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Notre-Dame de Paris, la majestueuse cathédrale gothique située en plein cœur de la capitale française, est l’un des monuments les plus emblématiques et les plus visités du monde. Son histoire, marquée par des siècles de vicissitudes, de splendeurs et de tragédies, fait d’elle un véritable symbole de la résilience et de la grandeur de l’âme parisienne. Ce monument est bien plus qu’une simple cathédrale : c’est un témoin de l’histoire de France, un chef-d’œuvre architectural et un lieu de mémoire imprégné de récits fascinants.

L’histoire de Notre-Dame de Paris remonte au Moyen Âge, plus précisément au 12e siècle, sous le règne du roi Louis VII. La construction de la cathédrale débute en 1163, sous l’impulsion de l’évêque Maurice de Sully. Elle sera achevée en grande partie à la fin du 13e siècle, bien que de nombreux travaux d’ajouts et de rénovations se poursuivent jusqu’au 19e siècle. La cathédrale est l’une des premières à incarner le style gothique, un courant architectural qui se caractérise par des voûtes élancées, des arcs-boutants et des vitraux colorés, qui symbolisent la lumière divine.

Deux écolières britanniques contemplent la façade ouest de la cathédrale Notre-Dame de Paris lors d’un voyage dans la capitale française, en décembre 1946. Publication originale : Picture Post – 4268 – The Sixth Form Visits Paris – publié le 7 décembre 1946 (Photo de Raymond Kleboe/Picture Post/Hulton Archive/Getty Images).

Le choeur de Notre-Dame de Paris est consacré en 1182, et la cathédrale devient rapidement un centre de culte et un symbole du pouvoir de l’Église catholique en France. Tout au long des siècles, elle sera le théâtre de nombreux événements historiques majeurs, tels que le sacre de Napoléon Ier en 1804 et la célébration du bicentenaire de la Révolution française en 1789.

L’Incendie de 2019 : Une tragédie et un symbole de résilience

Le 15 avril 2019, un drame touche le monde entier : un incendie dévastateur ravage la cathédrale. Les images du feu dévorant la flèche et la toiture de Notre-Dame bouleversent les Français et les millions de visiteurs étrangers qui ont toujours perçu en cette cathédrale un symbole de la France et de l’humanité. La flèche, œuvre de l’architecte Viollet-le-Duc, s’effondre, et une partie du toit est consumée par les flammes. Mais, heureusement, la structure de la cathédrale, ses trésors artistiques et ses magnifiques vitraux sont en grande partie préservés, grâce à l’intervention rapide des pompiers parisiens.

Un pompier est vu en train d’arroser la façade de la cathédrale Notre-Dame de Paris alors que les flammes engloutissent le toit de l’édifice, le 15 avril 2019, dans la capitale française, Paris. Un immense incendie a ravagé la toiture de la célèbre cathédrale située en plein centre de Paris ce jour-là, projetant des flammes et d’épais nuages de fumée grise dans le ciel. Les flammes et la fumée se sont élevées depuis la flèche et le toit de cette cathédrale gothique, visitée chaque année par des millions de personnes. Un porte-parole de la cathédrale a déclaré à l’AFP que la structure en bois soutenant la toiture était dévorée par l’incendie. (Photo de STEPHANE DE SAKUTIN / AFP) (Photo de STEPHANE DE SAKUTIN/AFP via Getty Images)

L’incendie marque le début d’une restauration ambitieuse. En 2024, après cinq années de travaux titanesques, Notre-Dame rouvre ses portes au public, fidèle à sa splendeur d’antan, mais avec des rénovations modernes qui en feront un monument encore plus résilient et adapté aux défis de demain.

Anecdotes et légendes autour de Notre-Damed e Paris

  1. La Reine de l’Île-de-France : Au fil des siècles, Notre-Dame de Paris a toujours été considérée comme la « Reine des Cathédrales ». En raison de son emplacement central et de sa majesté, elle était non seulement un lieu de prière mais aussi un symbole de la royauté et du pouvoir spirituel en France. Elle a été le centre d’un grand nombre de cérémonies importantes, y compris le mariage du roi Louis XIII et l’ordination de nombreux prélats.
  2. Le Destin de Quasimodo : L’un des récits les plus célèbres associés à Notre-Dame est celui du roman de Victor Hugo, Notre-Dame de Paris, publié en 1831. Ce livre a non seulement façonné l’image de la cathédrale dans l’imaginaire collectif, mais il a également introduit le personnage de Quasimodo, le tristement célèbre bossu et son amour pour la belle gitane Esmeralda. La cathédrale est décrite comme un personnage à part entière, imposante et protectrice, mais aussi dévastée par l’injustice sociale et la cruauté.
  3. Les Gargouilles et Statues : Les gargouilles de Notre-Dame, au-delà de leur fonction de canalisateurs d’eau, sont devenues un des éléments les plus iconiques de l’édifice. Ces figures grotesques, souvent inspirées de créatures mythologiques, ont longtemps été perçues comme des protecteurs de la cathédrale, repoussant les mauvais esprits. Parmi les statues les plus remarquables, on trouve celle de la Vierge à l’Enfant, une sculpture mariale qui orne le portail central, ainsi que celles des rois de Juda, figures symboliques qui décorent les murs extérieurs.

