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Nour-Eddine Sail

 » ‘Elle sera encore plus belle à 50 ans’ et il avait raison ! »

Mercredi 22 février Nadia Larguet a fêté ses 50 ans lors d’une très jolie soirée en toute simplicité, à l’image de la journaliste et animatrice, hymne aux années 80. Une petite fête d’anniversaire marquée par le bel hommage que son fils Suleiman Alexandre Sail a rendu à ses parents. 

Du haut de ses 13 ans, micro à la main en digne fils de sa mère et le verbe pointu et élégant à l’image de son père,  » ‘Elle sera encore plus belle à 50 ans’ et il avait raison ! », s’est exclamé le jeune adolescent vibrant d’intelligence, de fraicheur et de bienveillance envers sa maman. Emue aux larmes ou presque, sous les lumières de la petite scène du club « La Cigale », un lieu classé au patrimoine, que la veuve de Nour-Eddine Sail a choisi entre mille endroits pour marquer ses 50 ans, Nadia Larguet embrasse son fils Suleiman et c’est le bonheur à l’état pur tout simplement. « C’était extrêmement touchant de l’entendre me dire cela devant un parterre de Happy Few« , nous dit Nadia en évoquant le beau monde venu en toute simplicité. « La simplicité c’est tellement beau« . Oui, l’ex-présentatrice de l’émission « Entract » sur 2M a bien exigé de ses invités de « venir comme ils sont, sans chichi« .

Fêter 50 ans c’est important pour la journaliste qui a immortalisé sur les colonnes de Hola! Maroc ses 40 ans puis ses 45 ans lors de reportages photos et interviews à coeur ouvert et si inspirants. « Un endroit historique (…) Il était important pour moi de choisir un endroit qui me ressemble ayant une âme et une histoire à raconter. Cette fête était totalement à mon image, bienveillante et conviviale« , nous confie Nadia larguet en regagnant la piste de danse et en rejoignant ses invités. « Jamais je ne pourrais oublier cette très jolie soirée avec une playlist année 80 que DJ Mirko maîtrise à la perfection. Tout le monde a dansé et a oublié son téléphone le temps d’un moment Cigalien« .

En attendant ses 55 ans, Nadia nous livre avec humour et décadence, un joli album photo en souvenir de cette belle soirée, comme on les aime nous les quinquas !

SULEIMAN ALEXANDRE SAIL

MONSIEUR RACHID MAANINOU AMBASSADEUR DU MAROC AU KAZAKHSTAN, TADJIKISTAN, TURKMENISTAN ET LA KIRGHIZE
YOUNES CHAMI
NOOR TALBI
BRUNO PERRUSSEL
SANAA KADMIRI, SOFIA MESTARI
BACHIR THIAM, MARIA CHRAIBI, DRISS JAYDANE, DAMI ZELLE
DRISS JAYDANE, MURTADA CALAMY, MOHAMED OULKHOUIR
SAMIA YAKBAH MAKE UP ARTIST
OMAR SALIM
YASSINE FENNANE, YOUNES IDRISSI
YASSINE BOURITA
KARIM MARRAKCHI, SOUFIANE ZAHIRI, AZIZ AOUADI, SIMO CHAOUI
FATY EL JAOUHARI ET RAJA TAITAMBOU
AHMED HAJOUBI ARTISTE
KARIM BOUKAA, MOHAMMED ALI KADIRI, JAWAD LARAKI, SIMO LARAKI
FAMILLE LARGUET
MAROUANE GHARNATE
YOUNES LAZRAK
YOUSSEF MIRIGUE DJ
MARIA NACIRI

Crédits photos : CBA STUDIO

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Sous le haut patronage de Sa Majesté le roi Mohammed VI, le Festival national du film (FNF) de Tanger a lancé sa 22ème édition avec une pluie d’hommages aux grandes figures du cinéma marocain. Nadia Larguet a rendu grâce elle-même à feu Nour-Eddine Sail pour toute une vie engagée pour le cinéma marocain.

C’est la première fois que la journaliste et animatrice monte sur une scène de cinéma pour parler de son mari défunt et pour cause il s’agit de celle de Tanger que le cinéaste a voulu écrin annuel de ce festival national lancé en 1982 dans plusieurs villes du royaume.

« Rendre hommage à quelqu’un qui n’aimait pas les récompenses n’est pas simple et rendre hommage à un ancien footballeur, prof de philo qui avait réussi l’exploit de diffuser de la Champions League sur 2M, cela complique sérieusement les choses » a ainsi entamé son discours Nadia Larguet non sans son humour naturel malgré l’émotion. 

« A moi qui ai passé vingt ans avec toi, tu ne me manques pas car tu es toujours là (coeur) et là (tête) et on le sait bien une légende ne meurt jamais » a-t-elle conclu son discours en rejoignant le Ministre de la culture Mehdi Bensaid et recevoir le trophée de son mari.

Une édition bien spéciale marquée justement par un vibrant hommage rendu au réalisateur Abderrahman Tazi pour son film « Le Grand Voyage » (1981), celui-là même qui a vu Nour-Eddine Sail consacré pour le prix du meilleur scénario lors de la toute première édition du festival orchestrée en 1982 à Rabat.

Cette édition du plus important festival de cinéma du pays après celui de Marrakech, compte dans sa compétition officielle en autres longs métrages marocains les films «Green Card» de Hicham Regragui, «Chettah (Le Danseur)» de Lotfi Ait Jaoui, «Haut et Fort» de Nabil Ayouch, « Redemption Day» De Hicham Hajji, «Murs effondrés» de Hakim Belabbes…

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