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Yasmine Khizrane

Le cœur de la chanteuse espagnole Rosalía semble avoir retrouvé le rythme de l’amour… et cette fois, c’est un acteur aux origines marocaines qui le fait battre. Aperçue dans une ambiance très complice avec Emilio Sakraya, la star catalane ne cache plus ses affinités avec ce talentueux artiste germano-marocain.

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C’est au restaurant Cipriani de Beverly Hills – repaire discret des célébrités – que les deux artistes ont été surpris, partageant un dîner cosy et des gestes tendres. Photographies à l’appui, diffusées par le très informé portail américain Deux Moi, on y voit Rosalía et Emilio échanger une chaleureuse accolade, tout sourire, avant de quitter les lieux dans la même voiture. De quoi faire naître les rumeurs… et les premiers soupçons d’idylle.

Emilio Sakraya, un charme venu de Berlin… et du Maroc

Peu connu du grand public au Maroc, Emilio Sakraya mérite pourtant toute l’attention. Né à Berlin il y a 28 ans, il est le fils de l’actrice Meryem Moutaoukkil, d’origine marocaine. Une double culture riche qu’il revendique avec fierté et qui teinte aussi bien son art que son charisme à l’écran.

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Acteur accompli, Emilio s’est illustré dans plusieurs productions internationales : Warrior Nun, 60 Minutes, Tribes of Europe ou encore Pure Gold. Mais il est aussi chanteur et compte déjà quatre albums studio à son actif. Un profil complet, à l’image d’un artiste de sa génération, qui conjugue passion et polyvalence.

Rosalía entre musique, cinéma… et romance

Rosalía ne ralentit pas. Alors qu’elle prépare son nouvel album en studio, elle vient également de rejoindre le casting de la prochaine saison d’Euphoria, la série phénomène de HBO aux côtés de Zendaya. Une première incursion dans l’univers hollywoodien, qu’elle vit comme un nouveau défi artistique :

« Euphoria a été ma série préférée ces dernières années, et je ne pourrais être plus heureuse ni plus reconnaissante », a-t-elle confié sur ses réseaux.

Et si le hasard faisait bien les choses ? Entre deux tournages, Emilio pourrait bien être son meilleur coach face aux caméras…

Un couple à suivre… de près

Si la relation reste pour l’instant non officielle, l’alchimie est bien là. Et au-delà du glamour, c’est aussi une belle lumière portée sur les talents marocains à l’international. Emilio Sakraya, avec ses racines marocaines et son parcours artistique impressionnant, pourrait bien être l’une des révélations de 2025 – et le nouvel homme fort aux côtés de la diva espagnole.

Affaire à suivre… avec attention !

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Ce lundi 14 avril marque un tournant symbolique dans l’histoire du vol spatial civil : six femmes, issues d’horizons aussi variés que l’ingénierie, le journalisme, le militantisme ou le show-business, s’apprêtent à franchir la frontière de l’espace à bord de la capsule New Shepard de Blue Origin. Parmi elles : la star planétaire Katy Perry, pour qui ce voyage sonne comme l’aboutissement d’un rêve de quinze ans.

Credit Photo : Instagram Katy Perry

À 15h30, heure française, la capsule propulsée depuis le désert texan grimpera au-delà des 100 kilomètres d’altitude – franchissant la fameuse ligne de Kármán, seuil symbolique de l’espace. Onze minutes d’ascension et de descente, dont quelques secondes précieuses d’apesanteur, suffiront à inscrire ce vol dans l’histoire : il s’agira du premier vol spatial civil entièrement féminin depuis Valentina Terechkova en 1963. Aux côtés de Perry : la journaliste Gayle King, l’ingénieure aérospatiale Aisha Bowe, l’activiste Amanda Nguyen, la productrice Kerianne Flynn et Lauren Sanchez – compagne de Jeff Bezos et à l’origine de cette mission baptisée Feather (« Plume »), un nom qui ne laisse rien au hasard.

