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Mélita Toscan couverture Hola maroc

Rayonnante et élégante, Mélita Toscan du Plantier incarne à la perfection le raffinement et la passion du cinéma. À l’occasion du Festival International du Film de Marrakech, HOLA! MAROC a rencontré celle qui, depuis plus de deux décennies, façonne l’un des événements culturels les plus prestigieux du Royaume. Entre amour pour le Maroc, engagement pour le septième art et admiration pour l’artisanat marocain, elle se confie avec sincérité.

Mélita Toscan

Une muse du caftan aux yeux azur et à la chevelure dorée. S’il ne fallait qu’une phrase pour décrire la Directrice et Conseillère du Président de la Fondation du Festival International du Film de Marrakech, SAR le Prince Moulay Rachid, ce serait incontestablement celle-ci. Ce n’est pas seulement sur le tapis rouge de l’un des plus grands rassemblements cinématographiques au monde que Mélita Toscan du Plantier arbore fièrement l’habit traditionnel. Sur ses hauts talons signés Louboutin, elle a souvent osé des étoffes de velours ou de soie taillées et brodées par de talentueux stylistes marocains. En 2025, l’épouse de Feu Daniel Toscan du Plantier, l’homme qui a eu toute la confiance de Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour lancer le FIFM en 2001, bouclera son quart de siècle dédié au Festival. L’occasion de raconter à HOLA! Maroc son aventure marocaine, les débuts de ce grand événement et son amour pour le caftan.

C’est en septembre 2000 que Mélita Toscan du Plantier foule pour la première fois le sol marocain, accompagnée de son défunt mari, Daniel Toscan du Plantier, pour poser les fondations du Festival International du Film de Marrakech. « J’ai toujours rêvé d’aller au Maroc, et cette décision a changé ma vie », confie-t-elle avec émotion. De Marrakech à Tanger, en passant par Rabat et Ouarzazate, elle a découvert un pays à la culture vibrante et à l’hospitalité légendaire. « Je suis fascinée par la générosité des Marocains, leur sens de l’accueil et la richesse de leur patrimoine », souligne-t-elle.

  • Pouvez-vous nous raconter votre toute première expérience au Maroc ? Quels souvenirs marquants en gardez-vous ?

C’était en septembre 2000, avec mon mari, pour définir les lignes de la première édition du FIFM, à l’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Nous avons rencontré les autorités locales, visité les lieux possibles, etc. Je rêvais d’aller au Maroc depuis des années. Mon mari voyageait trop souvent pour son travail, alors il préférait rester dans sa maison de campagne pendant ses vacances. J’ai compris que si je voulais aller au Maroc, il fallait trouver une solution pour que l’on y travaille (sourire). Chose que j’ai faite, et je n’ai pas été déçue ! Cette décision a changé notre vie et la mienne depuis. Dès le début, j’ai été frappée par la beauté des lieux, la lumière, la générosité des Marocains, la culture, la nourriture et la douceur de ce pays. Cependant, depuis 2001, le festival a su faire ses preuves et est devenu un événement incontournable.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Telle une icône intemporelle de la Mamounia, Mélita Toscan du Plantier nous a accueillis dans la suite Al Mamoun pour une séance photo et une interview empreintes de raffinement. Sans artifices inutiles, la directrice du festival incarne l’humilité et la grandeur des grandes dames, laissant la majesté du caftan sublimer sa beauté naturelle. « J’aime aussi la gandoura », confie-t-elle, vêtue d’une pièce signée Maison Fatim
  • Avec votre défunt mari, Daniel Toscan du Plantier, qu’est-ce qui vous a séduits dans ce pays au point de vous y engager aussi profondément ?

Le Maroc est un pays merveilleux que j’ai appris à connaitre et à comprendre petit à petit. J’y ai vu des paysages époustouflants ! Je suis souvent allée à Tanger avec mes enfants, à Taroudant, Ouarzazate, dans le désert, à Casablanca, Fès, Agadir, mais surtout à Rabat où l’on se réunit pour préparer le Festival. J’aime beaucoup cette ville que je trouve belle et apaisante. C’est à Témara que je suis venue me réfugier avec mes enfants après la mort de mon mari pendant plusieurs semaines. Nous passions notre temps entre Témara, Rabat et la plage de Skhirat.

  • Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez porté un caftan ? Quelle a été votre impression en le revêtant, qu’est-ce que cela symbolise pour vous aujourd’hui ? Par ailleurs, en avez-vous reçus en cadeau ?

La première fois que j’ai porté un caftan, c’était en France, à la cérémonie des César en 2003 pour l’hommage à mon mari. Il s’agissait d’un cadeau que je venais de recevoir, et il était devenu évident pour moi de le porter à cette occasion. Plusieurs couturiers français voulaient m’habiller, mais j’ai préféré ce caftan bleu foncé à la fois sublime et sobre. Mes caftans sont tous des cadeaux. J’en possède une quinzaine aujourd’hui.

Drapée dans un somptueux caftan rouge et noir signé Maison Fatim, Mélita Toscan du Plantier sublime l’élégance marocaine avec une grâce inégalée. « Je préfère le caftan à une robe du soir », avoue-t-elle avec une admiration particulière pour les créations marocaines. Lors du dîner royal du 30 novembre 2024, elle brille dans un somptueux caftan en velours noir, orné de broderies marocaines, signé Frédérique Birkemeyer, une tenue qu’elle chérit particulièrement.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Radieuse et solaire, Melita Toscan du Plantier traverse le temps avec une grâce inégalée. Drapée dans un somptueux caftan rouge et noir de Maison Fatim, elle prend la pose avec la fluidité d’une ancienne mannequin. « Je préfère le caftan à une robe du soir », partage-t-elle, en louant la richesse des créations marocaines »

LE FESTIVAL DE MARRAKECH, UNE AVENTURE HUMAINE ET ARTISTIQUE

Depuis plus de 20 ans, Mélita Toscan du Plantier s’investit avec passion pour faire du FIFM un événement de prestige international. « Les premières années, nous devions tout inventer. Il a fallu apprendre, s’adapter et toujours innover », explique-t-elle. La première édition du festival en 2001, organisée seulement trois semaines après les attentats du 11 septembre, a été un défi de taille. « Il a fallu convaincre, rassurer et prouver que Marrakech pouvait accueillir un événement d’envergure », se rappelle-t-elle.

