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Héloïse Agelou

Elle a orchestré les premiers feux d’artifice du Royal Mansour à Marrakech et donné encore plus d’émotion à la réouverture de la Kasbah Tamadot de Richard Branson après le séisme, Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments, nous livre ses conseils pour sublimer des moments de Ramadan avec élégance et émotion.

Experte en événementiel de luxe, Héloïse Agelou transforme chaque moment en une expérience unique, où l’émotion et la beauté se rencontrent. À la tête de Hello Moments, elle imagine des célébrations sur-mesure qui allient raffinement, tradition et modernité. Son secret ? Toujours partir du cœur et des émotions pour créer des ambiances mémorables.

Héloïse Agelou
Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments (Photo DR)

Héloïse Agelou : L’émotion, essence du luxe

Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments
Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments (Photo DR)
Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments
Héloïse Agelou, fondatrice de Hello Moments (Photo DR)
Héloïse Agelou, avec Richard Branson et Hamid Bentahar
Héloïse Agelou, avec Richard Branson et Hamid Bentahar, lors de la réouverture de Kasbah Tamadot du milliardaire britannique. (Photo DR)
Héloïse Agelou, avec Richard Branson et Hamid Bentahar

Durant le Ramadan, cette philosophie prend tout son sens : chaque jour est une occasion de se retrouver, de partager et d’honorer la tradition avec élégance. Voici ses conseils pour magnifier cette période unique.

Une table de ftour baignée dans la douceur et la chaleur

Optez pour une palette de couleurs apaisantes : tons terreux, touches dorées et nuances naturelles pour une ambiance élégante. Ajoutez des bougies ou lanternes pour une lumière douce et chaleureuse…

Aïd Al-Fitr avec élégance et joie

L’Aïd al-Fitr marque la fin du Ramadan et le début d’un nouveau chapitre, empreint de joie, de gratitude et de partage. Chez Hello Moments, nous pensons que cette journée doit être célébrée avec raffinement, générosité et des instants inoubliables entourés de ceux qui comptent le plus. Voici nos conseils pour un Aïd lumineux et élégant.

1. Une Fête de Lumière et de Connexion non sans une atmosphère festive et raffinée où votre intérieur baigné de lumière et d’harmonie, reflète naturellement cette énergie : une décoration élégante en jouant avec des tons dorés, ivoire et pastel pour une touche chic, des fleurs fraîches et des bougies. Pour symboliser le renouveau et créer une ambiance chaleureuse, optez pour une signature olfactive envoûtante en parfumant votre maison avec du musc, de l’oud ou de la fleur d’oranger.

2. Une table de fête soignée et conviviale pour un repas de l’Aïd sous le signe du partage et de la gourmandise : une vaisselle raffinée, assiettes en céramique artisanale, touches dorées et détails élégants, un assortiment de douceurs traditionnelles pour commencer la journée sur une note sucrée, un choix de boissons savoureuses comme bien sûr le thé à la menthe, café arabe, jus frais ou lait d’amande parfumé à la fleur d’oranger.

3. Offrir des cadeaux pleins de sens pour véritablement marquer l’Aïd, ce moment de générosité et de bonheur partagé, comme un parfum, des bougies artisanales, des chapelets ou beaux livres de prières. Des cadeaux personnalisés auront encore plus d’effet. Sans oublier les petites attentions pour les enfants : sachets remplis de douceurs, un petit jouet ou une enveloppe d’Eidiya (l’argent traditionnel de l’Aïd). Le tout fait avec un message écrit à la main de mots doux sur une carte pour exprimer son amour et sa gratitude.

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Ce mardi 4 mars, le Louvre a écrit une nouvelle page de son histoire en accueillant son tout premier Grand Dîner, un événement caritatif inédit organisé en marge de l’exposition Louvre Couture. Objets d’art, objets de mode. Présidée par Rachida Dati, la soirée a rassemblé une constellation de célébrités venues célébrer le dialogue entre l’art et la mode, dans un décor somptueux sublimé par des créations haute couture. Diaporama.

Rachida Dati arrive au Grand Dîner du Louvre en marge de la Paris Fashion Week, le 4 mars 2025. (Photo Getty Images)

Un tapis rouge digne d’une Fashion Week

Véritable apothéose de style, la soirée a vu défiler un parterre de stars dans des créations sublimes, spécialement sélectionnées pour cet événement unique. Charlotte Casiraghi a brillé en Chanel, tandis que Laetitia Casta a incarné la grâce en Dior. Virginie Efira a opté pour un Saint Laurent épuré, Michelle Yeoh pour un somptueux Balenciaga, et Keira Knightley pour un Chanel intemporel. Farida Khelfa a marqué les esprits en Jean-Paul Gaultier, tandis que Gigi Hadid a osé l’audace en Jeremy Scott. Carla Bruni a retrouvé l’extravagance d’un John Galliano, tandis qu’Anna Wintour, fidèle à son style inimitable, a choisi Givenchy. Lou Doillon, quant à elle, a distillé une touche de bohème chic.

