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« Non je ne regrette rien » chantait Rita Kassid un soir des fameuses auditions à l’aveugle de la célébrissime émission « The Voice France ». Ne serait-ce que parce que la jeune candidate marocaine de 19 ans a été le coup de coeur de Amel Bent jusqu’à dire d’elle qu’elle est sa « Petite soeur ». La jeune chanteuse a pis le cap de la capitale française et s’est installée pour affronter son destin. Aujourd’hui, Autrice, compositrice et interprète, la chanteuse casablancaise est déjà une bien grande artiste et chante « Oumi », une douce et à la fois puissante mélodie en hommage à sa maman. Un titre pop aux influences orientales et aux paroles touchantes qui évoquent l’amour, la famille, les amis, le bonheur, la douleur, le partage le respect…

La chanteuse, autrice, compositrice, interprète lance son premier single depuis son passage remarqué à « The Voice France »

  • Waouh ! quelle énergie et quelle chanson quelle voix! Que représente pour vous ce lancement ? Le vrai debut ? Une consécration? Ou alors juste la suite logique de tant de travail et de volonté?

Merci pour vos gentils mots, j L’histoire d’oumi est très spéciale, du studio au tournage du clip, d’une part parce que symboliquement ça représente le premier fruit d’un travail long, acharné et passionné et de l’autre, j’ai tellement rêvé de ce moment toute ma vie, depuis toute petite, que je voulais l’offrir et le dédier à ma mère pour lui faire de mon amour. Après ce n’est que le début, c’est un chemin long où il faut être patient. Donc que du plaisir et j’espère que les gens vont aimer. Je suis ravie et touchée que ce premier single vous plaise. Je pense que c’est à la fois l’aboutissement d’un projet qui a commencé il y a plusieurs années – dès mon enfance à vrai dire – mais aussi l’occasion de présenter au monde une première œuvre qui m’est chère… et j’espère beaucoup d’autres.

Rita chante entre la Soul d’Amy Winehouse et la pop de Beyoncé, mais aussi Edith Piaf, Dalida ou encore Féruz

  • La voix est sublime comme à la première fois ou on l’a découverte sur le petit écran français et… marocain mais alors il y a une révolution toute douce, où se situe t elle? Une direction artistique de ouf ? Un coaching ou un stylisme topissime ou alors c’est juste la petite Rita qui devient une femme… une diva ?

Un peu des trois évidemment. Une douce révolution oui, et beaucoup de découvertes surtout : les combats que je veux mener avec ma musique, le pouvoir d’une équipe incroyable mobilisée autour d’un projet, l’importance de l’entourage, etc. Ce lancement représente un aboutissement. L’aboutissement de la première brique d’un rêve, un travail de nombreuses années qui voit enfin la lumière. Donc oui je suis très contente, je pense même que le jour du tournage du clip était l’un des plus beaux jours de ma vie. Je me sentais trop dans mon élément !

  • Beaucoup vont vouloir vous comparer à d’autres diva cela vous gênerait? Si non qui est votre modèle résolument? Et votre maman c’est sûrement votre modèle aussi car elle est au coeur de cette belle chanson

Si être une diva c’est une forme d’assurance qu’on peut transmettre à travers sa musique, alors je peux vous confirmer que je ne me sens jamais aussi en confiance que quand je suis sur scène ou au studio. Je suis à ma place quand je fais ce que j’aime et c’est encore mieux si j’arrive à le faire ressentir aux autres. J’ai une démarche sincère vis à vis de la musique, je fais ça parce que j’adore ca. Dans ce single et ce clip, j’avais à cœur de proposer un nouvel univers. Être comparée à des artistes qui ont fait le mème pari et qui s’accomplissent dans leur passion, ça me fait toujours plaisir ! Ma mère est évidemment un modèle : c’est une femme forte et positive qui sourit tout le temps. On se comprend beaucoup et en plus on est très copines.