  • Vous résidez encore, toujours et éternellement à la Mamounia lors du festival, pourquoi cette suite Al Mamoun ?

Je suis effectivement à la Mamounia pendant le Festival, mais je ne loge pas dans la suite Al Mamoun. Cette suite était disponible pour la séance photo et suffisamment spacieuse pour créer différentes ambiances. J’apprécie beaucoup la Mamounia, un site historique de Marrakech et l’un de nos principaux partenaires. Nos invités y séjournent et en repartent émerveillés. J’apprécie également le Royal Mansour, où je réside régulièrement depuis son ouverture. Ces deux hôtels sont des lieux magiques qui mettent admirablement en valeur l’artisanat marocain.

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Plusieurs couturiers français voulaient m’habiller, mais j’ai préféré ce caftan bleu foncé à la fois sublime et sobre. Mes caftans sont tous des cadeaux. J’en possède une quinzaine aujourd’hui.
  • Quels souvenirs gardez-vous de vos débuts en tant que Directrice du Festival International du Film de Marrakech et quels défis avez-vous dû relever pour donner une identité unique à cet événement ?

Les deux premières années, je n’avais pas le titre de Directrice, mais je travaillais tout autant qu’aujourd’hui, sans doute un peu plus d’ailleurs, car nous devions tout inventer, créer. Nous nous sommes trompés parfois, alors il a fallu apprendre de nos erreurs pour devenir meilleurs. Nous avons relevé des défis chaque année et nous continuons de le faire. La première année fut la plus compliquée, car elle se déroulait trois semaines après le 11 septembre 2001. Il a fallu se battre pour convaincre, rassurer et sauver cette édition. Elle fut exceptionnelle à bien des égards. Depuis 2018 et avec la naissance des Ateliers de l’Atlas, nous avons trouvé notre identité et la meilleure manière d’aider le cinéma marocain et africain.

  • Après 24 ans de Festival, jusqu’à quel point vous sentez-vous marocaine ? Quelle part du Maroc vivez-vous au quotidien pendant l’évènement ?

Quand je suis au Maroc, je me sens marocaine. Je travaille pour le Maroc et pour son Altesse Royale, le Prince Moulay Rachid. Donc à part la langue que j’utilise, je ne pense pas à la France pendant cette période ! Je ne pense qu’au Festival et à sa réussite. Le FIFM est international comme son nom l’indique, mais il est d’abord marocain et, il est par essence, conçu pour le public et les professionnels marocains. Je suis au service du Maroc pendant cette période. Le cinéma français est à sa juste place, ni plus, ni moins. Les invités français représentent un petit pourcentage, comparés aux autres nationalités. Je travaille avec mes collègues, en grande majorité, marocains. Mon assistante Rita depuis 2004 est marocaine. Ma nationalité n’a pas vraiment d’importance dans ce cadre précis. Ce qui compte ce sont les résultats. D’ailleurs je suis née en France de parents immigrés yougoslaves. Nous ne parlions pas français à la maison et ce jusqu’à la mort de ma mère. C’est à l’école que j’ai commencé à me familiariser avec ma deuxième langue.

Mélita Toscan couverture Hola maroc noir
Par cette journée de décembre ensoleillée, Mélita pose dans la terrasse de la suite Al Mamoun si généreusement et naturellement baignée de lumière, « J’apprécie beaucoup la Mamounia, un site historique de Marrakech et l’un de nos principaux partenaires. Nos invités y séjournent et en repartent émerveillés »
  • Le Maroc, avec son foisonnement culturel et ses traditions séculaires, éveille bien des émotions. Quelles valeurs ou aspects vous touchent – ils particulièrement ?

Les valeurs familiales ! Le fait que les personnes prennent soins des anciens me touche beaucoup. J’aime aussi le respect que mes amis musulmans ont pour les autres religions. Les Français devraient prendre exemple sur cette richesse d’échanges et de partage. Au Maroc, on connait ses voisins, leurs familles, on s’invite les uns chez les autres, on invite les étrangers et on partage le peu que l’on a. En France ou en Occident, c’est chacun pour soi. J’ai un ami médecin à Marrakech qui est allé soigner les victimes du tremblement de terre dans des villages. Il m’a raconté que les gens n’avaient plus rien mais qu’ils lui proposaient du thé, du café et le peu de nourriture dont ils disposaient. Ce sont des valeurs d’humanité qui me touchent profondément.

  • Jusqu’à quel point ressentez-vous l’évolution culturelle et sociale du pays, la progression des droits de la femme ? Suivez-vous ce que fait Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour lesMarocaines ?

Bien entendu ! Je sais ce qu’il a fait pour les femmes et la famille. C’est un exercice difficile, car il faut évoluer tout en respectant la culture marocaine. Mais qui mieux que lui pour le faire ! J’aime voir ensemble des femmes modernes et d’autres plus conservatrices. Parce qu’elles semblent s’aimer et se respecter au-delà de convictions ou de cultures différentes.

Mélita Toscan caftan noir
  • Comment vivez-vous la dernière visite d’Emmanuel Macron et le retour concret des relations Maroc/France ? Y a-t-il eu des impacts positifs sur le festival ?

Je ne fais pas de politique mais j’ai trouvé la presse française en général injuste et arrogante au moment du tremblement de terre au Maroc. J’ai été choquée de certains commentaires de personnes que j’appelaient « les donneurs de leçons ». Le Maroc est souverain et savait ce dont il avait besoin. Il fallait respecter ses décisions et n’avoir que de l’empathie. On essayait de m’en parler régulièrement et je savais très bien quoi répondre ! Je suis heureuse que la France et le Maroc aient de meilleurs rapports à présent. Cela n’a pas influé sur le Festival, car comme je l’ai dit plus haut, il est international et non Français. Aussi, je suis engagée en raison de mes compétences professionnelles et de ma proximité avec le Maroc.