Aujourd’hui, après des siècles de splendeur, de guerres, de révolutions, d’incendies et de restaurations, Notre-Dame de Paris reste un lieu chargé de sens et d’émotions. La cathédrale est un symbole non seulement de la foi chrétienne, mais aussi de la culture, de l’histoire et de la résilience de Paris et de la France. Sa réouverture en 2024 après les travaux de reconstruction amorce un nouveau chapitre dans son histoire, une histoire qui continue de fasciner et d’inspirer des générations entières.

Cette photographie montre la cathédrale Notre-Dame illuminée lors d’une cérémonie marquant la réouverture de ce monument emblématique, au cœur de Paris, le 7 décembre 2024. Environ 50 chefs d’État et de gouvernement sont attendus dans la capitale française pour assister à cet événement célébrant la reconstruction de ce chef-d’œuvre gothique, cinq ans après l’incendie de 2019 qui avait ravagé ce site classé au patrimoine mondial et fait tomber sa flèche. Environ 250 entreprises et des centaines d’experts ont participé à ce projet de restauration de cinq ans, pour un coût de plusieurs centaines de millions d’euros. (Photo de Dimitar DILKOFF / AFP) (Photo de DIMITAR DILKOFF/AFP via Getty Images)





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Ce soir, la cathédrale Notre-Dame de Paris a rouvert ses portes après cinq années de travaux de restauration, marquant ainsi un moment historique pour la capitale française et pour le monde entier. L’événement, d’une ampleur exceptionnelle, a vu la présence de nombreuses personnalités internationales, dont des chefs d’État et des membres des familles royales. Parmi eux, Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid du Maroc a illuminé la cérémonie de sa présence, apportant une touche royale et distinguée à ce rassemblement solennel.

Vêtu d’un somptueux selham, et portant un fez traditionnel, le Prince Moulay Rachid a captivé l’attention des invités, reflétant à la fois la richesse de la culture marocaine et le respect de cette occasion monumentale. Son allure élégante et sa prestance n’ont fait qu’ajouter à la solennité de l’événement, alors qu’il se tenait aux côtés du président français Emmanuel Macron et de la Première Dame Brigitte Macron, accueillant tous les participants avec grâce.

Le Prince Moulay Rachid, Président du Festival International du Film de Marrakech (FIFM), a fait le déplacement à Paris alors même que le festival touchait à sa fin. Bien que ses obligations liées au FIFM aient été intenses ces derniers jours, le Prince n’a pas hésité à jongler entre ses engagements culturels et royaux. Sa présence à la réouverture de Notre-Dame de Paris, à peine quelques heures après la conclusion du prestigieux événement cinématographique, témoigne de son dévouement à soutenir la culture, tout en représentant dignement la monarchie marocaine sur la scène internationale.

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La soirée du 7 décembre restera gravée dans l’histoire : Notre-Dame de Paris, joyau du patrimoine mondial, a rouvert ses portes après avoir été ravagée par un incendie dévastateur le 15 avril 2019. Cinq ans de travaux minutieux et l’engagement de près de 2 000 artisans et bâtisseurs ont permis de redonner vie à cet emblème architectural, symbole de la résilience et du génie humain.

PARIS, FRANCE – 7 DÉCEMBRE
(Photo par Pascal Le Segretain/Getty Images pour Notre-Dame de Paris)

Pour marquer cette renaissance, le président Emmanuel Macron a convié une pléiade de figures politiques et de têtes couronnées du monde entier. Ce rassemblement exceptionnel sur le parvis de la cathédrale a incarné l’universalité de Notre-Dame et son importance culturelle et spirituelle.

Des têtes couronnées et des figures prestigieuses

La cérémonie a été honorée par la présence de membres éminents des familles royales. SAR le Prince Moulay Rachid, représentant du Maroc, a été chaleureusement accueilli par Emmanuel et Brigitte Macron. Le prince William, venu représenter le Royaume-Uni a également fait le déplacement. À son arrivée, il a échangé quelques mots avec le couple présidentiel, marquant un moment de camaraderie internationale.

