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La Maison Cartier continue de captiver l’attention avec ses créations intemporelles et ses liens étroits avec des figures mondiales de la mode et du luxe. Parmi ses pièces emblématiques, la montre Baignoire se distingue par son design unique et son histoire fascinante. Récemment, c’est la Princesse Lalla Khadija qui a choisi de mettre en lumière ce modèle au poignet, ajoutant une touche de glamour à son look déjà parfait.

Un design iconique et intemporel

Créée en 1912, la Cartier Baignoire a traversé les décennies pour devenir l’un des modèles les plus prisés de la maison. Son design distinctif, qui allie lignes rondes et élégance intemporelle, a su séduire de nombreuses personnalités au fil des années. La forme ovale de son boîtier, introduite en 1958, a été une véritable révolution dans le monde de l’horlogerie. Ce modèle a finalement été baptisé Baignoire en 1973, en raison de la ressemblance de son boîtier avec une baignoire. Un nom qui illustre à la perfection la fluidité et l’élégance de cette pièce, conçue pour épouser la forme naturelle du poignet.

Créée en 1912 et baptisée en 1973, cette montre iconique, avec son boîtier ovale élégant, incarne l’innovation horlogère. Portée avec grâce par la Princesse Lalla Khadija, elle souligne une fois de plus son style raffiné et intemporel

La Princesse Lalla Khadija : un look impeccable avec la Cartier Baignoire pour accueillir le couple Macron sur le tarmac

Pour accueillir le couple présidentiel Français, la Princesse Lalla Khadija a choisi de porter la Cartier Baignoire, prouvant une fois de plus son sens du style impeccable. Habillée d’une veste de tailleur Dior évasée aux lignes élégantes et d’un sac Lady Dior Mini, elle a parfaitement associé cette montre à ses talons Jimmy Choo, créant un look à la fois moderne et raffiné. Ce choix de pièce n’est pas anodin : la Baignoire, avec son design à la fois sobre et luxueux, complète magnifiquement l’élégance de la Princesse, tout en soulignant son goût pour les objets iconiques et intemporels.

Pour cet événement officiel, la Princesse Lalla Khadija a révélé une élégance impeccable. Vêtue d’une veste Dior pied-de-poule noire et blanche, d’un pantalon noir ajusté et de talons Jimmy Choo ornés de perles, elle a ajouté des accessoires raffinés : des pendentifs perles, un collier en diamants et une montre Cartier Baignoire vintage. Le tout complété par un sac Mini Lady Dior en crocodile noir verni et une coiffure sophistiquée, pour un look chic et majestueux

Un modèle intemporel porté par les plus grandes icônes

La Cartier Baignoire a connu un succès mondial depuis sa création et a été choisie par de nombreuses personnalités. Catherine Deneuve, véritable muse de la marque, a été l’une des premières à adopter ce modèle dans les années 60, avec un boîtier en or jaune et un bracelet en cuir noir. Depuis, la montre a été portée par d’autres icônes de la mode, telles que Kendall Jenner, qui a été vue portant une version en or jaune, prouvant ainsi la modernité et la polyvalence de cette montre classique. La Princesse Lalla Khadija rejoint donc ce cercle très fermé des femmes de pouvoir et de style qui ont succombé au charme de la Baignoire.

Inspiré par la Panthère, ce modèle est devenu l’une des montres emblématiques de Cartier. Il faut savoir qu’à la Maison, joaillerie et horlogerie vont toujours de pair, ce qui explique que cette forme originale, qui se distingue des designs traditionnels, était tout à fait envisageable. Bien que le modèle soit apparu au début du siècle et que son design spécifique date de 1958, ce n’est qu’en 1973, quinze ans après sa création, que le modèle a été baptisé Baignoire, en référence à la forme ovale de sa boîte qui rappelle celle d’une baignoire

Cartier, une maison synonyme de raffinement

L’histoire de Cartier n’est pas seulement celle de la haute horlogerie, mais aussi celle d’une maison profondément ancrée dans l’univers du luxe et de la mode. Chaque pièce, chaque montre, chaque bijou, porte en elle l’héritage d’un savoir-faire unique, qui traverse les époques sans jamais perdre de sa pertinence. En portant la Cartier Baignoire, la Princesse Lalla Khadija, par son choix audacieux et son goût exquis, montre que la mode et l’élégance n’ont pas de frontières. Aujourd’hui, la Baignoire existe dans une multitude de variantes, allant des modèles en or rose aux versions entièrement serties de diamants. Que ce soit avec un bracelet en cuir ou en métal, chaque nouvelle version de la montre reste fidèle à son design original tout en se modernisant pour répondre aux goûts contemporains.

Le choix de la Cartier Baignoire par la Princesse Lalla Khadija n’est pas simplement un choix de mode, mais une déclaration de style. En portant cette montre d’exception, elle rejoint un groupe exclusif de femmes élégantes qui ont su marier avec brio tradition et modernité. La Baignoire reste une pièce incontournable pour toutes celles qui souhaitent ajouter une touche de luxe discret à leur quotidien, tout en conservant une élégance intemporelle, comme l’incarne si bien la Princesse Lalla Khadija.

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Le mardi 19 novembre, SAR la Princesse Lalla Meryem a présidé avec grâce et détermination la cérémonie de clôture des célébrations marquant le 25ᵉ anniversaire du Parlement de l’Enfant. Cet événement d’envergure, qui s’est tenu dans les locaux de l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P) à Rabat, a témoigné de son engagement indéfectible en faveur des droits des enfants et de leur rôle essentiel dans la société marocaine.


Une figure protectrice et engagée aux côtés des enfants

Depuis 25 ans, SAR la Princesse Lalla Meryem incarne une vision royale tournée vers la jeunesse, qu’elle accompagne avec une attention bienveillante et un soutien constant. En tant que présidente de l’Observatoire national des droits de l’enfant (ONDE), Son Altesse Royale a fait de la protection et de l’épanouissement des enfants marocains une priorité absolue.

