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HOLA! MAROC

Mohamed Zineddine prépare son nouveau film, Until Dawn, une œuvre qu’il décrit comme « une plongée sensorielle dans la mémoire d’un adolescent », et qui s’annonce comme l’une des propositions cinématographiques les plus attendues des prochains mois.

Inspiré du roman Tentative de vie de Mohamed Zefzaf, le film prolonge une rencontre vieille de trente ans. « En 1992, j’ai eu la chance de rencontrer Mohamed Zefzaf chez lui à Casablanca, avec l’intention de réaliser un documentaire sur lui », raconte Mohamed Zineddine. « Pendant plus de cinq heures d’entretien, je n’ai pas osé prendre la moindre note tant j’étais captivé par ses paroles. De cette rencontre est né le scénario de mon tout premier film, Réveil. » Aujourd’hui, Until Dawn devient l’occasion de poursuivre ce dialogue intime avec l’écrivain, en transposant son univers « sans rien altérer de sa force, de sa fièvre et de sa poésie ».

Le film se situe dans les années 1970, une décennie qui, pour le cinéaste, porte à la fois « les stigmates, les atmosphères et les fractures » du Maroc d’hier, mais aussi les racines de celui d’aujourd’hui. « Nous avons grandi dans un climat lourd, marqué par les grèves, les tensions politiques, sociales et économiques… Cette époque a façonné notre regard sur le monde : elle nous a appris la défiance, la lucidité mais aussi une forme de résistance intérieure ».

Pour traduire cette mémoire, le réalisateur mise sur une expérience sensorielle brute. « La lumière, le son et les lieux deviennent des prolongements de l’état émotionnel des personnages », explique-t-il. Pas de musique illustrative ici : l’acoustique se veut réaliste, rugueuse, pour « permettre au spectateur de ressentir la matière même du réel, plutôt que de le tenir à distance ». Chaque décor, du port aux bars saturés de jazz et de bruit, doit « résonner avec l’état intérieur des personnages », jusqu’à devenir un acteur à part entière.

La distribution est pensée dans le même esprit. Pour Hamid, le jeune protagoniste, Zineddine cherche un visage inconnu, « svelte, au visage innocent, doux, presque angélique », capable de mêler fragilité et courage, candeur et révolte. Le duo qu’il forme avec Ghenou, la prostituée, « sera au cœur de l’émotion du film »

Après La Guérisseuse, qui avait connu un bel écho international, Zineddine voit Until Dawn comme une aventure humaine autant qu’artistique : « Il s’agira de rassembler une soixantaine de personnes… et de les convaincre de s’engager pleinement dans cette aventure. Le plaisir réside dans cette alchimie : parvenir à fédérer ces énergies diverses autour d’une vision commune »

Avec ce projet, le réalisateur rend aussi hommage à Zefzaf, « un écrivain profondément intègre, qui n’a jamais cherché ni la gloire ni l’argent ». S’il ne prétend pas « ouvrir une voie vers la littérature marocaine » pour les autres cinéastes, il assume une démarche avant tout personnelle, un dialogue intime entre texte et cinéma, où la mémoire et la poésie s’entrelacent jusqu’à l’aube.

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À seulement 28 ans, Hiba Baddou s’impose comme l’une des artistes marocaines les plus prometteuses de sa génération. Son univers, nourri de poésie visuelle et de références rétrofuturistes, investit aujourd’hui le Musée d’Art Contemporain Africain Al Maaden (MACAAL) de Marrakech. Du 12 septembre au 7 décembre 2025, son exposition individuelle Paraboles, une odyssée hertzienne transforme l’Artist Room en véritable laboratoire d’images et de perceptions.

Paraboles, quand un couscoussier devient antenne

Photographies, calligraphies, installations et un court-métrage composent cette odyssée poétique. Fidèle à son style, Hiba détourne les objets du quotidien pour interroger nos nouveaux rituels. Ici, un couscoussier devient antenne, ailleurs une sculpture capte des ondes invisibles. Des gestes ordinaires prennent alors une dimension sacrée, témoin d’une mémoire collective réinventée. Motif central de son œuvre, l’antenne parabolique incarne cette tension entre modernité numérique et racines culturelles, entre flux globalisés et spiritualité intime.