PARIS, FRANCE – 7 DÉCEMBRE : Le président de la République française, Emmanuel Macron, le prince William, prince de Galles, et Brigitte Macron assistent à la cérémonie marquant la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris le 7 décembre 2024 à Paris, en France. Après cinq années de restauration, la cathédrale Notre-Dame de Paris rouvre ses portes au monde en présence d’Emmanuel Macron et d’une cinquantaine de chefs d’État, dont Donald Trump, invités pour l’occasion. (Photo par Regine Mahaux/WireImage)

Tout comme l’archiduchesse Marie Astrid de Luxembourg et le grand-duc Henri accompagné de la grande-duchesse Maria Teresa, ont également honoré cet événement de leur présence. Le prince Albert II de Monaco, sobre et élégant, était lui aussi parmi les invités prestigieux.

PARIS, FRANCE – 7 DÉCEMBRE : SAR le prince Moulay Rachid du Maroc, Rachid ben El-Hassan Alaoui, salue le prince Albert II de Monaco, la reine Mathilde de Belgique et le roi Philippe de Belgique lors de la cérémonie marquant la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le 7 décembre 2024 à Paris, en France. Après cinq années de restauration, la cathédrale Notre-Dame de Paris rouvre ses portes au monde en présence d’Emmanuel Macron et d’environ cinquante chefs d’État, dont Donald Trump, invités pour l’occasion. (Photo par Pascal Le Segretain/Getty Images pour Notre-Dame de Paris)

Une représentation politique internationale pour l’occasion

Aux côtés des têtes couronnées, de nombreux dirigeants et personnalités politiques étaient présents. Emmanuel et Brigitte Macron, impeccablement élégants, ont échangé avec Nicolas Sarkozy et Carla Bruni, François Hollande et Julie Gayet, ainsi qu’avec Jill Biden et sa fille Ashley, venues représenter les États-Unis. Le président allemand Frank-Walter Steinmeier, la Première ministre italienne Giorgia Meloni, le président élu américain Donald Trump et le président congolais Denis Sassou Nguesso figuraient également parmi les invités.

PARIS, FRANCE – 7 DÉCEMBRE : Brigitte Macron, Ashley Biden, la Première dame Jill Biden et le président de la République française, Emmanuel Macron, assistent à la cérémonie marquant la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris le 7 décembre 2024 à Paris, en France. Après cinq années de restauration, la cathédrale Notre-Dame de Paris rouvre ses portes au monde en présence d’Emmanuel Macron et d’environ cinquante chefs d’État, dont Donald Trump, invités pour l’occasion. (Photo par Regine Mahaux/WireImage)

Et surtout, beaucoup d’émotion !

Ce rassemblement, d’une rare diversité, a témoigné de l’impact universel de Notre-Dame et de son rôle comme symbole d’unité.La cérémonie a débuté par un discours poignant d’Emmanuel Macron, qui a salué le travail acharné des artisans ayant œuvré à la restauration. Le président a rappelé la symbolique de la cathédrale comme témoin des grandes heures de l’histoire française et européenne. Son intervention s’est conclue sur des mots vibrants : “Vive Notre-Dame de Paris, vive la République et vive la France. Dans l’atmosphère sacrée de l’édifice restauré, des performances musicales sublimes ont enchanté les invités, mêlant des classiques intemporels à des compositions modernes spécialement conçues pour l’occasion. La lumière projetée sur la nouvelle flèche, reconstruite avec une précision remarquable, a illuminé la nuit parisienne, rappelant la lumière d’espoir qui renaît même dans l’adversité.

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La mode marocaine illumine Saint Germain des Prés lors des défilés de l’Oriental Fashion Show qui s’est achevé sur une note marocaine qui a illuminé de ses couleurs Paris.

La collection de la créatrice de mode Mouna Benmakhlouf lors du défilé Oriental Fashion Show à Paris
La collection de la créatrice de mode Nadia Ksiyer lors du défilé Oriental Fashion Show à Paris

Deux talentueuses créatrices qui assument parfaitement leur identité et leur héritage tout en étant résolument modernes ont présenté des collections reflétant leur passion pour leur culture marocaine. Nadia Ksiyer (Nûn) et Mouna Benmakhlouf puisent dans le style artisanal marocain qu’elles construisent et qu’elles intègrent à des coupes résolument modernes et contemporaines. Faisant appel aux artisans marocains pour sauvegarder le patrimoine et le savoir-faire local, ces deux femmes entrepreneuses, résolument engagées dans le processus de développement d’une nouvelle vision d’un Maroc de la mode à la fois moderne et traditionnel, réussissent un équilibre parfaitement assumé.

