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Yasmine Khizrane

Le prince héritier Hussein de Jordanie poursuit ses engagements internationaux avec une visite officielle au Japon, où il représente son pays dans le cadre de l’Exposition universelle d’Osaka. Ce déplacement marque une nouvelle étape dans le rôle diplomatique croissant du jeune prince de 30 ans, appelé à succéder un jour à son père, le roi Abdallah II.

©Royal Hashemite Court

Avant de se rendre à Osaka, où se tenait la Journée nationale consacrée à la Jordanie, le prince Hussein a été accueilli à Tokyo par plusieurs membres éminents de la famille impériale japonaise. Il a notamment été reçu par le prince héritier Fumihito, frère cadet de l’empereur Naruhito, accompagné de son épouse, la princesse Kiko, et de leurs enfants, la princesse Kako et le jeune prince Hisahito.

Une rencontre entre héritiers

Cette rencontre a revêtu une dimension à la fois protocolaire et symbolique, illustrant les liens d’amitié et de respect mutuel entre les deux monarchies. Pour le prince Hisahito, 18 ans, il s’agissait d’une apparition remarquée dans un cadre officiel aux côtés de dignitaires étrangers, un exercice auquel il est encore peu habitué, mais qui pourrait se multiplier à mesure qu’il se prépare à un rôle plus important au sein de la maison impériale.

©Royal Hashemite Court

Dans l’ordre de succession japonais, Hisahito est destiné à devenir un jour héritier présomptif, une position rendue possible par le fait que son oncle, l’empereur Naruhito, n’a pas de fils.

Un prince jordanien déjà très actif

Quant au prince Hussein, il incarne depuis plusieurs années déjà la nouvelle génération de la monarchie jordanienne. Très impliqué dans les affaires publiques, il accompagne régulièrement son père lors de sommets et d’événements diplomatiques, et a déjà multiplié les prises de parole à l’international. Sa présence au Japon confirme son statut d’ambassadeur de premier plan pour le royaume hachémite.

©Royal Hashemite Court
©Royal Hashemite Court

Célébrations jordaniennes à Osaka

Après cette première étape à Tokyo, le prince s’est envolé vers Osaka, à plus de 500 kilomètres au sud-ouest, pour assister aux célébrations officielles de la Jordanie dans le cadre de l’exposition universelle. À son arrivée, il a été accueilli par la princesse Hisako de Takamado, figure bien connue de la famille impériale japonaise.

©Royal Hashemite Court

Il s’agissait là de chaleureuses retrouvailles : la princesse Hisako avait assisté en personne au mariage du prince Hussein avec la princesse Rajwa, en juin 2023 à Amman.

©Royal Hashemite Court

Une diplomatie jeune et engagé

Ce déplacement illustre une fois de plus la stratégie de diplomatie douce adoptée par la Jordanie, qui mise sur la jeunesse de son prince héritier pour renforcer ses liens bilatéraux à travers le monde, tout en affirmant sa présence sur la scène internationale.

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Ce dimanche 11 mai, le Prince héréditaire Jacques et sa sœur la Princesse Gabriella ont célébré un moment marquant de leur enfance : leur première communion. La première communion est une étape importante dans la tradition chrétienne : c’est la première fois qu’un enfant reçoit l’eucharistie, symbole de son entrée plus consciente dans la vie religieuse. L’événement s’est tenu à l’Église Saint-Charles, à Monaco, un lieu emblématique du Rocher situé non loin du Palais princier. Pour l’occasion, la famille princière a partagé une série de photos inédites sur les réseaux sociaux, immortalisant cette journée empreinte de solennité et de tendresse.

Sur les images dévoilées par le Palais, les jumeaux de 9 ans apparaissent côte à côte, habillés de leurs aubes blanches traditionnelles. Sourires complices, regard franc : leur lien évident transparaît à travers chaque cliché. Une deuxième photo les montre aux côtés de leurs parents, le Prince Albert II et la Princesse Charlène, devant les marches de l’église. Une image de famille sobre et élégante, qui témoigne d’un moment à la fois intime et institutionnel.

