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HOLA! MAROC

Une Monégasque championne du Global Longines… et c’est Moulay El Hassan qui a remis la coupe

Rabat, le 19 octobre 2025 – Sous le ciel automnal de la capitale, Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan a présidé la cérémonie de clôture du Grand Prix du Longines Global Champions Tour de Rabat, marquant la fin d’un week-end placé sous le signe de la passion, de la jeunesse et de l’élégance sportive. Devant un parterre d’invités prestigieux et un public conquis, le Prince Héritier a remis la coupe à la brillante cavalière Anastasia Nielsen, nouvelle sensation du saut d’obstacles mondial.

Le Prince Héritier Moulay El Hassan remet la coupe du Grand Prix Longines Global Champions Tour de Rabat

Le Prince Héritier, fidèle à son allure sobre et raffinée, s’est distingué par un costume d’un bleu profond à fines rayures, subtilement accessoirisé d’un foulard de poche immaculé et de lunettes au design contemporain. Une silhouette élégante et assurée, symbole d’une jeunesse princière à la fois ancrée dans la tradition et ouverte sur la modernité. La remise du trophée à Anastasia Nielsen, 19 ans à peine, victorieuse sur Action Man après un double sans-faute en CSI 5 1.60 m*, fut un moment de grâce et d’émotion partagée. La Monégasque, désormais plus jeune cavalière de l’histoire à remporter un Grand Prix du circuit, devance Andreas Schou (Danemark) sur Napoli vh Nederassenthof et Denis Lynch (Irlande) sur Cordial.

Au-delà du geste protocolaire, la présence de Moulay El Hassan traduit une véritable conviction : le sport est un vecteur de rayonnement, de dépassement et d’unité. Engagé depuis toujours dans la promotion des grandes compétitions internationales au Maroc, le Prince Héritier incarne cette génération royale passionnée et exigeante, qui place l’excellence sportive au cœur du développement du Royaume. Des sports équestres aux disciplines automobiles, son implication constante témoigne d’un leadership jeune, visionnaire et profondément tourné vers la performance. Véritable ambassadeur du sport marocain, il fait de chaque apparition un moment d’inspiration et de fierté nationale.

Le Prince Héritier Moulay El Hassan remet la coupe du Grand Prix Longines Global Champions Tour de Rabat

Organisée au pied du Grand Théâtre de Rabat, entre modernité architecturale et patrimoine historique, cette 15ᵉ étape du Longines Global Champions Tour a confirmé la position du Maroc comme terre d’excellence équestre. L’événement, prolongement de l’Année culturelle Qatar-Maroc 2024, a su allier sport, culture et prestige, dans une atmosphère vibrante et cosmopolite. Malgré le sacre anticipé du Champion 2025 Gilles Thomas, la compétition a offert un spectacle d’une rare intensité, consacrant Rabat comme l’une des capitales incontournables du calendrier équestre mondial.

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Sous un soleil d’automne et face à la majestueuse Tour Hassan, la capitale marocaine a donné le coup d’envoi, vendredi, de la 15ᵉ étape du prestigieux Longines Global Champions Tour (LGCT). Pendant trois jours, le site équestre de Rabat devient l’épicentre du saut d’obstacles mondial, attirant les meilleurs cavaliers et chevaux de la planète.

LGCT of Rabat – Rabat, The Grand Theatre of Rabat – 17 October 2025 – ph.Ljuba Buzzola/LGCT

Dès la première journée, le spectacle a tenu ses promesses. L’épreuve par équipe de la Global Champions League (GCL) a offert un scénario haletant, marqué par la victoire éclatante des St Tropez Pirates, auteurs d’une performance aussi précise qu’inspirée.

Une victoire d’équipe, entre fougue et expérience

Le duo formé par le jeune Belge Thibault Philippaerts (23 ans) et le vétéran français Philippe Rozier a parfaitement maîtrisé le parcours technique imaginé par l’Italien Uliano Vezzani. Philippaerts, en selle sur Lyandro MBD, a signé un sans-faute décisif, offrant aux Pirates leur première victoire de la saison.

LGCT of Rabat – Rabat, The Grand Theatre of Rabat – 17 October 2025 – ph.Ljuba Buzzola/LGCT

« C’est une expérience incroyable, surtout pour ma dernière saison en CSI 5* », a confié Philippe Rozier, ému, à l’issue de la remise des prix.

