L’été est la saison par excellence pour adopter des tenues légères et vibrantes qui célèbrent la joie et la vivacité. Cette année, la maille colorée s’impose comme une tendance incontournable, offrant à la fois confort et style rafraîchissant sous le soleil estival. Découvrez comment intégrer avec panache la maille colorée dans votre garde-robe estivale pour un look à la fois chic et décontracté.
Depuis son lancement en 1999, « J’adore » de Dior est devenu l’un des parfums les plus emblématiques du monde. Ce succès, en grande partie, est dû non seulement à sa fragrance florale opulente et sophistiquée, mais aussi aux femmes remarquables qui ont incarné son esprit au fil des années. Chaque égérie a apporté sa propre touche de glamour et d’élégance, contribuant à façonner l’image intemporelle de ce parfum légendaire.
La première égérie et celle qui a ouvert le bal : Carmen Kass
Carmen Kass, top-modèle estonienne, a été la première à représenter « J’adore ». Son allure classique et sa beauté éthérée ont parfaitement capturé l’essence de la fragrance dès ses débuts. L’image de Kass, en robe dorée, émergeant d’une mer de pétales d’or, est devenue iconique. Sa campagne a posé les bases d’une tradition de luxe et de sophistication, établissant « J’adore » comme un symbole de féminité puissante et sensuelle.
L’étoile montante de son époque, Charlize Théron
Après Carmen Kass, l’actrice sud-africaine Charlize Théron a repris le flambeau en 2004. Avec sa beauté radieuse et sa présence magnétique, Théron a emmené la campagne « J’adore » vers de nouveaux sommets. Son célèbre spot publicitaire, où elle se défait de ses bijoux et de sa robe dorée dans une démarche confiante et séduisante, est devenu un moment emblématique de l’histoire de la publicité. Elle a rendu cette fragrance aussi convoitée que le N°5 de Chanel en s’imposant à la première place dans les ventes de parfums internationales depuis 2011.
Kate Moss ou la rébellion chic qu’on adore
Bien qu’elle ne soit pas restée égérie de « J’adore » pendant longtemps, le supermodel britannique Kate Moss a marqué les esprits avec sa participation. Sa beauté rebelle et son style unique ont apporté une touche moderne et avant-gardiste à la campagne. Moss a su incarner une féminité libre et audacieuse, correspondant parfaitement à l’image que Dior souhaitait projeter à ce moment-là.
L’audace Moderne des temps modernes avec Rihanna
En 2024, c’est au tour de Rihanna, la star internationale de 36 ans, de devenir l’égérie de « J’adore ». Connu pour son talent exceptionnel, son audace et sa beauté captivante, Rihanna apporte une nouvelle dimension à la fragrance. Sa première campagne, signée par le photographe Steven Klein, promet d’être aussi mémorable que celles de ses prédécesseuses. Rihanna incarne une féminité Dior rayonnante et puissante, une incarnation moderne qui transcende les générations.
Les égéries de « J’adore » de Dior ont toujours été des femmes qui incarnent non seulement la beauté, mais aussi la puissance et la grâce. Elles ont toutes apporté leur propre charme unique, enrichissant ainsi l’histoire du parfum. Rendez-vous donc le 1er septembre pour découvrir la nouvelle campagne qui risque de également marquer bien des générations.
La célèbre chanteuse Rihanna, âgée de 36 ans, vient d’être annoncée comme la nouvelle égérie de « J’adore », le parfum emblématique de la maison Dior. Elle succède ainsi à des icônes comme Carmen Kass et Charlize Théron, marquant une nouvelle ère pour cette fragrance mythique.
Une première campagne mettant en vedette Rihanna sera révélée le 1er septembre. Ce projet, capturé par le talentueux photographe Steven Klein, promet de célébrer la beauté et la créativité uniques de la star.
« Nous sommes incroyablement fiers d’accueillir Rihanna dans la famille Dior », a déclaré Véronique Courtois, présidente-directrice générale de Parfums Christian Dior, dans un communiqué. « Le talent hors normes, l’audace et la beauté captivante de cette star totale sont une incarnation idéale d’une féminité Dior rayonnante et puissante qui transcende les générations », a-t-elle ajouté.
