Accueil Mots-clés Publications sur "FIFM 2024"
Mot-clé

FIFM 2024

Le Festival International du Film de Marrakech (FIFM) 2024 s’achève, et comme chaque année, le glamour a été au rendez-vous sur son mythique tapis rouge. Cette édition, placée sous le signe de la célébration du cinéma mondial et des talents émergents, a également été un spectacle de mode où traditions marocaines et haute couture se sont rencontrées. Voici les 10 looks les plus marquants qui ont illuminé cette édition inoubliable.

Virginie Efira : un look velouté à la hauteur de son talent

L’actrice belge Virginie Efira a captivé l’assistance dans une somptueuse robe en velours noir aux épaules sculpturales. Ce choix audacieux, mêlant élégance classique et modernité, mettait parfaitement en valeur sa prestance naturelle. Les épaulettes marquées, apportant une touche de caractère, étaient équilibrées par des accessoires minimalistes et un maquillage délicat. On adore cet esprit chic et intemporel qui reflète à merveille le charisme de l’actrice.

Photo by Stephane Cardinale – Corbis/Corbis via Getty Image)

Patricia Arquette : L’audace des carreaux colorés

Patricia Arquette a surpris et séduit avec un look audacieux en total imprimé à carreaux. Chemise, pantalon et manteau oversized, l’ensemble multicolore dégageait une énergie vibrante et un esprit résolument moderne. L’actrice qui faisait partie du jury de cette dernière édition a prouvé qu’elle maîtrise l’art du style décontracté-chic, assumant avec panache un choix qui sort des sentiers battus du tapis rouge. Ce look original et éclatant reflétait parfaitement sa personnalité affirmée et son audace mode. Une vraie leçon de style !

(Photo by Antoine Flament/WireImage)

Sarah Perles : un souffle de glamour en noir

C’est clair, Sarah Perles a envoûté le tapis rouge dans cette robe noire longue, sublimée par des plis froufrous et structurés juste après la taille, qui apportaient mouvement et légèreté à sa silhouette. Ce détail élégant, associé à son port de tête majestueux, a mis en valeur sa présence gracieuse et raffinée. Avec une coiffure impeccable et un maquillage subtil, l’actrice a incarné la perfection du chic et du glamour. Un look absolument à couper le souffle !

(Photo by Marc Piasecki/Getty Images)

Qu’est-ce qu’on aime cette veste de Leina Tahiri Bouchaala !

Cette veste noire et dorée, portée par Leina Tahiri Bouchaala, est un véritable coup de cœur. Avec son mélange subtil de tradition et de modernité, elle combine des éléments classiques, tels que les broderies dorées, à une coupe contemporaine et audacieuse. Le résultat ? Un look à la fois sophistiqué et plein de caractère, qui reflète parfaitement l’esprit du Festival International du Film de Marrakech. Une tenue qui mêle harmonieusement élégance et originalité, et qui nous séduit à chaque détail.

(Photo by Antoine Flament/WireImage)

Nisrine Erradi : une explosion de couleurs sur le tapis rouge


L’actrice Nisrine Erradi, recompensée pour son rôle dans Everybody Loves Touda, a ébloui les spectateurs du Festival International du Film de Marrakech avec une tenue spectaculaire. Vêtue d’une robe aux teintes vibrantes de vert et de rouge, elle a su allier élégance et audace. Le détail jaune en bas de la robe a apporté une touche lumineuse et originale, créant un contraste saisissant avec le reste de la tenue. Son look, à la fois dynamique et sophistiqué, a parfaitement reflété sa personnalité rayonnante.

(Photo by Antoine Flament/WireImage)

Nisrine Erradi a également mis en valeur sa khmira noire perlée, un clin d’œil élégant à son dernier rôle dans Everybody Loves Touda, le dernier film de Nabil Ayouch, où elle incarne le personnage d’une cheikha, alliant ainsi parfaitement son style personnel et l’essence de son rôle à l’écran.

(Photo by Marc Piasecki/Getty Images)

Karima Gouit : Un total look rouge éclatant sur le tapis rouge

Karima Gouit a fait une apparition saisissante sur le tapis rouge du Festival International du Film de Marrakech dans un total look rouge, composé de trois pièces parfaitement coordonnées. Son tailleur rouge éclatant, à la coupe impeccable, mettait en valeur sa silhouette avec une élégance incontestable.

