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Le célébrissime club des marques de luxe se constitue au Maroc et orchestre sa première messe. Après Moscou, Beirut, Dubai et Doha, The Luxury Network Awards organise le 30 Septembre 2022 à l’hôtel Hilton Houara à Tanger, sa toute première cérémonie de remise des trophées au Maroc.

Cette cérémonie organisée par The Luxury Network pour la promotion du luxe, en présence de célébrités arabes et internationales, va honorer des personnalités publiques qui ont réussi dans différents secteurs du monde du luxe en présence de célébrités, d’ambassadeurs et corps diplomatiques accrédités au Royaume du Maroc et une large couverture médiatique nationale et internationale par de prestigieux magazines du monde entier.

Le journaliste et présentateur libanais Nichane connu et reconnu et la star de l’émission de télé-réalité anglaise Made in Chelsea Sophie Hermann, présenteront cette cérémonie en présence de stars internationales dont Loujain Omran d’Arabie Saoudite, Asmaa Lemnewer et Abdelkader Douzi du Maroc, Ramy Ayach du Liban, le créateur de bijoux l’Américain Samer Halimeh d’origine libanaise et le styliste britannique Julien Macdonal, l’influenceuse et actrice d’origine marocaine Hofit Golan ainsi que plusieurs autres célébrités du monde de l’art et de la culture.

Depuis sa création, The Luxury Network s’est associé à de prestigieuses marques de luxe en Europe, en Asie, en Afrique, en Australie, l’Océan indien et les deux Amériques. L’un des clubs les plus influents au monde est représenté à Londres, Beverly Hills, Moscou, Milan, Dubai, Doha et Riyadh ; et compte plusieurs marques, et des plus luxueuses dans le marché du Luxe comme les Jet privés, les yachts, la joaillerie, les montres, les voitures de luxe, la sécurité rapprochée, la gestion du patrimoine et les hôtels de loisirs.

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Monsieur le Président, Georges Claude Academy promeut une culture scolaire fondée sur l’esprit de communauté et l’acceptation de la diversité tout en préservant l’identité propre de chacun de ses apprenants, et Holà Maroc ne peut que saluer ce beau mouvement dont bénéficie la ville d’El Jadida… Pouvez-vous nous en dire plus sur ce nouveau concept éducatif qui fête son premier anniversaire ? 

Nos vingt cinq ans d’expérience et d’expertise nous inspirent et nous réconfortent dans nos convictions et donc dans notre stratégie de formation intellectuelle de qualité, ouverte à la curiosité, à l’esprit critique et à l’apprentissage de l’autonomie.

Favorisant ainsi le développement de personnalités indépendantes, créatives et intègres, nous tenons également à inculquer à nos enfants progressivement les valeurs civiques nécessaires à leur insertion sociale et professionnelle.

Nous avons également à coeur de donner du sens au travail quotidien de nos apprenants leur permettant ainsi d’établir aisément des liens entre leur formation, leur quotidien et leurs aspirations futures. A juste titre, une grande attention est accordée à l’information et à l’orientation au service de leur projet professionnel.

En poursuivant ces finalités via un curriculum riche et enrichi sur les plans culturels et artistiques,

Georges Claude Académie célèbre la clôture de sa première année . Une année pleine de joie et de beaux souvenirs. Plusieurs manifestations culturelles ont eu lieu tout au long de cette année 2022.

Quelle est la politique éducative de George Claude Academy ?

Nos ambitions, au coeur d’une école citoyenne baignant dans un environnement socioéconomique en perpétuelle mutation, sont en synergie afin de promouvoir la qualité du « Bien éducatif ». Elles croisent ainsi des attentes de haut niveau, celles de nos familles.