Lors de la cérémonie, Son Altesse Royale, entourée de 395 jeunes membres du Parlement de l’Enfant, a réaffirmé son rôle central dans la promotion des valeurs de dialogue et de citoyenneté. Par sa seule présence, elle a magnifié l’importance de cet événement, ajoutant une dimension exceptionnelle à cette journée de célébration.


Des moments forts marqués par l’implication personnelle de la Princesse

Chaque étape de la cérémonie portait l’empreinte de SAR la Princesse Lalla Meryem, dont l’attention et l’intérêt sincère pour les enfants étaient palpables. Elle a suivi avec une grande émotion la projection d’une vidéo relatant les moments forts du « Young Innovators Bootcamp », une initiative destinée à promouvoir l’esprit d’innovation et l’engagement citoyen chez les jeunes.

Le sourire chaleureux de Son Altesse Royale lorsqu’elle a remis les prix aux lauréats témoignait de son attachement profond à ces jeunes leaders en devenir. Ces instants d’échange, empreints de proximité et d’humanité, ont marqué les participants et renforcé leur sentiment d’appartenance à une communauté soutenue par une figure royale inspirante.


Une vision royale pour l’avenir de la jeunesse

SAR la Princesse Lalla Meryem ne se contente pas de présider ces événements symboliques : elle en est l’âme. Sa présence est un rappel constant de l’importance que la famille royale accorde aux droits de l’enfant et à leur inclusion dans les décisions qui façonnent leur avenir.

En s’adressant aux jeunes parlementaires, Son Altesse Royale a salué leur engagement et les a encouragés à poursuivre leur quête d’excellence et d’innovation. Ces mots, portés par sa voix empreinte de sagesse et de douceur, ont résonné comme un appel à continuer d’œuvrer pour un Maroc meilleur, à la hauteur des aspirations de ses enfants.

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Le 19 novembre, le Maroc célèbre l’anniversaire de SAR la Princesse Lalla Hasnaa, une figure emblématique de l’engagement royal pour le développement durable, la préservation du patrimoine et la diplomatie culturelle. À travers ses nombreuses actions, Son Altesse Royale incarne une vision profondément humaniste et durable, marquée par un attachement indéfectible aux valeurs universelles.


Une année marquée par des engagements environnementaux majeurs

Présidente de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, SAR la Princesse Lalla Hasnaa ne cesse de militer pour des causes essentielles à la préservation de la planète. Lors du Sommet mondial de l’Action climatique à Dubaï, tenu dans le cadre de la COP28, elle a représenté Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Son intervention a été saluée pour sa portée visionnaire, insistant sur la nécessité d’une éducation écologique et d’une transition équitable vers un avenir durable.

Son Altesse Royale a également participé, dans le cadre de la COP28, à la première réunion annuelle de haut niveau de l’initiative « Partenariat pour une éducation verte », organisée par l’UNESCO. Ces initiatives reflètent son engagement à placer la jeunesse au cœur de la lutte contre le changement climatique.


Une diplomatie culturelle et écologique exemplaire

Tout au long de l’année, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a multiplié les actions en faveur de la promotion du patrimoine culturel marocain et de la coopération internationale. En février, elle a honoré une invitation de Madame Brigitte Macron à un déjeuner au Palais de l’Élysée, témoignant des liens étroits entre le Maroc et la France. Plus tard, en octobre, elle a accompagné la Première dame Française lors de l’inauguration du Théâtre Royal de Rabat et d’une visite au Jardin d’essais botaniques, symboles d’un dialogue culturel raffiné.

À l’international, Son Altesse Royale a marqué l’Année Culturelle Qatar-Maroc 2024 par des événements prestigieux, comme l’inauguration du pavillon marocain « Dar Al Maghrib » à Doha ou sa participation au dîner de gala de la « Fashion Trust Arabia ». Ces événements ont non seulement renforcé les liens diplomatiques entre les deux nations, mais aussi mis en lumière le riche patrimoine marocain.


La préservation du patrimoine, une mission de cœur

Le 21 mai 2024, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a présidé à Fès le Conseil d’Administration de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, puis inauguré le parc historique Lahboul à Meknès après une rénovation minutieuse. Trois jours plus tard, elle ouvrait la 27ème édition du Festival de Fès des Musiques sacrées du Monde, une célébration sous le thème de « La quête de l’Esprit Al-Andalus ».

Son Altesse Royale poursuit également ses efforts pour la sauvegarde du patrimoine de Rabat, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, notamment en présidant en octobre dernier le Conseil d’Administration de la Fondation pour la Sauvegarde du Patrimoine Culturel de Rabat.


Une année couronnée par des succès sportifs et artistiques

Sur le plan sportif, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a présidé en octobre à Rabat le Grand Prix de saut d’obstacles de Longines Global Champions Tour 2024, première édition de cette prestigieuse compétition équestre en Afrique. Cet événement a également été un témoignage de la vitalité culturelle et sportive du Maroc.

HOLÀ MAROC souhaite un Joyeux Anniversaire à Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa. Que Dieu protège son étoile si inspirante et bienveillante.

Prompt rétablissement et longue vie au Roi et à toute la Famille Royale Marocaine.

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Le Four Seasons Hotel Casablanca annonce un partenariat avec Fever pour lancer Candlelight, une série unique de concerts de musique classique éclairés à la bougie, pour la première fois au Maroc et en Afrique. Cet événement incarne l’engagement de l’hôtel pour l’enrichissement culturel et marque un tournant dans la scène artistique de Casablanca.

La série Candlelight, imaginée par Fever, offre des concerts intimes qui visent à démocratiser l’accès à la musique classique dans des lieux emblématiques, entièrement illuminés par des milliers de bougies. Chaque concert propose un répertoire varié, interprété par des musiciens locaux et internationaux, offrant aux spectateurs une expérience musicale immersive et inoubliable. Dans une atmosphère magique, les performances mêlent des compositions intemporelles à l’ambiance moderne et cosmopolite de Casablanca.