(Photo by Antoine Flament/WireImage)

Monica Bellucci : élégance absolue en noir et velours

Monica Bellucci a captivé tous les regards lors du tapis rouge du Festival International du Film de Marrakech avec sa longue robe noire élégante, sublimée par une cape en velours qui ajoutait une touche de mystère et de sophistication. Son look, à la fois classique et audacieux, mettait en valeur sa silhouette gracieuse tout en incarnant le raffinement et l’intemporalité. La cape en velours, majestueuse et fluide, apportait une dimension supplémentaire à sa tenue, faisant d’elle une véritable icône de style. Un choix parfait qui a marqué cette édition du festival.

. (Photo by Stephane Cardinale – Corbis/Corbis via Getty Images)

Emmanuelle Béart : un retour éclatant sur le tapis rouge avec cette robe qu’il faut absolument pour les fêtes de fin d’année !

Pour son grand retour au Festival International du Film de Marrakech après plusieurs années d’absence, Emmanuelle Béart a fait une entrée remarquée sur le tapis rouge. Vêtue d’une robe noir mi longu à perles à manches longgue, l’actrice a fait sensation. Sa tenue, à la fois élégante et intemporelle, mettait en valeur sa silhouette tout en lui offrant une allure raffinée et moderne. Une robe parfaite pour les fêtes de fin d’année, à la fois chic et facile à adopter, qu’on aimerait bien shopper pour briller de mille feux durant les célébrations. Un look tout en lumière qui a marqué cette édition du festival.

( Corbis/Corbis via Getty Images)

Melita Toscan Du Plantier : ce style audacieux et intemporel qu’on adore voir et revoir sur les tapis rouges

Melita Toscan Du Plantier a brillé au Festival International du Film de Marrakech avec un look à la fois chic et audacieux. Vêtue d’un costume noir façon XXL et d’une chemise blanche ultra glamour, elle a parfaitement incarné la tendance actuelle du tailoring oversize. Ce choix de tenue, à la fois élégant et décontracté, a captivé tous les regards, affirmant ainsi que le style androgynne reste incontournable sur les tapis rouges.

(Photo by Marc Piasecki/Getty Images)

Laila Aziz : L’incarnation du chic et du glamour sur le tapis rouge

Laila Aziz, fidèle à son sens du style impeccable, a une nouvelle fois brillée au Festival International du Film de Marrakech. Vêtue d’une sublime robe noire de sa collection, elle a prouvé qu’elle sait parfaitement allier chic et glamour pour chaque occasion. Les détails raffinés de la robe, associés à sa coupe élégante, mettaient en valeur la silhouette de l’actrice avec une grâce absolue.

(Photo by Marc Piasecki/Getty Images)

0 commentaires
0 PinterestEmail

« La place de la femme dans le cinéma marocain est en train d’évoluer », déclare Nadia Kounda, étincelante de grâce et de conviction lors de cette 23ᵉ édition du Festival international du film de Marrakech. Membre du jury international, l’actrice marocaine installée au Canada a marqué les esprits par sa présence magnétique.

Nadia Kounda, membre du jury de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech

Une apparition d’une élégance ravissante

Diablement glamour et sexy, Nadia Kounda a illuminé le tapis rouge dans une robe sublime au double esprit couture. Ce chef-d’œuvre de mode, à la fois fashion et près du corps, mettait en valeur son buste galbé avant de s’ouvrir sur une jupe très évasée en satin de soie, frôlant avec délicatesse le sol. Une ceinture en cuir soulignait sa taille fine, ajoutant une touche rock parfaitement en harmonie avec sa chevelure bouclée et délicieusement naturelle. Résolument, Nadia Kounda a incarné la princesse du cinéma marocain, alliant audace et élégance.

Nadia Kounda, membre du jury de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech

Une ambassadrice du cinéma marocain

En tant que membre du prestigieux jury international, Nadia Kounda a remis l’un des prix les plus attendus, célébrant des œuvres cinématographiques qui transcendent les frontières. Son rôle lors du palmarès souligne non seulement son talent, mais aussi la reconnaissance internationale de son parcours. Lors de son discours, elle a salué les nouveaux récits portés par des voix émergentes, tout en rappelant que « le cinéma est un miroir des sociétés, et il doit refléter la diversité et la force des femmes ».