Une artiste entre images et identités

Née en 1997 à Rabat, Hiba Baddou s’est formée à l’EICAR à Paris, où elle a reçu plusieurs prix pour ses travaux de réalisation et de photographie, avant de poursuivre un master à Penninghen en direction artistique. Son travail explore l’identité, les rituels et les langages, avec une esthétique singulière où le Maroc dialogue avec l’imaginaire numérique. Son projet Paraboles (2024), primé par la Saatchi Gallery et présenté à la Biennale de Dakar, l’a propulsée sur la scène internationale. À côté de ses expositions, elle collabore en tant que directrice artistique avec des musiciens tels que David August, Manu Chao ou Amadou & Mariam, et développe une recherche plastique autour de la peinture, de la performance et d’un “alphabet imaginaire” inspiré des ondes hertziennes.

Le MACAAL, écrin d’art africain contemporain

En accueillant cette exposition, le MACAAL confirme son rôle pionnier : rendre l’art contemporain africain accessible au plus grand nombre, tout en révélant la diversité et l’énergie créatrice du continent. Musée indépendant et à but non lucratif, il met en avant autant les talents émergents que les artistes confirmés, et s’impose comme un lieu de dialogue entre héritage culturel, modernité et enjeux globaux. Avec l’Artist Room, le MACAAL offre une scène intimiste et pointue aux artistes contemporains.

Une résistance poétique

Avec Paraboles, une odyssée hertzienne, Hiba Baddou signe une forme de résistance face à la saturation d’images et d’informations. Son art invite à ralentir, à observer, à ressentir.
Une exposition comme une respiration, où l’imaginaire devient un outil d’émancipation.

À découvrir du 12 septembre au 7 décembre 2025 au MACAAL, Marrakech.

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Le 14 septembre prochain, Marrakech vivra un moment aussi glamour qu’inédit. Sur le rooftop d’Akira Back à M Avenue, le tricycle électrique LÁMPAGO fera son entrée officielle dans la ville rouge. Plus qu’un simple lancement, c’est une déclaration d’élégance et d’audace, où la mobilité durable s’offre un écrin digne de son ambition.

Né à Istanbul, LÁMPAGO a déjà séduit Dubaï et Miami avant de poser ses roues à Marrakech. Avec son design inspiré des Vespa italiennes et des voitures de collection des années 50–60, il évoque la dolce vita autant qu’un futur responsable. Construit à la main, 100 % électrique et éco-friendly, ce tricycle rétrochic incarne une vision : transformer chaque déplacement en une expérience unique, où l’utile se mêle au beau, et où la vitesse maîtrisée devient un luxe.

Cette vision trouve une alliée naturelle en Ghita Lahmamssi. Égérie officielle, elle incarne l’élégance moderne, l’authenticité et le raffinement qui font écho à l’esprit LÁMPAGO. À ses côtés, l’objet roulant devient une image culte, une signature qui dépasse le simple cadre de la mobilité pour s’inscrire dans l’univers du lifestyle.

Le choix de M Avenue n’est pas anodin. Véritable carrefour du luxe, de la culture et de l’innovation, cette adresse incontournable s’impose comme le lieu idéal pour accueillir une icône internationale. Le lancement promet une soirée à l’image du projet : exclusive et raffinée, avec un cocktail dînatoire signé Akira Signature, une performance de Kaoutar Sadik, un DJ set et même des essais privés du véhicule.

Derrière cette élégance se cache un savoir-faire pointu : celui du JURA Group, qui porte la fabrication et l’excellence des finitions. Distribué au Maroc par Exotic Vintage Cars, le LÁMPAGO se veut un compagnon de vie autant qu’un objet de collection, disponible à partir de 150.000 DHS et personnalisable selon les envies.

