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Maroc

Quoi de plus beau que de promouvoir une culture par son design, son art et sa musique. C’est la belle initiative de la ville de Stockholm de dédier les cinq derniers mercredis de cette année 2020 bien particulière, à mettre à l’honneur des pays et des cultures du monde entier. Le Maroc ouvre le bal sans surprises grâce à l’engagement de Imane Belmkadden à représenter brillamment une vitrine de charme et de modernité authentique, véritable pont entre les deux pays.

UNE PLACE BÉNIE POUR LES CULTURES DU MONDE

C’est dans un grandissime dôme en verre transparent, installé au coeur de la capitale suédoise qu’un tapis rouge a été déroulé au Maroc et à sa culture, ce mercredi 25 novembre, « Sous l’aimable sollicitation de la ville de Stockholm, J’ai le plaisir d’organiser une série de shows hebdomadaires sous le thème «Quand La musique rencontre la mode au-delà des frontières», dans le cadre d’un grand Festival organisé par la commune de Stockholm, sur le lieu mythique de Kungsträdgården qui se traduit littéralement par «le jardin du roi». Un haut lieu de rencontres très prisé de par sa situation en centre-ville et l’ambiance trépidante de ses nombreuses terrasses de cafés. Les plus grands concerts et diverses manifestations y sont organisés toute l’année », nous explique la brillante élue représentante officielle du Royaume de Suède et l’Afrique du nord au Conseil de mode Européen, une organisation internationale.

STOCKHOLM ÉCRIN DU MADE IN MAROC

Au coeur de ce dome transparent qui vient répondre ingénieusement aux restrictions sanitaires liées à l’épidémie du coronavirus et son incidence désastreuse sur la culture dans le monde, et cinq mercredis consécutifs durant, des défilés de mode haute couture de grands designers du monde entier, comme Elie Saab, Samantha Sung, Roberto Cavalli…. et bien d’autres… montent leurs podiums dans ce cadre singulier. Et quoi de plus fort que de mêler musique et mode pour compléter ce cocktail culturel de pays comme l’Australie, Italie, Liban, Angleterre, Egypte, Tunisie et…le Maroc. « Oui Cette semaine le Maroc était à l’honneur, à travers un show de la marque Taragalte Stockholm et un concert musical du groupe musical sirocco », déclare Imane, heureuse créatrice de cette marque émergente de mode suédo-marocaine. « Taragalte Stockholm rassemble les cultures suédoise, marocaine et berbère ». Le groupe suédois sirocco a livré un concert exceptionnel fusion de rythmes maroco-andalous, nord-africains et scandinaves dans un tempo harmonieusement réussi.

Imane Belmkaddem, créatrice de mode, organistrice de fashion,weeks et élue représentante officielle du Royaume de Suède et l’Afrique du nord au Conseil de mode Européen
groupe suédois sirocco en concert fusion de rythmes maroco-andalous, nord-africains et scandinaves
Défilé de Taragalte Stockholm aux couleurs des toiles du Maroc de l'artiste Fatima El Hajjaj, imprimées sur des étoffes soyeuses
Une mode marocaine dans l'ambiance virtuelle du Made in Maroc en toile de fond
Éclectique et hautement artistique, la collection de Taragalte hymne au Maroc des couleurs

INSPIRATION ARTISTIQUE ENTRE MÈRE ET FILLE

La marque fait déjà des vagues grâce à ses designs distinctifs, ses pièces sur mesure tissées à la main et ses couleurs flamboyantes. La collection agit comme une représentation visuelle du patrimoine marocain et de l’architecture de Stockholm, en particulier les maisons de ville colorées de l’emblématique Stortorget, une rue mythique de la vieille ville de Stockholm, qui a servi d’inspiration pour la ligne de mode. « La nouvelle collection est un hymne à la peinture, je collabore en effet avec la célèbre peintre marocaine Fatima El Hajjaji pour une collection haute couture. Des pièces uniques telles des oeuvres d’art où des paysages du Maroc et ses régions viennent s’imprimer sur les étoffes de soie pour donner une âme créative, luxueuse et glamour à des manteaux, jupes et robes ». La jeune entrepreneure marocaine qui s’est forgée au Canada avant de s’installer, voilà déjà sept ans en Suède, a mis tout son coeur dans cette dernière collection d’autant que l’artiste peintre n’est autre que sa maman. « Elle m’a toujours inspirée autant sur le plan personnel, qu’artistique, c’est à travers ma mère que j’ai aimé l’art et la mode et j’ai toujours rêvé de lui rendre hommage et immortaliser ses plus de 22 ans de carrière d’artiste. Créer une collection avec des imprimées de ses premiers tableaux et premières inspirations était quelque chose de magique, particulièrement en cette année exceptionnelle où nous n’avons pas pu nous réunir à cause de la pandémie », confie Imane Belmkadden, tout autant à l’aise dans les coulisses de son travail que sur le devant de la scène, en parfaite muse de sa marque de mode et porte-parole de ses événements qu’elle présente brillamment et naturellement, micro à la main. « Nous préparons deux collections bien spéciales pour le printemps, dont une nouvelle avec l’artiste Fatima El Hajjaji. Une autre capsule mode est dans nos ateliers, des pièces uniques totalement “Handmade” travaillés minutieusement par les honorables  femmes de la région de Taragalte, au sud du Maroc et en collaboration avec le festival Taragalte ».