Ce partenariat contribue à positionner le Four Seasons Hotel Casablanca comme un acteur clé dans le développement culturel de la ville. En intégrant ces concerts dans sa programmation, l’hôtel enrichit son offre artistique et vise à faire de Casablanca une destination de choix pour les amateurs de culture et de musique. Dans les mois à venir, l’établissement prévoit également d’élargir ses initiatives culturelles en organisant des expositions d’art, des spectacles musicaux, et d’autres événements qui célèbrent le patrimoine marocain tout en intégrant des influences internationales.

Le premier concert Candlelight se tiendra le 14 novembre au restaurant Kyúb du Four Seasons Hotel Casablanca, offrant une soirée d’ouverture qui promet d’être mémorable. Cette initiative fait partie d’un programme culturel ambitieux qui contribuera à renforcer le rayonnement artistique de Casablanca en attirant un public local et international.

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Rabat, a accueilli, du lundi 28 au mardi 29 octobre 2024, Emmanuel et Brigitte Macron pour une visite officielle aux côtés de le SM Roi Mohammed VI et des membres illustres de la famille royale. Dans une ambiance qui mêlait respect des traditions, diplomatie et chaleureux échanges, le couple présidentiel français a traversé une série de moments marquants, gravés dans les mémoires. Leurs Altesses Royales Les princesses Lalla Khadija, Lalla Meryem, Lalla Asmaa et Lalla Hasnaa ont joué un rôle central, illuminant la scène par leur présence gracieuse et leur engagement.

  • Le lundi 28 octobre, en fin d’après-midi, l’avion présidentiel s’est posé sur le sol marocain, marquant le début d’un séjour sous le signe de la collaboration étroite et de l’échange culturel. Le Président Emmanuel Macron et la Première dame Brigitte Macron ont été accueillis avec tous les honneurs par une haie d’honneur de la Garde royale. Brigitte Macron portait un manteau rouge vif, un clin d’œil élégant aux couleurs et à l’énergie du Royaume chérifien. Les regards se sont tournés vers ce couple présidentiel, symbole de l’amitié historique entre les deux nations.Ce premier soir fut consacré à des échanges préliminaires informels, ouvrant la voie à une journée intense de cérémonies et de découvertes.
Le roi Mohammed VI du Maroc (à droite) et le président Emmanuel Macron de France saluent la foule alors qu’ils circulent sur une route dans la capitale Rabat le 28 octobre 2024. Macron est arrivé dans la capitale marocaine le 28 octobre pour une visite d’État de trois jours visant à réparer les relations avec le Royaume (Photo par Ludovic MARIN / POOL / AFP) (Photo par LUDOVIC MARIN/POOL/AFP via Getty Images)
  • Le lendemain, mardi 29 octobre, la journée a débuté par une visite au mausolée Mohammed V, lieu emblématique de la mémoire nationale marocaine. Sous un soleil radieux, Emmanuel et Brigitte Macron, accueillis par le colonel major Hassan Charif Skalli, ont déposé une gerbe de fleurs blanches sur les tombes des regrettés Souverains, Feu le Roi Mohammed V et Feu le Roi Hassan II. Une minute de silence émouvante a été observée, marquée par une gravité respectueuse. Brigitte Macron, vêtue d’une robe bleu nuit à col rond, ceinte d’une large ceinture crème, dégageait une élégance subtile et respectueuse de l’esprit du lieu. Le président Macron, lui, s’est plongé dans les détails architecturaux de ce monument, écoutant avec attention les explications sur son style majestueux, typique de l’art islamique marocain.
Le président français Emmanuel Macron et son épouse Brigitte Macron observent une minute de silence au mausolée Mohammed V à Rabat le 29 octobre 2024. (Photo par Ammar ABD RABBO / POOL / AFP) (Photo par AMMAR ABD RABBO/POOL/AFP via Getty Images)

Un programme également chargé pour la Première Dame Française, aux côtés de Leurs Altesses Royalles les Princesses Lalla Hasnaa et Lallaa Meryem

Toutefois, ce mardi ne fut pas seulement marqué par des cérémonies officielles, mais aussi par des moments partagés avec les figures féminines de la famille Royale, qui ont joué un rôle éblouissant et inspirant. Brigitte Macron a passé une grande partie de la journée aux côtés des princesses, dont la présence a illuminé chaque rencontre.

  • SAR La princesse Lalla Hasnaa, s’est particulièrement distinguée en accompagnant Brigitte Macron à l’inauguration du Théâtre royal de Rabat. Situé dans la vallée du Bouregreg, ce chef-d’œuvre architectural, conçu par la regrettée Zaha Hadid, s’inscrit dans la volonté du Roi Mohammed VI de faire de Rabat un épicentre culturel. SAR Lalla Hasnaa, profondément investie dans les questions environnementales et culturelles, a guidé la Première dame de France à travers ce théâtre d’une capacité de 1800 places, en soulignant l’importance de l’art dans le développement et l’unité d’un peuple.
  • SAR la princesse a dévoilé une plaque commémorative, marquant ce jour historique, avant d’offrir à Brigitte Macron une visite personnalisée des lieux. Les deux femmes ont échangé sur l’héritage artistique et sur les ambitions culturelles du Maroc, avec une complicité qui ne pouvait qu’impressionner les nombreux invités présents. SAR Lalla Hasnaa, connue pour sa douceur et sa passion pour l’environnement, a brillé par sa grâce et son éloquence.

Un engagement pour la jeunesse et l’environnement

  • L’après-midi même, SAR Lalla Hasnaa et la première dame Française Brigitte Macron ont changé de décor pour se retrouver au jardin d’essais botaniques de Rabat, un havre de biodiversité. En tant que présidente de la Fondation Mohammed VI pour la protection de l’environnement, SAR la princesse Lalla Hasnaa a mené une visite riche en découvertes, dévoilant les initiatives du royaume pour préserver ses ressources naturelles et éduquer les jeunes générations à l’importance de l’écologie. Ce moment a permis à Brigitte Macron de mieux comprendre les défis environnementaux auxquels le Maroc fait face, tout en admirant le dévouement de Lalla Hasnaa pour cette cause vitale.
  • Pendant ce temps, SAR la princesse Lalla Meryem, qui s’est consacrée depuis des années aux droits des enfants et à l’émancipation de la femme marocaine, a accompagné Brigitte Macron dans une visite cruciale à un collège. Là, les deux femmes ont lancé un programme de lutte contre le harcèlement scolaire, une problématique qui transcende les frontières. SAR Lalla Meryem, dont le sourire bienveillant et l’autorité naturelle ont impressionné les élèves, a partagé des moments de dialogue et d’écoute avec les jeunes, encourageant un climat de respect et d’espoir.