Carla Bruni en Chanel (Photo Getty Images)
Gig Hadid en Jeremy Scoot (Photo Getty Images)
Keira Knightley en Chanel (Photo Getty Images)
Farida Khelfa en Jean-Paul Gaultier et Isabelle Adjani (Photo Getty Images)
Naomi Campbell en Chanel (Photo Getty Images)
Charlotte Casiraghi en Chanel (Photo Getty Images)
Jean-Paul Gaultier et Chiara Mastroianni (Photo Getty Images)
Laetitia Casta en Dior (Photo Getty Images)
Virginie Efira en Saint Laurent (Photo Getty Images)
Eva Herzigová (Photo Getty Images)
Paris Jackson (Photo Getty Images)
Anna Wintour en Givenchy haute couture (Photo Getty Images)
Mouna Ayoub (Photo Getty Images)

Un dîner d’exception au service de la culture

Mais au-delà du faste et des silhouettes couture, le Grand Dîner du Louvre a une mission : lever des fonds pour soutenir les actions culturelles et patrimoniales du musée. Organisé en partenariat avec Visa Infinite, cet événement caritatif a permis de récolter plus d’un million d’euros grâce aux dons des invités et au prestige de la soirée. Les sommes récoltées financeront notamment la restauration d’œuvres majeures, l’acquisition de nouvelles pièces et l’accès à la culture pour les publics les plus éloignés.

Rachida Dati, ministre de la Culture, et Laurence des Cars, présidente-directrice du Louvre et commissaire de l’exposition Louvre Couture, ont ensemble célébré cette première édition du Grand Dîner du Louvre, symbole d’un dialogue raffiné entre art et haute couture. (Photo Getty Images)

Une soirée historique, entre faste et engagement

Après un cocktail et une visite privée de l’exposition Louvre Couture. Objets d’art, objets de mode, les convives ont rejoint la cour Marly, métamorphosée en salle de bal moderne. Trente tables élégamment dressées ont accueilli des invités triés sur le volet, régalés par un menu signé Anne-Sophie Pic. La soirée a atteint son apogée avec une performance surprise de Doechii, apportant une touche de modernité à ce moment suspendu entre passé et présent.

Entre tradition et innovation, héritage et modernité, le Grand Dîner du Louvre s’impose d’ores et déjà comme un rendez-vous incontournable où la mode et l’art célèbrent, ensemble, l’excellence et l’engagement.

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Le talentueux styliste marocain Rochdi Bakhchouch a marqué de son empreinte la Fashion Week de Milan en présentant une collection exceptionnelle, véritable ode à sa mère. De Fès à Paris, en passant par Milan, il célèbre à travers ses créations un héritage riche de traditions et de modernité, ancrant ainsi la mode marocaine dans le cercle très fermé des podiums internationaux.

Le styliste marocain Rochdi Bakhchouch pour la maison Rochmode qui a défilé à la Milan Fashion-Week

Un hommage couture, entre héritage et innovation

Puisant son inspiration dans l’élégance intemporelle de sa mère, Rochdi Bakhchouch dévoile une collection qui sublime l’artisanat marocain tout en le réinterprétant avec une touche résolument contemporaine. Entre broderies raffinées, coupes architecturales et étoffes précieuses, chaque pièce traduit un équilibre subtil entre tradition et modernité.

La collection illustre également un dialogue entre deux univers d’exception : Fès, berceau du savoir-faire ancestral et de la finesse artisanale. Paris, capitale de l’audace et de l’avant-garde. Milan, écrin du raffinement, s’imposait ainsi comme le théâtre idéal pour révéler ces créations empreintes de noblesse et de sophistication.

Une ascension fulgurante dans le monde de la haute couture

Rochdi Bakhchouch n’est pas un inconnu du monde de la mode. Modéliste chez Zara, il s’est rapidement fait remarquer par son talent et sa maîtrise des lignes masculines, au point d’habiller des princes arabes et des personnalités influentes. Sa boutique parisienne, située dans le prestigieux 16e arrondissement, est aujourd’hui une référence pour une clientèle exigeante en quête de pièces uniques.

Des tapis rouges marocains aux podiums étrangers, il s’est forgé une réputation qui lui ouvre désormais les portes des Fashion Weeks les plus sélectives, notamment celles de Paris et Milan. Avec ce défilé milanais, la Maison Roshmode s’impose définitivement comme un acteur incontournable du luxe et du sur-mesure, propulsant ainsi la mode marocaine sous les projecteurs de la scène internationale.