La collection de la créatrice de mode Mouna Benmakhlouf lors du défilé Oriental Fashion Show à Paris
La collection de la créatrice de mode Nadia Ksiyer lors du défilé Oriental Fashion Show à Paris

Nadia Ksiyer, créatrice audacieuse et débordante d’imagination, réinvente le caftan en lui apportant une légèreté et des thématiques uniques. Inspirée par les styles vestimentaires de sa mère et de sa grand-mère, originaire de Tanger, elle puise dans les multiples facettes du Maroc pour créer des collections qui allient l’histoire du pays, les éléments architecturaux emblématiques, la faune et la flore endémiques, ainsi que les ressources riches de cette terre. Quant à Mouna Benmakhlouf, elle a étudié l’art et le design à Paris avant de se lancer avec succès dans la création de sa propre marque. Reconnue pour ses créations délicates et stylées, elle fait preuve d’une imagination débordante et d’une créativité sans limite en utilisant des matériaux inattendus et en proposant des formes novatrices. Sa nouvelle collection de caftan couture met en valeur l’artisanat marocain traditionnel, tout en y apportant une touche de modernité, grâce à des techniques innovantes.

La créatrice Mouna Benmakhlouf lors du défilé de l'Oriental Fashion Show à Paris
La créatrice Nadia Ksiyer lors du défilé de l'Oriental Fashion Show à Paris

Au-delà de la scène des défilés, l’Oriental Fashion Show joue un rôle crucial dans la promotion de la mode marocaine et orientale, permettant aux designers marocains d’avoir une plateforme internationale qui franchi les frontières géographiques et culturelles pour atteindre une audience mondiale, célébrant une communauté mondiale passionnée de mode et ouverte aux influences et aux échanges culturels. l’OFS construit des ponts entre les continents.

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« Non je ne regrette rien » chantait Rita Kassid un soir des fameuses auditions à l’aveugle de la célébrissime émission « The Voice France ». Ne serait-ce que parce que la jeune candidate marocaine de 19 ans a été le coup de coeur de Amel Bent jusqu’à dire d’elle qu’elle est sa « Petite soeur ». La jeune chanteuse a pis le cap de la capitale française et s’est installée pour affronter son destin. Aujourd’hui, Autrice, compositrice et interprète, la chanteuse casablancaise est déjà une bien grande artiste et chante « Oumi », une douce et à la fois puissante mélodie en hommage à sa maman. Un titre pop aux influences orientales et aux paroles touchantes qui évoquent l’amour, la famille, les amis, le bonheur, la douleur, le partage le respect…

La chanteuse, autrice, compositrice, interprète lance son premier single depuis son passage remarqué à « The Voice France »

  • Waouh ! quelle énergie et quelle chanson quelle voix! Que représente pour vous ce lancement ? Le vrai debut ? Une consécration? Ou alors juste la suite logique de tant de travail et de volonté?

Merci pour vos gentils mots, j L’histoire d’oumi est très spéciale, du studio au tournage du clip, d’une part parce que symboliquement ça représente le premier fruit d’un travail long, acharné et passionné et de l’autre, j’ai tellement rêvé de ce moment toute ma vie, depuis toute petite, que je voulais l’offrir et le dédier à ma mère pour lui faire de mon amour. Après ce n’est que le début, c’est un chemin long où il faut être patient. Donc que du plaisir et j’espère que les gens vont aimer. Je suis ravie et touchée que ce premier single vous plaise. Je pense que c’est à la fois l’aboutissement d’un projet qui a commencé il y a plusieurs années – dès mon enfance à vrai dire – mais aussi l’occasion de présenter au monde une première œuvre qui m’est chère… et j’espère beaucoup d’autres.

Rita chante entre la Soul d’Amy Winehouse et la pop de Beyoncé, mais aussi Edith Piaf, Dalida ou encore Féruz

  • La voix est sublime comme à la première fois ou on l’a découverte sur le petit écran français et… marocain mais alors il y a une révolution toute douce, où se situe t elle? Une direction artistique de ouf ? Un coaching ou un stylisme topissime ou alors c’est juste la petite Rita qui devient une femme… une diva ?

Un peu des trois évidemment. Une douce révolution oui, et beaucoup de découvertes surtout : les combats que je veux mener avec ma musique, le pouvoir d’une équipe incroyable mobilisée autour d’un projet, l’importance de l’entourage, etc. Ce lancement représente un aboutissement. L’aboutissement de la première brique d’un rêve, un travail de nombreuses années qui voit enfin la lumière. Donc oui je suis très contente, je pense même que le jour du tournage du clip était l’un des plus beaux jours de ma vie. Je me sentais trop dans mon élément !

