était aberrant. Aujourd’hui, Sa Majesté a pu accorder à la femme marocaine la place qu’elle mérite. Il y a eu beaucoup de réformes institutionnelles grâce auxquelles on peut voir des femmes à la tête d’institutions constitutionnelles, mais aussi des femmes Âdoul, et pour moi c’est une preuve d’Islam modéré. L’Islam marocain qu’on a toujours connu, où la femme n’est pas marginalisée. « Les femmes sont les égales des hommes » (citation du Prophète), on n’a jamais dit que l’homme dépasse la femme ; chacun a son rôle. Pour moi, il faut que l’homme garde son rôle, que la femme garde le sien, et qu’on ait accès aux mêmes droits dans l’égalité et dans le respect. L’excellence ne devrait pas être basée sur le genre mais sur la compétence et sur ce que nous sommes en tant qu’êtres humains. Si je suis plus compétente qu’un homme ou qu’une femme, je dois avoir mon mérite par rapport à ce que je vaux dans la société et par rapport à mon éducation.

Aujourd’hui, il faut que le 8 Mars soit une date qui nous permet de revendiquer une chose que je trouve basique, c’est que la femme puisse avoir son droit. Si on s’adresse à une femme rurale par exemple, sa première revendication sera l’accès à l’éducation. Aujourd’hui, les filles comme les garçons devraient tous avoir cet accès, car quand on a une éducation, on peut se forger une personnalité et avoir sa place aussi bien dans la société que dans la famille, nous permettant ainsi de nous défendre. La femme est la meilleure défenseuse de la femme, et l’homme est le meilleur défenseur de l’homme. Toute personne peut se défendre elle-même, il ne faut pas que nous nous attendions à ce que quelqu’un nous accorde ce qui nous revient de droit. Pour moi, c’est ça le 8 Mars.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

Je vais commencer par la radio qui est une expérience riche dont je suis très fière. Un homme était le patron de la station, il épaulait les femmes. Nous étions, disons, la seule radio au Maroc où tous les cadres étaient des femmes ; les directrices de station, la directrice commerciale, la DGA était une femme. Nous n’avions pas senti de discrimination, c’est ce qui nous a donné confiance en nous et nous avions transmis cette confiance à nos collègues, aux débutantes, aux journalistes qui venaient d’intégrer la radio, les animatrices. Je pense qu’en tant que responsable à cette radio, j’ai fait preuve d’un esprit de woman empowerment, ce qui devrait être une valeur entre les femmes. Mon expérience ensuite de créer une entreprise spécialisée dans le National Branding et de pouvoir me dire que moi femme je vais pouvoir faire un grand évènement à l’échelle internationale, représenter mon Maroc et faire la promotion de mon pays, que moi femme, si je réussis, je vais inspirer, que moi femme si je peux fédérer et gérer des équipes d’hommes et de femmes, c’est que j’impacte, c’est que j’encourage d’autres femmes qui n’ont peut-être pas confiance, que je suis femme et que je peux faire ça. Aujourd’hui je ne sens pas que l’histoire et autour d’homme ou femme, c’est surtout question de compétence, de confiance en soi, de volonté, sans oublier qu’il existe des femmes fortes dans le milieu rural. J’ai horreur qu’on colle des étiquettes : femme rurale, femme violentée, femme leader ; il n’y a pas de leadership féminin, il y a leadership tout simplement. Il y a village et villageois, pas femme villageoise. Il y a femme marocaine dans toutes ses représentations, qu’elle soit instruite ou pas, qu’elle soit jeune, qu’elle vive dans un village…On devrait toutes avoir une chance. Aujourd’hui, je suis peut-être plus chanceuse, mais si on donne à une villageoise vivant au milieu des montagnes la même chance que j’aie pu avoir, elle sera à ma place. Ce sont les conditions dans lesquelles nous avons vécu et le droit à l’éducation ou pas qui font la différence. C’est pour ça qu’il devrait y avoir une égalité régionale, en termes d’accès à l’école, c’est ce qui devrait être notre revendication au Maroc. Que tous les marocains, hommes comme femmes, aient les mêmes droits et les mêmes devoirs, qu’on ait tous accès aux soins et à l’éducation, et qu’on puisse tous acquérir une confiance en soi. Cette confiance ne dépend pas du genre mais des conditions de vie et l’expérience qu’on a dans la vie.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Pour la femme en elle-même il y a trente milles adjectifs. En premier je dirais c’est la créatrice : c’est elle qui enfante. Généreuse, Forte, Tendre, Sensible, Guerrière, Battante, Belle, Épanouie, Authentique …

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars.