Pendant que le Président Macron poursuivait ses entretiens avec Sa Majesté le Roi Mohammed VI
Pendant que Brigitte Macron participait activement à ces rencontres, le Président Macron s’entretenait avec SM le Roi Mohammed VI au Palais royal. Leurs discussions ont abordé des sujets clés, notamment la coopération économique, la sécurité régionale et les projets conjoints en matière de développement durable. L’engagement du Roi pour une transition écologique harmonieuse a été salué par le chef d’État français, confirmant l’importance des relations bilatérales.Accompagné de personnalités influentes, comme Fatima Ezzahra El Mansouri, ministre de l’Aménagement du Territoire national, et Samira Sitail, ambassadrice du Roi à Paris, Emmanuel Macron a signé plusieurs accords marquant une nouvelle ère de partenariat.

Fastueux banquet d’Etat pour le couple Macron offert par Sa Majesté Le Roi Mohammed VI

Le 29 octobre au soir – C’est dans une ambiance empreinte de solennité et de convivialité que toute la famille royale s’est réunie autour de la table au palais royal de Rabat, réunissant ainsi SAR le prince héritier Moulay El Hassan, SARl e prince Moulay Rachid, et leurs altesses royales les princesses Lalla Meryem, Lalla Asmaa, Lalla Hasnaa, et la jeune princesse Lalla Khadija.

Cette dernière, âgée de 17 ans, a fait une apparition remarquable, marquant probablement sa première participation à un dîner officiel d’une telle envergure. Son Altesse Royale Lalla Khadija a déjà pris part à des événements de haut niveau, comme l’accueil du roi Felipe VI et de la reine Letizia d’Espagne en 2019, mais sa présence ce soir-là au sein de la famille royale témoigne de sa montée en responsabilité et de l’importance de cet événement.

La première dame de France, Brigitte Macron , et SAR la princesse Lalla Khadija du Maroc marchent lors d’un dîner d’État au palais royal de Rabat, le 29 octobre 2024, dans le cadre d’une visite d’État de trois jours du président français au Maroc. (Photo par Ludovic MARIN / AFP) (Photo par LUDOVIC MARIN/AFP via Getty Images)

La table était également agrémentée de personnalités éminentes, notamment des artistes et intellectuels franco-marocains. Parmi les invités figurent le célèbre humoriste Jamel Debbouze, l’acteur Gérard Darmon, la chanteuse et actrice Arielle Dombasle, ainsi que le réalisateur Nabil Ayouch. Leurs présences, aux côtés de figures politiques comme Hubert Védrine et Jack Lang, ainsi que de la lauréate du prix Goncourt Leila Slimani, ont ajouté une dimension festive et culturelle à ce dîner prestigieux.

De gauche à droite, l’écrivaine et journaliste franco-marocaine Leila Slimani, l’acteur franco-marocain Jamel Debbouze et Rachid Benzine arrivent pour un dîner d’État au palais royal de Rabat le 29 octobre 2024, dans le cadre d’une visite d’État de trois jours du président français Emmanuel Macron au Maroc. (Photo par Ludovic MARIN / AFP) (Photo par LUDOVIC MARIN/AFP via Getty Images)

SAR Le prince héritier Moulay El Hassan, en particulier, a joué un rôle essentiel, accompagné de son oncle, SAR le prince Moulay Rachid, et de ses tantes, tout en s’engageant activement dans cette soirée mémorable. Ce dîner a non seulement marqué une étape importante dans les relations entre le Maroc et la France, mais a aussi permis d’afficher une image unie et forte de la famille royale marocaine, sous l’œil bienveillant de Sa Majesté le Roi.

SAR Le prince héritier Moulay El Hassan du Maroc s’entretient avec le président français Emmanuel Macron lors d’un dîner d’État au palais royal de Rabat, le 29 octobre 2024, dans le cadre d’une visite d’État de trois jours du président français au Maroc. (Photo par Ludovic MARIN / AFP) (Photo par LUDOVIC MARIN/AFP via Getty Images)

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Elle était à Marrakech il y a quelques mois seulement, la voilà de retour encore une fois dans la ville des stars. Maria Sharapova savoure sa pause marocaine dans la ville ocre. La championne de la petite balle jaune a partagé des clichés inspirants sur ses réseaux sociaux.

« Une cape, une toile de fond époustouflante et une belle occasion » a écrit Maria Sharapova sur sa publication d’une photo prise à l’Amanjena lors de sa pause à Marrakech pour célébrer l’anniversaire de son amie proche le mannequin russe Kristina Romanova

En robe moulante gold metal et une petite pochette marocaine brodée au milieu du désert d’Agafay, telle une déesse galactique ou en ensemble noir et blanc néo-ethnique, épuré à l’extrême jusqu’au bout des babouches revisitées, posant devant l’imposant bassin de l’Amanjena, ou encore en chemise et pantalon nuances de gris tie & die dans un décor de palais andalous, Maria Sharapova est à Marrakech et elle le fait savoir à ses près de cinq millions de fans. L’ancienne tenniswoman a célébré les trente ans de son amie, le mannequin Kristina Romanova dans un restaurant marocain, entourée d’une bande d’amies.

IRINA SHAYK EN VACANCES DANS LA VILLE OCRE : UNE TATAR ENTRE CIEL ET TERRE DE MARRAKECH !