Nadia Kounda, membre du jury de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech

Un portrait de femme engagée

Originaire du Maroc, Nadia Kounda a su imposer son style et son talent, que ce soit dans des productions marocaines emblématiques telles que L’Amante du Rif ou dans des œuvres internationales. Installée au Canada depuis plusieurs années, elle incarne une double culture qu’elle met au service d’histoires universelles. Actrice, productrice et militante pour une meilleure représentation féminine, elle s’attache à redéfinir les standards du cinéma marocain. Sa vision est claire : « La femme marocaine n’a jamais cessé d’être forte ; il est temps que le cinéma la reflète pleinement. ». Cette soirée, à la croisée de la mode, du glamour et de l’engagement, marque une étape importante dans le parcours de Nadia Kounda, véritable icône du cinéma contemporain.

Nadia Kounda, membre du jury de la 21ème édition du Festival international du film de Marrakech
0 commentaires
0 PinterestEmail

Le réalisateur présente son dernier film drapé d’un manteau à l’allure Matrix

Le Festival international du film de Marrakech continue de scintiller, accueillant ce sixième jour la première de Everybody Loves Touda, dernier opus de Nabil Ayouch. Le cinéaste marocain a une fois de plus marqué les esprits, foulant le tapis rouge drapé d’un long manteau noir à l’allure Matrix, subtilement agrémenté d’une touche marocaine, signé Ali Drissi. Ça tourne encore pour une histoire de cinéma qui fait parler d’elle.

Un style qui transcende les frontières

Que ce soit dans son cinéma ou son image sur les tapis rouges du monde entier, Nabil Ayouch fait preuve d’une esthétique affirmée. Son apparition lors du Festival international du film de Marrakech, dans une tenue à la fois avant-gardiste et enracinée dans le patrimoine marocain, reflète son approche artistique : fusionner modernité et tradition, tout en brisant les frontières. Avec ce tout dernier long métrage qui met à l’affiche Nisrine Erradi dans le rôle d’une « Cheikha », Ayouch franchit un nouveau cap dans sa longue carrière de cinéaste totalement engagé. Dans « Everybody Loves Touda », le réalisateur ne fait pas que raconter une histoire : il réaffirme son rôle de pionnier, pour un cinéma marocain sans tabous ni freins culturels, un cinéma qui lève très haut la voix universelle de l’amour, de l’émancipation et de la liberté.

Un film qui fait parler

Dans Everybody Loves Touda, Nabil Ayouch met à l’honneur les Cheikhates, figures féminines emblématiques de la musique marocaine. Ces femmes rebelles chantaient l’Aïta, un art traditionnel historiquement réservé aux hommes, et bravaient les interdits pour vivre de leur passion. Adulées par le passé, elles ont été reléguées au rang de femmes marginales dès les années 60/70. À travers son héroïne, Ayouch réhabilite leur héritage en célébrant leur courage et leur résilience. “Les Cheikhates m’ont toujours touché et interpellé. Elles incarnent une force qui me fascine, sans doute en écho à ma propre mère”, confie le réalisateur. Ce film, à la fois hommage et plaidoyer, replace ces femmes au cœur du récit, offrant une voix à celles qui ont été trop longtemps réduites au silence.

MARRAKECH, MAROC – 4 DÉCEMBRE : (De gauche à droite) Nabil Ayouch et Nisrin Erradi assistent au sixième jour de la 21ᵉ édition du Festival International du Film de Marrakech, le 4 décembre 2024, à Marrakech, Maroc. (Photo de Marc Piasecki/Getty Images)

Portrait d’un cinéma au service de l’humain

Nabil Ayouch n’est pas seulement un réalisateur, il est un conteur d’histoires profondément humaines. Son cinéma puise sa force dans l’authenticité des récits qu’il choisit de porter à l’écran. Refusant de détourner le regard face aux réalités complexes, il explore les marges, donne une voix aux oubliés, et offre une tribune aux luttes silencieuses. Chaque film de Nabil Ayouch est une immersion dans des univers riches, parfois troublants, mais toujours sincères. Depuis ses débuts, Nabil Ayouch s’attache à explorer les failles et les espoirs de la société marocaine. Ses œuvres, comme Much Loved (2015) ou Razzia (2017), interrogent les tabous et mettent en lumière des récits souvent occultés, avec un regard à la fois critique et empathique. « Les chevaux de Dieu (2012), par exemple, raconte avec une intensité saisissante le parcours de jeunes hommes devenus kamikazes, en mettant l’accent sur les mécanismes sociaux et psychologiques qui les conduisent à une telle radicalité. Ayouch réussit ici à humaniser des trajectoires souvent réduites à des clichés, tout en posant des questions qui dérangent.