Pour réussir ce challenge et répondre de manière appropriée à ces expectatives, nous proposons deux offres éducatives: nationale et française. La première filière, se veut d’appoint. Elle met en œuvre, à cet effet, des programmes d’action et de formation significativement enrichis, en termes de contenus, de méthodes, de langues d’enseignement et de finalités. L’ambition de l école Georges Claude Académie se hisse à l’échelle internationale en adoptant substantiellement la certification du Cambridge. Les apports du référentiel international dans les pratiques pédagogiques et éducatives permettent ainsi d’assurer à nos apprenants une formation intégrale, ce que « le profil de l’enfant » décline en compétences intellectuelles, morales et sociales de haut niveau.

La seconde filière répond également à des attentes ambitieuses en proposant le programme de l’éducation nationale française, dont la mise en œuvre, le suivi et l’évaluation s’inscrivent dans un processus de conformité à un référentiel en quête permanente de qualité.Et ce grâce à une accréditation auprès de l aefe, l Agence pour l Enseignement Français à l Etranger.

Instruire, socialiser et qualifier, demeurent les points de mire des deux options éducatives proposées par le GSR. Se trouvent alors interpellées et savamment conjuguées, connaissances, valeurs et compétences.

 

Votre principale ambition ?

Nos missions s’articulent autour d’une formation académique de qualité et qui offre à nos apprenants les qualifications essentielles pour intégrer les meilleures écoles et universités dans le monde. Notre finalité étant de nous assurer que nos apprenants soient les mieux préparés à devenir des citoyens responsables et prêts à affronter le monde de demain .

Quelles sont les valeurs que vous défendez ?

Pour y arriver, nos valeurs peuvent se résumer en quelques mots : éthique professionnelle, engagement citoyen, respect de tous les membres de notre communauté scolaire et conformité des règles qui régissent tout notre établissement.

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« Aujourd’hui, je suis fiancée à mon prince charmant marocain et je pense que j’ai trouvé mon vrai bonheur. Merci l’univers, merci la vie « 

C’est sur leur compte instagram que le mannequin et Miss France Iris Mittenaere et l’entrepreneur franco-marocain Diego El Glaoui ont annoncé leurs fiançailles. Quatre beaux clichés pris dans un bateau au milieu du lac de Come en Italie, de quoi donner des envies d’amour, de mariage et de voyage en cette fin d’été.

 

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« C’est sur les bords du lac de Côme que nous nous sommes dit que ça serait pour la vie. », c’est la légende qui accompagne les clichés du jeune couple lors d’un de leurs nombreux voyages en trois années de relation. La belle nordiste de 29 ans, originaire du Pas-de-Calais et le marocain, 34 ans, petit-fils du pacha marocain El Glaoui, se sont rencontrés via l’agence française « We are influence » que le fiancé a créée et dirige.

« Je ne dors plus depuis quelques jours ahah, j’ai pleuré pendant 48 heures de suite. Je vous jure, je suis tellement heureuse de partager ça avec vous… vous m’avez vu passer par toutes les étapes de la vie… et aujourd’hui c’est un nouveau chapitre qui démarre et vous êtes toujours là », a écrit l’animatrice télé en légende de plusieurs stories ou on la voit pleurer à chaudes larmes d’émotion. « J’ai du mal à croire que je vais vraiment organiser ça… je sais même pas par quoi commencer. Je vais d’abord profiter un peu de mon fiancé et de ce moment magique et après je me plongerai là dedans ». Elle poursuit : « Il y a six ans, je n’aurais jamais pu imaginer tout ça. Que de choses sont arrivées depuis, comme dans un conte de fées… Mais j’ai toujours su que le bonheur était dans quelque chose de plus profond, dans le sourire de la personne que l’on aime au réveil, dans les fous rires partagés… Aujourd’hui, je suis fiancée à mon prince charmant marocain et je pense que j’ai trouvé mon vrai bonheur. Merci l’univers, merci la vie ».

 

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Cette belle bague qui orne l’annulaire de la fiancée et brille de mille feux tout autant que les yeux de son beau brun, annonce sans nul doute une naturelle succession d’événements heureux pour le couple et pour leurs communautés respectives. Gageons fort d’un mariage déjà prévu dans la ville ocre, la ville des contes de fée.

