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Ilham Benzakour

Mélita Toscan couverture Hola maroc

Rayonnante et élégante, Mélita Toscan du Plantier incarne à la perfection le raffinement et la passion du cinéma. À l’occasion du Festival International du Film de Marrakech, HOLA! MAROC a rencontré celle qui, depuis plus de deux décennies, façonne l’un des événements culturels les plus prestigieux du Royaume. Entre amour pour le Maroc, engagement pour le septième art et admiration pour l’artisanat marocain, elle se confie avec sincérité.

Mélita Toscan

Une muse du caftan aux yeux azur et à la chevelure dorée. S’il ne fallait qu’une phrase pour décrire la Directrice et Conseillère du Président de la Fondation du Festival International du Film de Marrakech, SAR le Prince Moulay Rachid, ce serait incontestablement celle-ci. Ce n’est pas seulement sur le tapis rouge de l’un des plus grands rassemblements cinématographiques au monde que Mélita Toscan du Plantier arbore fièrement l’habit traditionnel. Sur ses hauts talons signés Louboutin, elle a souvent osé des étoffes de velours ou de soie taillées et brodées par de talentueux stylistes marocains. En 2025, l’épouse de Feu Daniel Toscan du Plantier, l’homme qui a eu toute la confiance de Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour lancer le FIFM en 2001, bouclera son quart de siècle dédié au Festival. L’occasion de raconter à HOLA! Maroc son aventure marocaine, les débuts de ce grand événement et son amour pour le caftan.

C’est en septembre 2000 que Mélita Toscan du Plantier foule pour la première fois le sol marocain, accompagnée de son défunt mari, Daniel Toscan du Plantier, pour poser les fondations du Festival International du Film de Marrakech. « J’ai toujours rêvé d’aller au Maroc, et cette décision a changé ma vie », confie-t-elle avec émotion. De Marrakech à Tanger, en passant par Rabat et Ouarzazate, elle a découvert un pays à la culture vibrante et à l’hospitalité légendaire. « Je suis fascinée par la générosité des Marocains, leur sens de l’accueil et la richesse de leur patrimoine », souligne-t-elle.

  • Pouvez-vous nous raconter votre toute première expérience au Maroc ? Quels souvenirs marquants en gardez-vous ?

C’était en septembre 2000, avec mon mari, pour définir les lignes de la première édition du FIFM, à l’invitation de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Nous avons rencontré les autorités locales, visité les lieux possibles, etc. Je rêvais d’aller au Maroc depuis des années. Mon mari voyageait trop souvent pour son travail, alors il préférait rester dans sa maison de campagne pendant ses vacances. J’ai compris que si je voulais aller au Maroc, il fallait trouver une solution pour que l’on y travaille (sourire). Chose que j’ai faite, et je n’ai pas été déçue ! Cette décision a changé notre vie et la mienne depuis. Dès le début, j’ai été frappée par la beauté des lieux, la lumière, la générosité des Marocains, la culture, la nourriture et la douceur de ce pays. Cependant, depuis 2001, le festival a su faire ses preuves et est devenu un événement incontournable.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Telle une icône intemporelle de la Mamounia, Mélita Toscan du Plantier nous a accueillis dans la suite Al Mamoun pour une séance photo et une interview empreintes de raffinement. Sans artifices inutiles, la directrice du festival incarne l’humilité et la grandeur des grandes dames, laissant la majesté du caftan sublimer sa beauté naturelle. « J’aime aussi la gandoura », confie-t-elle, vêtue d’une pièce signée Maison Fatim
  • Avec votre défunt mari, Daniel Toscan du Plantier, qu’est-ce qui vous a séduits dans ce pays au point de vous y engager aussi profondément ?

Le Maroc est un pays merveilleux que j’ai appris à connaitre et à comprendre petit à petit. J’y ai vu des paysages époustouflants ! Je suis souvent allée à Tanger avec mes enfants, à Taroudant, Ouarzazate, dans le désert, à Casablanca, Fès, Agadir, mais surtout à Rabat où l’on se réunit pour préparer le Festival. J’aime beaucoup cette ville que je trouve belle et apaisante. C’est à Témara que je suis venue me réfugier avec mes enfants après la mort de mon mari pendant plusieurs semaines. Nous passions notre temps entre Témara, Rabat et la plage de Skhirat.

  • Vous souvenez-vous de la première fois où vous avez porté un caftan ? Quelle a été votre impression en le revêtant, qu’est-ce que cela symbolise pour vous aujourd’hui ? Par ailleurs, en avez-vous reçus en cadeau ?

La première fois que j’ai porté un caftan, c’était en France, à la cérémonie des César en 2003 pour l’hommage à mon mari. Il s’agissait d’un cadeau que je venais de recevoir, et il était devenu évident pour moi de le porter à cette occasion. Plusieurs couturiers français voulaient m’habiller, mais j’ai préféré ce caftan bleu foncé à la fois sublime et sobre. Mes caftans sont tous des cadeaux. J’en possède une quinzaine aujourd’hui.

Drapée dans un somptueux caftan rouge et noir signé Maison Fatim, Mélita Toscan du Plantier sublime l’élégance marocaine avec une grâce inégalée. « Je préfère le caftan à une robe du soir », avoue-t-elle avec une admiration particulière pour les créations marocaines. Lors du dîner royal du 30 novembre 2024, elle brille dans un somptueux caftan en velours noir, orné de broderies marocaines, signé Frédérique Birkemeyer, une tenue qu’elle chérit particulièrement.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Radieuse et solaire, Melita Toscan du Plantier traverse le temps avec une grâce inégalée. Drapée dans un somptueux caftan rouge et noir de Maison Fatim, elle prend la pose avec la fluidité d’une ancienne mannequin. « Je préfère le caftan à une robe du soir », partage-t-elle, en louant la richesse des créations marocaines »

LE FESTIVAL DE MARRAKECH, UNE AVENTURE HUMAINE ET ARTISTIQUE

Depuis plus de 20 ans, Mélita Toscan du Plantier s’investit avec passion pour faire du FIFM un événement de prestige international. « Les premières années, nous devions tout inventer. Il a fallu apprendre, s’adapter et toujours innover », explique-t-elle. La première édition du festival en 2001, organisée seulement trois semaines après les attentats du 11 septembre, a été un défi de taille. « Il a fallu convaincre, rassurer et prouver que Marrakech pouvait accueillir un événement d’envergure », se rappelle-t-elle.

  • Vous résidez encore, toujours et éternellement à la Mamounia lors du festival, pourquoi cette suite Al Mamoun ?

Je suis effectivement à la Mamounia pendant le Festival, mais je ne loge pas dans la suite Al Mamoun. Cette suite était disponible pour la séance photo et suffisamment spacieuse pour créer différentes ambiances. J’apprécie beaucoup la Mamounia, un site historique de Marrakech et l’un de nos principaux partenaires. Nos invités y séjournent et en repartent émerveillés. J’apprécie également le Royal Mansour, où je réside régulièrement depuis son ouverture. Ces deux hôtels sont des lieux magiques qui mettent admirablement en valeur l’artisanat marocain.