Au-delà de son rôle de réalisateur, Ayouch est un militant culturel. Son engagement dépasse l’écran : il se bat pour démocratiser l’accès à la culture et au cinéma au Maroc, notamment à travers son projet « Les Étoiles de Sidi Moumen », un centre culturel qu’il a fondé en 2014. Ce lieu est devenu un véritable vivier de talents, offrant aux jeunes des quartiers défavorisés une opportunité de s’exprimer et de rêver. Cette démarche s’inscrit dans une vision plus large du rôle de l’art dans la société : pour Ayouch, le cinéma est un outil de transformation sociale, un miroir tendu à une société en quête de changement, à la croisée des influences locales et internationales.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Le Festival International du Film de Marrakech ne se limite pas à célébrer le septième art : c’est aussi une ode à l’amour. Cette année, les projecteurs se sont braqués sur plusieurs couples emblématiques, véritables incarnations de complicité et de romance.

Monica Bellucci et Tim Burton : une romance cinématographique

Toujours main dans la main sur le tapis rouge, Monica Bellucci et Tim Burton ont une nouvelle fois charmé les spectateurs. Entre regards complices et sourires échangés, leur passion commune pour le cinéma les unit dans une alchimie parfaite. Véritables icônes, ils incarnent un couple fusionnel où l’art et l’amour se mêlent avec élégance.

MARRAKECH, MAROC – 30 NOVEMBRE : Tim Burton et Monica Bellucci assistent à la Cérémonie d’Hommage à Sean Penn lors de la deuxième journée de la 21e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 30 novembre 2024 à Marrakech, Maroc. (Photo par Stephane Cardinale – Corbis/Corbis via Getty Images)

Nezha Regragui et Bachir Abdou : le couple solide

La grande actrice Nezha Regragui et son époux, le chanteur Bachir Abdou, brillent par leur complicité inébranlable. Parents de Saad Lamjarred, ils ont illuminé le festival par leur présence chaleureuse et leur solidité exemplaire. Radieux, ils témoignent que l’amour peut traverser le temps tout en restant lumineux.

MARRAKECH-29 NOVEMBRE (Photo: Marc Piasecki/Getty Images)

Sana Mouziane et Alan Dearsley : une histoire digne d’un conte de fées

L’actrice marocaine Sana Mouziane et son mari britannique Alan Dearsley, avec qui elle s’est unie le jour de la Saint-Valentin 2013 dans un palace londonien, incarnent le raffinement et la tendresse. Leur histoire, qui a débuté dans un cadre enchanteur, continue de faire rêver, illustrant une union entre deux cultures et deux cœurs.

MARRAKECH-29 NOVEMBRE (Photo: Marc Piasecki/Getty Images)

Sean Penn et Valeria Nicov : l’amour officialisé

Sur le tapis rouge du FIFM, Sean Penn a surpris tout le monde en officialisant sa relation avec l’actrice et mannequin Valeria Nicov. L’éternel rebelle, au grand cœur, semblait plus apaisé que jamais aux côtés de sa compagne. Leur apparition a marqué une belle parenthèse romantique lors du festival.

MARRAKECH, MAROC – 30 NOVEMBRE : Sean Penn et Valeria Nicov assistent à la Cérémonie d’Hommage à Sean Penn lors de la deuxième journée de la 21e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 30 novembre 2024 à Marrakech, Maroc. (Photo par Stephane Cardinale – Corbis/Corbis via Getty Images)

Au-delà des projecteurs et des paillettes, ces couples rappellent que l’amour est une étoile intemporelle, capable d’illuminer même les nuits les plus prestigieuses.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Melita Toscan du Plantier, directrice du festival, a partagé au micro de HOLA MAROC une déclaration empreinte de tendresse à l’égard de son amie de longue date, l’illustre Monica Bellucci.