Même si le Palais souligne la dimension spirituelle de cette étape, c’est avant tout l’unité familiale et l’émotion du moment qui ressortent. Cette apparition publique des jumeaux, encore rares, est toujours très attendue par les Monégasques comme par les observateurs du gotha, tant Jacques et Gabriella suscitent une attention grandissante au fil des ans.

©Axel Bastello/Palais princier, Monaco

Nés en décembre 2014, Jacques et Gabriella partagent une relation particulièrement fusionnelle. Depuis leur plus jeune âge, ils apparaissent souvent ensemble lors des cérémonies officielles, comme lors de la fête nationale monégasque, et accompagnent régulièrement leurs parents dans certaines activités protocolaires, toujours avec une fraîcheur et une spontanéité qui marquent les esprits.

Le choix de leurs prénoms, dévoilé il y a quelque temps par le Prince Albert II dans une interview au magazine Point de Vue, apporte un éclairage personnel sur leur histoire familiale. Jacques, prénom hérité de plusieurs branches familiales et choisi aussi en mémoire d’un cousin sud-africain de la princesse Charlène disparu trop tôt, s’est imposé comme une évidence pour le couple princier. Quant à Gabriella, son prénom a été choisi avec le cœur, sans référence directe à une tradition familiale — une manière de souligner sa singularité dans cette lignée princière.

En grandissant, Jacques et Gabriella semblent prendre leur rôle au sérieux, sans pour autant perdre l’insouciance propre à leur âge. À travers cette cérémonie, c’est une nouvelle étape qui se dessine pour les deux enfants, entre continuité des traditions et construction de leur propre parcours.

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C’est un voyage aux couleurs intenses et aux émotions profondes que Delphine Wespiser vient de vivre au Maroc. De l’énergie vibrante de Taghazout à la magie intemporelle de Marrakech, la sublime ex miss France s’est laissée porter par les éléments, la lumière, les rencontres… et une cause qui lui tient à cœur. Un séjour comme une parenthèse enchantée, entre émerveillement et engagement.

Credit Photo : Virginie Gazzola

Delphine Wespiser est une habituée du Maroc, un pays qu’elle connaît bien et qu’elle semble apprecier pour la diversité de ses paysages et de ses cultures. Lors de chacun de ses séjours, elle prend le temps de découvrir de nouvelles facettes du Maroc, qu’il s’agisse de ses plages, de ses montagnes ou de ses villes animées. À chaque visite, elle s’imprègne de l’atmosphère locale et de l’accueil chaleureux des habitants, contribuant ainsi à renforcer ses liens avec le Royaume.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« Je suis venue au Maroc pour assister au festival Xperienza au Radisson Blu de Taghazout. C’était absolument magique ! La déco, les couleurs, les DJ… tout tournait autour des éléments naturels : feu, air, terre, eau. On devait même se déguiser en fonction de notre signe. Moi, je suis Terre, et ça ne m’étonne pas : je suis très connectée à la nature, aux animaux. »

Credit Photo : Virginie Gazzola

Un lien à la nature qu’elle a retrouvé dans les activités proposées : premiers pas en surf, quad dans le désert, cuisine locale en bord de mer… et une parenthèse bien-être inoubliable.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« A Taghazout, j’ai eu le droit a l’un des trois meilleurs massages de ma vie. Les senteurs, les mains expertes… j’étais complètement ailleurs. Le Maroc, c’est un enchantement des sens à chaque instant. »

Credit Photo : Virginie Gazzola

Mais son voyage ne s’est pas arrêté là. Avant de reprendre l’avion, l’animatrice et chroniqueuse de la télévision française s’est rendue à Marrakech pour visiter et soutenir l’association Nos Amis pour la Vie, qui recueille et soigne des chiens maltraités au Maroc.