Pour Rihanna, ce rôle représente plus qu’une simple collaboration : « Être le nouveau visage de J’adore est un honneur tout autant qu’une mission », a-t-elle affirmé. La chanteuse a exprimé sa joie et sa gratitude, soulignant qu’elle était « particulièrement touchée de rejoindre cette aventure et d’y apporter [son] univers, [son] histoire et [ses] racines, [sa] créativité et [sa] propre féminité ».
Depuis son lancement en 1999, « J’adore » est devenu synonyme de luxe et de sophistication. Avec Rihanna en tant que nouvelle ambassadrice, Dior continue de repousser les frontières de l’élégance et de l’innovation, tout en honorant la tradition de la maison. Cette collaboration promet d’apporter une nouvelle dynamique à la marque, en résonance avec l’esprit audacieux et contemporain de Rihanna.
Les fans et les amateurs de parfum attendent avec impatience de découvrir cette première campagne, qui s’annonce déjà comme un événement marquant dans l’univers de la mode et de la beauté.
Pharrell Williams a rassemblé la communauté internationale de Louis Vuitton, les LVERS, au siège de l’UNESCO à Paris. Dans ce cadre symbolique, entouré de drapeaux du monde, il a célébré l’esprit voyageur emblématique de la Maison, soulignant sa capacité à relier l’humanité à travers le monde. Cela s’est manifesté à travers la sélection minutieuse des mannequins pour le défilé, illustrant une diversité qui transcende les frontières et unit les cultures.
Pour cet événement remarquable, Pharrell Williams a opté pour une approche audacieuse en utilisant un Air Tag Apple pour localiser les éléments à l’échelle mondiale, insufflant ainsi au défilé le thème évocateur de « Le Monde est à vous ». Le choix emblématique de la Maison de l’UNESCO comme lieu de présentation souligne l’engagement de Williams envers la coopération internationale pour la paix, ce bâtiment moderniste de 1958 étant un symbole parfait de cette vision.
En collaboration avec le collectif Air Afrique, célèbre pour sa promotion de la diversité culturelle africaine, Pharrell a intégré des motifs audacieux tels que le tartan Damier et des logos inspirés du voyage, ajoutant une dimension riche et multiculturelle à la collection. Les silhouettes d’ouverture en noir ont captivé par leur élégance formelle, inspirées des uniformes des « flying dandy », ceux qui voyagent avec style et distinction.
La collection met également en avant l’amour de Pharrell Williams pour les détails subtils, avec des vêtements ornés d’embossages délicats, de jeux de tonalités et de motifs hybrides comme le Damoflage, évoquant les nuances complexes de la peau humaine. En ouverture du défilé, une nouvelle gamme de sacs en cuir ultra-souple a été présentée, réinterprétant avec modernité les classiques emblématiques de la maison Louis Vuitton.
Enfin, la bande-son originale composée par Pharrell Williams lui-même a ajouté une dimension musicale distinctive à l’événement, avec des collaborations incluant Clipse, John Legend, Adekunle Gold et Niles Rodgers. Interprétée par le chœur Voices of Fire et l’Orchestre du Pont Neuf, cette musique a parfaitement accompagné le défilé, renforçant l’atmosphère de célébration de la diversité et de l’unité à travers le monde, thèmes centraux de cette remarquable collection printemps-été 2025 de Louis Vuitton.
Pour commencer, Williams a introduit une série de tenues dominées par des nuances de noir. Ces tenues, loin d’être monotones, se distinguent par leurs détails somptueux. Les costumes en velours aux cols strassés, les pantalons en cuir de style motard, et les survêtements monogrammés sont des témoignages de l’expertise de Louis Vuitton en matière de savoir-faire. Les jeux de transparence et les matières variées ajoutent une touche de sophistication moderne à ces pièces.
Williams s’est penché sur le thème du voyage, s’inspirant directement de l’uniforme des pilotes d’avion. Il a introduit des vestes cintrées, des manteaux et des costumes à double boutonnage parfaitement coupés, ainsi que des tricots ornés de l’insigne emblématique du pilote. Ce choix d’inspiration reflète une vision dynamique du voyage, illustrant l’image d’un globe-trotter des temps modernes à travers des survêtements et des combinaisons portées avec des manches nouées autour de la taille.