« Monica est une magnifique étoile. C’est une femme que je connais depuis 30 ans, exceptionnelle et généreuse. Elle a tellement de talents », a confié Melita avec émotion. Ces mots traduisent non seulement une profonde admiration mais aussi une complicité forgée par les années.

Monica Bellucci, grande amoureuse du Maroc, ne manque jamais une occasion de témoigner de son attachement à ce pays. Cette année, elle a même joué un rôle clé en invitant son compagnon, Tim Burton, à participer au festival. « C’est elle qui m’a appelée pour demander si elle pouvait venir avec Tim Burton. J’ai dit : “Mais oui, bien sûr ! Il faut absolument qu’il vienne faire une masterclass de cinéma, on l’attend depuis 24 ans. »

En seulement 15 minutes, le célèbre réalisateur de L’Étrange Noël de Monsieur Jack et Edward aux mains d’argent a accepté l’invitation, témoignant de l’attraction du FIFM et de l’influence de Monica Bellucci et Melita Toscan du Plantier.

« Nous sommes très fiers de les avoir cette année », a conclu Melita, rayonnante de joie. Ce moment fort illustre une fois de plus comment le FIFM ne se limite pas à la célébration du cinéma : il est aussi un espace de rencontres, de passions partagées et d’amitiés précieuses.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Le Festival International du Film de Marrakech est une véritable vitrine de l’élégance, où le cinéma rencontre la culture, et où les tenues les plus somptueuses prennent place sur le tapis rouge. Depuis le début de l’édition 2024, un vêtement en particulier a captivé l’attention : le caftan marocain.

Symbole incontestable de la beauté et du raffinement du patrimoine marocain, le caftan s’est imposé comme une pièce maîtresse des apparitions sur le tapis rouge. Avec ses broderies délicates, ses tissus somptueux et ses coupes majestueuses, il n’est pas seulement un vêtement, mais une véritable œuvre d’art.

MARRAKECH, MAROC – 30 NOVEMBRE : Nabila Kilani assiste à l’hommage rendu à Sean Penn lors de la deuxième journée de la 21e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 30 novembre 2024 à Marrakech, Maroc. (Photo par Antoine Flament/WireImage)

Plus qu’une simple tradition, le caftan est devenu un phénomène de mode mondial, célébré par des célébrités nationales mais aussi internationales qui n’hésitent pas à arborer ces créations époustouflantes, rendant hommage à l’artisanat marocain.

MARRAKECH, MAROC – 29 NOVEMBRE : L’actrice Egyptienne Yousra assiste à la cérémonie d’ouverture de la 21e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 29 novembre 2024 à Marrakech, Maroc. (Photo par Abu Adem Muhammed/Anadolu via Getty Images)

Un tapis rouge éblouissant de tradition et de modernité

Au fil des jours, plusieurs figures du cinéma et de la mode ont fait sensation en portant des caftans d’une beauté saisissante. Chaque robe, qu’elle soit ornée de fils d’or, de pierres précieuses ou de motifs traditionnels, met en lumière le talent des artisans marocains, mais aussi l’influence de la culture marocaine sur la scène internationale.

De nombreuses célébrités ont brillé sur le tapis rouge du FIFM 2024 en optant pour le caftan comme Farah El Fassi, Melita Toscan du Plantier, Samia Akariou et Nadia Kounda,… etc, ont choisi cette tenue traditionnelle marocaine, ajoutant une touche d’élégance et de raffinement à l’événement. Leur présence a magnifiquement illustré la beauté intemporelle du caftan.

MARRAKECH, MAROC – 30 NOVEMBRE : La membre du jury Nadia Kounda assiste à l’hommage rendu à Sean Penn lors de la deuxième journée de la 21e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 30 novembre 2024 à Marrakech, Maroc. (Photo par Antoine Flament/WireImage)

Les créateurs marocains ne cessent d’innover, tout en respectant l’essence même du caftan. Avec des broderies méticuleusement réalisées à la main et des tissus aux couleurs éclatantes, chaque caftan raconte une histoire, celle d’un savoir-faire ancestral transmis de génération en génération. C’est cette richesse et cette diversité des créations qui rendent chaque apparition sur le tapis rouge unique et inoubliable.