« No more grrr… just WOW. LÁMPAGO. » Le slogan résonne comme un manifeste. Plus qu’un véhicule, c’est une icône de luxe durable, une œuvre roulante qui s’apprête à donner à Marrakech une nouvelle allure : celle d’une capitale mondiale du style responsable.

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Le Bhoutan a célébré ce 25 août 2025 un mariage royal d’exception. Le prince Jigyel Ugyen Wangchuck, fils du Quatrième Druk Gyalpo Jigme Singye Wangchuck et de la Reine Mère Ashi Dorji Wangmo Wangchuck, a épousé Ugen Choden Namgyel, fille de Monsieur Singye Namgyel et de Madame Tshering Lhamo.

©Bhutan’s Royal Household

La cérémonie s’est tenue au Palais de Dechencholing à Thimphu, en présence du Roi, du Quatrième Druk Gyalpo et de Sa Sainteté le Je Khenpo, qui ont accordé leurs bénédictions sacrées aux jeunes mariés.

Diplômé de l’Université d’Oxford et de l’INSEAD, le prince incarne une nouvelle génération royale engagée. Depuis 2009, il sert le pays en tant que Président du Comité Olympique du Bhoutan, Vice-Président du Conseil Olympique d’Asie et membre du Comité International Olympique.

Un mariage qui unit tradition, modernité et spiritualité au cœur du royaume himalayen.

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62 ans aujourd’hui : l’occasion de célébrer le “Made in Morocco” selon Sa Majesté le Roi Mohammed VI, au-delà des symboles traditionnels du royaume et de son artisanat emblématique.

Le roi Mohammed VI est le premier ambassadeur du Made in Morocco. Entre costume haute couture impeccablement taillé et djellaba traditionnelle réinventée, il illustre un mélange unique de modernité et de tradition. Mais son influence va bien plus loin que le style : il a fait du Maroc un modèle politique, économique et culturel, inspirant le Maghreb, l’Afrique et le monde arabe. Audacieux, visionnaire et stratégique, il transforme chaque initiative en rayonnement international, faisant de son pays un allié stratégique de premier plan pour les grandes nations.

Le Made in Morocco est d’abord humain

Depuis son investiture, le roi Mohammed VI ne cesse de valoriser les Marocains du monde. Il met en lumière leurs talents et souligne leur rôle essentiel dans le rayonnement international du royaume. Qu’il s’agisse des arts, des sciences, de la politique ou de l’entrepreneuriat, chaque succès marocain à l’étranger reflète l’excellence et la créativité de la nation. Pour le Roi, le Made in Morocco est d’abord humain, il le rappelle régulièrement dans ses discours, à l’image de celui commémorant le 49ᵉ anniversaire de la Marche Verte, où il a salué la contribution de la diaspora au prestige et à l’influence du Maroc à l’international.

Le Made in Morocco, ancré dans son ADN africain

Depuis son discours historique en 2005 sur le “retour aux racines africaines”, le roi Mohammed VI a fait du Maroc un pont entre l’Afrique et le monde. Le pays s’impose comme un acteur clé du développement continental, grâce à ses relations économiques et culturelles solides et à son engagement politique fort. Le Made in Morocco devient ainsi un symbole de rayonnement africain et de soft power international.

Le Made in Morocco, audace et résilience

Le Maroc a toujours su transformer les obstacles en opportunités. La LGV, inaugurée en 2018, a marqué une étape majeure dans la modernisation des infrastructures nationales, tandis que la rénovation des routes, ports et villes comme Tanger et Casablanca a renforcé la compétitivité du pays. Face à la crise du Covid-19, le royaume a fait preuve de résilience, en accélérant ses réformes économiques et en adaptant ses projets pour maintenir le développement et la dynamique de transformation. L’audace de Sa Majesté Mohammed VI continue de propulser le Maroc vers de nouveaux sommets.

Innovation, technologie et ambition

Le Made in Morocco ne se limite pas à la culture et aux infrastructures. Le royaume investit dans l’aéronautique, les technologies émergentes, et l’innovation sociale. Le Maroc devient ainsi un laboratoire d’expériences novatrices et un modèle inspirant pour les nations voisines.