DAVID ALABA ET SHALIMAR HEPPNER CHOISISSENT MARRAKECH POUR LEURS VACANCES EN AMOUREUX 

"Une cape, une toile de fond époustouflante et une belle occasion" a écrit Maria Sharapova sur sa publication de photos prises dans le désert d'Agafay, lors de sa pause à Marrakech pour célébrer l'anniversaire de son amie proche le mannequin russe Kristina Romanova
"Une cape, une toile de fond époustouflante et une belle occasion" a écrit Maria Sharapova sur sa publication de photos prises dans le désert d'Agafay, lors de sa pause à Marrakech pour célébrer l'anniversaire de son amie proche le mannequin russe Kristina Romanova

« Une cape, une toile de fond époustouflante et une belle occasion » a écrit la sportive russe sur l’une de ses publications prise à l’Amanjena, pour immortaliser la fête d’anniversaire de son amie proche et top model russe. Mode, glamour et influence Marrakech confirme son statut de ville de choix des plus grandes célébrités du monde.

Le mannequin russe Kristina Romanova fête son anniversaire à Marrakech avec l'ancienne tenniswoman russe Maria Sharapova
Le mannequin russe Kristina Romanova fête son anniversaire à Marrakech avec l'ancienne tenniswoman russe Maria Sharapova
Le mannequin russe Kristina Romanova fête son anniversaire à Marrakech avec l'ancienne tenniswoman russe Maria Sharapova
Le mannequin russe Kristina Romanova fête son anniversaire à Marrakech avec l'ancienne tenniswoman russe Maria Sharapova
Le mannequin russe Kristina Romanova fête son anniversaire à Marrakech avec l'ancienne tenniswoman russe Maria Sharapova
Le mannequin russe Kristina Romanova fête son anniversaire à Marrakech avec l'ancienne tenniswoman russe Maria Sharapova
Le mannequin russe Kristina Romanova fête son anniversaire à Marrakech avec l'ancienne tenniswoman russe Maria Sharapova

 

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Les Jeux Olympiques, cet événement mondial prestigieux qui célèbre la compétition sportive et l’unité internationale, ont toujours été une tribune pour les athlètes marocains, déterminés à éblouir le monde de leur talent. À travers l’histoire, le Maroc s’est imposé comme le fier ambassadeur de l’excellence sportive africaine, gravant son nom dans les annales olympiques grâce à ses athlètes d’exception.

Alors que Paris s’apprête à accueillir les Jeux Olympiques de 2024, la nation marocaine se prépare pour une nouvelle aventure exaltante avec une délégation d’athlètes brillants, prêts à hisser très haut le drapeau national.

Depuis sa première participation aux Jeux Olympiques en 1960 à Rome, où Abdeslam Radi devint le premier médaillé olympique marocain en remportant une médaille d’argent au marathon, le Maroc n’a cessé d’éblouir grâce à ses athlètes incroyables. Parmi les noms qui résonnent encore dans les mémoires figurent Said Aouita, Nawal El Moutawakel et Hicham El Guerrouj, qui ont laissé une empreinte indélébile dans l’histoire olympique.

Parmi les légendes du sport marocain, Said Aouita se distingue particulièrement. Cet athlète hors norme a marqué les Jeux Olympiques de Los Angeles en 1984 de son empreinte inoubliable. Spécialiste des courses de demi-fond, Aouita a remporté la médaille d’or sur 800 mètres, faisant résonner l’hymne national marocain dans le stade mythique. Mais son triomphe ne s’est pas arrêté là. Aouita a également décroché la médaille d’argent sur 1500 mètres, confirmant ainsi sa position de leader incontesté dans le monde de l’athlétisme. Sa vitesse, son endurance et sa détermination ont inspiré des générations d’athlètes marocains, et son héritage continue de briller comme une étoile dans le firmament olympique.

Nawal El Moutawakel a écrit son nom en lettres d’or en devenant la première femme arabe et africaine à remporter une médaille d’or en athlétisme. C’était en 1984 à Los Angeles, où elle a triomphé sur les haies du 400 mètres. Son exploit a été une source d’inspiration pour de nombreuses générations d’athlètes féminines au Maroc et dans le monde, transformant la perception et les aspirations des femmes dans le sport.

Hicham El Guerrouj, surnommé le « Roi du Mile », a émerveillé le monde avec ses performances inégalées dans les courses de demi-fond. Aux Jeux Olympiques de Sydney en 2000, El Guerrouj a conquis l’or tant convoité dans les épreuves du 1500 mètres, réalisant un double record du monde mémorable. Sa détermination et son talent en font un symbole éclatant du sport marocain et un modèle pour les jeunes coureurs.

La rédaction/Hola Maroc

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Alors que les températures estivales grimpent, trois destinations marocaines se distinguent par leur fraîcheur et leur charme unique. Que vous soyez en quête de découvertes culturelles, de randonnées montagneuses ou de panoramas maritimes, Essaouira, le Haut-Atlas et Tanger vous promettent des séjours mémorables. Partez à l’aventure et laissez-vous séduire par ces joyaux du Maroc.

Essaouira : immersion au cœur des traditions marocaines

À seulement 2h30 de Marrakech, Essaouira vous invite à une escapade authentique entre mer et traditions. Cette ville portuaire, surnommée la « Saint-Malo marocaine », est un véritable havre de paix bordé par l’océan Atlantique. Derrière ses remparts du XVIIIe siècle, vous découvrirez une médina pittoresque, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, où chaque ruelle raconte une histoire.

Activités à Essaouira

1. Farniente et sports nautiques : La grande plage d’Essaouira est parfaite pour le farniente, mais aussi pour les amateurs de sports nautiques. Le vent constant en fait un spot idéal pour la planche à voile et le kitesurf. Des écoles locales proposent des cours pour débutants et avancés.

2. Balades en dromadaire et à cheval : Partez à la découverte des dunes environnantes et de la forêt de thuyas à dos de dromadaire ou de cheval. Ces balades offrent une perspective unique sur le paysage côtier et sont idéales pour une aventure en famille.