MARRAKECH, MAROC – 29 NOVEMBRE : Asmae El Moudir assiste à la cérémonie d’ouverture de la 21e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 29 novembre 2024, à Marrakech, Maroc. (Photo par Antoine Flament/WireImage). L’année dernière, Asmae El Moudir a été couronnée de l’Étoile d’Or, un prix prestigieux qu’elle a reçu pour récompenser son talent et sa contribution au cinéma.

Un tapis rouge qui brille de mille feux

Chaque année, les stars du cinéma et de la mode redoublent d’imagination pour impressionner, mais le caftan reste incontestablement l’un des éléments les plus captivants du FIFM. Qu’il soit porté lors des soirées de gala ou des cérémonies officielles, il vole la vedette à chaque passage. Dans les créations modernes comme dans les plus classiques, il illumine les personnalités qui le portent, créant une véritable alchimie entre mode, cinéma et culture marocaine.

MARRAKECH, MAROC – 29 NOVEMBRE : Ibtissam Laaroussi assiste à la cérémonie d’ouverture et à la projection de « The Order » lors de la 21e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 29 novembre 2024 à Marrakech, Maroc. (Photo par Marc Piasecki/Getty Images)

Ainsi, le FIFM 2024 n’a pas seulement célébré le cinéma, il a aussi été un véritable hommage à l’élégance intemporelle du caftan marocain, porté fièrement par les plus grandes célébrités du monde entier. Les tapis rouges ont ainsi été une véritable parade de beauté et de tradition, un défilé de haute couture où chaque caftan a été un véritable chef-d’œuvre à part entière.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Depuis 21 ans, le Festival International du Film de Marrakech (FIFM) est bien plus qu’un rendez-vous cinématographique. Il est une célébration culturelle portée par des figures emblématiques, à commencer par Melita Toscan du Plantier, dont l’élégance et la passion incarnent l’esprit de cet événement unique.

Cette année encore, Melita Toscan du Plantier a fait sensation sur le tapis rouge en portant un somptueux caftan noir et argenté, une tenue qui témoigne de son respect et de son affection pour la culture marocaine. Ce choix vestimentaire n’est pas anodin. En optant pour le caftan, Melita rend hommage à l’héritage traditionnel marocain, mêlant raffinement et modernité. Elle illustre ainsi à merveille le lien intime qui unit ce festival au Maroc, terre d’accueil du cinéma mondial.

MARRAKECH, MAROC – 30 NOVEMBRE : Melita Toscan du Plantier assiste à l’hommage rendu à Sean Penn lors de la deuxième journée de la 21e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 30 novembre 2024 à Marrakech, Maroc. (Photo par Antoine Flament/WireImage)

Une histoire d’amour de 21 ans avec le FIFM

Melita Toscan est l’une des architectes du succès du FIFM, un projet qu’elle a co-fondé avec son époux, le regretté Daniel Toscan du Plantier, sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le fondateur du Festival. Dès ses débuts, le festival s’est affirmé comme une plateforme majeure de dialogue culturel et de promotion du septième art à l’échelle internationale.

Le Prince Moulay Rachid du Maroc et la directrice du Festival de Marrakech, Melita Toscan du Plantier, arrivent à la 11e édition du Festival International du Film de Marrakech, le 9 décembre 2011. PHOTO AFP / VALERY HACHE (Crédit photo : VALERY HACHE/AFP via Getty Images)

Aujourd’hui, en tant que directrice et conseillère auprès du président de la Fondation du FIFM, SAR le Prince Moulay Rachid, Melita continue d’incarner l’âme du festival. Son expertise, sa vision et son engagement constant font d’elle une figure centrale de cet événement.

Le rôle clé de SAR le Prince Moulay Rachid

L’attachement profond de SAR le Prince Moulay Rachid au Festival contribue également à son rayonnement. Véritable cinéphile et expert en cinéma, il visionne chaque film avec un regard affûté et partage des analyses qui enrichissent la sélection officielle. Cet engagement personnel souligne l’importance qu’accorde la famille royale marocaine à l’excellence artistique et à la valorisation de la culture cinématographique.

SAR le Prince Moulay Rachid et Melita Toscan du Plantier assistent au dîner de gala de la 9e édition du Festival de Marrakech au Palais des Congrès, le 4 décembre 2009 à Marrakech, Maroc. (Photo par Toni Anne Barson Archive/WireImage)

Melita Toscan du Plantier : une femme au cœur du rayonnement culturel

L’investissement de Melita Toscan du Plantier dans le FIFM dépasse largement les aspects organisationnels. Elle est une ambassadrice passionnée, insufflant son énergie et son amour du cinéma dans chaque édition. Son rôle a permis de transformer ce festival en un rendez-vous incontournable pour les talents du monde entier, tout en célébrant l’hospitalité et la richesse culturelle du Maroc.