Derrière eux, les Rome Gladiators (Peder Fredricson et Emanuele Gaudiano) et les Istanbul Warriors (Simon Delestre et Hasan Senturk) complètent un podium de haut vol, où se sont mêlés précision, sang-froid et panache.

RangÉquipeCavaliers
1erSt Tropez PiratesThibault Philippaerts & Philippe Rozier
2eRome GladiatorsPeder Fredricson & Emanuele Gaudiano
3eIstanbul WarriorsSimon Delestre & Hasan Senturk

Rabat, capitale équestre et vitrine du Maroc

À quelques semaines de la finale de Riyad et des Global Champions Playoffs à Prague, l’étape marocaine revêt une importance stratégique pour les cavaliers encore en lice pour le titre mondial.

Mais au-delà du sport, l’événement incarne aussi le rayonnement culturel et patrimonial du Maroc, terre d’excellence équestre. Des traditions ancestrales de la Tbourida à l’élevage de chevaux barbes et arabe-barbes, le Royaume affirme, à travers cette compétition, son attachement à un héritage vivant et sa volonté de briller sur la scène internationale.

Installé sur un site de 5,5 hectares, entre modernité et mémoire, le parcours de Rabat déploie ses obstacles sous les regards de la Tour Hassan, du Grand Théâtre et de la Tour Mohammed VI, symboles d’un pays à la croisée de la tradition et de l’innovation.

Un héritage de partenariats culturels

L’étape 2025 s’inscrit dans la continuité du succès de l’édition précédente, organisée dans le cadre de l’Année culturelle Qatar–Maroc 2024, fruit de l’initiative Years of Culture. Ce programme, porté par Son Excellence Sheikha Al Mayassa bint Hamad bin Khalifa Al Thani, vise à tisser des liens durables entre nations à travers le sport et la culture.

Depuis plus d’une décennie, Years of Culture multiplie les échanges entre le Qatar et des pays partenaires – du Japon à la France, en passant par le Brésil, la Turquie ou encore l’Indonésie – célébrant la richesse et la diversité des patrimoines du monde.

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Sous les dorures du palais apostolique, la reine Rania et le roi Abdallah II ont retrouvé le pape Léon XIV pour une rencontre empreinte d’émotion, de foi et d’espérance.

Les rois de Jordanie au Vatican, reçus par le Pape Léon XIV

C’est une image d’une rare intensité qui a ému la planète : celle du roi Abdallah II et de la reine Rania accueillis avec chaleur par le pape Léon XIV au Vatican. Une visite officielle à haute valeur symbolique, qui s’inscrit dans la continuité d’une relation d’amitié et de respect entre la Jordanie et le Saint-Siège — un lien spirituel que les souverains hachémites cultivent depuis plusieurs décennies.

Fidèle à elle-même, la reine Rania a une fois encore subjugué par sa prestance et sa sensibilité. Dans un tailleur au tombé parfait, rehaussé d’une fine ceinture dorée rappelant les nuances de sa chevelure, elle arborait une mantille délicatement posée sur ses épaules, un sac de lady et des escarpins discrets. Élégante sans ostentation, elle a incarné, à travers ce choix raffiné, la quintessence de la diplomatie féminine : celle qui parle sans jamais s’imposer.

Rania de Jordanie au Vatican

Au palais apostolique, les échanges se sont déroulés dans une atmosphère d’amitié sincère et de respect mutuel. Des cadeaux ont été échangés — œuvres d’artisanat jordanien et icônes bénies — comme autant de symboles de dialogue et d’ouverture.

Cette audience n’était pas la première entre le Saint-Siège et les souverains hachémites, mais elle portait une émotion particulière. Car derrière cette rencontre se profile la mémoire d’un lien fort : celui tissé, au fil des années, avec le pape François. Le roi Abdallah II et la reine Rania avaient accueilli avec une profonde estime le défunt souverain pontife lors de sa visite en Terre sainte en 2014, moment fondateur d’une amitié spirituelle entre Rome et Amman. Quelques semaines avant sa disparition, la reine Rania avait d’ailleurs pris part au Sommet mondial sur les droits de l’enfant — un engagement qui résume à lui seul sa vision d’un monde où la dignité, la foi et la jeunesse dessinent l’avenir.