  • Le Président français et Sa Majesté Mohamed VI s’intéressent de très près à la jeunesse. Cela se ressentira-t-il sur les Ateliers de l’Atlas et sur le rôle du FIFM ?

Les jeunes sont l’avenir ! Le Festival est axé sur eux depuis le début puisque la compétition concerne les premiers et deuxièmes films. En outre nous avons toujours invité les étudiants à y participer. Les projections et les leçons de cinéma sont gratuites. Nous faisons un travail de transmission à travers tous les échanges et encore plus avec les Ateliers de l’Atlas. Il y a une relève inspirante dans le cinéma marocain et aussi beaucoup de jeunes femmes ayant des choses à raconter. Nous serons toujours là pour les aider !

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Drapée dans une gandoura bleu céleste qui fait écho à ses yeux azur et sa chevelure dorée, Melita Toscan du Plantier réinvente l’élégance. « Les femmes marocaines ont une beauté naturelle et une grâce unique dans leurs habits traditionnels », affirme-t-elle avec admiration
  • Vos enfants ont grandi ! Quelle est leur relation avec votre univers ?

Ma fille a 26 ans et vit en Australie. Elle veut devenir cheffe et pendant le Festival elle a organisé un diner de quarante personnes qu’elle a baptisé « The Atlas dinner » en l’honneur du Maroc, du Festival et de son père. Elle a créé le menu qui comprenait une pastilla, entre autres. Elle a grandi entre la France et le Maroc et ce dernier lui manque terriblement. Je lui ramène toujours de l’huile d’argan, du savon noir, du parfum à la fleur d’oranger et les gandouras de mon amie Norya, basée Marrakech. Mon fils, lui, a 24 ans et est toujours étudiant à Cambridge. Il vient d’obtenir son deuxième Master et prépare une thèse. Son souhait est de faire découvrir ce pays, qu’il adore, à sa compagne, elle aussi étudiante dans la même université.

  • Après toutes ces années, qu’a apporté le Maroc à votre vie personnelle et professionnelle ?

Le Maroc fait partie intégrante de ma vie, j’en parle et y pense tous les jours. Mes amis marocains me manquent quand je ne les vois pas pendant une longue période. On me pose des questions partout où je voyage parce que je représente le Festival à l’international.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Qu’elle soit vêtue d’un caftan somptueux ou d’une gandoura aux reflets célestes, Mélita Toscan du Plantier traverse le temps avec une élégance inégalée. Après 25 ans d’engagement pour le Festival International du Film de Marrakech, elle continue d’œuvrer avec passion pour faire briller le cinéma marocain et africain sur la scène internationale.
  • Si vous deviez résumer votre amour pour le Maroc en une phrase, que diriez-vous ?

Je l’aime pour sa beauté, l’esprit de famille, le sens de l’amitié, la loyauté, la lumière, la douceur que j’y retrouve et pour ses habitants.

Entretien : Ilham Benzakour Knidel
Caftans : Maison Fatim & Frédérique
Birkemeyer
Makeup Artist : Clotilde Makeup Artist
Louboutin Beauté
Hair Stylist : Sonia Duchaussoy
Dessange Paris
Photos : B-Photographe.com

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Reine au charisme incontestable et figure emblématique du monde arabe, Rania de Jordanie incarne avec brio modernité, élégance et engagement humanitaire. Née le 31 août 1970 au Koweït dans une famille palestinienne, Rania Al-Yassin a grandi avec des valeurs d’ouverture et d’excellence. Après des études en administration des affaires à l’Université américaine du Caire, elle entame une carrière dans le secteur bancaire, avant que son destin ne bascule à la suite de sa rencontre avec le prince héritier Abdallah de Jordanie. Leur mariage en 1993 marque le début d’un parcours exceptionnel qui la conduira à devenir reine en 1999, lorsque son époux accède au trône.

Dès son accession au rang de souveraine, Rania de Jordanie se distingue par son implication sans faille dans les causes sociales et éducatives. Elle œuvre activement pour l’autonomisation des femmes, l’amélioration du système éducatif et la protection de l’enfance. À travers des initiatives novatrices, elle milite pour un accès équitable à l’éducation, convaincue que l’instruction est la clé du progrès et du développement. Son engagement dépasse les frontières de son royaume, la plaçant parmi les figures les plus influentes de la scène internationale en matière de droits humains et de dialogue interculturel.

Si son action humanitaire force l’admiration, son style raffiné et avant-gardiste ne cesse également de séduire. Véritable icône de mode, la reine Rania conjugue avec aisance tradition et modernité, arborant des tenues qui allient élégance et respect des codes culturels. Son apparence, toujours soignée, reflète son rôle de représentante d’une Jordanie ouverte et progressiste.

Sur le plan personnel, la reine Rania est avant tout une épouse et une mère dévouée. Avec le roi Abdallah II, elle a donné naissance à quatre enfants : le prince héritier Hussein, né en 1994 et appelé à régner un jour, la princesse Iman, née en 1996, la princesse Salma, née en 2000, et le prince Hashem, né en 2005. Très proche de sa famille, elle veille à transmettre à ses enfants des valeurs de responsabilité, d’humilité et d’engagement au service de leur pays.

Au-delà des apparences, c’est son intelligence et sa détermination qui font d’elle une souveraine hors du commun. Conférencière inspirante, auteure engagée et ambassadrice infatigable de son pays, elle n’hésite pas à utiliser les nouvelles technologies et les réseaux sociaux pour sensibiliser et partager ses combats. Son influence s’étend bien au-delà du Moyen-Orient, faisant d’elle une voix respectée sur les questions de paix, d’éducation et de développement durable.

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On dit que s’il n’y a pas de femme portant le prénom de Khadija dans une famille, il faudrait au moins l’inscrire sur l’un des murs de sa maison tant il correspond à une personnalité précieuse, tant il symbolise une bénédiction.Il est difficile de ne pas penser à la Princesse Lalla Khadija en echo à  cet ancien proverbe arocain. Ce prénom, qu’elle porte comme une couronne statutaire, incarne toute la grâce et le charme d’une jeune princesse dont le parcours fascine et émeut le Maroc tout entier. De son enfance protégée et baignée d’amour, à son éclosion élégante aux côtés de son père, Sa Majetesté le Roi Mohammed VI, elle représente pour son peuple une véritable fierté, un joyau scintillant dans le ciel de la dynastie Alaouite.