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Plusieurs couturiers français voulaient m’habiller, mais j’ai préféré ce caftan bleu foncé à la fois sublime et sobre. Mes caftans sont tous des cadeaux. J’en possède une quinzaine aujourd’hui.
  • Quels souvenirs gardez-vous de vos débuts en tant que Directrice du Festival International du Film de Marrakech et quels défis avez-vous dû relever pour donner une identité unique à cet événement ?

Les deux premières années, je n’avais pas le titre de Directrice, mais je travaillais tout autant qu’aujourd’hui, sans doute un peu plus d’ailleurs, car nous devions tout inventer, créer. Nous nous sommes trompés parfois, alors il a fallu apprendre de nos erreurs pour devenir meilleurs. Nous avons relevé des défis chaque année et nous continuons de le faire. La première année fut la plus compliquée, car elle se déroulait trois semaines après le 11 septembre 2001. Il a fallu se battre pour convaincre, rassurer et sauver cette édition. Elle fut exceptionnelle à bien des égards. Depuis 2018 et avec la naissance des Ateliers de l’Atlas, nous avons trouvé notre identité et la meilleure manière d’aider le cinéma marocain et africain.

  • Après 24 ans de Festival, jusqu’à quel point vous sentez-vous marocaine ? Quelle part du Maroc vivez-vous au quotidien pendant l’évènement ?

Quand je suis au Maroc, je me sens marocaine. Je travaille pour le Maroc et pour son Altesse Royale, le Prince Moulay Rachid. Donc à part la langue que j’utilise, je ne pense pas à la France pendant cette période ! Je ne pense qu’au Festival et à sa réussite. Le FIFM est international comme son nom l’indique, mais il est d’abord marocain et, il est par essence, conçu pour le public et les professionnels marocains. Je suis au service du Maroc pendant cette période. Le cinéma français est à sa juste place, ni plus, ni moins. Les invités français représentent un petit pourcentage, comparés aux autres nationalités. Je travaille avec mes collègues, en grande majorité, marocains. Mon assistante Rita depuis 2004 est marocaine. Ma nationalité n’a pas vraiment d’importance dans ce cadre précis. Ce qui compte ce sont les résultats. D’ailleurs je suis née en France de parents immigrés yougoslaves. Nous ne parlions pas français à la maison et ce jusqu’à la mort de ma mère. C’est à l’école que j’ai commencé à me familiariser avec ma deuxième langue.

Mélita Toscan couverture Hola maroc noir
Par cette journée de décembre ensoleillée, Mélita pose dans la terrasse de la suite Al Mamoun si généreusement et naturellement baignée de lumière, « J’apprécie beaucoup la Mamounia, un site historique de Marrakech et l’un de nos principaux partenaires. Nos invités y séjournent et en repartent émerveillés »
  • Le Maroc, avec son foisonnement culturel et ses traditions séculaires, éveille bien des émotions. Quelles valeurs ou aspects vous touchent – ils particulièrement ?

Les valeurs familiales ! Le fait que les personnes prennent soins des anciens me touche beaucoup. J’aime aussi le respect que mes amis musulmans ont pour les autres religions. Les Français devraient prendre exemple sur cette richesse d’échanges et de partage. Au Maroc, on connait ses voisins, leurs familles, on s’invite les uns chez les autres, on invite les étrangers et on partage le peu que l’on a. En France ou en Occident, c’est chacun pour soi. J’ai un ami médecin à Marrakech qui est allé soigner les victimes du tremblement de terre dans des villages. Il m’a raconté que les gens n’avaient plus rien mais qu’ils lui proposaient du thé, du café et le peu de nourriture dont ils disposaient. Ce sont des valeurs d’humanité qui me touchent profondément.

  • Jusqu’à quel point ressentez-vous l’évolution culturelle et sociale du pays, la progression des droits de la femme ? Suivez-vous ce que fait Sa Majesté le Roi Mohammed VI pour lesMarocaines ?

Bien entendu ! Je sais ce qu’il a fait pour les femmes et la famille. C’est un exercice difficile, car il faut évoluer tout en respectant la culture marocaine. Mais qui mieux que lui pour le faire ! J’aime voir ensemble des femmes modernes et d’autres plus conservatrices. Parce qu’elles semblent s’aimer et se respecter au-delà de convictions ou de cultures différentes.

Mélita Toscan caftan noir
  • Comment vivez-vous la dernière visite d’Emmanuel Macron et le retour concret des relations Maroc/France ? Y a-t-il eu des impacts positifs sur le festival ?

Je ne fais pas de politique mais j’ai trouvé la presse française en général injuste et arrogante au moment du tremblement de terre au Maroc. J’ai été choquée de certains commentaires de personnes que j’appelaient « les donneurs de leçons ». Le Maroc est souverain et savait ce dont il avait besoin. Il fallait respecter ses décisions et n’avoir que de l’empathie. On essayait de m’en parler régulièrement et je savais très bien quoi répondre ! Je suis heureuse que la France et le Maroc aient de meilleurs rapports à présent. Cela n’a pas influé sur le Festival, car comme je l’ai dit plus haut, il est international et non Français. Aussi, je suis engagée en raison de mes compétences professionnelles et de ma proximité avec le Maroc.

  • Le Président français et Sa Majesté Mohamed VI s’intéressent de très près à la jeunesse. Cela se ressentira-t-il sur les Ateliers de l’Atlas et sur le rôle du FIFM ?

Les jeunes sont l’avenir ! Le Festival est axé sur eux depuis le début puisque la compétition concerne les premiers et deuxièmes films. En outre nous avons toujours invité les étudiants à y participer. Les projections et les leçons de cinéma sont gratuites. Nous faisons un travail de transmission à travers tous les échanges et encore plus avec les Ateliers de l’Atlas. Il y a une relève inspirante dans le cinéma marocain et aussi beaucoup de jeunes femmes ayant des choses à raconter. Nous serons toujours là pour les aider !

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Drapée dans une gandoura bleu céleste qui fait écho à ses yeux azur et sa chevelure dorée, Melita Toscan du Plantier réinvente l’élégance. « Les femmes marocaines ont une beauté naturelle et une grâce unique dans leurs habits traditionnels », affirme-t-elle avec admiration
  • Vos enfants ont grandi ! Quelle est leur relation avec votre univers ?

Ma fille a 26 ans et vit en Australie. Elle veut devenir cheffe et pendant le Festival elle a organisé un diner de quarante personnes qu’elle a baptisé « The Atlas dinner » en l’honneur du Maroc, du Festival et de son père. Elle a créé le menu qui comprenait une pastilla, entre autres. Elle a grandi entre la France et le Maroc et ce dernier lui manque terriblement. Je lui ramène toujours de l’huile d’argan, du savon noir, du parfum à la fleur d’oranger et les gandouras de mon amie Norya, basée Marrakech. Mon fils, lui, a 24 ans et est toujours étudiant à Cambridge. Il vient d’obtenir son deuxième Master et prépare une thèse. Son souhait est de faire découvrir ce pays, qu’il adore, à sa compagne, elle aussi étudiante dans la même université.