Credit Photo : Instagram Katy Perry

Pour la chanteuse de Firework, ce voyage n’est pas qu’un caprice de célébrité : il revêt une forte dimension spirituelle. Dans une vidéo postée sur Instagram à la veille du décollage, Perry confie avoir perçu plusieurs « signes » l’invitant à accepter cette aventure cosmique. « Ma mère m’a toujours appelée plume, et quand j’ai vu l’insigne de la mission, j’ai su que c’était pour moi », raconte-t-elle. Autre coïncidence troublante : le nom de la capsule, Tortoise (« Tortue »), qui correspond à un autre surnom affectueux que sa mère lui donne depuis l’enfance. Un clin d’œil céleste qui a suffi à la convaincre. L’artiste prévoit même d’emporter sa voix avec elle là-haut : « Je pense que je vais chanter. Je dois chanter dans l’espace », a-t-elle lancé, mi-sérieuse mi-enjouée, depuis le simulateur de vol.

Avec ce 11e vol habité, Blue Origin, la société spatiale de Jeff Bezos, entend affirmer son leadership dans le secteur du tourisme suborbital. En mettant en orbite une escouade de femmes influentes et médiatisées, l’entreprise capitalise sur un message d’empowerment, tout en renforçant sa visibilité auprès du grand public. À l’heure où l’espace devient une scène à la fois scientifique, politique et commerciale, cette mission Taking Up Space — littéralement « prendre de la place » — s’impose comme un geste à la fois symbolique et stratégique : celui d’une nouvelle ère où la conquête spatiale se veut inclusive, spectaculaire… et rentable.

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Le Parc des Princes n’a jamais aussi bien porté son nom. Dans les tribunes, deux « princes » d’Angleterre, William et son fils aîné George, ont vibré ensemble pour Aston Villa, le club cher à leur cœur. Une soirée riche en émotions, entre euphorie et déception, qui a fait le tour des réseaux sociaux à travers des clichés saisissants de leur passion partagée.

Une passion père-fils qui crève l’écran

Vêtus aux couleurs du club de Birmingham, William et George ont affiché une ferveur rare, presque miroir. Même tension, mêmes cris de joie à l’ouverture du score, mêmes mines inquiètes quand le PSG a renversé le match. Leur langage corporel racontait toute l’histoire : celle d’un père et de son fils emportés par le même amour du jeu. Ce genre d’instants, à la fois sincères et spontanés, révèle une facette profondément humaine du futur roi d’Angleterre.

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Une soirée inoubliable malgré la défaite

Le score final (3-1 pour le Paris-Saint-Germain) n’aura pas suffi à gâcher la magie de cette soirée entre père et fils. Pour William, ce match avait une résonance particulière. « Cela fait 43 ans que Villa n’a pas atteint ce niveau. Je voulais que George vive une vraie soirée européenne, loin de chez lui, et qu’il en garde un souvenir fort », a-t-il confié à la BBC. Un moment qu’il a qualifié lui-même d’ »important » dans leur relation.

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George, déjà un fidèle supporter

À seulement 11 ans, George n’en est pas à sa première apparition aux côtés de son père dans les tribunes. Que ce soit lors de l’Euro ou de grandes affiches de Premier League, il partage depuis toujours cette passion avec le prince de Galles. Le duo forme un tandem complice que les fans adorent observer, entre gestes tendres, échanges de regards enthousiastes, et émotions décuplées à chaque action de jeu.

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Le sport, un lien fort dans la famille royale

Le sport est un langage universel dans la famille royale. Du rugby au football, en passant par le tennis, les Windsor ont toujours su transmettre leur amour des compétitions à leurs enfants. William, qui avoue être un peu superstitieux devant un match, a d’ailleurs confié récemment : « Si je suis seul à la maison avec les enfants, je ne prendrai probablement pas de bière avant le match ! » Une confidence qui en dit long sur l’atmosphère passionnée qui règne chez les Cambridge les soirs de match.

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Une complicité qui touche les fans

Ce soir-là, les regards braqués sur la pelouse parisienne ont aussi capté autre chose : une complicité sincère, faite de rituels, d’émotions brutes et de gestes partagés. Voir William et George vibrer ensemble pour leur club de cœur a ému bien au-delà des supporters d’Aston Villa. C’est ce genre de moments qui rapproche une famille royale de ceux qui la regardent. Et qui rappelle que derrière les titres, il y a simplement un père et son fils, réunis par la magie du football.

