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mai 25, 2024

Alain Weber, fervent défenseur des traditions musicales et culturelles, producteur et compositeur franco-suisse, voit en Fès un symbole vivant de l’héritage andalou et marocain. « Fès doit continuer d’incarner cet héritage, » affirme-t-il.

Dans une interview exclusive accordée à Hola Maroc, Weber a exprimé son amour et son admiration pour la ville de Fès. Travaillant pour le Festival des Musiques Sacrées du Monde depuis plus de dix ans, il considère cette expérience comme une opportunité extraordinaire. « J’ai eu la chance inouïe de m’impliquer dans ce festival. C’est un privilège de contribuer à la préservation des musiques traditionnelles, ce patrimoine immatériel et intemporel. »

Alain Weber est reconnu pour sa capacité à découvrir et valoriser le savoir-faire, son rôle de directeur artistique, son management, et sa passion pour le talent et la beauté. Pour lui, l’authenticité et la vérité sont les couleurs justes de son travail. On ne compte plus les mises en scène, les festivals, et les salles de spectacles qu’il a conduits et mis en lumière. Weber aime choyer les spectateurs en les emmenant dans des voyages musicaux vers de lointaines contrées, permettant la découverte et l’appréciation de nouveaux sons et images.

Il souligne l’importance cruciale de préserver ces traditions face aux défis contemporains comme le changement climatique et les conflits mondiaux. « Conserver ses traditions et sa langue est une tâche formidable, et le Festival de Fès joue un rôle essentiel en ce sens. Le Maroc a pleinement conscience de sa richesse culturelle et de sa diversité, » explique-t-il.

Le thème de l’Andalousie, choisi pour cette édition du festival, est particulièrement cher à Weber. « L’Andalousie est un patrimoine absolument incroyable qui nous ramène à l’Orient et à la philosophie ancienne. Fès est sans conteste l’héritière de l’Andalousie et incarne cette richesse historique et culturelle. » Il rappelle que le festival a abordé divers thèmes chaque année, comme l’Afrique et son patrimoine culturel avec « Léon L’Africain », ou le thème de la femme avec « Un ciel plein d’étoiles ». Le programme de l’édition 2024 s’inscrit dans cette diversité culturelle que le festival défend depuis 26 ans.

Weber ne cache pas son émerveillement devant la Médina de Fès, une véritable perle préservée au fil des siècles. « Il faut reconnaître que le Maroc, et particulièrement Fès, est très attaché à son patrimoine. Je n’arrive pas à croire que la Médina de Fès puisse exister dans un monde moderne. Le fait d’avoir pu conserver cette Médina est un véritable miracle. Fès a gardé son identité intacte. Fès est une ville miraculeuse, » conclut-il avec admiration.

La rédaction /Hola Maroc

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Le rideau s’est levé sur le 77e festival de Cannes au son des notes iconiques de Star Wars. Sous le charme de la musique de la saga de George Lucas, l’actrice française Camille Cottin a inauguré son discours de clôture en comparant avec humour le jury à « huit Jedi et leur maîtresse Yoda », faisant allusion à la présidente du jury, la réalisatrice Greta Gerwig. Dans un autre clin d’œil à la saga cinématographique américaine, elle a également qualifié les films en compétition de « 22 guerriers de l’alliance rebelle ».

Un moment solennel a suivi, avec la remise d’une Palme d’honneur à George Lucas, le visionnaire derrière Star Wars. Cette distinction, présentée par une autre légende du cinéma américain, Francis Ford Coppola, a été saluée par des acclamations enthousiastes du public et du jury. Ému aux larmes sur scène, le réalisateur-producteur de 80 ans a exprimé sa gratitude envers Coppola, déclarant : « Francis, c’est un grand ami, un grand frère, je le remercie pour ce qu’il a toujours fait pour moi. » Il a ensuite humblement partagé son émotion en ces termes : « C’est une boucle qui se ferme un peu. Je suis venu ici aujourd’hui pour vous remercier. Je ne suis qu’un gamin qui a grandi au milieu des vignes en Californie. C’est un grand honneur d’être ici. »