Rania de Jordanie au Vatican

Aujourd’hui, sous le regard bienveillant du pape Léon XIV, cette page d’histoire s’écrit dans la continuité. Le roi Abdallah II, fidèle défenseur du dialogue interconfessionnel, et le Saint-Père ont réaffirmé leur volonté commune de bâtir des ponts entre les religions et les peuples. À ses côtés, la reine Rania a incarné cette lumière douce et constante, celle d’une femme d’influence qui fait rayonner la paix avec grâce et conviction.

Rania de Jordanie au Vatican

Entre la grâce d’une reine, la douceur d’un roi et l’espérance d’un pape, cette rencontre au Vatican sonne comme une promesse : celle d’un monde plus apaisé, où la foi et la beauté du geste diplomatique tracent les chemins de la paix.

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Le premier long métrage du jeune réalisateur marocain, « Goundafa », a été sélectionné dans la section “Horizons of Arab Cinema” du 46ᵉ Festival International du Film du Caire.

Le cinéma marocain poursuit son ascension sur la scène arabe et internationale. Cette fois, c’est un jeune cinéaste prometteur, Ali Benjelloun, qui en porte haut les couleurs. Son premier long métrage, « Goundafa », vient d’être sélectionné au Festival international du film du Caire, dans la prestigieuse section Horizons of Arab Cinema, dédiée aux nouvelles voix du monde arabe. Un accomplissement fort, à la fois personnel et collectif, pour une génération de réalisateurs marocains décidée à raconter ses réalités, ses mémoires et ses luttes avec sincérité.

Quand la culture devient résistance

Goundafa s’ouvre sur un village amazigh des montagnes de l’Atlas. Un lieu vibrant de musique, où les femmes chantent en travaillant la terre et où les jeunes rêvent de devenir musiciens. Ce fragile équilibre bascule avec l’arrivée d’un imam conservateur, décidé à interdire chants, danses, masques et toute forme d’expression artistique. Le film devient alors le récit d’une rébellion , celle d’un peuple attaché à sa liberté, à ses traditions, et à la beauté de son identité.

À travers cette fable sensible et politique, Ali Benjelloun interroge la place de la culture face à l’extrémisme, de la femme face à la domination, et de la lumière face à l’obscurité. “Ce film est né d’une colère, mais aussi d’un amour , l’amour d’un peuple, de ses chants et de sa liberté”, confie le réalisateur, dont chaque plan respire la tendresse et la dignité des visages qu’il filme.

Fils du réalisateur et producteur Hassan Benjelloun, Ali a grandi sur les plateaux de tournage à Casablanca avant d’obtenir un Master en image en France. Après plusieurs courts métrages remarqués, dont Parcours de réfugiés et Les Âmes vagabondes, il signe avec Goundafa un manifeste contre le fanatisme et un hommage à l’humanisme marocain.

Visuellement, le film est d’une beauté rare : la photographie d’Hamza Benmoussa capte la rudesse et la poésie des paysages du Haut Atlas, tandis que la musique du compositeur Marat Faizullin dialogue subtilement avec les chants amazighs. On y ressent la chaleur du soleil, la poussière des chemins, la force tranquille des femmes, et la résistance qui s’élève dans un silence habité.

Côté interprétation, le film réunit une distribution marocaine solide : Fatima Attif, bouleversante de vérité, Farouk Aznabet, Karima Gouit et Zahia Ez-Zahery incarnent une humanité vibrante, entre douleur et espoir. Le montage d’Iliass Lakhmasse, accompagné du regard du monteur français Julien Fouré, offre au récit une respiration ample, à la fois poétique et ancrée dans le réel.

La sélection de Goundafa au Festival du Caire marque plus qu’une simple reconnaissance : elle symbolise l’émergence d’une nouvelle voix marocaine, à la croisée de la tradition et de la modernité, du local et de l’universel. Le film s’inscrit dans une génération qui, de Tanger à Ouarzazate, redessine les contours du cinéma maghrébin : un cinéma du courage, de la beauté et de la mémoire.

En portant Goundafa jusqu’au Caire, Ali Benjelloun ne signe pas seulement un premier film prometteur. Il signe une promesse d’avenir : celle d’un cinéma marocain fier de ses racines, audacieux dans son langage et profondément humaniste dans son regard.

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À Nouaceur, Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de Son Altesse Royale le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé la cérémonie de lancement du complexe industriel de moteurs d’avions du groupe Safran, un projet structurant qui conforte la place du Maroc comme hub stratégique mondial de l’aéronautique.