  • Après toutes ces années, qu’a apporté le Maroc à votre vie personnelle et professionnelle ?

Le Maroc fait partie intégrante de ma vie, j’en parle et y pense tous les jours. Mes amis marocains me manquent quand je ne les vois pas pendant une longue période. On me pose des questions partout où je voyage parce que je représente le Festival à l’international.

Mélita Toscan couverture Hola maroc
Qu’elle soit vêtue d’un caftan somptueux ou d’une gandoura aux reflets célestes, Mélita Toscan du Plantier traverse le temps avec une élégance inégalée. Après 25 ans d’engagement pour le Festival International du Film de Marrakech, elle continue d’œuvrer avec passion pour faire briller le cinéma marocain et africain sur la scène internationale.
  • Si vous deviez résumer votre amour pour le Maroc en une phrase, que diriez-vous ?

Je l’aime pour sa beauté, l’esprit de famille, le sens de l’amitié, la loyauté, la lumière, la douceur que j’y retrouve et pour ses habitants.

Entretien : Ilham Benzakour Knidel
Caftans : Maison Fatim & Frédérique
Birkemeyer
Makeup Artist : Clotilde Makeup Artist
Louboutin Beauté
Hair Stylist : Sonia Duchaussoy
Dessange Paris
Photos : B-Photographe.com

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Pour clôturer cette série de 7 icônes inspirantes pour une Saint-Valentin flamboyante, nous choisissons de rendre hommage au glamour du caftan.

Mimia Leblanc en caftan pour « The Heya Show (Photo Mimia Leblanc instagram)

Mimia Leblanc, célèbre créatrice de bijoux, illumine la scène télévisée du Moyen-Orient en incarnant une Saint-Valentin aux allures de conte oriental. Invitée de l’émission “The Heya Show” sur MTV Liban, aux côtés de la présentatrice Hanan Skaf, elle célèbre l’élégance intemporelle du caftan marocain, sublimé par un jeu de textures et de broderies précieuses.

Dans un somptueux caftan rouge flamboyant, orné de broderies ton sur ton d’une finesse exquise, Mimia Leblanc incarne une féminité ardente et magnétique. Ses cheveux chatoyants et son port altier lui confèrent une aura incandescente, évoquant la passion et le raffinement. À ses côtés, Hanan Skaf resplendit dans un caftan ivoire rehaussé de broderies dorées, chef-d’œuvre de l’artisanat marocain, illustrant un équilibre parfait entre douceur et éclat impérial.

Mimia Leblanc en caftan pour « The Heya Show (Photo Mimia Leblanc instagram)

Mimia Leblanc, fondatrice des bijoux Mimia Leblanc et bijoux Shaad, n’est pas seulement une créatrice de talent : elle est une icône de style qui transcende les époques, offrant au caftan marocain une modernité captivante. Son passage sur MTV Liban est une célébration du savoir-faire marocain, prouvant que le patrimoine peut se réinventer avec audace et glamour.

Ne manquez pas cette rencontre inspirante, où passion et artisanat s’entrelacent pour une Saint-Valentin sous le signe de l’élégance !

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La journaliste a fait une apparition remarquée aux Awards de Tiktok MENA et a raflé le prix du style lors de la prestigieuse compétition arabe. Mahira Abdelaziz mérite sans conteste de rejoindre la liste de nos coups de coeur de la Saint-Valentin.

Une robe-fleur d’exception pour une Saint-Valentin romantique

Pour cette soirée prestigieuse, Mahira Abdelaziz a opté pour une robe couleur rose glacé, un fourreau taillé en fleur qui déploie ses pétales avec art et technicité. Un choix à la fois romantique et spectaculaire, qui épousait à merveille sa silhouette élancée. Aérienne et sophistiquée, cette toilette de princesse semblait effleurer sa peau hâlée avec la douceur d’une caresse. Un look tout en poésie, sublimé par une mise en beauté naturelle et un chignon élégant.

Robe signature de « Layla » en vert menthe, conçue à la main en tulle combiné à une technique de pli, avec des couches asymétriques en forme de fleur (Photo : @layla.line)

Une Saint-Valentin en rouge passion

Depuis janvier, Mahira enchaîne les looks captivants, jouant avec les nuances de rouge, couleur emblématique de la passion. Sur son Instagram, elle a partagé plusieurs tenues d’exception, dont une robe altière à capuche d’un rouge intense entièrement pailletée, façon diva des temps modernes, une robe-manteau en laine soyeuse, structurée par des épaules en fleurs 3D impressionnantes, affirmant un style à la fois audacieux et couture, une robe de princesse monacale, à l’encolure bateau et manches longues, dont le tombé fluide s’évasait élégamment pour révéler, dans une subtile fente, ses escarpins dorés scintillant sous les projecteurs.

Mahira Abdelaziz en fourreau à capuche altière Tony Ward Couture (Photo @mahirabdelaziz)
Mahira Abdelaziz en robe-manteau Laith Maalouf (Photo @mahiraabdelaziz)
Mahira Abdelaziz en Stéphane Rolland (Photo @mahiraabdelaziz)

Un dernier look poudré pour une touche de douceur

Pour parfaire cette série de looks inoubliables, Mahira Abdelaziz a dévoilé un ensemble aux tons mauve poudré des plus raffinés : une robe midi délicatement brodée de pierres et cristaux, accompagnée d’un perfecto assorti, scintillant sous la lumière. Une touche de féminité moderne qui souligne son goût pointu pour la mode et son amour des détails sophistiqués.

Mahira Abdelaziz en George Hobeika Couture (Photo @mahiraabdelaziz)

Mahira Abdelaziz : une étoile aux multiples facettes

Née le 6 novembre 1989 à Dubaï, Mahira Abdelaziz est une figure incontournable des médias et du divertissement. Après des études distinguées en architecture au Royal Architectural Institute of Canada, où elle reçoit une médaille d’or pour son excellence, elle se tourne vers le journalisme. Ancienne correspondante pour CNBC Arabiya, elle a ensuite brillé en tant qu’animatrice sur AlArabiya TV et s’est fait un nom en interviewant des personnalités d’envergure telles que Prince Saud Al Faisal et la Reine de Suède. Son talent l’a menée jusqu’à Hollywood avec un rôle dans la série Netflix “The Platform”, avant d’intégrer récemment le casting de Dubai Bling Saison 3.