La cérémonie a également offert un hommage vibrant à l’impact durable de Star Wars sur la culture cinématographique mondiale. Un montage émouvant d’extraits de la saga, comprenant des répliques cultes telles que « Que la force soit avec toi » et « Je suis ton père », a captivé l’audience. Les responsables du festival de Cannes avaient préalablement salué George Lucas pour avoir élevé le blockbuster au rang de véritable art cinématographique et pour avoir procuré aux spectateurs du monde entier un plaisir cinématographique inégalé

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Lors de la somptueuse cérémonie de clôture du 77e Festival de Cannes, le jury présidé par Greta Gerwig a couronné le film « Anora » de l’Américain Sean Baker de la prestigieuse Palme d’Or. Cette victoire marque la première fois en treize ans qu’un film américain décroche ce prestigieux prix. Le film, porté par la talentueuse Mikey Madison, raconte l’histoire poignante d’une jeune travailleuse du sexe cherchant à s’échapper de sa condition par un mariage fortuné. Sean Baker réussit à captiver et émouvoir avec une énergie débordante et une réalisation impeccable.

Le Grand Prix a été attribué à « All We Imagine as Light » de l’Indienne Payal Kapadia et « Emilia Perez » de Jacques Audiard. Kapadia, première Indienne sélectionnée en compétition, bouleverse avec un magnifique récit sur un trio de femmes dont les destins se croisent de manière poignante. Audiard, avec son approche audacieuse, livre une comédie musicale étonnante sur un narcotrafiquant mexicain repenti.

Le Prix de la mise en scène a été décerné à Miguel Gomes pour « Grand Tour », une épopée hybride qui, malgré quelques controverses, impressionne par son ambition et sa profondeur narrative. Mohammad Rasoulof a reçu un Prix spécial du jury pour « Les Graines du figuier sauvage », une fable puissante et émouvante qui métaphorise la situation politique en Iran.

Les prix d’interprétation ont célébré l’excellence des performances. Karla Sofía Gascón, Zoe Saldana, Selena Gomez et Adriana Paz ont partagé le Prix d’interprétation féminine pour leurs rôles dans « Emilia Perez » de Jacques Audiard, tandis que Jesse Plemons a remporté le Prix d’interprétation masculine pour son rôle dans « Kinds of Kindness » de Yórgos Lánthimos.

Le Prix du scénario a été attribué à Coralie Fargeat pour « The Substance », une comédie choc et gore sur le vieillissement du corps féminin, mettant en vedette Demi Moore. Le talent de Fargeat pour fusionner l’humour noir avec des thèmes sociétaux profonds a été particulièrement salué.

Le Caméra d’or a été décerné à « Armand » de Halfdan Ullmann Tondel, avec une mention spéciale pour « Mongrel » de Chiang Wei Liang, qui malgré son approche pessimiste, se distingue par sa singularité et sa force narrative.

Enfin, la Palme d’or du court métrage a été attribuée à « The Man Who Could Not Remain Silent » de Nebojsa Slijepčević, clôturant ainsi un festival riche en émotions et en découvertes cinématographiques.

US director Sean Baker
Indian director Payal Kapadia
French director Jacques Audiard
Iranian director and producer Mohammad Rasoulof

La rédaction/Hola Maroc

 

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La princesse héritière Victoria de Suède a participé à la réunion annuelle du Fonds mondial pour la nature (WWF) sur l’île d’Idöborg, suivie d’une exploration de l’île de Nämdö en compagnie de son fidèle compagnon à quatre pattes, Rio.

 

Un rassemblement annuel en faveur de la protection de l’environnement

Chaque année, le Fonds mondial pour la nature (WWF) organise une réunion annuelle en Suède pour discuter des enjeux environnementaux et des actions à entreprendre pour la préservation de la nature. Cette année, l’événement a eu lieu sur l’île d’Idöborg, dans l’archipel de Nämdö, au large du comté de Stockholm. La princesse héritière Victoria de Suède, qui est une ardente défenseure de la cause environnementale, assiste régulièrement à cette réunion, démontrant ainsi son engagement envers la protection de la nature.

L’archipel de Nämdö a été choisi pour accueillir cette réunion pour plusieurs raisons. En effet, cette région de la Suède est d’une grande importance écologique, abritant une diversité d’espèces végétales et animales. De plus, plusieurs organismes, dont l’Agence de protection de l’environnement, le conseil administratif du comté de Stockholm, l’Autorité maritime et des eaux, ainsi que la municipalité de Värmdö, travaillent actuellement sur un projet visant à désigner certaines zones de l’archipel comme des parcs naturels. La réunion du WWF sur l’île d’Idöborg a donc offert une occasion unique de sensibiliser les participants à l’importance de préserver cette région et de soutenir cette initiative.