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Rayonnants de complicité et baignés de lumière romaine, le Roi Charles III et la Reine Camilla s’offrent à l’objectif avec une tendresse qui traverse le temps, à la veille de leur vingtième anniversaire de mariage, ce 9 avril. C’est dans les jardins baignés de lumière de la Villa Wolkonsky, résidence officielle de l’ambassadeur britannique à Rome, qu’ils ont été immortalisés. Au pied du vestige antique de l’Aqua Claudia, le temps semble suspendu pour capturer l’éclat discret de deux âmes en harmonie.

Un écho de sérénité et d’élégance

Derrière l’objectif, Chris Jackson, photographe officiel de Getty Images, saisit l’instant avec grâce, quelques heures à peine après leur arrivée dans la Ville Éternelle pour une visite d’État de quatre jours.Pour l’occasion, Camilla resplendit dans une robe-manteau crème signée Anna Valentine, ponctuée d’une broche « Muguet », symbole de pureté et de renouveau. À ses côtés, Charles, fidèle à son élégance britannique, arbore un costume bleu marine à fines rayures, comme une ode discrète au classicisme royal.

© Chris Jackson/Getty Images for Buckingham Palace

Un message du cœur à l’Italie

Ces portraits ont également trouvé refuge sur leur compte Instagram officiel, accompagnés de mots simples mais pleins d’émotion :

« Alors que nous commençons notre première visite en Italie en tant que Roi et Reine, nous sommes impatients de célébrer notre vingtième anniversaire de mariage dans un lieu aussi spécial – et auprès de personnes aussi merveilleuses ! À bientôt, Rome et Ravenne ! – Charles R & Camilla R. »

Une déclaration délicate, entre amour personnel et devoir diplomatique.

Le temps, la foi et les retrouvailles

Vingt ans plus tôt, c’est à Rome aussi que Charles posait le pied, mais dans un tout autre contexte : pour rendre hommage au Pape Jean-Paul II, un deuil qui avait repoussé ses noces avec Camilla. Cette année, l’agenda devait inclure une rencontre avec le Pape François, mais celle-ci a été annulée, le Pontife poursuivant sa convalescence après une hospitalisation. Toutefois, une rencontre privée n’est pas exclue, si son état le permet. Une occasion rare entre deux chefs spirituels – le Saint-Père et le Gouverneur Suprême de l’Église d’Angleterre.

© Chris Jackson/Getty Images for Buckingham Palace

Un dîner sous les étoiles du Quirinal

Pour marquer leur anniversaire de porcelaine, le couple royal s’apprête à vivre une soirée d’exception : un dîner d’État en tenue de gala au Palais du Quirinal, sous l’égide du président italien Sergio Mattarella. Une célébration fastueuse, reflet d’un amour discret devenu institution.

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Si certaines femmes de pouvoir imposent leur influence par le verbe, la reine Rania de Jordanie le fait aussi par le style. Depuis deux décennies, son goût affirmé pour les jupes longues et volumineuses, à la fois majestueuses et modernes, s’est inscrit dans l’histoire de la mode royale. Bien plus qu’une simple inclination vestimentaire, cette silhouette est devenue l’un de ses marqueurs les plus élégants.

2004 : l’instant fondateur d’un style

Tout commence en mai 2004, lors du mariage princier de Felipe d’Espagne et de Letizia Ortiz. Ce jour-là, la reine Rania crée la surprise. Elle délaisse les robes cintrées et tailleurs protocolaires pour une tenue audacieuse, presque théâtrale, mais ô combien raffinée : un chemisier blanc immaculé, associé à une jupe lilas aux proportions XXL, légèrement rehaussée de dentelle. L’ensemble, à la fois poétique et impérial, capte l’attention de la presse et des passionnés de mode. Ce look inattendu marque un tournant : Rania impose une nouvelle grammaire du chic royal.

La Reine Rania
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L’art de manier la jupe longue : une touche de classe signée Rania

Depuis cette apparition fondatrice en 2004, la reine Rania n’a cessé de décliner son goût pour les jupes longues dans une palette de styles et de matières, faisant de cette pièce un véritable statement mode. Chaque tenue raconte une histoire, où se mêlent influences contemporaines et racines culturelles.

On se souvient notamment de cette jupe plissée XXL en noir et blanc, spectaculaire par son volume maîtrisé, qu’elle accessoirise d’une ceinture rouge graphique et d’un chemisier blanc sobre : un jeu de contrastes parfaitement orchestré, à la fois audacieux et équilibré.