  • Beaucoup vont vouloir vous comparer à d’autres diva cela vous gênerait? Si non qui est votre modèle résolument? Et votre maman c’est sûrement votre modèle aussi car elle est au coeur de cette belle chanson

Si être une diva c’est une forme d’assurance qu’on peut transmettre à travers sa musique, alors je peux vous confirmer que je ne me sens jamais aussi en confiance que quand je suis sur scène ou au studio. Je suis à ma place quand je fais ce que j’aime et c’est encore mieux si j’arrive à le faire ressentir aux autres. J’ai une démarche sincère vis à vis de la musique, je fais ça parce que j’adore ca. Dans ce single et ce clip, j’avais à cœur de proposer un nouvel univers. Être comparée à des artistes qui ont fait le mème pari et qui s’accomplissent dans leur passion, ça me fait toujours plaisir ! Ma mère est évidemment un modèle : c’est une femme forte et positive qui sourit tout le temps. On se comprend beaucoup et en plus on est très copines.

La chanson « Oumi » pour Rita est tout simplement une décoration d’amour à sa maman

 

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L’inauguration de l’Art’Expo Morocco, placée sous le thème « Maroc, terre de cultures et des arts » a eu lieu à la Fondation Maison du Maroc à Paris, le jeudi 24 mars 2022, pour une toute première édition de ce salon qui se veut une exposition itinérante du patrimoine culturel et artistique marocain. De l’ouverture au riche programme de ces trois journées dédiées à l’émotion du made in Maroc, une petite visite comme si vous y étiez.

Sabah Zakhnini fondatrice de Art’Expo Morocco lors de son discours d’ouverture du salon

L’inauguration en grande pompe

La Fondatrice de Art’Expo Morocco, Sabah Zakhnini, a ouvert l’exposition en exprimant « Sa gratitude et ses humbles remerciements à Sa Majesté Le Roi Mohammed VI, promoteur des Arts et de la Culture et premier défenseur du patrimoine national ». « Nous célébrons la Culture et les Arts du Maroc, à Paris, ville lumière, capitale du cosmopolitisme, symbole de la diversité et de l’unité… ». « A travers ces manifestations et votre présence, nous entendons favoriser une réelle interculturalité, et surtout l’éclosion d’un pluralisme plus que jamais nécessaire de nos jours » a t-elle déclarée. Sabah Zakhnini, a lancé la visite de l’exposition en présence du Commissaire de Art’Expo Morocco, Hicham Lahlou et la co-commissaire Maria Kermadi, des artistes, des invités et nombreuses personnalités qui ont pris part à la visite de l’exposition.

Pour Radouan Bachiri, co-organisateur a indiqué dans son intervention la distinction exceptionnelle de la programmation de l’exposition qui rassemble des actrices et acteurs venus de différents horizons témoigne de l’ambition de partager la richesse de la diversité culturelle « Cette manifestation contribue au rayonnement culturel et artistique du patrimoine matériel et immatériel du Maroc et elle est un acte de transmission aux générations actuelle et futures ». 

Le représentant de l’Ambassadeur du Royaume du Maroc en France, Monsieur Walid Remmal, Conseiller Politique, après avoir félicité l’initiative et remercié les organisateurs de Art’Expo Morocco a indiqué qu’il est important de faire revivre le domaine artistique et culturel surtout après une longue durée de sècheresse culturelle dû à la pandémie. Le directeur de l’Institut Royal pour la recherche sur l’Histoire du Maroc, Monsieur Mohamed Kenbib, s’est réjouis de la même vision du projet de valoriser l’Art et la culture.

La cérémonie d’ouverture a été marquée par la présence de plusieurs personnalités dont Monsieur Jack Lang Président de l’Institut du Monde Arabe à Paris, Les artistes, ivoirien Pathé’O et Sénégalais Le Berger de l’île de Ngor, entre autre grands noms marocains, maghrébins et africains de l’art et de la culture. 

Artisanat, Mode et Musique Made in Maroc

La riche programmation du salon n’a pas manqué de dédier la journée du samedi à la mode avec un défilé des créateurs de mode Karim Tassi, Jean-Doucet et Pathé’O, animé par la divine chanteuse marocaine Sofia Mestari qui a performé en toute élégance dans des caftans de Fadila El Gadi. 

 

 

 

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À l’occasion de la première édition de l’Art’Expo Morocco, une exposition itinérante, mettant en lumière le patrimoine culturel et artistique marocain, rassemblant des actrices et acteurs qui font vivre la culture, les arts et l’artisanat, qui se tient à la Maison du Maroc à Paris, avec la France comme nation d’honneur, le designer franco-marocain Hicham Lahlou, nommé Commissaire permanent de l’événement, nous parle du salon, le temps d’une pose photo à Paris, entouré des artistes Ivoirien Pathé’O et Sénégalais Zulu.

  • En quoi l’Art’Expo Morocco est un rendez vous attendu et important pour la promotion du patrimoine artistique marocain?