Credit Photo : Virginie Gazzola

« Ça m’a bouleversée. J’ai beaucoup pleuré en voyant l’état de certains animaux… J’ai lancé un appel aux dons sur mes réseaux. J’aimerais vraiment que les choses bougent, que la gestion de la cause animale évolue ici. Les animaux méritent notre protection. »

Profondément marquée par cette rencontre, Delphine repart avec des souvenirs vibrants, mais aussi un message à transmettre : « Le Maroc m’a offert du rêve. Je veux, à mon tour, offrir un peu d’espoir aux êtres vivants qu’on oublie trop souvent. »

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Une étreinte longtemps attendue ! Le port de Panama a été, ce samedi 3 mai, le théâtre d’un moment rare et profondément émouvant. Après plus de trois mois de séparation, la reine Letizia d’Espagne a retrouvé sa fille aînée, la princesse Leonor, engagée dans une traversée navale autour du monde à bord du navire-école Juan Sebastián de Elcano. Sur le quai, les yeux scrutant le grand voilier, la souveraine attendait avec impatience que sa fille foule la terre ferme.

© Casa de S.M. el Rey, España

Dès qu’elle est descendue, vêtue de son impeccable uniforme blanc, Leonor s’est dirigée d’un pas rapide vers sa mère. L’instant, capturé par les objectifs présents, a échappé à tout protocole : un câlin sincère, spontané, entre une mère et sa fille, oubliant un temps le poids de leurs titres.

© Casa de S.M. el Rey, España

Un moment privilégié, en plein tour du monde

Cette escale au Panama, huitième étape d’un périple en onze escales, marque une parenthèse précieuse dans le calendrier chargé de la future héritière. À 19 ans, la princesse des Asturies poursuit sa formation militaire avec sérieux et détermination. Depuis son départ de Cadix, en janvier dernier, elle a traversé l’Atlantique, marqué les esprits au Brésil et en Uruguay, et participé à des visites officielles au Chili et au Pérou. La présence de la reine Letizia à Panama n’était donc pas anodine : elle souhaitait être là, malgré les kilomètres et les devoirs royaux, pour célébrer cette brève réunion familiale — d’autant plus symbolique qu’elle coïncide avec la Fête des Mères, célébrée le 4 mai en Espagne.

© Casa de S.M. el Rey, España
© Casa de S.M. el Rey, España

Une princesse parmi ses pairs

Après les retrouvailles, mère et fille ont rejoint les autres familles pour une visite du centre historique de Panama, entre culture et mémoire. En fin de journée, une réception à bord du célèbre voilier a permis à tous de se réunir. La reine, rayonnante dans une élégante tenue rouge, a retrouvé l’élégance discrète qui fait sa signature. Leonor, toujours en uniforme, partageait fièrement cette étape avec ses camarades de l’École navale militaire.

© Casa de S.M. el Rey, España

Un cheminement exemplaire

Ces moments partagés s’inscrivent dans le parcours exigeant de la jeune héritière, déterminée à remplir ses fonctions avec engagement. Après sa formation dans l’armée de terre l’an passé, Leonor enchaînera dès la rentrée avec une immersion dans l’armée de l’air, dernière étape de sa formation militaire. Son retour en Espagne est prévu après une dernière escale à New York, début juin, alors que ses camarades reprendront la mer pour rentrer.

© Casa de S.M. el Rey, España

À travers ces retrouvailles sobres mais émouvantes, c’est une image moderne et humaine de la monarchie espagnole qui se dessine : celle d’une souveraine présente, et d’une héritière prête à prendre le large… tout en restant ancrée dans ses liens familiaux les plus profonds.

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Ce 29 avril 2025 marque un tournant dans la vie de l’infante Sofia : la benjamine du roi Felipe VI et de la reine Letizia atteint l’âge de la majorité. Pour souligner cet anniversaire important, la Maison royale a publié cinq photographies inédites de la jeune femme, prises dans le cadre verdoyant des jardins du palais de la Zarzuela. Ces clichés, capturés quelques jours auparavant, offrent une image naturelle et souriante de Sofia, à l’aube de sa vie d’adulte.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Un prénom symbolique et une discrétion assumée

Née le 29 avril 2007, Sofia de Borbón y Ortiz est arrivée un peu plus de dix-huit mois après sa sœur aînée, la princesse Leonor. Elle porte le prénom de sa grand-mère paternelle, l’ancienne reine Sofia, figure respectée et toujours très appréciée des Espagnols. En ce jour d’anniversaire, la cadette royale entre officiellement dans l’âge adulte, tandis que Leonor, âgée de 19 ans, poursuit rigoureusement son parcours militaire, prévu sur trois années, en tant qu’héritière de la couronne.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Des études internationales avant l’université