La Reine Rania
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Autre apparition marquante : une longue jupe noire soulignée de motifs ethniques rouges sur les côtés, hommage discret mais puissant à l’artisanat du Levant, qu’elle associe à un haut aux lignes épurées. Ce style, très personnel, incarne à merveille sa façon de conjuguer héritage et modernité sans jamais tomber dans le folklorique.

La Reine Rania
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Le 1er juin 2005, à New York, la Reine Rania de Jordanie avait une fois de plus capté tous les regards lors de la troisième édition de la soirée de bienfaisance organisée par le Sesame Workshop au Cipriani 42nd Street. Vêtue d’une silhouette impeccable, elle a opté pour une jupe longue noire sobre, sublimée par un haut blanc élégant, créant une harmonie parfaite entre simplicité et raffinement. Son apparence à la fois classique et moderne incarne l’essence même du style royal, tout en faisant écho à son statut d’icône de la mode internationale. Son apparition ce soir-là n’a pas seulement marqué l’événement par son engagement, mais aussi par une leçon de style, où chaque détail de sa tenue semblait résonner avec grâce et sophistication !

La Reine Rania
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Une allure royale… et avant-gardiste

Ce qui fascine chez la reine Rania, c’est sa capacité à faire dialoguer la tradition avec la tendance. La jupe XXL, dans ses mains, devient un terrain d’expression entre codes royaux et liberté créative. Elle en fait un vêtement de pouvoir, sans sacrifier la féminité. Une alternative gracieuse aux robes classiques, moins attendue que les tailleurs, mais toujours impeccablement maîtrisée.

La Reine Rania
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En cela, elle s’inscrit dans la lignée des icônes de style qui ne suivent pas la mode : elles la devancent. Longtemps avant que les podiums ne remettent la jupe ample au goût du jour, Rania la faisait défiler dans les couloirs feutrés des palais et les sommets internationaux.

La Reine Rania
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Une mode qui dit quelque chose

Au-delà de l’aspect esthétique, la passion de la reine Rania pour les jupes longues révèle une femme résolument moderne, consciente de l’impact de son image et de sa position. Par ce choix vestimentaire, elle incarne une royauté qui se réinvente, une féminité affirmée mais subtile, loin des conventions, et une élégance portée par une liberté de choix. La jupe, dans sa fluidité et sa grandeur, devient ainsi un véritable symbole de la femme contemporaine : puissante, indépendante et élégante, sans jamais chercher à se conformer.

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Derrière son nom à rallonge — Alexandra Charlotte Ulrica Maryam Virginia de Hanovre — se cache une jeune femme bien ancrée dans son époque. Fille unique de la princesse Caroline de Monaco et du prince Ernst August de Hanovre, Alexandra de Hanovre cultive un équilibre subtil entre tradition aristocratique et aspirations modernes.

Alexandra de Hanovre
La princesse Alexandra de Hanovre lors de la Fête nationale monégasque, le 19 novembre 2023 à Monaco. (Getty Images)

Une naissance au carrefour des monarchies

Née le 20 juillet 1999 à Vöcklabruck, en Autriche, Alexandra est la seule descendante du couple princier uni en 1999. Son père descend de la maison de Hanovre, ancienne lignée régnante allemande, tandis que sa mère appartient à la célèbre famille Grimaldi. Si ses parents sont séparés depuis 2009 sans avoir officialisé leur divorce, Alexandra garde des liens forts avec ses deux héritages culturels. « Il y a des périodes où je me sens très monégasque, et d’autres où mon côté germanique prend le dessus », confiait-elle récemment dans une interview.

La princesse Caroline de Hanovre et sa fille
La princesse Caroline de Hanovre et sa fille, la princesse Alexandra de Hanovre, assistant ensemble au défilé Haute Couture printemps-été 2020 de Chanel, dans le cadre de la Fashion Week parisienne.
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Une fratrie recomposée et soudée

Alexandra est la benjamine d’une grande fratrie issue des unions précédentes de ses parents. Côté paternel, elle a deux demi-frères, Ernst August Jr. et Christian, nés du premier mariage de son père avec Chantal Hochuli. Côté maternel, elle partage des liens solides avec Andrea, Pierre et Charlotte Casiraghi, enfants de Stefano Casiraghi, tragiquement disparu en 1990. Malgré leurs origines diverses, les membres de cette fratrie cosmopolite forment un clan uni, présent lors des grands événements du Rocher.