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Juillet/aout 2022. Troisième collectif des 31. La fondatrice de kawnculture.com prend part au mouvement « Les Femmes sur leur 31” et nous livre ses pensées.

Depuis le mois de mars on parle du chiffre 31 et non plus du 8, qu’en dites-vous?

La femme sur son 31 m’évoque beaucoup de choses. Je pense qu’il faut célébrer la femme toute l’année et justement c’est l’occasion de pouvoir nous célébrer nous en tant que femme et pas seulement le 8 mars mais toute l’année. Aujourd’hui nous occupons une place de plus en plus importante dans nos sociétés  et dans la société marocaine, peut-être pas assez et c’est l’occasion de nous imposer et de pouvoir mettre en place nos initiatives. Je pense que Etre sur son 31 relève  de collectif des 31 et nous donne la place que l’on mérite dans nos sociétés actuelles. 

Comment décririez-vous le mouvement des 31 à un membre qui rejoindrait votre team? 

Le mouvement des 31 c’est d’abord un mouvement qui nous donne des ailes, qui nous permet de nous affirmer, en tant que femmes c’est déjà un challenge sportif à la base mais qui s’étend à d’autres initiatives culturelles, sociales, économiques, c’et l’occasion de prouver qui nous sommes de pouvoir aller de l’avant mais ensemble à travers justement des actions communes je pense que le fait d’avoir un challenge associatif derrière est très interessant. On assiste à beaucoup d’initiatives dans ce sens mais je pense que le collectif des 31 bla pouvoir aller de l’avant et nous permettre d’accomplir des choses qui n’ont pas été mises en places auparavant et avoir ce coté innovant pour la femme marocaine, pour l’économie marocaine.

  • Que représente pour vous l’expression « Se mettre sur son 31.

On avait cette timidité de pouvoir nous mettre sur notre 31 à certaines occasions. je pense qu’aujourd’hui c’est important de parler de cette parité hommes/femmes.  de plus en plus de femmes sont à des postes de responsabilités, son t à l’initiative d’associations d’envergure, je ne vais pas parler que de Aicha Ech-chenna qui est pour moi une femme qui a beaucoup fait pour la femme célibataire au Maroc, pour les filles-mères et aujourd’hui on assiste à des initiatives de jeunes femmes qui prennent la relève et qui décident d’avancer dans ce sens et pas seulement dans le registre de l’associatif. Etre sur son 31 c’est aujourd’hui tous les jours, on se lève le matin et on a ces initiatives à mettre en place et on les met en place, il n’y a plus cette timidité, il n y a plus de barrières. Je pense que c’est l’occasion de pouvoir aller de l’avant, s’imposer et agir ensemble à l’instar par exemple du collectif 490 qui a permis aussi d’aller de l’avant avec Sonia Terrab et Leila Slimani toutes ces femmes qui ont contribué à faire évoluer les choses, suite à l’ faire de Hajar on est sur des initiatives qui font concrètement avancer et faire évoluer la loi marocaine. Alors il est important que le collectif des 31 puisse aujourd’hui  exister et prendre les devants. 

  • Des mots, des noms, des verbes, des adjectifs qui qualifient le mot travail selon vous? 