3. Découverte de la médina : Flânez dans la médina et découvrez ses nombreux ateliers d’artisans. Les ébénistes, tisserands et bijoutiers ouvrent leurs portes aux visiteurs curieux. Ne manquez pas le souk du dimanche, où l’ambiance est particulièrement animée.

4. Le port de pêche : Visitez le port de pêche animé pour observer les pêcheurs au travail et déguster des fruits de mer frais. Les barques bleues alignées offrent une vue pittoresque parfaite pour les photographes.

5. Coucher du soleil sur la place Moulay Hassan : En fin de journée, rendez-vous sur la place Moulay Hassan pour admirer le coucher du soleil tout en dégustant un thé à la menthe. Les nombreux cafés et restaurants en bordure de la place offrent des terrasses idéales pour se détendre.

Le haut-Atlas : paradis des randonneurs

Pour les amateurs de montagne et de nature, le Haut-Atlas est une destination de choix. À seulement 1h30 de Marrakech, ce massif majestueux s’étend sur plus de 700 km, offrant une diversité de paysages époustouflants : sommets enneigés, gorges profondes et vallées verdoyantes.

 

 

 

Activités dans le Haut-Atlas

1. Randonnées et trekking : L’ascension du mont Toubkal est un incontournable pour les randonneurs chevronnés. Pour ceux qui préfèrent des itinéraires moins exigeants, de nombreuses randonnées en étoile sont possibles depuis les villages berbères. La vallée des Aït Bougmez est particulièrement recommandée pour ses paysages bucoliques et ses rencontres avec les paysans locaux.

2. Visite des villages Berbères : Explorez les villages berbères traditionnels, comme Imlil et Aremd. Partagez un thé à la menthe avec les habitants et découvrez leur mode de vie ancestral. Les habitants sont réputés pour leur hospitalité et leur volonté de partager leur culture.

3. Escalade et alpinisme : Pour les amateurs de sensations fortes, le Haut-Atlas offre de nombreuses opportunités d’escalade. Les falaises autour de la vallée d’Ourika sont particulièrement populaires.

4. Bivouac et camping : Passer une nuit sous les étoiles dans le Haut-Atlas est une expérience inoubliable. Plusieurs agences locales proposent des bivouacs organisés avec tout le matériel nécessaire.

5. Découverte de la faune et de la flore : Le Haut-Atlas est riche en biodiversité. Les randonnées offrent l’opportunité d’observer de nombreuses espèces de plantes endémiques et, avec un peu de chance, des animaux sauvages comme le mouflon à manchettes.

Tanger : évasion cosmopolite entre mer et montagnes

Située à l’extrémité nord du Maroc, face au détroit de Gibraltar, Tanger est une ville à la croisée des influences culturelles et historiques. À seulement 14 kilomètres des côtes espagnoles, cette cité cosmopolite est un carrefour entre l’Orient et l’Occident.

 

Activités à Tanger

1. Exploration de la Médina : La médina de Tanger est un dédale fascinant de ruelles étroites, de souks colorés et de maisons blanchies à la chaux. Visitez le Grand Socco, le Petit Socco et la Kasbah pour une immersion totale dans l’histoire de la ville.

2. Promenade sur la Corniche : La corniche de Tanger offre une promenade agréable avec une vue imprenable sur la baie. Les cafés et restaurants le long du front de mer sont parfaits pour une pause gourmande.

3. Plages et activités nautiques : Les plages de Tanger, telles que Plage Malabata et Plage Sidi Kacem, sont idéales pour la baignade et les sports nautiques. Essayez le jet ski, le paddle ou tout simplement détendez-vous au soleil.

4. Visites culturelles : Tanger regorge de sites historiques et culturels. Ne manquez pas le Musée de la Kasbah, le Musée d’Art Contemporain et la légendaire Grotte d’Hercule, où la mythologie et l’histoire se rencontrent.

5. Excursions aux environs : Faites une excursion d’une journée à Chefchaouen, la ville bleue, ou explorez le Cap Spartel pour ses vues panoramiques sur l’Atlantique et la Méditerranée. Le Parc Perdicaris est aussi un endroit idéal pour une balade en nature.

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Connue du grand public pour ses titres emblématiques, tels que « On aura le ciel, » qui a représenté la France à l’Eurovision 2000, et la poignante « Ne pars pas, » Sofia Mestari a récemment marqué les esprits avec son dernier projet, « FATMA, » une collaboration solidaire avec Sanaa Kadmiri en soutien à l’association El Baraka Angels, une organisation qui œuvre avec dévouement pour améliorer les conditions de vie des enfants et des populations dans les régions enclavées du Maroc.  Et une fois de plus,  Sofia Mestari continue de s’investir pleinement dans des initiatives philanthropiques puis que dimanche, elle a conclu avec succès la deuxième édition du festival Hassani Music&CO, un événement engagé visant à soutenir l’association « Les Bonnes Œuvres du Cœur. » 

 

 

Plongez dans l’univers captivant de Sofia Mestari, la chanteuse marocaine dont la voix résonne au-delà des frontières. Pour Holà Maroc,  elle se dévoile davantage dans une entrevue exclusive où elle partagera ses inspirations, ses projets philanthropiques, et l’histoire derrière ses chansons emblématiques.

 

Comment vous décririez-vous en tant qu’artiste ? Quels sont les éléments clés qui définissent votre style musical et votre approche de la création artistique ?

La Musique est presque toute ma vie, elle rythme et accompagne les moments forts de mon existence et aide des fois à apaiser les plus pénibles. J’aime la scène par dessus tout, cet instant de vérité où seule compte la communion avec le public. À mes débuts, je chantais des chansons en anglais, puis lorsque j’ai signé avec la maison de disques Universal Music, nous nous sommes orienté vers la variété française que j’aime tout autant.

La musique a le pouvoir de toucher les émotions les plus profondes. Pouvez-vous nous parler d’un moment où votre musique a eu un impact significatif sur quelqu’un, ou sur vous-même ?