Made in Morocco, vision durable et environnementale

Le Made in Morocco s’affirme aussi comme un pionnier du développement durable, des énergies renouvelables et de l’économie verte. Sous le leadership de Sa Majesté le roi Mohammed VI, le Maroc a su transformer ces enjeux en véritables opportunités pour le pays et pour l’Afrique. Le Programme Maroc Vert modernise l’agriculture en favorisant des pratiques durables, l’irrigation intelligente et la valorisation des filières locales, tout en renforçant l’économie rurale. Le complexe solaire Noor, emblème de l’énergie propre, illustre la capacité du Maroc à allier innovation technologique et respect de l’environnement. Grâce à ces centrales solaires, le pays s’impose comme un leader mondial des énergies renouvelables. La Fondation Mohammed VI pour la Protection de l’Environnement complète ce dispositif en sensibilisant la population à la biodiversité, à la lutte contre le changement climatique et à la préservation des ressources naturelles. Ces initiatives démontrent que le Made in Morocco est aujourd’hui un modèle durable, où audace, modernité et responsabilité écologique convergent pour faire rayonner le Maroc à l’international.

Le Maroc sur le terrain mondial : football et rayonnement international

De la Coupe du Monde Qatar 2022 qui a vu s’illustrer l’équipe nationale de football en demi-finale, aux préparatifs pour 2030, le Maroc a fait parler de lui dans le monde entier. Le sport devient un vecteur de fierté nationale, un exemple de diplomatie douce et un moteur pour le rayonnement du Made in Morocco.

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L’aventurier des mers Hassan Baraka vient d’inscrire une nouvelle ligne prestigieuse à son palmarès. Vendredi dernier, il a réussi l’exploit du tour de l’île de Manhattan à la nage, soit un périple de 48,5 km bouclé en 9 heures et 53 minutes. Une performance historique qui fait de lui le premier Marocain à accomplir ce défi mythique de la natation en eau libre.

Le Maroc sur la carte des grandes traversées

L’épreuve, connue sous le nom de 20 Bridges Swim, fait partie du circuit des grandes traversées emblématiques de la World Open Water Swimming Association (WOWSA). Elle traverse trois rivières – Hudson, East et Harlem – et passe sous vingt ponts, dont le légendaire Brooklyn Bridge, offrant aux nageurs un panorama unique sur les sites emblématiques de New York.

« J’ai l’honneur de représenter le Maroc et d’inscrire le nom du Royaume dans le cadre de ces exploits », a confié Hassan Baraka à la MAP. Pour lui, la natation en eau libre est autant une épreuve sportive qu’une expérience symbolique, celle de porter les couleurs de son pays dans les compétitions les plus exigeantes au monde.

Une carrière jalonnée de premières

Ce nouveau défi new-yorkais vient confirmer le statut de pionnier d’Hassan Baraka, dont la carrière est une succession de « premières » pour le Maroc :

  • Premier Marocain à traverser la Manche en juillet 2024, considérée comme « l’Everest de la natation ».
  • Détenteur d’un Guinness World Record pour la traversée la plus rapide de la mer Rouge, entre l’Égypte et l’Arabie Saoudite.
  • Plus jeune nageur au monde à avoir relié à la nage les cinq continents (2014).
  • Premier Marocain au championnat du monde de natation en eau glacée (2019).
  • Premier Marocain à nager 500 mètres au Pôle Nord sans combinaison néoprène (2022).
  • Lauréat de la Ice Triple Crown en 2023, une distinction rarissime dans l’univers de la natation extrême.

À ces exploits s’ajoute une série d’épreuves hors normes, allant du World Marathon Challenge (sept marathons sur sept continents en sept jours, en 2016) à l’Ultraman (10 km de natation, 421 km de vélo et 84 km de course à pied, en 2019).

La force du mental avant tout

S’il reconnaît une solide préparation physique, Hassan Baraka souligne que 80 % de la réussite dépend du mental. Face aux courants puissants, au froid, aux longues heures d’isolement dans l’eau, seule une volonté de fer permet de poursuivre.