La princesse Alexandra de Hanovre (à gauche), Charlotte Casiraghi
La princesse Alexandra de Hanovre (à gauche), Charlotte Casiraghi (au centre) et la princesse Caroline de Hanovre (à droite) lors du Jumping International de Monte-Carlo en 2010.
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Une étudiante curieuse, une lectrice passionnée

Si son éducation s’est déroulée loin des projecteurs, Alexandra a fait preuve d’une grande curiosité intellectuelle. D’abord attirée par les sciences politiques et la philosophie, elle a finalement trouvé sa voie dans la littérature. « À travers la fiction, on comprend souvent mieux la réalité », expliquait-elle avec sincérité.

La princesse Alexandra de Hanovre
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Une histoire d’amour discrète mais solide

Depuis 2016, Alexandra partage sa vie avec Ben Sylvester Strautmann, un entrepreneur allemand d’1,96 m au parcours étonnant. Ancien basketteur professionnel, diplômé en gestion d’entreprise à Londres, il a fondé une société de solutions digitales à Monaco, où le couple réside discrètement. Très complice, le duo partage aussi l’amour des animaux — leur mini-teckel au nom princier, Eloise Von Lexington, a même posé pour une ligne d’accessoires chic signée Céline !

La princesse Alexandra de Hanovre et son compagnon Ben Sylvester Strautmann
La princesse Alexandra de Hanovre et son compagnon Ben Sylvester Strautmann assistent au Bal de la Rose 2025, l’un des événements mondains les plus emblématiques de la principauté.
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Une royauté moderne et en retrait

Alexandra de Hanovre, qui reste officiellement la seule descendante de la maison de Hanovre à posséder un titre royal, s’est toujours tenue à l’écart du tumulte médiatique. Préférant les bancs de l’université aux tapis rouges, elle incarne une génération de jeunes têtes couronnées à la fois ancrées dans leur époque et conscientes de leurs racines. Et si elle continue à évoluer dans l’ombre, c’est sans doute parce qu’elle a su trouver l’équilibre parfait entre destin royal et liberté personnelle.

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George Clooney

Broadway a brillé de mille feux ce mercredi soir, et ce n’était pas seulement pour saluer l’arrivée d’une nouvelle pièce dans ses mythiques théâtres. George Clooney, icône du cinéma hollywoodien, a fait une entrée remarquée dans le monde du théâtre en montant sur les planches dans une adaptation de son propre film, Good Night and Good Luck, sorti en 2005. Un événement que les stars n’auraient manqué pour rien au monde.

Une pièce engagée, un acteur toujours aussi charismatique

À 63 ans, George Clooney continue de se réinventer. Déjà salué pour ses talents d’acteur, de réalisateur et de producteur, l’artiste ajoute désormais une corde à son arc en se produisant en direct sur scène. Good Night and Good Luck, qui dénonçait dans sa version cinématographique les dérives du maccarthysme dans les années 50, prend une nouvelle dimension en version théâtrale. Le public, tout comme les critiques, attendait cette première avec impatience. Et pour saluer cette nouvelle aventure artistique, c’est un véritable défilé de stars qui s’est pressé au Lincoln Center de New York.

George Clooney
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Uma Thurman, Kylie Minogue, Julianna Margulies… une ovation glamour

Parmi les premiers à fouler le tapis rouge : Uma Thurman, divine dans une longue robe blanche en satin qui soulignait sa silhouette sculpturale. L’actrice, connue pour son élégance, a illuminé la soirée de sa présence. Non loin d’elle, Kylie Minogue a attiré les regards, souriante et chaleureuse, fidèle à son image de star pop internationale. Julianna Margulies, grande amie de Clooney depuis leur passage commun dans la série Urgences, est venue saluer son ancien partenaire avec émotion. Des retrouvailles qui ont ravi les fans de la série culte.

Uma Thurman
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Le glamour en duo : Pierce Brosnan et Jennifer Lopez en majesté

L’ex-James Bond, Pierce Brosnan, est arrivé accompagné de son épouse Keely Shaye Smith. Vêtus de noir, les deux amoureux ont affiché une complicité sobre et élégante, attirant les flashs des photographes.