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Dans La Damnée, Ouidad Elma incarne une sorcière mystique, ancrée entre Tanger, la France et Marrakech. Mais au-delà de l’écran, son identité marocaine nourrit un univers singulier, où cinéma, mode et nature se rencontrent. Entre héritage et modernité, la belle actrice façonne une esthétique envoûtante qui intrigue et captive. Dans cet entretien, elle nous dévoile ses inspirations, son rapport aux traditions et la manière dont son parcours façonne son art.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Ouidad Elma, actrice aux multiples facettes, nous invite à découvrir son univers intime. Ayant grandi entre Tanger et la France, elle a choisi de s’ancrer dans la nature luxuriante de l’arrière-pays de Marrakech. Ce nouvel environnement, mêlant authenticité, silence et énergie des montagnes, l’a aidée à se reconnecter à l’essentiel et à nourrir sa créativité. Son dernier film, dans lequel elle incarne une sorcière au pouvoir libérateur, illustre parfaitement cette transformation personnelle et artistique. À travers cet entretien, Ouidad partage avec nous ses réflexions sur le retour à une vie plus authentique, la puissance du cinéma et l’expression de l’identité marocaine, sans oublier sa passion pour la mode.

Vous qui avez grandi entre Tanger et la France, comment cette nouvelle vie dans l’arrière-pays de Marrakech a-t-elle transformé votre façon de voir le monde et de vous reconnecter à l’essentiel ?

J’ai découvert Marrakech sous un angle inédit, entre les montagnes majestueuses de l’Atlas et la ville vibrante. Cette immersion dans des espaces purs et énergétiques m’a permis de me ressourcer profondément, de renouer avec la nature et les traditions qui font partie intégrante de notre culture. Née dans les montagnes du Rif, me retrouver dans les montagnes du Sud est un retour aux sources brut et authentique qui enrichit mon identité.

Quels apprentissages tirez-vous de ce retour à une vie plus ancrée dans la nature, et comment cela nourrit-il votre créativité d’actrice ?

La nature m’offre l’espace et le silence indispensables à la créativité. Là, loin du tumulte urbain – que ce soit à Paris ou à Casablanca – je trouve un lieu de recueillement où les plus belles idées émergent. Cet environnement me transforme, me donne une clarté nouvelle dans mon travail, et modifie ma perception des rôles et des histoires que je raconte à l’écran.

À travers vos rôles, vous incarnez souvent des personnages forts et complexes. Pensez-vous que le cinéma peut réellement changer les mentalités ou ouvrir des dialogues sur des sujets essentiels ?

Pour moi la culture est nécessaire au collectif humain, c’est ce qui fait grandir une société. Le cinéma est, pour moi, un moyen puissant de briser les barrières et de toucher les cœurs. J’ai notamment choisi de sortir de ma zone de confort en incarnant une sorcière dans « La Damnée ». Ce personnage, loin d’être stigmatisé, représente une femme souveraine qui assume pleinement sa liberté. À travers ce rôle, je souhaite questionner les préjugés et ouvrir un dialogue sur des thèmes comme les traumas générationnels et la place de la femme dans la société.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Ce personnage de la sorcière, que représente-t-il pour vous dans la société marocaine ?

Pour moi, le terme « sorcière » n’a pas de connotation négative. Il désigne une femme en plein pouvoir, une guérisseuse qui assume son identité. La société nous a souvent cataloguées de cette façon pour tenter de nous contrôler. Mais je crois que chaque femme est, en réalité, une sorcière puissante, capable de transformer ses zones d’ombre en force et de créer un changement profond.

Vous vous reconnaissez dans ce personnage ?

Toutes les femmes sont des sorcières ! C’est ce que dit le livre de Mona Chollet. L’autrice suisse parle de ces femmes de la Renaissance que l’on accusait de sorcellerie, censurées et réprimées, elles finissaient au bucher. Ces féminicides ont perduré pendant des siècles. On ne parle jamais de ces féminicides ni de ceux qui, dans l’histoire préislamique, consistaient à tuer des filles simplement parce qu’elles étaient des filles. Pourquoi ? Parce que les femmes ont un pouvoir : elles sont connectées au monde invisible, elles créent la vie, et c’est un pouvoir incroyable. Elles sont reliées au divin – l’utérus, c’est un portail connecté directement à Dieu – et cela fait peur au système, à la société. En fait, avoir la capacité de reconnaître son pouvoir en tant que femme et se dire « ok, j’ai ce pouvoir et je peux créer le monde que je veux avec tout l’amour et la bienveillance dont je dispose » est un pouvoir qui nous a été longtemps refusé. Je pense que le changement se fait naturellement et qu’il y a aujourd’hui une prise de conscience incroyable. Quand on m’a proposé ce film, j’ai dit, bien sûr, je veux le faire ; ce rôle est pour moi une libération, une véritable rencontre. Un rôle ne vient jamais à toi par hasard.

Comment avez-vous abordé vos débuts ?

Le réalisateur voulait me rencontrer à Casablanca, et j’avoue avoir eu un peu peur, car c’était la première fois que j’allais incarner un antagoniste. Toutefois, ce processus de transformation, qui m’a sortie de ma zone de confort, m’a enthousiasmée. Le personnage, appartenant à l’imaginaire et d’une dimension presque fantasmagorique, me permettait de toucher l’imaginaire collectif. C’était un super challenge, et j’ai perçu dans ce rôle un aspect profondément spirituel – merci à l’univers, merci à Dieu de me permettre d’explorer des espaces de jeu inédits qui ont débloqué beaucoup de choses en moi. »

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Ce film vous a-t-il menée à changer de vie et à déménager ?

Totalement. Ce film m’a ouvert les yeux sur un monde invisible que l’on ne trouve pas dans les pays occidentaux. Marrakech, ville sainte fondée par la grande Zaynab, la porte des sept saints et du désert, est une ville amazigh ancestrale qui guérit par son énergie. J’ai su qu’il fallait que je sois là, que je reste ici. À chaque fois que je revois ce film, je ressens une peur profonde – non pas de l’écran, mais de moi-même, tant je suis émotive. Pour incarner ce rôle, j’ai dû puiser dans ma propre colère et déposer les traumas de ma lignée : ceux transmis par ma grand-mère, ma mère, et toutes ces déesses et guerrières qui, pendant des siècles, n’ont pas eu leur espace d’expression. Ce processus m’a permis de retrouver un équilibre, essentiel pour être d’abord au service de soi-même avant de servir les autres. »

Pourquoi vous ?

C’est l’univers qui voulait que ce rôle soit pour moi. Je pense que j’ai touché le réalisateur par mon histoire, et j’ai été fascinée par son intelligence et sa capacité à être authentique, à écouter son imaginaire – une véritable vieille âme. J’ai retravaillé avec lui pour son second film, « Killer Influence », diffusé sur Amazon Prime et Apple TV. Bien qu’il vive en France, il revient souvent ici pour sa famille. J’ai eu beaucoup de chance de le rencontrer : Abel est un génie. Il avait 22 ans lors du tournage de ce premier long métrage, et à 25 ans, il confirme déjà sa sensibilité rare. Cette rencontre a été touchante et a annoncé la couleur d’un nouveau chapitre dans ma carrière.

Quel message souhaitez-vous transmettre au public à travers votre art ? Voyez-vous une mission plus grande derrière votre carrière d’actrice ?