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Pour clôturer cette série de 7 icônes inspirantes pour une Saint-Valentin flamboyante, nous choisissons de rendre hommage au glamour du caftan.

Mimia Leblanc en caftan pour « The Heya Show (Photo Mimia Leblanc instagram)

Mimia Leblanc, célèbre créatrice de bijoux, illumine la scène télévisée du Moyen-Orient en incarnant une Saint-Valentin aux allures de conte oriental. Invitée de l’émission “The Heya Show” sur MTV Liban, aux côtés de la présentatrice Hanan Skaf, elle célèbre l’élégance intemporelle du caftan marocain, sublimé par un jeu de textures et de broderies précieuses.

Dans un somptueux caftan rouge flamboyant, orné de broderies ton sur ton d’une finesse exquise, Mimia Leblanc incarne une féminité ardente et magnétique. Ses cheveux chatoyants et son port altier lui confèrent une aura incandescente, évoquant la passion et le raffinement. À ses côtés, Hanan Skaf resplendit dans un caftan ivoire rehaussé de broderies dorées, chef-d’œuvre de l’artisanat marocain, illustrant un équilibre parfait entre douceur et éclat impérial.

Mimia Leblanc en caftan pour « The Heya Show (Photo Mimia Leblanc instagram)

Mimia Leblanc, fondatrice des bijoux Mimia Leblanc et bijoux Shaad, n’est pas seulement une créatrice de talent : elle est une icône de style qui transcende les époques, offrant au caftan marocain une modernité captivante. Son passage sur MTV Liban est une célébration du savoir-faire marocain, prouvant que le patrimoine peut se réinventer avec audace et glamour.

Ne manquez pas cette rencontre inspirante, où passion et artisanat s’entrelacent pour une Saint-Valentin sous le signe de l’élégance !

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Renée Zellweger illumine l’avant-première australienne de “Bridget Jones : Folle de lui” avec un look d’amour en rose. Découvrez 5 points clés sur le retour audacieux de cette saga culte.

Renée Zellweger à l’avant-première australienne du quatrième violet de la saga « Bridget Jones: Mad About The Boy » tenue le 9 février 2025 à Sydney (Photo Getty Images)

La saga emblématique revient sous un nouveau jour avec “Bridget Jones : Folle de lui”. Renée Zellweger, icône de la série sortie il y a plus de 20 ans, a fait sensation lors de l’avant-première australienne en arborant un look d’amour romantique en rose. Elle opte pour une robe bustier audacieuse en fushia éclatant, sublimée par une encolure en fleur 3D, jouant sur l’alliance du rock et du chic pour refléter parfaitement la personnalité intemporelle de Bridget Jones, incarnée par l’actrice de 55 ans.

Depuis le mois dernier, l’Australienne enchaîne les avant-premières pour présenter ce quatrième volet, affirmant son affection pour des robes roses éclatantes. Lors de la présentation à Londres le 29 janvier dernier, l’oscarisée pour le film « Judy », arborait un modèle vintage signé Pierre Balmain. Ce retour tant attendu réinvente le personnage emblématique de Bridget Jones en mariant humour, tendresse et modernité, tout en restant fidèle aux codes qui ont conquis le public au fil des années.

Voici 5 choses à savoir sur l’histoire de la saga, alors qu’elle s’apprête à sortir son 4e volet, “Bridget Jones : Folle de lui” :

1- Un roman fondateur : la saga puise ses origines dans le roman à succès de Helen Fielding, une œuvre qui a révolutionné la comédie romantique en offrant une voix authentique, tendre et hilarante à la femme moderne.

2- Une héroïne universelle : Bridget Jones, magnifiquement incarnée par Renée Zellweger, est devenue une icône culturelle. Elle incarne avec humour et sincérité les hauts et les bas d’une vie amoureuse imparfaite, résonnant avec des millions de spectateurs à travers le monde.

3- Une évolution touchante : depuis le premier film en 2001, l’histoire de Bridget a gagné en maturité, passant des déboires amoureux maladroits à une exploration plus profonde des relations humaines, de la materné et de l’affirmation de soi.

4- Un succès mondial : avec son mélange unique d’humour mordant, d’émotions sincères et d’un réalisme charmant, la franchise est devenue une référence incontournable du genre, captivant un public fidèle à travers les époques.

5- Une touche de modernité : ce quatrième volet promet de revisiter l’univers de Bridget Jones avec une approche contemporaine, tout en restant fidèle à l’esprit qui a fait son succès. Entre rebondissements, humour et émotions, ce nouveau chapitre s’annonce comme un hommage vibrant à l’héritage d’une saga culte.