Pierce Brosnan
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Jennifer Lopez, quant à elle, a opté pour une tenue spectaculaire : une robe noire fendue ornée d’une traîne blanche volumineuse. À son bras, sa fille Emme, 17 ans, a fait preuve d’une grande assurance dans un costume noir parfaitement taillé. Le duo mère-fille a partagé de nombreux sourires, incarnant une élégance moderne et complice.

Jennifer Lopez
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Une soirée en famille pour les Gerber

Kaia Gerber, égérie montante de la mode, a profité de l’occasion pour passer un moment privilégié en famille. Accompagnée de sa mère, la légendaire Cindy Crawford, et de son père Rande Gerber, l’actrice et mannequin a affiché une allure sobre et raffinée. Le trio a volontiers posé pour les photographes avant de prendre place dans la salle, visiblement heureux de soutenir Clooney.

Kaia Gerber et Cindy Crawford, et de son père Rande Gerber
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Un soutien fidèle : Julia Roberts et les premiers encouragements

Déjà présente aux répétitions, Julia Roberts a tenu à montrer, une fois encore, son soutien indéfectible à son grand ami George Clooney. Venue en famille avec son mari Daniel Moder et leur fils Henry, l’actrice oscarisée avait misé sur une tenue discrète mais chic, laissant toute la lumière à celui qu’elle considère comme un frère de cœur.

Une première réussie, un avenir prometteur sur les planches

Cette première new-yorkaise n’est pas seulement un événement mondain, elle marque un tournant dans la carrière de George Clooney. À l’applaudimètre, la performance de l’acteur-réalisateur a conquis le public. Le pari de transposer Good Night and Good Luck sur scène semble d’ores et déjà remporté. Clooney, visiblement ému à la fin de la représentation, a salué le public et ses proches venus l’encourager dans cette nouvelle aventure. À Broadway, les projecteurs sont braqués sur lui… et le rideau ne risque pas de tomber de sitôt !

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Zineb Hattab

Elle n’avait pas imaginé troquer les algorithmes pour les casseroles, mais la passion l’a emportée. Zineb Hattab, cheffe d’origine marocaine, a transformé la scène culinaire suisse avec une audace qui force le respect. À la tête du KLE à Zurich, elle a décroché la première étoile Michelin pour un restaurant 100 % végétal en Suisse, défiant les conventions d’une haute gastronomie historiquement ancrée dans la tradition carnée. Son secret ? Une cuisine où la technique et l’émotion dansent en harmonie, portée par les parfums de son héritage marocain et mexicain.

D’ingénieure à cheffe étoilée : un destin tracé par la passion

Née de parents marocains et élevée sur la Costa Brava, Zineb Hattab ne se destinait pas à la cuisine. D’abord ingénieure en informatique, elle menait une carrière brillante avant d’être happée par un désir plus viscéral : celui de créer, de toucher, de transformer la matière première en art culinaire. Ce tournant l’a menée auprès des plus grands, de l’élégance rigoureuse d’Andreas Caminada en Suisse aux explosions de saveurs du Cosme à New York. Un parcours initiatique qui a forgé sa signature : une cuisine où l’épure rencontre la complexité, où chaque assiette raconte une histoire.

Zineb Hattab sur instagram
Instagram zizi_hattab

KLE : le laboratoire du végétal

En 2020, elle ouvre KLE, son premier restaurant à Zurich. Plus qu’une adresse gastronomique, c’est un manifeste, une déclaration d’amour aux produits bruts et à la terre. Ici, les légumes sont rois, sublimés par des techniques maîtrisées et une créativité sans limites. Très vite, la critique s’enthousiasme : 14 points au Gault & Millau, puis une étoile Michelin en 2022, une première pour un établissement végan en Suisse. L’étoile verte, elle, vient souligner un engagement inébranlable pour une cuisine durable et responsable.