Actuellement, l’infante Sofia termine ses études au prestigieux UWC Atlantic College, au Pays de Galles, où elle s’apprête à passer son baccalauréat international. Si son avenir universitaire reste encore à préciser, tout indique qu’elle poursuivra des études supérieures dès la rentrée prochaine.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Des portraits naturels pour une majorité en toute simplicité

Pour cette occasion particulière, la Maison royale a choisi de présenter des portraits sobres et lumineux, illustrant la personnalité discrète de la jeune infante. Vêtue d’une chemise bleu clair et d’un pantalon bleu marine, Sofia affiche un style simple et élégant, fidèle à son image publique. Les clichés auraient été pris durant les vacances de Pâques, période à laquelle Sofia était de retour en Espagne auprès de ses parents.

©Casa de Su Majestad el Rey, España

Un anniversaire loin du protocole royal

Contrairement à l’anniversaire très institutionnel de la princesse Leonor en 2023 – ponctué par un serment devant le Parlement, une remise de décoration royale et une série de cérémonies officielles – celui de Sofia se veut beaucoup plus intime. Aucune obligation protocolaire n’était au programme pour la cadette, qui, bien qu’éloignée de la ligne directe de succession, incarne une présence stable et toujours mesurée au sein de la famille royale.

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Le cœur de la chanteuse espagnole Rosalía semble avoir retrouvé le rythme de l’amour… et cette fois, c’est un acteur aux origines marocaines qui le fait battre. Aperçue dans une ambiance très complice avec Emilio Sakraya, la star catalane ne cache plus ses affinités avec ce talentueux artiste germano-marocain.

Getty Images

C’est au restaurant Cipriani de Beverly Hills – repaire discret des célébrités – que les deux artistes ont été surpris, partageant un dîner cosy et des gestes tendres. Photographies à l’appui, diffusées par le très informé portail américain Deux Moi, on y voit Rosalía et Emilio échanger une chaleureuse accolade, tout sourire, avant de quitter les lieux dans la même voiture. De quoi faire naître les rumeurs… et les premiers soupçons d’idylle.

Emilio Sakraya, un charme venu de Berlin… et du Maroc

Peu connu du grand public au Maroc, Emilio Sakraya mérite pourtant toute l’attention. Né à Berlin il y a 28 ans, il est le fils de l’actrice Meryem Moutaoukkil, d’origine marocaine. Une double culture riche qu’il revendique avec fierté et qui teinte aussi bien son art que son charisme à l’écran.

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Acteur accompli, Emilio s’est illustré dans plusieurs productions internationales : Warrior Nun, 60 Minutes, Tribes of Europe ou encore Pure Gold. Mais il est aussi chanteur et compte déjà quatre albums studio à son actif. Un profil complet, à l’image d’un artiste de sa génération, qui conjugue passion et polyvalence.

Rosalía entre musique, cinéma… et romance

Rosalía ne ralentit pas. Alors qu’elle prépare son nouvel album en studio, elle vient également de rejoindre le casting de la prochaine saison d’Euphoria, la série phénomène de HBO aux côtés de Zendaya. Une première incursion dans l’univers hollywoodien, qu’elle vit comme un nouveau défi artistique :

« Euphoria a été ma série préférée ces dernières années, et je ne pourrais être plus heureuse ni plus reconnaissante », a-t-elle confié sur ses réseaux.

Et si le hasard faisait bien les choses ? Entre deux tournages, Emilio pourrait bien être son meilleur coach face aux caméras…

Un couple à suivre… de près

Si la relation reste pour l’instant non officielle, l’alchimie est bien là. Et au-delà du glamour, c’est aussi une belle lumière portée sur les talents marocains à l’international. Emilio Sakraya, avec ses racines marocaines et son parcours artistique impressionnant, pourrait bien être l’une des révélations de 2025 – et le nouvel homme fort aux côtés de la diva espagnole.

Affaire à suivre… avec attention !