La 1ère Edition de Art’Expo Morocco à Paris, placée sous le thème « Maroc, terre de culture et des arts », les 24, 25 et 26 mars 2022 à la Fondation Maison du Maroc, est à saluer grandement après deux années très difficiles pour la communauté des artistes de tous les domaines, qui pour la plupart n’ont bénéficié d’aucun soutien financier, moi-même y compris.

  • Quel est votre pierre à cette jolie aventure qui commence d’ailleurs par une ville et un pays qui est dans votre ADN?

Cette première édition est en quelque sorte, l’occasion d’une renaissance pour tous les artistes invités dans l’une des plus belles villes du monde et une des capitales les plus actives comme vitrine de l’art et la culture de la planète. Beaucoup des artistes invités encouragent l’initiative fondée par Sabah Zakhnini qu’elle co-organise avec Radouan Bachiri en partenariat avec la Fondation Maison du Maroc pour cette première édition, que j’encourage personnellement depuis le début, en tant qu’un des invités d’honneur et également Commissaire et Co-Commissaire avec Maria Kermadi.

  • Notre petite étoile nous dit que le prochain rendez-vous sera en Afrique… Là aussi, c’est votre univers de prédilection n’est ce pas !

Ce salon est pour moi un hymne au dialogue et à la fraternité avec des artistes invités du Maroc, de la France, du Sénégal, de la Cote d’ivoire, pour ne citer que ces nations-là ; où la coopération sud sud est célébrée avec notre très cher continent, notre mère l’Afrique avec la présence de grands noms comme Pathé’o, Zulu entre autres artistes … Un salon dédié à la valorisation du patrimoine pluriel du Royaume du Maroc dont l’Afrique est partie prenante.

Alors oui, j’ai le plaisir et l’honneur d’apprendre que je suis commissaire permanent de l’évènement et que nous allons travailler ensemble pour une édition Africaine. Je lance alors, un appel de bonne volonté pour que cette initiative soit encouragée et portée par les Marocains du Monde et que eux aussi contribuent grandement au rayonnement de notre pays et continent rappelons-le !

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Après New York qui a croqué la mode doucement entre ses dents, 6 journées durant, Londres a fait sonner sa grande cloche pour inviter les modeuses et modeurs aux messes de la mode de l’automne prochain. Milan se prépare à dérouler son tapis rouge et Paris réajuste ses lumières pour clôturer le marathon mode des capitales. 

New York : petite édition grands shows

La plus spectaculaire des collections qui aurait pu être présentée à la semaine de la mode new yorkaise est sans nul doute celle de Thom Browne. Pendant que Mark Jacobs, Ralph Lauren, Tom Ford, président du syndicat américain de la mode himself, ont annulé leur défilés pour cause de crise sanitaire liée à la pandémie de covid, Michael Kors, Brandon Maxwell, Carolina Herrera, coach ont eux, maintenu leur show. Mais si Thom Browne a préféré profité de l’écrin du MET Gala pour exposer ses merveilleuses scènes mode, Proenza Schouler a posé son podium dans une galerie d’art de l’East village et Christian Cowan a visé haut en défilant sur l’observatoire du World Trade Center. La Grande pomme a ainsi affiché son vert de l’espoir, sous toutes ses nuances et avec un peu d’extravagance qui fait toujours du bien au moral, celui aussi, d’une industrie de la mode sérieusement touchée par le virus.

 

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Londres : Effervescence, audace et fraicheur urbaine

Elle n’a absolument rien d’hivernale cette Fashion Week londonienne qui va plier son catwalk demain après avoir donné un bon souffle d’air frais à la capitale British. Les grands créateurs défilent mais n’ont pas fait de l’ombre aux jeunes talents. Nensi Dojaka elle, est la sensation de cette petite semaine de la mode hiver 2022/2023, sans surprises, l’Albano-londonienne a captivé la fashionosphère avec ses robes ultra sexy et ses sandales de pluie. Une féminité fragile et tout en puissance et en douceur s’est ressentie également dans le vestiaire de Richard Quinn qui a le privilège de voir la fille de Kate Moss, Lila, arborer sa robe de mariée.