La chanson « Oumi » pour Rita est tout simplement une décoration d’amour à sa maman

 

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Pour sa 15ème édition et deux ans d’absence, le Jazzablanca réussit son retour sur scène avec brio. Concerts habités par la magie d’un public en délire, musiciens émus d’être là, organisation impeccable, récit de la première soirée d’un grand festival.

Avec un supplément d’âme particulier, le premier soir du Jazzablanca a fait sensation. Dans le nouvel écrin de Anfa Park, l’ambiance était à la fête et aux retrouvailles.

Bab L’Bluz : quand la force du guembri ensorcèle

Premier concert à la scène 21 devant un public timide, Yousra Mansour et son groupe hippie châabi envoutant rassemble les foules dès le premier morceau. Hommage aux racines intarissables de la culture Gnawa dans une ambiance 70’s résolument moderne, le groupe crée à Marrakech en 2018 plonge dans la tradition musicale tout en étant dans les rythmes actuels et fait voyager dans le Hassani, le Blues, le Gnawa, le Funk et le Chaa3bi. Une transe poétique et engagée puisque Bab l’Bluz c’est la paix, l’amour et le vivre ensemble. Un moment de musique intemporel et en même temps ancré dans l’ère du temps porté par la voix charismatique d’une Yousra Mansour émouvante sublimée par le guembri de Brice Bottin initiateur du projet et des deux musiciens Jérôme Bartolome à la flûte, aux percussions et aux chœurs et Hafid Zouaoui à la batterie et au Pad. Un instant de grâce offert par un groupe débordant d’humanité et de sincérité.

Le berceau de l’humanité en fête

Mulatu Astatke, aux mains et aux baguettes d’argent, amène avec lui un bout d’Éthiopie.  Digne inventeur de l’éthio-jazz, le musicien préféré de Jarmusch offre à Casablanca un concert métissé et plein de nuances. Sophistication et raffinement, le soleil s’invite dans les propositions musicales pleines de finesse du maestro éthiopien. Depuis l’Éthiopie où le Jazz a été inventé bien avant le Jazz, zoom sur une résidence aux couleurs de l’Afrique entre le grand Truffaz et le plus maâlem des maâlem : Hamid El Kasri. L’explorateur des sons français vient avec les modulations d’un autre temps de sa trompette et s’installe sur scène avec des musiciens hors pair pour embarquer la foule de Casablanca, au diapason dès les premières notes. L’élégance du jeu du trompettiste met tout le monde d’accord et sa générosité gênerait presque. Quand il accueille maâlem Hamid El Kasri, le premier concert de la grande scène du Jazzablanca prend soudain tout son sens, celui du sens du partage infini. Un moment hors du temps et de l’espace où la voix puissante du Grand Kasri s’est marié à la trompette du virtuose français. Le guembri, les 9ra9eb, la basse, le clavier, la guitare ont joué à l’unisson des standards de Gnaoua au plus grand bonheur d’une foule en transe.

Ibrahim Maalouf ou l’envie d’aimer

Dans un tourbillon de sons et de nuances, Ibrahim Maalouf revient au Maroc avec de belles surprises musicales. Le trompettiste au quart de ton présente son dernier album en quasi exclusivité, comme pour prouver au monde que nous avons la capacité d’aimer et de nous aimer les uns les autres. Album bienveillant et généreux, il propose des fusions dans les compositions comme dans les collaborations. Un album à plusieurs voix, plusieurs univers et plusieurs styles qui a redonné du baume au cœur à la scène Casa Anfa. Entouré de musiciens extraterrestres, l’énergie monte et la folie est au rendez-vous. Le Jazzablanca devient un karaoké géant et une piste de danse XXL. Un bonheur partagé pour tous ceux qui étaient là et qui ont retrouvé le pouvoir de la magie de la scène et des joies de l’improvisation puisque Ibrahim Maalouf, touché par le supplément d’âme de Casablanca, offrira « Beirut », guitare-trompette histoire de mettre les cœurs à leur place. Un moment d’une rare beauté suivipar des solos de musiciens talentueux et des morceaux surprenants mêlant RAP, RNb, sons latins de Cuba ou du Brésil sans sourciller. Un tourbillon de folie qui s’achève sur « True sorry » pour les plus nostalgiques. Un grand moment de musique.