Ne dit-on pas que la musique est la langue des émotions… elle a en effet une sorte de pouvoir guérisseur, elle soulage les cœurs, eveille les sentiments. Elle est pour moi un exutoire, une passerelle ou le lien avec l’autre, celui à qui je souhaite faire parvenir mon message…

 

En plus d’être une artiste talentueuse, vous êtes aussi une femme forte et inspirante. Comment équilibrez-vous les exigences de votre carrière avec votre vie personnelle ? Quels sont les enseignements que vous souhaitez transmettre aux femmes qui vous admirent ?

Je vous remercie infiniment mais je n’ai pas la prétention de vouloir donner d’enseignements, j’aime le partage simplement, écouter et apprendre de l’autre, de son expérience, espérer bénéficier de conseils avisés et essayer d’avancer le plus sereinement possible…L’essentiel étant de s’entourer de bienveillance, de rester loin du conflit, d’agir dans un sens constructif et lumineux, de s’accrocher coûte que coûte aux objectifs que l’on souhaite atteindre, et de continuer de créer, de croire en l’espoir, en ses rêves, à nos enfants qui sont le monde de demain, en l’humain…

Pouvez-vous nous raconter vos premiers souvenirs liés à la musique ? À quel moment avez-vous su que la musique serait votre chemin ?

Petite déjà j’étais bouleversée à l’écoute d’artistes tels que Charles Aznavour, Brel, Withney Houston, ou encore Tracy Chapman qui a été une révélation, pour moi une artiste au talent immense et à l’humilité désarmante. Plus tard, à l’âge de 15 ans, j’ai intégré un groupe de musiciens à Paris avec lequel je reprenais des chansons de Sting, Sade, Stevie Wonder, Prince ou encore Massive Attack. Ensemble, nous avons donné mon premier concert  au Divan du Monde, ce soir là je rencontrais mes premiers producteurs. Nous avons par la suite commencé à travailler sur mon premier album.

Vous avez été choisie pour représenter la France à l’Eurovision en 2000. Comment cette opportunité s’est-elle présentée ? Quels souvenirs gardez-vous de cette expérience unique ?


L’Eurovision auquel j’ai participé était une proposition d’amis producteurs, c’était un concours réunissant 14 canditants que j’ai eu le bonheur de remporter à l’Olympia où j’ai été choisi pour représenter la France. Une immense fierté pour moi en tant que Marocaine et aujourd’hui un souvenir exceptionnel et mémorable.

« On aura le ciel » a été un titre emblématique de cette période. Pouvez-vous partager l’histoire ou l’émotion qui se cache derrière cette chanson ?

« On aura le Ciel » est le titre chanté à L’Eurovision, et c’est aussi le nom de mon premier album. Je parle d’amour dans cette chanson qui symbolise mes débuts en musique et les prémices de ce lien indéfectible qui me lie au public.

En tant qu’artiste, comment trouvez-vous l’inspiration pour vos chansons et quels sont les thèmes qui vous tiennent à cœur ?

L’inspiration est le quotidien, les rencontres, les événements heureux ou malheureux que nous pouvons traverser, l’actualité, les petits bonheurs et les désillusions, la nature à qui nous devons tant, et la conscience que plus que jamais les messages que l’artiste défend doivent être animés de sens et de bienveillance.  Aussi, dans mes chansons, j’aime rendre hommage à l’enfance, à la Femme, la main tendue, à l’espoir, à l’amour en somme…

Pouvez-vous nous donner un aperçu de vos projets musicaux futurs ? Quels sont vos rêves et aspirations pour la suite de votre carrière ?

Je suis heureuse de vous présenter mon nouveau single « Si je ne t’avais pas » qui vient de sortir sur toutes les plates-formes, composé et écrit par Sandro Abaldonato et Charlie Boisseau. Le clip est pour très bientôt. La chanson « Fatma » composée par Mustafa Jarouih et arrangée par Dj VAN est un duo avec l’artiste Sanaa Kadmiri. Elle évoque la situation difficile des petites filles, des enfants et populations vivants en montagnes, dans les régions enclavées du Maroc, surtout en période hivernale et à fortiori après le séisme. Cette chanson est en soutien à l’association « El Baraka Angels » créée et remarquablement dirigée par Madame Selwa Zine qui œuvre sans relâche dans ces zones sinistrées. Le clip de « Fatma »  que je vous invite à découvrir sur YouTube à été tourné en montagnes par l’immense Amir Rouani. C’est un projet artistique et solidaire de coeur, tout comme le rêve que j’ai de voir grandir le Festival Hassani Music&co que j’ai créé avec ma partenaire Madame Asmaa Essallami, en soutien à l’association « Les Bonnes Oeuvres du Cœur » dont la Présidente d’Honneur est Son Altesse Royale La Princesse Lalla Meryem et son fondateur le Professeur Said Ejjennane. Le Festival Hassani Music&co célèbre la diversité culturelle et incarne la volonté de faire découvrir la musique hassani au public national et international en s’invitant chaque année dans une ville différente de notre Royaume. La culture hassani ancestrale et si riche fait partie intégrante de notre identité Marocaine multidimensionnelle. Le Festival Hassani Music&co aura lieu à Dakhla du 17 au 19 novembre, et nous remercions tous nos partenaires institutionnels à commencer par le Ministère de la Jeunesse, de la Culture et de la Communication, la Wilaya de la région de Dakhla Oued-Eddahab,  le Conseil de la Région, le Conseil Communal de Dakhla Oued-Eddahab, ainsi que toutes les entités qui accompagnent cet événement fédérateur.

En dehors de la musique, quels sont vos passe-temps et vos activités préférés ? Comment trouvez-vous l’inspiration dans vos moments de détente ?

La lecture, les voyages, le théâtre, le cinéma, marcher au bord de l’océan et être auprès de ma famille, de celles et ceux qui font partie de ma vie.

Vous avez un riche héritage marocain et français. Comment ces deux cultures ont-elles influencé votre musique et votre identité artistique ? en tant que femme ?