Zineb Hattab sur publication instagram
Instagram zizi_hattab

L’odyssée continue : DAR, un voyage aux saveurs marocaines

Portée par ce succès, Zineb Hattab inaugure en 2021 son second établissement, DAR. Ici, l’âme du Maroc palpite dans chaque plat, réinventée par une cheffe qui refuse de choisir entre tradition et modernité. Tajines réinterprétés, épices exaltées, textures inattendues : chaque bouchée est une invitation au voyage. Zurich, ville cosmopolite, adopte cette cuisine avec un enthousiasme qui témoigne d’un changement profond des mentalités.

Zineb Hattab avec du tajine
Instagram zizi_hattab

Loin de se contenter des honneurs, Zineb Hattab poursuit sa quête. En 2025, elle reçoit le prestigieux Mérite culinaire suisse, devenant l’une des figures les plus influentes de la gastronomie contemporaine. Seule femme distinguée cette année-là, elle incarne une révolution douce mais irréversible : celle d’une cuisine où le végétal ne se résume pas à une alternative, mais s’impose comme une évidence.

L’avenir se dessine en vert !

Plus qu’une cheffe étoilée, Zineb Hattab est une passeuse d’idées, une visionnaire qui redéfinit les contours de la gastronomie de demain. En mettant l’éthique au cœur de sa démarche, elle prouve que l’excellence n’a pas besoin de compromis. Avec elle, la cuisine végétale s’épanouit dans toute sa splendeur, prouvant que le raffinement peut rimer avec responsabilité. Une étoile brille sur Zurich, et elle est plus verte que jamais.

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Marina Kaye

Marina Kaye s’apprête à vivre l’un des moments les plus bouleversants de sa vie : la naissance de son premier enfant. Ce samedi 29 mars, la chanteuse de 27 ans a partagé la nouvelle avec ses abonnés sur Instagram, dévoilant une photographie émouvante où elle pose la main sur son ventre arrondi, un sourire discret au coin des lèvres.

Marina Kaye
Getty Images

Dans un texte empreint de sincérité et de poésie, l’artiste revient sur son parcours exceptionnel : « Au cours de mon existence, j’ai voyagé, foulé les planches de scènes prestigieuses, rencontré des milliers d’âmes en ce monde. J’ai été bénie d’avoir connu tant de vies en une seule, d’avoir exploré un éventail infini d’émotions et de défis à un si jeune âge. » Mais au-delà de ses succès, Marina Kaye confie que cette grossesse représente l’accomplissement ultime : « Aucun accomplissement n’est plus grand que celui que je vis aujourd’hui. Construire une famille avec l’amour de ma vie, connaître la vraie place de mon cœur en ce monde, ce sont les plus grands cadeaux qui soient. »

Marina Kaye se prepare pour son premier enfant
Instagram @Marina Kaye

Une histoire d’amour hors du commun

Si ce bonheur s’épanouit aujourd’hui, c’est aussi grâce à une histoire d’amour qui semble tout droit sortie d’un film. Marina Kaye et Grégory Llorens se sont rencontrés en juin 2022 et, dès les premiers instants, tout s’est enchaîné avec une évidence rare. Six mois après leur rencontre, le jeune homme lui faisait sa demande en mariage, persuadé, comme elle, d’avoir trouvé son âme sœur. « Ce que vous voyez dans les films, c’est un peu notre histoire. Dès le moment où on s’est vus, on a su. On a été inséparables dès le premier jour. C’était juste impossible pour nous de faire autrement », a-t-elle confié à ses followers.

Marina Kaye et son mari
Instagram @Marina Kaye

Après une union civile célébrée en août 2023, le couple s’est dit « oui » une seconde fois en septembre 2024 lors d’une cérémonie qui marquait un engagement encore plus profond. Aujourd’hui, ils s’apprêtent à accueillir leur premier enfant, scellant ainsi une histoire qui ne cesse de se réinventer.

Un nouveau départ, sous le signe de l’amour

Pour Marina Kaye, cette maternité est bien plus qu’un simple changement de vie. Elle incarne une transformation, une nouvelle mission, un retour à l’essentiel. « Certains rêves nous emmènent loin, mais les plus beaux nous ramènent toujours à la maison », écrit-elle, concluant son message avec un cœur, symbole d’un bonheur intense et sincère.

À 27 ans, la chanteuse, qui a conquis le public dès l’adolescence grâce à son talent et son intensité artistique, entame un nouveau chapitre, celui de la maternité. Un rôle qu’elle semble déjà embrasser avec toute la profondeur et l’émotion qui la caractérisent. Une nouvelle mélodie s’écrit pour elle, celle d’une vie à trois, empreinte d’amour et de promesses !