 

 

 

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Voilà déjà une décennie que le Casa Fashion Show fait vibrer la bonne société Casablancaise. Ce petit événement mondain millimétré dont rien ne semble perturber le concept : une soirée spéciale où se mêlent mode et musique dans un carré très vip du Sofitel Tour Blanche avec des invités qui tournent toujours rond dans la sphère people très pointue qui gravite entre Paris et… Marrakech. Non, Casablanca !  C’est en tous les cas ce que prône Kenza Cheddadi par son brillantissime événement, qui annonce sa dixième édition pour le 14 mai.

Le Casa Fashion Show 19 juin 2021 au Sofitel Tour Blanche

 

Une fois n’est pas coutume, nous n’allons pas parler de Garou, ni de Amir qui vont chanter dans une semaine dans la ville blanche mais bien de la Casablancaise de 38 ans, entrepreneur culturelle qui manie tout aussi bien les mots qu’elle s’enivre de la mode, « Je suis fascinée par la culture télévisuelle française et son lot d’émissions incontournables, source d’inspiration à mes yeux », voilà qui est dit par l’initiatrice et organisatrice de la plus glamour des soirées casablancaises, qui plutôt très discrète, nous livre son parcours en 10 points.

  • La femme derrière l’entrepreneur 

« J’aime manier les mots et m’enivrer de mode, fascinée par la culture télévisuelle française et son lot d’émissions incontournables, source d’inspiration à mes yeux… Résultat des courses : deux livres à mon actif, une belle aventure professionnelle chez TF1 à l’issue de mes  4 années d’études à l’Essec et puis un projet mode que je chérie par-dessous tout : le Casa Fashion Show… »

  • La famille 

« Maman comblée d’un petit ange de 4 ans et demi, épouse d’un passionné de golf aux conseils puissamment pertinents. Fille meurtrie d’un papa parti trop tôt mais comblée par l’amour d’une mère exceptionnellement aimante et dévouée… »

  • Toute une histoire avec le Fashion

« J’ai toujours baigné dans un monde où les femmes aiment prendre soin d’elles, s’habiller dernier cri, se pouponner… Traîner en pyjama, même le week-end, ne faisait guère partie des règles de la maison… C’est en faisant mes études à Paris que cette passion pour la mode a mûri, germé pour se combiner à d’autres passions : la musique, l’art, l’écriture… Le Casa Fashion Show est pour ainsi dire un concept inédit mêlant mode, musique et danse, et non un simple défilé mono-marque… L’idée étant de créer un concept qui retranscrit avec brio ce qui fait la force de notre beau pays, sa frénésie, sa chaleur humaine, son audace et son ouverture sur le monde… »

  • Le challenge de ramener le tout Paris à Casa

« Le challenge pour moi était de créer un parallélisme entre Casablanca, poumon économique du Maroc et Paris, capitale internationale de la mode… »

  • L’audace de mêler griffes internationales et créateurs marocains de caftans

« L’idée est de pousser les créateurs marocains à sortir des sentiers battus, s’éloigner du caftan pur et dur pour explorer de nouveaux horizons, s’internationaliser, graver leur empreinte sur un territoire tellement élitiste, presque intouchable… Et la plupart le font avec brio… »

  • La magie d’avoir des pointures de la musique 

« Plus qu’un défilé, le Casa Fashion Show est un show… Accueillir des pointures de la musique est une priorité à mes yeux comme aux yeux de mon directeur artistique Hakim Ghorab… Cela confère force, magie et caractère à ce rendez-vous… En 10 ans, nous avons reçu de grands noms à l’instar de Kendji, Gims, Jenifer, Matt Pokora, Louane, Slimane, Vitaa, Imany, Cris Cab, Patrick Fiori,… »