Force, persévérance, dynamisme, rigueur,  ambition, rêve, espoir …

« Les femmes sur leur 31 » est un mouvement qui prétend travailler l’entrepreneuriat féminin dans 3 secteurs qui portent le made in Maroc qui sont l’artisanat, l’agriculture, l’environnement, d’ou le positionnement du mouvement : un réseau féministe made in Maroc de journalistes et femmes des médias qui se forme par collectifs des 31 tous les mois à 31 jours. Que faut-il faire pour adhérer ? Porter un t-shirt à l’effigie du mouvement ; se mettre sur le podium de Hola! Maroc (photos et vidéo en s’exprimant sur la question principale qui relève de l’entrepreneuriat, l’autonomisation …) ; choisir et porter une association caritative qui oeuvre idéalement dans l’un des 3 secteurs sinon dans le social en général ; former une team d’hommes et de femmes idéalement des célébrités influentes (sinon famille, amis, enfants…du nombre de 11 au mieux sinon au moins 2 personnes) ; prendre part, suite à la formation du collectif, à l’action sur le terrain par un challenge sportif ludique ou la seule compétition est celle de faire gagner et médiatiser au mieux l’association que l’on porte. L’action sociale à proprement, dit de travailler l’entrepreneuriat féminin se fait à partir du comité de l’action sociale du mouvement qui lui est formé d’experts dans divers domaines dont le rôle est d’assurer une nouvelle chaine de valeurs de l’entrepreneuriat féminin. L’action sociale du mouvement des 31 est menée dans le cadre d’un Festival du Sport Solidaire, une sorte de fête du social au Maroc par le sport sous le label 24H/31

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Il n’est de richesse que d’homme…

L’Association Nationale des Gestionaires et Formateurs des Ressources Humaines (AGEF) a organisé en partenariat avec la Fondation Konard Adenauer Stiftung (KAS), le Jeudi 14 Juillet  à l’Hôtel Sofitel Tour Blanche de  Casablanca une conférence TED ayant pour thème « Quelles Ressources Humaines Pour Accompagner La Souveraineté Industrielle du Maroc ? »  avec notamment la présence de Monsieur  Ryad MEZZOUR, Ministre de l’Industrie Et Du Commerce.

Comme à leur coutume , l’ #AGEF et son partenaire officiel, la #FondationKonradAdenauerStiftung , n’ont pas manqué leur rendez-vous dans l’organisation prestigieuse du séminaire TED AGEF 2022 autour de la thématique “ Quelles Ressources Humaines Pour Accompagner La Souveraineté Industrielle Du Maroc” Cet événement a réuni divers acteurs de renoms , Chefs d’entreprise, Experts Internationaux , DRH , Managers Opérationnels, consultants, journalistes … qui ont débattu à cœur ouvert, la dynamique de transformation du paramètre Ressources Humaines dans notre pays qui se trouve au cœur de la compétitivité à l’échelle internationale en particulier dans le secteur industriel .

Femmes et hommes de notre cher pays, représentant la ressource pilier de tout développement, doivent être davantage valorisés, pour bénéficier in-fine de leur entière productivité au profit de la nation.

 

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Depuis 1957, l’histoire de Cadum a toujours accompagné les Marocains pour devenir aujourd’hui partie intégrante de leurs cultures et traditions.

Pour fêter ses 65 ans de belles choses au Maroc, Cadum a lancé une nouvelle plateforme baptisée «les belles choses qui durent et perdurent». L’initiative traduit l’engagement de la marque de shampoing et le lien qu’elle a pu développer avec ses consommateurs. Un lien fondé autour  de valeurs de proximité et d’innovation, une relation de nobles choses qui durent dans la vie comme la culture, les traditions, les bons souvenirs d’enfance. Des valeurs fortes et bien inscrit dans dans l’identité de la marque Cadum. Cette nouvelle plateforme fortement inspirée du nom de Cadum est présentée aux consommateurs sous forme de Manifesto réalisé par deux talentueuses artistes marocaines : Amira Azzouzi derrière la caméra et la douce voix de Nabyla Maan en musique.

65 ans d’existence au Maroc et de longues années de succès ne sont nullement le fruit du hasard. En effet, l’histoire de Cadum a toujours accompagné la grande Histoire, celle du Maroc. La marque est depuis longtemps le shampoing préféré des Marocains, grâce à une formule mythique aux œufs et aux ingrédients naturels, 100 % marocaine et ultra douce, comme le prix. 

 

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La chaine hôtelière de renommée mondiale poursuit  son plan de développement au Maroc et met en exécution une stratégie d’expansion ambitieuse.