Le défilé a également rendu hommage au football, un sport considéré comme unificateur mondial. Williams a intégré des clins d’œil à ce sport populaire à travers des maillots de foot griffés du logo de Louis Vuitton et un bomber évoquant les ballons de football en caoutchouc. Ces créations s’inscrivent parfaitement dans la tendance blokecore actuelle, mélangeant la culture des pubs britanniques des années 1990 avec le style des supporters de football.
En respectant l’héritage maroquinier de Louis Vuitton, Pharrell Williams a dévoilé une nouvelle ligne de produits en cuir souple. Parmi les nouveautés, on retrouve les iconiques de la maison comme l’Alma, le Christopher, et le Neverfull, conçus dans un cuir ultra-souple. Une des pièces emblématiques de cette collection est le modèle Speedy P9, désormais décliné dans des coloris pastel plus doux tels que le rose pâle, le pêche, et le vert menthe.
Avec cette collection, Pharrell Williams ne se contente pas de présenter des vêtements. Il crée un dialogue entre le passé et le présent, entre différentes cultures, tout en célébrant les valeurs d’harmonie et d’unité. Chapeau l’artiste !
Depuis plusieurs semaines, la reine Letizia d’Espagne a abandonné ses escarpins habituels. Autrefois, ces chaussures étaient ses favorites, tout comme pour d’autres figures royales et premières dames telles que Brigitte Macron, Máxima des Pays-Bas et Kate Middleton. Mais un accident domestique a changé la donne. Une fracture à l’orteil droit en mai a contraint la souveraine à renoncer aux talons hauts. En plus de cette fracture, elle souffre d’un névrome de Morton, une condition souvent exacerbée par le port de talons.
Pour soulager ses pieds, Letizia a troqué ses escarpins contre des chaussures plates. Elle a été vue à de nombreuses reprises portant des baskets blanches, notamment le modèle Geo Court III de Vivobarefoot. Cependant, lors de la réunion annuelle de la Fondation Princesse des Asturies, qui s’est tenue hier au Palais Royal du Pardo à Madrid, Letizia a opté pour des ballerines noires ouvertes. Ces chaussures, entre Mary Jane et babies plates, dévoilent une partie du pied tout en offrant un bon soutien avec une lanière délicate à la cheville. Le modèle Tikal de la marque espagnole Cacles, qu’elle avait déjà porté en mai, offre un design ergonomique qui respecte la forme naturelle du pied.
Les ballerines font un retour remarqué cet été. Que ce soit à Roland-Garros ou au Grand Prix de Monaco, les célébrités ont adopté ces chaussures polyvalentes. Les créateurs, dont Miu Miu, ont anticipé cette tendance en les mettant en avant dans leurs collections. En décembre 2023, le moteur de recherche mode Tagwalk a révélé une hausse de 790 % des recherches pour les chaussures plates, signalant un intérêt croissant. Dans la rue, les ballerines sont omniprésentes. Les modèles actuels, bien différents de ceux popularisés par Brigitte Bardot, sont plus enveloppants et confortables. Ils marient élégance et praticité, s’adaptant parfaitement aux besoins modernes de confort et de style.
Sous un ciel azur et un décor de rêve, Jacquemus a dévoilé sa collection automne-hiver 2024-2025, intitulée « La Casa », dans le cadre enchanteur de Capri. En marquant son quinzième anniversaire, la marque a choisi un lieu symbolique qui a profondément inspiré son créateur, Simon Porte Jacquemus.
Pour cette occasion spéciale, la villa Malaparte, une résidence spectaculaire perchée sur les falaises méditerranéennes, a servi de toile de fond au défilé. Un choix parfait pour honorer l’influence de l’architecture et de la nature dans le travail de Jacquemus. Ce lieu, immortalisé dans le film « Le Mépris » de Jean-Luc Godard, résonne avec la vision moderne et intemporelle de la marque.
CAPRI, ITALY – JUNE 10: Laeticia Casta, Tina Kunakey and Adele Exarchopoulos attends the Jacquemus « La Casa » Cruise at Casa Malaparte on June 10, 2024 in Capri, Italy. (Photo by Arnold Jerocki/WireImage)
Le défilé a été un mélange unique d’intimité et de grandeur, avec seulement 40 invités privilégiés, dont Dua Lipa, Laetitia Casta, Gwyneth Paltrow Tina Kunakey ou encore Adele Exarchopoulos et 47 looks présentés. Le contraste entre les lignes géométriques audacieuses et les drapés sensuels a mis en avant la diversité et la richesse de la collection. Les rayures variées, des motifs zébrés aux monochromes éclatants, ont côtoyé des nuances de bleu Capri et de jaune ensoleillé, apportant une fraîcheur visuelle à chaque pièce.