Je dis toujours aux jeunes – et aux moins jeunes – qu’il n’y a pas de règles fixes pour raconter une histoire. Le monde a soif d’histoires authentiques. Que vous soyez conteur ou cinéaste, il faut oser partager son vécu, car c’est ainsi que nous pouvons changer les mentalités et grandir collectivement. Mon art est ma manière de redonner la parole à ceux qui n’en ont pas toujours eu, de faire émerger la richesse de notre humanité. Le monde veut entendre des histoires, car conteur est le plus vieux métier du monde et ce métier est à la portée de tous. On se racontait des histoires, surtout à Marrakech, sur la place Jemaa-el-Fna, où l’on partageait des récits de notre humanité et de nos sociétés.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Votre ancrage à Marrakech vous inspire-t-il à explorer un cinéma plus terre à terre et authentique ?

Cet ancrage ici à Marrakech te donnera envie d’explorer un cinéma plus terre-à-terre, sans trop de filtres, d’effets spéciaux ou de fictions. Le monde entier vient à Marrakech ; c’est une porte d’entrée vers le monde, le Maroc est une terre d’accueil. J’ai commencé le cinéma jeune, par pure passion : je l’ai étudié, j’ai fait partie d’une troupe de théâtre et j’ai appris la méthode américaine de l’Actor Studio aux USA. J’ai aussi commencé à écrire, et j’apprécie énormément cette capacité à inventer quelque chose qui se trouve dans la tête, à le projeter sur une feuille blanche, puis à le matérialiser en une histoire vivante avec des êtres humains. Le processus est assez magique, presque divin : il part d’une pensée que l’on écrit…

Votre autre passion serait-elle la mode ?

La mode est pour moi une forme d’expression tout aussi puissante que le cinéma. J’adore les robes, car elles me permettent de me sentir à la fois féminine et libre. J’apprécie également les costumes, qui révèlent une autre facette de ma personnalité. Porter un vêtement, c’est comme se métamorphoser, c’est adopter une attitude différente qui reflète notre état d’esprit. La mode me permet d’incarner mon identité marocaine avec élégance, que je sois à Paris, à Londres ou ici, à Marrakech.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Porter un caftan sur le toit de M Avenue, dans cet espace où luxe et tradition se mêlent, a-t-il une résonance particulière pour vous ?

Le caftan est l’habit le plus noble et le plus élégant que le Maroc ait créé pour le monde. Il fait partie du riche patrimoine de notre pays. C’est l’une des cultures les plus anciennes au monde. Je suis fière de porter ce symbole de notre identité. Et je pense que toutes les femmes du monde peuvent arborer un caftan et ressentir cette grandeur. J’aime les caftans simples, en soie ou en mousseline, qui offrent de la légèreté et une liberté de mouvement. Cet habit incarne à la fois la tradition et la modernité, et je le considère comme une part essentielle de ma marocanité, où que je sois.

Si vous pouviez laisser une seule empreinte sur cette planète à travers votre vie et votre art, quelle serait-elle, et pourquoi ?

Je souhaite laisser une empreinte d’amour – l’amour de soi, l’amour de l’autre et l’amour divin. C’est une valeur qui guide chacun de mes choix. Mon prochain film, « L’Empreinte du Vent » de Laila Triki, en est un bel exemple. J’espère que mon travail continuera à inspirer et à rappeler à chacun qu’en partageant notre amour, nous pouvons transformer le monde.

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Héritier d’une passion transmise par le défunt Hassan II, SAR le Prince Moulay Rachid perpétue l’excellence du golf au Maroc. Avec style et engagement, il préside la 49e édition du Trophée Hassan II et la 28e Coupe Lalla Meryem au prestigieux Royal Golf Dar Es Salam de Rabat.

SAR le Prince Moulay Rachid participant au pro-am du Trophée Hassan II au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat (Photo Getty Images)

Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et avec la présence chaleureuse de Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid, la Fédération Royale Marocaine de Golf et l’Association du Trophée Hassan II, le 49ème Trophée Hassan II et la 28ème édition de la Coupe Lalla Meryem, inscrits pour la troisième année consécutive sur le PGA Tour Champions, ont livré une édition réussie comme chaque année. Ces rendez-vous prestigieux se tiennent au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat, attirant les plus grands golfeurs et golfeuses du monde ainsi qu’une constellation de personnalités marocaines et internationales. Cette année ce sont 66 légendes du golf mondial et 108 joueuses du Ladies European Tour, dont des représentantes marocaines telles qu’Ines Laklalech et Maha Haddioui qui ont pris part à la compétition.

SAR le Prince Moulay Rachid participant au pro-am du Trophée Hassan II au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat (Photo Getty Images)

Moulay Rachid, le Prince du golf au Maroc

Au cœur de ces événements prestigieux se trouve Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid, véritable figure emblématique du golf marocain. Depuis de nombreuses années, le Prince incarne avec passion et détermination l’esprit du golf au Maroc. Son parcours exceptionnel en tant que golfeur professionnel, ambassadeur du sport et président de la Fédération Royale Marocaine de Golf lui a valu le surnom de « Prince du Golf ». Visionnaire et engagé, il accompagne le développement du golf dans le royaume en soutenant activement les compétitions internationales. Sa présence à la 49e édition du Trophée Hassan II, participant au Pro-Am et notamment lors du dîner de gala offert par Sa Majesté le Roi, symbolise l’union entre tradition et modernité et souligne l’ambition de hisser encore plus le golf marocain sur la scène mondiale.

SAR le prince Moulay Rachid et SAR la princesse Lalla Meryem lors du trophée Hassan II de golf tenu en 2016 au Royal golf d’Agadir (Photo Getty Images)

Heureux héritier d’une passion royale

Le défunt Hassan II a marqué l’histoire du golf au Maroc en décidant, dès 1971, d’ériger à Rabat un complexe aux normes internationales, aujourd’hui connu sous le nom de Royal Golf Dar Es Salam. Ce joyau, alliant la beauté naturelle des sites marocains à une technicité de classe mondiale, a transmis la « belle valeur verte » du royaume à Son Altesse Royale Moulay Rachid. Héritier de cet engagement royal, le Prince incarne cet héritage avec une élégance naturelle sur les greens et continue de porter haut la flamme du golf au Maroc.

SAR le Prince Moulay Rachid participant au pro-am du Trophée Hassan II au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat (Photo Getty Images)

Un Leader au grand cœur et à l’âme de mentor

Plus qu’un dirigeant, SAR Moulay Rachid incarne l’esprit du golf marocain. Dès son plus jeune âge, il s’est imprégné de la discipline et du dévouement requis par ce sport. Aujourd’hui, il se consacre avec ferveur à transmettre sa passion aux générations futures. Son élégance de golfeur se remarque sur son port de tête impeccable, un swing précis et une démarche fluide sur la pelouse, le tout sublimé par un sourire affectueux et bienveillant. Ce raffinement naturel séduit et inspire les nombreux invités – personnalités et passionnés – qui font du Trophée Hassan II un rendez-vous annuel incontournable dans leur agenda.