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À l’occasion de l’Aïd el-Fitr, symbole de renouveau après un mois de jeûne, il est essentiel d’adopter une transition alimentaire adaptée pour préserver les bienfaits du Ramadan et éviter les erreurs courantes. Pour nous éclairer sur les bonnes pratiques à adopter, nous avons fait appel à Kenza El Jouhari et Chaimae Ennadif, deux diététiciennes passionnées et fondatrices de « Maison Shape » qui partagent leurs conseils pour une reprise alimentaire saine et équilibrée.

  • Quelles sont les mauvaises habitudes alimentaires que l’on doit absolument oublier après le Ramadan ?

C.E : Après un mois de jeûne, il est tentant de se ruer sur des repas copieux et riches en sucres et en graisses, mais c’est une erreur. L’un des premiers réflexes à adopter est d’éviter les excès alimentaires dès les premiers jours suivant l’Aïd. Reprendre un rythme alimentaire trop dense peut surcharger le système digestif et entraîner une sensation de lourdeur et de fatigue. Une autre habitude à abandonner est le grignotage intempestif. Durant le Ramadan, notre organisme s’est adapté à des périodes prolongées sans apport calorique. En reprenant une alimentation anarchique, on perturbe ce mécanisme, ce qui peut provoquer une prise de poids et des troubles digestifs. Il est donc préférable de structurer ses repas et d’espacer les prises alimentaires pour maintenir un bon équilibre.

  • Justement, quelles erreurs sont le plus souvent commises juste après le Ramadan ?

C.E : L’une des erreurs les plus fréquentes est le grignotage entre les repas, souvent dicté par l’envie plutôt que par une réelle faim. Ce comportement peut perturber la digestion, entraîner un inconfort intestinal et favoriser une prise de poids. Une autre habitude à éviter est la consommation excessive d’aliments riches en sucres et en graisse. Après un mois de jeûne, certains pensent, à tort, qu’ils peuvent compenser en mangeant en grande quantité. Or, cela peut provoquer une sensation de lourdeur, ralentir la digestion et entraîner une baisse d’énergie.

  • Comment donc reprendre une alimentation équilibrée après le Ramadan ?

K.E.J : L’idéal est de maintenir un rythme alimentaire qui respecte les mécanismes bénéfiques acquis pendant le jeûne. Cela signifie espacer les repas au lieu de multiplier les prises alimentaires. Un bon exemple serait de prendre un petit-déjeuner en fin de matinée et un dîner en fin de journée, tout en évitant les repas trop lourds.: Pour une transition en douceur, voici deux conseils clés :

  1. Miser sur des salades de crudités : riches en fibres et en nutriments, elles apportent une sensation de satiété tout en étant légères.
  2. Ajouter une bonne portion de protéines : elles favorisent la sensation de satiété, préservent la masse musculaire, stimulent légèrement le métabolisme et aident à mieux réguler l’apport calorique.
  • Le jour de l’Aïd, comment bien gérer son alimentation pour éviter les excès ?

K.E.J: Le petit-déjeuner de l’Aïd est un moment spécial, mais il est important de ne pas brusquer son organisme. Évitez les aliments trop riches en sucres et en graisses, et pensez à inclure une source de fibres comme l’orge ou le blé concassé, qui facilitent la digestion et préviennent les pics glycémiques. Il n’est pas indispensable de prendre un déjeuner immédiatement après. Réservez ce repas pour la fin de journée afin de laisser au corps le temps de s’adapter. L’essentiel est d’écouter son corps et d’adopter un rythme alimentaire progressif et équilibré.

Le Ramadan est une belle opportunité pour adopter de bonnes habitudes alimentaires, et la clé d’une reprise réussie repose sur la modération, l’écoute de son corps et l’intégration d’aliments nutritifs dans son quotidien. Toutefois, l’Aïd el-Fitr est avant tout un moment de partage, de joie et de retrouvailles en famille. Profitez pleinement de cette journée spéciale, savourez chaque instant aux côtés de vos proches et célébrez cette fête dans la convivialité et la sérénité. Aïd Moubarak Saïd !

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