Lalla Khadija, née sous une bonne étoile le 28 février 2007, grandit dans une atmosphère emplie de douceur et de tendresse. Dès sa naissance, elle est présentée au Maroc avec une fierté débordante, un geste unique du Roi et de son épouse Lalla Salma qui souhaitent partager leur bonheur avec la nation. Sa Majesté le Roi Mohammed VI, homme de cœur et de codes, invite deux medias nationaux à capturer ce moment pour le transmettre aux foyers marocains, en particulier aux femmes selon sa volontée annoncée, comme un hommage aux valeurs familiales du royaume. Les premières photographies montrent un bébé entouré d’amour, une adorable princesse au sourire enchanteur. 

Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Maroc pose avec sa fille la Princesse Lalla Khadija, à Rabat, le 28 février 2007. La princesse Lalla Salma, épouse du roi, a donné naissance aujourd’hui à une fille, Lalla Khadija, deuxième enfant de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, a annoncé la famille royale, tandis que des canons ont retenti dans la capitale pour saluer la naissance. AFP PHOTO / ALI LINH (Photo par ALI LINH / AFP) (Photo par ALI LINH / AFP via Getty Images)

Lalla Khadija a eu la chance de grandir dans un environnement baignant dans  la simplicité, aux petits soins et aimant. La volonté de SM le Roi de lui offrir une vie loin des protocoles rigides est manifeste : elle passe ses jeunes années dans une demeure familiale paisible, protégée des contraintes de l’agenda de la cour royale. À quelques pas du palais royal de Rabat, cette maison est un havre de tranquillité où la princesse peut évoluer librement. Dans ce cadre, la petite fille grandit sereinement.  Bien qu ‘évoluant dans une sphère royale, elle conserve un esprit naturel et spontané. 

Le Roi du Maroc Mohammed VI et Lalla Salma et le prince héritier Moulay El Hassan , célèbrent le quatrième anniversaire de la Princesse Lalla Khadija au palais royal de Rabat, le 28 février 2011. AFP / PHOTO / AZZOUZ BOUKALLOUCH (Photo par AZZOUZ BOUKALLOUCH / AFP) (Photo par AZZOUZ BOUKALLOUCH / AFP via Getty Images)

Son premier jour d’école reste gravé dans les mémoires marocaines : ses parents l’accompagnent à pied, dans un geste de proximité de simplicité, rappelant les pratiques plutôt courantes des cours européennes.   Elle est aussi aperçue systématiquement lors de célébrations familiales : kermesses de fin d’année, anniversaires, remises de diplômes et aux mariages de ses oncles et tantes, dont ceux de  S.A.R le Prince Moulay Rachid et Cherifa Lalla Soukaina.

DESTIN D’UNE FIGURE ROYALE EN FAÇONNAGE

Dès sa plus tendre enfance,  elle a accompagné son père dans de nombreuses réceptions officielles comme celles du Roi d’Espagne Felipe VI et de la Reine Letizia ou de l’ex président Français,  François Hollande,On la voit également inaugurer le vivarium du jardin zoologique de Rabat. À cette occasion, on décèle une étincelle dans son regard, un véritable amour pour les animaux qui révèle sa nature joyeuse et épanouie à l’image de son père.  Finalement, dès son plus jeune âge, Lalla Khadija semble consciente de son destin de princesse. Élève au Collège royal, elle reçoit une éducation raffinée, aux côtés de son frère, mélange de rigueur académique et d’ouverture culturelle. Parfaitement polyglotte, maîtrisant plusieurs langues, elle incarne cette grâce discrète, cette aisance naturelle qui sont les marques subtiles de sa lignée. Elle affiche également une curiosité et un enthousiasme certain pour les Arts et la Culture.

Cette immersion artistique lui permet de se forger une sensibilité qui se reflète dans sa prestance et sa vivacité.  De sa mère, SAR la princesse Lalla Salma, elle a hérité d’une grâce et d’une élégance innées. De son père, elle tient un caractère bienveillant.  Ce lien avec SM le Roi est d’ailleurs particulièrement touchant ; derrière chaque photographie, chaque apparition publique, est l’occasion de deviner cette  adoration réciproque.  Sa relation avec son frère,  S.A.R le Prince héritier Moulay Hassan, est tout aussi complice. Ils partagent cette destinée royale avec une parfaite intelligence, formant un duo fraternel prometteur pour l’avenir du royaume.

LE COURT INÉDIT DE L’HISTOIRE 

À l’âge de 11 ans, un bouleversement majeur survient dans la vie de Lalla Khadija :  la séparation en 2018 de ses parents. Une épreuve qui pourrait paraître insurmontable de prime abord pour une enfant si jeune, mais la princesse traverse  cette transition avec une résilience remarquable au vu de sa prestation personnelle extraordinaire lors de ses dernières apparitions officielles. En bon papa engagé et visionnaire,  SM le Roi a assurément dû veiller à ce que cette séparation n’assombrisse en aucun cas son existence. Il met manifestement tout en œuvre pour préserver son équilibre de Princesse de premier cercle royal. Lalla Khadija évolue dans un cadre sain, entourée d’amour et de douceur, sans subir les aléas d’une désunion ordinaire.  On se souviendra toujours de la fois où elle apparaît, en février 2019, sans sa maman, parmi le cortège de la famille royale, lors de l’accueil du couple royal Espagnol. Vêtu de rouge, elle se tient droite, son regard reflétant une certaine timidité. Après un moment de trac,  elle gagne rapidement en confiance, et les Marocains la découvrent sous un nouveau jour : celle d’une jeune Princesse affirmée, à la hauteur du rôle qui lui incombe.  Quelques mois plus tard, c’est lors de la visite du pape qu’elle séduit une nouvelle fois le peuple marocain. Revêtue d’un caftan bleu brodé, elle se présente sereine, élégante, maîtrisant parfaitement les codes d’usages de la cour royale.