Radisson Hôtel Group opère au niveau mondial avec neuf marques distinctes et plus de 1700 hôtels en exploitation ou en développement dans 120 pays. Au Maroc, Radisson Hôtel Group compte 6 hôtels en exploitation avec un total de 1375 chambres et 5 hôtels en développement. Cette ambition est le témoin du positionnement stratégique entrepris par la chaine.

À Taghazout, le Radisson Blu Taghazout Bay Surf Village est récemment lancés par le groupe. Niché dans un élégant environnement à quelques pas des meilleurs spots de Surf du Maroc, le complexe propose une offre  luxueuse d’hébergement complète avec 91 chambres et bungalows, des restaurants, bars, un spa et une Surf Académie. Le complexe Taghazout Bay Surf Village propose également des installations de sports nautiques, notamment un kayak et un stand-up paddle, des séances de surf pour tous les niveaux, de yoga et de planche à voile.

Avec ses plages spectaculaires et ses eaux cristallines, le Radisson Blu Resort Al Hoceima  est devenu une destination de vacances méditerranéenne incontournable. Cet hôtel de luxe est un complexe de haut niveau avec 432 chambres, un spa de 2.000 m² comprenant 6 salles de massage, 3 hammams, un sauna, une salle de sport et une piscine chauffée avec jacuzzi, une proximité de la plage et de la pinède maritime d’Al Hoceima, des installations de sports nautiques pour l’été ainsi qu’une offre de restauration internationale.

Une destination idéale pour les escapades en famille ou entre amis, le Radisson Blu Resort Saïdia Beach bénéficie de son côté d’un emplacement privilégié sur la plage, à proximité de la Marina et du parcours de golf Med-Saïdia. Avec un total de 397 chambres et suites spacieuses, le resort offre une vue imprenable sur la Méditerranée, un accès direct à la plage et un large éventail d’activités nautiques et de loisirs à proximité.

L’acteur hôtelier ne compte pas s’arrêter là, puisqu’il comptabilise déjà deux hôtels en construction à Casablanca, ville prioritaire dans sa feuille de route. Le Radisson Hôtel Casablanca Gauthier La Citadelle, concrétisera la promesse d’un cadre idéal pour les clients. Et pour les amoureux d’Art Déco, la réouverture du mythique hôtel Lincoln, fleuron de l’architecture Art Déco Néo mauresque de la métropole en ravira plus d’un. Sa façade classée patrimoine historique, le Radisson allie préservation du patrimoine et industrie hôtelière en marquant la signature du premier hôtel sous la bannière Radisson Collection au Maroc.

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Voilà une plateforme qui manquait sur la toile pour les amoureux du Maroc. Moroccanview mixe l’émotion de l’héritage culturel et historique du Royaume à la technologie de la réalité virtuelle pour une vue imprenable sur la beauté de notre pays.

 

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« Dans ce contexte touristique très affecté par la pandémie du Covid, il était évident pour nous de participer à la promotion de l’héritage culturel et artistique du Royaume, en exploitant pleinement le potentiel qu’offre aujourd’hui la technologie de la réalité virtuelle » écrivent les initiateurs de la plateforme qui disent « offrir la possibilité un tout à chacun de découvrir la splendeur architecturale et la richesse culturelle du Royaume en mode immersif en visites virtuelles à 360° ». Cette technologie permet de transporter le visiteur dans l’univers du musée ou du monument de façon immersive en découvrant du contenu informationnel important.