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La Chargée de Relations presse chez Key Media prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

Oui ça me parle parfois et parfois non. Se mettre sur son 31, pourquoi pas! S’il s’agit de bien s’habiller, être belle, être bien dans ses baskets, s’aimer, être à l’aise en fait. Être sur son 31, ce n’est pas qu’être super bien habillé, c’est aussi un état d’esprit, être à l’aise avec soi-même, avec ses convictions, ce qu’on porte et ce qu’on apporte aux autres, ce qu’on aime donner avec sa générosité.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

Oui et non. Je vais commencer par le non. Non par rapport à ce qu’on a fait du 8 mars, à tout ce tapage commercial, au lieu de se focaliser sur l’essentiel on va vers le superficiel et on passe à cote de beaucoup de choses. Oui pour le 8 mars lorsqu’il s’agit de défendre ce qu’on a encore à défendre et il y en a pas mal, j’en perd mes mots parce qu’il y a tant de choses à faire autour de ce 8 mars et qu’on oublie sur seulement une journée. Pour moi tous les jours, nous avons un 8 mars, tous les jours nous avons un combat, il faut militer pour les droits de la femme et des petites filles. Il y a tellement de dossiers sur la question de la femme qui s’accumulent encore, pour ne citer que l’Égalité dans tous les domaines, les petites filles et leur scolarisation, le harcèlement et les femmes violentées et battues, le mariage précoce… Non à un 8 mars travesti et qui est devenu un vrai fond de commerce, malgré tout ce militantisme pour défendre les droits de femmes et aussi toutes ses petites et grandes associations qui font un bon travail mais ce n’est pas suffisant.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

Il y a beaucoup de choses à faire bien sur et si on devait les énumérer on finirais au 8 mars prochain. L’égalité salariale, l’égalité des chances de travail…

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Je focalise sur ce qui est joyeux : Forte, Magnifique, Douce, Combattante, Battante, Patiente, Résiliente, Combative, Amoureuse, Tendre, Joyeuse, Extraordinaire.

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars.

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La Conseillère en communication prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

C’est une expression courante qui signifie pour moi se faire belle ou beau, c’est faire un effort particulier en revêtant ses plus beaux atouts ses plus beaux vêtements. C’est un effort supplémentaire. C’est aussi quelque chose qui relève de la puissance : c’est une manière d’être un peu irrésistible. Se mettre sur son 31 est une façon aussi de vouloir partir à la conquête. En tout cas, c’est un sentiment d’harmonie entre l’extérieur et l’intérieur et qui octroie une dose de confiance.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

Je trouve qu’il est important qu’il y ait une journée du 8 Mars où l’on célèbre la femme et où l’on revient sur tout le parcours et tout le travail de ce mouvement pour la défense des droits des Femmes et leur reconnaissance. Cela dit, je trouve un peu dommage que cette journée devienne mercantile et que cela nous fasse oublier les vrais problèmes, de parler de l’égalité entre les hommes et les femmes en terme salarial dans les entreprises ainsi que d’autres sujets encore, comme l’éducation où on est encore loin d’avoir acquis une totale égalité et où le nombre de femmes illettrées reste et demeure important. Beaucoup de choses ont été acquises mais il reste encore beaucoup à faire, et ce n’est finalement pas simplement l’affaire des femmes mais du corps social dans son intégralité.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

Je dirais que toute ma trajectoire s’inscrit dans cette perspective de l’émancipation de la femme et d’accès à son autonomie. J’aurais pu croire que les divers conditionnements et déterminismes sociaux feraient de moi une femme reléguée à certaines taches, notamment domestiques, ou m’auraient exclue d’un parcours universitaire, d’un travail qui me permet d’obtenir et d’atteindre mon indépendance. Cela dit, je me suis installée dernièrement au Maroc et je me suis lancée en tant qu’auto-entrepreuneure. Je suis donc une femme indépendante, et c’est mon pays qui m’a offert cette possibilité. Tous les jours je fais la démonstration qu’on peut être une femme, aller de l’avant et entreprendre et c’est une belle aventure.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Oui ce serait facile. Mais j’imagine que les mêmes adjectifs finiraient par revenir tôt ou tard. Je pense que je vois les femmes marocaines comme des femmes puissantes. Ce sont des femmes fortes. Ce sont des femmes brillantes, intelligentes. Ce sont des femmes modernes, traditionnelles, actuelles. Belles, Drôles, Joyeuses. Militantes. Ce sont des femmes de pouvoir. Ce sont de belles femmes.