RABAT, MAROC – 13 FÉVRIER : La Princesse Lalla Meryem du Maroc, la Princesse Lalla Hasna du Maroc, la Princesse Lalla Asma du Maroc et la Princesse Lalla Khadija du Maroc arrivent pour une cérémonie d’accueil au Palais Royal le 13 février 2019 à Rabat, Maroc. Le Roi et la Reine d’Espagne ont effectué une visite de deux jours au Maroc. (Photo par Carlos Alvarez/Getty Images)

CHEMIN FAISANT, UNE FÉE EST NÉE 

À l’adolescence, elle semble marquer une pause, s’éloignant un temps de la scène publique, pour se consacrer à ses études et à ses passions.  Elle apparaît brièvement en 2024 en Grèce  aux côtés de sa mère et de son frère  en vacances familiales,, dans une vidéo qui a circulé sur les réseaux sociaux. Une vidéo qui a suscité beaucoup d’émotions chez les Marocains qui découvrent que Lalla Khadija n’est plus la petite enfant qu’ils avaient l’habitude de voir. Désormais, c’est une jeune femme accomplie.  En juillet 2023, Lalla Khadija est aperçue furtivement installée sur la banquette arrière de la voiture du cortège royal à Tétouan,  aux côtés de son frère et de son père,  vêtue d’un caftan délicatement brodé et parée d’une rivière de diamants. Une photo devenue virale depuis sur les réseaux sociaux.  Plus récemment, le 28 octobre dernier, c’est avec un éclat surprenant qu’elle a fait son apparition inattendue lors de la visite officielle d’Emmanuel et Brigitte Macron au Maroc. Sa présence a surpris les observateurs du monde entier et ajouté une dimension particulièrement affective à cet événement, captivant ainsi l’attention de tous. Un événement dans l’événement a eu lieu sur le sol de ce tarmac doublement historique ! 

Un convoi transportant Sa Majesté le Roi Mohammed VI du Maroc, accompagné de son fils le Prince Héritier Moulay Hassan et de la Princesse Lalla Khadija, quitte le palais de Tétouan après une cérémonie de fidélité marquant le 24e anniversaire de son intronisation, le 31 juillet 2023. (Photo par FADEL SENNA / AFP) (Photo par FADEL SENNA / AFP via Getty Images)

DE L’ÉLÉGANCE,  ENCORE ET ENCORE…. 

Pour cet événement officiel, richement  chargé de symboles et de codes, la jeune Princesse a fait preuve d’une élégance parfaitement soignée pour la réception royale. Vêtue d’une somptueuse veste évasée en pied-de-poule noir et blanc signée Dior, parfaitement assortie à un pantalon noir ajusté et à des escarpins vernis à bouts pointus, ornés d’une rangée de perles, de la marque Jimmy Choo.  Côté accessoires, chaque détail ajoutait une touche de raffinement : elle portait des pendentifs goutte d’eau agrémentés de perles de culture, accompagnées d’un collier en V finement serti de diamants, d’un bracelet et de bagues assorties, subtils et distingués. Une montre Cartier Baignoire vintage, iconique et intemporelle, et un sac Mini Lady Dior en crocodile noir verni venaient compléter sa tenue d’une élégence absolue.

Sa coiffure, une queue de cheval sophistiquée, apportait un équilibre moderne à cette tenue chic et majestueuse.  Le soir, on la retrouve au banquet offert par le roi, éblouissante et royale, enveloppée dans un somptueux caftan vert foncé brodé de pierreries scintillantes qui captent chaque reflet des lumières. Sur ses épaules repose un selham noir, créant un contraste savamment étudié, du plus bel effet. Son cou est orné d’un choker en diamants et émeraudes, avec des pendants assortis qui rappellent le style emblématique de la Princesse Diana, ajoutant une touche intemporelle et moderne à la fois. À sa main, un petit clutch argenté étincelle discrètement, tandis que ses escarpins à brides fines et délicates allongent sa silhouette avec grâce. Son chignon haut et plaqué laisse apparaître un maquillage subtil, avec juste ce qu’il faut de rouge à lèvres pour rehausser la douceur de son teint de porcelaine. Elle irradie, à la fois classique et pleine d’audace, incarnant l’élégance innée dans toute sa splendeur d’ une personnalité clé féminine de la cour royale aux côtés de ses élégantes et tendres tantes. 

UN NOUVEAU CHAPITRE DANS LES ARCHIVES SACRÉES DE LA DYNASTIE 

La princesse Lalla Khadija se trouve aujourd’hui aux portes de l’âge adulte. En février 2025, elle fêtera ses 18 ans et s’engagera sur une nouvelle voie qui combinera vie académique et engagements officiels, pour le plus grand bonheur des Marocains qui ont suivi avec fierté et admiration son évolution. Aux côtés de son père, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et de son frère, S.A.R le Prince héritier Moulay Hassan, S.A.R Lalla Khadija devient une figure centrale de la famille royale, incarnant l’avenir et les espoirs du Maroc et assumant une visibilité et des responsabilités accrues.  En elle, les Marocains voient la digne héritière d’une illustre lignée et une nouvelle étoile qui illumine la scène royale internationale.

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La princesse Leonor d’Espagne, héritière du trône, incarne la future génération de la monarchie espagnole avec une image à la fois moderne et ancrée dans la tradition royale. Née le 31 octobre 2005 à Madrid, Leonor est la fille aînée du roi Felipe VI et de la reine Letizia, ce qui fait d’elle la première dans l’ordre de succession au trône d’Espagne. Dès sa naissance, elle est placée sous les feux des projecteurs, symbolisant la continuité de la monarchie dans une époque en pleine mutation.

Élevée avec des valeurs solides, Leonor a eu une éducation soigneusement encadrée, qui allie à la fois l’apprentissage des fonctions royales et une vie relativement discrète. Elle a ainsi grandi dans un environnement où l’exigence de son statut est omniprésente, mais elle est également encouragée à vivre une jeunesse normale. Très proche de sa sœur, l’infante Sofía, Leonor a su préserver des relations familiales fortes, tout en assumant ses responsabilités de future reine.