Parmi les moments forts, Bella Hadid, amie et muse de longue date de Jacquemus, avait déjà donné un aperçu de la collection en portant une robe blanche fluide lors du Festival de Cannes. Le jour du défilé, Dua Lipa a captivé l’assistance en dévoilant une robe en mesh bleu avant même qu’elle ne fasse son apparition sur le podium.
Les accessoires n’ont pas été en reste, avec des nouveautés qui promettent de devenir des incontournables. La Spiaggia, un panier artisanal à la forme unique, évoque l’esprit de la mer et du soleil, tandis que le sac Bombola, un seau aux lignes angulaires et orné d’un anneau doré, allie mode, architecture et bijou dans une harmonie parfaite.
Le palais de l’Élysée a accueilli un dîner d’État en l’honneur de Joe et Jill Biden, invités par Emmanuel et Brigitte Macron. Cette soirée prestigieuse a réuni de nombreuses personnalités, dont la très élégante Rachida Dati.
Le dîner d’État, synonyme de glamour et de sophistication, s’est déroulé en présence de Joe et Jill Biden, venus en France pour célébrer le 80ᵉ anniversaire du Débarquement en Normandie. Pour rendre hommage à ses invités, Emmanuel Macron a convié des figures emblématiques telles que Carla Bruni et Nicolas Sarkozy, Bérénice Béjo, Salma Hayek et son époux François-Henri Pinault, ainsi que Rachida Dati. Chacun a rivalisé de raffinement pour cette occasion spéciale.
Rachida Dati a particulièrement brillé dans une robe noire spectaculaire de la maison Schiaparelli. Cette création, ornée de broderies dorées sur le devant, comportait des boutons descendant jusqu’à mi-cuisse et une fente subtile dévoilant ses jambes élancées. Pour parfaire sa tenue, l’ancienne ministre portait des escarpins aux talons dorés assortis aux broderies de sa robe, et un petit sac à main noir de la même maison de couture. Un choix audacieux et chic qui n’est pas passé inaperçu.
Depuis le Festival de Cannes en mai dernier, où elle a multiplié les apparitions remarquées, Rachida Dati confirme son sens aiguisé de la mode. À Cannes, elle a varié les styles avec brio : ensembles tailleur-pantalon le jour, robes glamour le soir. Que ce soit dans une robe rouge vif à col bateau pour le dîner Trophée Chopard ou une robe noire sophistiquée pour la montée des marches du film « Emilia Perez », elle a su marquer les esprits. Son audace a culminé avec une robe noire et blanche à manches longues, révélant un dos nu élégant, ceinturée à la taille pour un effet des plus raffinés.
Dans le monde de la mode, une révolution est en marche : le règne des talons hauts semble toucher à sa fin, et les maisons les plus créatives ont décrété que l’année 2024 serait celle du plat, en toute circonstance. Une tendance qui prend vie au sein des collections printemps-été 2024, où le confort est roi et où les chaussures plates se font une place de choix.
Dernièrement, les grandes maisons de mode ont toutes embrassé cette nouvelle tendance, s’engageant dans une course effrénée au confort. Jacquemus, Dior, Chanel, Julien Dossena pour Rabanne, entre autres, ont insufflé un vent de fraîcheur en proposant des créations où le confort prime sur tout le reste. Les derbies Repetto, les ballerines ajourées, les tongs revisitées, et même les néo-spartiates ont envahi les catwalks, faisant de la mode un espace où le bien-être des pieds n’est plus une option, mais une nécessité.
Autrefois reléguées aux vacances estivales, les tongs font désormais partie intégrante de notre garde-robe citadine. Chez Chanel, elles se marient avec élégance à toutes sortes de tenues, de la robe à la coupe structurée au micro-short décontracté, démontrant ainsi leur polyvalence. De même, chez Paloma Wool, elles apportent une touche d’originalité à des silhouettes monochromes près du corps, confirmant ainsi leur statut de pièce incontournable.