Cette discipline extrême est devenue sa signature : repousser sans cesse les limites du possible, dans les océans glacés comme dans les détroits redoutés des nageurs du monde entier.

Après avoir brillé ces trois dernières années dans les longues distances, Hassan Baraka annonce son intention de renouer avec sa spécialité de cœur : la nage en eau glacée. Il prépare déjà sa participation au premier Championnat d’Afrique en eau glacée, prévu en février 2026.

Avec le tour de Manhattan, Hassan Baraka confirme qu’il n’est pas seulement un nageur d’exception, mais un ambassadeur du sport marocain à l’international. Chaque exploit devient une manière d’inscrire le Maroc sur la carte mondiale des grandes traversées et d’inspirer une nouvelle génération d’athlètes.

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En recevant les membres de la sélection nationale féminine de football lors de la réception royale à M’diq pour la Fête du Trône, Sa Majesté le Roi Mohammed VI rend hommage au parcours exceptionnel de ces sportives et, à travers elles, à toutes les femmes du Royaume. Une image puissante, à la croisée du symbole et de l’avenir.

Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L’assiste, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et de SAR le Prince Moulay Rachid, a présidé, mercredi après-midi à la Place de la préfecture de M’diq-Fnideq, une réception à l’occasion du 26e anniversaire de Son intronisation.
Aux côtés des hautes figures institutionnelles, militaires, religieuses et diplomatiques venues présenter leurs vœux au Souverain, une présence a particulièrement retenu l’attention : celle des Lionnes de l’Atlas, honorées pour leur brillant parcours lors de la CAN féminine 2024.
La photo officielle du Souverain entouré de la sélection nationale féminine, en ce jour de fête, incarne un message fort : celui d’un Maroc moderne, fier de ses femmes, de leur talent, de leur force, et de leur contribution au rayonnement national.

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Sa Majesté le Roi Mohammed VI, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et de SAR le Prince Moulay Rachid, a présidé, mercredi après-midi à la Place de la préfecture de la ville de M’diq, une réception à l’occasion du 26e anniversaire de l’accession du Souverain au Trône de Ses glorieux Ancêtres.

Au début de cette cérémonie, Sa Majesté le Roi a salué les couleurs nationales au son de l’hymne national, alors que retentissait une salve de 21 coups de canon. Le Souverain a ensuite été salué par plusieurs personnalités marocaines et étrangères venues présenter leurs voeux à SM le Roi en cette heureuse occasion.

Ainsi, le Souverain a reçu les vœux du Chef du gouvernement, M. Aziz Akhannouch, du président de la Chambre des Représentants, M. Rachid Talbi Alami et du président de la Chambre des Conseillers, M. Mohamed Ould Errachid. Sa Majesté le Roi a également reçu les vœux du président-délégué du Conseil Supérieur du Pouvoir Judiciaire, Premier Président de la Cour de Cassation, M. Mohamed Abdennabaoui, du président du Ministère Public, Procureur général du Roi près la Cour de Cassation, M. Hicham Balaoui, du Président de la Cour Constitutionnelle, M. Mohamed Amine Benabdellah, du Premier Président de la Cour des Comptes, Mme Zineb El Adaoui, du président du Conseil économique, social et environnemental, M. Abdelkader Amara, du secrétaire général du Conseil supérieur des Oulémas, M. Mohamed Yssef, de la présidente du Conseil supérieur de l’Éducation, de la Formation et de la Recherche scientifique, Mme Rahma Bourqia et de la présidente du Conseil national des droits de l’Homme, Mme Amina Bouayach.

Le Souverain a aussi été salué par le Médiateur du Royaume, M. Hassan Tariq, la présidente de la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle, Mme Latifa Akherbach, le président du Conseil de la Concurrence, M. Ahmed Rahhou, le président de l’Instance nationale de la probité, de la prévention et de la lutte contre la corruption, M. Mohamed Benalilou, le Président du Conseil de la Communauté Marocaine à l’Etranger, M. Driss El Yazami, le président du Conseil Royal Consultatif pour les Affaires Sahariennes, M. Khalihenna Ould Errachid, le Wali de la Région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, gouverneur de la Préfecture de Tanger-Assilah, M. Younès Tazi et le président du Conseil de la Région de Tanger-Tétouan-Al Hoceima, M. Omar Moro.