Et vous quelle « Bridget Jones préférez-vous ?

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Dans La Damnée, Ouidad Elma incarne une sorcière mystique, ancrée entre Tanger, la France et Marrakech. Mais au-delà de l’écran, son identité marocaine nourrit un univers singulier, où cinéma, mode et nature se rencontrent. Entre héritage et modernité, la belle actrice façonne une esthétique envoûtante qui intrigue et captive. Dans cet entretien, elle nous dévoile ses inspirations, son rapport aux traditions et la manière dont son parcours façonne son art.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Ouidad Elma, actrice aux multiples facettes, nous invite à découvrir son univers intime. Ayant grandi entre Tanger et la France, elle a choisi de s’ancrer dans la nature luxuriante de l’arrière-pays de Marrakech. Ce nouvel environnement, mêlant authenticité, silence et énergie des montagnes, l’a aidée à se reconnecter à l’essentiel et à nourrir sa créativité. Son dernier film, dans lequel elle incarne une sorcière au pouvoir libérateur, illustre parfaitement cette transformation personnelle et artistique. À travers cet entretien, Ouidad partage avec nous ses réflexions sur le retour à une vie plus authentique, la puissance du cinéma et l’expression de l’identité marocaine, sans oublier sa passion pour la mode.

Vous qui avez grandi entre Tanger et la France, comment cette nouvelle vie dans l’arrière-pays de Marrakech a-t-elle transformé votre façon de voir le monde et de vous reconnecter à l’essentiel ?

J’ai découvert Marrakech sous un angle inédit, entre les montagnes majestueuses de l’Atlas et la ville vibrante. Cette immersion dans des espaces purs et énergétiques m’a permis de me ressourcer profondément, de renouer avec la nature et les traditions qui font partie intégrante de notre culture. Née dans les montagnes du Rif, me retrouver dans les montagnes du Sud est un retour aux sources brut et authentique qui enrichit mon identité.

Quels apprentissages tirez-vous de ce retour à une vie plus ancrée dans la nature, et comment cela nourrit-il votre créativité d’actrice ?

La nature m’offre l’espace et le silence indispensables à la créativité. Là, loin du tumulte urbain – que ce soit à Paris ou à Casablanca – je trouve un lieu de recueillement où les plus belles idées émergent. Cet environnement me transforme, me donne une clarté nouvelle dans mon travail, et modifie ma perception des rôles et des histoires que je raconte à l’écran.

À travers vos rôles, vous incarnez souvent des personnages forts et complexes. Pensez-vous que le cinéma peut réellement changer les mentalités ou ouvrir des dialogues sur des sujets essentiels ?

Pour moi la culture est nécessaire au collectif humain, c’est ce qui fait grandir une société. Le cinéma est, pour moi, un moyen puissant de briser les barrières et de toucher les cœurs. J’ai notamment choisi de sortir de ma zone de confort en incarnant une sorcière dans « La Damnée ». Ce personnage, loin d’être stigmatisé, représente une femme souveraine qui assume pleinement sa liberté. À travers ce rôle, je souhaite questionner les préjugés et ouvrir un dialogue sur des thèmes comme les traumas générationnels et la place de la femme dans la société.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Ce personnage de la sorcière, que représente-t-il pour vous dans la société marocaine ?

Pour moi, le terme « sorcière » n’a pas de connotation négative. Il désigne une femme en plein pouvoir, une guérisseuse qui assume son identité. La société nous a souvent cataloguées de cette façon pour tenter de nous contrôler. Mais je crois que chaque femme est, en réalité, une sorcière puissante, capable de transformer ses zones d’ombre en force et de créer un changement profond.

Vous vous reconnaissez dans ce personnage ?

Toutes les femmes sont des sorcières ! C’est ce que dit le livre de Mona Chollet. L’autrice suisse parle de ces femmes de la Renaissance que l’on accusait de sorcellerie, censurées et réprimées, elles finissaient au bucher. Ces féminicides ont perduré pendant des siècles. On ne parle jamais de ces féminicides ni de ceux qui, dans l’histoire préislamique, consistaient à tuer des filles simplement parce qu’elles étaient des filles. Pourquoi ? Parce que les femmes ont un pouvoir : elles sont connectées au monde invisible, elles créent la vie, et c’est un pouvoir incroyable. Elles sont reliées au divin – l’utérus, c’est un portail connecté directement à Dieu – et cela fait peur au système, à la société. En fait, avoir la capacité de reconnaître son pouvoir en tant que femme et se dire « ok, j’ai ce pouvoir et je peux créer le monde que je veux avec tout l’amour et la bienveillance dont je dispose » est un pouvoir qui nous a été longtemps refusé. Je pense que le changement se fait naturellement et qu’il y a aujourd’hui une prise de conscience incroyable. Quand on m’a proposé ce film, j’ai dit, bien sûr, je veux le faire ; ce rôle est pour moi une libération, une véritable rencontre. Un rôle ne vient jamais à toi par hasard.