Les sandales Fisherman, minimalistes et intemporelles, continuent également de captiver l’attention. Repérées chez JW Anderson et Loewe, elles s’affirment comme un choix de prédilection pour les fashionistas en quête d’élégance décontractée. Hailey Bieber et Blanca Miró en sont déjà adeptes, faisant des sandales Fisherman un must-have absolu.
La mule, incontournable depuis plusieurs saisons déjà, se décline à l’infini pour s’adapter à tous les styles. Plate ou à talons, elle allie confort et chic avec brio.
MILAN, ITALY – SEPTEMBER 23: A model walks the runway at the Ferragamo fashion show during the Milan Fashion Week Womenswear Spring/Summer 2024 on September 23, 2023 in Milan, Italy. (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)
La basket rétro, inspirée des tendances vintage, reste un indispensable du dressing estival. Des modèles sportifs revisités, aux coloris pop et vibrants, apportent une touche de fraîcheur à toutes les tenues. Enfin, le sabot, fidèle à lui-même, confirme son statut de chaussure incontournable, offrant une alternative audacieuse aux tenues du quotidien.
Anya Taylor-Joy, l’actrice au charme envoûtant, remet sur le devant de la scène le fameux chapeau de paille Jacquemus, emblème de l’été 2024. Introduit lors du défilé printemps-été 2018 de Jacquemus, ce chapeau de paille XXL est rapidement devenu un incontournable de la mode.
Porté par les icônes de la mode telles que Pamela Anderson, Emily Ratajkowski et Kendall Jenner, le chapeau de paille Jacquemus résonne comme un symbole d’élégance à la fois provençale et californienne. Sa large envergure et sa texture délicate en font bien plus qu’un simple accessoire estival : il incarne le mariage parfait entre la praticité de la protection solaire et le raffinement du style.
Anya Taylor-Joy, reconnue pour son sens unique de la mode et sa capacité à mélanger les pièces vintage avec les tendances contemporaines, a récemment été aperçue arborant fièrement ce chapeau emblématique. Sa présence sur la scène de la mode a immédiatement attiré l’attention des passionnés de mode à travers le monde, confirmant ainsi le retour en force de cet accessoire emblématique.
Cet été, le chapeau de paille Jacquemus fait un retour triomphal dans nos garde-robes avec une éclatante modernité. Sa silhouette distincte, évoquant les doux champs de lavande de Provence et les plages ensoleillées de Californie, s’accorde parfaitement avec les tenues estivales. Que ce soit porté avec une robe légère, un maillot de bain chic ou une combinaison élégante, il apporte une touche d’élégance désinvolte et de sophistication naturelle.
Depuis son lancement, ce chapeau est devenu bien plus qu’un simple accessoire : il est devenu un véritable symbole de statut et de style. Adopté par des célébrités telles que Pamela Anderson pour ses looks iconiques, Emily Ratajkowski et Kendall Jenner pour leurs vacances glamour, cet accessoire transcende les époques et les tendances avec une aisance déconcertante.
En 2024, le chapeau de paille Jacquemus fait une réapparition remarquée, prêt à conquérir les plages, les festivals et les rues ensoleillées. Son retour marque une célébration de la mode durable et intemporelle, où chaque détail compte et où l’élégance réside dans la simplicité.
Le Vintage shop Ayam Zamane à Anfa Place est the place to be pour s’habiller aux dernières tendances aux prix les plus réduits ! Après un cursus classique en marketing Zineb Issmaili à l’idée en 2020 de lancer son projet friperie de luxe, un concept original et surtout eco-friendly. Un bel horizon s’ouvre au marché de la fripe au Maroc. L’émergence de vides dressings de luxe offrant des articles de mode adaptés a tous les styles et pour chaque saison de l’année, a bien été accueillie par les marocains. Les consommateurs continuent d’être attirés par cette catégorie de produits, ou l’on retrouve des articles signés par les plus grands créateurs. La diversité de l’offre du prêt à porter seconde main est impressionnante.