  • Le secret derrière ce petit carré très Vip au cœur du Sofitel

« Il n’y a pas de carré VIP mais un parterre de passionnés de culture avec un grand C… La Mode n’est-elle pas ce 10ème Art qui rassemble et fédère ? »

  • La réussite ultime d’avoir le patronage de SM le Roi 

« Vous ne pouvez imaginer le bonheur que cela représente pour une jeune femme entrepreneur, après des années de dur labeur… Je ne réitèrerai jamais assez ma reconnaissance et mon extrême gratitude envers sa Majesté le Roi Mohammed VI que Dieu le glorifie d’avoir accepté d’honorer l’événement de son Haut Patronage. Nous déployons tous les efforts nécessaires avec mes équipes pour être à la hauteur de la confiance placée en ce rendez-vous. »

  • 10 ans et après… 

« Je souhaite pérenniser le Casa Fashion Show, continuer d’en faire un miroir de l’ouverture de la Femme Marocaine sur le Monde. Continuer à promouvoir la créativité marocaine avec un grand C et à rendre hommage aux créateurs marocains au-delà des frontières… »

  • 2012 – 2022 c’est la rétrospective

Pour les 10 ans du Casa Fashion Show, les couturiers sont invités à se pencher sur son parcours. S’interroger sur son identité. Revisiter les éléments de son inspiration qui le définissent parfaitement, tout en saluant au passage célébrités, actrices, chanteuses ou influenceuses qui ont fait le succès de ses robes les plus emblématiques. Il s’agira de présenter des pièces d’anthologie, affichant leur différence dans un air familier, comme un vibrant hommage à une carrière brillamment menée… La Papesse de la mode en Afrique, Adama Paris la marraine de cette année, la créatrice italienne Sara Battaglia invitée d’honneur, Ali Karoui le couturier tunisien qui a fait une apparition remarquée sur Netflix dans la série documentaire « Moi Georgina » et les stylistes marocains Ahmed Talfit, Karim Tassi, Sara Chraibi, Siham Tazi, Marwa Molato, Myriam Bouafi et Ghita Lahrichi; ainsi que les enseignes internationales Elisabetta Franchi, Iro chez Omoté, Alberta Ferretti et Philosophy chez Les Muses Casablanca ou encore Mimi Liberté et Oud Paris chez Effervescence…

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La ville blanche va vibrer au rythme de la 15ème édition de Jazzablanca qui aura lieu du 1er au 3 juillet 2022. Show must go back in Casablanca.

Il était temps que les concerts en plein air, l’ambiance éclectique et la passion pour le jazz jusqu’au funk, en passant par la pop rock et la soul music reviennent et avec leur lot de vibrations chaleureuses, doublées de découvertes et de rencontres.

Deux années de covid ont permis à l’équipe de Jazzablanca de concocter pour les festivaliers, une programmation bien spéciale. Le festival en a profité pour faire peau neuve et entamer un nouveau chapitre placé sous le signe de l’intensité. Avec un format de trois jours et une programmation inédite, les Jazzablancais peuvent d’emblée compter sur une ambiance exclusive et de nombreuses surprises !

Depuis sa première édition en 2006, Jazzablanca n’a cessé de se renouveler pour offrir aux Casablancais le festival de musique qu’ils méritent.
Au fil des années, le festival s’est montré fidèle à son engagement auprès de la vie culturelle casablancaise, et continue de s’accrocher aux valeurs universelles que prône la musique : la générosité, la tolérance, et la passion.

Jazz must go back du 1er au 3 juillet 2022 !

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Un club de gym pour faire du fitness et faire la fête en même temps? Oui c’est possible et ça se passe chez Jeem. Moi j’aime et vous? Un nouveau club qui promet fitness et fièvre associés et pas seulement les samedis soir.

Ouvert depuis Septembre 2020, Jeem est le nouveau studio casablancais qui propose l’alliance parfaite du cardio-boxing et du HIIT.  Et si Jeem connaît un tel succès, c’est que c’est la recette tient sa promesse : perte de calories, perte de gras plusieurs heures après l’entraînement, développement de la masse musculaire et  grosse décharge d’endorphine pour une super énergie tout au long de la journée.  