Les passions de la princesse Leonor sont variées, et elle s’est particulièrement distinguée par son intérêt pour les arts et la musique, domaine qu’elle explore avec une grande curiosité. Elle a montré un fort intérêt pour la littérature et la culture, poursuivant des études qui l’aident à se forger une vision du monde plus ouverte et éclairée. Mais c’est surtout son engagement pour les causes sociales et son sens de la responsabilité qui la caractérisent.

En 2021, Leonor a fait ses premiers pas dans la vie militaire, suivant ainsi la tradition des héritiers des monarchies européennes. Elle a intégré l’Académie de l’Armée de Terre à Zaragoza, où elle a effectué sa formation dans le cadre d’un cursus militaire de grande envergure. Cet engagement marque une étape importante dans son parcours, symbolisant son rôle de future dirigeante prête à porter la couronne avec toute la dignité et les valeurs d’un chef d’État. Cette expérience dans les forces armées témoigne de sa volonté d’acquérir les compétences nécessaires pour assumer ses fonctions royales dans un monde moderne, en lien avec des valeurs de service, de discipline et de travail d’équipe.

La princesse Leonor, bien qu’encore jeune, montre un sens aiguisé du devoir, et son futur rôle en tant que reine se dessine déjà avec clarté. Elle représente une Espagne dynamique et prête à affronter les défis du XXIe siècle. En plus de ses engagements militaires et royaux, elle s’illustre par son implication dans des événements officiels et des causes humanitaires, soulignant son attachement aux valeurs de solidarité et de justice sociale.

En tant que future reine, Leonor est un symbole de renouvellement et de modernité, offrant à la monarchie espagnole un visage jeune et en phase avec son époque. Son parcours académique et militaire, ses passions pour la culture et l’engagement social, et son caractère réfléchi en font une héritière aimée et respectée par les Espagnols.

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Letizia Ortiz Rocasolano est née le 15 septembre 1972 à Oviedo, dans la région des Asturies, au nord de l’Espagne. Issue d’une famille modeste, elle est la fille de Jesús Ortiz, journaliste, et de María Paloma Rocasolano, infirmière et syndicaliste. Elle a deux sœurs, Telma et Érika, cette dernière étant tragiquement décédée en 2007. Letizia a étudié les sciences de l’information à l’université Complutense de Madrid, où elle a obtenu une maîtrise en journalisme audiovisuel. Elle a également poursuivi ses études au Mexique, où elle a travaillé pour le journal Siglo XXI.

Avant de devenir reine, Letizia a mené une carrière remarquable dans le journalisme. Elle a travaillé pour des médias prestigieux comme CNN+ et TVE, couvrant des événements majeurs tels que les attentats du 11 septembre 2001 à New York et la guerre en Irak. En 2000, elle a reçu le prix Mariano José de Larra, récompensant le meilleur jeune journaliste d’Espagne, témoignant de son talent et de son dévouement.

C’est en 2002 qu’elle rencontre Felipe, alors prince héritier, lors d’un dîner organisé par des amis communs. Leur relation, d’abord tenue secrète, est rendue publique quelques mois avant leurs fiançailles, annoncées en novembre 2003. Leur mariage, célébré le 22 mai 2004 dans la cathédrale Santa María la Real de la Almudena à Madrid, attire l’attention du monde entier, en grande partie parce que Letizia n’appartenait pas à une famille aristocratique.

Le couple a deux filles, Leonor, princesse des Asturies et héritière du trône, née le 31 octobre 2005, et Sofia, née le 29 avril 2007. Letizia, très investie dans leur éducation, s’efforce de leur offrir une enfance aussi normale que possible malgré leurs futures responsabilités royales.

Passionnée de littérature, d’art et de musique classique, Letizia s’implique également dans des causes humanitaires. Depuis son accession au rôle de reine consort en 2014, elle milite activement pour des sujets comme la santé publique, l’éducation, et les droits des femmes. Elle est particulièrement engagée dans des campagnes de sensibilisation à la nutrition et à la lutte contre les maladies rares.

Souvent décrite comme travailleuse, perfectionniste et discrète, Letizia a su moderniser l’image de la monarchie espagnole grâce à son élégance naturelle et à son style vestimentaire sophistiqué. Elle privilégie les marques espagnoles, mettant ainsi en lumière le savoir-faire de son pays.

Depuis l’accession au trône de Felipe VI, elle a accompagné son mari dans ses obligations officielles tout en menant ses propres projets. Son engagement auprès des organisations internationales, comme l’UNICEF, témoigne de sa volonté de faire de son rôle une mission au service des citoyens. Letizia incarne aujourd’hui une monarchie proche du peuple et ancrée dans les réalités contemporaines, une véritable figure de modernité dans la tradition royale.

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William Arthur Philip Louis Windsor, né le 21 juin 1982, est l’aîné du roi Charles III et de la princesse Diana. Héritier du trône britannique, il incarne dès sa naissance l’avenir de la monarchie. Mais au-delà de son rôle symbolique, le prince William s’est affirmé comme un homme moderne et engagé, profondément attaché à des valeurs de bienveillance, d’équité sociale et de développement durable.

SLEAFORD, ROYAUME-UNI – 12 SEPTEMBRE : Le prince William, prince de Galles, a représenté le roi Charles III lors du défilé du Souverain au Royal Air Force College Cranwell, célébrant 48 cadets de la RAF et 4 cadets internationaux diplômés. (Photo par Max Mumby/Indigo/Getty Images)

Marqué par l’éducation de sa mère, la princesse Diana, William a grandi avec un sens aigu de l’empathie et du devoir. Diana, surnommée la « princesse des cœurs », a veillé à ce que ses fils soient exposés à la réalité du monde, leur inculquant des valeurs d’humilité et de bienveillance. William a poursuivi des études au prestigieux Eton College avant de se former à l’Académie royale militaire de Sandhurst. Il a ensuite servi dans les forces armées, notamment comme pilote d’hélicoptère de recherche et de sauvetage au sein de la Royal Air Force, une expérience qui a renforcé son dévouement au service public.

En 2011, William épouse Catherine Middleton, une union célébrée dans le monde entier. Ensemble, ils forment un couple emblématique de la modernité au sein de la monarchie, à la fois proche du peuple et respectueux des traditions. Parents de trois enfants – George, né en 2013, Charlotte, née en 2015, et Louis, né en 2018 – William et Kate s’efforcent d’offrir à leur famille une enfance équilibrée tout en préparant leurs enfants à leurs responsabilités royales futures.