Visiter en un clic toute l’histoire et le patrimoine millénaires qui font du Maroc une destination touristique et culturelle de premier choix, découvrir et redécouvrir les 9 sites inscrits au Patrimoine International de l’UNESCO, (site archéologique de Volubilis, l’ancienne médina de Fès, ville historique de Meknès, Ksar d’Ait Ben Haddou, Médina d’Essaouira, l’ancienne Médina de Marrakech, la Médina de Tétouan, la Ville portugaise de Mazagan et Rabat), entre autres, merveilles immatérielles également reconnus par l’Organisation Internationale. Le visiteur a la possibilité de choisir dans un menu déroulant, la ville ou le type de monument ou musée qu’il souhaiterait voir en 360°. Pour chaque lieu réalisé en 360°, le visiteur a accès aux informations nécessaires pour la réussite de sa visite physique, à savoir, une brève présentation du lieu, les horaires d’ouverture, la géolocalisation et le tarif d’entrée pour les lieux payants.

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Ce n’est pas seulement pour son engagement pour les droits des femmes que Rachida Kaaout a choisi d’entamer sa campagne au Maghreb par la Tunisie, mais également parce que le pays abritait en ce mois de février le championnat du monde des arts culinaires. Et quand c’est le Maroc, son pays d’origine, qui rafle plusieurs médailles et le titre de champion, la femme d’affaires franco-marocaine ne cache ni sa passion pour la politique ni son amour pour les bons petits plats marocains. La conseillère municipale sous les couleurs de la République en marche dans la ville d’Ivry-sur-Seine et candidate aux élections législatives de la 9ème circonscription, a grandi derrière les fourneaux de son père qui tenait son propre restaurant italien à Paris. Malgré ses journées marathon à Casablanca, la porte-voix des français établis au Maghreb et en Afrique, sait jouer les bonnes ambassadrices du patrimoine culinaire marocain. En dégustant son tajine préféré, l’activiste sociale, entre autre pour la jeunesse, nous chuchote son plus grand plaisir en cuisine : marier sa France et son Maroc natal dans une seule assiette !

« Fille de restaurateur, je suis « tombée très tôt dans la marmite ». Mon père tenait un restaurant de gastronomie italienne à Paris. Ma mère d’origine marocaine nous concoctait également de très bons plats de notre région de l’Atlas »

  • Qu’est-ce qui vous a menée à assister au championnat du monde des arts culinaires en Tunisie ?

Passionnée de gastronomie, j’ai suivi avec attention le championnat du monde des arts culinaires à Hammamet. Cet événement international et compétitif faisait concourir 35 pays dont le Maroc. Amateurs et professionnels nous ont présenté ce qu’il y avait de meilleur. La cuisine marocaine a confirmé son excellence pour mon plus grand plaisir. Nous sommes ressortis avec 9 médailles d’or et 5 d’argent : une consécration pour ce savoir faire culinaire ancestral.

  • Quelle relation vous lie au monde de la gastronomie ?

Fille de restaurateur, je suis « tombée très tôt dans la marmite ». Mon père tenait un restaurant de gastronomie italienne à Paris. Enfant, je jouais dans les cuisines et je goûtais à toutes les préparations. Ce qui m’a permis de développer un goût prononcé pour les produits du terroir. Ma mère d’origine marocaine nous concoctait également de très bons plats de notre région de l’Atlas : des tajines aux pruneaux et amandes grillées, des pastillas aux fruits de mer, des couscous au méchoui d’agneau, tout un art culinaire hérité de sa mère qui préparait ces plats au sein de la cuisine familiale dans notre douar de Ouled Yaich (Béni Mellal). Riche de toute cette culture culinaire, je suis l’héritière de ce savoir-faire que je n’hésite pas à transmettre à mes enfants car pour moi l’éducation du palais est le fondement du savoir vivre. En effet, on apprend à apprécier les produits, l’alliance des parfums et la beauté d’un plat. Grâce à cet héritage j’ai appris à découvrir une histoire, une civilisation, un pays.

  • En tant que française d’origine marocaine, notre cuisine est forcément dans votre cœur, quel est le plat que vous affectionnez le plus ?

Le tajine d’agneau aux pruneaux frémissant et dégageant ce parfum de cannelle qui me rappelle mon enfance à Béni Mellal. Je suivais la préparation de ce plat que les femmes de la maison préparaient dans un récipient de terre cuite sur les charbons ardents. Ce met traditionnel qui cuisait pendant des heures et qui excitait mes papilles. La chair des pruneaux fondante comme du miel, ces amandes grillées … un régal !