Comment avez-vous abordé vos débuts ?

Le réalisateur voulait me rencontrer à Casablanca, et j’avoue avoir eu un peu peur, car c’était la première fois que j’allais incarner un antagoniste. Toutefois, ce processus de transformation, qui m’a sortie de ma zone de confort, m’a enthousiasmée. Le personnage, appartenant à l’imaginaire et d’une dimension presque fantasmagorique, me permettait de toucher l’imaginaire collectif. C’était un super challenge, et j’ai perçu dans ce rôle un aspect profondément spirituel – merci à l’univers, merci à Dieu de me permettre d’explorer des espaces de jeu inédits qui ont débloqué beaucoup de choses en moi. »

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Ce film vous a-t-il menée à changer de vie et à déménager ?

Totalement. Ce film m’a ouvert les yeux sur un monde invisible que l’on ne trouve pas dans les pays occidentaux. Marrakech, ville sainte fondée par la grande Zaynab, la porte des sept saints et du désert, est une ville amazigh ancestrale qui guérit par son énergie. J’ai su qu’il fallait que je sois là, que je reste ici. À chaque fois que je revois ce film, je ressens une peur profonde – non pas de l’écran, mais de moi-même, tant je suis émotive. Pour incarner ce rôle, j’ai dû puiser dans ma propre colère et déposer les traumas de ma lignée : ceux transmis par ma grand-mère, ma mère, et toutes ces déesses et guerrières qui, pendant des siècles, n’ont pas eu leur espace d’expression. Ce processus m’a permis de retrouver un équilibre, essentiel pour être d’abord au service de soi-même avant de servir les autres. »

Pourquoi vous ?

C’est l’univers qui voulait que ce rôle soit pour moi. Je pense que j’ai touché le réalisateur par mon histoire, et j’ai été fascinée par son intelligence et sa capacité à être authentique, à écouter son imaginaire – une véritable vieille âme. J’ai retravaillé avec lui pour son second film, « Killer Influence », diffusé sur Amazon Prime et Apple TV. Bien qu’il vive en France, il revient souvent ici pour sa famille. J’ai eu beaucoup de chance de le rencontrer : Abel est un génie. Il avait 22 ans lors du tournage de ce premier long métrage, et à 25 ans, il confirme déjà sa sensibilité rare. Cette rencontre a été touchante et a annoncé la couleur d’un nouveau chapitre dans ma carrière.

Quel message souhaitez-vous transmettre au public à travers votre art ? Voyez-vous une mission plus grande derrière votre carrière d’actrice ?

Je dis toujours aux jeunes – et aux moins jeunes – qu’il n’y a pas de règles fixes pour raconter une histoire. Le monde a soif d’histoires authentiques. Que vous soyez conteur ou cinéaste, il faut oser partager son vécu, car c’est ainsi que nous pouvons changer les mentalités et grandir collectivement. Mon art est ma manière de redonner la parole à ceux qui n’en ont pas toujours eu, de faire émerger la richesse de notre humanité. Le monde veut entendre des histoires, car conteur est le plus vieux métier du monde et ce métier est à la portée de tous. On se racontait des histoires, surtout à Marrakech, sur la place Jemaa-el-Fna, où l’on partageait des récits de notre humanité et de nos sociétés.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Votre ancrage à Marrakech vous inspire-t-il à explorer un cinéma plus terre à terre et authentique ?

Cet ancrage ici à Marrakech te donnera envie d’explorer un cinéma plus terre-à-terre, sans trop de filtres, d’effets spéciaux ou de fictions. Le monde entier vient à Marrakech ; c’est une porte d’entrée vers le monde, le Maroc est une terre d’accueil. J’ai commencé le cinéma jeune, par pure passion : je l’ai étudié, j’ai fait partie d’une troupe de théâtre et j’ai appris la méthode américaine de l’Actor Studio aux USA. J’ai aussi commencé à écrire, et j’apprécie énormément cette capacité à inventer quelque chose qui se trouve dans la tête, à le projeter sur une feuille blanche, puis à le matérialiser en une histoire vivante avec des êtres humains. Le processus est assez magique, presque divin : il part d’une pensée que l’on écrit…

Votre autre passion serait-elle la mode ?