Implanté au cœur du pôle technologique de Midparc, ce nouveau complexe abritera deux sites de pointe : l’un dédié à l’assemblage et au test de moteurs de nouvelle génération, l’autre à leur maintenance et réparation. Ce partenariat emblématique entre le Maroc et le groupe français Safran illustre, une fois encore, la vision claire et volontariste du Souverain pour faire du Royaume un acteur incontournable des industries de haute technologie.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé, lundi à Nouaceur, la cérémonie de présentation et de lancement des travaux de réalisation du complexe industriel de « moteurs d’avions » du groupe Safran, un projet structurant qui renforce la vocation du Maroc en tant que hub stratégique mondial de l’industrie aéronautique.

Sous l’impulsion royale, l’aéronautique marocaine s’est hissée en moins de deux décennies au rang des écosystèmes les plus dynamiques au monde, fédérant plus de 150 acteurs internationaux et générant un chiffre d’affaires à l’export supérieur à 26 milliards de dirhams en 2024.

Symbole de cette montée en puissance, le projet Safran – d’un investissement global de plus de 3,4 milliards de dirhams – donnera naissance à un centre d’excellence capable d’assembler jusqu’à 350 moteurs LEAP-1A par an, tout en créant près de 900 emplois hautement qualifiés à l’horizon 2030.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé, lundi à Nouaceur, la cérémonie de présentation et de lancement des travaux de réalisation du complexe industriel de « moteurs d’avions » du groupe Safran, un projet structurant qui renforce la vocation du Maroc en tant que hub stratégique mondial de l’industrie aéronautique.

Ce choix d’implanter le deuxième site mondial de production du moteur LEAP-1A au Maroc traduit la confiance renouvelée d’un grand groupe international dans la stabilité, la modernité et le leadership visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.

Après avoir assisté à la signature de plusieurs conventions stratégiques et au dévoilement du moteur LEAP-1A, le Souverain a salué un groupe de jeunes en formation à l’Institut des Métiers de l’Aéronautique, ces talents de demain qui incarneront la nouvelle génération d’excellence industrielle marocaine.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan, a présidé, lundi à Nouaceur, la cérémonie de présentation et de lancement des travaux de réalisation du complexe industriel de « moteurs d’avions » du groupe Safran, un projet structurant qui renforce la vocation du Maroc en tant que hub stratégique mondial de l’industrie aéronautique.
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À Abou Dhabi, Lalla Hasnaa poursuit son engagement pour l’environnement et prend part au Congrès Mondial de la Nature de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).

Lalla Hasnaa au Congrès Mondial de la Nature de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN)

À Abou Dhabi, Son Altesse Royale la Princesse Lalla Hasnaa, Présidente de la Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement, a pris part à une réception réunissant les hautes personnalités du Congrès Mondial de la Nature de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN).
Véritable ambassadrice du Maroc vert et durable, la Princesse a échangé avec plusieurs figures mondiales de la préservation des écosystèmes et du climat, réaffirmant la place du Royaume parmi les nations actives pour la biodiversité, la protection des océans et la transition écologique.

Lalla Hasnaa au Congrès Mondial de la Nature de l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN)

Fidèle à son engagement de toujours, Lalla Hasnaa, qu’on surnomme volontiers la princesse aux mains vertes, milite depuis plus de deux décennies pour une écologie humaine et partagée, où l’éducation environnementale, la jeunesse et la mer jouent un rôle central.
Des zones humides aux fonds marins, la Présidente de la Fondation continue de porter haut la voix du Maroc pour une planète plus propre, plus consciente et plus vivante.

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C’est sur son compte Instagram que Nawel Debbouze, sœur cadette de Jamel Debbouze, a officialisé sa séparation d’avec son mari Fouad Ben Kouider. Le couple s’était uni en 2021.

« Il est temps de vous annoncer officiellement ma séparation, personnelle et professionnelle, avec Fouad Ben Kouider. » a écrit la jeune entrepreneuse et ex-mannequin dans un message empreint de sérénité. Fille cadette d’une fratrie de six enfants, Nawel apparaît aujourd’hui apaisée et reconnaissante, évoquant cette rupture comme une transition douce et réfléchie : « Je suis très heureuse d’avoir vécu cette belle histoire. Les choses changent, et ce n’est pas une fatalité. Il ne restera que le meilleur, dans le respect. »

Nawel Debbouze avec son fils

Sur son post Instagram, la belle brune a partagé un album photo empreint de tendresse, où elle apparaît entourée de sa mère Fatima, de son frère Jamel, et de son fils unique. Des clichés qui respirent la complicité, la famille et la lumière. « Cette étape marque la fin d’un cycle, mais surtout le début d’un nouveau chapitre, placé sous le signe de la liberté, de la créativité et de la sororité. », a-t-elle confié avec émotion.