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Ce lundi 14 avril marque un tournant symbolique dans l’histoire du vol spatial civil : six femmes, issues d’horizons aussi variés que l’ingénierie, le journalisme, le militantisme ou le show-business, s’apprêtent à franchir la frontière de l’espace à bord de la capsule New Shepard de Blue Origin. Parmi elles : la star planétaire Katy Perry, pour qui ce voyage sonne comme l’aboutissement d’un rêve de quinze ans.

Credit Photo : Instagram Katy Perry

À 15h30, heure française, la capsule propulsée depuis le désert texan grimpera au-delà des 100 kilomètres d’altitude – franchissant la fameuse ligne de Kármán, seuil symbolique de l’espace. Onze minutes d’ascension et de descente, dont quelques secondes précieuses d’apesanteur, suffiront à inscrire ce vol dans l’histoire : il s’agira du premier vol spatial civil entièrement féminin depuis Valentina Terechkova en 1963. Aux côtés de Perry : la journaliste Gayle King, l’ingénieure aérospatiale Aisha Bowe, l’activiste Amanda Nguyen, la productrice Kerianne Flynn et Lauren Sanchez – compagne de Jeff Bezos et à l’origine de cette mission baptisée Feather (« Plume »), un nom qui ne laisse rien au hasard.

Credit Photo : Instagram Katy Perry

Pour la chanteuse de Firework, ce voyage n’est pas qu’un caprice de célébrité : il revêt une forte dimension spirituelle. Dans une vidéo postée sur Instagram à la veille du décollage, Perry confie avoir perçu plusieurs « signes » l’invitant à accepter cette aventure cosmique. « Ma mère m’a toujours appelée plume, et quand j’ai vu l’insigne de la mission, j’ai su que c’était pour moi », raconte-t-elle. Autre coïncidence troublante : le nom de la capsule, Tortoise (« Tortue »), qui correspond à un autre surnom affectueux que sa mère lui donne depuis l’enfance. Un clin d’œil céleste qui a suffi à la convaincre. L’artiste prévoit même d’emporter sa voix avec elle là-haut : « Je pense que je vais chanter. Je dois chanter dans l’espace », a-t-elle lancé, mi-sérieuse mi-enjouée, depuis le simulateur de vol.

Avec ce 11e vol habité, Blue Origin, la société spatiale de Jeff Bezos, entend affirmer son leadership dans le secteur du tourisme suborbital. En mettant en orbite une escouade de femmes influentes et médiatisées, l’entreprise capitalise sur un message d’empowerment, tout en renforçant sa visibilité auprès du grand public. À l’heure où l’espace devient une scène à la fois scientifique, politique et commerciale, cette mission Taking Up Space — littéralement « prendre de la place » — s’impose comme un geste à la fois symbolique et stratégique : celui d’une nouvelle ère où la conquête spatiale se veut inclusive, spectaculaire… et rentable.

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Le Parc des Princes n’a jamais aussi bien porté son nom. Dans les tribunes, deux « princes » d’Angleterre, William et son fils aîné George, ont vibré ensemble pour Aston Villa, le club cher à leur cœur. Une soirée riche en émotions, entre euphorie et déception, qui a fait le tour des réseaux sociaux à travers des clichés saisissants de leur passion partagée.

Une passion père-fils qui crève l’écran

Vêtus aux couleurs du club de Birmingham, William et George ont affiché une ferveur rare, presque miroir. Même tension, mêmes cris de joie à l’ouverture du score, mêmes mines inquiètes quand le PSG a renversé le match. Leur langage corporel racontait toute l’histoire : celle d’un père et de son fils emportés par le même amour du jeu. Ce genre d’instants, à la fois sincères et spontanés, révèle une facette profondément humaine du futur roi d’Angleterre.

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Une soirée inoubliable malgré la défaite

Le score final (3-1 pour le Paris-Saint-Germain) n’aura pas suffi à gâcher la magie de cette soirée entre père et fils. Pour William, ce match avait une résonance particulière. « Cela fait 43 ans que Villa n’a pas atteint ce niveau. Je voulais que George vive une vraie soirée européenne, loin de chez lui, et qu’il en garde un souvenir fort », a-t-il confié à la BBC. Un moment qu’il a qualifié lui-même d’ »important » dans leur relation.

