Avec sa petite coupe signature, son franc-parler et son sourire espiègle, Salma Akesbi s’impose comme l’une des figures les plus pétillantes du paysage audiovisuel marocain. Animatrice et productrice passionnée, elle a marqué ce Ramadan avec son nouveau programme sur CNBTV Afrique du Nord, où elle a ouvert le bal en beauté avec Hatim Ammor. Toujours là où la musique bat son plein, elle enchaîne les projets ambitieux, du Karaoké Isawa aux coulisses de son podcast « Yalla ». Une chose est sûre : Salma n’a pas fini de faire parler d’elle !
- Après un mois de diffusion de ce programme de divertissement de Ramadan, quelle est la meilleure émission et la célébrité avec laquelle vous avez eu le plus d’émotion ?
Cela fait presque un mois que notre programme est diffusé sur la chaîne CNBTV Afrique du Nord, et le bilan est très positif. L’audience est au rendez-vous, et les retours du public sont encourageants. L’épisode qui m’a le plus marquée reste celui avec Hatim Ammor. C’était mon premier épisode, et j’ai trouvé en lui un artiste d’un calibre exceptionnel. Il a su répondre avec simplicité et beaucoup de respect, ce qui a rendu notre échange fluide et authentique.
- Pourquoi avoir accepté de collaborer avec cette nouvelle chaîne ?
Après une période d’absence médiatique, je souhaitais revenir avec une belle référence. Lorsque cette opportunité s’est présentée, j’ai tout de suite été séduite par le concept et l’envergure de cette chaîne maghrébine. C’était un nouveau défi pour moi, d’autant plus que j’avais déjà travaillé avec une chaîne marocaine. Cette collaboration m’a permis d’élargir mon réseau et de travailler avec des talents de différentes nationalités, ce qui est extrêmement enrichissant.
- Du rap marocain à la musique moderne arabe, c’est un grand changement pour vous ?
Non, ce n’est pas un changement, mais plutôt une continuité dans mon parcours artistique. La musique, sous toutes ses formes, m’a toujours passionnée. Je reste dans mon domaine et dans l’actualité musicale et artistique. Explorer différents styles m’incite à aller de l’avant et à diversifier mon contenu.
- Comment vous préparez-vous à chaque émission : le stylisme, la mise en beauté et la préparation de vos questions ?
Pour ce qui est du stylisme et de la mise en beauté, je fais appel à des experts qui connaissent mon visage et mes traits. Pour le stylisme, je fais appel à la styliste Fadwa Alifdesign, qui me conseille également. Avant chaque tournage, je prends soin de ma peau avec des soins préparatoires chez Skin by Aya. De plus, je consulte régulièrement ma dermatologue, Dr Fadwa Lahlou, pour maintenir l’éclat et la santé de ma peau, surtout avec le maquillage fréquent. J’adore la narration et l’investigation. Avant chaque émission, je mène des recherches approfondies sur mes invités, en m’informant auprès de leur entourage et en explorant leur parcours. Plutôt que de suivre un script rigide, je préfère un échange spontané, où mes questions évoluent en fonction des réponses de l’invité.
- Et après Ramadan, que préparez-vous ?
Après Ramadan, je me concentre sur deux projets : le Karaoké Isawa, un événement festif et immersif qui se tiendra le deuxième jour de l’Aïd avec Saad El Kouhen, en partenariat avec le Studio des Arts et le lancement d’un studio de podcast, baptisé PODCASTLAB, offrant un espace équipé de matériel haut de gamme et un coaching personnalisé assuré par son fondateur, le journaliste Reda Bennis.
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