L’engagement de William pour des causes essentielles est au cœur de son identité publique. En collaboration avec Catherine, il a cofondé « Heads Together », une initiative visant à déstigmatiser la santé mentale et à encourager le dialogue sur ce sujet. Ce projet a marqué un tournant dans la perception publique des enjeux psychologiques et a été largement salué pour son impact positif.

En 2020, le prince a également lancé le « Earthshot Prize », une initiative ambitieuse destinée à récompenser des solutions innovantes pour lutter contre les défis environnementaux mondiaux. Inspiré par la nécessité de répondre à l’urgence climatique, ce projet reflète l’engagement de William en faveur d’un avenir durable et place la conservation de la planète au centre de ses priorités.

Héritier du trône et prince de Galles, William incarne un équilibre rare entre tradition et modernité. Tout en respectant les rituels et les valeurs de la monarchie, il s’efforce d’adapter son rôle aux attentes contemporaines. Avec son charisme naturel, son sens aigu des responsabilités et son implication dans des causes qui façonnent l’avenir, le prince William s’impose comme un leader visionnaire, porteur d’un héritage royal en pleine évolution.

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Ce dimanche, la reine Rania Al Abdullah s’est rendue dans le gouvernorat de Jerash, où elle a rencontré des membres de l’Association Darb Al Noor pour le développement communautaire ainsi qu’un groupe de jeunes entrepreneurs qu’elle avait précédemment soutenus dans le cadre d’un programme de parrainage.

La Reine Rania visite l’Association Darb Al Noor pour le Développement Communautaire à JerashJerash, Jordanie / 5 janvier 2025
© Cour Royale Hachémite

La Reine Rania soutient le développement communautaire à Jerash

Au cours de sa visite, la reine Rania a échangé avec Noor Banat, présidente de l’Association Darb Al Noor, qui lui a présenté les programmes et partenariats de l’organisation avec les institutions locales. L’association se consacre à l’autonomisation des femmes et des jeunes en soutenant leurs projets tout en offrant des espaces sécurisés et des programmes éducatifs pour les enfants.

La reine Rania a également visité Beit Al-Aseilat, un centre d’accueil créé par l’association pour offrir aux touristes une expérience culinaire locale authentique. Les visiteurs peuvent y découvrir la production traditionnelle d’huile d’olive, de zaatar, de sumac et d’autres produits alimentaires. Lors de sa visite, la reine a observé le processus d’extraction de l’huile d’olive, échangé avec les employés de la cuisine de production, et visité la boutique proposant des produits fabriqués par des femmes et des jeunes de la région.

La Reine Rania visite l’Association Darb Al Noor pour le Développement Communautaire à JerashJerash, Jordanie / 5 janvier 2025© Cour Royale Hachémite

Un total look noir pour une élégance intemporelle

Elle a ensuite rencontré des membres du conseil d’administration de Darb Al Noor, qui ont partagé avec elle les réalisations de l’association et leurs efforts pour encourager la participation des jeunes à des initiatives communautaires porteuses de sens.Pour l’occasion, la reine Rania a attiré l’attention avec un élégant total look noir, sublimé par une ceinture dorée qui ajoutait une touche lumineuse à sa silhouette. Une tenue à la fois simple et sophistiquée, parfaitement en accord avec son élégance naturelle.

La Reine Rania visite l’Association Darb Al Noor pour le Développement Communautaire à JerashJerash, Jordanie / 5 janvier 2025
© Cour Royale Hachémite

La Reine Rania, porte-parole de l’inclusion et de la créativité communautaire

Enfin, la reine Rania a conclu sa visite en rencontrant des entrepreneurs locaux, hommes et femmes, qui dirigent des projets générateurs de revenus soutenus en 2024 par la Jordan River Foundation. Ces entrepreneurs ont partagé leurs expériences avec la reine, expliquant comment leurs initiatives répondent aux besoins de la communauté locale tout en créant de nouvelles opportunités d’emploi.

La Reine Rania visite l’Association Darb Al Noor pour le Développement Communautaire à JerashJerash, Jordanie / 5 janvier 2025© Cour Royale Hachémite

Cette visite souligne une fois de plus l’engagement de la reine Rania à soutenir les efforts communautaires et à promouvoir l’autonomie des jeunes et des femmes à travers le royaume.

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Le Nouvel An est souvent l’occasion pour les personnalités publiques d’envoyer leurs vœux de bonheur, de paix et de prospérité. Pourtant, cette année, un couple princier a su captiver l’attention de tous avec un message à la fois simple et profondément émouvant. Si l’on devait voter pour les vœux les plus inspirants de ce début d’année, il n’y aurait probablement aucune hésitation : ce seraient ceux du Prince Hussein et son épouse la Princesse Rajwa de Jordanie.

Le 1er janvier, le Prince héritier Hussein et son épouse la Princesse Rajwa ont partagé un cliché empreint de tendresse et de bonheur. Sur la photo, les jeunes parents apparaissent rayonnants, tenant dans leurs bras leur petite fille, la Princesse Iman. Ce précieux moment, immortalisé avec délicatesse, ne se contente pas de capturer l’amour familial, mais incarne également la joie pure d’une nouvelle année.

À noter que cette image revêt une signification particulière, car le 3 janvier prochain, la petite Iman fêtera ses cinq mois. Un cap important pour la famille royale, symbolisant l’épanouissement et l’harmonie au sein de cette nouvelle génération princière.

Loin des mondanités, ce geste d’une grande simplicité témoigne de l’importance accordée à la famille et à l’amour au sein de la royauté jordanienne. En effet, dans un monde souvent marqué par la célébrité et le protocole, ces vœux personnalisés viennent rappeler que la véritable richesse réside dans les moments partagés avec ses proches.

Ainsi, au-delà des mots, c’est un message d’espoir, de bonheur et de bienveillance que le Prince Hussein et la Princesse Rajwa ont adressé au monde entier, portant une touche d’humanité et de douceur qui a fait fondre le cœur de nombreux Jordaniens et au-delà.