Exploration de la nature avec rio : tradition et engagement personnel

Après les délibérations officielles de la réunion du WWF, la journée de la princesse héritière Victoria s’est poursuivie avec une excursion dans la nature. Accompagnée de son fidèle chien Rio, un mélange de caniche et de Cavalier King Charles Spaniel, la princesse a exploré l’île de Nämdö, la plus grande île de l’archipel. Cette promenade a permis à la princesse de découvrir de près la beauté naturelle de la région et d’en apprendre davantage sur les efforts de conservation menés par la communauté locale.

La présence de Rio aux côtés de la princesse héritière est devenue une tradition bien établie lors de ces sorties dans la nature. Le chien, qui est un Cavapoo, est devenu la mascotte des fréquentes promenades de Victoria et symbolise son engagement envers la protection de l’environnement. En effet, la princesse héritière s’est également fixé comme défi personnel de visiter l’ensemble des zones désignées comme réserves naturelles en Suède, démontrant ainsi son engagement profond envers la préservation de la nature et de la biodiversité.

 

 

 

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La reine Letizia d’Espagne a assisté à la première projection du documentaire « La Ciencia de las Mujeres de África » (« La science des femmes africaines »)  au palais de la Presse à Madrid. Ce film, réalisé par Pedro Jiménez et Begoña Piña, met en lumière l’expérience de scientifiques africains participant au programme « Science by Women », qui vise à promouvoir le leadership des femmes africaines dans la recherche scientifique.

 

 

Le documentaire, projeté en présence de la reine Letizia, retrace les huit premières années du programme « Science by Women ». Ce programme permet à des scientifiques africains de réaliser des séjours dans les meilleurs centres de recherche en Espagne. À travers les témoignages des scientifiques, le film révèle les défis et les réussites de ces femmes dans leur domaine, mettant en avant l’importance du transfert de technologies et du renforcement des capacités des centres de recherche espagnols.

La reine Letizia, vêtue d’un tailleur bleu signé El Corte Inglés, a été accompagnée par la ministre de l’Inclusion, de la Sécurité sociale et de la Migration, Elma Saiz, ainsi que par María Teresa Fernández de la Vega, présidente de la Fondation Femmes pour l’Afrique. Cette fondation joue un rôle clé dans le programme en soutenant les scientifiques africains et en favorisant leur intégration dans le milieu de la recherche espagnole. En raison d’une fracture à un orteil, la reine Letizia portait ses célèbres baskets blanches de la marque Vivobarefoot, préférant le confort aux escarpins à talon. Cette touche de décontraction n’a pas échappé à l’assistance, soulignant une fois de plus l’élégance moderne de la reine.

Promouvoir l’inclusion et le leadership féminin

Ce film offre au spectateur un voyage fascinant à travers les parcours de ces scientifiques africaines. Leurs témoignages personnels illustrent non seulement les avancées scientifiques réalisées, mais aussi les obstacles qu’elles ont dû surmonter. La reine Letizia, toujours attentive aux questions d’égalité et d’inclusion, a souligné l’importance de ces initiatives pour renforcer la collaboration internationale et soutenir le développement scientifique global.

Le programme « Science by Women » et le documentaire qui en découle sont des témoignages puissants de la résilience et de la détermination des femmes africaines dans le domaine de la science. Ils illustrent également l’impact positif des échanges internationaux sur le progrès scientifique et le développement des capacités locales. La présence de la reine Letizia à cet événement souligne l’engagement de l’Espagne à soutenir l’égalité des sexes et à promouvoir la science à l’échelle mondiale.

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À l’occasion de la 27ème édition du Festival de Fès des musiques sacrées du monde, organisée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, sous le thème: « La quête de l’Esprit Al-Andalus ». À cette occasion, SAR la Princesse Lalla Hasnaa a procédé à la remise du « Prix jeunes talents-Esprit de Fès » aux lauréats du conservatoire de musique de Fès, organisé en partenariat avec la Fondation « Esprit de Fès ».