Ayam Zamane offre un large éventail de choix d’articles de mode. Du décontracte au sport chic en passant par le glamour, une panoplie de choix qui satisfait tous les gouts. Le consommateur marocain se permet dorénavant d’opter pour des looks extravagants sans pour autant trop dépenser. L’imprégnation de l’industrie de seconde main dans notre société s’est faite de manière impulsive impactant la demande du marché. A l’exemple d’Ayam Zamane ; friperie trendy ; qui arbore somptueusement ses tenues à prix choc en plein Anfa Place. « Je reste toujours dans l’optique de redonner vie aux articles de seconde main » déclare Zineb Issmaili fondatrice du shop vintage. Le déclic provoqué par la crise sanitaire a joué en faveur de l’industrie du décrochez-moi-ça, le commerce de seconde main a connu un tremplin grâce aux réseaux sociaux. La création de sites et d’applications de vente en ligne d’articles de seconde main et l’implémentation de plateformes accessibles, faciles et commode d’usage a été un avantage qui séduit de plus en plus de consommateurs via leurs vitrines digitales. Que ce soit sur Facebook ou Instagram, des marketplace transactionnelles qui ont pris le modèle du start up à succès Vinted, sont d’avantage sollicitées. Ces plateformes de vente en ligne d’article de seconde main, se familiarisent avec la demande ainsi que la culture du marché marocain en facilitant le processus de vente de cette catégorie de produits à large éventail, elles favorisent l’économie circulaire.
En effet les réseaux sociaux ont changé la perception de la friperie. Ils ont facilité l’accès à ce genre de produits en offrants des services sûr et efficaces notamment les transactions d’achat en ligne et les services de livraison chose qui a permis à d’autres secteurs d’activité de se régénérer économiquement. Les agences digitales se précipitent afin de rendre ces applications simples et pratiques, l’implication des commerces de retoucherie et pressing dans la seconde main est également opportune. Ce mouvement de slow-fashion reconsidéré par la mission de sa boutique Zineb Issmaili a revisité le modèle classique de la consommation en encourageant le consommateur marocain à adopter un comportement Eco responsable en estimant les valeurs de l’éthique du Vert. Cette nouvelle tendance reflète les aspirations hétéroclites du consommateur, qui s’interroge de plus en plus sur les effets néfastes de la Fast-Fashion, relatives à l’écologie, l’économies, l’accès au luxe ou aux pièces rarissimes sur le marché du neuf.
Des motivations plus profondes comme le recyclage, la gestion des déchets l’éco-conception ainsi que l’écologie industrielle et territoriale sont ancrées dans cette consommation pro vert. L’industrie de seconde main a permis de redonner une seconde vie a ces produits qui étaient condamnés en entrainant une consommation engagée qui a coupé court au phénomène d’obsolescence programmée. Vu les complexités climatiques dont souffre la planète, défendre l’économie circulaire en agissant positivement sur l’environnement est en vogue. Limiter les dégâts sur le climat, prévenir la pollution textile et lutter contre l’excès et le gaspillage s’additionnent à la liste d’aspects positifs de la tendance de seconde main. Cette industrie du chiffonné, de l’ancien et de l’usé a su brusquer le modèle de consommation classique en revoyant les normes du pouvoir d’achat du marocain. Une consommation plus maline d’autant plus dans cette période de crise
Zineb Ismaiili, la fondatrice de l’enseigne a fait renaitre ces produits, en les revalorisant après les avoir dénichés dans de multiples virées aux souks marocains. Elle nous explique les détails de ce circuit, de la balle au panier, 100% écolo.
La première source de nos produits sont les associations qui n’ont pas besoins de talons aiguilles mais qui ont par contre besoin d’argent et également les grossistes qui revendent ces articles de seconde main sur le marché international.
C’est un circuit organisé. Je me déplace dans les grands souks du Maroc, je sélectionne et trie je répare et j’expose.
Mes deux critères de choix sont le poids et la rareté. Par exemple, Je ne vends pas un simple pull au prix d’une veste brodée ou d’un cardigan autrichien.
On passe beaucoup de temps à réparer les articles endommagés notamment les boutons. L’article doit être nickel sans aucun défaut pour être revendu et apprécié par le consommateur. J’ai aussi un pressing consacré totalement à ce genre de service.
Ayam Zamane est un store de revente d’articles de seconde main, ce qui est différent de maison Pérenne, où on fait de la création de produits from scratch. L’origine des articles de maison Pérenne sont des produits qui sont invendables tels les couvertures utilisées. Cependant je respecte toujours ma mission, revivre les articles de seconde main.
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