Imane Belmkaddem et sa maman l’artiste peintre Fatima El Hajjaji

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« La seule chose que je regrette est que je n’ai pas pu apprendre le berbère  »

Elle vient du Maroc, d’une mère de Khouribga et d’un père de Khemisset. Derrière son joli minois, son teint lumineux et chatoyant, son sourire naturellement enjôleur et son regard déterminé, se cache une femme battante qui a su s’imposer dans les sphères médiatiques d’un grand pays comme l’Italie. Cette berbère affirmée, née en Lybie, sans s’être imprégnée de sa culture et des terres de ses parents, partie à l’âge de 9 ans au pays de la Botte, compte parmi les beaux visages de la télé italienne, notamment pour l’émission satirique Striscia la Notizie et les si belles voix de Radio Zeta L’Italiana, depuis plusieurs saisons. En pleine crise du coronavirus et de Bologne, sa région de résidence et celle où l’épidémie s’est déclarée après la Chine, la jeune marocaine se confie.

  • Comment vivez-vous ce confinement dans le pays européen le plus touché?

Ce moment de crise m’a permis de me tester, c’est un défi qui m’a permis de grandir en affrontant de nouvelles difficultés et de croire de plus en plus en l’avenir, en la solidarité et dans les valeurs de la vie.

  • Comment gérez-vous l’angoisse et le stress?

Par l’introspection et par des activités qui me divertissent, des activités liées à mes passions comme le sport, l’équitation, sortir avec des amis, la prière et surtout j’essaie toujours de cultiver le côté positif surtout pendant des moments difficiles comme ceux que nous avons connus cette année lors du lockdown.

  • Êtiez-vous en famille ?

Je vis seule, ma famille est éparpillée partout dans le monde et quand je peux, je vais leur rendre visite. Malheureusement je n’ai pas beaucoup de temps libre mais quand je suis avec eux j’essaie d’en profiter au maximum. Ma chère grand-mère et quelques oncles se retrouvent dispersés au Maroc entre Casablanca et Tanger, Rabat et Khemisset. Ma sœur Sakine s’est récemment mariée, elle m’a déjà donné un magnifique neveu et vit à Bologne dans le centre de l’Italie, mon père vit à Catanzaro dans le sud de l’Italie avec sa femme et mes deux petites sœurs, mes oncles sont à Pérouse et Mantoue, ma mère à Zurich avec son mari et mon petit frère Youssef, ma famille paternelle en France, Hollande et Canada, ma famille maternelle en Amérique, en Allemagne et en France, j’ai aussi des cousins ​​en Espagne les Bezzaz et Adib sont vraiment partout.

  • Qu’appréhendez-vous de cette crise sur notre vie future?

Je crains que le monde puisse s’isoler derrière les ordinateurs et les téléphones, en particulier le smart working et le télétravail qui nous ont permis d’avancer pendant la quarantaine mais qui pourraient nous faire perdre les interactions sociales qui font la beauté de l’humain.

  • Qu’allez-vous cesser de faire après cette expérience?

J’ai appris à donner plus d’importance à la liberté de mouvement que nous tenons tous pour acquise. C’est rare que je passe du temps à la maison. Mon travail me fait voyager et rencontrer beaucoup de monde et j’ai continué à le faire même pendant la crise. Je n’ai jamais arrêté. Et je crois que je n’arrêterai pas de le faire, la liberté d’action, de parole et de mouvement a toujours été l’un des piliers de ma vie.

  • Quel regard portez-vous sur la gestion de la crise au Maroc?

Je crois que le Maroc a très bien géré la crise, le peuple marocain est un peuple affectueux, les gens ont l’habitude d’être ensemble, alors imposer des règles aussi rigides et de les faire accepter a certainement été le résultat d’une politique bien étudiée et assurée par le pouvoir. En tant que Marocaine, je sais aussi à quel point nous sommes solidaires. Je suis sûre que personne n’a été abandonné, laissé de côté. Je suis d’ailleurs fière des mesures entreprises par SM le Roi Mohammed VI, sanitaires et sociales rapidement et avec efficacité.

  • Qu’avez vous à dire à vos fans marocains?