MAROC – 12 NOVEMBRE : Soirée pour le Festival International du Film de Marrakech au Palais Royal, le 12 novembre 2005, à Marrakech, Maroc. Ici, le Prince Moulay Rachid et Melita Toscan du Plantier. (Photo par Serge BENHAMOU/Gamma-Rapho via Getty Images)

Alors que le FIFM poursuit son aventure en 2024, Melita reste l’une de ses figures les plus emblématiques. Par son élégance, son professionnalisme et sa dévotion, elle continue d’écrire l’histoire de ce festival, confirmant son statut de joyau du paysage cinématographique international.

0 commentaires
0 PinterestEmail

La 21ème édition du Festival International du Film de Marrakech a débuté le 29 novembre, en la présence d’artistes et de stars du Maroc et du monde.

Un jury aux parcours inspirants

Sous la présidence du grand réalisateur, scénariste et producteur italien Luca Guadagnino, la team jury est composée de Patricia Arquette (USA), Andrew Garfield (USA, Grande-Bretagne), Zoya Akhtar (Inde), Ali Abbasi(Iran), Virginie Efira (Belgique), Santiago Mitre (Argentine), Nadia Kounda (Maroc), Jacob Elordi (Australie).Les membres du jury ont accordé deux heures aux journalistes venus des quatre coins du monde et ont répondu aux nombreuses questions tournées sur l’actualité et sur les différents mécanismes de création et de réalisation des films.Ali Abbassi, réalisateur iranien a soulevé l’importance d’un festival comme le FIFM dans les pays d’Afrique et le Monde Arabe : « « Cannes et Venise ont beaux être de très grands festivals, on y sent toujours une prédominance occidentale, avec des sujets et des préoccupations qui ne sont pas forcément mis en avant, encore moins débattus. J’espère voir beaucoup plus de festivals comme celui-ci, en Afrique et dans le Monde Arabe. » 

Une compétition à couper le souffle

La 21ème édition du FIFM, qui s’est ouverte avec un thriller policier, signé Justin Kurzel, propose 14 premiers et seconds films en compétition officielle.Les cinq continents sont représentés, à travers une sélection impressionnante.Nous avons rendez-vous avec « One of those days whenHemme Dies » du réalisateur turc Murat Firatoglu, ou encore « Soudan, souviens toi », de Hind Meddeb ; « Under the Volcano » de Damien Kocur ; « Happy Holidays » du palestinien Scandar Copti ; « The Wolves Always Come at Night » de Gabrielle Brady (Mongolie) ; « The Cottage » de Silvina Schnicer (Argentine) ; « Perfumed with Mint » de Muhammed Hamdy (Egypte) ; « Les Tempêtes de Dania »Reymond-Boughenou (Algérie) ; « Happyend » de Neo Sora (Japon) ; « Bound in Heaven » de Huo Xin (Chine)…

Les conversations à cœur ouvert

Rendez-vous incontournable au sein de la programmation officielle du FIFM, les Conversations proposent des échanges entre de grands noms du cinéma mondial et un parterre de passionnés, de curieux et de professionnels du secteur.Pour cette édition, de véritables maestros ont répondu à l’appel : Sean Penn, David Cronenberg, François Ozon, Justine Triet, Alfonso Cuarón, Tim Burton,Todd Haynes, Walter Salles, Mohammad Rasoulof et enfin Abderrahmane Sissako…Les échanges avec des passionnés du cinéma, auront lieu chaque jour, afin de partager passion, curiosité, mais aussi expériences et anecdotes.

0 commentaires
0 PinterestEmail

Couple de perfection, en quête du renouveau et du sensationnellement artistique, Nadia Benzakour et Soufiane El Khalidy nous rappelleraient presque Ema Stone et Ryan Goslin dans La La Land ! Fusionnels et passionnés l’un pour l’autre et pour le cinéma, ils se livrent aux jeux des témoignages croisés.