Milan et Paris : Les grandes marques pointent leurs griffes

Même si de grandes capitales dans le monde ont instauré leur Fashion Week et d’autres l’ont réinventé aux valeurs du monde d’aujourd’hui et de demain en terme de durabilité et de responsabilité, à l’instar de plusieurs pays scandinaves, les grandes villes de la mode restent Milan et Paris. Quatre fois par an, elles vivent et portent leur grand marathon des défilés de mode prêt à porter et haute couture, avec l’affluence de créateurs, de médias et de grands influenceurs. C’est sur ces podiums que les tendances sont décrétées au grand jour par des monstres sacrés de la mode comme Versace, Fendi ou encore Max Mara qui donnent le ton à Milan et iconiques comme Dior, Saint Laurent, Louis Vuitton, Chanel, Balmain, Balenciaga, Isabel Marant…

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Promouvoir le patrimoine culturel marocain à l’international, c’est la vocation de Art’Expo Morocco. Mêler dans une fusion magique, l’artisanat, l’art et la culture Made in Maroc dans le cadre d’une exposition riche et hautement relevée d’ingrédients précieux qui composent les merveilles du Royaume, c’est ce que Sabah Zakhnini, Franco-Marocaine, concocte pour son événement qui orchestre sa toute première édition au coeur de La Maison du Maroc à Paris fin mars prochain. L’experte en communication marketing et relations publiques, met toute sa passion pour son pays qu’elle a retrouvé en 2009 et tout son engagement citoyen dans cette manifestation qui va représenter une belle plate-forme d’expression des artistes marocains d’ici et d’ailleurs. 

« Art’Expo Morocco a été créé afin de partager la richesse de la culture marocaine, son histoire millénaire, son riche patrimoine matériel et immatériel. Ce patrimoine a solidement conforté les principes de cohésion sociale, de dialogue, de tolérance, de paix et a fait du Maroc un pays interculturel et de tolérance »

  • L’attrait du Maroc dans le monde prend de plus en plus d’ampleur depuis l’avènement du covid, c’est ce qui aurait motivé la tenue de votre événement cette année? 

En tant que citoyenne marocaine et de par mon fort attachement au Maroc, j’ai souhaité créer Art’Expo Morocco afin de promouvoir notre riche patrimoine artistique et culturel à l’international. Le Maroc est un pays aux multiples splendeurs, que j’aime tellement et que j’ai d’avantage découvert lors de mon installation au Maroc en 2009. C’est en revenant en France et précisément à Paris en 2019 pour la naissance de mon fils, que le manque du Maroc s’est accentué au fil du temps. Ce qui m’a également motivé à créer cet événement, ce sont toutes ces personnes que je rencontre en France, de différentes nationalités, qui souhaitent découvrir ou revoir le Maroc. J’en ai parlé très rapidement à mon ami de longue date Radouan Bachiri, un grand patriotique, fervent  amoureux du Maroc et aussi un grand professionnel dans son domaine. Il a immédiatement accepté l’aventure. Je l’en remercie. Le savoir-faire des artisans et leurs œuvres, l’art, la littérature, l’art culinaire, l’art contemporain, la musique, le théâtre, les festivals, son Histoire et bien d’autres aspects, voilà ce que Art’Expo Morocco, a vocation de mettre en lumière dans le monde entier. 

  • Pourquoi Paris comme écrin de cette toute première édition 

L’Expo va sillonner le monde, avec Paris comme première ville hôte, connue et appréciée pour ses monuments mythiques, ses musées, sa Seine, ses activités culturelles et artistiques. C’est mon choix pour cette toute première Edition car c’est aussi la ville où j’ai passé une partie de ma vie. La France est mon pays de naissance, celui de mon enfance, ma jeunesse, et de mes études. Et puis la Fondation Maison du Maroc se trouve à Paris, c’est un écrin symbolique, un lieu unique en son genre, avec un espace de vie agréable où se côtoient plus de 140 nationalités différentes.

  • Faire connaître le patrimoine artistique marocain et ses protagonistes devient la thématique de plusieurs événements et de différents formats, quel est pour vous votre engagement effectif pour la mise en lumière et la valorisation du made in Maroc ?

Nous avons nommé très rapidement, le commissaire de cet événement, le talentueux Hicham Lahlou, le grand designer et architecte d’intérieur marocain, qui n’est plus à présenter et que je remercie ; la Co-Commissaire qui n’est autre que l’Artiste peintre  franco-marocaine, Maria Kermadi, que je remercie également pour le travail accompli dans la préparation de cet événement d’envergure avec tant d’autres personnes, exposants, artistes, partenaires.

Notre vocation est aussi de faire émerger de jeunes talents, ainsi que de recevoir des artistes internationaux qui souhaitent rendre hommage au Maroc. J’ai eu la chance de rencontrer et d’échanger avec de nombreux artistes, écrivains, historiens de différents horizons, du Maroc, du Sénégal, de Côte d’Ivoire, de France, d’Italie, de Suède, d’Israël, et bien d’autres pays qui portent tous le Maroc dans leur cœur. Chacun, a une histoire profonde avec le Royaume du Maroc qu’ils tiennent à raconter et de fait, ils participent avec joie à Art’Expo Morocco.