Que je les aime! même s’ils ne comprennent pas la langue! (rires) Beaucoup me suivent à la fois à la télévision et sur les réseaux sociaux en m’écrivant pour me demander des traductions de ce que je fais et ce sont des observateurs attentifs, et c’est certainement l’un de mes publics préférés, probablement le plus sincère. J’espère un jour avoir l’opportunité de travailler pour la télévision marocaine, je pourrai ainsi m’exprimer dans ma langue et me faire mieux connaître de tous.

  • Que gardez-vous de vos racines ?

Je n’ai jamais vécu avec ma famille au Maroc mais dans le futur j’aimerais me consacrer à l’étude de la langue et de la culture berbère car ce sont mes racines. Connaître mes origines profondément me manque vraiment.

  • Et avoir des enfants?

J’aimerais avoir une grande famille. Si je n’étais pas si occupée avec le travail et les engagements je pense que j’aurais déjà six enfants … Cependant il y a du temps, je suis encore jeune et Yallah ….« Quand il y a une destination, le désert devient aussi une route ».

  • Une chose inspirante que vous faites chez vous en confinement et après confinement?

J’ai beaucoup travaillé sur moi-même. Je me suis aussi consacrée à la lecture, cela m’a permis d’attraper des livres que je n’avais jamais eu le temps de lire. J’ai fait de l’activité physique avec mille trucs que j’avais à disposition à la maison. Pendant la période du Ramadan en quarantaine, j’ai intensifié la prière et ma quête de spiritualité. Cela m’a aidée à puiser la force nécessaire pour continuer dans cette situation difficile. J’étais parmi les rares personnes qui sont allées travailler, alors même que j’évolue dans l’une des plus grandes zones rouges d’Italie qui a enregistré le plus grand nombre d’infections et de décès. Après le travail, il était obligatoire que je rentre à la maison et que je reste isolée de tout et de tout le monde.

  • Faites vous une action envers les démunis et les vulnérables en Italie et ailleurs?

Partout dans le monde, dans n’importe quel pays, à tout moment, je serai toujours prête à aider ceux qui en ont besoin. Je crois que notre rôle sur terre est de rester proches et de nous soutenir mutuellement en respectant toute forme de vie.

  • Comment vous est venue l’idée merveilleuse de finir vos reportages pas des youyous?

L’idée de la Zaghrouta est née lors de la réalisation de l’audition pour l’émission Striscia la Notizia, avec une de mes collaboratrices et auteures basée à Abu Dhabi et qui connaît la culture arabe. On cherchait un moyen de terminer la représentation par un hymne à ma culture et à mon pays et qui toucherait en même temps tout le monde. Alors un cri berbère nous semblait parfait. Le hic c’est que je ne l’avais jamais fait et je ne pensais pas en être capable, je ne pensais pas que je pouvais proliférer ce son avec puissance. En fait c’était suffisant d’essayer une seule fois! Nous, les Arabes, avons ce cri en nous, c’est dans notre ADN. Maintenant l’Italie entière connaît la Zaghrouta à tel point que les gens m’arrêtent dans la rue pour me demander un youyou, parfois ils le font eux-mêmes. Les enfants aussi sont devenus des as du youyou marocain.

  • Vous aimez la mode bien sûr, portez vous des caftans à l’occasion? Même à la maison?

J’adore la mode en général. Quand je vois des femmes arabes mélanger l’Occident à notre culture, cela donne un mix d’une beauté incroyable. C’est très apprécié et j’en suis très fière. Je porte bien sur des caftans, des jellabas également. C’est pour moi un grand bonheur de représenter ma culture aussi à travers ce que je porte. Et c’est tout mon univers de prédilection.

  • Votre couturier italien préféré?

Valentino. Ses vêtements sont d’une beauté unique, ils reflètent la personnalité d’une femme élégante, sensuelle, forte et en même temps extrêmement féminine.

  • Seriez-vous engagée pour que les circuits industriels de la mode changent afin de commencer une nouvelle ère d’un sustainable généralisé?

Absolument! Nous sommes dans l’ère du consumérisme et soutenir des jeunes stylistes célèbres qui ont une production qui respecte les animaux, la nature et l’environnement est un devoir pour nous tous. Il faut sensibiliser les gens de toutes les manières possibles y compris à travers la mode. Stella Mc Cartney nous enseigne et nous donne certainement de nombreux exemples de mode durable sans perdre de style.

  • Quelle autres choses seriez prête à abandonner dans votre vie urbaine de tous les jours pour améliorer et respecter l’environnement?

Je renonce volontiers à l’usage excessif de la voiture, en fait j’ai le permis mais je ne possède pas de voiture par choix, je préfère marcher et utiliser des moyens de transport alternatifs et non polluants surtout le vélo.

  • Ferez-vous un youyou quand le monde vaincra le covid-19?

Quand l’épidémie se terminera, je ferai une Zaghrouta que tout le monde entendra de Milan à Casablanca. Un hymne à la joie et à la vie, dédié au monde entier.