La mode est pour moi une forme d’expression tout aussi puissante que le cinéma. J’adore les robes, car elles me permettent de me sentir à la fois féminine et libre. J’apprécie également les costumes, qui révèlent une autre facette de ma personnalité. Porter un vêtement, c’est comme se métamorphoser, c’est adopter une attitude différente qui reflète notre état d’esprit. La mode me permet d’incarner mon identité marocaine avec élégance, que je sois à Paris, à Londres ou ici, à Marrakech.

L’interprète d’une sorcière marocaine dans le film « La Damnée », Ouidad Elma pose à M Avenue pour HOLA! Maroc (Photo BP-Photographe – Chaussures IO Shoes – Mise en beauté Infinite M Avenue )

Porter un caftan sur le toit de M Avenue, dans cet espace où luxe et tradition se mêlent, a-t-il une résonance particulière pour vous ?

Le caftan est l’habit le plus noble et le plus élégant que le Maroc ait créé pour le monde. Il fait partie du riche patrimoine de notre pays. C’est l’une des cultures les plus anciennes au monde. Je suis fière de porter ce symbole de notre identité. Et je pense que toutes les femmes du monde peuvent arborer un caftan et ressentir cette grandeur. J’aime les caftans simples, en soie ou en mousseline, qui offrent de la légèreté et une liberté de mouvement. Cet habit incarne à la fois la tradition et la modernité, et je le considère comme une part essentielle de ma marocanité, où que je sois.

Si vous pouviez laisser une seule empreinte sur cette planète à travers votre vie et votre art, quelle serait-elle, et pourquoi ?

Je souhaite laisser une empreinte d’amour – l’amour de soi, l’amour de l’autre et l’amour divin. C’est une valeur qui guide chacun de mes choix. Mon prochain film, « L’Empreinte du Vent » de Laila Triki, en est un bel exemple. J’espère que mon travail continuera à inspirer et à rappeler à chacun qu’en partageant notre amour, nous pouvons transformer le monde.

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Héritier d’une passion transmise par le défunt Hassan II, SAR le Prince Moulay Rachid perpétue l’excellence du golf au Maroc. Avec style et engagement, il préside la 49e édition du Trophée Hassan II et la 28e Coupe Lalla Meryem au prestigieux Royal Golf Dar Es Salam de Rabat.

SAR le Prince Moulay Rachid participant au pro-am du Trophée Hassan II au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat (Photo Getty Images)

Sous le Haut Patronage de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, et avec la présence chaleureuse de Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid, la Fédération Royale Marocaine de Golf et l’Association du Trophée Hassan II, le 49ème Trophée Hassan II et la 28ème édition de la Coupe Lalla Meryem, inscrits pour la troisième année consécutive sur le PGA Tour Champions, ont livré une édition réussie comme chaque année. Ces rendez-vous prestigieux se tiennent au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat, attirant les plus grands golfeurs et golfeuses du monde ainsi qu’une constellation de personnalités marocaines et internationales. Cette année ce sont 66 légendes du golf mondial et 108 joueuses du Ladies European Tour, dont des représentantes marocaines telles qu’Ines Laklalech et Maha Haddioui qui ont pris part à la compétition.

SAR le Prince Moulay Rachid participant au pro-am du Trophée Hassan II au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat (Photo Getty Images)

Moulay Rachid, le Prince du golf au Maroc

Au cœur de ces événements prestigieux se trouve Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid, véritable figure emblématique du golf marocain. Depuis de nombreuses années, le Prince incarne avec passion et détermination l’esprit du golf au Maroc. Son parcours exceptionnel en tant que golfeur professionnel, ambassadeur du sport et président de la Fédération Royale Marocaine de Golf lui a valu le surnom de « Prince du Golf ». Visionnaire et engagé, il accompagne le développement du golf dans le royaume en soutenant activement les compétitions internationales. Sa présence à la 49e édition du Trophée Hassan II, participant au Pro-Am et notamment lors du dîner de gala offert par Sa Majesté le Roi, symbolise l’union entre tradition et modernité et souligne l’ambition de hisser encore plus le golf marocain sur la scène mondiale.

SAR le prince Moulay Rachid et SAR la princesse Lalla Meryem lors du trophée Hassan II de golf tenu en 2016 au Royal golf d’Agadir (Photo Getty Images)

Heureux héritier d’une passion royale

Le défunt Hassan II a marqué l’histoire du golf au Maroc en décidant, dès 1971, d’ériger à Rabat un complexe aux normes internationales, aujourd’hui connu sous le nom de Royal Golf Dar Es Salam. Ce joyau, alliant la beauté naturelle des sites marocains à une technicité de classe mondiale, a transmis la « belle valeur verte » du royaume à Son Altesse Royale Moulay Rachid. Héritier de cet engagement royal, le Prince incarne cet héritage avec une élégance naturelle sur les greens et continue de porter haut la flamme du golf au Maroc.