Raffinement royal et passion du golf : SAR Moulay Rachid préside le dîner de gala du Trophée Hassan II 2025, avec élégance et bienveillance, perpétuant l’héritage d’un sport d’excellence au Maroc

Le papa fera-t-il pareil avec ses deux garçons ?

Dans l’ombre de cet héritage précieux, une question se pose et résonne comme une promesse d’avenir : le père transmettra-t-il, à son tour, cette passion et cette vision à ses deux garçons ? Ce questionnement, empreint de poésie et d’espoir, symbolise la perpétuation d’un héritage royal qui ne cesse de faire rêver et d’inspirer non seulement les passionnés de golf, mais également toute une nation fière de ses traditions et de son ouverture sur le monde.

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Sana Mouziane et Alan Dersley

Sana Mouziane et Alan Dersley, entre glamour et intimité. Un amour fusionnel entre Marrakech et Londres, entre tradition et modernité. Confidences exclusives.

Sana Mouziane et Alan Dersley
Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Que vous évoquent tous ces moments intimistes immortalisés par HOLA! MAROC ?
Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Comment vivez-vous l’entrée de votre petit dans l’adolescence ?

Kenzie s’apprête à fêter ses 11 ans et à franchir une nouvelle étape en débutant au collège, nous ressentons forcément cette appréhension universelle des parents face au temps qui passe. Le voir grandir et évoluer si vite est à la fois émouvant et déroutant. C’est triste de le voir perdre une part de son esprit d’enfant, mais cela s’accompagne aussi d’une certaine indépendance, ce qui nous permet en tant que couple d’avoir un peu plus de temps…

  • Comment la pandémie a-t-elle influencé votre vision de la vie familiale ?

Ce fut une période folle en y repensant. Voir Londres ou d’autres métropoles transformées en villes fantômes était assez particulier. Après tout ce temps passé à être enfermés, nous apprécions beaucoup plus les activités à l’extérieur: nous promener en ville ou retrouver nos proches par exemple. Il faut chérir tout cela, car nous ne savons jamais ce que l’avenir nous réserve. En tant que famille, nous avons appris que les biens matériels ne procurent pas le vrai bonheur. Ce qui compte vraiment, c’est la santé, la liberté de voyager et le fait de pouvoir serrer un être cher dans nos bras.

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Alan, comment accompagnez-vous Sana dans son retour sur les tapis rouges ?
  • Quelles inspirations ont guidé vos choix vestimentaires lors de votre dernière apparition ?

Revenir à cet incroyable Festival, institution rendue possible grâce à Sa Majesté le Roi Mohammed VI et à Mme Melita Toscan du Plantier, a été un honneur. Je voulais montrer que cet évènement était profondément international, tout comme notre mariage. Mon mari, qui est à moitié anglais et écossais, portait un kilt traditionnel, tandis que j’étais vêtue d’un caftan marocain. C’était une manière symbolique de prouver que nos différences culturelles pouvaient se conjuguer harmonieusement, dans le respect et la fierté de nos origines respectives.

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Comment décririez-vous l’évolution de votre relation à travers les ans ?

Comme dans tout mariage, les aléas de la vie et les responsabilités parentales peuvent parfois occuper beaucoup d’espace. Mais nous avons toujours veillé à préserver une certaine légèreté et un esprit de complicité. Que ce soit à travers des soirées cinéma ou des dîners à deux, ces moments nous permettent de nourrir la flamme qui anime notre couple. Participer au FIFM nous a d’ailleurs offert une parenthèse romantique, en nous rappelant nos débuts.

  • Quelles valeurs souhaitez-vous transmettre à Kenzie dans ce monde en constante évolution ?

Nous avons à cœur de l’élever avec des valeurs fortes : le respect des autres, la gentillesse et l’entraide. Nous voulons également qu’il développe une personnalité solide, qu’il soit persévérant et  donne le meilleur de lui-même, que ce soit dans ses études ou dans ses activités comme le jujitsu. Nous veillons également à ce qu’il soit un homme de foi, fier de ses origines métissées.

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! Maroc lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Sana, avez-vous des projets musicaux en perspective ? Envisagez-vous des collaborations familiales ?

Le chant reste l’une de mes grandes passions et j’aimerais explorer davantage cette voie. Je souhaite enregistrer une nouvelle chanson, peut-être au Maroc. Alan est d’un formidable soutien et Kenzie a déjà participé à quelques projets avec moi, notamment une publicité pour Facebook à l’occasion du Ramadan, que j’ai adorée tourner avec lui. Voyons ce que 2025 nous réserve, et puisse cette année être excellente pour nous, pour le Maroc et pour le monde InshaAllah.

Mariage de Sana Mouziane et Alan Dersley
Première photo du mariage de l’actrice marocaine Sana Mouziane et Alan Dersley à Londres
Mariage de Sana Mouziane et Alan Dersley
Cérémonie de mariage marocain à Marrakech
Mariage de Sana Mouziane et Alan Dersley
Cérémonie de mariage marocain à Marrakech dans la plus pure tradition
Lune de miel aux Maldives
Lune de miel aux Maldives
Le baby bump de sana mouziane
Le baby bump immortalisé au coeur de la capitale londonienne
Le petit Kenzie à ses premiers mois
Le petit Kenzie à ses premiers mois dans le doux cocon d’amour de ses parents
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Ce 3 février 2025, Lalla Oum Keltoum, épouse de SAR le Prince Moulay Rachid, célèbre son 38ᵉ anniversaire, entourée de l’affection de son époux et de leurs deux fils, le Prince Sidi Moulay Ahmed et le Prince Sidi Moulay Abdeslam.

Depuis son mariage, en novembre 2014, Lalla Oum Keltoum incarne une élégance naturelle et un raffinement discret qui ont conquis le cœur du Prince Moulay Rachid. Ensemble, ils forment un couple princier rayonnant et inspirant, symbole d’harmonie et de modernité. Leur union, scellée lors d’une cérémonie grandiose, pendant trois jours de festivités mémorables au palais royal de Rabat, a été couronnée par la naissance de leur premier fils, le Prince Sidi Moulay Ahmed, né le 23 juin 2016, suivi six années plus tard par son cadet, le Prince Sidi Moulay Abdeslam, venant ainsi perpétuer la lignée royale avec noblesse et fierté.

En ce jour spécial, HOLA! Maroc adresse ses vœux les plus chaleureux à Lalla Oum Keltoum, lui souhaitant bonheur et prospérité auprès de SAR Moulay Rachid et de leurs deux jeunes princes.

SAR le prince Moulay Rachid et son épouse Lalla Oum Keltoum, lui tenant leur petit dernier Moulay Abdeslam et elle avec leur cadet Moulay Ahmed (Photos MAP – DR)

Souhaitez un joyeux anniversaire à SAR Lalla Oum Keltoum et partagez vos impressions sur son élégance et son rôle au sein de la Famille Royale !

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Découvrez comment le Maroc associe football et patrimoine avec la Coupe d’Afrique des Nations 2025. À l’honneur : l’art du zellij marocain, héritage arabo-andalou, qui sublime cet événement sportif.