Le studio de sport Jeem, sise dans le triangle d’or à Casablanca, est un boxing studio aux allures de boite de nuit qui propose la combinaison gagnante pour un workout adapté à tous les niveaux et dispensé par des coachs sportifs expérimentés. Pendant 45 minutes, ces sessions à  mi-chemin entre une séance de boxe et une séance de renforcement musculaire, alternent entre  des mouvements, des combinaisons de boxe et des sessions de HIIT (High Intensity Interval  Training).  

Jeem a également été conçu pour accueillir différents happenings tels que des entraînements avec l’équipe des JO de boxe ou des DJ Sets. « Outre une activité sportive complète, c’est un état d’esprit que propose Jeem, une salle de  sport pas comme les autres.” ajoute Yassine Ouarrach, fondateur de Jeem. 

Réservé au départ à une communauté de happy few, Jeem c’est aussi le studio qui a su s’adapter  au contexte pandémique et fidéliser les sportifs, en trouvant toujours une solution pour pallier aux restrictions et fermetures récurrentes. Occupation de l’espace  public avec les sessions « Hope » au Vélodrome voisin ou encore les sessions « Track Run » au  stade l’Idéal mais également dans un registre tout aussi bon enfant des sessions à la plage de Ain Diab.

18 Rue Essanaani- Casablanca 20250 (à côté de Green Village)  
Instagram: https://www.instagram.com/wearejeem/?hl=fr  
Pour réserver une classe: https://jeem.punchpass.com/
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L’artiste peintre Omar Bouragba dévoile jusqu’au 8 janvier 2022 à So Art Gallery Casablanca ses dernières oeuvres sous la thématique  « D’argile éthéréé. »

Entre figuration et abstraction, une peinture cosmique

Si la peinture d’Omar Bouragba entre en résonnance avec la poésie du poète Paul Eluard, au cours de ces années prolifiques, c’est bien parce-que l’univers du peintre comme celui du poète, leur inspiration d’une grande cohérence et d’une haute spiritualité, se présentent à nous comme une évidence. L’Humain est toujours là, il affleure, sous et à travers la matière, les couleurs et les volutes.

Omar Bouragba peint depuis un demi-siècle avec une constance tranquille, loin des conflits et des aspérités de la Vie. C’est le Souffle qui l’anime et ses récentes créations font figure d’allégories enchantées.Le Feu et l’Eau sont omniprésents, éléments transcendés par un ensemble de circonvolutions et une gamme chromatique qui n’appartiennent qu’à lui. Emergent alors des esquisses de visages, véritables poussières d’étoiles, or, blanc, bleuté, noir, qui éclosent en une délicate symphonie.

Omar Bouragba s’adresse directement à nos sens. Pour ce faire, il est parvenu à élaborer une grammaire, une syntaxe, un vocabulaire pictural qui lui sont propre. Il laisse alors son imaginaire et son savoir- Etre se déployer sur la toile, empreintes venues tout droit d’un Autre Monde. Ses peintures, harmonieuses et fluides, nous emportent vers des rives toutes de douceur et de tendresse, détachées des passions froides et souvent tristes de notre quotidien contemporain.

LE DESTIN D’UN PEINTRE ANCRÉ DANS L’HISTOIRE DE LA PEINTURE DU ROYAUME

Omar Bouragba est né en 1945 à Marrakech. Membre de l’association nationale des beaux arts 1965, membre fondateur de l’association des plasticiens marocains APM en 1975,  Vice président de l’association marocaine des arts plastiques AMAP en 2003, Omar Bouragba est également  membre fondateur de l’association Ambre Maroc en 2007.

Son séjour à Rabat lui permet de connaître le milieu artistique des années 60. C’est ainsi qu’il se lie d’amitié avec Mekki Morcia, qui lui organise sa première exposition à La Mamounia de Rabat en 1965. Son exposition « Extrême Limite ou La fusion dans l’Autre », à La Maison de la Pensée, en 1967, le révèle au monde r’bati de la culture et des arts.