Nadia Benzakour et Soufiane El Khalidy sur le tapis rouge du FIFM 2023
  • « Arrivée par avion » est en représentation depuis plusieurs mois, jusqu’à quel point aimez-vous le théâtre ?

J’ai toujours aimé les deux, la scène, la respiration, la puissance du moment et puis la caméra : le détail du mouvement, de la subtilité de l’action.

  • Le FIFM pose déjà ses podiums à Marrakech, qu’avez-vous préparé pour le tapis rouge ?

Tout dépend de la température ! Même si les spotlights nous font oublier la fraîcheur des nuits de Marrakech, ce que je peux vous dire c’est que ce sera soit du rouge glamour ou bien une tenue noir velours…

  • Et votre mari, il est enthousiasmé de défiler à vos côtés en smoking ?

Soufiane. Notre première fois au festival de Marrakech, j’avais voulu rendre hommage à mes héros d’enfance que sont Steve Mcqueen, Paul Newman et Tom Cruise, ainsi que des films cultes comme Top Gun, Winning, Rush, Grand Prix et Le Mans, en portant une jumpsuit blue. Je voulais annoncer la couleur aux yeux du monde sur qui j’étais et quelles sont mes inspirations. Cette année, je vais peut-être me mettre au smoking (rires) En espérant qu’un jour un producteur anglais ou américain me remarque et m’offre un rôle principal dans les prochains James Bond, Mission Impossible, Ocean’s Eleven et John Wick (Rires).

« Même si les spotlights nous font oublier la fraîcheur des nuits de Marrakech, ce que je peux vous dire c’est que ce sera soit du rouge glamour ou bien une tenue noir velours… »

Nadia Benzakour sur le tapis rouge du FIFM 2023
  • Quelle question auriez-vous voulu qu’on vous pose et quelle en serait la réponse ?

A quand la production sur grand écran de votre pièce « Arrivée par Avion » le film écrit par Soufiane « The Arab Stuntmen » ainsi que son nouveau roman fantastique, inspiré de son scénario primé « Juke Box Zero »? Réponse : “work in progress” le rendez vous marocain y aidera certainement!

Soufiane. T’étais nominé comme meilleur jeune réalisateur, acteur et scénariste dans plusieurs pays à travers le monde, ce Novembre à Toronto au Widescreen Film Fest pour ton scénario « Just Like You Imagined » Quand vas-tu le produire ? Réponse : le CCM (Centre cinématographique marocain) et le ministère de la culture ont les clés. J’attends pour l’instant, mais je n’attendrais pas toute ma vie.

Soufiane El Khalidy
  • Une question anecdotique inoubliable sur un tapis rouge ?

Soufiane. J’ai été invité en 2017 au CineFashion Film Awards à Los Angeles en tant que jeune talent prometteur. Après la fin de la cérémonie, j’ai pu saluer et échanger avec plusieurs stars dont Carmen Elektra d’Alerte à Malibu, Samuel L. Jackson et Akon. Nous étions tous les deux invités au 25ème anniversaire de la fête du trône et sa Majesté le Roi Mohammed VI était à 1 mètre de moi, c’était épique et digne de la fin du film culte de Tom Cruise « Le Dernier Samourai ». Je n’oublierai pas aussi notre fameux bisou sur le tapis rouge de Marrakech juste après notre mariage à Tanger en octobre 2022.

  • Et si vous étiez arrivée par bus ou alors par un jet privé ?

Nadia. Ah les bus…! Même confort, j’avoue que ce n’est pas mon mode de transport préféré. En jet privé, ultra privé, je ne peux pas vous dire, pas encore fait ! (haahahha)

Soufiane. Si c’est en bus, je resterai chez moi.  Je pense que nous deux étant des ambassadeurs du cinéma à l’international, on mérite le même traitement que nos confrères étrangers. On a étudié dans les meilleures institutions d’Hollywood et on s’est sacrifiés à des milliers de kilomètres loin de nos familles pour faire ce beau métier qui est d’ailleurs une compétition permanente. On a tourné avec les plus grands, on n’a plus rien à prouver !

0 commentaires
0 PinterestEmail
Are you sure want to unlock this post?
Unlock left : 0
Are you sure want to cancel subscription?

Ce site utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que vous êtes d'accord avec cela, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. Accepter Lire Plus

Politique de confidentialité & de cookies
-
00:00
00:00
Update Required Flash plugin
-
00:00
00:00