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70% de marocains veulent voyager au Maroc. Ce sont bien les résultats réjouissants de l’étude réalisée par l’Office National Marocain du Tourisme afin d’identifier l’état d’esprit des marocains suite à la crise sanitaire du coronavirus, auprès de 2800 personnes âgées de 18 à 75 ans, de différentes catégories socio-professionnelles et de toutes les régions du royaume.

Mobilité incertaine et crise économique et sanitaire oblige, les marocains optent pour un tourisme domestique mais c’est aussi cet élan patriote extraordinaire mis en lumière pendant le confinement et applaudi partout dans le monde qui anime ce désir de passer ses vacances dans son pays.

Cette étude faite essentiellement pour faciliter le travail des opérateurs touristiques à mieux concocter les vacances des marocains, relève que es activités privilégiées lors du voyage sont pour l’essentiel la plage et le farniente, la visite de villes, les sites naturels, le patrimoine historique et architectural, les sports nautiques, le shopping…. Ce sont là autant de motifs de séjour et de loisirs auxquels notre pays peut répondre par sa grande diversité dans l’ensemble de ces régions.

– 70% des personnes interrogées déclarent vouloir voyager au Maroc. Le voyage est perçu en général comme une façon de se libérer de la pression subie par le confinement. 

Bien que 60,6% d’entre eux disent vouloir laisser passer un mois avant de voyager (régions Casablanca Settat et Tanger-Tétouan-Al Hoceima ainsi que les CSP A et B), ils n’ont pas abandonné pour autant leur désir de vacances. Les CSP C1, les 18-24 ans, les plus de 65 ans, les habitants de Draa-Tafilelt et ceux du Sud ont en revanche bien l’intention de passer plus de temps en voyage.

« Ainsi, plus d’1 personne sur 2 compte voyager en petite famille (Couple + enfants) , essentiellement les 35 à 55 ans, les habitants de Souss-Massa et ceux du Sud. Les CSP AB et les plus de 55 ans sont plus nombreux à vouloir voyager en couple alors que les 25 à 34 ans préfèrent voyager seuls », rapporte l’ONMT. 

Il ressort également de l’étude que 36,5% des questionnés envisagent de visiter la famille, alors que 29,1% souhaiteraient aller en bord de mer, tandis que 26,6% ont une préférence pour la nature. Les amateurs de la mer se trouvent surtout parmi les AB, les 18-34 ans, les habitants de Casa-Settat et de Fès-Meknès.  Quant aux amateurs des voyages dans la nature, on les retrouve surtout parmi les C1, les 55-64 ans et les habitants de Tanger-Tétouan-Hoceima.

Pour encourager au voyage, les principales mesures de motivations préconisées par l’échantillon interrogé sont des offres promotionnelles adaptées pour 57% des personnes interrogées, et l’application de mesures sanitaires strictes au niveau des établissements touristiques pour 55% d’entre eux. 

Source : Étude ONMT

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Le confinement, c’est fini, l’état d’urgence sanitaire se fait plus léger et comme c’est déjà l’été, alors on pense aux vacances. Mais ou donc aller au juste? Pas de panique, le Maroc s’offre à nous et il n’a jamais été aussi désirable! Ça tombe bien car l’Office National Marocain de Tourisme a concocté une campagne signée « ntla9awfbladna » ou plutôt « ntla9awfi… ».

Selon une étude effectuée par l’ONMT durant ce confinement, le citoyen marocain a exprimé un fort désir de voyager dans son pays après le déconfinement. Mais il souhaite tout d’abord être rassuré sur les mesures et les normes de santé, et aussi pouvoir accéder à des offres promotionnelles adaptées dans l’ensemble des régions du Royaume.

Ce qui donne dès ce lundi 8 juin, une campagne au niveau des Conseils régionaux de tourisme des 12 régions du pays sous le label “ntla9awfbladna” pour mener conjointement des campagnes de communication dédiées au « Tourisme interne ». 

Et c’est bien l’ONMT qui prendra en charge la totalité du budget d’achat d’espace média pour le compte des douze régions.

Ainsi vous verrez bientôt des messages publicitaires sur télé, radio, presse écrite, digitale sous la signature : “ntla9awfi…” (selon la région et la destination) pour faire découvrir l’étendue de l’offre touristique nationale. 

À travers cette campagne « ntla9awfbladna », l’ONMT s’inscrit dans ce mouvement de solidarité d’une ampleur nationale exceptionnelle qu’a vécu le Maroc pendant cette pandémie. 

« ntla9awfbladna » contribuera ainsi, incontestablement, au renforcement du lien émotionnel du citoyen marocain avec son pays.  

Alors « ntla9awfi… ou? »

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Depuis le début de l’épidémie du covid-19 et depuis la création du fonds spécial d’aide par SM le Roi Mohammed VI, les bonnes actions solidaires des bonnes âmes marocaines d’ici et d’ailleurs ne manquent pas. Khalid Dahbi, l’artiste culinaire et philanthrope rbati installé à Londres, en est un bel exemple à la tête de quatre restaurants de renommée dans la capitale britannique, n’a pas attendu de mettre les petits plats dans les grands pour servir à manger aux plus démunis.