  • Vous arrive-t-il de mettre la main à la pâte malgré votre agenda bien chargé ?

Une franco-marocaine ne peut que mettre la main à la pâte. J’aime recevoir et j’aime faire plaisir à mes enfants, à ma famille, à mes amis. Dès que je le peux, je m’affaire en cuisine pour préparer des plats que j’ai reçus en héritage de ma France et de mon Maroc natal. Ma passion est de marier ces deux arts culinaires pour le plus grand plaisir des amoureux des bonnes choses. Sans fioriture, ni protocole je prends du plaisir à faire une cuisine qui me ressemble. Cette alliance des deux pays qui font ce que je suis.

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L’artiste peintre Omar Bouragba dévoile jusqu’au 8 janvier 2022 à So Art Gallery Casablanca ses dernières oeuvres sous la thématique  « D’argile éthéréé. »

Entre figuration et abstraction, une peinture cosmique

Si la peinture d’Omar Bouragba entre en résonnance avec la poésie du poète Paul Eluard, au cours de ces années prolifiques, c’est bien parce-que l’univers du peintre comme celui du poète, leur inspiration d’une grande cohérence et d’une haute spiritualité, se présentent à nous comme une évidence. L’Humain est toujours là, il affleure, sous et à travers la matière, les couleurs et les volutes.

Omar Bouragba peint depuis un demi-siècle avec une constance tranquille, loin des conflits et des aspérités de la Vie. C’est le Souffle qui l’anime et ses récentes créations font figure d’allégories enchantées.Le Feu et l’Eau sont omniprésents, éléments transcendés par un ensemble de circonvolutions et une gamme chromatique qui n’appartiennent qu’à lui. Emergent alors des esquisses de visages, véritables poussières d’étoiles, or, blanc, bleuté, noir, qui éclosent en une délicate symphonie.

Omar Bouragba s’adresse directement à nos sens. Pour ce faire, il est parvenu à élaborer une grammaire, une syntaxe, un vocabulaire pictural qui lui sont propre. Il laisse alors son imaginaire et son savoir- Etre se déployer sur la toile, empreintes venues tout droit d’un Autre Monde. Ses peintures, harmonieuses et fluides, nous emportent vers des rives toutes de douceur et de tendresse, détachées des passions froides et souvent tristes de notre quotidien contemporain.

LE DESTIN D’UN PEINTRE ANCRÉ DANS L’HISTOIRE DE LA PEINTURE DU ROYAUME

Omar Bouragba est né en 1945 à Marrakech. Membre de l’association nationale des beaux arts 1965, membre fondateur de l’association des plasticiens marocains APM en 1975,  Vice président de l’association marocaine des arts plastiques AMAP en 2003, Omar Bouragba est également  membre fondateur de l’association Ambre Maroc en 2007.

Son séjour à Rabat lui permet de connaître le milieu artistique des années 60. C’est ainsi qu’il se lie d’amitié avec Mekki Morcia, qui lui organise sa première exposition à La Mamounia de Rabat en 1965. Son exposition « Extrême Limite ou La fusion dans l’Autre », à La Maison de la Pensée, en 1967, le révèle au monde r’bati de la culture et des arts.

En outre, sa rencontre avec Jilali Gharbaoui en 1965, et Ahmed Yacoubi en 1968 fut déterminante dans ses orientations de peintre. De même, Abderrahmane Serghini lui achète deux peintures qui seront les premières acquisitions de toute cette collection prestigieuse, et lui proposa un atelier avec tout le confort nécessaire pour peindre. Cette période est marquée par l’éclatement et la recherche du centre. Travaillant, dans la précipitation et l’urgence, Marrakech l’appelle en 1971 où il élut demeure dans la spiritualité d’Ibn Arabi.

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