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George, déjà un fidèle supporter

À seulement 11 ans, George n’en est pas à sa première apparition aux côtés de son père dans les tribunes. Que ce soit lors de l’Euro ou de grandes affiches de Premier League, il partage depuis toujours cette passion avec le prince de Galles. Le duo forme un tandem complice que les fans adorent observer, entre gestes tendres, échanges de regards enthousiastes, et émotions décuplées à chaque action de jeu.

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Le sport, un lien fort dans la famille royale

Le sport est un langage universel dans la famille royale. Du rugby au football, en passant par le tennis, les Windsor ont toujours su transmettre leur amour des compétitions à leurs enfants. William, qui avoue être un peu superstitieux devant un match, a d’ailleurs confié récemment : « Si je suis seul à la maison avec les enfants, je ne prendrai probablement pas de bière avant le match ! » Une confidence qui en dit long sur l’atmosphère passionnée qui règne chez les Cambridge les soirs de match.

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Une complicité qui touche les fans

Ce soir-là, les regards braqués sur la pelouse parisienne ont aussi capté autre chose : une complicité sincère, faite de rituels, d’émotions brutes et de gestes partagés. Voir William et George vibrer ensemble pour leur club de cœur a ému bien au-delà des supporters d’Aston Villa. C’est ce genre de moments qui rapproche une famille royale de ceux qui la regardent. Et qui rappelle que derrière les titres, il y a simplement un père et son fils, réunis par la magie du football.

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Rayonnants de complicité et baignés de lumière romaine, le Roi Charles III et la Reine Camilla s’offrent à l’objectif avec une tendresse qui traverse le temps, à la veille de leur vingtième anniversaire de mariage, ce 9 avril. C’est dans les jardins baignés de lumière de la Villa Wolkonsky, résidence officielle de l’ambassadeur britannique à Rome, qu’ils ont été immortalisés. Au pied du vestige antique de l’Aqua Claudia, le temps semble suspendu pour capturer l’éclat discret de deux âmes en harmonie.

Un écho de sérénité et d’élégance

Derrière l’objectif, Chris Jackson, photographe officiel de Getty Images, saisit l’instant avec grâce, quelques heures à peine après leur arrivée dans la Ville Éternelle pour une visite d’État de quatre jours.Pour l’occasion, Camilla resplendit dans une robe-manteau crème signée Anna Valentine, ponctuée d’une broche « Muguet », symbole de pureté et de renouveau. À ses côtés, Charles, fidèle à son élégance britannique, arbore un costume bleu marine à fines rayures, comme une ode discrète au classicisme royal.

© Chris Jackson/Getty Images for Buckingham Palace

Un message du cœur à l’Italie

Ces portraits ont également trouvé refuge sur leur compte Instagram officiel, accompagnés de mots simples mais pleins d’émotion :

« Alors que nous commençons notre première visite en Italie en tant que Roi et Reine, nous sommes impatients de célébrer notre vingtième anniversaire de mariage dans un lieu aussi spécial – et auprès de personnes aussi merveilleuses ! À bientôt, Rome et Ravenne ! – Charles R & Camilla R. »

Une déclaration délicate, entre amour personnel et devoir diplomatique.

Le temps, la foi et les retrouvailles

Vingt ans plus tôt, c’est à Rome aussi que Charles posait le pied, mais dans un tout autre contexte : pour rendre hommage au Pape Jean-Paul II, un deuil qui avait repoussé ses noces avec Camilla. Cette année, l’agenda devait inclure une rencontre avec le Pape François, mais celle-ci a été annulée, le Pontife poursuivant sa convalescence après une hospitalisation. Toutefois, une rencontre privée n’est pas exclue, si son état le permet. Une occasion rare entre deux chefs spirituels – le Saint-Père et le Gouverneur Suprême de l’Église d’Angleterre.

© Chris Jackson/Getty Images for Buckingham Palace

Un dîner sous les étoiles du Quirinal

Pour marquer leur anniversaire de porcelaine, le couple royal s’apprête à vivre une soirée d’exception : un dîner d’État en tenue de gala au Palais du Quirinal, sous l’égide du président italien Sergio Mattarella. Une célébration fastueuse, reflet d’un amour discret devenu institution.