UN DESTIN EN OR

Khalid Dahbi est né à Rabat, au Maroc, dans une famille de fins gourmets. Son défunt père a été l’inspiration principale derrière sa passion pour la gastronomie. À 14 ans, il quitte le Maroc pour poursuivre des études en Suisse. Le brillant marocain ne tardera pas à être médiatisé, lui qui a toujours rêvé de devenir acteur.  En 1998, Bâle TV lui consacre déjà un reportage pour son travail caritatif à Frenkendorf, une association caritative pour enfants dans le nord de la Suisse. À défaut de briller dans le 7ème art, après que sa candidature au « Cinéma Citta » à Rome ait été refusée, Khalid Dahbi sera chef professionnel. Commence alors une aventure fabuleuse et pointue dans les coulisses des plus grands restaurants de la capitale londonienne : Bibendum Michelin, Gordon Ramsey chez Claridge’s, Jamie Oliver et Rhubarb food designs.. et la liste est longue pour une carrière qui décolle de façon vertigineuse.

Khalid Dahbi devient vite une icône à Londres et sa cuisine prestigieuse titille les papilles, dès les premières années, de grandes personnalités politiques et des célébrités hollywoodiennes, du gabarit de Kevin Spacey, Bill Clinton, Sir Ian McClellan….

Artiste dans l’âme mais un érudit du business et du marketing de marques né, Khalid investit dans plusieurs sociétés au Royaume-Uni et dans le monde et devient PDG et fondateur de KD Luxury, PDG et fondateur d’Antoine Amato, une marque de mode de luxe, vice-président senior de Kindred social, une plate-forme pour les marques internationales, fondateur et chef de Beso, un restaurant mauresque au cœur du centre de Londres. L’inarrêtable créatif aux mille talents, a récemment fondé « touché life », une marque de style de vie et d’expérience de luxe mondiale avec des bureaux dans plusieurs villes du monde.

Le marocain ne rate jamais des invitations en hauts lieux dans son pays d’origine, comme ce fut le cas en juin 2019, où il avait parrainé les événements d’anniversaire de la reine Elisabeth II, à l’ambassade britannique à Rabat. Son exposition de produits de luxe de sa propre signature et ses banquets raffinés de très haute facture pour un public royal de 3000 invités, restera dans les annales de la diplomatie British au Maroc. Et c’est sans surprises que même le duc et la duchesse de Sussex, le prince Harry et son épouse Megan Markle, apprécient vivement le travail du chef, entrepreneur et philanthrope anglo-marocain, surtout son engagement caritatif au bénéfice des survivants de la Catastrophe de la tour Grenfell.

UN COEUR EN OR

Le Président de la fondation KD a d’abord laissé son restaurant Quintessentially ouvert depuis fin mars 2020 avec une équipe réduite et ses fourneaux tout feu tout flamme pour concocter et livrer des repas aux sans-abris ainsi qu’aux agents de santé des services d’urgence d’Euston et du Royal Hospital. Chaque jour, ce sont 150 menus qui ont été acheminés via 5 mini fourgonnettes qu’il a louées pour mener à bien cette action humanitaire.

Voulant aider son pays d’origine et accompagner l’élan de solidarité qui a opéré au Maroc, le rbati de naissance, prend l’initiative de distribuer des enveloppes financières à nombre de familles démunies mais également à des migrants africains sur Londres, Tanger, Marrakech, Rabat et Casablanca. À ce jour, une somme de 112 500 dhs des fonds propres du londonien, a été réservée à 450 familles marocaines et de migrants africains.

Le business man marocain a ensuite lancé la campagne #togethermorocco début avril et n’a eu aucun mal à compter sur l’adhésion de célébrités marocaines comme Don Bigg, Rachid Ouali, Diese, Ahmed Chawki, Sara Coelho Ansari, Oussama Benjelloun, Soumaya akaaboune, Jazz Rodger, Rim Fethi, Karim Saïdi, Tarik Bakhari, Hicham Lasri, pour ne citer que ceux-là… Et c’est tout naturellement que l’artiste de talent et de coeur veut investir les contrées lointaines de son pays pour encourager l’inclusion sociale par l’éducation et la formation aux métiers de la restauration.

L’ACTION PLUS QUE LES MOTS

Le mécène londonien, très peu bavard, répond à nos questions

H! Vous êtes un coeur en or visiblement… d’où vous vient cette fibre humaine?

KD. C’est certainement quelque chose qui vient du fond de mon cœur, incarnée par une grande reconnaissance envers mon père. Dès mon plus jeune âge, je l’ai vu mener de grandes actions caritatives et humaines.