Il s’agit des prix du violon et du Qanoun décernés à Khadija Amiri, Omar Benhayoun Sadafi, Yassir Tajmouati et Meryem Chekrada. la suite, Son Altesse Royale a posé pour une photo souvenir avec les artistes.

La rédaction /Hola Maroc

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Le Caftan Marocain, ce symbole intemporel de l’artisanat et de la culture du Maroc a été particulièrement honoré lors du 77ème Festival de Cannes. Porté avec grâce et allure par les célèbres top modèles Leila Hadioui et Dalal Ghazali, le Caftan a une fois de plus captivé l’attention des spectateurs du monde entier lors de la montée des marches.

Le Caftan, avec ses broderies délicates, ses tissus luxueux et ses coupes majestueuses, est bien plus qu’un simple vêtement. C’est une œuvre d’art vivante qui raconte l’histoire et la richesse culturelle du Maroc à travers ses motifs et ses couleurs. Chaque pièce est le fruit d’un savoir-faire ancestral, transmis de génération en génération, et c’est cette tradition qui a été célébrée avec éclat à Cannes cette année.

Le choix de Leila Hadioui et Dalal Ghazali de porter le Caftan lors de cet événement emblématique n’est pas seulement un hommage à la tradition marocaine, mais aussi une déclaration de style et de sophistication. Leur présence éblouissante sur le tapis rouge a renforcé la renommée internationale du Caftan marocain, le plaçant au cœur de la scène de la mode mondiale.

La rédaction

/Hola Maroc

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En présence de SAR la Princesse Lalla Hasnaa lors de l’ouverture de la 27ème édition du Festival des Musiques Sacrées du Monde de Fès, Abderrafie Zouiten, Président de la Fondation « Esprit de Fès », a prononcé un discours empreint de passion et de fierté pour célébrer l’importance culturelle et spirituelle du Festival de Fès des Musiques Sacrées du Monde.

Il a magnifiquement rappelé que ce festival est devenu un rendez-vous mondial incontournable, véritable incarnation de l’âme et de l’esprit de la ville de Fès, où les cultures et les traditions se rencontrent et se fondent en une symphonie harmonieuse, symbolise l’engagement renouvelé du Maroc, guidé par la vision éclairée de Sa Majesté, à promouvoir la paix et le dialogue interculturel à travers la musique sacrée, en ces temps tumultueux et pleins de défis mondiaux.

Il a également mis en lumière l’importance grandissante du Festival pour les jeunes avec l’initiative de la remise du « Prix Jeunes Talents-Esprit de Fès » aux lauréats du conservatoire de musique de Fès. Ce samedi, face à la presse, Abderrafie Zouiten a de nouveau évoqué l’importance de cet événement qui continue d’inspirer et de rassembler, confirmant son statut de joyau culturel et spirituel, non seulement pour le Maroc, mais pour le monde entier.

La rédaction/Hola Maroc

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Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa préside la cérémonie d’ouverture de la 27ème édition du Festival de Fès des musiques sacrées du monde, organisée sous le Haut Patronage de SM le Roi Mohammed VI, sous le thème : « La quête de l’Esprit Al-Andalus ».

La princesse Lalla Hasnaa, véritable incarnation de l’élégance et de la grâce, a présidé la 27e édition du festival de Fès des musiques sacrées du monde. Pour cette occasion prestigieuse, elle portait un somptueux caftan en soie de couleur vert d’eau, un choix vestimentaire à la fois raffiné et subtil. La délicatesse de la soie et la teinte apaisante du vert d’eau mettaient en valeur sa silhouette élancée, tandis que ses cheveux, coiffés de manière élégante en arrière, ajoutaient une touche de simplicité et de sophistication. Son allure majestueuse illuminait la soirée, renforçant l’aura de sérénité et de beauté qui entourait l’événement.

Fès, ville impériale au riche patrimoine culturel, offre un cadre magique pour ce festival international. Bab Makina, un incroyable écrin historique, servait de scène principale. Cette majestueuse porte, vestige des temps anciens, est un symbole de la grandeur et de l’histoire de Fès. Sous les étoiles et entourée des imposantes murailles de Bab Makina, le spectacle offrait une expérience visuelle et sonore enchanteresse, transportant les spectateurs dans un autre temps.