En outre, sa rencontre avec Jilali Gharbaoui en 1965, et Ahmed Yacoubi en 1968 fut déterminante dans ses orientations de peintre. De même, Abderrahmane Serghini lui achète deux peintures qui seront les premières acquisitions de toute cette collection prestigieuse, et lui proposa un atelier avec tout le confort nécessaire pour peindre. Cette période est marquée par l’éclatement et la recherche du centre. Travaillant, dans la précipitation et l’urgence, Marrakech l’appelle en 1971 où il élut demeure dans la spiritualité d’Ibn Arabi.

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L’épidémie est là, l’épidémie s’en va mais le retour à la vie et à la fête se confirme de plus en plus. La preuve? Ce bel événement du Casa Fashion Show qui a fait un petit frère. Le Casa Music Show : Un nouveau concept musical calqué pour un petit gotha de mélomanes et férus de mode qui se sont donnés rendez-vous au Sofitel Casablanca Tour Blanche. Show must go on reprend du galon !

Exposition mode autour de la petite robe noire au Casa Music Show Sofitel Tour Blanche Casablanca
Exposition mode autour de la petite robe noire au Casa Music Show Sofitel Tour Blanche Casablanca
Kendji Girac au Casa Music Show Sofitel Tour Blanche Casablanca
Kendji Girac au Casa Music Show Sofitel Tour Blanche Casablanca
Kendji Girac au Casa Music Show Sofitel Tour Blanche Casablanca
Amine Ayoubi au Casa Music Show Sofitel Tour Blanche Casablanca
Diese au Casa Music Show Sofitel Tour Blanche Casablanca

Kendji Girac sur scène en ce jeudi effervescent de cette fin novembre, c’est le menu de cette belle soirée déchainée. Accompagné de ses danseurs, le chanteur français à la carrière incroyable, entamée sur une petite vidéo postée sur youtube qui l’a mené à participer et à gagner The Voice France. Nul besoin de présenter l’interprète de la Mama au public marocain, ni même le talentueux chanteur marocain Amine Ayoubi au succès retentissant grâce à son tube Ghita et encore moins la sulfureuse Diese qui ouvraient à eux deux le bal de ce concert pur jus qui a attiré le tout Casa mondain. 19h tapantes, le hall extérieur du cinq étoiles casablancais était déjà animé d’une petite foule organisée qui pénétrait l’hôtel. La saison précédente du Casa Fashion Show opérait sous l’élégant chapiteau du Sofitel, mais la promotrice de l’événement a voulu orchestrer un petit concert intimiste et chaleureux de cette soirée hivernale bien douce. Kenza Cheddadi, dix années durant, mène son concept de soirée mode ponctuée de musique avec élégance et mesure et en cette ère du covid, l’organisatrice veille à respecter son cadre tout en s’autorisant beaucoup de créativité, véritable thème de cette première édition du Casa Music Show.

Cette déclinaison du Casa Fashion Show qui est née en plein confinement, a été annoncée sur une reprise du tube Show must go On de Queen, à travers cette video qui a compté sur la participation de six artistes marocains de talent :  Sofia Mestari, Baptiste Giudicelli, Jihane Bougrine, Selma Mesbahi, Diese , Safia Tazi et la célèbre chanteuse libanaise Aline Lahoud qui s’est également jointe au projet, dans une mise en scène studio particulièrement attachante. Un clip où les trois langues, Français, Anglais et Arabe, jouent leur partition dans une alchimie magique.

Un show de music et… de mode bien sur

Comme un amuse-bouche de ce menu musical bien sympathique, une exposition haute couture sur le thème de la petite robe noire a déroulé un joli podium, en attendant le retour du Casa Fashion Show les 12 et 14 mai prochains. Les stylistes marocains Karim Tassi, Ghita Lahrichi et la créatrice libanaise Lina Cahill ont ravi les prestigieux convives de leur regard sur la petite robe noire dans la ville blanche. 

