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Selon un communiqué publié par le prince Albert II de Monaco, la princesse Charlène a bien suivi une intervention médicale en Afrique du Sud où elle se trouve depuis bientôt quatre mois.

 

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« l’intervention s’est bien passée, la princesse Charlène se repose nous pensons tendrement à elle« , a écrit le prince sur le communiqué. L’épouse du prince Albert II de Monaco avait annoncé cet acte médicale lors de sa dernière interview à South Africa Radio. La princesse « s’est dite en voie de guérison et qu’elle allait encore subir une autre intervention médicale qui nécessiterait forcément une longue période de convalescence ». « Malheureusement, j’ai eu un problème avec mes oreilles et j’ai découvert par les médecins que j’avais une infection assez grave », a-elle avoué à la Radio locale, précisant la date de « fin octobre » pour son retour à sa vie normale et ses activités en Principauté. « Il faut du temps pour régler le problème que j’ai. Je ne peux pas forcer un traitement, je serai donc en Afrique du Sud jusqu’à la fin octobre », a-t-elle confié.

Partie en Afrique du Sud pour assumer ses activités de la fondation qui porte son nom pour la protection des Rhinocéros, pour seulement dix jours, la maman des jumeaux Jacques et Gabriella, victime d’une grave infection qui a attaqué le système ORL, a du rester bloquée en Afrique ne pouvant supporter un vol au-dessus de 20000 pieds d’altitude pour regagner le Rocher. La princesse n’a pas succombé à la maladie ni l’éloignement de sa famille, loin de célébrations aussi importantes que son anniversaire de mariage, s’engageant encore plus pour sa cause pour les Rhinocéros et la faune en général du continent. L’ex-nageuse sud-africaine a lancé une campagne via un cliché d’elle-même en noir et blanc, la montrant en guerrière en position du combat avec la légende, « La corne des rhinocéros n’est pas cool ! Unissons-nous sous mon initiative #ChasingZero et mettons fin aux atrocités qui mettent en danger notre précieuse faune » a-t-elle écrit.

 

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Voilà près de trois mois que l’épouse du prince Albert II de Monaco est partie en Afrique du Sud assumer ses activités de la fondation qui porte son nom pour la protection des Rhinocéros. Un séjour initialement organisé sur dix jours, a duré bien plus longtemps en raison d’une grave infection qui a attaqué le système ORL de la maman des jumeaux Jacques et Gabriella. La princesse s’est enfin confiée à la radio locale de son pays natal, a donné de ses nouvelles et a parlé d’une éventuelle date de retour auprès de sa famille.

La date de retour

Dans ses déclarations à la radio locale africaine, La princesse « s’est dite en voie de guérison et qu’elle allait encore subir une autre intervention médicale qui nécessiterait forcément une longue période de convalescence ». « Malheureusement, j’ai eu un problème avec mes oreilles et j’ai découvert par les médecins que j’avais une infection assez grave », a-elle avoué à South Africa Radio, précisant la date de « fin octobre » pour son retour à sa vie normale et ses activités en Principauté. « Il faut du temps pour régler le problème que j’ai. Je ne peux pas forcer un traitement, je serai donc en Afrique du Sud jusqu’à la fin octobre », a-t-elle confié.

Les détails de sa maladie

L’ex-nageuse avait donné à la chaine sud-africaine News 24, tous les détails de sa maladie, parlant d’une intervention dentaire pour pose d’implants à Monaco qui a provoqué des douleurs à l’oreille de la princesse une fois en Afrique du Sud. Elle est alors diagnostiquée souffrant d’une grave infection à l’oreille qui l’empêche de prendre l’avion en raison de la pression de ses oreilles qui ne supporteraient pas un vol au-dessus de 20000 pieds d’altitude.

La princesse Charlène dans sa résidence en Afrique du Sud, communique quotidiennement avec ses jumeaux Jacques et Gabriella

La princesse suit les JO Tokyo

Loin des grands événements du Rocher, à l’instar du concert de la Croix-Rouge à Monaco ou l’ouverture des Jeux Olympiques de Tokyo, l’ex-championne de natation et olympienne, classée cinquième aux JO de Sydney en 2000, suit assidument les épreuves sur ses écrans, notamment celles de la natation. La sportive a félicité cette semaine sa compatriote Tatjana Schoenmaker qui a remporté une médaille d’or et battu le record du monde des JO à Tokyo.

La douleur de l’éloignement

« Mon mari et mes enfants me manquent beaucoup. Ce qui a été extrêmement difficile, c’est que l’équipe médicale m’a dit que je ne pouvais pas revenir pour mon 10e anniversaire de mariage. Alberto est le principal pilier de ma vie et de ma force, sans son amour et son soutien. n’aurait pas pu surmonter ce moment douloureux » avait confié la princesse en juin dernier. Ses publications sur ses réseaux sociaux, réjouissent les monégasques quant à son contact quotidien avec ses enfants et son mari, via des appels vidéo, en attendant leurs retrouvailles cet automne.

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La princesse Charlène de Monaco partage des photos choc sur ses réseaux sociaux enlaçant un rhinocéros.

Depuis les fêtes de Pâques, Charlène de Monaco n’avait plus assuré d’activité ni posté de clichés sur ses réseaux sociaux. Et en ce 18 mai, le retour de la Première dame du Rocher est on ne peut plus remarquable.

L’épouse du prince Albert apparait aux côtés d’un rhinocéros blessé, tantôt le caressant tantôt carrément l’enlaçant tendrement. Des clichés touchants accompagnés de la légende : « Merci à vous de ne pas nous oublier » et signés du célèbre photographe animalier Christian Sperka. Des photos qui rappellent fortement l’engagement de la maman de Gabriella et Jacques contre le braconnage qui ravage son pays natal. 

La princesse, en plus de sa fondation qui travaille en Afrique du Sud à assurer la sécurité aquatique pour les enfants, les jeunes et des athlètes défavorisés, elle est impliquée dans diverses organisations à travers le monde et est co-patronne de The Giving Organization Trust. Elle est passionnée par la conservation de la faune en Afrique du Sud et la lutte contre le braconnage des rhinocéros, qui pousse les rhinocéros au bord de l’extinction. La crise du braconnage des rhinocéros a commencé en 2008 et des milliers de rhinocéros africains ont été tués pour leur corne. Depuis 2015, les effectifs de braconnage ont diminué, mais un rhinocéros est toujours tué pour sa corne toutes les 22 heures en Afrique du Sud! Les autres pays africains touchés par le braconnage des rhinocéros sont le Kenya, le Zimbabwe et la Namibie.

L’ex-nageuse qui porte toujours le crâne rasé avec néanmoins la moitié de sa crinière qui a poussée sur le haut de la tête depuis cette fin d’année, peut compter sur le soutien de son mari, dans sa mission de sauver « ces animaux incroyables de l’extinction (…) », qui prend très au sérieux cette cause en consacrant des récompenses pour ces activistes de la protection des Rhinocéros et de la biodiversité en général.

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