  • Trois choses Made in Maroc que vous faites au quotidien ou que vous consommez, loin de votre pays ?

Je suis une grande adepte des rituels de beauté marocains qui sont transmis de génération en génération et apportent des bienfaits à notre corps. L’huile d’argan, l’eau de rose, le gommage à la figue de barbarie, ma crème pour mains à la fleur d’oranger sont des produits que j’utilise chaque jour et qui ne me quittent jamais. Au rendez-vous d’Art’Expo Morocco, vous trouverez justement des créateurs de rituels de la beauté marocaine.

J’ai une affection particulière aussi pour l’eau de fleurs d’oranger du Maroc, je ne peux pas me passer du petit pchit du matin et du soir. En plus, de ses multiples bienfaits son parfum enveloppe la pièce, quel plaisir ! Un produit marocain purement naturel d’un parfum envoûtant et suave. Une de mes autres habitudes de consommation est le classique et incontournable thé à la menthe que je consomme régulièrement seule à la maison ou entre amis et famille. Le thé à la menthe, servi à la tradition marocaine est pour moi l’expression la plus raffinée de l’hospitalité et de convivialité marocaine. Il est bien plus qu’une boisson chaude, il représente tout un art de vivre que nous aurons le plaisir de vous présenter lors de Art’Expo Morocco.

  • Le Made in Maroc est d’abord humain n’est-ce pas! Comment vous l’incarnez vous-même en tant que marocaine vivant à l’étranger et en tant que femme ?

J’aime recevoir, c’est un plaisir profond et cela fait partie de notre grande tradition marocaine qui place la convivialité et l’hospitalité au cœur de la vie sociale. Une table apprêtée, une belle nappe brodée, un magnifique service en porcelaine, des mets marocains, un bon thé à la menthe, une décoration marocaine, un parfum d’ambiance… où partage et convivialité sont les essences de la culture marocaine. L’art de vivre marocain, c’est une longue histoire, des siècles de tradition transmises de génération en génération. Dès que le temps me le permet, je réunit mes proches. Ces dernières années de pandémie ont freiné nos envies de se retrouver de par les règles sanitaires. Maintenant que tout cela est presque derrière nous, c’est avec grand plaisir que je reprends nos belles habitudes de rencontres et de convivialité à plus grande échelle cette fois et ce, en organisant l’Art’Expo Morocco. L’échange, la solidarité, la tolérance sont des valeurs humaines ancrées en moi que je partage et transmets autour de moi.

Les participants de l’Art’Expo Morocco partagent aussi ces valeurs et c’est à travers l’art et la culture que nous souhaitons rappeler que le Maroc est une terre de culture et des arts, d’où le slogan choisi pour cette première édition. Aussi pour rester fidèle à mes traditions, je lance mon invitation à tous les amoureux du Maroc et à ceux qui souhaitent l’approcher en attendant d’aller fouler sa terre un beau jour. 

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Demain vendredi 14 janvier le marathon des fashion weeks européennes démarre. Honneur aux hommes qui arpentent les podiums de Milan avant d’atterrir à Paris le 18 janvier, sur fond de covid.

Si les semaines de la mode sont toujours marquées par la crise sanitaire du covid-19 qui a repris sa énième vague en cet hiver 2022, beaucoup de marques ont tout de même décidé de maintenir leurs défilés en présence d’un public, à l’instar de Dior, Loewe, Hermès entre autres seize marques des soixante dix sept représentations de la fashion week. Armani lui a carrément annulé son show à Milan, Giorgio et Emporio, haute couture  Armani Privé également. J.W.Anderson a lui opté pour un défilé digital. À Paris, le show de Louis Vuitton sans Virgil Abloh restera l’événement attendu de la fashion week parisienne. La dernière semaine de janvier marquera sans nul doute, malgré la pandémie, les journées haute couture avec un calendrier provisoire malgré tout, de vingt neuf maisons dont Schiaparelli, Chanel, Valentino, Jean Paul Gaultier, Fendi… pour ne citer que ces marques qui orchestreront leurs défilés avec un public et une diffusion en digital.

NEW YORK EST PRÊTE À PORTER LA MODE AU FÉMININ

La semaine du prêt à porter féminin reste le clou de cet agenda effervescent de la mode qui présentera les tendances de l’hiver 2022/2023 à partir du 11 février jusqu’au 8 Mars, journée internationale de la femme justement. De la Grande Pomme à la ville lumière, les shows alterneront présentiel et virtuel comme l’impose encore la pandémie qui n’a pas encore tiré sa révérence. Mais la mode a toujours le dernier mot, se mettant, grâce aux designers les plus engagés, au diapason des dernières révolutions que connait le monde post covid, en matière de durabilité et de responsabilité. 

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