En décembre 2025, le Maroc sera l’hôte de la Coupe d’Afrique des Nations (CAN), un événement qui promet d’être aussi spectaculaire sur le plan sportif que culturel. Parmi les nombreuses initiatives pour célébrer cet événement, une vidéo promotionnelle a retenu l’attention, mettant en lumière l’art du zellij marocain, véritable joyau du patrimoine national. Ce subtil mariage entre football et tradition artistique offre une opportunité unique de découvrir l’histoire de cet art ancestral, emblématique du Maroc.

Le zellij, un patrimoine au service de la modernité

La vidéo promotionnelle de la CAN 2025 ne se contente pas d’exalter l’engouement pour le sport roi, elle tisse également un lien profond avec le patrimoine culturel marocain. Dans ses images vibrantes, des motifs en zellij ornent les stades, les terrains et les paysages marocains. Les carreaux colorés et les motifs géométriques complexes s’entrelacent pour raconter l’histoire du Maroc, entre tradition et modernité. Cette intégration artistique ne relève pas du hasard : le zellij est un symbole fort de l’identité marocaine. Il reflète non seulement le raffinement artisanal, mais aussi l’esprit d’un pays qui valorise ses racines tout en se tournant vers l’avenir.

Mosquée Al Quaraouiyines à Fès, la plus ancienne université au monde érigée par une femme Fatima Al Fihryia, construite entre 857 et 859, symbole de la civilisation islamique (Photo Getty Images)

Les origines du zellij marocain : un héritage arabo-andalou

L’histoire du zellij remonte à plusieurs siècles. Si ses origines sont souvent attribuées à la civilisation arabo-andalouse, c’est au Maroc que cet art a trouvé son apogée, particulièrement sous les dynasties Almoravide, Almohade et Mérinide. Introduit au Maroc au XIᵉ siècle, le zellij a évolué pour devenir un élément central de l’architecture islamique marocaine. À l’origine, ces mosaïques d’argile émaillée étaient utilisées pour décorer les palais, les mosquées et les médersas. Les artisans, appelés maâlems, façonnaient à la main chaque carreau, avant de les assembler avec une précision mathématique pour créer des motifs hypnotiques. Ce savoir-faire, transmis de génération en génération, est aujourd’hui reconnu comme un trésor national.

La Medersa Ben Youssef au coeur de la Médina de Marrakech, joyau du patrimoine architectural islamique du Maroc (Photo Getty Images)
Ben Youssef Madrasa, Marrakech, Morocco. (Photo by: Giovanni Mereghetti/Education Images/Universal Images Group via Getty Images)

Des monuments emblématiques du zellij

Le Maroc regorge de lieux où l’on peut admirer l’art du zellij dans toute sa splendeur. Parmi eux, la médersa Bou Inania à Fès, avec ses murs recouverts de motifs élaborés, demeure un chef-d’œuvre incontournable. À Marrakech, le Palais de la Bahia enchante les visiteurs avec ses mosaïques vibrantes qui reflètent l’essence de l’artisanat marocain. Plus moderne, la mosquée Hassan II à Casablanca incarne un parfait exemple de la façon dont le zellij continue de rayonner dans les grandes réalisations architecturales du Maroc contemporain. Ces lieux, chacun à leur manière, rappellent que le zellij est bien plus qu’une simple décoration : il est une expression vivante de l’âme marocaine.

Fontaine du palais Bahia à Marrakech (Photo by: Andia/Universal Images Group via Getty Images)

Un pont entre tradition et sport

En choisissant d’incorporer le zellij dans la promotion de la CAN 2025, le Maroc fait preuve d’une ingéniosité culturelle. Ce n’est pas simplement une compétition sportive que le pays met en avant, mais aussi une vitrine de son héritage unique. Les stades et les espaces qui accueilleront les équipes et les supporters seront, à travers cette campagne, des témoins d’un savoir-faire ancestral qui inspire toujours admiration. Cet hommage souligne également la capacité du Maroc à conjuguer modernité et authenticité. Alors que le football rassemble des millions de personnes à travers le monde, le choix du zellij comme symbole témoigne de l’engagement du pays à partager son histoire et ses traditions avec le reste du continent et au-delà.

Mélita Toscan du Plantier à la Mamounia à Marrakech lors du Festival international du film de Marrakech dont elle est la directrice (Photo BP-Photographe)
Robert De Niro à la Mamounia lors du 17ème FIFM en décembre 2018 à Marrakech (Photo Getty Images)
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La journaliste et ex animatrice de télévision a réuni famille, amis et personnalités proches autour d’une soirée mémorable marquant les quatre ans de la mort de son mari.

Nour-eddine Sail immortalisé par Khalil Nemmaoui, photo accrochée au Cineatlas

C’est au cinéma Ex Colisée, rebaptisé Cineatlas, à Rabat, que Nadia Larguet a rendu un bel hommage à son mari défunt, Noureddine Saïl. Le 15 décembre, date symbolique marquant l’anniversaire de son décès, elle a organisé une cérémonie en toute simplicité, à l’image de l’homme qu’il était. « J’avais besoin de temps pour le faire sereinement », explique-t-elle, ajoutant qu’elle souhaitait une célébration sobre, fidèle à sa mémoire. « Nour-Eddine n’aimait ni les récompenses ni les remerciements, mais je tenais à lui rendre hommage en souvenir des 20 ans passés ensemble. »

Nadia Larguet au micro de la MAP lors de l’hommage qu’elle a organisé pour son mari au Cineatlas

La cérémonie a été un moment fort, où chaque détail a été pensé avec soin. « C’était une salle pleine avec un public de qualité venu rendre hommage à ‘Monsieur cinéma’. Nous avons embarqué le spectateur pour un très beau moment chargé d’émotions. » Dans une atmosphère empreinte de respect, aucun téléphone n’a sonné durant l’heure et quart que dura l’événement. « Le respect absolu jusqu’au bout », se souvient Nadia.

Le choix du lieu était évident pour elle. « Une salle de cinéma s’imposait. » Le Cineatlas, chargé d’histoire et magnifiquement restauré, a offert un cadre parfait pour cet hommage. « Le rendez-vous a eu lieu le jour même du décès de Nour-Eddine, dans un lieu bien connu des rbatis. ». Rayonnante et apaisée, Nadia confie que son optimisme l’a toujours aidée à surmonter les épreuves. « Faire les choses avec sincérité aide à se sentir bien. Le public perçoit cette authenticité. » Elle souligne également l’importance de son entourage : « J’ai la chance d’avoir une famille formidable, un garçon exceptionnel et un cercle rapproché fidèle. J’ai un socle très solide qui me rend sereine. »

Son fils, Souleymane-Alexandre, âgé de 15 ans, a impressionné par sa maturité et sa prestance. « Je suis extrêmement fière de lui. Il a conquis le public par son calme et sa sérénité, s’adressant à eux parfaitement en arabe. » Son intervention, accompagnée d’un montage touchant de moments avec son père, a profondément ému l’assistance.

Nadia Larguet et son fils Suleïman Saïl.