Kenza Cheddadi initiatrice et promotrice du Casa Fashion Show et du Casa Music Show avec Kendji Girac
Kenza Cheddadi, entourée à sa droite du producteur de music Mani Nordine et du chorégraphe Hakim Ghorab

 

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L’une des plus effervescentes avant-premières jamais organisée à Casablanca, marquera bien longtemps les esprits du monde du cinéma marocain. « Haut et Fort » de Nabil Ayouch est enfin dans les salles au Maroc. Vives émotions en images.

Le sujet est on ne peut plus vif et le film est déjà dans son destin inédit d’un parcours cinématographique d’excellence. « Haut et fort » de Nabil Ayouch s’enrichit de plus en plus d’épaisseur : Sélection officielle au festival de Cannes, celui de Cartage à Tunis et bientôt dans la course aux Oscars dans la catégorie « Films Étrangers ». Le voici vivant une levée de voile vibrante au grand-public Casaoui pour la première projection grand-public depuis la révélation du film. Un rendez-vous tant attendu au Maroc. C’est alors haut est fort que les rencontres avec la presse marocaine et Nabil Ayouch, les acteurs et les journalistes, ont eu lieu en plein quartier légendaire du Maarif à l’hôtel Onomo.

Ce fut l’effervescence au complexe Megarama, en fin de journée de ce mardi 2 novembre avec un public casablancais, venu nombreux et une présence notable de personnalités publiques de tous bords. L’accueil fut très chaleureux avec une ovation particulière faite aux acteurs et leur réalisateur bien heureux. Un moment de grand fierté bien partagée. 

Nabil Ayouch entouré de Driss Jettou ancien Premier Ministre et de Mohamed Sajid ancien Maire de la ville blanche, lors de l'avant-première de son dernier film "Haut et Fort" au Megarama de Casablanca / Photos : Brahim Taougar
L'équipe du film
Samia Akariou en complicité avec Zineb Boujemaa et les autres acteurs de "Haut et Fort". À gauche, Monique El Grichi de Mosaik
Moment d'émotion entre le réalisateur et son acteur, Nabil Ayouch l'artiste et Anas Basbousi sa muse, l'acteur révélé par le cinéaste dans son dernier film "Haut et Fort"
Nabil entouré de son père le publicitaire Noureddine Ayouch, de sa femme et de la productrice Dounia Benjelloun
La journaliste Fathia El Aouni
Nabil Ayouch avec le Professeur Driss Moussaoui
Nabil Ayouch et Anas Basbousi avec Salim Cheikh et sa femme Wydian Larouz
Nabil Ayouch et sa femme Maryam Touzani avec Neila Tazi
Anas Basbousi
Nabil Ayouch et Maryam Touzani habillés par le créateur Ali Drissi

 

Enfin, c’est au nouveau restaurant espagnol, en plein Boulevard Zerktouni, Casa Del Andaluz, que cette fête offerte à l’occasion de la sortie du film, que l’équipe organisatrice a élu domicile pour offrir aux invités un After d’exception. La boucle de rencontres marathon s’est voulue une pure célébration culinaire sous l’émotion du goût relevé des petits plats espagnols savamment concoctés par une autre belle graine de l’art culinaire maroco-espagnol, le célébrissime Chef Momo, nouvellement installé pour le plus grand bonheur des épicuriens Casaouis et des addicts de la fiesta Andalouse.  

Abdellatif Khizrane et Noureddine Ayouch / Photos : Brahim Taougar
Nabil Ayouch, son père Noureddine Ayouch et Chef Momo alias Mohamed Abid
Chef Momo, entouré de Saida Azbane et Nabil Ayouch
Le créateur Ali Drissi et Noëlle Furukawa de l'Iloli
Abdellatif Khizrane et Salim Cheikh DG de 2M
Nabil Ayouch et Maryam Touzani
Chef Momo, Nabil Ayouch et Ismail Adouab
Anas Basbousi, Ismail Adouab, Zineb Boujemaa, Lydie Janssens et Chef Momo
Abdellatif Khizrane, le couple Ayouch et Ilham Benzakour
Lucie Chopart photographe avec Nabil Ayouch, sa femme et ses acteurs

 

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Préparez vos yeux à voir de la beauté, de l’inspiration et de la créativité. L’art du caftan Fashion Show est de retour mesdames et messieurs.