Sa Majesté le Roi a, par la suite, été salué par le Général de Corps d’Armée, Mohamed Berrid, Inspecteur général des Forces Armées Royales, Commandant la Zone Sud, le Général de Corps d’Armée Mohamed Haramou, Commandant la Gendarmerie Royale, le Général de Brigade Azzeddine Khalid, Chef du troisième bureau, le Général de Division aérienne Mohammed Gadih, Inspecteur des Forces Royales Air, le Contre-Amiral Mohamed Tahin, Inspecteur de la Marine Royale, le Général de Division Jabrane Khalid, Inspecteur général des Forces Auxiliaires (Zone Nord), et le Colonel Major Mustapha Hdiouad, Inspecteur général des Forces Auxiliaires (Zone Sud), ainsi que par M. Abdellatif Hammouchi, Directeur général de la Sûreté nationale et Directeur général de la Surveillance du territoire national, et M. Mohamed Yassine El Mansouri, Directeur général des Études et de la Documentation.

Le Souverain a également été salué par le doyen du corps diplomatique africain, ambassadeur de la République du Cameroun, M. Mohamadou Youssifou, le doyen du corps diplomatique arabe par intérim, Ambassadeur de la République du Yémen, M. Ezzedine Saïd Ahmed Al Asbahi, le doyen du corps diplomatique européen par intérim, ambassadeur de l’Ordre souverain militaire de Malte, M. Julien-Vincent Brunie, le doyen du corps diplomatique américain, Ambassadeur de l’Organisation des Etats des Caraïbes Orientales, M. Ian Montclair Queely, et le doyen du corps diplomatique asiatique, Ambassadeur de la République Populaire de Chine, M. Li Changlin.

SM le Roi a aussi été salué par Monseigneur Emilio Rocha Grande, Archevêque de Tanger, la Révérende Pasteur Karen Thomas Smith, Présidente de l’Église Évangélique au Maroc, Monseigneur Maxim Massalitin, président de l’Eglise Orthodoxe Russe, et Monsieur Yossef Israel, Grand Rabbin de Casablanca.

Le Souverain a, par la suite, été salué par le Président de la FIFA, M. Gianni Infantino, le Président de la Fédération Royale Marocaine de Football (FRMF), M. Fouzi Lekjaa, ainsi que par les membres de la sélection nationale féminine de football qui ont réalisé un brillant parcours lors de la Coupe d’Afrique des Nations féminine de football 2024.

SM le Roi, accompagné de SAR le Prince Héritier Moulay El Hassan et de SAR le Prince Moulay Rachid a ensuite posé pour une photo-souvenir avec les membres de la sélection nationale féminine de football.

La célébration par le peuple marocain, en ce jour, du 26e anniversaire de l’intronisation de SM le Roi Mohammed VI, est une occasion renouvelée pour l’ensemble des composantes de la Nation de réitérer leur fidélité, leur loyalisme et leur indéfectible attachement au Glorieux Trône Alaouite.

Avec MAP

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Au siège de la Fondation Lalla Asmaa à Rabat, ce lundi 28 juillet, deux figures féminines unissent leurs engagements autour d’un idéal partagé : celui d’un monde plus inclusif pour les enfants sourds. Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa, présidente de la Fondation qui porte son nom, reçoit la Première Dame du Salvador, Mme Gabriela Rodriguez de Bukele, pour une visite placée sous le signe de la bienveillance, de l’écoute et de la coopération.

Depuis plus de vingt ans, la Princesse Lalla Asmaa œuvre avec une discrétion exemplaire en faveur des enfants sourds et malentendants. Grâce à son impulsion, la Fondation est devenue une référence dans l’accompagnement global du handicap auditif, conjuguant soins de pointe, scolarisation spécialisée, innovations technologiques et formation des familles. À ses côtés, Gabriela de Bukele, psychologue et éducatrice de formation, Première Dame depuis 2019, mène au Salvador des initiatives concrètes pour l’enfance, la santé prénatale et l’éducation. Mère de deux enfants, elle incarne elle aussi une vision engagée et accessible de son rôle public.