Je suis née à Casablanca, j’ai grandi à Marrakech jusqu’à l’âge de 9 ans puis Paris où j’ai poursuivi ma scolarité. Plus tard, ce besoin de musique s’est matérialisé grâce à ceux qui ont accompagné mon développement artistique en France, puis j’ai vécu quelques temps aux États-Unis et en Côte d’Ivoire. Mais quelque soit la distance, le pays où je me trouve, le Maroc est ma fierté, mon moteur, il fait et fera toujours battre mon cœur

Pouvez-vous nous donner un aperçu de votre quotidien ? Une journée type?

Mes journées se suivent mais ne se ressemblent pas, néanmoins en ce moment et avec l’arrivée tout bientôt du Festival Hassani Music&co, réveil matinal, un thé réconfortant, beaucoup d’appels et de mails échangés, l’écriture des fils conducteurs du Festival, déjeuner sur le fil, puis Studio où j’enregistre actuellement les voix de mon prochain album. Vient l’heure de la marche avec mon fidèle compagnon, un petit cocker qui s’appelle Snow. Diner et dodo tôt pour repartir de plus belle le lendemain.

En parlant de projets actuels, pourriez-vous nous en dire plus sur ce sur quoi vous travaillez en ce moment ? Y a-t-il de nouveaux albums, des collaborations ou des projets spéciaux que vos fans peuvent attendre ?

En effet de jolis projets à venir, outre ceux cités précédemment, un autre duo avec un grand artiste Marocain qui est déjà enregistré à venir prochainement, et mon single « Si je ne t’avais pas » qu’il me tarde d’interpréter sur scène. Certainement un concert très bientôt au Maroc…

Au fil des ans, vous avez évolué en tant qu’artiste. Comment décririez-vous cette évolution, tant sur le plan musical que personnel ?

J’ai beaucoup chanté de la variété française, et il est vrai qu’aujourd’hui dans mes chansons à venir surtout après la rencontre avec le si talentueux Dj VAN qui a ce don incroyable de fusionner des rythmes actuels avec des sons d’instruments traditionnels du Maroc, des sonorités Africaines, j’aimerais que les arrangements musicaux  soient représentatifs de cette double culture, de ces deux influences qui me nourrissent et  font l’être que je suis. Aussi je pense déjà à une chanson qui sera elle en soutien à l’association « Enfants du Désert » fondée par Madame Laetitia Chevallier très active dans la région d’Errachidia, et dont j’ai l’honneur d’être ambassadrice Maroc. Enfin, je vous remercie de tout coeur, vous qui m’avez tant manqué, et je vous donne rendez-vous très bientôt en Musique…

 

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La Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC) organise la 9ème édition du Morocco International Meeting des courses de chevaux (MIM) les 18 et 19 novembre prochains à l’hippodrome Casablanca-Anfa

 

La Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC) s’apprête à accueillir la communauté hippique internationale lors de la 9ème édition du Morocco International Meeting, rendez-vous de haut niveau qui se tient le troisième weekend du mois de novembre de chaque année. Cet évènement s’inscrit dans le cadre des ambitions stratégiques de la SOREC visant à faire rayonner la filière des courses marocaines.

La SOREC organise la 9ème édition du Morocco International Meeting les 18 et 19 novembre 2023 à l’hippodrome de Casablanca. Cet événement majeur du calendrier des courses de chevaux marocaines rassemblera des chevaux et jockeys marocains et étrangers. Poursuivant l’ambition de renforcer le rôle du MIM dans le rayonnement de la filière des courses marocaines à l’international, la SOREC a mobilisé les meilleures ressources pour organiser un Meeting conforme aux standards internationaux en termes d’organisation, de qualité des infrastructures et de technicité des professionnels.

« Le rayonnement des courses marocaines à l’international est un enjeu majeur pour la SOREC. Nous sommes particulièrement heureux de pouvoir, à nouveau, accueillir la communauté hippique internationale dont la confiance envers la filière des courses du Royaume et l’intérêt pour le Morocco International Meeting ont fortement contribué à positionner ce rendez-vous parmi les étapes les importantes sur l’échiquier des courses internationales. » Déclare M Omar SKALLI, Directeur Général de la SOREC.

Une programmation internationale de haut niveau

Avec 14 courses au programme, dont 8 internationales, le week-end du Morocco International Meeting réunira des participants d’exceptionà l’instar des éditions précédentes et sera diffusée dans seize pays, dont les États-Unis, les Pays-Bas, l’Allemagne, l’Afrique du Sud, le Royaume-Uni, l’Irlande, la Belgique, le Danemark, l’Australie, la Nouvelle-Zélande, Chypre, la Turquie, la Suède, la Côte d’Ivoire, l’Italie et la France.

La première journée internationale sera dédiée au Pur-sang Anglais, et la seconde sera consacrée au Pur-sang Arabe.

Les épreuves phares de ce week-end sont les Grands Prix de Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Pur-sang Arabe et du Pur-sang Anglais.  La journée du Pur-sang Arabe proposera 3 autres prix prestigieux :

  • Grand Prix SAR Le Prince Héritier Moulay El Hassan
  • Grand Prix SAR Le Prince Moulay Rachid
  • Prix The President of The UAE Cup

Enfin, la journée du Pur-sang Anglais accueillera le Grand Prix de la SOREC, qui fait partie de la prestigieuse série internationale du Défi du Galop.

À propos de la SOREC

La Société Royale d’Encouragement du Cheval (SOREC) est une entreprise publique créée en 2003 sous la tutelle du Ministère de l’Agriculture, de la Pêche Maritime, du Développement Rural et des Eaux et Forêts. Forte d’un business model unique au monde, la SOREC poursuit les missions suivantes : L’organisation des courses de chevaux dans les hippodromes, la gestion des jeux hippiques, l’encadrement de l’élevage & l’amélioration des races de chevaux dans les haras nationaux ainsi que la réalisation et l’exploitation des infrastructures hippiques. Poursuivant l’ambition de positionner la Filière équine en tant que Moteur de Développement en Milieu Rural, la SOREC oriente son action sur la valorisation des races et sur les monétisations des utilisations du cheval afin d’accompagner l’émergence d’écosystèmes économiquement viables et financièrement indépendants.

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