L’un des moments les plus captivants du festival était sans doute le spectacle « Zyriab ». Ce spectacle, nommé d’après le célèbre musicien et poète andalou Zyriab, était un hommage vibrant à la culture andalouse. Les artistes, à travers leurs mélodies envoûtantes et leurs performances émouvantes, ont ravivé l’esprit d’Al-Andalus, cette période où l’art et la culture islamique ont prospéré en Espagne. Le thème de cette édition, « la quête de l’esprit d’Al-Andalus », résonnait profondément avec les spectateurs, évoquant des images de coexistence harmonieuse, d’échanges culturels florissants et d’un âge d’or artistique.

Chaque note jouée, chaque chant interprété, portait en lui l’essence de cette quête spirituelle et culturelle. Le festival de Fès des musiques sacrées du monde ne se contentait pas de présenter des performances musicales, mais il racontait une histoire, celle d’un héritage commun et d’une aspiration vers une harmonie universelle. Le cadre de Bab Makina, avec son architecture majestueuse et son atmosphère mystique, amplifiait encore cette expérience, faisant de chaque instant une immersion dans la magie et la grandeur du passé.

En somme, la 27e édition du festival de Fès des musiques sacrées du monde, présidée par la gracieuse princesse Lalla Hasnaa, a été une célébration inoubliable de la beauté, de l’histoire et de l’universalité de la musique sacrée. Fès, avec son patrimoine unique et son esprit indomptable, a une fois de plus prouvé pourquoi elle est considérée comme l’un des joyaux culturels du monde.

La rédaction /Hola Maroc

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L’agence Seven PM est ravie d’annoncer le lancement de la première édition de Alif Festival, une célébration de la musique arabe. Prévu pour les 4 et 5 juillet 2024, ce nouvel événement prendra place dans les installations de Anfa Park, et annonce des stars du Moyen-Orient : Ragheb Alama et le chanteur irakien Saif Nabeel qui se produiront le 4 juillet et Myriam Fares, attendue sur scène le 5 juillet, ainsi que le DJ émirati Aseel qui animera les deux soirées.

Alif Festival vient s’ajouter à l’engagement continu de l’agence Seven PM à diversifier l’offre musicale de Casablanca, et à insuffler une énergie nouvelle à la ville, avec des événements de qualité et résolument contemporains.

Fidèle à sa marque de fabrique, Seven PM ; organisateur des festivals Jazzablanca, Casa Anfa Latina et Tanjazz ; offrira au public une expérience festivalière complète et immersive. Dans le cadre idyllique d’Anfa Park, entouré de verdure, dans une ambiance électrique, Alif Festival présente des artistes arabes de renom et des talents émergents, le tout agrémenté de multiples animations, des espaces de détente et de divers stands de restauration pour une expérience sensorielle complète.

Icône de la musique arabe, Ragheb Alama se produira à Anfa Park le jeudi 4 juillet. Avec son charisme unique et un répertoire immense, Ragheb Alama a marqué l’industrie musicale avec des succès planétaires.

Le chanteur irakien Saif Nabeel se produira aussi le même soir. Il a connu une année réussie avec des événements majeurs, des chansons à succès et une tournée récente aux États-Unis et au Canada. Saif a été la tête d’affiche du Premier Festival de Musique Arabe d’Ottawa. Présent sur MTV Liban, ses vidéos ont accumulé des millions de vues. De plus, il a eu un impact significatif sur la nouvelle saison d' »Iraq Idol » sur MBC.

Surnommée “The Queen of stage”, Myriam Fares, la sensation libanaise de la musique pop arabe, enchantera le public avec sa voix envoûtante et son énergie captivante le vendredi 5 juillet. Ses performances dynamiques et sa présence scénique font transporter le public dans des shows époustouflants.

Les deux soirées de Alif Festival seront animées par un des DJ les plus reconnus des Émirats Arabes Unis : Dj Aseel. Son style mêle musique arabe traditionnelle et rythmes électroniques contemporains. Basé à Dubaï, il explose la richesse de la musique arabe et intègre dans ses mix des éléments traditionnels. Depuis ses débuts en 2007, DJ Aseel est animé d’un rêve, celui de contribuer à une révolution dans la musique arabe. Il assiste à l’éclosion de géants parmi les DJ, comme Tiesto, et c’est pour lui une motivation supplémentaire pour faire en sorte que des DJ arabes remportent un succès similaire.

La rédaction/Hola Maroc

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