Pour Nadia, cet hommage était essentiel pour préserver la mémoire de Noureddine Saïl. « Il faut rappeler que Nour-Eddine était un homme connu pour son courage, son engagement et sa liberté d’expression. Se souvenir de lui est un devoir. » La réédition de L’ombre du Chroniqueur, un roman lipogramme unique, traduit en arabe, fut l’un des moments marquants de la soirée.

Quant à ses projets futurs, Nadia continue de se consacrer à des initiatives éducatives, notamment la sortie du volume 3 des Étoiles du sport. Avec humour, elle conclut : « Et je prépare aussi mes 52 ans… et peut-être chercherai-je un amoureux qui le vaut bien ! »

Crédit photos : Client Boost Agency

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« Du Cœur à la Main », une spectaculaire exposition qui témoigne de la passion des couturiers milanais et sicilien pour l’artisanat de leur pays. Une Immersion dans le Monde Haute Couture de Dolce & Gabbana au cœur de Paris.

Une scène des créations de la maison de luxe italienne Dolce & Gabbana dans la salle “Fait Main” lors de la visite de presse de l’exposition “Du Cœur à la Main : Dolce&Gabbana” au Grand Palais à Paris, le 9 janvier 2025. L’exposition offre du 10 janvier au 31 mars 2025, une exploration immersive de l’histoire derrière les collections de couture de Dolce & Gabbana. (Photo Getty Images)Images)

Du 10 janvier au 31 mars 2025, le Grand Palais de Paris devient l’écrin majestueux de l’exposition “Du Cœur à la Main : Dolce&Gabbana”. Cet événement unique transforme ce lieu emblématique en un sanctuaire dédié à l’art de la haute couture italienne. S’étendant sur 1200 m², l’exposition est un véritable parcours immersif à travers 10 salles thématiques, où plus de 200 pièces issues des collections Alta Moda, Alta Sartoria et Alta Gioielleria sont exposées. Chaque salle est conçue comme un univers sensoriel distinct, mêlant décors somptueux, projections vidéo, lumières et ambiances sonores. Les visiteurs sont invités à plonger dans un dialogue harmonieux entre l’art et la mode, où chaque création devient une œuvre d’art, révélant l’essence du savoir-faire artisanal italien. Les vêtements, bijoux et accessoires présentés témoignent de l’excellence et de l’audace créative qui ont fait la renommée mondiale de la maison. Les archives, croquis, et vidéos de coulisses enrichissent l’expérience, offrant un aperçu captivant des coulisses de l’univers Dolce & Gabbana.

Une scène des créations de la maison de luxe italienne Dolce & Gabbana dans la salle “Fait Main” lors de la visite de presse de l’exposition “Du Cœur à la Main : Dolce&Gabbana” au Grand Palais à Paris, le 9 janvier 2025. L’exposition offre du 10 janvier au 31 mars 2025, une exploration immersive de l’histoire derrière les collections de couture de Dolce & Gabbana. (Photo Getty Images)
Une scène des créations de la maison de luxe italienne Dolce & Gabbana dans la salle “Fait Main” lors de la visite de presse de l’exposition “Du Cœur à la Main : Dolce&Gabbana” au Grand Palais à Paris, le 9 janvier 2025. L’exposition offre du 10 janvier au 31 mars 2025, une exploration immersive de l’histoire derrière les collections de couture de Dolce & Gabbana. (Photo Getty Images)

La Genèse de la Marque : Un Héritage Sicilien et Milanais

Fondée en 1985 par Domenico Dolce et Stefano Gabbana, la maison de couture puise ses inspirations dans les racines siciliennes et milanaises de ses fondateurs. Dès leurs débuts, Dolce & Gabbana se distinguent par des collections qui célèbrent la femme dans toute sa splendeur, avec des références constantes à la culture italienne. Leurs premiers défilés, comme celui de 1986 où la collection intitulée “Real Women” mettait en avant des silhouettes inspirées de la Sicile, ont immédiatement séduit par leur authenticité et leur sensualité. Le duo continue de marquer les esprits avec des shows grandioses tels que le défilé Alta Moda 2018 au Lago di Como, où les créations somptueuses rendaient hommage à la Renaissance italienne. Le vestiaire de Dolce & Gabbana, reconnaissable par ses corsets sculpturaux, ses imprimés léopard audacieux, et ses robes de dentelle noire, incarne une vision de la mode où l’élégance côtoie la passion. Chaque pièce reflète un attachement profond à l’artisanat, avec un souci du détail et une quête incessante de perfection. Cette exposition au Grand Palais célèbre cet héritage et invite les visiteurs à découvrir le parcours exceptionnel d’une maison de mode devenue icône.

Une scène des créations de la maison de luxe italienne Dolce & Gabbana dans la “sicilien room” lors de la visite de presse de l’exposition “Du Cœur à la Main : Dolce&Gabbana” au Grand Palais à Paris, le 9 janvier 2025. L’exposition offre du 10 janvier au 31 mars 2025, une exploration immersive de l’histoire derrière les collections de couture de Dolce & Gabbana. (Photo Getty Images)
Une scène des créations de la maison de luxe italienne Dolce & Gabbana dans la “Opera room” lors de la visite de presse de l’exposition “Du Cœur à la Main : Dolce&Gabbana” au Grand Palais à Paris, le 9 janvier 2025. L’exposition offre du 10 janvier au 31 mars 2025, une exploration immersive de l’histoire derrière les collections de couture de Dolce & Gabbana. (Photo Getty Images)

De la Vision à la Réalisation : Un Parcours d’Excellence

Depuis leurs débuts, Dolce & Gabbana ont bâti un univers esthétique unique, célébrant l’art de vivre italien. L’exposition “Du Cœur à la Main” au Grand Palais reflète cet engagement envers la beauté et la perfection, avec des pièces d’une qualité exceptionnelle, réalisées à la main. À travers des archives, des croquis originaux et des collaborations artistiques, les visiteurs découvrent l’essence de la marque : un hommage vibrant à la culture italienne et à l’artisanat d’exception. Cette rétrospective au Grand Palais devient ainsi un passage incontournable pour quiconque souhaite s’immerger dans l’univers Dolce & Gabbana.

VisUne scène des créations de la maison de luxe italienne Dolce & Gabbana dans la salle “Art et artisanat de la verrerie” lors de la visite de presse de l’exposition “Du Cœur à la Main : Dolce&Gabbana” au Grand Palais à Paris, le 9 janvier 2025. L’exposition offre du 10 janvier au 31 mars 2025, une exploration immersive de l’histoire derrière les collections de couture de Dolce & Gabbana. (Photo Getty Images)
Une scène des créations de la maison de luxe italienne Dolce & Gabbana dans la salle “baroque” lors de la visite de presse de l’exposition “Du Cœur à la Main : Dolce&Gabbana” au Grand Palais à Paris, le 9 janvier 2025. L’exposition offre du 10 janvier au 31 mars 2025, une exploration immersive de l’histoire derrière les collections de couture de Dolce & Gabbana. (Photo Getty Images)
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