SAR le Prince Moulay Rachid participant au pro-am du Trophée Hassan II au Royal Golf Dar Es Salam de Rabat (Photo Getty Images)

Un Leader au grand cœur et à l’âme de mentor

Plus qu’un dirigeant, SAR Moulay Rachid incarne l’esprit du golf marocain. Dès son plus jeune âge, il s’est imprégné de la discipline et du dévouement requis par ce sport. Aujourd’hui, il se consacre avec ferveur à transmettre sa passion aux générations futures. Son élégance de golfeur se remarque sur son port de tête impeccable, un swing précis et une démarche fluide sur la pelouse, le tout sublimé par un sourire affectueux et bienveillant. Ce raffinement naturel séduit et inspire les nombreux invités – personnalités et passionnés – qui font du Trophée Hassan II un rendez-vous annuel incontournable dans leur agenda.

Raffinement royal et passion du golf : SAR Moulay Rachid préside le dîner de gala du Trophée Hassan II 2025, avec élégance et bienveillance, perpétuant l’héritage d’un sport d’excellence au Maroc

Le papa fera-t-il pareil avec ses deux garçons ?

Dans l’ombre de cet héritage précieux, une question se pose et résonne comme une promesse d’avenir : le père transmettra-t-il, à son tour, cette passion et cette vision à ses deux garçons ? Ce questionnement, empreint de poésie et d’espoir, symbolise la perpétuation d’un héritage royal qui ne cesse de faire rêver et d’inspirer non seulement les passionnés de golf, mais également toute une nation fière de ses traditions et de son ouverture sur le monde.

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Découvrez le look ultra sexy de Nora Fatehi pour souffler ses bougies le 7 février : une robe fourreau noire à paillettes fendue, des cheveux en vagues glamour et un make-up nude pour un style femme fatale.

La danseuse maroco-canadienne Nora Fatehi fête son anniversaire dans l’intimité d’un repas animé au restaurant

Nora Fatehi, l’icône du style et de la sensualité, a célébré son anniversaire le 7 février avec un look d’exception qui ne laisse personne indifférent. Pour l’occasion, elle a opté pour une robe fourreau noire à paillettes, audacieusement fendue de partout, qui sublime ses courbes et révèle son côté ultra sexy et sensuel.

Un look qui fait sensation

Adoptant une allure résolument femme fatale, Nora Fatehi arbore une coiffure en vagues glamour, parfaitement travaillée pour ajouter une touche d’élégance à sa tenue. Son maquillage, dans des teintes nude, met en valeur ses traits naturels et renforce cette esthétique chic et minimaliste. Entourée de ses amis et de son cercle proche, elle rayonne d’amour pour elle-même et pour ceux qui l’entourent, illustrant parfaitement l’esprit de la Saint Valentin.

Un style approuvé par des millions

Avec plus de 40 millions de followers au compteur, l’influence de Nora Fatehi ne cesse de croître. Son look, résolument moderne et audacieux, est la parfaite incarnation d’un glamour à la fois discret et puissant – une véritable déclaration de style qui séduit aussi bien ses fans que les professionnels du monde de la mode.

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L’actrice marocaine Mariam Hussein a récemment fait une apparition mémorable à la Fashion Week de Dubaï, illuminant les podiums en défilant pour la créatrice de renom Zeena Zaki. Cette dernière, célèbre pour avoir habillé des stars internationales telles qu’Eva Longoria et Demi Lovato, il semblerait que Zeena Zaki ait vu en Mariam une ambassadrice parfaite pour ses créations élégantes et modernes. Avec sa présence charismatique et son style unique, Mariam a prouvé qu’elle n’est pas seulement une actrice talentueuse, mais aussi une véritable icône de mode sur la scène internationale !

La Fashion Week de Dubaï a donné le coup d’envoi du calendrier mondial de la mode, devançant les capitales iconiques du prêt-à-porter. Parmi les figures marquantes de cette quatrième édition, Mariam Hussein a captivé le public par son allure élégante et son charisme naturel.

L’actrice marocaine, installée au Moyen-Orient, s’est parfaitement glissée dans le rôle de mannequin, incarnant avec grâce l’univers sophistiqué de Zeena Zaki. Réputée pour ses créations glamour portées par des stars comme Eva Longoria, Demi Lovato et Khloé Kardashian, la créatrice a fait de Mariam Hussein l’une de ses égéries le temps d’un show mémorable.

Entre fluidité des étoffes et éclat des coupes couture, Mariam Hussein a su sublimer chaque passage sur le catwalk, confirmant son statut d’icône mode au sein de la scène fashion du Golfe. Une apparition remarquée qui renforce son influence dans l’univers du luxe et de la haute couture.