Créatrice de la marque Jude by Nawel D., la femme d’affaires compte transformer cette page de sa vie en nouveau départ. Fidèle à son énergie et à son engagement auprès des femmes, elle annonce le lancement prochain d’une série d’événements à Marrakech, dans un lieu qu’elle décrit comme “magique, dédié au partage, au bien-être et à l’inspiration des femmes de toutes générations”. « Restez connectées ✨ J’ai trop hâte de vous en dire plus, vous allez adorer ! » écrit-elle avec enthousiasme. Et nous, on adore cet état d’esprit et cette déclaration pleine de grâce et de force, fidèle à la personnalité solaire de Nawel Debbouze, qui transforme chaque étape de sa vie en un élan de renouveau et d’inspiration. « La séparation n’est pas une fin, c’est un nouveau départ. »

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Le Musée Yves Saint Laurent Marrakech célèbre l’univers intime du couturier à travers une exposition inédite signée Martin Bethenod, où ses fidèles compagnons à quatre pattes deviennent les icônes d’un récit de mode et d’amour.

« Je suis, comme on dit, un homme à chiens. » — cette phrase, d’une simplicité touchante, résonne comme un aveu d’âme. Derrière le créateur mythique, l’esthète visionnaire, se cachait un homme entouré de tendresse, de silence et de fidélité. À partir du 25 septembre 2025, le Musée Yves Saint Laurent Marrakech dévoile “Yves Saint Laurent et ses chiens”, une exposition émouvante et érudite conçue par Martin Bethenod, qui explore pour la première fois le rôle symbolique et inspirant des chiens dans la vie du couturier.

Des compagnons devenus muses

De l’Algérie de son enfance à l’effervescence de son atelier parisien, les chiens d’Yves Saint Laurent furent plus que des présences : ils furent des miroirs de ses émotions, les gardiens silencieux de ses solitudes, et parfois, les moteurs de sa créativité.
Les chihuahuas Hazel, incarnations du glamour et de la fantaisie, et surtout les célèbres Moujik, quatre bouledogues français qui se succédèrent comme une dynastie fidèle, composent ce véritable panthéon canin. À travers des dessins, des photographies et des objets personnels, l’exposition dévoile la part intime du créateur, là où l’amour, la beauté et la fragilité se rencontrent.

Entre art, glamour et transgression

Martin Bethenod signe ici une mise en scène subtile où l’histoire de la mode croise la culture populaire et l’art contemporain. Le chihuahua devient un symbole d’ambiguïté et de liberté, évoquant tour à tour Marlene Dietrich, Coccinelle, ou Jayne Mansfield — trois figures qui ont inspiré Yves Saint Laurent et incarné la beauté affranchie.
Les légendaires cartes de vœux LOVE, illustrées par Moujik, côtoient des œuvres signées Andy Warhol, David Hockney, Horst P. Horst ou Bettina Rheims. Ensemble, elles composent une galerie d’icônes où se mêlent tendresse, irrévérence et esthétique pure.

Marrakech, l’écrin du cœur

Il n’est pas anodin que cette exposition voie le jour à Marrakech, ville-refuge et muse éternelle du couturier. Dans la lumière ocre du musée imaginé par Studio KO, les Moujik semblent trouver un nouveau royaume : celui du souvenir et de l’émotion. Entre les murs de ce lieu habité, la passion d’Yves Saint Laurent pour ses chiens devient un fil d’or reliant sa vie, son œuvre et son humanité.

Une exposition à découvrir

Présentée jusqu’au 29 septembre 2026, “Yves Saint Laurent et ses chiens” s’inscrit dans la collection “Amigos Forever” aux éditions Norma, un cycle de portraits d’artistes et de leurs compagnons de vie. Entre humour et délicatesse, cette exposition offre une lecture nouvelle du génie Saint Laurent : celle d’un homme qui a su faire du lien entre l’art et l’amour une œuvre à part entière.

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Entre mémoire et modernité, Le Square by Onomo Collection dévoile un nouvel écrin où l’âme de Casablanca s’épanouit dans un luxe raffiné. Une ode à l’Art Déco, une invitation à l’art de vivre casablancais, et un joyau de modernité qui fait rayonner l’âme africaine au cœur de la Ville Blanche.