H! Pour un grand chef qui opère dans le luxe au coeur d’une des plus grandes capitales au monde, distribuer vous même de la nourriture, c’est l’effet du coronavirus?

KD. Oui en effet, je prends plaisir à distribuer des repas au personnel de première ligne et à leur montrer notre appréciation du travail qu’ils effectuent en notre nom.

H! Mais n’est ce pas que la solidarité est bien ancrée en nous les marocains de par notre religion et notre constitution même…?

KD. Je suis tout à fait d’accord, c’est aussi l’occasion de mettre en valeur l’essence de notre hospitalité et les valeurs du peuple marocain à l’étranger, étant donné qu’un coup de main est le moins que nous puissions faire pour participer également à cette épidémie.

H! Célébrité et philanthropie vont de pair pour vous?

KD. Je ne suis pas certain de la célébrité, je suppose que je suis philanthrope, c’est ce qui compte vraiment, car je peux faire une différence dans la vie des gens et cela signifie beaucoup plus pour moi. ️

H! Racontez nous votre confinement à Londres

KD. Le confinement au Royaume-Uni n’a pas été peu difficile pour la plupart des gens, mais je suis resté occupé et très positif dans mon esprit, ce qui m’a beaucoup aidé à faire face aux pressions de l’épidémie actuelle. Dans l’ensemble, nous sommes toujours plus forts unis et soudés et cette épreuve, c’est certainement un test et un nuage qui va bientôt donner place à de bons moments à venir (inchalah).

H! L’occupation principale de la majorité des grandes stars d’Hollywood c’était de cuisiner…énervant ou réjouissant?

KD. La plupart sont grands et sont également de grands amis, vous en aurez toujours un ou deux quelque peu ennuyeux!

H! La gastronomie marocaine mérite t elle son classement?

KD. Absolument, avec la variété de produits frais et d’ingrédients exotiques dont nous disposons, pour moi la cuisine marocaine est l’une des meilleurs au monde et je fais personnellement tout ce que je peux pour la positionner au plus haut niveau afin d’assurer et de préserver toute la reconnaissance qu’elle mérite et dont elle a besoin résolument.

H! A quand un cooking show au Maroc? Ou même des masterclass ou alors carrément une structure de formation et coaching culinaire ou pourquoi pas carrément une bonne table au Maroc?

KD. Bouillonner quelques idées sur la façon dont nous pouvons transmettre certaines connaissances à un public plus jeune au Maroc à travers ma fondation et bien sûr, quelques programmes télévision sont également en préparation.

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En plein confinement à Marrakech, la petite tribu Gims, s’est offert une virée façon safari en 4×4 au milieu des palmiers

Demdem, l’épouse du chanteur français, a sorti tout l’artillerie d’une fille du bled, en arborant une gandoura traditionnelle du souk et un foulard avec le fameux noeud bien spécial au dessus de la tête. L’heureuse maman, qui compte dans la grande maison marocaine, acquise par le rappeur issu lui-même d’une fratrie de 14 frères et soeurs, 6 beaux enfants, dont Assia, 11 ans et demi, Idriss, 8 ans et demi, Asmaa et Aicha, 6 ans et demi, Yahya, 5 ans et Safia, 3 ans et demi.

Et c’est avec la petite Aïcha, au talent de danseuse née que la femme de la star congolaise prenait la pose dans cette nature exceptionnelle. La jolie princesse au teint épicé, au regard pétillant, illuminé par ses belles tresses bien tirées, était craquante elle aussi dans un joli apparat traditionnel aux tons rouge vif.

« Mes enfants sont nés en France à part Asmaa et Safia qui sont nées ici au Maroc. Ils sont partis pour devenir de vrais marocains car ils évoluent ici. Ils ont leurs repères ici, leurs amis… Ils parlent la Darija… Eux, ce sont de vrais marocains. Moi je suis né au Congo, mais j’ai évolué en France. Moi j’ai quitté l’Afrique pour grandir en France, eux ils ont quitté la France pour évoluer en Afrique. Je suis revenu en Afrique avec mes enfants », nous déclarait l’interprète de Bella lors d’une rencontre exceptionnelle et exclusive au coeur de cette belle résidence à Marrakech pour un reportage et une interview inédits.

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Le comble du bonheur quand on ne peut pas, on ne sait pas et on n’a pas le temps de cuisiner des plats marocains bien de chez nous, c’est de les recevoir à la maison. Des chhiouates « Comme on les aime », à la commande, voilà l’occupation de Zineb Belaaziz, une grande passionnée de cuisine…tout simplement

Mais qui êtes-vous?

Je suis née à Casablanca et grandi entourée de femmes (mère, grand mère, tantes, cousines) où toutes les occasions étaient bonnes pour cuisiner. Ma grand-mère, que Dieu ait son âme, était une excellente cuisinière. C’est bien elle qui m’a transmise cette magnifique passion qui est la cuisine.