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Sana Mouziane et Alan Dersley

Sana Mouziane et Alan Dersley, entre glamour et intimité. Un amour fusionnel entre Marrakech et Londres, entre tradition et modernité. Confidences exclusives.

Sana Mouziane et Alan Dersley
Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Que vous évoquent tous ces moments intimistes immortalisés par HOLA! MAROC ?
Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Comment vivez-vous l’entrée de votre petit dans l’adolescence ?

Kenzie s’apprête à fêter ses 11 ans et à franchir une nouvelle étape en débutant au collège, nous ressentons forcément cette appréhension universelle des parents face au temps qui passe. Le voir grandir et évoluer si vite est à la fois émouvant et déroutant. C’est triste de le voir perdre une part de son esprit d’enfant, mais cela s’accompagne aussi d’une certaine indépendance, ce qui nous permet en tant que couple d’avoir un peu plus de temps…

  • Comment la pandémie a-t-elle influencé votre vision de la vie familiale ?

Ce fut une période folle en y repensant. Voir Londres ou d’autres métropoles transformées en villes fantômes était assez particulier. Après tout ce temps passé à être enfermés, nous apprécions beaucoup plus les activités à l’extérieur: nous promener en ville ou retrouver nos proches par exemple. Il faut chérir tout cela, car nous ne savons jamais ce que l’avenir nous réserve. En tant que famille, nous avons appris que les biens matériels ne procurent pas le vrai bonheur. Ce qui compte vraiment, c’est la santé, la liberté de voyager et le fait de pouvoir serrer un être cher dans nos bras.

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Alan, comment accompagnez-vous Sana dans son retour sur les tapis rouges ?
  • Quelles inspirations ont guidé vos choix vestimentaires lors de votre dernière apparition ?

Revenir à cet incroyable Festival, institution rendue possible grâce à Sa Majesté le Roi Mohammed VI et à Mme Melita Toscan du Plantier, a été un honneur. Je voulais montrer que cet évènement était profondément international, tout comme notre mariage. Mon mari, qui est à moitié anglais et écossais, portait un kilt traditionnel, tandis que j’étais vêtue d’un caftan marocain. C’était une manière symbolique de prouver que nos différences culturelles pouvaient se conjuguer harmonieusement, dans le respect et la fierté de nos origines respectives.

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Comment décririez-vous l’évolution de votre relation à travers les ans ?

Comme dans tout mariage, les aléas de la vie et les responsabilités parentales peuvent parfois occuper beaucoup d’espace. Mais nous avons toujours veillé à préserver une certaine légèreté et un esprit de complicité. Que ce soit à travers des soirées cinéma ou des dîners à deux, ces moments nous permettent de nourrir la flamme qui anime notre couple. Participer au FIFM nous a d’ailleurs offert une parenthèse romantique, en nous rappelant nos débuts.

  • Quelles valeurs souhaitez-vous transmettre à Kenzie dans ce monde en constante évolution ?

Nous avons à cœur de l’élever avec des valeurs fortes : le respect des autres, la gentillesse et l’entraide. Nous voulons également qu’il développe une personnalité solide, qu’il soit persévérant et  donne le meilleur de lui-même, que ce soit dans ses études ou dans ses activités comme le jujitsu. Nous veillons également à ce qu’il soit un homme de foi, fier de ses origines métissées.

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! MAROC

Sana Mouziane et Alan Dersley posent pour HOLA! Maroc lors du Festival international du film de Marrakech
(Photo BP-Photographe)
  • Sana, avez-vous des projets musicaux en perspective ? Envisagez-vous des collaborations familiales ?

Le chant reste l’une de mes grandes passions et j’aimerais explorer davantage cette voie. Je souhaite enregistrer une nouvelle chanson, peut-être au Maroc. Alan est d’un formidable soutien et Kenzie a déjà participé à quelques projets avec moi, notamment une publicité pour Facebook à l’occasion du Ramadan, que j’ai adorée tourner avec lui. Voyons ce que 2025 nous réserve, et puisse cette année être excellente pour nous, pour le Maroc et pour le monde InshaAllah.

Mariage de Sana Mouziane et Alan Dersley
Première photo du mariage de l’actrice marocaine Sana Mouziane et Alan Dersley à Londres
Mariage de Sana Mouziane et Alan Dersley
Cérémonie de mariage marocain à Marrakech
Mariage de Sana Mouziane et Alan Dersley
Cérémonie de mariage marocain à Marrakech dans la plus pure tradition
Lune de miel aux Maldives
Lune de miel aux Maldives
Le baby bump de sana mouziane
Le baby bump immortalisé au coeur de la capitale londonienne
Le petit Kenzie à ses premiers mois
Le petit Kenzie à ses premiers mois dans le doux cocon d’amour de ses parents
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