Casablanca se pare d’une nouvelle adresse d’exception : Le Square by Onomo Collection, niché au cœur du quartier Gauthier. Ce lieu unique est né d’une rencontre entre deux familles emblématiques, les Berrada et les Benabdeljelil, gardiennes d’un savoir-faire immobilier raffiné, et le groupe panafricain Onomo, dont la vision audacieuse réinvente l’hospitalité contemporaine. Ensemble, ils offrent à la ville un écrin où l’histoire et le chic s’unissent pour écrire une nouvelle page du luxe casablancais.

L’élégance d’une mémoire sublimée

Sous la plume architecturale de Salma Dioury, Le Square se veut un hommage vibrant à l’Art Déco qui façonne l’identité de Casablanca. Façades inspirées des grandes heures haussmanniennes, arches gracieuses, moucharabiehs revisités : chaque détail célèbre la mémoire du quartier Gauthier. À l’intérieur, le raffinement prend forme grâce au cabinet MID-Michelangeli Design, qui a marié le Tadelakt aux nuances sable, les plafonds ornés de fresques d’artistes marocains et les cartes postales anciennes de la Ville Blanche. Une atmosphère où le patrimoine dialogue avec la modernité, pour créer une expérience intemporelle et profondément chic.

Un art de vivre cosmopolite et lumineux

Bien plus qu’un hôtel, Le Square est une scène de vie. Square Club, lounge élégant et convivial, pensé comme un salon urbain ouvert sur la ville.,Sain Levant, restaurant et rooftop spectaculaire, dévoile une vue panoramique sur la Mosquée Hassan II et les tours jumelles, offrant une expérience culinaire levantine où les saveurs locales s’élèvent au rang d’art. Square Spa, sanctuaire de bien-être signé avec la marque végane marocaine Botanika Marrakech, propose des rituels sensoriels inspirés des traditions ancestrales.

Onomo, l’audace africaine à Casablanca

Avec cette ouverture, Onomo Collection affirme son savoir-faire dans l’hôtellerie de prestige. Depuis 2015, Casablanca est son siège et son laboratoire créatif, d’où rayonne une ambition : ériger une hospitalité africaine, authentique et contemporaine, aux standards internationaux. Déjà présent avec six adresses au Maroc et de nouvelles inaugurations prévues à Marrakech et Dakhla, Onomo célèbre le Royaume comme un territoire d’avenir et de luxe.

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NAJ, artiste marocaine aux influences pop, R&B, électro, afro, latino et oriental, dévoile son nouveau clip « OULALA OUNTALA — La Vie En Rose ». Haut en couleur, joyeux et puissant, le titre s’annonce déjà comme l’un des morceaux phares de la CAN 2025.

Le clip a été tourné dans des lieux emblématiques : les rues animées de Dakar avec son célèbre car rapide, l’île de Gorée marquée par l’histoire de l’esclavage, la réserve de la Somone classée UNESCO, un majestueux baobab du Safari de Bandia, sans oublier le Monument de la Renaissance. « C’est un choix volontaire », insiste NAJ, qui a voulu allier puissance visuelle et mémoire collective.

L’union des cultures en mouvement

NAJ devient ainsi la première artiste marocaine à tourner un clip d’une telle envergure à Dakar. Elle y danse avec une troupe sénégalaise, symbole d’une union entre Afrique du Nord et Afrique subsaharienne. Le titre s’enrichit aussi d’un featuring nigérian explosif avec Pekeys, fusionnant rythmes afro, chaabi, pop latino et sonorités occidentales. Autre originalité : la présence de l’artiste-peintre sénégalais Amadou Nieng, qui accompagne NAJ et Pekeys tout au long du tournage, pinceau à la main, immortalisant chaque étape du clip sur une toile. Une manière unique de mêler arts visuels et musique pour raconter une histoire commune.

Une portée internationale déjà massive

Avec un partenariat officiel signé avec ARCOL, la production prend une dimension internationale. La campagne sur TikTok dépasse déjà 6 millions de vues, confirmant l’enthousiasme du public. Pour NAJ, ce projet n’est pas seulement une sortie musicale : c’est un état d’esprit, une manière de porter haut et fier les couleurs du Maroc, tout en prônant espoir, liberté et paix.

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