Complices et attentives, les deux femmes parcourent ensemble les espaces de la Fondation : ateliers de poterie et de diorama, cours de langue des signes américaine, salle d’orthophonie, dispositifs numériques d’apprentissage. Elles découvrent notamment une application d’intelligence artificielle destinée à accompagner les enfants dans leur rééducation du langage, et un robot interactif conçu pour faciliter l’apprentissage de la communication.

Point d’orgue de cette visite : l’annonce d’une initiative conjointe portée par la Fondation Lalla Asmaa, qui permettra à vingt enfants sourds salvadoriens de bénéficier d’une prise en charge spécialisée au Maroc. Une nouvelle étape dans l’internationalisation de l’action humanitaire de la Fondation, au service d’une diplomatie solidaire et inclusive.

À Rabat, ce duo féminin incarne une vision sensible et résolument moderne de l’engagement : celle qui fait de l’enfance une priorité universelle, et du soin à l’autre un langage commun.

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Accueillie avec chaleur par Son Altesse Royale la Princesse Lalla Asmaa à l’aéroport de Rabat-Salé, la Première Dame du Salvador effectue une visite officielle dans le Royaume. L’occasion de s’arrêter sur le parcours de cette femme discrète et engagée, au style apaisé, qui incarne une diplomatie du cœur venue d’Amérique centrale.

Dimanche 27 juillet, l’aéroport de Rabat-Salé s’imprègne d’une douce solennité. Gabriela Rodríguez de Bukele, Première Dame du Salvador, pose le pied sur le sol marocain, accueillie par SAR la Princesse Lalla Asmaa dans une parfaite harmonie de gestes, de tons et de tenues pastel. Un moment rare de diplomatie féminine, tissé de grâce et de respect.

Psychologue de formation, Gabriela Rodríguez est née à San Salvador le 31 mars 1985. Spécialisée en développement prénatal, elle fonde en 2010 le tout premier centre de formation prénatale du pays. Son approche est avant tout humaine : prévenir, accompagner, transmettre. Dès ses premières fonctions publiques, elle se distingue par sa rigueur, sa bienveillance et sa proximité avec les familles.

Gabriela Rodriguez au Maroc, avec son mari le Président du Salvador, Nayib Bukele et leurs deux filles Layla et Aminah

Mais l’engagement de Gabriela ne s’arrête pas à la santé et à l’enfance. Artiste dans l’âme, elle est également danseuse de ballet classique et fondatrice du Ballet de San Salvador, une initiative culturelle qui reflète son attachement à la beauté, à la discipline et à l’émancipation par l’art. Une double sensibilité, scientifique et artistique, qui façonne son regard sur le monde.

Épouse de Nayib Bukele, président de la République du Salvador depuis 2019, elle devient Première Dame la même année. Mais Gabriela choisit de faire de ce rôle une continuité naturelle de son engagement, loin des projecteurs, au service des enfants, des femmes, de la santé mentale et de l’éducation. Sa douceur cache une détermination sans faille. Elle privilégie le terrain aux discours, et le lien direct aux postures politiques.

Mère de deux filles, Layla née en 2019 et Aminah en 2023, elle forme avec le président salvadorien un couple jeune, moderne et profondément attaché aux valeurs sociales, familiales et culturelles. Le choix des prénoms de leurs enfants, à forte consonance arabe, résonne comme un hommage assumé aux racines orientales de la famille Bukele, d’origine palestinienne par le père. Un détail qui souligne une sensibilité universelle, et une ouverture naturelle au dialogue interculturel.

Sa venue au Maroc s’inscrit dans une dynamique de coopération Sud-Sud, mais aussi dans une volonté de dialogue humain et sincère, entre deux nations, deux cultures… et deux femmes d’exception.

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