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars.

 

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La Directrice Relations Presse prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

Oui, c’est une expression qui me parle depuis que j’étais toute jeune fille. On a toujours tendance à répondre à cette exigence qui a été créée qui est « être sur son 31 » pour plaire aux autres, pour être belle aux yeux des autres.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

À mes yeux, le 8 mars représente l’évolution que vit la femme aujourd’hui, chaque année, sur les droits de la femme, sur son envie d’aller de l’avant, de briller, de créer, son envie d’être libre, d’être écoutée et respectée.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

Aujourd’hui, je suis fière de faire partie de ce monde des médias marocains en tant que RP. J’essaie d’aider les gens à pouvoir exprimer et dire leurs messages, je ne suis qu’un outil, un petit messager, on va dire, qui les aide à réaliser leurs rêves et à faire entendre leur voix. En tant que femme aujourd’hui, je suis fière de voir l’évolution que vivent aujourd’hui les femmes marocaines, contente de voir des femmes Cheffes d’entreprises, des femmes dans la politique, des femmes qui s’expriment librement, des femmes qui organisent des évènements, qui créent des associations, qui sont ambassadrices et représentent leur pays à l’international, des femmes qui font le tour du monde pour vivre une expérience que seuls des hommes pouvaient vivre auparavant.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Forte, Courageuse, Guerrière, Mère, Fille, Grand-mère, Épouse, Chef d’entreprise, Femme politique, Cuisinière, Actrice, Peintre, « Prostituée », Policière.

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars.

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L’animatrice de la Radio Chaine Inter prend part au mouvement « Les femmes sur leur 31 » et nous livre ses pensées sur la journée de la femme.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31 »?

Pour moi se mettre sur son 31, contrairement à l’origine de l’expression, c’est être bien dans sa peau tous les jours. Ce n’est pas forcément porter des choses qui sont excessivement chères et luxueuses mais tout simplement faire le choix de vêtements et d’accessoires qui sont confortables tout simplement.

  • Le 8 mars alors c’est une journée qui vous agace ?

Alors pour moi le 8 mars c’est synonyme de travail déjà, contrairement à ce que beaucoup de personnes peuvent penser, vu la nature de mon métier, on est amené à donner la parole à pas mal de femmes et ce qui est un travail important de recherche pour trouver les bons profils à présenter aux auditeurs et auditrices de la Chaine Inter. Est-ce que la journée du 8 mars m’agace ou pas, je n’ai jamais réfléchi à la question, mais je me dis que c’est l’occasion de parler des acquis en matière des droits des femmes mais également de retenir et de réfléchir à tout ce qui pourrait être changé et amélioré afin d’acquérir un peu  de droits et de liberté.

  • Quelle part donne votre programme et votre média à cette journée et à la cause féminine en général?

Chez nous déjà dans notre équipe, nous sommes plus de femmes que d’hommes. À l’animation, nous avons uniquement 4 hommes qui animent et tout le reste sont des animatrices, ce qui est assez rare je l’avoue, mais cette question d’hommes privilégiés par rapport aux femmes, ne s’est jamais posée chez nous, on travaille tous avec nos horaires, que ce soit pour des émissions matinales ou nocturnes, il n’y a pas de différence entre hommes et femmes, mariés avec des enfants ou pas. C’est le travail, alors quand il faut y aller faut y aller, quelle que soit sa nature, que ce soit au niveau de l’antenne, du direct, du studio ou pour aller sur le terrain, on ne fait pas de différence entre hommes et femmes. Je trouve cela génial.

  • Et si vous citiez 31 adjectifs qualificatifs de la femme marocaine…

Courageuse, Généreuse, Spontanée, Résistante, Belle, Naturelle, les mots me manquent et pourtant les mots c’est mon travail… Émotive et Authentique.

« Les femmes sur leur 31 » est une action engagée bien féminine initiée par la rédaction de Hola! Maroc et celle de Visage du Maroc. D’une part le média des célébrités marocaines d’ici et d’ailleurs et d’autre part la plateforme qui met en avant les femmes marocaines entrepreneurs dans divers domaines prédominants de la société marocaine. Chaque deux mois, 31 femmes influentes de diverses univers se prennent au jeu de la photo et de la vidéo, vêtues d’un tee-shirt à l’effigie de la campagne « Les femmes sur leur 31 » et nous livrent leurs pensées sur le 8 mars.

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