Comment vous avez mordu ?

Mes amis, ma famille ont quelques fois fait appel à moi pour une idée de menu, une recette, une épice oubliée… De plus en plus de personnes m’encourageaient à faire donc de ma passion mon métier. À l’ère du digital, j’ai tout de suite pensé qu’une page Instagram serait ma meilleure vitrine (jawhara_home_made). 

Qui aime vos plats ?

Étant une petite entreprise et exerçant à domicile, mes clients sont en majorité des particuliers, mais surtout des familles à la recherche de plats faits maison, étant donné que la bonne cuisine s’avère être chronophage. 

Cuisiner est une thérapie?

C’est une source de vie et d’envie pour moi. Une fois dedans je ne peux plus penser ou croire que je vais m’ennuyer. Toutes les couleurs, les saveurs et les odeurs sont là pour m’éveiller et égayer mes sens et ma journée. J’y puise donc toute la force et la vitalité dont j’ai besoin. L’énergie positive est là malgré ce confinement, toute la petite famille participe, chacun sa tâche. La maison prend vie et l’on chasse le stress et l’ennui. 

Que vous commande-t-on ?

La chaîne marocaine avec tous ses délices. Couscous, pastillas, salades marocaines, rfissa, briouates… Puis viennent les cakes, les biscuits marocains… 

Quelle cuisine aimez -vous?

Sans hésitation aucune, tous les plats marocains, les tajines : «Lham bel foul ou lkouk», «Lham maârak» dont seule ma grand mère avait les recettes secrètes familiales, c’est pour moi une grande richesse, un bel héritage ! 

Un chef de prédilection?

Gordon Ramsey ce fameux cuisiner britannique, parce qu’il est dynamique, vif, rapide, efficace et créatif. Avec un minimum d’ingrédients il est capable de réaliser des plats originaux.

DE BONS PETITS PLATS POUR RESTER CHEZ SOI

À quelque chose malheur est bon dit l’adage et il est bon de se retrouver chez soi, sa famille et sa cuisine pour renouer avec les plaisirs de notre gastronomie si réputée dans le monde. Ces recettes vous sont familières mais avez-vous ce bonheur de les avoir à votre table quotidiennement? Ou même les cuisiner vous-même? Non pour la majorité d’entre nous. Alors mettez votre petite badiiya, une playlist andalouse…et à vos tajines

Zaalouk à ma façon

Pas de tables marocaines sans ce prince des plats maison qui accompagnent tout et n’importe quoi!

INGRÉDIENTS

  • 4 aubergines 
  • 1 échalote 
  • 3 gousses d’ail 
  • 1 tomate 
  • quelques tomates cerises 
  • 1 botte de persil 
  • coriandre 
  • sel 
  • piment d’espelette 
  • curcuma 
  • cumin 
  • huile d’olive

PRÉPARATION

Dans un faitout mettre les aubergines préalablement cuites dans l’eau et coupées grossièrement. Les écraser, y ajouter ail, tomate coupée, échalote, épices huile. Laissez mijoter le tout 10mn sans cesser de remuer. Dès que tout se mélange, y jeter les tomates cerises, persil, coriandre et huile d’olive. Attendre que les tomates cuisent et s’ouvrent et alors arrosez d’un filet de vinaigre et mélangez. Attendre 2mn éteindre le feu.

Caviar de chou-fleur

Dégustez avec un bon pain complet, fait maison naturellement, des olives noires et une bonne noisette d’harissa
  • 1 chou-fleur 
  • 2 tomates 
  • 5 gousses d’ail 
  • persil 
  • coriandre 
  • sel 
  • piment d’espelette 
  • paprika curcuma gingembre 
  • huile de table et huile d’olive 

PRÉPARATION

Coupez le chou-fleur de sorte à avoir de tout petits bouquets. Lavez nettoyez et mettre dans la marmite avec l’huile, les tomates coupées et épépinées, l’ail, persil, coriandre , sel, piment d’espelette, paprika, curcuma, puis recouvrir d’eau de sorte à cacher le chou-fleur. Couvrir laissez cuire. Après 15mn environ, vérifiez la cuisson, si besoin ajoutez de l’eau. Finir la cuisson sur feu moyen tout en vérifiant de temps en temps en piquant le chou-fleur de la pointe d’une fourchette. Une fois cuit arrosez d’un filet de citron. La sauce doit être un peu huileuse.

Salade de lentilles

Oui oui, prenez-en à volonté, bon pour l’immunité

INGRÉDIENTS

  • 200grs de lentilles 
  • 1 oignon rouge 
  • 1 botte de persil 
  • coriandre 
  • tomates cerise 
  • sel poivre cumin 
  • huile d’olive 
  • vinaigre

PRÉPARATION

Dans une casserole remplie d’eau mettre les lentilles et cuire entre 20 à 30mn. Veillez à ce que les lentilles ne s’ouvrent pas. Une fois cuites, les égoutter et les laisser refroidir. Dans un saladier mettre oignon rouge coupé en très petits dés, coriandre et persil hachés, lentilles puis sel poivre cumin vinaigre huile d’olive. Mélangez. Ajustez l’assaisonnement s’il le faut. Dressez votre entrée sans oublier votre tomate cerise.