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La reine Mary de Danemark, rayonnante, a inauguré avec éclat le dîner annuel du Nouvel An de la famille royale, cette fois en tant qu’hôtesse officielle aux côtés de son époux, le roi Frederik. L’événement, organisé au somptueux palais d’Amalienborg, a réuni les membres de la royauté et de nombreux dignitaires.

Originaire d’Australie et mère de quatre enfants, la reine Mary, 52 ans, incarnait l’élégance dans une robe longue en velours vert bouteille, ornée de dentelle au niveau du décolleté et des manches. La tenue, agrémentée d’une taille cintrée, mettait en valeur sa silhouette gracieuse. Pour compléter son look, elle portait un spectaculaire diadème d’émeraudes et de diamants, accompagné de boucles d’oreilles assorties, une pochette argentée scintillante à la main et un maquillage éclatant. Ses cheveux étaient coiffés en un chignon semi-défait, ajoutant une touche de modernité à son allure royale.

Copenhague, Danemark – 1er janvier : La reine Mary de Danemark lors d’un gala du Nouvel An au palais d’Amalienborg le 1er janvier 2025 à Copenhague, Danemark. (Photo de Martin Sylvest Andersen/Getty Images)

Aux côtés de la reine, le roi Frederik, 56 ans, portait une tenue militaire d’apparat, renforçant l’aura majestueuse de la soirée. Leur fils aîné, le prince héritier Christian, 19 ans, faisait également sensation lors de ce qui semble être sa première apparition à cet événement. Habillé en tenue de gala, il a attiré les regards et renforcé l’image de la dynastie royale danoise.

L’ancienne reine Margrethe également présente

Malgré son abdication l’an dernier, la reine Margrethe, 84 ans, était présente pour ce rendez-vous incontournable. Elle a fait une entrée remarquée dans une robe bleu vif, complétée par un diadème étincelant et une cape en fourrure. S’appuyant sur une canne, l’ancienne souveraine n’a rien perdu de son charisme. Sa sœur, la princesse Benedikte, 80 ans, brillait également dans une robe violette, accompagnée de perles et d’un élégant châle en fourrure blanche.

Copenhague, Danemark – 1er janvier : La reine Margrethe II de Danemark lors du gala du Nouvel An au palais d’Amalienborg le 1er janvier 2025 à Copenhague, Danemark. (Photo de Martin Sylvest Andersen/Getty Images).

L’abdication de Margrethe, annoncée lors de son discours du Nouvel An 2023, avait été une surprise pour la nation. Après plus de 50 ans de règne, elle cédait le trône à son fils Frederik, qui est officiellement devenu roi le 14 janvier 2024. Toutefois, Margrethe conserve son titre de reine, tout en laissant à la nouvelle génération le soin de guider le pays.

Un portrait de famille pour les fêtes

Quelques jours avant le dîner, la famille royale a partagé un moment intime avec ses sujets à travers une photo de Noël publiée sur Instagram. Sur ce cliché, la reine Mary apparaît rayonnante en pull col roulé crème, entourée du roi Frederik et de leurs quatre enfants : le prince Christian, la princesse Isabella, le prince Vincent et la princesse Josephine. Margrethe, toujours pleine de style, portait une veste à carreaux rose et gris, un pull vert olive et une jupe longue.Un autre instant capturé montre Margrethe en pleine conversation avec son petit-fils, le prince Christian, près du sapin de Noël. Le jeune homme, qui vient de rentrer d’une année sabbatique en Afrique, arborait une tenue décontractée avec un manteau bleu marine et un pantalon beige.

L’année 2024 s’annonce donc sous les meilleurs auspices pour la famille royale danoise, qui continue de conjuguer tradition et modernité avec élégance.

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Admiration, amour et reconnaissance : le Qatar aime Morocco ! Ce soir, « Dar Al Maghreb » à Doha s’est transformé en un écrin de beauté et de créativité pour accueillir le prestigieux « Caftan Fashion Show ». Cet événement exceptionnel, présidé par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa et Son Excellence Sheikha Al Mayassa Bint Hamad Al-Thani, célébrait le génie et l’élégance intemporelle de la haute couture marocaine. Organisé dans le cadre de l’Année Culturelle Qatar-Maroc 2024, ce défilé a rassemblé dix créateurs marocains de renom, alliant traditions séculaires et inspirations contemporaines.

Lalla Hasnaa a littéralement captivé tous les regards, enveloppée dans un sublime caftan bleu aux broderies délicates, hommage éclatant à la richesse du patrimoine marocain. Ce bleu profond était somptueusement accessoirisé par des bijoux de haute joaillerie, reflétant une harmonie parfaite entre modernité et raffinement royal dont ce collier reptile dans un vert captivant rehaussant la tenue et soulignant sa beauté ainsi que son port majestueux.

Le « Caftan Fashion Show » a mis en lumière le savoir-faire exceptionnel de dix créateurs marocains, parmi lesquels Amina Benmoussa, Albert Oiknine, Maison Sara Chraïbi, et Yasmina Benyahya. Leurs créations, inspirées par la poésie du ghazal, la calligraphie arabe et les motifs traditionnels marocains, étaient une ode à l’art et à l’élégance. Ces pièces uniques, où tradition et innovation s’entrelacent, témoignent de la créativité vibrante et de la maîtrise technique des artisans marocains.

Le patrimoine marocain musical, également célébré !

L’événement a également été ponctué par des interludes musicaux qui ont transporté les invités à travers les sonorités riches et variées du patrimoine marocain. Ces moments musicaux ont apporté une dimension immersive et culturelle, renforçant l’atmosphère enchanteresse de la soirée. Parmi les invités d’honneur figuraient des ambassadeurs, des personnalités éminentes du monde de l’art, de la culture et de l’économie, témoignant de l’envergure de cet événement.

Par sa grâce et son style incomparable, la princesse Lalla Hasnaa a incarné l’âme du caftan marocain, tout en sublimant sa modernité. Son apparition dans ce caftan bleu restera gravée comme l’une des plus belles représentations de l’élégance marocaine sur la scène internationale.

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