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Si certaines femmes de pouvoir imposent leur influence par le verbe, la reine Rania de Jordanie le fait aussi par le style. Depuis deux décennies, son goût affirmé pour les jupes longues et volumineuses, à la fois majestueuses et modernes, s’est inscrit dans l’histoire de la mode royale. Bien plus qu’une simple inclination vestimentaire, cette silhouette est devenue l’un de ses marqueurs les plus élégants.

2004 : l’instant fondateur d’un style

Tout commence en mai 2004, lors du mariage princier de Felipe d’Espagne et de Letizia Ortiz. Ce jour-là, la reine Rania crée la surprise. Elle délaisse les robes cintrées et tailleurs protocolaires pour une tenue audacieuse, presque théâtrale, mais ô combien raffinée : un chemisier blanc immaculé, associé à une jupe lilas aux proportions XXL, légèrement rehaussée de dentelle. L’ensemble, à la fois poétique et impérial, capte l’attention de la presse et des passionnés de mode. Ce look inattendu marque un tournant : Rania impose une nouvelle grammaire du chic royal.

La Reine Rania
Getty images

L’art de manier la jupe longue : une touche de classe signée Rania

Depuis cette apparition fondatrice en 2004, la reine Rania n’a cessé de décliner son goût pour les jupes longues dans une palette de styles et de matières, faisant de cette pièce un véritable statement mode. Chaque tenue raconte une histoire, où se mêlent influences contemporaines et racines culturelles.

On se souvient notamment de cette jupe plissée XXL en noir et blanc, spectaculaire par son volume maîtrisé, qu’elle accessoirise d’une ceinture rouge graphique et d’un chemisier blanc sobre : un jeu de contrastes parfaitement orchestré, à la fois audacieux et équilibré.

La Reine Rania
Getty images

Autre apparition marquante : une longue jupe noire soulignée de motifs ethniques rouges sur les côtés, hommage discret mais puissant à l’artisanat du Levant, qu’elle associe à un haut aux lignes épurées. Ce style, très personnel, incarne à merveille sa façon de conjuguer héritage et modernité sans jamais tomber dans le folklorique.

La Reine Rania
Getty images

Le 1er juin 2005, à New York, la Reine Rania de Jordanie avait une fois de plus capté tous les regards lors de la troisième édition de la soirée de bienfaisance organisée par le Sesame Workshop au Cipriani 42nd Street. Vêtue d’une silhouette impeccable, elle a opté pour une jupe longue noire sobre, sublimée par un haut blanc élégant, créant une harmonie parfaite entre simplicité et raffinement. Son apparence à la fois classique et moderne incarne l’essence même du style royal, tout en faisant écho à son statut d’icône de la mode internationale. Son apparition ce soir-là n’a pas seulement marqué l’événement par son engagement, mais aussi par une leçon de style, où chaque détail de sa tenue semblait résonner avec grâce et sophistication !

La Reine Rania
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Une allure royale… et avant-gardiste

Ce qui fascine chez la reine Rania, c’est sa capacité à faire dialoguer la tradition avec la tendance. La jupe XXL, dans ses mains, devient un terrain d’expression entre codes royaux et liberté créative. Elle en fait un vêtement de pouvoir, sans sacrifier la féminité. Une alternative gracieuse aux robes classiques, moins attendue que les tailleurs, mais toujours impeccablement maîtrisée.

La Reine Rania
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En cela, elle s’inscrit dans la lignée des icônes de style qui ne suivent pas la mode : elles la devancent. Longtemps avant que les podiums ne remettent la jupe ample au goût du jour, Rania la faisait défiler dans les couloirs feutrés des palais et les sommets internationaux.

La Reine Rania
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Une mode qui dit quelque chose

Au-delà de l’aspect esthétique, la passion de la reine Rania pour les jupes longues révèle une femme résolument moderne, consciente de l’impact de son image et de sa position. Par ce choix vestimentaire, elle incarne une royauté qui se réinvente, une féminité affirmée mais subtile, loin des conventions, et une élégance portée par une liberté de choix. La jupe, dans sa fluidité et sa grandeur, devient ainsi un véritable symbole de la femme contemporaine : puissante, indépendante et élégante, sans jamais chercher à se conformer.

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