Après la 5ème édition qui a eu lieu le 7 mars 2020 quelques jours avant le confinement et en honneur à la journée mondiale des femmes, la 6ème édition vous donne rendez-vous le 6 novembre 2021 à l’occasion de l’anniversaire de la marche verte.

On ne change pas une équipe qui gagne !

Quoi de mieux que de célébrer des créations majestueuses dans un endroit chic ? Les organisateurs de l’évènement ont bien compris le dicton « On ne change pas une équipe qui gagne » et ont décidé alors de se pencher vers le même hôtel que la précédente édition : L’hôtel Sofitel tour Blanche.

Tenues traditionnelles par ci, d’autres avec une touche moderne par-là, seront les créations qui nous attendent le six novembre prochain.

Après un an et demi d’absence, on ne peut que s’attendre à une édition exceptionnelle avec des stylistes pleins d’art et d’imagination.

Que de l’ambiance !

Le défilé caftan de cette année nous promet que des noms à la hauteur. Et qui dit défilé, dit bonne ambiance en parallèle avec la création. L’heureux évènement sera bel et bien animé par le DJ Amine Radi en présence de grands noms dans le monde musical.

Les deux stars Zina Daoudia et Saida Charaf monteront sur scène, ainsi que les grands Douzi, Cravata et Ihab Amir. En espérant que le chanteur de ‘Lmouja’ inaugurera le défilé par la chanson ‘Laayoun Aynia’ vu que la date en question coïncide avec l’anniversaire de la marche verte.

Et parce que là où il y a défilé il y a comédie, Eko, le comédien venant spécialement de Marrakech ajoutera sa touche. Il n’y a pas que sa touche qui sera au rendez-vous mais des rires en pleurs aussi.

 

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Beaucoup de personnes aiment le Royaume du Maroc que ça soit de loin ou de près, mais ceux qui comptent vraiment sont les personnes qui choisissent de passer la plupart de leurs vacances à notre pays, y compris les stars internationales! 

QU’EST-CE QUI FAIT DU MAROC UNE DESTINATION INCONTOURNABLE ?

Soleil chaleureux, gens accueillants, gastronomie à en couper le souffle, bienveillance, sourires et bon temps… c’est ce qui résume le mot Maroc.

Notre pays a toujours été un lieu côtoyé par les célébrités. Ils viennent pour la réunion de l’art, pour la beauté de la nature, pour cet art simple: l’art de vivre à la marocaine. Les arts se ressourcent alors du Maroc et de ses citoyens, s’amusent, s’inspirent de cette culture tant appréciée qui regroupe plusieurs cultures à la fois.

La liste est longue mais les stars les plus mémorables sont la famille Beckam, Shakira, Rihanna, Jacquemus, Ramos, Salma Hayek ou encore Cristiano Ronaldo. Ces stars ont toujours choisi le Maroc comme destination en famille, le numéro 7 du Manchester United va même inaugurer son propre hôtel dans quelques jours à la ville ocre.

2019: UNE ANNÉE DE RECORD!

L’année 2019 est une année à refaire! L’aéroport de Marrakech a battu un record, puisque durant la deuxième quinzaine de décembre, avant les fêtes de fin d’année, plus de 200 jets privés se sont rendues au Maroc et plus précisément à Marrakech. Et qui n’aimerait pas passer les vacances de fin d’année à Marrakech?

Quelle fierté pour le Maroc et quel bel exploit pour la ville rouge, qui n’arrête pas d’attirer les touristes des quatre coins du monde!

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