Salade tomates et artichauts

Une fraicheur inégalée et le plein de nutriments à petits prix

INGRÉDIENTS

  • 2 tomates rouges et fermes 
  • 2 artichauts 
  • 1 échalote 
  • persil 
  • sel poivre
  • cumin 
  • huile vinaigre

PRÉPARATION

Épluchez les tomates les épépiner et les couper en petits dés. Effeuillez les artichauts de sorte à ne garder que les cœurs. Coupez-les en dés et arroser de citron pour éviter l’oxydation. Dans un saladier mettre les tomates coupées, les cœurs d’artichauts en dés, le persil, sel, poivre, cumin, vinaigre et huile. Ajustez l’assaisonnement au besoin et dressez.

Poulet aux petites pommes de terre 

Un délice de tajine, léger et appétissant, et arrosé d’un jus magique relevé de jus de  citron et de son équivalent bien confit, très bon à s’en lécher les doigts

INGRÉDIENTS

  • 1 poulet 
  • 1 kg de petites pommes de terre blanches 
  • 1 oignon blanc 
  • 2 gousses d’ail 
  • huile et huile d’olive 
  • sel poivre 
  • gingembre 
  • curcuma 
  • un peu de colorant ( facultatif)

PRÉPARATION

Dans une marmite, mettre les morceaux de poulet, l’oignon haché, l’ail coupé, l’huile, sel et poivre gingembre, curcuma, colorant et un demi verre à thé d’eau. Laissez mijoter le tout 5mn. Puis mélangez couvrir d’eau. Fermer la marmite. Laissez cuire 30 à 45mn. Peut-être plus, dépendamment du poids ou du nombre de morceaux de poulets. Une fois que la volaille est presque cuite, ajoutez les petites pommes de terre épluchées. S’il faut un peu d’eau en ajouter. Laissez cuire en refermant la marmite. Vérifiez la cuisson de temps en temps. Lorsque le plat est prêt, ajoutez quelques olives violettes et du citron confit. Dressez dans un grand plat.

Haricots verts à la marocaine 

Ah cette salade est tellement nourrissante, qu’elle ferait un bon diner pour les petits estomacs aiguisés

INGRÉDIENTS

  • 2 belles poignées d’haricots vers 
  • un petit oignon rouge 
  • persil 
  • coriandre
  •  sel 
  • poivre 
  • cumin 
  • vinaigre 
  • huile d’olive

PRÉPARATION

Équeutez les haricots, les laver et les plonger dans une casserole d’eau bouillante. Cuire à peu près 20 mn. Les égoutter et les passer sous l’eau froide. Dans un saladier, coupez l’oignon rouge très finement, y ajouter les haricots, le persil, la coriandre, le sel, le poivre, le cumin, le vinaigre et l’huile d’olive. Ajustez l’assaisonnement. Dressez.

Taktouka 

INGRÉDIENTS

  • 5 tomates 
  • 2 poivrons rouges 
  • 5 gousses d’ail 
  • persil 
  • huile d’olive 
  • sel 
  • piment d’espelette 
  • paprika 
  • 1 c a s de concentré de tomates

PRÉPARATION

Pelez épépinez et coupez les tomates en petits dés. Griller les poivrons les débarrasser de leur peau et les couper El lavettes assez grosses. Dans un faitout mettre les tomates l’ail l’huile et la tomate concentrée. Mélangez laissez mijoter quelques minutes. Dès que la tomate est cuite ajoutez les lamelles de poivrons un peu d’huile d’olive sel piment d’espelette paprika. Mélangez. Laissez mijoter quelques minutes remuez de temps en temps. Ajoutez persil haché. Ajustez l’assaisonnement s’il le faut.

Riz au lait 

Le must en une poignée de graines d’or et un tour de main magique

INGRÉDIENTS

  • 1 l de lait
  • 100 g de riz blanc rond
  • 5 cuillères à soupe de sucre
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • 1 zeste de citron orange ou de clémentine

PRÉPARATION

Faire bouillir le lait avec le sucre, le sucre vanillé et le zeste de votre choix (attention faire un ruban assez long pour le retirer facilement en fin de cuisson). Lorsque le lait bout, jeter le riz en pluie et baisser le feu pour que l’ébullition soit très lente, le riz doit cuire très lentement. Lorque le riz affleure le lait, couper le feu et laisser refroidir ; le riz va finir de s’imbiber de lait en refroidissant. On peut servir ce dessert tiède ou froid dans des ramequins avec un zeste de citron vert pour décorer.

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